8e arrondissement de Paris

Le 8e arrondissement de Paris est l'un des 20 arrondissements de Paris. Situé sur la rive droite de la Seine, il est bordé à l'ouest par le 16e arrondissement, au nord par le 17e arrondissement, à l'est par les 9e et 1er arrondissements, et au sud par la Seine et par-delà le 7e arrondissement.

Ne doit pas être confondu avec Paris 8.

Pour les articles homonymes, voir 8e arrondissement.

8e arrondissement de Paris
« arrondissement de l'Élysée »

Une des deux fontaines de la Concorde.
Administration
Pays France
Ville Paris
Quartiers
administratifs
Champs-Élysées
Faubourg-du-Roule
Madeleine
Europe
Maire
Mandat
Jeanne d'Hauteserre
depuis 2014
Code postal 75008
Code Insee 75108
Démographie
Population 37 368 hab. (2017[1])
Densité 9 631 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 40″ nord, 2° 19′ 04″ est
Altitude Min. 29 m
Max. 59 m
Superficie 3,88 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Paris
8e arrondissement de Paris
Géolocalisation sur la carte : France
8e arrondissement de Paris

    Le 8e arrondissement est à la fois un haut lieu touristique et l'un de ceux où réside la haute bourgeoisie. Il accueille de nombreux commerces et hôtels de luxe, mais aussi de nombreux établissements financiers et sièges d'entreprises du CAC 40[réf. nécessaire]. C'est également un lieu de pouvoir, puisqu'il comprend le palais de l'Élysée et le ministère de l'Intérieur, ainsi que sept ambassades de pays du G20.

    Aux termes de l'article R2512-1 du Code général des collectivités territoriales (partie réglementaire), il porte également le nom d'« arrondissement de l'Élysée »[2], mais cette appellation est rarement employée dans la vie courante.

    Histoire

    La Seine était autrefois un vaste fleuve qui recouvrait une large part de l’actuel 8e arrondissement : tout le boulevard Haussmann, la gare Saint-Lazare et ses abords, la place Saint-Augustin, la rue La Boétie, le rond-point des Champs-Élysées et toute la partie sud de l'arrondissement depuis la place de l'Alma jusqu'à la place de la Concorde étaient alors recouverts par les eaux. Seuls les environs du faubourg Saint-Honoré entre la rue Royale et Saint-Philippe-du-Roule et la partie méridionale des boulevards entre la place de l'Étoile et la place de Clichy étaient émergés. La même situation se reproduisit à peu de chose près lors de la crue de la Seine de 1910[3].

    Le retrait progressif du fleuve transforma une bonne partie du secteur en un vaste marécage, traversé par un petit ruisseau qui descendait de Ménilmontant pour se jeter dans la Seine à la hauteur de l'actuel pont de l'Alma. Ces marécages constituaient une défense pour la population car ils étaient difficiles à franchir par d'éventuels assaillants. Ainsi, en 52 avant Jésus-Christ, l'armée gauloise de Camulogène dut contourner ces marais par le nord avant de livrer dans la plaine de Grenelle ou sur les contreforts de Passy la désastreuse bataille de Lutèce contre le lieutenant de Jules César, Labienus[4].

    Dans les premiers temps de la dynastie capétienne, une grande partie du territoire de l’actuel 8e arrondissement dépendait de la paroisse de Saint-Germain-l'Auxerrois, l'une des plus anciennes et, à l'époque, des plus vastes paroisses de Paris. En 1223, l'acte appelé forma pacis reconnaissait la suzeraineté de ces domaines à l'évêque de Paris, le roi se réservant les droits de justice sur les principales routes qui les traversaient.

    Dès la fin du XIe siècle, le nord de l'ancien marécage est alloué aux chanoines de Sainte Opportune qui se chargent de l'assainir et de le mettre en culture. La zone comprise entre la rue de Chaillot et la rue Montmartre est ainsi transformée en terres céréalières, puis bientôt cultivée de fruits et de légumes verts, cultures plus logiques à proximité d'une ville puisqu'elles ne supportent pas les longs transports. Le 8e devient ainsi, dès le Moyen Âge, une zone de maraîchage fournissant Paris en produits frais.

