Endoufielle

Endoufielle (Endofièla en occitan) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.

Endoufielle

Mairie d'Endoufielle.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Auch
Intercommunalité Communauté de communes de la Gascogne Toulousaine
Maire
Mandat
Pascale Terrasson
2020-2026
Code postal 32130, 32600
Code commune 32121
Démographie
Gentilé Endoufiellois
Population
municipale
516 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 07″ nord, 1° 01′ 27″ est
Altitude 218 m
Min. 146 m
Max. 235 m
Superficie 17,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Isle-Jourdain (Gers)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Endoufielle
Géolocalisation sur la carte : Gers
Endoufielle
Géolocalisation sur la carte : France
Endoufielle
Géolocalisation sur la carte : France
Endoufielle

    Géographie

    Localisation

    Endoufielle est une commune située en Gascogne dans le Savès en Rivière-Verdun, entre L'Isle-Jourdain et Samatan.

    Carte de la commune de Endoufielle et de ses proches communes.

    Communes limitrophes

    Endoufielle est limitrophe de sept autres communes. Elle est limitrophe du département de la Haute-Garonne par un quadripoint.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 710 hectares ; son altitude varie de 146 à 235 mètres[2].

    Endoufielle se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Save un affluent de la Garonne.

    Voies de communication et transports

    Accès avec la RN 124 puis la départementale D 634 ancienne route nationale 634. Par le train en gare de L'Isle-Jourdain sur la ligne SNCF Toulouse - Auch.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 732 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Isle-Jourdain », sur la commune de l'Isle-Jourdain, mise en service en 1967[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 705,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 26 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 14,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Endoufielle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,1 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestations anciennes : Andofielle 1569[22], Andofiella 1570[23], Andofiele 1695[24], Andoufielle 1724[25], Andouffielle 1727[26], Andofiel 1783[27], Endouffielle 1753/1785[28], Andoufielle 1793[29], Eudouffielle 1801[29], Andofiel 1804[30], Endoufielle 1854[31], Andoufielle 1857[32], Endoufielle 1825/1866[33].

    Le nom de ce lieu est connu depuis le milieu du XIe siècle par celui d'Aton, seigneur d'Endoufielle[32], mais l'attestation de la forme primitive fait défaut.

    Il s'agit sans doute d'un nom de lieu mérovingien en -villa qui a donné -viala en languedocien, vièla en gascon, francisé par la suite en -ville, -vielle ou -fielle dans la même région.

    Le premier élément est sans doute le nom de personne Andulfus, forme latinisée d'un anthroponyme gotique cité par Marie-Thérèse Morlet[34], -vielle serait passé à -fielle, par assimilation du [v] de -villa au [f] de l'anthroponyme. Quant à l'initiale primitive An-, elle paraît avoir été tardivement modifiée en En-, peut-être d'après les très nombreux toponymes en en[35] + noms de personnes attestés dans le Gers.

    Le nom de personne Andulfus se perpétue peut-être dans le patronyme Andou attesté dans le sud ouest à époque ancienne[36], et certainement dans le patronyme italien Andolfi.

    L'hypothèse d'une origine gothique du premier élément est renforcée par le fait que -ville est précédé le plus souvent par un nom de personne germanique, ainsi que par l'existence, dans les environs immédiats, du village de Goudourville qui remonte, selon Albert Dauzat et Charles Rostaing[37], à Gothorum villa « village des Goths ».

    La même variante en -fielle se retrouve par ailleurs dans Renoufielle (ancienne paroisse, aujourd'hui lieu-dit à L'Isle-Jourdain : Renoufielle 1595[38] et 1763[39], Renouffiel 1763/1788[40], Renouffielle 1753/1785[41]) et dans Ségoufielle (Seguenvilla 1196[42]).

    Histoire

    Divers seigneurs d'Endoufielle peuvent être identifiés :

    • Aton d'Andoufielle (11e s.), fils de Raymond Aton, seigneur de l'Hille (future Isle-Jourdain), et frère de saint Bertrand (né vers 1047), archevêque d’Auch. Aton prit le nom de la terre de son apanage. Il épousa la fille du baron de Montaut, dont il eut Guillaume, autre archevêque d'Auch[32].
    • Étienne du Gout, écuyer, seigneur d'Andoufielle et de Saint-Germier, écuyer d'écurie du comte d'Armagnac, qui épousa Claire de Galard, dame de Saint-Germier. Il est nommé dans deux actes datés des et [43].
    • Alain Frédéric d'Ornezan, seigneur d’Andofielle, mort en 1569[22].
    • Jean de Lastours, seigneur d’Andofiella, responsable en 1570 d'une compagnie de soldats en garnisons à Lisle-sur-Tarn[23].
    • Messire François de Bonfontan, baron d’Andoufielle, cité dans un arrêt du Parlement de Toulouse rendu contre lui le [25].
    • Philippe de Bonfontan, chevalier, seigneur, baron d'Endoufielle, comte du Puy, seigneur de Lissac, Labatut et autres places, capitoul-gentilhomme, cité en 1786 et 1787 en tant que membre de la nouvelle administration déterminée par arrêt du Conseil et l'ordonnance du Roi du [44].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[45],[46].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine et du canton de L'Isle-Jourdain et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de la Save Lisloise.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Camille Lairle DVG  
    mars 2001 2014 Michelle Lannes[47]    
    mars 2014 En cours Pascale Terrasson    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

