Michel Piccoli
Jacques Daniel Michel Piccoli, dit Michel Piccoli, est un acteur français, né le dans le 13e arrondissement de Paris (Seine)[1] et mort le [2],[3] à Saint-Philbert-sur-Risle (Eure)[4].
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Biographie
Enfance et formation
Michel Piccoli est le fils d'Henri Piccoli, violoniste, de lointaine origine tessinoise[5] et de Marcelle Expert-Bezançon (1892-1990)[6], pianiste, elle-même fille de l'industriel et homme politique français Charles Expert-Bezançon.
Il a « une enfance assez compliquée. C'est un enfant de remplacement, qui est venu remplacer son frère aîné décédé[7]. » Il est placé dans un établissement pour enfants à problèmes où il se retrouve « dans une situation de liberté totale »[7].
Les engagements du jeune Piccoli, notamment politiques et « contre le monde de l'argent », se comprennent par l'opposition à la personnalité de son grand-père, sénateur de la IIIe République, financier du Parti radical, et important industriel de la peinture, accusé par la gauche syndicale et Georges Clemenceau, d'avoir intoxiqué des ouvriers à travers le blanc de plomb qui donnait le saturnisme[7].
Michel Piccoli suit une formation de comédien d'abord auprès d'Andrée Bauer-Théraud puis au cours Simon[8].
Carrière
Après une apparition en tant que figurant dans Sortilèges de Christian-Jaque en 1945[8], Michel Piccoli débute au cinéma dans Le Point du jour de Louis Daquin[9].
Cependant, c'est surtout au théâtre qu'il s'illustre au début de sa carrière, avec les compagnies Renaud-Barrault et Grenier-Hussot ainsi qu'au Théâtre de Babylone (géré par une coopérative ouvrière et qui met en scène les pièces d'avant-garde d'Eugène Ionesco ou Samuel Beckett)[8]. Bien que remarqué dans le film French Cancan en 1954, il poursuit sur les planches et travaille avec les metteurs en scène Jacques Audiberti, Jean Vilar, Jean-Marie Serreau, Peter Brook, Luc Bondy, Patrice Chéreau ou encore André Engel[8].
Durant la même période, il se fait connaître dans des téléfilms populaires tels que Sylvie et le fantôme, Tu ne m’échapperas jamais ou encore L’Affaire Lacenaire de Jean Prat[8].
Devenu athée après un deuil familial, il rencontre en 1956 Luis Buñuel, réalisateur connu pour son anticléricalisme, et prend ironiquement le rôle d'un prêtre dans La Mort en ce jardin[8].
En 1959, il tourne Le Rendez-vous de Noël, court métrage d’André Michel d’après la nouvelle de Malek Ouary, Le Noël du petit cireur, qui se passe à Alger[10].
Les années 1960 marquent le début de sa consécration, remarqué dans Le Doulos de Jean-Pierre Melville, il est révélé au grand public avec Le Mépris de Jean-Luc Godard aux côtés de Brigitte Bardot[8].
Dès lors, il tourne avec beaucoup des plus grands cinéastes français (Jean Renoir, René Clair, René Clément, Alain Resnais, Agnès Varda, Jacques Demy, Alain Cavalier, Michel Deville, Claude Sautet, Claude Chabrol, Louis Malle, Jacques Doillon, Jacques Rivette, Leos Carax, Bertrand Blier), européens (Luis Buñuel, Costa-Gavras, Marco Ferreri, Alfred Hitchcock, Jerzy Skolimowski, Marco Bellocchio, Ettore Scola, Manoel de Oliveira, Otar Iosseliani, Theo Angelopoulos, Nanni Moretti) et venus d'autres horizons (Youssef Chahine, Raoul Ruiz, Hiner Saleem).