    À la fin du Moyen Âge, on trouve dans cette zone, couverte de bois et de garennes le long de la Seine, des champs et des jardins parsemés de quelques habitations au nord, trois hameaux :

    • un faubourg le long de la rue Saint-Honoré, appelé la Ville l'Évêque, en référence à la suzeraineté de l'évêque de Paris, desservi par l'église de la Madeleine de la Ville l'Évêque ;
    • le village du Roule, desservi par l'église Saint-Jacques-Saint-Philippe ;
    • le village de Chaillot.

    Leurs habitants, essentiellement des membres des couvents de Sainte-Marie-de-Chaillot et des Oratoriens, étaient connus pour exploiter des cultures maraîchères. Le ruisseau qui descendait de Ménilmontant s'est transformé en un égout à ciel ouvert, le Grand Égout.

    En 1616, la régente Marie de Médicis décide de faire aménager une longue allée bordée d'arbres en alignement avec le jardin des Tuileries, sur l'axe qu'empruntaient à cheval les premiers rois Capétiens à partir du Louvre pour aller chasser dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye : le cours la Reine.

    En 1667, le paysagiste André Le Nôtre, à la demande du jeune roi Louis XIV, prolonge cette coulée verte que l'on nommera Champs-Élysées à la fin du règne en 1709.

    Jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, l'« esplanade du Pont-Tournant », en référence à un pont de bois qui enjambait alors le fossé entre la terrasse des Tuileries et l'esplanade, reste encore un bourbier avant son aménagement à partir de 1755 sous le règne de Louis XV.

    L'esplanade sera d'ailleurs renommée « place Louis XV » en 1772, puis « place de la Révolution » en 1792, avant que Louis XVI et 1 119 autres personnes y soient guillotinées lors de la Révolution française. Avec la fin de la Terreur, le gouvernement décide de rebaptiser la place de la Révolution en place de la Concorde en 1795. La même année, la ville de Paris est divisée en douze arrondissements, la plupart du 8e actuel se situait alors dans l’Arrondissement I de l’époque.

    L’ouest parisien devint au XIXe siècle un lieu d'extension de la ville et de formidable spéculation immobilière, les financiers et la haute bourgeoisie se disputaient les hôtels particuliers du parc Monceau, du Faubourg Saint-Honoré et des Champs-Élysées, rejoints par les membres des milieux politiques, puis l'aristocratie qui désertait le Marais. On peut citer comme exemples le duc et surtout son épouse la duchesse d'Alençon, membres des familles royales de France et de Bavière, sœur de l'impératrice d'Autriche ("Sissi") et proche des dominicains de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, laquelle périt en 1897 lors de l'incendie du Bazar de la Charité qui se tenait rue Jean Goujon. Le couple demeurait alors Avenue de Friedland tandis qu'à la même époque le futur bienheureux Charles-Eugène de Foucauld de Pontbriand, avant de devenir l'ermite du Sahara, était paroissien de l'église Saint-Augustin et demeurait avec sa famille rue de Miromesnil.

    Avec l'annexion des faubourgs situés à l'extérieur de la ligne de fortifications en 1860 par la loi du , Paris passa de 12 à 20 arrondissements, divisés chacun en quatre quartiers. C’est le début du 8e arrondissement actuel reprenant une large moitié de l'ancien 1er arrondissement, avec les quartiers des Champs-Élysées, du Faubourg-du-Roule, de La Madeleine et de l’Europe.

    Économie

    Aujourd’hui, le 8e arrondissement abrite non seulement des lieux parmi les plus prestigieux voire emblématiques de la capitale française comme l'avenue des Champs-Élysées, l’Arc de Triomphe, le palais de l’Élysée ou bien l’église de la Madeleine, mais il est également le moteur économique de la capitale en concentrant plus de 180 000 emplois provenant essentiellement des activités financières, de service et de tourisme. C'est aussi un carrefour stratégique pour les transports en commun avec la gare Saint-Lazare, véritable hub pour l'ensemble des communes de l'ouest francilien.

    Si l’arrondissement représente plus de 11 % des emplois parisiens, il n’accueille en revanche que 1,8 % de ses habitants. Avec 9 974 hab./km2 en 2005, c’est l’arrondissement le moins densément peuplé de la capitale après le 1er arrondissement (9 699 hab./km2 en 2005).

