Mylène Demongeot
Mylène Demongeot, nom de scène de Marie-Hélène Demongeot, née le [1] à Nice, est une actrice et productrice française.
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Nom de naissance | Marie-Hélène Demongeot |
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Naissance |
Nice, Alpes-Maritimes |
Nationalité | Française |
Profession |
Actrice Productrice de cinéma |
Films notables |
Les Sorcières de Salem Bonjour tristesse Sois belle et tais-toi La Bataille de Marathon Les Trois Mousquetaires Fantômas (et suites) Camping (et suites) |
Séries notables | Marion |
Site internet | mylene-demongeot.fr |
Biographie
Famille
Mylène Demongeot est la fille d'Alfred Jean Demongeot, né le à Nice et de Claudia Troubnikova, née le à Kharkov (Ukraine), décédée en 1986, tous deux mariés le .
Le père de Mylène Demongeot, Alfred Jean Demongeot (1897-1961), est le fils de Marie Joseph Marcel Demongeot[2], chevalier de la Légion d'honneur en date du [3],[4], militaire de carrière, commandant d'infanterie, chef de bataillon au 76e RI à partir du , né le à Langres, Haute-Marne, mort le [5],[6], et marié le , à Nice, Alpes-Maritimes, avec Clotilde Caroline Innocente Marie Faussone di Clavessana[7].
Elle a un demi-frère, Léonide Ivantoff, né à Kharbin (Chine) le (officiellement le , mais il a été « rajeuni » de deux ans par sa mère et son « beau-père », pour compenser le retard qu'il avait pris à l'école du fait de leurs nombreux déménagements dans différents pays ; sa date de naissance a été « changée » en modifiant ses papiers russes, son pays d'origine — l'Ukraine aujourd'hui[réf. nécessaire]), issu d'un premier mariage de sa mère.
Carrière
Mylène Demongeot passe son enfance à Nice (Alpes-Maritimes), les quatre premières années dans une maison sise 1, rue Frédéric-Passy chez sa grand-mère paternelle, ses parents vivant à Paris. Fin 1939, après la déclaration de guerre, ses parents la rejoignent à Nice.
Elle a 13 ans lorsque sa famille s'installe à Paris. Elle apprend le piano avec Marguerite Long et Yves Nat et s'inscrit par ailleurs au cours Simon qu’elle quitte pour suivre celui de Marie Ventura. Parallèlement à ses premiers petits rôles au cinéma à partir de 1953, elle pose pour des photos publicitaires et tombe amoureuse du photographe Henry Coste (1926-2011) qu’elle rencontre en 1956. C’est d’ailleurs grâce à l’un de ces clichés qu’elle devra d’être remarquée par Raymond Rouleau à la recherche de « son Abigail » pour son prochain film Les Sorcières de Salem, rôle qui apporte la consécration à Mylène en 1957 à 21 ans. Après avoir divorcé, Henry Coste l'épouse en 1958. Ils divorcent en 1968.
À ses débuts, sa blondeur et sa grâce mutine la font rivaliser avec une autre jeune actrice en vogue, Brigitte Bardot. Mais elle va se démarquer de ces comparaisons avec BB, avec laquelle elle partage d'ailleurs une amitié et un même amour des animaux, en diversifiant ses emplois. Elle tourne très tôt dans des productions étrangères, notamment dans Bonjour tristesse de Preminger en 1958 et surtout en Italie. Dans ce pays, elle se hisse au rang de star très populaire dès 1959 avec le péplum La Bataille de Marathon et avec sa participation très remarquée auprès de Laurent Terzieff, dans une mémorable séquence du film Les Garçons de Bolognini.
Facilement étiquetée, à l'époque, de « blonde sensuelle », ses louables prestations dramatiques dans les films L'Inassouvie de Risi (1960) ou Le Cavalier noir (1961) de Baker seront souvent ignorées. Même quand elle change radicalement de registre avec ses rôles espiègles et attendrissants dans les élégants marivaudages de Deville (À cause, à cause d'une femme, L'Appartement des filles), il semble que producteurs et public la préfèrent dans des séries populaires comme Les Trois Mousquetaires ou celle des Fantômas.
