Théâtre Édouard-VII
Le théâtre Édouard-VII, appelé aussi théâtre Édouard-VII - Sacha-Guitry, est situé à Paris entre la Madeleine et l'Opéra Garnier.
Type | Salle de spectacles |
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Lieu | Paris IXe, France |
Coordonnées | 48° 52′ 17″ nord, 2° 19′ 46″ est |
Architecte | M. Sprague |
Inauguration | 1913 |
Capacité | 720 |
Direction | Pascal Legros |
Site web | https://www.theatreedouard7.com |
Historique
Le square est ouvert en 1911 par Arthur Millon, fondateur de la Société de la rue Édouard-VII[1], à l’emplacement des remises et des écuries d’une compagnie de fiacres. Il ne pouvait trouver meilleur parrainage que celui du souverain d'Angleterre, dit « le plus parisien des rois anglais », le plus boulevardier de tous, à l’époque où le Boulevard se terminait chez Maxim’s. En bonne logique, c’est un architecte anglais, William Sprague, qui construit une salle de spectacle au centre de la place en 1913.
C'est tout d'abord un cinéma[2], exploité par un pionnier de l'industrie cinématographique, Charles Urban, qui y présente le Kinémacolor. Puis il cède la place aux représentations théâtrales en 1916 avec pour premier directeur Alphonse Franck[3], ancien directeur du théâtre des Capucines et du théâtre du Gymnase qui a racheté la salle en 1914.
Avec Sacha Guitry, une histoire d'amour
En octobre 1920, une déclaration d’amour attire le public au théâtre Édouard-VII : Je t'aime. Sacha Guitry se déclarait ainsi à Yvonne Printemps. Et tout Paris constate, ravi, cet amour « Nul printemps n’est plus délicieux que celui de Paris, mais quand il s’appelle Yvonne, il devient incomparable... il est impossible d’incarner plus exactement Paris »[4].
Pendant dix années, Sacha Guitry assure à ce théâtre une prospérité heureuse. Parmi les pièces qui y sont jouées se trouvent notamment Je t'aime, Le Comédien, Le Grand Duc, Jacqueline, Un sujet de roman, L'Amour Masqué, Le Lion et la Poule, pièce dans laquelle Lucien Guitry, son père, tient son dernier rôle, Une Étoile nouvelle, Mozart, Désiré et Mariette. De brillantes reprises que le public redemandait sans cesse et qui ravissaient les nouvelles générations : Le Mari, la Femme et l'Amant, Faisons un rêve, L'Illusionniste, Le Veilleur de nuit, Jean de La Fontaine et de nombreuses autres pièces mettant en scène les grands comédiens de l’époque.
Seule la maladie qui devait l’emporter empêcha Sarah Bernhardt de créer Un sujet de roman qu'elle répéta jusqu'à la veille de la générale. On peut aujourd’hui en voir l’unique affiche dans le grand foyer du théâtre.
Pendant les absences de ses pensionnaires, Alphonse Franck a coutume d’accueillir Lucien Guitry, qui incarne Arnolphe dans L'École des femmes, bouclant ainsi son cycle de personnages moliéresques après Tartuffe et Alceste.
Le , malgré les menaces et le chantage, Sacha Guitry fait sa rentrée dans Le Diable boiteux. Une fois encore, il s’impose et dix rappels consacrent la répétition générale.
La découverte du théâtre anglo-saxon et américain
Noël Coward joue en français sa pièce Joyeux Chagrins. Raymond Rouleau met en scène Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams avec Arletty. Orson Welles vient confirmer sa vocation à ce théâtre anglo-saxon, en 1950, il joue The Lobster en anglais pendant deux mois. Au cours d’une brève direction, Raymond Rouleau remet en scène l’un de ses grands succès Virage dangereux de John Boynton Priestley qu’il interprète avec Gaby Sylvia et Mylène Demongeot.
Le « Boulevard », toujours à l'honneur
Le théâtre Édouard-VII connaît alors de beaux soirs, les derniers d’une certaine forme de théâtre de Boulevard : L’Ile heureuse de Jean-Pierre Aumont que l’auteur joue avec la belle Maria Montez et Robert Murzeau. Fric-Frac d’Édouard Bourdet enthousiasme autant le public que Jean Cocteau, saluant le grand comédien : « Michel Simon dans Fric-Frac c’est énorme. Il dépasse la zone du théâtre, il survole l’intrigue, il aborde dans la région vierge où la critique ne fonctionne plus ; je ne sache pas qu’aucune gloire contemporaine puisse vous donner cette somme de réalisme et de songe ». Armand Salacrou avec la complicité d’Yves Robert fait jouer deux pièces en un même spectacle : Pourquoi pas moi et Poof... Robert Lamoureux se révèle un comédien d’instinct dans Ombre chère de Jacques Deval, comme Jean Richard dans Demeure chaste et pure et Darry Cowl dans Le Mari ne compte pas de Roger Ferdinand. Tandis que Jacques Deval fait déclarer à Jean-Pierre Aumont Il y a longtemps que je t'aime à Dora Doll.