    En 2018, la commune comptait 516 habitants[Note 5], en diminution de 6,35 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    761811927915885870867853823
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    808790742720726679656668621
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    622591483538520521504416402
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    348310312397446514561543516
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[52] 1975[52] 1982[52] 1990[52] 1999[52] 2006[53] 2009[54] 2013[55]
    Rang de la commune dans le département 78 119 103 72 62 57 56 59
    Nombre de communes du département 466 462 462 462 463 463 463 463

    Économie

    l'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé ...) a une place très importante dans l'économie de la commune.

    Enseignement

    Endoufielle fait partie de l'académie de Toulouse.

    Manifestations culturelles et festivités

    Salle des fêtes d'Endoufielle.

    Salle des fêtes,

    Activités sportives

    Chasse, pétanque,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Tiercé en pairle renversé : au premier de gueules à la croix cléchée, vidée, pommetée de douze pièces d'or, au second d'argent au lion de gueules, au troisième d'azur à la gerbe de blé d'or liée de gueules[57].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39151085)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Plan séisme
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Isle-Jourdain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Endoufielle et L'Isle-Jourdain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Isle-Jourdain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Endoufielle et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. GeneaNet.
    23. Archives départementales du Tarn : archives communales déposées de Lisle-sur-Tarn, cote 145 EDT EE 4.
    24. Alexis-Hubert Jaillot, Carte du diocèse de Toulouse, Paris, 1695.
    25. Jean-Baptiste Furgole, Traité des testamens, codiciles, donations à cause de mort et autres dispositions de dernière volonté, suivant les principles et les décisions du droit romain, les ordonnances, les coutumes & maximes du royaume, tant des païs du droit ecrit, que coutumiers & la jurisprudence des arrêts, Paris, 1777, t. IV, p. 269.
    26. 2e édition. Diocèse de Lombez divisé en V districts, 1727; copie XIXe s. de Jean-Marie Cazauran (1845-1910).
    27. Lattré et R. Bonne, Carte du Gouvernement de Guienne et Gascogne avec celui de Bearn et Basse-Navarre, Paris, ~1783.
    28. Carte de Cassini.
    29. Site de la Mairie
    30. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, Paris, 1804, vol. II, p. 44.
    31. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
    32. Adrien Salvan, Histoire générale de l'Église de Toulouse, Delboy, Toulouse, 1857, t. II., p. 51.
    33. Cartes d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889).
    34. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. I (les noms issus du germanique continental et les créations gallo-germaniques), 1968, p. 36a.
    35. Ce fréquent élément de la toponymie gersoise semble représenter l'altération d'un plus ancien ne (féminin na), particule honorifique probablement issue d'une forme aphérétique du vocatif latin domine / domina « seigneur / dame »; cf. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie gasconne, Éditions Sud-Ouest, Luçon, 1992, p. 88.
    36. État civil Andou
    37. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 325, article Goudet.
    38. Dans un texte cité in Abbé J. Lestrade, Les Huguenots en Comminges, Paris / Auch, 1900, p. 304.
    39. Registre de l'Hôtel-Dieu de Toulouse.
    40. Henry Delaistre, Carte routière du diocèse de Toulouse, 1763/1788.
    41. Carte de Cassini.
    42. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963 (rééd. Guénégaud, avec supplément de Marie-Thérèse Morlet), p. 650a.
    43. Le chevalier de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, libr. Arthus Bertrand, Paris, 1826, t. VI, p. 64.
    44. le chevalier Alexandre Du Mège, Histoire des institutions religieuses, politiques, judiciaires et littéraires de la ville de Toulouse, impr. Laurent Chapelle, Toulouse, 1844, t. II, p. 459.
    45. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    46. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    47. Site de la préfecture - Fiche d'Endoufielle.
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    52. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    53. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    54. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    55. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    56. http://www.ccgascognetoulousaine.com/Dechets-ordures-menageres.asp
    57. Banque du blason.
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