Mylène Demongeot a eu comme partenaires à l'écran quelques-uns des acteurs les plus réputés du cinéma : Jean Marais (à plusieurs reprises, dont la trilogie Fantômas), Yves Montand, Henri Vidal (dans Une manche et la belle et Sois belle et tais-toi), Curd Jürgens, David Niven, Steve Reeves, Roger Moore, Dirk Bogarde (dans Le Cavalier noir et Docteur en détresse), Jeffrey Hunter (dans L'Or des Césars et La Marine en folie), Sami Frey, Jean-Paul Belmondo, Michel Piccoli, Gérard Depardieu et des affinités avec de grandes figures comiques de l'écran et de la scène : Louis de Funès, Francis Blanche, Henri Salvador et Pierre Richard.
En 1966, lors du tournage pour la télévision d'un des épisodes des Dossiers de l'agence O, Mylène Demongeot rencontre Marc Simenon, réalisateur et fils de l'écrivain Georges Simenon et l'épouse la même année, avec comme témoins Marcel Achard et Henri Salvador. Pour lui, elle met sa carrière professionnelle au second plan pour le seconder dans ses productions. Ils se marient le .
Marc Simenon meurt accidentellement le . Depuis, Mylène Demongeot partage son temps entre l'écriture, son action en faveur de la cause animale, la lutte contre la pollution, la lutte contre les mines antipersonnel (elle est Marraine Fondatrice de l'ONG HAMAP)[8] tandis qu'au cinéma, on retrouve sa dualité d'actrice populaire et avant-gardiste.
Elle est capable de tourner aussi bien avec Michel Gérard qu'avec des auteurs comme Bertrand Blier ou Cédric Kahn ou encore de s'impliquer dans des productions comme La Piste du télégraphe de Liliane de Kermadec ou Victoire de Stéphanie Murat. Les années 2000 et 2010 continuent à lui offrir une diversité de rôles : elle alterne films à succès, comme 36 Quai des Orfèvres d'Olivier Marchal, le triptyque Camping / Camping 2 / Camping 3 de Fabien Onteniente, avec les films de Hiner Saleem qui l’emploie successivement dans Les Toits de Paris (2007) et Si tu meurs, je te tue (2011).
Entre et , Mylène Demongeot est un membre régulier de l'émission radiophonique Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL.
Engagements
Mylène Demongeot s'est présentée comme candidate aux élections régionales de 1992 en Provence-Alpes-Côte d'Azur sur la liste Énergie Sud de Bernard Tapie dans les Bouches-du-Rhône.
Elle est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)[9].
Fait divers
L'actrice a été victime pendant des années d'une escroquerie financière montée par son gestionnaire de comptes. Elle déclare avoir été flouée d'une somme de deux millions d'euros, argent qui servait à faire des prêts à d'autres personnalités du cinéma comme Isabelle Adjani, Alexandre Arcady ou Samy Naceri. La justice est saisie du dossier en [10],[11]. Elle relate ces années de procédure dans Très chers escrocs… (2019).