En 2010, cinquante théâtres privés parisiens réunis au sein de l’Association pour le soutien du théâtre privé (ASTP) et du Syndicat national des directeurs et tourneurs du théâtre privé (SNDTP), dont fait partie le théâtre Édouard-VII, décident d'unir leur force sous une enseigne commune : les Théâtres parisiens associés[5].
1916 : Alphonse Franck
- 1916 : All right revue en 2 actes et 14 tableaux de Rip,
- 1917 : La Folle Nuit ou Le Dérivatif comédie musicale d'André Mouëzy-Éon et Félix Gandéra, musique Marcel Pollet, février
- 1917 : Son Petit Frère, opérette en 2 actes d'André Barde, musique Charles Cuvillier
- 1917 : Le Feu du voisin de Francis de Croisset, octobre
- 1917 : La Jeune Fille au bain de Louis Verneuil, octobre
- 1917 : La Petite Bonne d'Abraham, conte biblique en 3 actes d'André Mouëzy-Éon et Félix Gandéra, musique Marcel Pollet,
- 1917 : Il le faut ! de René Berton, Manon en voyage de Jules Massenet et Claude Terrasse, Rien qu'un d'André Pascales (pièces et opéra comique en 1 acte),
- 1919 : Phi-Phi d'Albert Willemetz et Henri Christiné, janvier
- 1919 : Le Loup dans la bergerie conte en 3 actes de Georges Manoir et Armand Verhyle d'après Balzac, mars
- 1919 : L'Enfantement du mort de Marcel L'Herbier,
- 1920 : L'École des satyres
- 1920 : L'Erreur d'une nuit d'été de Philippe Maquet, janvier
- 1920 : Je t'aime de Sacha Guitry,
- 1921 : Le Comédien de Sacha Guitry,
- 1921 : Le Cœur dispose de Francis de Croisset
- 1921 : Le Grand Duc de Sacha Guitry,
- 1921 : Faisons un rêve de Sacha Guitry
- 1921 : Jacqueline de Sacha Guitry adapté d'Henri Duvernois,
- 1922 : Jean de La Fontaine de Sacha Guitry,
- 1922 : Une petite main qui se place de Sacha Guitry,
- 1922 : Seul de Henri Duvernois,
- 1922 : Le Misanthrope de Molière
- 1923 : Un sujet de roman de Sacha Guitry,
- 1923 : L'Amour masqué comédie musicale de Sacha Guitry et André Messager,
- 1923 : Le Lion et la poule de Sacha Guitry,
- 1924 : La Danseuse éperdue de René Fauchois, mai
- 1924 : L'Âge de raison de Paul Vialar,
- 1924 : L'École des femmes de Molière, mise en scène Lucien Guitry,
- 1924 : Une étoile nouvelle de Sacha Guitry,
- 1925 : On ne joue pas pour s'amuser de Sacha Guitry,
- 1925 : Mozart de Sacha Guitry, musique Reynaldo Hahn, 1er décembre
- 1926 : A vol d'oiseau de Sacha Guitry et Albert Willemetz
- 1926 : Souris d'hôtel de Paul Armont et Marcel Gerbidon
- 1926 : The Co-Optimiste de Melville Gideon
- 1927 : Knock Out de Jacques Natanson et Jacques Théry, mars
- 1927 : Désiré de Sacha Guitry,
- 1927 : Jean de La Fontaine de Sacha Guitry,
- 1927 : La Vagabonde de Colette
- 1928 : Mariette ou Comment on écrit l'histoire de Sacha Guitry,
- 1929 : L'Amoureuse Aventure de Paul Armont et Marcel Gerbidon, mise en scène Jacques Baumer,
1929 : Louis Verneuil
En 1929, Louis Verneuil succède à Alphonse Franck pour six mois.
- 1929 : Mademoiselle ma mère de Louis Verneuil
- 1929 : Azaïs de Louis Verneuil
- 1929 : Le Grand Voyage de Robert Cedric Sherriff,
- 1929 : Tu m'épouseras ! de Louis Verneuil
- 1930 : Miss France de Georges Berr et Louis Verneuil,
1930 : Maurice Lehmann
En 1930, Maurice Lehmann devient le nouveau directeur jusqu'en 1931 où le théâtre redevient un cinéma.
- 1930 : Le Rendez-vous de Marcel Achard,
- 1930 : L'Assemblée des femmes de Maurice Donnay d'après Aristophane,
1931 : Victor Francen
- 1931 : Les Trois Chambres d'Henri-René Lenormand,
- 1931 : Monsieur de Saint-Obin d'André Picard et Harold Marsh Harwood
- 1931 : Déodat d'Henry Kistemaeckers,
1931 : Alphonse Franck
Fin 1931, la Twentieth Century Fox reprend la salle en cinéma.
