Gondrin

Gondrin est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Goundrin.

Gondrin

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Armagnac
Maire
Mandat
Didier Dupront
2020-2026
Code postal 32330
Code commune 32149
Démographie
Population
municipale
1 196 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 10″ nord, 0° 14′ 16″ est
Altitude 161 m
Min. 80 m
Max. 181 m
Superficie 34,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Armagnac-Ténarèze
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Gondrin
Géolocalisation sur la carte : Gers
Gondrin
Géolocalisation sur la carte : France
Gondrin
Géolocalisation sur la carte : France
Gondrin

    Géographie

    Localisation

    Gondrin est une commune située en Armagnac, dans l'ouest du Gers et à l'est d'Eauze et la route départementale 931.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Gondrin se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

    Hydrographie

    Gondrin est traversée par l'Osse.

    Voies de communication et transports

    La ligne 952 du réseau liO relie la commune à Condom depuis Cazaubon.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 824 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Courrensan », sur la commune de Courrensan, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 727,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 39 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[12] à 13,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Gondrin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,3 %), terres arables (30,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (1,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Gondrin étant en Gascogne, la plupart des lieux-dits y sont explicables par le gascon, par exemple Lasdoutz, le Pitourret, Bacara, la Couture, Betbéze, Carreron, L’Hérété, Larriou, Las Cassagnoles, Labartète, Loulié, Mounissot, Sourbès, Toumieu, le Baradé, le Pesqué, les Toupiès, la Hitte, Peyruc, la Carrérasse, la Bourdasse, la Brouquère, le Caillaou, le Coussau...[20]

    Histoire

    Gondrin est un village très ancien, transformé en bastide au début du XIVe siècle. Une halle surmontée de la maison commune est attestée par un acte de 1395. Dans la seconde moitié du XVe siècle, le nombre de feux fiscaux s’élève à 100[21].

    Au début du XVIIe siècle, les maisons du bourg, dominées par le château féodal délabré des Pardaillan, seigneurs de Gondrin, avec ses dépendances et sa chapelle (future église paroissiale Saint-Michel) sont encore entourées d'un mur d'enceinte percé de quatre portes aux points cardinaux (dont les principales sont orientées au nord et au sud)[22].

    Le village doit son essor à noble dame Paule de Saint-Lary (†1651), fille de Jean de Saint-Lary (†1586), baron de Termes, et sœur de Roger II de Saint-Lary (†1646), 1er duc de Bellegarde (1619), mort sans descendance[23]. Elle épousa le Antoine-Arnaud de Pardaillan (1562-1624), seigneur de Gondrin au bénéfice duquel le roi Louis XIII érigera en marquisat les terres de Montespan (1612) et d'Antin (1615). Paule de Saint-Lary donna neuf fils (trois morts jeune) et quatre filles à son époux qui avait déjà eu deux filles d'un premier lit[24]. Veuve en 1624, elle lui survécut 27 ans. Par son fils Roger-Hector elle est l’aïeule de Louis-Henri de Pardaillan de Gondrin (1640-1701), marquis de Montespan, dont la femme, née Françoise de Rochechouart de Mortemart dite Athénaïs, connue comme Madame de Montespan devint en 1668 favorite de Louis XIV.

    Dès 1609 Paule de Saint-Landry, qualifiée de grande bâtisseuse[25] entreprit la restauration et l'embellissement du château, puis racheta les lopins de terre situés entre le bourg et le hameau de Peyruc pour concrétiser plusieurs projets comme la création d'un parc orné de pièces d'eau et de bosquets, la plantation d'un potager et d'un verger et l'installation d'une volière[22]. Suivant les dispositions testamentaires consignées — selon Aubert de la Chesnaye des Bois — le par son mari, mort en 1624 à Saint-Léger et inhumé dans l'église paroissiale de Gondrin, la dame de Gondrin fit également bâtir un couvent initialement destiné, selon le vœu du fondateur, à une communauté de Capucins, mais finalement occupé par des Récollets. Paule de Saint-Lary de Bellegarde mourut le à Toulouse, dans la maison de Monsieur de Théron, rue de la Pomme, paroisse Saint-Étienne. Son corps fut amené à Gondrin le 20 ou et inhumé dans l'église auprès de la sépulture de son mari[26].

