Condé-sur-Noireau

Condé-sur-Noireau est une ancienne commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Condé-en-Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Condé.

Condé-sur-Noireau

Le centre-ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Vire
Intercommunalité Communauté de communes Intercom de la Vire au Noireau
Maire délégué Frédéric Frappy[réf. nécessaire]
2017-2020
Code postal 14110
Code commune 14174
Démographie
Gentilé Condéen
Population 4 551 hab. (2018)
Densité 363 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 03″ nord, 0° 33′ 00″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 173 m
Superficie 12,53 km2
Élections
Départementales Condé-sur-Noireau
Historique
Commune(s) d'intégration Condé-en-Normandie
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Condé-sur-Noireau
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Condé-sur-Noireau
Géolocalisation sur la carte : France
Condé-sur-Noireau
Géolocalisation sur la carte : France
Condé-sur-Noireau

    Elle est peuplée de 4 551 habitants[Note 1].

    Géographie

    Condé-sur-Noireau est en Bocage normand, aux confins de la Suisse normande et des Bocages flérien et virois. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la place pour sa plus grande partie dans l'unité de la Suisse normande qu'il caractérise par « un relief particulièrement vigoureux » aux paysages « parmi les plus emblématiques de l’image touristique de la région »[1]. Le sud-ouest du territoire est classé dans l'unité du bassin de Vire. L'agglomération est à 12 km au nord de Flers, à 26 km à l'est de Vire, à 30 km à l'ouest de Falaise et à 46 km au sud de Caen[2].

    L'agglomération est traversée par la route départementale no 562 (D 962 dans l'Orne), ancienne route nationale 162, reliant Caen à Flers. Elle y est rejointe par la D 512 (ancienne N 812) menant à Vire à l'ouest et la D 511 (ancienne N 811) permettant de joindre Pont-d'Ouilly à l'est et Saint-Pierre-d'Entremont puis Tinchebray au sud-ouest. La D 36 mène à Proussy au nord-ouest.

    Condé-sur-Noireau est dans le bassin de l'Orne, par son affluent le Noireau qui délimite le territoire puis le traverse au sud-est. Son affluent la Druance, arrivant par le nord-ouest, traverse l'agglomération avant de confluer. Elle y reçoit les eaux de l'Odon (homonyme de l'affluent direct de l'Orne) provenant du sud-ouest.

    La Druance dans le centre-ville.

    Le point culminant (173 m) se situe au nord-est, au lieu-dit la Justice, en surplomb de la chapelle Saint-Jacques. Le point le plus bas (72 m) correspond à la sortie du Noireau du territoire, à l'est.

    Comme toute la Basse-Normandie, Condé bénéficie d’un climat océanique avec des étés frais et des hivers doux. La station météorologique la plus proche est celle de Caen-Carpiquet à 38 km, celle d'Alençon-Valframbert est à 65 km et celle de Granville-Pointe du Roc à 75 km. La Suisse normande et surtout le Bocage virois s'en différencient toutefois assez nettement pour la pluviométrie annuelle qui, à Condé, avoisine les 900 mm[3].

    En dehors de la partie urbaine, les principaux lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire, le Poncel, le Perreux, Bouilly (au nord), la Justice, Plaisance, Vaux, les Folies (à l'est), la Manigance, la Conterie, Belle Étoile, Brévaux, la Gestrie, l'Abbaye(au sud), la Milonnière, le Busq, la Rougetière, la Cirouetière, la Rougetière, la Louvetière, la Calaisière, l'Aumondière, la Poissonnière, la Blonnière, la Mérousière, les Folies (deux lieux-dits homonymes), la Belloyère (à l'ouest), la Mottinière, le Bas Mesnil, le Haut Mesnil et le Mesnil[4].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté au Moyen Âge sous les formes latinisées Condatensem, Condetensem vicum vers 1020, puis Condati 1106 - 1135, Conde en 1236[6].