Décorations
Filmographie
Cinéma
- 1953 : Les Enfants de l'amour de Léonide Moguy : Nicole
- 1955 : Frou-Frou d'Augusto Genina : une convive au restaurant
- 1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret : la fille qui vocalise
- 1956 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois : la jeune femme qui ouvre la porte
- 1956 : Quand vient l'amour de Maurice Cloche : Micheline
- 1956 : It's a Wonderful World de Val Guest : Georgie
- 1957 : Les Sorcières de Salem de Raymond Rouleau : Abigail
- 1957 : Une manche et la belle d'Henri Verneuil : Éva Dollan
- 1958 : Bonjour tristesse d'Otto Preminger : Elsa
- 1958 : Sois belle et tais-toi de Marc Allégret : Virginie
- 1958 : Cette nuit-là (Un silence de mort) de Maurice Cazeneuve : Sylvie Mallet
- 1959 : Le vent se lève (Il vento si alza) d'Yves Ciampi : Catherine Mougins
- 1959 : Faibles femmes de Michel Boisrond : Sabine
- 1959 : Entrée de service (Upstairs and Downstairs) de Ralph Thomas : Ingrid
- 1959 : La Bataille de Marathon (La battaglia di Maratona) de Jacques Tourneur : Andromède
- 1959 : Les Garçons (La notte brava) de Mauro Bolognini : Laura
- 1960 : Sous dix drapeaux (Sotto dieci bandiere) de Duilio Coletti : Zizi
- 1960 : L'Inassouvie (Un amore a Roma) de Dino Risi : Anna Padoan
- 1961 : Le Cavalier noir (The Singer Not the Song) de Roy Ward Baker : Locha
- 1961 : L'Enlèvement des Sabines (Il ratto delle Sabine) de Richard Pottier : Réa
- 1961 : Les Trois Mousquetaires, en deux époques, Les Ferrets de la reine et La Revanche de Milady de Bernard Borderie : Milady de Winter
- 1962 : Copacabana Palace de Steno : Zina von Raunacher
- 1962 : Les Don Juan de la Côte d'Azur (I Don Giovanni della Costa Azzurra) de Vittorio Sala
- 1963 : À cause, à cause d'une femme de Michel Deville : Lisette
- 1963 : Docteur en détresse (Doctor in Distress) de Ralph Thomas : Sonia et Helga
- 1963 : L'Appartement des filles de Michel Deville : Mélanie
- 1963 : L'Or des Césars (Oro per i Cesari) d'André de Toth : Pénélope
- 1964 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond : elle-même
- 1964 : Fantômas d'André Hunebelle : Hélène
- 1965 : La Case de l'oncle Tom (Onkel Toms Hütte) de Géza von Radványi : Harriet Beecher Stowe
- 1965 : Fantômas se déchaîne d'André Hunebelle : Hélène
- 1965 : Furia à Bahia pour OSS 117, d'André Hunebelle : Anna-Maria Sulza
- 1966 : Go, go, play-boy (Bel Ami 2000 oder Wie verführt man einen Playboy?) de Michael Pfleghar
- 1966 : Tendre Voyou de Jean Becker : Muriel
- 1967 : Fantômas contre Scotland Yard d'André Hunebelle : Hélène
- 1968 : Une cigarette pour un ingénu de Gilles Grangier (film inachevé)
- 1968 : La Marine en folie (The Private Navy of Sgt. O'Farrell) de Frank Tashlin : Gaby
- 1969 : 12 + 1 (Una su 13) de Nicolas Gessner et Luciano Lucignani : Judy
- 1970 : Le Champignon (L'assassin frappe à l'aube) de Marc Simenon : Anne
- 1971 : L'Explosion de Marc Simenon : Katia
- 1972 : Montréal blues de Pascal Gélinas
- 1972 : Quelques arpents de neige de Denis Héroux : Laura
- 1973 : Quand c'est parti, c'est parti (J'ai mon voyage !) de Denis Héroux : Madame De Chatiez
- 1974 : Les Noces de porcelaine de Roger Coggio : Julia
- 1974 : Par le sang des autres de Marc Simenon : la prostituée
- 1975 : Il faut vivre dangereusement de Claude Makovski : Laurence
- 1977 : La Moto qui tue (L'Échappatoire) de Claude Patin : Élisabeth
