Pujaudran

Pujaudran (Pujaudran en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.

Pujaudran

L'église

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Auch
Intercommunalité Communauté de communes de la Gascogne Toulousaine
Maire
Mandat
Muriel Abadie
2020-2026
Code postal 32600
Code commune 32334
Démographie
Population
municipale
1 550 hab. (2018 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 30″ nord, 1° 09′ 00″ est
Altitude 297 m
Min. 194 m
Max. 305 m
Superficie 17,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Isle-Jourdain (Gers)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Pujaudran
Géolocalisation sur la carte : Gers
Pujaudran
Géolocalisation sur la carte : France
Pujaudran
Géolocalisation sur la carte : France
Pujaudran
Liens
Site web Site officiel
    Détail du clocher-mur.

    Géographie

    Localisation

    Pujaudran est une commune de l'aire urbaine de Toulouse qui se trouve à 6 km à l'est sud-est de L'Isle-Jourdain et à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Toulouse, juste après Léguevin sur la route d'Auch. La commune est limitrophe avec le département de la Haute-Garonne

    Communes voisines.

    Communes limitrophes

    Pujaudran est limitrophe de cinq autres communes dont trois dans le département de la Haute-Garonne.

    Lieux-dits ou hameaux

    Au Battut, Pesqué, Galabart, La Carrerasse,

    Géologie et relief

    La commune occupe la dernière terrasse de Garonne avant les coteaux de Gascogne. Son territoire se divise en une partie basse dite la Plaine et une partie haute qui comprend le village en lui-même. Une partie de la forêt de Bouconne est située sur la commune

    La superficie de la commune est de 1 741 hectares ; son altitude varie de 194 à 297 mètres[2].

    Pujaudran se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Ruisseau de Saint-Blaise et le Ruisseau du Rieu Tord deux affluents du Courbet.

    Voies de communication et transports

    Accès avec la route nationale 124 et par le train en gare de Brax-Léguevin ou en gare de L'Isle-Jourdain.

    La ligne 935 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et à Auch.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 778 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Isle-Jourdain », sur la commune de l'Isle-Jourdain, mise en service en 1967[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 705,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 14,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pujaudran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,1 %), forêts (33 %), terres arables (22,9 %), zones urbanisées (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Pujaudran est composé de puj variante occitane de puy qui dérive de podium, signifiant petite butte. Le village qui domine de 82 mètres la terrasse de Léguevin, justifie cette appellation. Audran pourrait être le nom d'un homme. Ce dernier provenant du germanique Aldramn (vieux corbeaux) ou Aldric (vieux et puissant). Le village de Pujaudran se situe à une altitude de 297 mètres.

    Histoire

    Au lieu-dit Pargamousques, à l'ouest du village, une première prospection signale un site gallo-romain. Un itinéraire datant de l'an 333 de notre ère reliant Bordeaux à Jérusalem traversait d'ouest en est la commune de Pujaudran. Le toponyme d'un lieu-dit pourrait être d'origine antique : Tellère, orthographié Teulères au XVIIe siècle, signifie lieu où se fabriquait la tuile. L'existence d'une tuilerie en ce point paraît d'autant plus vraisemblable que la marne y affleure.

    Au XIe siècle, se développe le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle et Pujaudran se trouve être sur la via Tolosane qui reliait Arles à Puente la Reina (Espagne).

    L'ordre des Antonins avait, à la fin du XIIIe siècle une commanderie avec église et hôpital à la limite des communes de Pujaudran et de l'Isle-Jourdain.

    Dans un document datant de 1304 est mentionnée la présence de trois hôpitaux à Pujaudran : Saint-Jacques, Saint-Blaise-Sainte-Marie-Madeleine et Saint-Barthélemy. L'hôpital Saint-Blaise se trouvait au pied de la côte de Pujaudran.

    Au lieu-dit Saint-Bretz, au sud-est du village, à 3 km environ du village actuel existait au haut Moyen Âge une paroisse. Il est probable que cette église fut l'église paroissiale et que son patron fut saint Brice, avant la construction de l'église actuelle. Au XVIIe siècle, lors de la reconstruction de l'église suite aux destructions dues aux guerres de religions, apparaît le nom de Sainte Pudentienne. Selon les termes du testament d'Anne de Capmas, l'église de Pujaudran et la chapelle Saint-Brice sont, au XVIIe siècle, deux édifices distincts. La fête patronale a lieu le , le jour de la Sainte-Pudentienne.