    Condé représente l'évolution phonétique régulière du gallo-roman CONDĀTE en langue d'oïl. Ce type toponymique est issu du gaulois condate « confluence, réunion ». On le rencontre dans de nombreux noms de communes, dont le déterminant complémentaire est souvent le nom du cours d'eau principal. Il en est ainsi de Condé-sur-Huisne, Condé-sur-Iton, Condé-sur-Sarthe, Condé-sur-Vire, auxquels on peut ajouter Condé-sur-Laizon devenu après fusion Condé-sur-Ifs. Pour Condé-sur-Seulles et Condé-sur-Risle, la rivière ne reçoit pas mais se sépare momentanément en deux cours d'eau[7]. Condé-sur-Noireau doit donc son nom à la confluence de la Druance et du Noireau.

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Noireau[8].

    Le gentilé est Condéen.

    Histoire

    En 1418, pendant la guerre de Cent Ans, elle tombe sous la domination anglaise et John Fastolf en est le gouverneur. La ville est plus tard employée par François de Surienne pour attaquer la ville de Fougères en Bretagne. Cela mène à la fin de la guerre de Cent Ans, quand Charles VII reprend la ville, et tout le duché de Normandie.

    Condé fut l'une des premières villes majoritairement réformée. Au XVIe siècle, les protestants y tinrent plusieurs assemblées. En 1674, ils y tinrent un synode provincial.

    Le Noireau et la Druance ont favorisé les activités de Condé. La ville comptait avant le XVIIIe siècle deux importants moulins à farine sur le Noireau, le moulin de Saint-Martin en amont et le moulin Biot en aval, et un autre sur la Druance, le moulin de la Bataille. Il y avait également des moulins à tan et des moulins à foulon[9].

    Dès le XVIIIe siècle, Condé est l’une des cités les plus actives du département. La fabrication de la toile, des draps et du lin fait vivre environ 7 000 ouvriers[10]. La coutellerie est également réputée.

    Gare de Condé-sur-Noireau en 1899.

    Au début du XIXe siècle, les petites filatures hydrauliques s’installent à Condé. La première imprimerie date de 1829. Dans les années 1860, la ville est à l’apogée de son développement économique avec une grande industrie textile (on compte alors 55 filatures hydrauliques, 8 000 métiers à tisser) à laquelle s’ajoute un artisanat très actif. Elle obtient en 1868, pour accompagner ce développement, la création du chemin de fer de la Suisse normande partant de Flers et rejoignant Caen en 1874. Entre-temps, l'activité condéenne aura cependant subi ses premières difficultés : le blocus naval lors de la guerre de Sécession rompt une grande partie de l'approvisionnement en coton et seule une filature reste en activité en 1863. Il y a 650 chômeurs, les actifs voyant leurs horaires très restreints[11].

    Avec la Seconde Guerre mondiale, Condé connaît ses heures les plus tragiques. La ville est détruite à 95 % par les bombardements qui feront au total 252 victimes. La reconstruction de la ville s’achève en 1963 avec l’inauguration de l’hôtel de ville. Condé-sur-Noireau devient alors la « filleule de guerre » de la ville de Vincennes (Val-de-Marne), qui aide à sa reconstruction.

    Après Mai 68, de jeunes journalistes du J'accuse (mensuel) viennent en reportage en décembre 1970, dans le sillage du Tribunal populaire de Lens en 1970 et de la vague de séquestrations de cadres qui a suivi, dans des entreprises où les ouvriers sont exposés à un travail dangereux pour leur santé. Le 17 décembre 1970, à l'usine Ferodo de Condé-sur-Noireau, exposée aux maladies professionnelles, de jeunes ouvriers protestant contre le licenciement d'un ancien[12] séquestrent le chef d'atelier, puis trois cadres, qui seront libérés grâce aux syndicalistes. La polémique devient nationale. La CGT s'en mêle pour se dire « opposée à certaine campagne visant à identifier les techniciens, cadres et ingénieurs au patronat »[12], par la voix de son secrétaire général CGT Georges Séguy lors d'une conférence de presse à Brive[13], même si dans un article du 28 décembre, le Nouvel Observateur dénonce « une conception militariste de la hiérarchie » qui « fonctionne comme à l'armée », selon le responsable de l'Union départementale CFDT[12].