- 1938 : L'Écurie Watson de Terence Rattigan, adaptation Pierre Fresnay et Maurice Sachs
1941 : Robert Gallois
En 1940, nouveau retour au théâtre.
- 1940 : L'Insoumise de Pierre Frondaie,
- 1941 : Marché noir de Steve Passeur, mise en scène Camille Corney,
- 1941 : Arsène Lupin de Francis de Croisset et Maurice Leblanc,
- 1942 : Les J3 ou la nouvelle école de Roger-Ferdinand, mise en scène Jacques Baumer
- 1942 : Jeunesse de Paul Nivoix,
- 1942 : Une belle histoire de Guy Rotter
- 1942 : L'Honnête Florentine d'Henri Chabrol
1943 : Jean-Michel Renaitour et Jacqueline Heusch
- 1943 : L'Affranchi de Charles Méré
- 1943 : La Tragédie d'Alexandre de Paul Demasy
1944 : Pierre Béteille
- 1944 : Le Roi Christine de Marcelle Maurette,
- 1944 : Andromaque de Jean Racine, mise en scène Jean Cocteau,
- 1944 : Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, adaptation Georges Neveux
- 1944 : Les Plus Beaux Yeux du monde de Jean Sarment
- 1945 : Sérénade à trois de Noël Coward, janvier
- 1945 : Tristan et Iseult de Lucien Fabre, mise en scène Alfred Pasquali,
- 1945 : Les Dames de Niskala d'Hella Wuolijoki
- 1946 : Les Derniers Seigneurs de Roger Ferdinand, mise en scène Jacques Baumer, mars
- 1946 : Les Pères ennemis de Charles Vildrac, mise en scène Georges Vitaly,
- 1946 : Le Dibbouk de Shalom Anski, mise en scène André Marcovici, décembre
- Bichon de Jean de Létraz, avec Pierre Bertin
- Le Gâteau des Rois de Marcelle Capron
- 1947 : Des souris et des hommes adaptation Marcel Duhamel d'après John Steinbeck, mise en scène Paul Œttly,
- 1947 : L'Amour vient en jouant de Jean Bernard-Luc, mise en scène Pierre-Louis,
- 1947 : Des hommes viendront pièce de Roger Saltel, 1er juillet
- 1948 : Le Diable boiteux de Sacha Guitry, mise en scène de l'auteur,
- 1948 : La Savetière prodigieuse d'après Federico García Lorca, mise en scène Pierre Bertin,
- 1948 : Joyeux Chagrins d'après Noël Coward, adaptation André Roussin et Pierre Gay, mise en scène Louis Ducreux,
- 1948 : Shéhérazade de Jules Supervielle, mise en scène Jean Vilar, Festival d'Avignon, août
- 1948 : Les Enfants d'Édouard de Frederic Jackson et Roland Bottomley, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean Wall, novembre
- La Huitième Femme de Barbe-Bleue de Charlton Andrews, adaptation Alfred Savoir
- 1949 : Le Silence de la mer d'après Vercors, mise en scène Jean Mercure,
- 1949 : Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams, adaptation Jean Cocteau, mise en scène Raymond Rouleau,
- 1950 : Cabrioles de Roger Ferdinand
- 1950 : Time Runs d'Orson Welles d'après Faust de Dante, Milton, Christopher Marlowe, mise en scène de l'auteur,
- 1950 : The Blessed and the damned et The Unthinking Lobster, (Le homard qui ne pense à rien) d'Orson Welles, mise en scène de l'auteur,
- 1950 : Poof d'Armand Salacrou, mise en scène Yves Robert,
- 1950 : Pourquoi pas moi d'Armand Salacrou, mise en scène Jacques Dumesnil,
- 1950 : Le Château du carrefour d'Odette Joyeux, décembre
- 1951 : L'Ile heureuse de Jean-Pierre Aumont, mise en scène Pierre Dux, janvier
- 1951 : Ce monde n'est pas fait pour les anges de Pascal Bastia
- 1951 : Tapage nocturne de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean Wall
1951 : Elizabeth Hijar
- 1951 : Les Innocents de William Archibald, mise en scène Roland Piétri
- 1951 : Ombre chère de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur,
- 1953 : Demeure chaste et pure de George Axelrod, adaptation Jacques Deval, mise en scène Jacques Deval,
- 1954 : Souviens-toi mon amour d'André Birabeau, mise en scène Pierre Dux
- 1955 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Jean Le Poulain,
- 1955 : Isabelle et le pélican de Marcel Franck, mise en scène Marc Camoletti,
- 1955 : Témoin à charge d'Agatha Christie, mise en scène Pierre Valde,
- 1955 : Le Système deux de Georges Neveux, mise en scène René Clermont
- Fric-Frac d'Édouard Bourdet,
- 1955 : La Cuisine des anges d'Albert Husson, mise en scène Christian-Gérard
- 1955 : Zamore de Georges Neveux, mise en scène Henri Soubeyran
- 1956 : La Nuit du d'Albert Husson, mise en scène Christian-Gérard
- 1956 : Le Mari ne compte pas de Roger-Ferdinand, mise en scène Jacques Morel, avril
- 1957 : Une femme trop honnête d'Armand Salacrou, mise en scène Georges Vitaly
- 1957 : Le Monsieur qui a perdu ses clefs de Michel Perrin, mise en scène Raymond Gérôme,
1958 : Raymond Rouleau
- 1958 : Oncle Otto de Jacques Mauclair, mise en scène de l'auteur
- 1958 : Nous entrerons dans la carrière de René Catroux, mise en scène Raymond Rouleau
- 1958 : Virage dangereux de John Boynton Priestley, mise en scène Raymond Rouleau,
1958 : Claude Génia
À partir de 1958, Claude Génia prend la responsabilité du théâtre. À travers de nouvelles pièces mémorables comme L’Année du bac, Jours heureux, Bonheur, impair et passe… elle nous fait découvrir une nouvelle génération d’acteurs : Sami Frey, Francis Nani, Jacques Perrin, Roger Dumas, Juliette Gréco, Daniel Gélin, Michel de Ré, Jean-Louis Trintignant, Marthe Mercadier, Jean Le Poulain...