Il devient l'un des acteurs fétiches de Marco Ferreri, avec sept films, de Dillinger est mort à Y'a bon les blancs en passant par Touche pas à la femme blanche ! — avec pour point d'orgue La Grande Bouffe[8] —, de Luis Buñuel avec six films : Le Journal d’une femme de chambre (1964), Belle de jour (1967), La Voie lactée (1969), Le Charme discret de la bourgeoisie (1972), Le Fantôme de la liberté (1974) et Cet obscur objet du désir (1977)[8] ainsi que de Claude Sautet, avec Les Choses de la vie, Max et les Ferrailleurs, Mado et Vincent, François, Paul… et les autres[8]. Il joue également dans le singulier Themroc[8].
Il entame la décennie 1980 par le prix d'interprétation au festival de Cannes en 1980, avec Le Saut dans le vide de Marco Bellocchio, et celui du festival de Berlin en 1982, avec Une étrange affaire de Pierre Granier-Deferre[8]. Il travaille avec le jeune cinéma français, comme Jacques Doillon (La Fille prodigue en 1985), Leos Carax (Mauvais sang en 1986), n'hésitant pas à casser son image bienveillante avec des rôles provocateurs ou antipathiques, avant de s'essayer lui-même à la réalisation[8].
Il tourne également plusieurs films avec Manoel de Oliveira, de Party (1996) à Belle toujours (2006) en passant par Je rentre à la maison (2001)[8].
Habitué du festival de Cannes, il fait partie du jury de la compétition officielle du 60e festival en 2007 sous la présidence de Stephen Frears[8].
Amateur de littérature, il a également enregistré la lecture des Fleurs du mal de Charles Baudelaire et de Gargantua de François Rabelais.
En 2011, il joue dans Habemus Papam de Nanni Moretti, présenté en compétition à Cannes[8]. C'est sa dernière apparition au cinéma. Le dernier film où apparait Michel Piccoli est le film Le Goût des myrtilles, de Thomas de Thiers en 2013.
Engagement politique
Engagé politiquement à gauche, membre du Mouvement de la Paix (communiste), Michel Piccoli s'est souvent illustré par ses prises de position contre le Front national[8], et s'est mobilisé pour Amnesty International.
Après avoir soutenu François Mitterrand en 1974[11] puis en 1981, il reste fidèle au camp socialiste. En , il signe avec cent cinquante intellectuels un texte appelant à voter pour Ségolène Royal, « contre une droite d’arrogance », pour « une gauche d’espérance »[12].
En , il cosigne, avec Juliette Gréco, Maxime Le Forestier et Pierre Arditi, une lettre ouverte[13] à l'attention de Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, appelant les parlementaires socialistes à adopter la loi Création et Internet.
Famille et vie privée
En 1954, Michel Piccoli se marie avec l'actrice Éléonore Hirt avec qui il a une fille, Anne-Cordélia Piccoli[14] ; en 1966, il épouse la chanteuse Juliette Gréco, puis en 1978[15] la scénariste Ludivine Clerc[16], avec qui il adopte deux enfants d'origine polonaise, Inord et Missia[17].
Mort
Michel Piccoli meurt le à la suite d’un accident vasculaire cérébral dans son manoir à Saint-Philbert-sur-Risle dans l'Eure[4]. Son décès est révélé par sa famille six jours plus tard () à l’Agence France-Presse[2]. Ses obsèques ont lieu à Évreux le , là où il est incinéré, ses cendres sont dispersées au sein de la propriété familiale[4].