    Le , Condé-sur-Noireau intègre avec cinq autres communes la commune de Condé-en-Normandie[14] créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. Les communes de La Chapelle-Engerbold, Condé-sur-Noireau, Lénault, Proussy, Saint-Germain-du-Crioult et Saint-Pierre-la-Vieille deviennent des communes déléguées et Condé-sur-Noireau est le chef-lieu de la commune nouvelle.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :

    Administration municipale

    Liste des maires[20]
    Période Identité Étiquette Qualité
    v. 1850   Guillet[21]    
    v. 1882   Isaïe Baranger[22]    
             
    1934 1944 Louis Trolley    
    1944 1944 Fernand Bibaut    
    1944 1959 René Pauwels    
    1959 1964 Robert Gossart    
    1964 1971 Maurice Dossin    
    1971 1995 Maurice Piard[23] DVD  
    1995[24] décembre 2015 Pascal Allizard[25] DVD, puis UMP Sénateur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal était composé de vingt-neuf membres dont le maire et huit adjoints[26]. Ces conseillers intègrent au complet le conseil municipal de Condé-en-Normandie le jusqu'en 2020 et Pascal Allizard devient maire délégué. Afin d'allèger un cumul des mandats, il démissionne de ce poste en février 2016[27] et est remplacé par Nelly Leduc le 7 mars[28].

    Démographie

    En 2018, la commune comptait 4 551 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2006, 2011, 2016, etc. pour Condé-sur-Noireau[29]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2]. Condé-sur-Noireau a compté jusqu'à 7 350 habitants en 1876.

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 3273 7003 9255 4365 5626 4495 9766 3556 368
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6 9697 2346 6436 8717 3507 2797 2526 7646 663
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6 5916 2475 6045 3574 9374 8524 8003 3584 277
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6 2316 5687 2877 0986 3095 8205 6035 3154 681
    2018 - - - - - - - -
    4 551--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,5 %) est en effet supérieur au taux national (23,2 %) et au taux départemental (23,9 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,15 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2011, la suivante :

    • 46,85 % d’hommes (0 à 19 ans = 26,0 %, 20 à 64 ans = 52,9 %, plus de 64 ans = 21,1 %) ;
    • 53,15 % de femmes (0 à 19 ans = 20,5 %, 20 à 64 ans = 49,8 %, plus de 64 ans = 29,6 %).
    Pyramide des âges à Condé-sur-Noireau en 2011 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90  ans ou +
    1,9 
    10,4 
    75 à 89 ans
    16,7 
    16,6 
    60 à 74 ans
    17,8 
    19,1 
    45 à 59 ans
    18,5 
    17,1 
    30 à 44 ans
    15,2 
    19,5 
    15 à 29 ans
    14,6 
    16,4 
    0 à 14 ans
    15,2 
    Pyramide des âges du département du Calvados en 2011 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,3 
    6,5 
    75 à 89 ans
    10,3 
    14,2 
    60 à 74 ans
    15,0 
    20,5 
    45 à 59 ans
    20,0 
    19,4 
    30 à 44 ans
    18,2 
    19,5 
    15 à 29 ans
    18,2 
    19,5 
    0 à 14 ans
    17,1 