- 1958 : Lady Godiva de Jean Canolle, mise en scène Michel de Ré
- 1958 : L'Enfant du dimanche de Pierre Brasseur, mise en scène Pierre Valde,
- 1958 : L’Année du bac de José-André Lacour, mise en scène Yves Robert,
- 1960 : Carlota de Miguel Mihura, adaptation Emmanuel Robles, mise en scène Jacques Mauclair,
- 1960 : De doux dingues de Michel André d'après Joseph Carole, mise en scène Jean Le Poulain
- 1961 : Huit Femmes de Robert Thomas, pièce brillamment remise au goût du jour par le réalisateur de cinéma François Ozon, Huit Femmes, , mise en scène Jean Le Poulain,
- 1962 : Bichon de Jean de Létraz, mise en scène Jean Meyer,
- 1963 : Sémiramis de Marc Camoletti, mise en scène Michel de Ré,
- 1963 : L'Âge idiot de Jean Meyer, mise en scène Maurice Guillaud,
- 1964 : Bonheur, impair et passe de Françoise Sagan, mise en scène de l'auteur avec Claude Régy,
- 1964 : Tim de Pol Quentin d'après Paul Osborn, mise en scène Jacques-Henri Duval,
- 1964 : Le Journal d'un fou de Nicolas Gogol, mise en scène François Perrot et Roger Coggio
- 1964 : Le Deuxième Coup de feu de Robert Thomas, mise en scène Pierre Dux,
- 1965 : Pourquoi pas Vamos de Georges Conchon, mise en scène Jean Mercure
- 1965 : Les Bargasses de Marc'O, mise en scène de l'auteur,
- 1965 : La Nuit de Lysistrata d'Aristophane, mise en scène Gérard Vergez,
- 1965 : Les Filles de Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, avril
- 1965 : Chat en poche de Georges Feydeau, mise en scène Jean-Laurent Cochet
- 1966 : Faust de Christopher Marlowe, mise en scène Jean-Louis Andrieux, 1er juin
1966 : Wilfrid Dodd
En 1967 Francis Veber fait jouer sa première pièce L’Enlèvement. Simone Valère et Jean Desailly interprètent Double Jeu de Robert Thomas avant que Robert Lamoureux, avec Françoise Rosay, ne présente La Soupière, drolatique comédie. Le grand comédien Claude Dauphin fut un extraordinaire Shylock dans Le Marchand de Venise adapté par Thierry Maulnier avant que Madame Elvire Popesco ne reprenne La Mamma d’André Roussin, comme toujours soulevant l’enthousiasme des salles.