    Voici quelques faits et chiffres pour illustrer la réputation du 8e arrondissement comme un haut lieu du chic, du luxe et de la bourgeoisie :

    • Il y avait 3,2 % de logements sociaux dans le 8e arrondissement en 2016. Ce chiffre est à comparer avec les 6,22 % de Neuilly-sur-Seine qui ont fait l’objet de polémiques.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 51 971€, ce qui place le 8e arrondissement au premier rang parmi les 20 arrondissements de Paris[5].

    Administration

    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire du 8e arrondissement de Paris sont les suivantes :

    Élection Territoire Titre Nom Tendance politique - Début de mandat Fin de mandat
    Municipales 8e arrdt de Paris Maire du 8e arrdt Jeanne d'Hauteserre LR mars 2014 mars 2020
    Municipales Ville de Paris (3 conseillers de Paris dans le 8e arrdt) Maire de Paris Anne Hidalgo PS mars 2014 mars 2020
    Législatives 1re circonscription Député Sylvain Maillard LREM

    Élus municipaux

    Le 8e arrondissement dispose de 13 élus municipaux, dont 3 conseillers de Paris[6].

    De 1983 à 2014, le maire du 8e arrondissement fut François Lebel (RPR, UMP puis CNIP), réélu à la suite de chaque élection municipale (1983, 1989, 1995, 2001 et 2008).

    Lors des élections municipales des 9 et 16 mars 2008, François Lebel, candidat de droite dissident et maire du 8e arrondissement, est arrivé en tête au premier tour (avec 35,51 % des suffrages exprimés). Il est réélu au second tour avec 48,55 % des voix face à Pierre Lellouche (31,82 %), candidat officiellement investi par l'UMP, et à la candidate socialiste Heidi Rancon-Cavenel (19,63 %)[7]. À la suite de ces élections, le maire François Lebel a été réélu maire de l'arrondissement.

    Lors des élections municipales des 23 et 30 mars 2014, Jeanne d'Hauteserre, candidate officiellement investie par l'UMP pour le 8e arrondissement, est arrivée en tête au premier tour (avec 46,61 % des suffrages exprimés). Elle est élue au second tour avec 56,44 % des voix face à Charles Beigbeder, candidat de droite dissident (24,20 %), et à la candidate socialiste Corine Barlis (19,35 %)[8]. Lors du premier conseil d'arrondissement le 13 avril 2014, Jeanne d'Hauteserre est élue officiellement Maire du 8e arrondissement de Paris[9].

    Conseillers de Paris au titre du 8e arrondissement

    Depuis mars 2014, les trois conseillers de Paris pour l'arrondissement sont Jeanne d'Hauteserre (Les Républicains, anciennement UMP), Pierre Lellouche (Les Républicains) et Catherine Lecuyer (UMP-PCD).

    Représentation politique

    Élus nationaux

    Autrefois terre d'élection de Maurice Couve de Murville, le député de la quatrième circonscription de Paris, dans laquelle est intégrée la totalité du 8e arrondissement, est Pierre Lellouche (UMP) depuis 1997.

    Liste des maires du 8e arrondissement

    Liste des maires successifs[13]
    ÉlectionIdentitéPartiNotes
    1860Abel Laurent
    1867Charles de Ladoucette
    1869Joachim AmbertGénéral Baron
    1870Lazare Carnot
    1871Charles Dalligny
    1879Alfred Koechklin-Schwartz
    1888Paul Beurdeley
    1905Antoine Allou
    1911Philippe MaréchalDocteur
    1926Louis Drucker
    1941Henri Berton
    1943Pierre Dasset
    1944Émile Moine
    1946Jean de Fez
    1963A. Robert Dupont
    1968Roger Monnet
    1977Pierre-Émile Pere
    1983François LebelCNIP
    2014Jeanne d'HauteserreUMP, LR

    Démographie

    En 2006, l'arrondissement avait 39 088 habitants pour une superficie de 388 hectares, soit une densité de 10 074 hab./km2. Sa population a été divisée par 2 en 50 ans et presque par 3 en un siècle. Il occupe le 16e rang des arrondissements au regard de la population alors que 1,8 % des 2 181 371 habitants recensés à Paris en 2006 y résident.