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin en partie du XIe siècle.
    • Église Saint-Sauveur du XXe siècle.
    • Temple protestant (Reconstruction).
    • Chapelle Saint-Jacques, ou Notre-Dame-de-Bon-Secours (1830).
    • Calvaire anti-pesteux, érigé au XVIIe siècle en l'honneur des victimes de l'épidémie de peste en 1626 et 1627.
    • Hospice (1873).
    • La gare (1870).
    • Musée Charles Léandre présentant non seulement des œuvres du peintre et caricaturiste Charles Léandre, mais aussi d'autres artistes normands comme Eduardo Leon Garrido, son fils Louis-Édouard Garrido et Jack Mutel (1935-2016).
    • Musée de l'imprimerie
    • Parc municipal, avec son étang.
    • Statue de Dumont d'Urville, située sur le rond-point à l'intersection de la rue du 6-Juin et de la rue Dumont-d'Urville. L'originale en bronze de Dominique Molknecht est inaugurée le par Philippe François Lasnon de La Renaudière. Elle représente Dumont d'Urville debout, en uniforme, épée au côté gauche, appuyé de sa main droite sur une pile de livres, plume à la main, la main gauche ramenée sur la poitrine et tenant un rouleau. Quatre bas-reliefs en bronze ornent chacun des cotés du piédestal. L'un représente Dumont d'Urville découvrant la terre Adélie. Le deuxième le représente assis, accompagné de géomètres debout derrière lui, discutant avec des indigènes. Le troisième le représente découvrant la Vénus de Milo. Le quatrième représente la catastrophe ferroviaire de Meudon dans laquelle il est mort brûlé. La statue était entourée d'une grille. Elle était située au 3 rue Dumont-d'Urville. Le , sous le régime de Vichy, la statue est déboulonnée et fondue dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Les bas-reliefs sont retirés et cachés par des résistants[Qui ?]. En 1948, une statue de remplacement, légèrement différente (son bras gauche est plus relevé), réalisée en pierre par Robert Delandre, est installée à l'initiative de la municipalité. Les quatre bas reliefs sont refixés dans un ordre différent par rapport aux positions d'origine. Une plaque commémorative et des pierres de la terre Adélie sont placées devant le piédestal. Sur la plaque est inscrit le texte : « L'amiral Dumont d'Urville en 1840, découvrait la terre Adélie et lui donnait le nom de sa femme. Don de Paul-Émile Victor, directeur des expéditions polaires françaises, 1969 ».
    • Monument Charles Tellier, situé à l'intersection de l'avenue de Verdun et rue du Vieux-Château. Sous le régime de Vichy, l'original en bronze de 1921 est déboulonné et fondu, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. En 1944, un monument de remplacement, réalisé en pierre par Robert Delandre est installé à l'initiative de la municipalité.
    • Monument dédié aux victimes de l'amiante, situé sur le rond-point sur la rue Saint-Jacques (RD 562). Il est inauguré en .
    • Monument aux victimes des bombardements de 1944 situé sur une façade de l'hôtel de ville, réalisé par Anny Florin Hauseux et inauguré en .

    Culture

    Charles Léandre, Autoportrait, 1920.

    Les Condéens disposent d'une médiathèque et d'un cinéma (Le Royal), remis complètement à neuf et rouvert en 2003, à la suite des terribles dégâts causés par la tempête de décembre 1999. La ville dispose en outre d'un centre aquatique de loisirs et d'un vaste parc municipal au cœur de la ville.

    Côté musical, Condé-sur-Noireau abrite l'orchestre d'harmonie de l'école de musique de la ville, ainsi que la Manécanterie des Petits Chanteurs de Notre-Dame de la Joie qui donnent plusieurs concerts et animations chaque année.

    En 1999, la ville de Condé-sur-Noireau, avec l'aide financière de la Région et du Département, a pu acquérir l'importante collection Léandre créée par Henri Buron et exposée à Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) ; 80 œuvres sur un fonds de près de 300 sont exposées en permanence à l'espace-musée Charles Léandre.

    Labels

    Panneau à Condé-sur-Noireau.

    La commune est une ville fleurie (une fleur) au concours des villes et villages fleuris[37].

    Sports

    Les amateurs de sports aquatiques peuvent s'adonner à leur activité sous le toit ouvrant du centre aquatique, qui possède trois bassins et un toboggan géant.