- 1979 : Un jour un tueur (inédit en salles)[12] de Serge Korber : Cécile Pallas
- 1981 : Signé Furax de Marc Simenon : Malvina
- 1983 : Surprise Party de Roger Vadim : Geneviève Lambert
- 1983 : Le Bâtard de Bertrand Van Effenterre : Brigitte
- 1983 : Flics de choc de Jean-Pierre Desagnat : « la maîtresse »
- 1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! de Michel Gérard : la femme sur le banc
- 1986 : Paulette, la pauvre petite milliardaire de Claude Confortès : Madame Gulderbilt
- 1986 : Tenue de soirée de Bertrand Blier : la femme du couple au lit
- 1988 : Béruchet dit la Boulie de Béruchet : non créditée
- 1994 : La Piste du télégraphe de Liliane de Kermadec : Muriel
- 1997 : L'Homme idéal de Xavier Gélin : Guillemette
- 1998 : Nous sommes tous des gagnants, court métrage de Claude Dray
- 2004 : Feux rouges de Cédric Kahn : voix au téléphone (directrice de la colonie de vacances)
- 2004 : Victoire de Stéphanie Murat : la mère
- 2004 : 36 quai des Orfèvres d'Olivier Marchal : Manou Berliner
- 2005 : Tokyo Tower de Takashi Minamoto :
- 2006 : Camping de Fabien Onteniente : Laurette Pic
- 2006 : La Californie de Jacques Fieschi : Katia
- 2007 : Les Toits de Paris d'Hiner Saleem : Thérèse
- 2009 : Tricheuse (Une famille clef en mains) de Jean-François Davy : Madame Vallardin
- 2009 : Oscar et la Dame rose d'Éric-Emmanuel Schmitt : Lilly
- 2010 : Camping 2 de Fabien Onteniente : Laurette Pic
- 2010 : Maman !, court métrage d'Hélène de Fougerolles : la mère
- 2011 : Si tu meurs, je te tue d'Hiner Saleem : Geneviève
- 2013 : Elle s'en va d'Emmanuelle Bercot : Fanfan
- 2016 : Camping 3 de Fabien Onteniente : Laurette Pic
- 2017 : Sage Femme de Martin Provost : Rolande
- 2022 : Maison de retraite de Thomas Gilou : Simone Tournier
Télévision
- 1968 : Les Dossiers de l'agence O de Marc Simenon, épisode La Cage d'Émile : Myle Holga
- 1977 : Recherche dans l'intérêt des familles, série télévisée de Philippe Arnal, épisode Fausse manœuvre : Alcine Briant
- 1978 : Douze heures pour mourir, téléfilm d'Abder Isker : Germaine
- 1980 : Kick, Raoul, la moto, les jeunes et les autres, mini-série de Marc Simenon : Martine
- 1982 : Marion, mini-série (6 épisodes) de Jean Pignol : Marion Tréguier
- 1984 : Série noire : J'ai bien l'honneur de Jacques Rouffio
- 1988 : La Diva et le Professeur, téléfilm de Steno : Fernande
- 1992 : Vacances au purgatoire, téléfilm de Marc Simenon : Mathilde
- 1995 : Chien et Chat, série télévisée de Philippe Galland et Marc Simenon, épisode La Faute : Annabelle Montbrial, la directrice d'agence de rencontres
- 2005 : La Tête haute, téléfilm de Gérard Jourd'hui : La Tine
- 2005 : Le Fantôme du lac, téléfilm de Philippe Niang : Louise Perreau
- 2013 : La Balade de Lucie, téléfilm de Sandrine Ray : la mère de Lucie
- 2013 : Les Mauvaises Têtes, téléfilm de Pierre Isoard : Virginie
- 2014 : Des roses en hiver, téléfilm de Lorenzo Gabriele : Madeleine
- 2015 : No Limit, saison 3 de la série de Frédéric Berthe : la mère de Vincent
- 2017 : Caïn, série, épisode Paradis perdu (saison 5)[13] : Jacqueline Benedetti
- 2016 : Trois mariages et un coup de foudre[14],[15], téléfilm de Gilles de Maistre : Mamita
- 2019 : Infidèle de Didier Le Pêcheur : Giulia
- 2019 : À l'intérieur de Vincent Lannoo : Rose Da Costa
- 2020 : Capitaine Marleau, épisode Deux vies de Josée Dayan : Louise Lemaire
Théâtre
