Miélan

Miélan (Mielan en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.

Miélan

Église.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Astarac en Gascogne
Maire
Mandat
Jean-Loup Arenou
2020-2026
Code postal 32170
Code commune 32252
Démographie
Gentilé Miélanais, Miélanaises
Population
municipale
1 125 hab. (2018 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 25′ 50″ nord, 0° 18′ 32″ est
Altitude 209 m
Min. 187 m
Max. 303 m
Superficie 21,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mirande-Astarac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Miélan
Géolocalisation sur la carte : Gers
Miélan
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Miélan
Géolocalisation sur la carte : France
Miélan
Liens
Site web site de Miélan

    Ses habitants sont appelés les Miélanais.

    Géographie

    Localisation

    Miélan est une commune située dans le Gers sur la nationale 21, à mi-distance entre Auch au nord et Tarbes au sud, et à 13 km au sud-ouest de Mirande, entre l'Osse et le Bouès.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 188 hectares. Son altitude varie de 187 à 303 mètres[2].

    Miélan se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[3].

    Voies de communication et transports

    La ligne 931 du réseau liO relie la commune à la gare d'Auch et à la gare de Tarbes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 921 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirande », sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 791,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 33 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[13] à 13,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Miélan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61 %), forêts (22,7 %), terres arables (9 %), zones urbanisées (4,5 %), eaux continentales[Note 4] (2,6 %), prairies (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Époque antérieure à la bastide

    Le sarcophage découvert sur un site appelé Le Gleysa est un témoignage d'une occupation précédant la création de la bastide.

    Un hameau constitué autour d'un château existait avant sa fondation.

    Fondation de la bastide au XIIIe siècle
    Place à couverts.

    Miélan est une de ces villes nouvelles appelées « bastide » qui ont été fondées au XIIIe siècle et XIVe siècle dans le Sud-Ouest de la France dans un contexte d'essor démographique et d'affirmation du pouvoir royal. À l'instar d'autres cités et dans l'espoir d'un avenir prometteur, son nom s'inspire de celui d'une des plus grandes capitales de l'Europe médiévale : Milan.

    Le seigneur local Guillaume Bernard de la Roque, signe le , avec le sénéchal Eustache de Beaumarchais, représentant du roi Philippe le Hardi, un contrat de paréage qui prévoit l'érection d'une ville, dans le pays des Affites, à proximité de son château de Baray et sur la voie Ténarèze. La cité est ainsi édifiée aux confins de plusieurs grands fiefs : les comtés de Pardiac, de Bigorre et d'Astarac.

    Temps troublés

    Rançonnée par Henri de Trastamare, en 1368, Miélan est assiégée, prise et détruite par des Anglais, en 1370, lors de la guerre de Cent Ans. Dès l'année suivante, la ville est reconstruite avec l'aide du roi Charles V.

    La seigneurie passe dans les mains de diverses familles... En 1387, Gaillard de la Roche, cède ses droits à la famille de Monlézun-Saint-Lary. Ils sont revendus, en 1436, à la maison bigourdane des Castelnau-Laloubère. Enfin, la maison d'Antin devient, par acquisition en 1646 des droits des Castelnau-Laloubère puis cession des droits royaux, la seule maîtresse de la seigneurie.

    Éléments favorisant le développement de Miélan à partir du XVIIIe siècle
    Monument aux morts.

    Pendant les quatre siècles qui se sont succédé depuis sa création, la cité évolue peu. Le renouveau s'opère à partir XVIIIe siècle.

    En 1711, le roi Louis XIV crée, en faveur de Louis Antoine de Pardaillan de Gondrin, fils légitime de la marquise de Montespan, le duché d'Antin dont Miélan devient la capitale.

    Dans les années 1750, une partie des remparts et le château féodal ont été démolis. L'intendant d'Étigny ouvre la route qui va d'Auch à Tarbes, actuelle RN 21.