Théâtre
Comédien
- 1945 : L'Invasion de Léonid Léonov, théâtre des Carrefours
- 1946 : Les Pères ennemis de Charles Vildrac, mise en scène Georges Vitaly, théâtre Édouard VII
- 1948 : Le Matériel humain
- 1949 : La Perle du colorado de Michel de Ré, mise en scène de l'auteur, théâtre du Vieux-Colombier
- 1949 : Les Gaîtés de l'escadron de Georges Courteline, mise en scène Jean-Pierre Grenier, théâtre de la Renaissance
- 1950 : L'Affaire Fualdès de Denis Marion, mise en scène Georges Douking, théâtre du Vieux-Colombier
- 1952 : La Jarre de Luigi Pirandello, mise en scène Jacques Mauclair, théâtre de Babylone
- 1952 : Spartacus de Max Aldebert, mise en scène Jean-Marie Serreau, théâtre de Babylone
- 1952 : Méfie-toi, Giacomino de Luigi Pirandello, mise en scène Jean-Marie Serreau, théâtre de Babylone
- 1952 : La Maison brûlée d'August Strindberg, mise en scène Frank Sundström, théâtre de Babylone
- 1952 : Velca de Tullio Pinelli, mise en scène José Quaglio, théâtre de Babylone
- 1953 : Les Aveux les plus doux de Georges Arnaud, mise en scène Michel de Ré, théâtre du Quartier latin
- 1953 : Les Naturels du bordelais de Jacques Audiberti, mise en scène Georges Vitaly, théâtre La Bruyère
- 1953 : L'Énigme de la chauve-souris de Mary Roberts Rinehart, mise en scène Georges Vitaly, théâtre du Grand-Guignol
- 1954 : Penthésilée d'Heinrich von Kleist, mise en scène Claude Régy, théâtre Hébertot
- 1954 : La Soirée des proverbes de Georges Schehadé, mise en scène Jean-Louis Barrault, théâtre Marigny
- 1955 : Clotilde du Nord de Louis Calaferte, mise en scène Michel de Ré, Comédie de Paris
- 1955 : Gaspar Diaz de Dominique Vincent, mise en scène Claude Régy, théâtre Hébertot
- 1955 : Protée de Paul Claudel, mise en scène Raymond Gérôme, Comédie de Paris
- 1955 : Entre chien et loup de Gabriel Arout d'après Légitime défense de Primo Levi, théâtre en Rond
- 1956 : La Reine et les Insurgés d'Ugo Betti, mise en scène Michel Vitold, théâtre de la Renaissance
- 1957 : Regrets éternels de Constance Coline, mise en scène Raymond Gérôme, théâtre de l'Œuvre
- 1957 : Phèdre de Racine, mise en scène Jean Vilar, TNP Festival de Strasbourg
- 1958 : La Tour d’ivoire de Robert Ardrey, mise en scène Jean Mercure, théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1958 : Romancero de Jacques Deval, mise en scène Jacques Deval, Comédie des Champs-Élysées
- 1959 : Connaissez-vous la Voie lactée ? d'après Karl Wittlinger, mise en scène Michel de Ré, théâtre des Mathurins
- 1961 : Le 10e Homme de Paddy Chayefsky, mise en scène Raymond Gérôme, théâtre du Gymnase
- 1962 : Les Cailloux de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, théâtre de l'Atelier
- 1962 : La nuit a sa clarté de Christopher Fry, mise en scène Jean-Louis Barrault, Théâtre de l'Odéon
- 1963 : Le Vicaire de Rolf Hochhuth, mise en scène François Darbon, théâtre de l'Athénée
- 1965 : Dom Juan ou le Festin de Pierre, mise en scène Marcel Bluwal, téléfilm, 1965
- 1969 : Le Misanthrope de Molière, mise en scène Marcel Bluwal, théâtre de la Ville
- 1971 : Allo ! C’est toi Pierrot ? de Pierre Louki, mise en scène Roland Monod, théâtre Hébertot
- 1981 : La Cerisaie d'Anton Tchekhov, mise en scène Peter Brook, théâtre des Bouffes du Nord ; reprise en 1983
- 1983 : Combat de nègre et de chiens de Bernard-Marie Koltès, mise en scène Patrice Chéreau, théâtre Nanterre-Amandiers, TNP Villeurbanne
- 1984 : Terre étrangère d'Arthur Schnitzler, mise en scène Luc Bondy, théâtre Nanterre-Amandiers Prix du meilleur acteur du Syndicat de la critique dramatique.