- 1966 : Ange pur de Gaby Bruyère, mise en scène Francis Joffo
- 1966 : Seule dans le noir de Frederick Knott, adaptation Raymond Castans, mise en scène Raymond Rouleau,
- 1966 : La Polka des lapins de Tristan Bernard, mise en scène Nicole Anouilh
- 1967 : Xavier de Jacques Deval, mise en scène Jacques-Henri Duval
- 1967 : Frédéric de Robert Lamoureux, mise en scène Pierre Mondy
- 1968 : Des enfants de cœur de François Campaux, mise en scène Christian-Gérard
- 1968 : L'Amour propre de Marc Camoletti, mise en scène de l'auteur,
- 1968 : L’Enlèvement de Francis Veber, mise en scène Jacques Fabbri,
- 1969 : Voyage à trois de Jean de Letraz, mise en scène Robert Manuel,
- 1969 : L'Assassinat de Sister George de Franck Marcus, adaptation Jean Cau, mise en scène Andréas Voutsinas,
- 1969 : Les Garçons de la bande de Mart Crowley, mise en scène Jean-Laurent Cochet,
1970 : Robert Thomas
- 1970 : Le Marchand de Venise de William Shakespeare, mise en scène Marcelle Tassencourt
- 1970 : Double Jeu de Robert Thomas, mise en scène Jacques Charon,
- 1971 : Le Train de l'aube de Tennessee Williams, mise en scène Jean-Pierre Laruy,
- 1971 : La Soupière de Robert Lamoureux, mise en scène Francis Joffo et Robert Lamoureux
- 1971 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène Jacques Charon
- 1972 : En avant... toute ! de Michel André, mise en scène Michel Roux
- 1974 : La Mamma d'André Roussin, mise en scène de l'auteur
- 1975 : Viens chez moi, j'habite chez une copine de Luis Rego et Didier Kaminka, mise en scène Jean-Luc Moreau
Au théâtre ce soir
- 1974 :
- Hélène ou la Joie de vivre d'André Roussin et Madeleine Gray, mise en scène René Clermont,
- Pluie de John Colton et Clemence Randolph d'après Somerset Maugham, adaptation E.R. Blanchet et Horace de Carbuccia, mise en scène René Clermont,
- 1975 :
- Le Système Ribadier de Georges Feydeau, mise en scène Robert Manuel, 1er février
- Dix minutes d'alibi d'Anthony Armstrong, adaptation Maurice Renault, mise en scène Jacques Ardouin,
- La Nuit du 16 janvier d'Ayn Rand, adaptation Marcel Dubois, mise en scène André Villiers,
- La Complice de Jacques Rémy d'après un roman de Louis C. Thomas, mise en scène Jacques Ardouin,
- Trésor party de Bernard Régnier d'après Pelham Grenville Wodehouse, mise en scène Jacques Ardouin,
- Chat en poche de Georges Feydeau, mise en scène Jean-Laurent Cochet,
- Demandez Vicky de Marc-Gilbert Sauvajon d'après Alan Melville et Fred Schiller, mise en scène Jacques-Henri Duval,
- Le Pape kidnappé de João Bethencourt, adaptation André Roussin, mise en scène René Clermont,
- La Facture de Françoise Dorin, mise en scène Jacques Charon,
- Ah ! La Police de papa ! de Raymond Castans, mise en scène Jacques Charon,
- Quelqu'un derrière la porte de Jacques Robert, mise en scène André Villiers,
- Le noir te va si bien de Jean Marsan d'après Saul O'Hara, mise en scène Jean Le Poulain,
- Le Nu au tambour de Noel Coward, adaptation Albert Husson, mise en scène Jacques-Henri Duval et Jean Degrave,
- Les Hannetons d'Eugène Brieux, mise en scène René Clermont,
- Un homme d'action de William Dinner et William Morum, adaptation Pol Quentin, mise en scène Grégoire Aslan,
- Il était une gare de Jacques Deval, mise en scène Jacques Mauclair,
- Le Sourire de la Joconde d'Aldous Huxley, adaptation Georges Neveux, mise en scène Raymond Gérôme,
- La Mandragore de Roland Jouve d'après Machiavel, mise en scène Jacques Ardouin,
- Inspecteur Grey d'André Faltianni et Alfred Gragnon, mise en scène Robert Manuel,
- Mon cœur balance de Michel Duran, mise en scène Claude Nicot,
- Monsieur Silence de Jean Guitton, mise en scène Christian Alers, 1er novembre
- Les Derniers Outrages de Robert Beauvais, mise en scène Michel Roux,
- Lady Godiva de Jean Canolle, mise en scène Michel de Ré,
- On croit rêver de Jacques François, mise en scène de l'auteur,
- Le Moulin de la galette de Marcel Achard, mise en scène Max Fournel,
- La Rabouilleuse d'Émile Fabre d'après Honoré de Balzac, mise en scène Robert Manuel,
- 1976 :
- Le Pirate de Raymond Castans, mise en scène Jacques Sereys,
- Sacrés Fantômes de Eduardo De Filippo, mise en scène Jean Michaud,
- Seul le poisson rouge est au courant de Jean Barbier et Dominique Nohain, mise en scène Dominique Nohain,
- La Sainte Famille d'André Roussin, mise en scène Georges Vitaly,
- Am-Stram-Gram d'André Roussin, mise en scène Claude Nicot,
- La Bagatelle de Marcel Achard, mise en scène Jean Meyer,
- Fanny et ses gens de Jerome K. Jerome, adaptation André Méry et Pierre Scize, mise en scène Raymond Gérôme,
- Le Guilledou de Michael Clayton Hutton, adaptation Constance Coline, mise en scène Robert Manuel,