    Jusqu'à la Révolution, la bastide de Miélan fut l'une des nombreuses enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun dans le comté d'Armagnac.

    Après la Révolution, d'anciennes églises ont servi de carrières de pierre. Napoléon, rentrant d'Espagne, traverse Miélan le .

    Mais, c'est sous le Second Empire que la ville connaît son apogée. Elle atteint 2 054 habitants en 1856. On achève la démolition des murs. La mairie en pierres remplace l'ancienne halle en bois qui a été démolie sous la Monarchie de Juillet. L'ancienne église Saint-Barthélémy et sa tour carrée sont remplacées par un nouveau bâtiment. Enfin, en 1869, Miélan accueille la ligne de chemin de fer entre Tarbes et Auch.

    La fin du XIXe siècle est, au contraire, assez défavorable à la ville qui perd des habitants.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Miélan.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 2008 Louis Lacoste DVD  
    mars 2008 2014 Jacques Bernès-Lasserre[21] DVG  
    mars 2014 En cours Jean-Loup Arenou SE Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    CCAS.

    Miélan n'est plus un chef-lieu de canton depuis 2015. Elle fait partie du canton Mirande-Astarac. Miélan possède un centre communal d'action sociale, est doté d'une gendarmerie et d'un centre d'incendie et de secours géré par le SDIS 32 dont l'organe principal se situe à Auch.

    Intercommunalité

    Syndicat d'initiative.

    Miélan appartient à la communauté de communes Cœur d'Astarac en Gascogne dont dépendent l'aménagement de la zone d'activité et les emplois du syndicat d'initiative.

    La collecte des déchets et la déchèterie sont gérées par le Syndicat Mixte de Collecte des Déchets du Secteur Sud de Mirande.

    L'adduction d'eau est aux mains du Syndicat Intercommunal d'Adduction d'Eau de la vallée de l'Arros basé à Villecomtal.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 1 125 habitants[Note 5], en diminution de 7,71 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 2701 4031 5161 9861 9312 0322 0222 0432 054
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 9061 9171 9101 9921 9541 9631 8271 6681 538
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5001 5171 3061 3241 2781 2411 2021 2251 214
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    1 2951 3251 2461 2901 2581 1901 2131 1491 125
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'éducation des enfants à Miélan peut commencer dès la maternelle, se poursuivre a l'école primaire Jean Luro et se terminer au Collège Vasconie.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Marché : tous les jeudis.
    • Fêtes locales : week-end après le

    Santé

    Il y a à Miélan un cabinet médical, une maison de retraite et une pharmacie.

    Sports

    Miélan fait partie d'une entente de rugby à XV, l'Entente Astarac Bigorre XV, qui rassemble Miélan et Mirande.

    Il y a aussi une multitude d'association sportives comme le judo, la gym…

    Économie

    Pierre angulaire située au-dessus d'un commerce du centre-ville.

    Revenus de la population et fiscalité

    Il y a quelques années, il y avait à Miélan un centre des finances publiques mais il a été déplacé a Mirande.

    Emploi

    Agence postale.

    Entreprises et commerces

    On trouve, à Miélan, des petits commerces liés essentiellement à l'alimentaire ou à l'équipement de la maison, quelques établissements bancaires ou d'assurance, une maison de retraite et des services voués à la santé ou à l'automobile.

    À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, la ville était le centre d'un marché qui exportait la production des porcelets (les nourrins) d'une race locale, le porc de Miélan, pour un montant de 60 000 têtes par an[25].

    Le syndicat d'initiative et plusieurs établissements relevant du loisir, de l’hôtellerie ou de la restauration accueillent les touristes. Ils y apprécient les qualités patrimoniales du bourg, les paysages bucoliques et l'agréable climat de cette région traditionnellement tournée vers l'agriculture.