- 1985 : Phèdre de Racine
- 1985 : La Fausse Suivante de Marivaux, mise en scène Patrice Chéreau, théâtre Nanterre-Amandiers, TNP Villeurbanne
- 1988 : Le Conte d’hiver de William Shakespeare, mise en scène Luc Bondy, théâtre Nanterre-Amandiers, Cour d'honneur du palais des papes Festival d'Avignon, TNP Villeurbanne
- 1988 : Le Retour au désert de Bernard-Marie Koltès, mise en scène Patrice Chéreau, Festival d'automne à Paris théâtre Renaud-Barrault
- 1993 : John Gabriel Borkman de Henrik Ibsen, mise en scène Luc Bondy, théâtre Vidy-Lausanne, Odéon-Théâtre de l'Europe
- 1995 : Pour Pierre Boulez de Pierre Boulez, compositeur Arnold Schoenberg, Festival d'Avignon, lecteur
- 1996 : Poèmes et Proses de René Char, lecture au Festival d'Avignon avec Dominique Blanc
- 1997 : La Maladie de la mort de Marguerite Duras, mise en scène Bob Wilson, MC93 Bobigny
- 1998 : À propos des "Géants de la montagne" de Luigi Pirandello, mise en scène Klaus Michael Grüber, Conservatoire de Paris
- 2001 : La Jalousie de Sacha Guitry, mise en scène Bernard Murat, théâtre Édouard VII
- 2003-2004 : Ta main dans la mienne de Carol Rocamora, mise en scène Peter Brook, théâtre des Bouffes du Nord puis Comédie des Champs-Élysées
- 2006-2007 : Le Roi Lear de William Shakespeare, mise en scène André Engel, Odéon-Théâtre de l'Europe Ateliers Berthier
- 2008-2009 : Minetti de Thomas Bernhard, mise en scène André Engel, théâtre Vidy-Lausanne puis Théâtre national de la Colline, Comédie de Reims, TNP Villeurbanne, MC2, Théâtre du Nord, Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées
- 2014-2015 : Gainsbourg poète majeur avec Jane Birkin et Hervé Pierre, mise en scène Philippe Lerichomme, Théâtre de l'Odéon, tournée[18]
Metteur en scène
- 1988 : Une vie de théâtre de David Mamet, adaptation Pierre Laville, théâtre des Mathurins
Discographie
- 1970 : Les Choses de la vie - La chanson d'Hélène en duo avec Romy Schneider
- 1976 : L'Art d'aimer
- 1983 : narrateur dans l'enregistrement d'Œdipus rex d'Igor Stravinsky, avec Jessye Norman, Thomas Moser, Siegmund Nimsgern et l'Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise sous la direction de Colin Davis (Orfeo)
- 2002 : reprise du Déserteur sur Autour de Serge Reggiani, album hommage à Serge Reggiani
- 2003 : narrateur, Les Essais de Montaigne, Livre 1, Frémeaux & Associés
- 2007 : narrateur, Les Essais de Montaigne, Livre 2 & 3, Frémeaux & Associés
Publications
- Dialogues égoïstes, écrit avec la collaboration d'Alain Lacombe, Olivier Orban éditeur, 1976
- J’ai vécu dans mes rêves, écrit avec la collaboration de Gilles Jacob, Éditions Grasset, 2015
Distinctions
Récompenses
- Festival international du film fantastique d'Avoriaz 1973 : Prix d'interprétation masculine pour Themroc
- Festival de Cannes 1980 : Prix d'interprétation masculine pour Le Saut dans le vide
- Berlinale 1982 : Ours d'argent du meilleur acteur pour Une étrange affaire
- Prix du Syndicat de la critique 1984 : Meilleur comédien pour Terre étrangère
- Prix Europe pour le théâtre 2001
- Festival international du film de Locarno 2007 : Léopard de la meilleure interprétation masculine pour Les Toits de Paris
- David di Donatello 2012 : David di Donatello du meilleur acteur pour Habemus papam
- European Film Awards - Prix du Cinéma Européen 2011 : European Film Award du Meilleur acteur pour : Habemus Papam
- European Film Academy - Prix d'honneur spécial
Nominations
- César du cinéma 1982 : César du meilleur acteur pour Une étrange affaire
- César du cinéma 1985 : César du meilleur acteur pour La Diagonale du fou
- César du cinéma 1991 : César du meilleur acteur pour Milou en mai
- César du cinéma 1992 : César du meilleur acteur pour La Belle Noiseuse
- Molières 2006 : Molière du comédien pour Le Roi Lear
- Molières 2007 : Molière du comédien pour Le Roi Lear
- European Film Awards - Prix du Cinéma Européen 2007 : European Film Award du Meilleur acteur pour : "Belle toujours"
Notes et références
- Michel Piccoli sur Les Gens du cinéma
- Sandrine Marques, « Michel Piccoli, légendaire acteur de cinéma et de théâtre, est mort », sur Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
- Arièle Bonte, « L'acteur Michel Piccoli est décédé à l'âge de 94 ans », sur RTL, (consulté le ).