- Week-end de Noel Coward, adaptation André Méry et Antoine Bibesco, mise en scène Jacques Ardouin,
- Le monsieur qui attend d'Emlyn Williams, adaptation André Roussin, mise en scène Georges Vitaly,
- La Charrette anglaise de Georges Berr et Louis Verneuil, mise en scène Jean-Laurent Cochet,
- Xavier ou l'héritier des Lancestre de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel,
- Le Cœur sous le paillasson d'Harold Brooke et Kay Bannerman, adaptation Alexandre Breffort, mise en scène Michel Vocoret,
- La Femme de paille de Catherine Arley, mise en scène Raymond Gérôme,
- L'Héritière de Ruth Goetz et Augustus Goetz, adaptation Louis Ducreux, mise en scène René Clermont,
- Un mois à la campagne d'Ivan Tourgueniev, adaptation Albert Husson, mise en scène Jean Meyer,
- La Frousse de Julien Vartet, mise en scène René Clermont,
- Le Coin tranquille de Michel André, mise en scène Michel Vocoret,
- Une femme presque fidèle de Jacques Bernard, mise en scène Jacques Mauclair,
- Le Monsieur qui a perdu ses clés de Michel Perrin, mise en scène Robert Manuel,
- Attends-moi pour commencer de Joyce Rayburn, adaptation Jean Marsan, mise en scène Michel Roux,
1976 : Simone Valère et Jean Desailly
Pendant deux saisons, Simone Valère et Jean Desailly se dépensent sans compter à la direction du théâtre Édouard-VII pour défendre un répertoire qui leur est cher de Jean Giraudoux avec Amphitryon 38 à Ibsen avec L’Ennemi du peuple.
- 1976 : Dis-moi, Blaise d'après Blaise Cendrars, mise en scène Michel Bertay, septembre
- 1976 : Amphitryon 38 de Jean Giraudoux, mise en scène Jean-Laurent Cochet,
- 1977 : Un ennemi du peuple de Henrik Ibsen, mise en scène Étienne Bierry
1978 : Pierre Bergé
Le répertoire s’enrichit sous la direction de Pierre Bergé avec la création de Nous ne connaissons pas la même personne de François-Marie Banier et de Navire Night de Marguerite Duras. En engageant Robert Hirsch en 1979, il donne à ce grand comédien l’occasion de retrouver le succès personnel qui ne l’avait jamais quitté lors de sa longue carrière à la Comédie-Française. Robert Hirsch rencontre l’un de ses meilleurs rôles avec le plus franc succès dans Deburau. Pendant près de deux saisons, il joue un plus grand nombre de fois que Sacha Guitry lui-même.
- 1978 : Nous ne connaissons pas la même personne de François-Marie Banier, mise en scène Pierre Boutron,
- 1979 : Navire Night de Marguerite Duras, mise en scène Claude Régy,
- 1979 : Le Mort de Georges Bataille, mise en scène Claude Régy,
- 1979 : Le Piège d'Ira Levin, mise en scène Riggs O'Hara,
- 1979 : Chat en poche de Georges Feydeau, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Thierry Le Luron
- 1980 : Deburau de Sacha Guitry, mise en scène Jacques Rosny,
1981 : Jacqueline Cormier
Philippe Caubère apparaît pour la première fois sur une scène parisienne en janvier 1982, dans sa magnifique Danse du Diable.
La même année Edwige Feuillère choisit le théâtre Édouard-VII pour y effectuer sa rentrée dans La Dernière Nuit de l’été.
Avec Jacqueline Cormier à la direction du théâtre, Jean Poiret et Maria Pacôme jouent Joyeuses Pâques, qui a confirmé son auteur Jean Poiret dans la lignée des rares successeurs de Sacha Guitry.
1983, année faste pour Strindberg qui connait ici son plus grand et seul succès populaire à Paris avec Mademoiselle Julie brillamment interprété par Niels Arestrup et Fanny Ardant après Isabelle Adjani.
Précédant l’année de son centenaire, Sacha Guitry revient chez lui, grâce à Jean-Claude Brialy et Marie-José Nat, reformant un couple inoubliable pour Désiré.
Avec Chapitre II de Noël Simon, remarquablement adapté par Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy et mis en scène par Pierre Mondy, c’est la rentrée théâtrale de Mireille Darc avec Jean Piat. Quant à la reprise tant souhaitée de La Répétition ou l’Amour puni de Jean Anouilh, il suffit de relire Pierre Marcabru pour se souvenir du rare bonheur de cette représentation : «... une liberté d’humeur et d’esprit et un plaisir de dire et d’entendre qui échappent à la vieille pesanteur du monde. On est ailleurs. » C’est-à-dire au paradis du Théâtre avec Pierre Arditi, Emmanuelle Béart, Anny Duperey, Bernard Giraudeau et Béatrice Agenin, dans une mise en scène de Bernard Murat. Les Clients nous laissent dans les mêmes sphères : « une pièce assez insolite et qui touche des zones sensibles... bascule dans une espèce de chef-d'œuvre. » (Michel Cournot) dû à Jean Poiret qui l’interprète avec une maîtrise tragi-comique qui lui est propre, avec Françoise Fabian, dans une mise en scène de Bernard Murat.