- 1958 : Virage dangereux de John Boynton Priestley, mise en scène Raymond Rouleau, théâtre Édouard VII
- 1968 : Gugusse de Marcel Achard, mise en scène Michel Roux, théâtre de la Michodière (création)
- 1988 : Caviar ou lentilles, adaptation de Caviale e lenticchie de Giulio Scarnicci et Renzo Tarabusi, mise en scène Jacques Rosny, Spectacle 2000
- 1988 : Salomé d'Oscar Wilde, mise en scène Francis Sourbié, théâtre Mouffetard
- 1992 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène Robert Thomas
- 1992 : Le Canard à l'orange de William Douglas-Home, mise en scène Pierre Mondy
- 1992 : Électre, mise en scène Raymond Gérôme
- 1992 : Un homme pressé de Bernard Chartreux, mise en scène de Jean-Pierre Vincent
- 2000 : Becket ou l'Honneur de Dieu de Jean Anouilh, mise en scène Didier Long
- 2017 : Love Letters de A. R. Gurney, mise en scène Stéphanie Fagadau, Comédie des Champs-Elysées
Publications
Autobiographies
- Tiroirs secrets, Paris, Éditions Le Pré aux clercs, , 324 p. (ISBN 978-2-84228-131-1)
- Mylène Demongeot : Mémoires de cinéma — Une vie et des films (préf. Jacques Fieschi), Paris, Éditions Hors Collection, , 256 p. (ISBN 978-2-258-09002-6, présentation en ligne)Suite de son autobiographie Tiroirs secrets (de ses débuts jusqu'à 1968) — Sa vie et ses films depuis son union avec Marc Simenon jusqu'à nos jours.
- L'Amour fou, Paris, Éditions Michel Lafon, , 183 p. (ISBN 978-2-7499-3484-6, présentation en ligne)
Récits et essais
- Les Lilas de Kharkov, Paris, Éditions Hachette, , 286 p. (ISBN 978-2-01-016628-0, présentation en ligne)Réédition par les Éditions Blanc, septembre 1998 (ISBN 9782843970320). Réédition par les Éditions Pygmalion/Flammarion, novembre 2009 (ISBN 9782756403014).
- Mylène Demongeot (scénario), Catel (dessin) et Bouilhac (dessin) (pour lecteurs à partir de 16 ans), Adieu Kharkov, t. 1 (BD), Charleroi, Dupuis, coll. « Aire Libre », , 232 p., relié, couverture cartonnée (ISBN 978-2-8001-6287-4, présentation en ligne)Adaptation BD du récit Les Lilas de Kharkov.
- Mylène Demongeot (scénario), Catel (dessin) et Bouilhac (dessin) (pour lecteurs à partir de 16 ans), Adieu Kharkov, t. 1 (BD), Charleroi, Dupuis, coll. « Aire Libre », , 232 p., relié, couverture cartonnée (ISBN 978-2-8001-6287-4, présentation en ligne)
- Animale(ment Vôtre), Paris, Éditions Le Pré aux clercs, , 320 p. (ISBN 978-2-84228-219-6)
- Avec Isabelle Sokolow, Le Piège, l'alcool n'est pas innocent, Paris, Éditions Flammarion, coll. « Documents et Essais », , 223 p., broché, 13,5 x 22 x 1,6 cm (ISBN 978-2-08-121404-0, présentation en ligne)
- Les Animaux de ma vie (préf. Boris Cyrulnik, ill. Catel Muller dite « Catel »), Paris, Éditions Flammarion, , 266 p., relié, 17,8 x 21,9 x 2,4 cm (ISBN 978-2-08-122925-9, présentation en ligne)
- Mes monstres sacrés (préf. Dominique Besnehard), Paris, Éditions Flammarion, coll. « Documents et Essais », , 256 p. (ISBN 978-2-08-134474-7, présentation en ligne)
- La vie, c'est génial ! : Vieillir sans oublier d'être heureux, Paris, L'Archipel, coll. « Arts et spectacle », , 236 p. (ISBN 978-2-84228-131-1 et 978-2-8098-2413-1)
- Très chers escrocs…, L'Archipel, (ISBN 9782809826951)
Préfaces
- Gérard Desserre et Nicolas Schmidt, Le Cinéma du sam'di soir, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 264 p., 170 x 240 (ISBN 978-2-85480-993-0, présentation en ligne)no 95 de la collection « Cinémaction ».