    Année
    (recensement national)
    Population Densité
    (habitants/km2)
    186169 814
    186670 259
    187275 79619 535
    1891 (pic de population)107 48527 695
    195480 82720 827
    196274 57719 216
    196867 89717 495
    197552 99913 656
    198246 40311 956
    199040 81410 516
    199939 31410 130
    200639 08810 074
    201140 589[14]10 461
    201737 368[1]9 631

    En 1999, les 39 314 habitants recensés étaient répartis selon les quatre quartiers administratifs comme suit :

    • Champs-Élysées : 4 610
    • Madeleine : 6 060
    • Faubourg-du-Roule : 10 004
    • Europe : 18 640

    Le quartier des Champs-Élysées est avant tout un quartier commercial prestigieux où s'affichent les grandes marques internationales, mais il abrite également un nombre important d'ambassades et de sièges d'entreprises. Le quartier du Faubourg-du-Roule est un quartier plus résidentiel, de sociologie proche des quartiers Ternes (17e) et Chaillot (16e). Il abrite le siège de nombreux établissements financiers (banques, assurances, cabinets d'avocats d'affaire). Le quartier de la Madeleine est un quartier intermédiaire mélangeant quartiers résidentiels et d'affaires autour de l'Opéra Garnier et le boulevard Malesherbes, commerces et hôtels de luxe autour de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, mais également des lieux de haute administration comme le palais de l'Élysée, le Ministère de l'Intérieur, les ambassades des États-Unis, de Grande-Bretagne et du Japon. Enfin, le quartier résidentiel et plus populaire de l'Europe accueille une classe moyenne supérieure comparable au quartier des Batignolles (17e). Il comprend cependant le parc Monceau réputé pour son côté huppé. Il abrite également la très empruntée gare Saint-Lazare et de nombreux commerces proches des grands magasins du 9e.

    Sur les 24 401 logements recensés en 1999, le 8e arrondissement compte 3 099 résidences secondaires et logements occasionnels, ce qui représente la plus forte proportion de ce type de logements à Paris. La part des acquéreurs étrangers dans l'immobilier du 8e est d'ailleurs de plus en plus importante et pourrait représenter d'ici quelques années la majorité des transactions. La tendance démographique de l'arrondissement est d'avoir une population moins importante, mais plus fortunée et étrangère.

    Population par quartier

    Les quartiers du 8e arrondissement.
    Année
    Population Densité
    (hab. par km2)
    Croissance
    annuelle depuis
    le dernier
    recensement
    1861 6 251 création
    Année
    Population Densité
    (hab. par km2)
    Croissance
    annuelle depuis
    le dernier
    recensement
    1861 16 203 création
    Année
    Population Densité
    (hab. par km2)
    Croissance
    annuelle depuis
    le dernier
    recensement
    1861 31 601 création
    Année
    Population Densité
    (hab. par km2)
    Croissance
    annuelle depuis
    le dernier
    recensement
    1861 18 784 création

    Principaux sites et édifices

    Le huitième arrondissement est un des hauts lieux de pouvoir à Paris. En plus du pouvoir politique représenté par le siège de la présidence de la République française au palais de l'Élysée et le ministère de l'Intérieur à l'Hôtel de Beauvau, il est aussi un lieu du pouvoir économique puisqu'il concentre plusieurs sièges d'entreprises du CAC 40 (Bouygues, Vivendi, LVMH, Hermès, L'Oréal et Sanofi)[15]. Il héberge de plus sept ambassades de pays du G20 : États-Unis, Canada, Brésil, Royaume-Uni, Chine, Japon et Arabie saoudite[15]. Il concentre aussi les groupes de réflexion, clubs et cercles très fermés de l'élite économique : Institut Montaigne, Club des Cent, Travellers Club, Jockey Club, Automobile Club de France et Cercle de l'Union interalliée[15].

    Cet arrondissement, en tant que lieu de résidence et de vie de la haute bourgeoisie, comporte par ailleurs de nombreuses boutiques et logements de luxe, en particulier dans le Triangle d'or, ainsi que de nombreux hôtels 5 étoiles (Le Bristol, l’Hôtel de Crillon, le Plaza Athénée, La Trémoille, le George-V, l'InterContinental Marceau, le Royal Monceau et le Fouquet's Barrière) et restaurants 3 étoiles (Pavillon Ledoyen, Fouquet's et Pierre Gagnaire)[15].