Paris découvre émerveillé l’adaptation anglaise du classique français Les Liaisons dangereuses avec Bernard Giraudeau et Caroline Cellier. La saison se termine brillamment en mai 1989 par Un mois à la campagne, comédie dramatique de Tourgueniev, avec Isabelle Huppert, dans une mise en scène de Bernard Murat.
- 1982 : La Danse du diable de Philippe Caubère, janvier
- 1982 : La Dernière Nuit de l'été d'Alexei Arbuzov, mise en scène Yves Bureau
- 1983 : Mademoiselle Julie d'August Strindberg, adaptation Boris Vian, mise en scène Andréas Voutsinas,
- 1983 : Joyeuses Pâques de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy
- 1984 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy
- 1984 : Treize à table de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène René Clermont
- 1985 : Chapitre II de Neil Simon, adaptation Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Pierre Mondy,
- 1986 : La Répétition ou l'Amour puni de Jean Anouilh, mise en scène Bernard Murat
- 1986 : Les Clients de Jean Poiret, mise en scène Bernard Murat
- 1987 : Époque épique de Bernard Haller et Jean-Claude Carrière, avec Bernard Haller
- 1988 : Les Liaisons dangereuses de Christopher Hampton d'après Choderlos de Laclos, mise en scène Gérard Vergez,
- 1988 : Glengarry Glen Ross de David Mamet, mise en scène Marcel Maréchal,
1989 : Julien Vartet
En octobre 1989, la saison débute avec un nouveau directeur, Julien Vartet et nombre de comédies vaudevilles dont il est l’auteur : Point de feu sans fumée, Décibel, La Frousse, Archibald. Ces comédies alternent avec une programmation éclectique : une heureuse reprise des Maxibules, pièce oubliée de Marcel Aymé qui a contribué à remettre cet auteur en lumière.
La réhabilitation théâtrale de Jules Renard grâce à la complicité d’Anny Duperey, Bernard Giraudeau et Bernard Murat pour une reprise triomphale de Le Plaisir de rompre et Le Pain de ménage de Jules Renard.
Fin octobre 1994, la saison débute par deux pièces de Georges Feydeau, On purge bébé et Feu la Mère de Madame avec notamment Muriel Robin, Pierre Richard et Darry Cowl, dans une mise en scène de Bernard Murat.
Julien Vartet entreprit d’importants travaux. Le théâtre lui doit aujourd’hui d’être climatisé et entièrement réhabilité.
- 1989 : Un mois à la campagne d’Ivan Tourgueniev, mise en scène Bernard Murat, janvier
- 1989 : Point de feu sans fumée de Julien Vartet, mise en scène Jean-Paul Tribout
- 1990 : Les Maxibules de Marcel Aymé, mise en scène Gérard Savoisien
- 1990 : Le Plaisir de rompre et Le Pain de ménage de Jules Renard, mise en scène Bernard Murat
- 1991 : Décibel de Julien Vartet, mise en scène Gérard Savoisien
- 1991 : Jeanne et les juges de Thierry Maulnier, mise en scène Marcelle Tassencourt
- 1991 : Même heure l'année prochaine de Bernard Slade, mise en scène Roger Vadim
- 1992 : Les Enfants d’Édouard de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean-Luc Moreau
- 1993 : La Frousse de Julien Vartet, mise en scène Raymond Acquaviva
- 1993 : Toâ de Sacha Guitry, mise en scène Stéphane Hillel
- 1993 : Durant avec un T de Julien Vartet, mise en scène Daniel Colas
- 1994 : La Nuit à Barbizon de Julien Vartet, mise en scène Gérard Savoisien
- 1994 : On purge bébé et Feu la mère de Madame de Georges Feydeau, mise en scène Bernard Murat
- 1994 : Décibel de Julien Vartet, mise en scène Gérard Savoisien,
- 1995 : Archibald de Julien Vartet, mise en scène Daniel Colas,
- 1998 : Les Cinémas de la rue d'Antibes de Julien Vartet, mise en scène de l'auteur,
- 1999 : Archibald de Julien Vartet, mise en scène Jacqueline Bœuf,
2001 : Bernard Murat et Jean-Louis Livi
Après une année de fermeture, le théâtre ouvre ses portes en septembre 2001 sous la codirection de Bernard Murat et de Jean-Louis Livi.