    Avec la Révolution de 1789, intervient la vente des biens du clergé et ce, par enchères, le , à Toulouse.

    Les vestiges d'une tuilerie qui a fonctionné jusqu'à la Première Guerre mondiale subsistent auprès de la route nationale 124, de nombreuses marnières l'alimentaient en matière première et la cuisson se faisait au bois.

    Le moulin Baillet est désigné sur la carte d'état-major par « ancien moulin ». Sa construction remonterait à 1808. Le moulin de Chau daterait de 1825. En 1854, Pujaudran avait quatre moulins. Vers 1934, le moulin de Chau tournait encore, de même que le moulin de Peyrolières. Deux moulins ayant appartenu à monsieur Soulan, furent démolis en 1910.

    À l'époque, on trouve : un charpentier, un charron, un chevrier, un boucher, un forgeron, un coiffeur, un bureau de tabac, un boulanger, un cordonnier, un épicier, un café, la mairie, l'école, l'église, le presbytère et une auberge relais.

    En 1912 la commune avait une école de garçons et une école de filles. Dans sa séance du , Justin Izard maire et son conseil municipal demandent qu'en raison d'une baisse des effectifs scolaires il n'y ait plus qu'une seule école mixte dirigée par une institutrice.

    Au village, une très belle croix en fonte, consolidée d'arceaux en fer, de 1,50 m de hauteur repose sur un socle très important. Le , à la Saint-Roch, cette croix réunissait autour d'elle les hommes et les femmes de la campagne avec leurs troupeaux pour la bénédiction.

    La paroisse de Pujaudran fait partie du diocèse d'Auch. Le clocher-mur de l'église porte trois cloches et deux clochetons sur les côtés et est dressé parallèlement à la nef, face au sud. Il semblerait que cette disposition ait été choisie pour éviter l'emprise au vent.

    Le ont également été classés les objets ci-après, conservés dans l'église de la commune : deux toiles de la fin du XVIIIe siècle, un plat de quête en cuivre du XVIe siècle, saint Brice évêque, ancien patron de l'église et sainte Pudentienne, patronne de l'église.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[22],[23].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine et du canton de L'Isle-Jourdain et avant le elle faisait partie de la communauté de communes des Coteaux de Gascogne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Georges Blaye DVG  
    2001 2008 René Périn    
    2008 2020 Roger Heiniger[24] DVG Retraité
    2020 En cours Muriel Abadie PS Cadre, vice présidente du conseil régional d'Occitanie
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 1 550 habitants[Note 5], en augmentation de 10,32 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    454456530522580661681684635
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    609661582618634577573547540
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    530478412385364358342327353
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    3444226608168981 1671 2981 4231 550
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[29] 1975[29] 1982[29] 1990[29] 1999[29] 2006[30] 2009[31] 2013[32]
    Rang de la commune dans le département 106 101 47 32 32 22 20 19
    Nombre de communes du département 466 462 462 462 463 463 463 463

    Enseignement

    Pujaudran fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par une maternelle et une primaire[33].

    Économie

    L'activité économique est relativement peu développée et la plupart des habitants ont une activité dans l'agglomération toulousaine voisine. La modernisation en cours de la RN 124 et la diminution du temps de parcours vers Toulouse entraînent une forte spéculation immobilière. Des restaurants sont aussi présents, dont une pizzeria et un restaurant étoilé.

    Un marché a lieu tous les vendredis en fin d'après-midi.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Oratoire de la Vierge Marie commémorant l'hôpital Saint-Antoine

    Le château de Lartus, de style Second Empire, construit en 1850 eut plusieurs propriétaires dont le ténor Victor Capoul.

    Église Saint-Brice à clocher mur.

    Oratoire de la Vierge Marie commémorant l'hôpital Saint-Antoine.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé : au premier de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au deuxième d'argent à l'arbre arraché au naturel, au troisième d'azur à la coquille d'or, au quatrième d'or au lion de gueules ; au bourdon de sable brochant sur la partition[34].

    Vie pratique

    Culture

    Médiathèque, ludothèque, comité des fêtes, théâtre, danse[35],

    Activités sportives

    Pétanque, arts martiaux, gymnastique, chasse, randonnées,

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39151085)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Plan séisme
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Isle-Jourdain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Pujaudran et L'Isle-Jourdain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Isle-Jourdain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Pujaudran et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    24. Site de la préfecture - Fiche de Pujaudran
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. http://www.pujaudran.fr/fr/information/61235/ecoles
    34. Banque du blason.
    35. http://www.pujaudran.fr/fr/associations
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