    La mairie, façade sur le boulevard Malesherbes
    Mairie, 3 rue de Lisbonne

    Culture

    Outre les nombreux sites architecturaux prestigieux, il convient de souligner la présence de sites culturels et artistiques réputés comme le Grand Palais et le Petit Palais, construits pour l'exposition universelle de 1900, le théâtre du Rond Point des Champs-Élysées inauguré en 1860, le théâtre Marigny bâti en 1883, ou l'Espace Pierre Cardin, ancien théâtre des ambassadeurs, mais également le théâtre Michel, le théâtre des Mathurins, le théâtre de la Madeleine et de nombreuses salles de spectacles comme le Lido ou le Crazy Horse Saloon. L'arrondissement compte également plusieurs musées de renommée mondiale comme le Petit Palais, le Grand Palais, le musée Cernuschi, le musée Nissim-de-Camondo, le musée Jacquemart-André. Il y a aussi le Palais de la découverte qui s'ouvre aux sciences.

    Principales avenues

    Plan du 8e arrondissement

    Quartiers administratifs

    1. Quartier des Champs-Élysées (29e quartier de Paris)
    2. Quartier du Faubourg-du-Roule (30e quartier de Paris)
    3. Quartier de la Madeleine (31e quartier de Paris)
    4. Quartier de l'Europe (32e quartier de Paris)

    Transports en commun

    Le 8e arrondissement est l'un des mieux desservis en transport en commun, l'offre est pléthorique. L'arrondissement comporte notamment la deuxième gare d'Europe (Paris-Saint-Lazare), la station de métro desservant cette gare (Saint-Lazare) est également la deuxième la plus fréquentée du réseau. Avec 16 lignes de bus, le pôle de Saint-Lazare est le plus important de Paris. Par ailleurs, l'arrondissement est traversé par la ligne de métro la plus fréquentée () et la ligne de RER la plus emprunté (), qui se trouve être la ligne ferroviaire la plus fréquentée d'Europe.

    Finalement, le 8e arrondissement compte :

    • 9 lignes de métro
    • 2 lignes de RER
    • 2 lignes de Transilien
    • 28 lignes de bus
    • 14 lignes de Noctilien

    L'arrondissement ne compte en revanche aucune ligne de tramway.

    Détails des stations et gares


    Détails des lignes


    RATP20212226272829303132424345526668727374 808492939495341

     N01 N02 N11 N15 N16 N24 N51 N52 N53 N150 N151 N152 N153 N154

    Personnalités nées et décédées dans l'arrondissement

    • Catégorie:Naissance dans le 8e arrondissement de Paris
    • Catégorie:Décès dans le 8e arrondissement de Paris

    Notes et références

    1. Population légale Insee au 1er janvier 2020 (population au 1er janvier 2017).
    2. Source : article R. 2512-1 du Code général des collectivités territoriales (partie réglementaire), sur Légifrance.
    3. Andrée Jacob et Jean-Marc Léri, Vie et histoire du VIIIe arrondissement, Paris, Éditions Hervas, 1991, p. 7.
    4. ibidem.
    5. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2011 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    6. (fr) Composition du conseil municipal du 8e arrondissement de Paris.
    7. (fr) Résultats des élections municipales de 2008 dans le 8e arrondissement de Paris sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur.
    8. « Résultats des élections municipales de mars 2014 dans le 8e arrondissement », sur Ministère de l'Intérieur (consulté le )
    9. « Compte-rendu du Conseil d'arrondissement du 13 avril 2014 », sur Mairie du 8e arrondissement, (consulté le ).
    10. « Tableau déterminant la composition du Conseil de Paris et des conseils d'arrondissement » [PDF], sur Préfecture d'Île-de-France, .
    11. « Populations légales 2012 - Commune de Paris (75056) », sur www.insee.fr, (consulté le ). À la fin de l'URL, remplacer 75056, le code INSEE de Paris, par celui de l'arrondissement désiré, 751XX, où XX varie de 01 à 20, pour obtenir les statistiques y correspondant.
    12. « Populations légales 2018 - Commune de Paris (75056) », sur www.insee.fr, (consulté le ). À la fin de l'URL, remplacer 75056, le code INSEE de Paris, par celui de l'arrondissement désiré, 751XX, où XX varie de 01 à 20, pour obtenir les statistiques y correspondant.
    13. Liste des maires du 8e arrondissement de Paris
    14. Population légale Insee au 1er janvier 2014 (population au 1er janvier 2011).
    15. « À Paris, la contestation gagne les lieux de pouvoir », sur Le Monde diplomatique, (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de Paris
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