    Une zone d'activités à vocation artisanale a été inaugurée en 2007.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Maisons à colombage à l'angle nord-ouest de la place Jean-Sénac.
    Passage couvert.
    Autre vue du passage couvert.

    Miélan conserve des éléments de l’architecture médiévale dont des maisons à colombage. Mais de nombreuses demeures ou bâtiments publics relèvent également du style Second Empire.

    La mairie-halle est bordée de bâtiments relevant des deux architectures dont plusieurs à arceaux. Une croix métallique rehaussée d'un coq et décorée d'éléments faisant référence à la crucifixion de Jésus de Nazareth (lance, tenailles, échelle...) lui est adossée. On accède à la rue Dargagnon par un passage couvert.

    Non loin d'une halle à l'architecture métallique, une ébénisterie ancienne a pour particularité d'être ornée de culs-de-lampe figurant des animaux.

    Édifices religieux

    La commune abrite quatre églises et une chapelle.

    • Dans le bourg central, l'église Saint-Barthélemy de Miélan est un édifice néogothique doté d'un imposant clocher néoroman visible au loin. Sa construction a commencé en 1869 mais, le clocher n'a été édifié qu'en 1900. Il est dit que depuis le haut du clocher on peut voir au loin la ville de Tarbes.
    • Elle est secondée, non loin, par la chapelle Saint-Jean de Miélan reconnaissable à son colombage. Celle-ci a été construite en 1823 à proximité de l'emplacement de l'église originelle.

    D'autres églises sont visibles dans les quartiers de Gauts, Forcet et Barbast.

    Le cimetière abrite plusieurs mausolées ou tombeaux remarquables.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à trois ruches d'or posées en bande.

    Un second blason existe figurant, de haut en bas, Miélan en lettres d'imprimerie majuscules noires sur un fond jaune, trois fleurs de lys sur un fond bleu et trois abeilles noires sur un fond blanc. Ils jouent sur l'analogie entre les termes « miel » et « Miélan » et rappellent l'intervention royale motivant la fondation de la ville.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF40101206)
    • Guy Sénac de Monsembernard, Églises et chapelles du canton de Miélan, dessins de Michèle de Cambiaire, Auch, Amis des églises anciennes du Gers, 1992, 72 p[26].
    • Guy Sénac de Monsembernard, « La Révolution à Miélan et dans son pays », dans Bulletin de la Société Archéologique du Gers[27]
    • Guy Sénac de Monsembernard, « Contribution à l'étude de l'émigration gersoise en Amérique au XIXe siècle : le cas d'Estampes-Castelfranc dans le canton de Miélan », dans Bulletin de la Société historique, archéologique et scientifique du Gers, 1993[28]
    • Guy Sénac de Monsembernard, « Fondation de Miélan », « Maires de Miélan », « Miélan, ville ducale », « Généalogie de la famille Dutroq », « Miélan à l'époque médiévale », « La bataille de Miélan de 1370 », « Les deux enceintes de la bastide de Miélan », « Les seigneurs de Miélan », « Notes historiques sur Goutz, Forcets, Barbast, Lazies, Monsaurin, Bazugues et Laas », dans Chronique d'une bastide : Miélan et ses environs, 1999 à 2008[29]

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    3. Plan séisme
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Mirande - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Miélan et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Mirande - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Miélan et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Site de la préfecture - Fiche de Miélan
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Paul Diffloth, Zootechnie : Chèvres, porcs, lapins, Encyclopédie agricole J. B. Baillière, & fils, 4e éd., 1918, p.190-196
    26. Notice BnF no 357096065
    27. Nicolas Guinaudeau, Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xe et le XVIe siècles, Bordeaux 3, 2012
    28. Gervais carpin, Le réseau du Canada : étude du mode migratoire de la France vers la Nouvelle-France, 1628-1662, Presses Paris Sorbonne, 2001
    29. Cahiers de la Bastide numéros 1 à 14, Cercle d'histoire et d'archéologie de Miélan
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