    Au XXIe siècle il ne reste rien des fortifications du bourg, hormis quelques éléments très remaniées de la porte nord du bourg. Seuls quelques vestiges subsistent du château, de l'ancienne église et du couvent.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Edouard Mondin DVG  
    mars 2001 En cours Didier Dupront[27] PS Médecin
    Président de la Communauté de Communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2018, la commune comptait 1 196 habitants[Note 4], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    2 2651 8291 8321 9422 0402 0001 9641 8861 912
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 9331 8091 7441 8402 1621 9511 6901 6551 561
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5441 3841 3921 3431 4051 3771 3531 2801 207
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    1 1621 0741 0411 0429991 1121 1271 1261 194
    2018 - - - - - - - -
    1 196--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin en partie de style roman. L'église est répertorié dans la base Mérimée[32].
    • Les ruines du couvent des Ursulines fondé en 1629 par Paule de Bellegarde.
    • Des maisons à arcades.
    • Sanctuaire Notre-Dame-de-Tonneteau[33] et sa chapelle, nichée au creux d'un vallon à km au nord de Gondrin. C'est un ancien lieu de pèlerinage. À côté, une fontaine aux dévotions nichée dans un cadre rafraichissant.
    • Lavoir de Lasdoutz, au sud de Gondrin. Lavoir à impluvium sous un auvent carré doté d'une cheminée.
    • Plusieurs lavoirs communaux restaurés.
    • Église Saint-Pierre de Polignac datant du XIXe siècle[34].
    • Église Saint-André de Castahède[34].

    Personnalités liées à la commune

    • Une longue lignée de Pardailhan
    • XVIIe siècle
      • Antoine-Arnaud de Pardaillan (1562-1624), seigneur de Gondrin, marquis de Montespan et d'Antin, inhumé dans l'église paroissiale en 1624;
      • Paule de Saint-Lary, dame de Gondrin, inhumée dans l'église paroissiale en 1651
      • César-Auguste de Pardaillan de Gondrin (1611-1667?), marquis de Termes, 4e fils d’Antoine-Arnaud de Pardaillan de Gondrin et de Paule de Saint-Lary, né à Gondrin le
      • Louis-Henri de Pardaillan de Gondrin (1620-1674), archevêque de Sens, 7e fils d’Antoine-Arnaud de Pardaillan de Gondrin et de Paule de Saint-Lary, né à Gondrin en 1620
      • Jean-Marie de La Marque de Tilladet (1650-1715), prêtre et homme de lettres français, né à Gondrin en 1650
    • XXe siècle
      • André Pic (1910-1958): professeur agrégé d'espagnol et membre de l'Escole Gastoû Febus affiliée au Félibrige. Auteurs de nombreux articles et poèmes parus dans la revue de l'Escole: Lous Reclams de Biarn e Gascougne.
      • Rodolphe Molère (1910-1963) chef de la Résistance à Gondrin de 1942 à 1945 puis Maire de Gondrin de 1945 à 1963. La plaque apposée sur le bâtiment de la Mairie de Gondrin commémore sa mémoire, elle a été inaugurée en 1997 en présence d'une délégation du Bataillon de l'Armagnac, de la municipalité et de ses amis.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent aux trois fasces ondées d'azur[35].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39919209)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Courrensan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Gondrin et Courrensan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Courrensan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Gondrin et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Lòcs / Lieux-dits gascons de Gondrin - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consulté le ).
    21. Récapitulatif des principaux critères d'urbanité retenus par Françoise Bériac, Petites villes ou bourgs ? Le cas du Gers, In : Jean-Pierre Poussou et Philippe Loupès (dir.) Les petites villes du Moyen Âge à nos jours, Hommages à Georges Dupeux, CNRS, Paris, 1987, p. 29-39, cité par Anaïs Comet, Villages et bourgs de la Gascogne gersoise à la fin du Moyen Âge (1250-1550) : transformations morphologiques et architecturales'. Histoire. Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2017 (en ligne).
    22. Rémontons le temps… dans la rubrique Patrimoine du site officiel de la mairie de Gondrin.
    23. Sophie Jugie. Grandeur et décadence d'une famille ducale au XVIIIe siècle : la fortune du duc d'Antin. In : Revue d'histoire moderne et contemporaine t. 37 no 3, juillet-septembre 1990, pp. 452-477 (en ligne)
    24. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, t. XI, Paris, 1776 (en ligne), voir aussi Généalogie des Pardaillan de Gondrin d'après La Chesnaye des Bois (XVIIIe s.).
    25. Gondrin, présentation sur le site de la communauté de communes du Grand Armagnac
    26. Procès-verbal de l'acte de décès de Paule de Bellegarde, dame de Gondrin sur le site de l'Association Belle-Garde Gondrin Gers (en ligne).
    27. Site de la préfecture - Fiche de Gondrin
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Église paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    33. contact@tourisme-gers.com, « Comité Départemental du Tourisme Destination Gers », sur http://www.tourisme-gers.com (consulté le ).
    34. Association BELLE-GARDE Gondrin Gers - Patrimoine religieux
    35. Banque du blason.
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