    Après avoir défendu les couleurs de Condé à haut niveau (D1 et D2), le Football Club féminin condéen fait évoluer depuis 2016 une équipe féminine de football en ligue de Basse-Normandie. Une deuxième équipe (à huit) évolue en divisions de district[38].

    L'Entente sportive municipale condéenne fait quant à elle évoluer une équipe masculine de football en division de district[39].

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune de Condé-sur-Noireau se blasonnent ainsi :
    D’azur à la fleur de lys d'argent[41].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
    3. Voir Scandale de l'amiante.

    Références

    1. [PDF] « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 7.3.2 : La Suisse normande » (consulté le )
    2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    3. « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr)
    4. « Condé-sur-Noireau » sur Géoportail.
    5. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    6. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    7. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 85
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. François Lefaivre, Petite histoire de l'activité industrielle de Condé-sur-Noireau aux XIXe et XXe siècles, Condé-sur-Noireau, Éditions du Petit Chemin, (ISBN 978-2-7546-0027-9), p. 9-11
    10. François Lefaivre, Petite histoire de l'activité industrielle de Condé-sur-Noireau aux XIXe et XXe siècles, Condé-sur-Noireau, Éditions du Petit Chemin, (ISBN 978-2-7546-0027-9), p. 11
    11. François Lefaivre, Petite histoire de l'activité industrielle de Condé-sur-Noireau aux XIXe et XXe siècles, Condé-sur-Noireau, Éditions du Petit Chemin, (ISBN 978-2-7546-0027-9), p. 22
    12. Archives autonomie
    13. Le Monde du 23-12-70
    14. « Recueil des actes administratifs du 4 décembre 2015 », sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    15. « Résultats des élections régionales 2015 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
    16. « Résultats des élections européennes 2014 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
    17. « Résultats des élections législatives 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
    18. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
    19. « Résultats des élections européennes 2009 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
    20. Source partielle : François Lefaivre, Condé-sur-Noireau et sa communauté de communes, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 195 p. (ISBN 978-2-84706-323-3), p. V
    21. Annuaire du Calvados, année 1850, p.368.
    22. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    23. « L’ancien maire de Condé-sur-Noireau Maurice Piard s’est éteint dimanche », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    24. « Cantonales : Pascal Allizard (UMP) est candidat à sa succession à Condé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    25. Réélection 2014 : « Deux nouveaux adjoints aux côtés de Pascal Allizard », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    26. « Condé-sur-Noireau (14110) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    27. « Condé-sur-Noireau : Pascal Allizard n'est plus maire délégué », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    28. « Nelly Leduc est la nouvelle maire déléguée de Condé-sur-Noireau », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    29. Date du prochain recensement à Condé-sur-Noireau, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
    31. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Commune de Condé-sur-Noireau (14174) », sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Département du Calvados (14) », sur le site de l'Insee (consulté le )
    33. « Condé-sur-noireau.com : Industries à Condé sur Noireau » (consulté le ).
    34. Cyrille Calmets, « A Condé, Honeywell ferme la porte », Le Monde, (lire en ligne).
    35. Site du groupe
    36. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris », sur cnvvf.fr (consulté le )
    37. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – F.C. Féminin Condéen » (consulté le ).
    38. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Ent.S. Municipal Condeenne » (consulté le ).
    39. Gérald Dittmar, Charles Longuet (1839-1903), Editions Dittmar, , 266 p. (ISBN 2-916294-49-X), p. 22
    40. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=8336

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Condé se souvient, éditions Charles Corlet, (ISBN 2-85480-634-4)
    • Roger Pecqueur, Condé-sur-Noireau sous les bombardements, éditions Charles Corlet, (ISBN 2-85480-535-6)
    • François Lefaivre, Les Condéens sous l'occupation, Condé-sur-Noireau, éditions Charles Corlet, , 183 p. (ISBN 2-85480-015-X)
    • Stephen Cooper, The Real Falstaff, Sir John Fastolf and the Hundred Years War, (Pen & Sword 2010)

    Liens externes

    • Portail du Calvados
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.