- Marc Lemonier, Sur la piste de Fantômas, Paris, Presses de la Cité, , 127 p. (ISBN 978-2-258-06852-0)
Distinctions
Récompenses
- Festival international du film de Karlovy Vary 1957 : prix de la meilleure interprète pour Les Sorcières de Salem
- Prix Reconnaissance des cinéphiles 1994 décerné pour l'ensemble de sa carrière par l'association « Souvenance de cinéphiles » de Puget-Théniers (Alpes-Maritimes)
Nominations
- BAFTA 1958 : nommée pour le prix de la révélation féminine la plus prometteuse dans Les Sorcières de Salem
- Césars 2005 : nommée pour le César de la meilleure actrice dans un second rôle dans 36 Quai des Orfèvres
- Césars 2007 : nommée pour le César de la meilleure actrice dans un second rôle dans La Californie
Notes et références
- Extrait de naissance 2317/1935 (source : Les Gens du Cinéma) — Dans ses mémoires Tiroirs secrets, Mylène Demongeot précise elle-même son jour de naissance dans sa fiche d'état-civil, soit le 29 septembre.
- « Généalogie de Marie Joseph Marcel DEMONGEOT », sur Geneanet (consulté le )
- « Bases de données documentaires : statistiques mensuelles », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Alfred Jean Demongeot », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- Soit tombé au combat comme en témoigne une stèle à la ferme Mennejean à Nanteuil-la-Fosse (mais le site Mémoire des hommes du ministère des Armées ne le recense pas comme mort pour la France), soit mort à Saint-Jean-de-Luz, à l’âge de 47 ans.
- Il a écrit un livre, Citoyen et soldat ; voir « Mémoires 52 », sur memoires52.blogspot.com (consulté le ).
- Dont le père était le comte Alfred Faussone di Clavessana et la mère Marie Laurenti-Roubaud.
- Créée le 8 mai 1999 au lendemain de la Convention d'Ottawa, cette ONG française assure une présence dans plus de 40 pays afin de réaliser des actions de déminage humanitaire et de reconstruction d'infrastructures, de mettre en œuvre des unités médicales fixes et mobiles, et de former des démineurs locaux aux techniques de déminage – Site officiel de HAMAP (Halte aux mines antipersonnel).
- Page « Comité d'honneur », sur le site de l'ADMD.
- « Un banquier soupçonné d'avoir escroqué des stars » sur lerepublicain-lorrain.fr (consulté le 27 décembre 2012).
- « Deux banques condamnées », Paris Match du 8 juin 2014.
- Voir sur unifrance.org.
- Artmédia
- Projection en avant-première à Jérusalem le mardi 23 décembre 2014. Source de la société de production Outside Films (diffusion prévue sur France 2).
- IMDb
Voir aussi
Bibliographie
- Mylène Demongeot : dans l'œil d'Henry Coste (préf. Henry-Jean Servat, 200 photos prises par Henry Coste de 1959 à 1968), Pionnat, Éditions Abbate-Piolé, coll. « Livres d'art », , 160 p., broché, 24 x 32 cm (ISBN 978-2-917500-16-3, présentation en ligne)
Liens externes
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- Mylène Demongeot chez Artmédia
- Vidéo : Mylène Demongeot s'exprime sur sa carrière en 1971, une archive de la Télévision suisse romande
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