- Guillaume Lejeune, « L’acteur Michel Piccoli est décédé chez lui dans son manoir de Saint-Philbert-sur-Risle, dans l’Eure », sur Paris-Normandie, (consulté le ).
- (it) « Il cinema, grande specchio dell'esistenza », swissinfo.ch, 15 août 2007.
- « Généalogie de Marcelle Pauline Zoë EXPERT-BEZANÇON », sur Geneanet (consulté le ).
- Anne-Sophie Mercier, journaliste, auteure de Piccoli. Derrière l’écran (Allary Editions), dans Les Matins de France Culture du .
- Marques 2020.
- La Saison cinématographique, vol. 30, UFOLEIS, , publication réalisée sous la direction de François Chevassu et Jacques Zimmer, en collaboration avec la Ligue de l'enseignement, la Ligue française de l'enseignement et de l'éducation permanente, l'Union française des œuvres laïques d'éducation par l'image et le son, recherche iconographique effectuée par Marianne Duvannès (OCLC 15118592, notice BnF no FRBNF39772173, lire en ligne), p. 164.
- Malek Ouary, Poèmes et chants de Kabylie, Paris, Lib. Saint-Germain-des-Près, , 171 p., présentation par l'éditeur.
- Raphaël Proust, « 1974, Giscard peopolise la campagne de la droite », slate.fr, 18 avril 2012.
- « Avant qu'il ne soit trop tard », Le Nouvel Observateur, 1er mars 2007.
- « Les acteurs et la loi “Création et Internet” » sur lemonde.fr.
- Nécrologie d'Éléonore Hirt, lemonde.fr, 30 janvier 2017.
- Patrick Bruchet, « Michel Piccoli Marries Ludivine Clerc », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) The International Who's Who 2004, Europa Publications, , 67e éd., 1888 p. (ISBN 978-1-85743-217-6, lire en ligne), p. 1322.
- « Michel Piccoli : mon frère, ce fantôme », sur lejdd.fr, 1 novembre 2015, modifié le 20 juin 2017 (consulté le ).
- « Jane Birkin, Michel Piccoli et Hervé Pierre, 3 voix pour dire Gainsbourg », sur francetvinfo.fr, consulté le 25 mai 2020.
Voir aussi
Bibliographie
- Robert Chazal, Michel Piccoli le provocateur, Éditions France-Empire, 1989 (ISBN 2704806349 et 978-2704806348)
- Jacques Zimmer, Piccoli grandeur nature, Éditions Nouveau Monde, 2008 (ISBN 2847362916 et 978-2847362916)
- Anne-Sophie Mercier, Piccoli. Derrière l’écran, Allary Éditions, 2020 (ISBN 978-2-37073-309-2)
Presse
- Sandrine Marques, « Michel Piccoli, légendaire acteur de cinéma et de théâtre, est mort », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressources relatives à la musique :
- Ressource relative au spectacle :
- [vidéo] Michel Piccoli en 1964, une archive de la Télévision suisse romande
- [vidéo] Michel Piccoli lit des extraits du livre de Michel Boujut Le Jour où Gary Cooper est mort sur YouTube
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