- 2001 : La Jalousie de Sacha Guitry, mise en scène Bernard Murat, avec Michel Piccoli, Anne Brochet, Stéphane Freiss et Annick Alane,
- 2002 : Sarah de John Murrell, adapté par Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Bernard Murat, avec Robert Hirsch et Fanny Ardant puis Anny Duperey,
- 2003 : Petits crimes conjugaux de Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Bernard Murat, avec Bernard Giraudeau et, pour la première fois au théâtre, Charlotte Rampling,
- 2003 : L'Invité, première pièce de David Pharao, mise en scène Jean-Luc Moreau, Patrick Chesnais, Evelyne Buyle et Philippe Khorsand,
- 2004 : Lunes de miel, comédie de Noël Coward, adaptée par Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Bernard Muratqui restera à l’affiche pour quelque 250 représentations brillamment interprétées par le couple que forment Pierre Arditi et Evelyne Bouix,
- 2005 : Amitiés sincères de François Prévôt-Leygonie et Stéphan Archinard, mise en scène Bernard Murat, avec Bernard Murat et Michel Leeb,
- 2005 : Mémoires d'un tricheur de Sacha Guitry, adapté, mis en scène et joué par Francis Huster,
- 2006 : Deux sur la balançoire de William Gibson, adaptation Jean-Loup Dabadie, mise en scène Bernard Murat, avec Alexandra Lamy et Jean Dujardin,
- 2006 : Le Vieux Juif blonde première œuvre théâtrale d'Amanda Sthers, d’abord interprétée par Mélanie Thierry et mise en scène par Jacques Weber, puis jouée par Fanny Valette sous la direction de Bernard Murat,
- 2006 : Les Grandes Occasions de Bernard Slade, mise en scène Bernard Murat, avec Clémentine Célarié et Jean Reno
- 2007 : L'Idée fixe de Paul Valéry, jouée pour la seconde fois, quelque 20 ans après, par les deux compères Pierre Arditi et Bernard Murat, mise en scène Bernard Murat,
2007 : Bernard Murat
En septembre 2007, le théâtre Édouard-VII célèbre l’année Guitry (1885-1957) avec deux spectacles :
- 2007 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène Bernard Murat, avec « Les Brasseur » , Claude et Alexandre jouant ensemble pour la première fois, comme Lucien et Sacha Guitry avant eux,
- 2007 : Un type dans le genre de Napoléon, quatre pièces de Sacha Guitry inédites en un acte, mise en scène Bernard Murat, interprétées par Martin Lamotte entouré entre autres par Florence Pernel et Chloé Lambert,
Tous les spectacles qui suivent sont mis en scène par Bernard Murat, désormais seul aux commandes du théâtre :
- 2008 : Tailleur pour dames de Georges Feydeau, mise en scène Bernard Murat
- 2008 : Faisons un rêve de Sacha Guitry, mise en scène Bernard Murat,
- 2009 : L'Éloignement de Loleh Bellon, mise en scène Bernard Murat
- 2009 : Sentiments provisoires de Gérald Aubert, mise en scène Bernard Murat,
- 2010 : Audition de Jean-Claude Carrière, mise en scène Bernard Murat,
- 2010 : Le Prénom de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, mise en scène Bernard Murat,
- 2011 : Le Paradis sur terre de Tennessee Williams, mise en scène Bernard Murat,
- 2011 : Quadrille de Sacha Guitry, mise en scène Bernard Murat
- 2012 : Le Dindon de Georges Feydeau, mise en scène Bernard Murat,
- 2012 : Comme s'il en pleuvait de Sébastien Thiéry, mise en scène Bernard Murat
- 2014 : La Porte à côté de Fabrice Roger-Lacan avec Emmanuelle Devos et Édouard Baer, mise en scène par Bernard Murat
- 2015 : Le Mensonge de Florian Zeller avec Pierre Arditi, Evelyne Bouix, Josiane Stoléru et Jean-Michel Dupuis, mise en scène par Bernard Murat
- 2017 : La Vrai Vie avec Pierre Arditi, mise en scène par Bernard Murat
2018 : Pascal Legros
- 2018 : Le Prénom de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, mise en scène Bernard Murat, du au
- 2018 : Jules Verne - La Comédie Musicale de Nicolas Nebot et Dominique Mattei, mise en scène Nicolas Nebot, du au
- 2018 : Mec ! avec Philippe Torreton et musiciens, Octobre à
- 2018 : Les chats du hasard, de Anne Duperey, du au
- 2019 : Encore un instant ! De Fabrice Roger-Lacan, avec Michèle Laroque, Lionel Abelanski, François Berléand et Vinnie Dargaud, mise en scène Bernard Murat, de Janvier à
Notes et références
- Statuts de la Société de la rue Édouard-VII, 1910
- Rubrique histoire sur le site du théâtre, consultée le 23 juillet 2009.
- Brochure no 7 de la série Au théâtre ce soir éditée par Polygram Collections.
- Nombre des citations sont extraites de Grandes heures de théâtres à Paris de Jacques Crépineau (Librairie Académique Perrin)
- Le théâtre Édouard-VII sur le site officiel des Théâtres parisiens associés.