Valeo
Valeo est un équipementier automobile français. Le groupe a réalisé en 2018 un chiffre d’affaires de 19,1 milliards d’euros. Valeo emploie 113 600 salariés dans 33 pays répartis sur 186 sites de production, 21 centres de recherche, 38 centres de développement et 15 plates-formes de distribution. Valeo est membre de l'association européenne des équipementiers automobiles, le CLEPA. En 2018, comme en 2017 et 2016, Valeo se classe à la première place du palmarès des déposants de brevets en France selon l'INPI avec 2 145 demandes de brevets publiées en 2018[4],[5],[6].
Valeo | |
Logo de Valeo | |
Création | 1923 : Ferodo |
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Dates clés | 1980 : Ferodo devient Valéo |
Fondateurs | Eugène Buisson |
Forme juridique | Société anonyme |
Action | Euronext : FR |
Slogan | Smart technology for smarter cars[1] |
Siège social | Rue Bayen - Paris 17e France |
Direction | Jacques Aschenbroich |
Directeurs | Jacques Aschenbroich |
Activité | Équipement automobile |
Produits | Systèmes intégrés et composants pour automobiles |
Filiales | Valeo (Ireland) (d), Valeo (Germany) (d), Valeo (South Korea) (d), Valeo (Japan) (d), Valeo (Brazil) (d), Valeo (United States) (d) et Valeo (d) |
Effectif | 114 700 (2019) |
SIREN | 552030967 |
TVA européenne | FR79552030967[2] |
Site web | valeo.com |
Capitalisation | 8 478 millions d'euros (2019) |
Chiffre d'affaires | 19 477 millions d'euros (2019) |
Résultat net | 313 millions d'euros (2019)[3][réf. non conforme] |
Histoire
Eugène Buisson est depuis 1910 le distributeur et agent exclusif en France des produits de friction de la société anglaise Ferodo (Ferodo ltd)[7]. Il dépose des brevets d'inventions en 1922[8] et, en 1923, il crée la Société anonyme française du Ferodo (SAFF) et ouvre une usine à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour produire des garnitures de freins et d’embrayages sous licence de Ferodo.
La société absorbe en 1927 la filature d'amiante de Condé (Normandie)[7]. En 1928, elle fusionne avec La Plastose[9], son fournisseur de résines phénoliques et poudres de moulage, qui possède des usines à Niort (Deux-Sèvres), Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) et Cahan[10] en Normandie. La SAFF internalise ainsi la chaîne complète de fabrication de garnitures de freins : les tissus d'amiante sont imprégnés de vernis à base de résines phénoliques et sont façonnés pour former des garnitures tissées. En 1934, la SAFF absorbe son concurrent fabricant de garnitures Flertex, dont l'usine est située à Épinay-sur-Seine.
En 1932, la société dirigée par Jacques Vandier « élargit son activité à la production d’embrayages et la SAFF entre en bourse »[11]. Une politique active de dépôts de brevets et d'acquisitions de licences auprès de ZF Sachs, BorgWarner et Daimler Motor Company est menée. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, l’entreprise dispose de la quasi-totalité des brevets ou licences de brevets concernant les embrayages[12]. En 1938, une publicité de la société indique qu'elle tient 90 % de parts du marché automobile français pour les garnitures de friction et qu'elle produit des embrayages et disques de freins, des joints industriels, des poudres à mouler, résines, isolants et applications de l'amiante. Elle emploie 1 500 ouvriers dans cinq usines.
La SAFF poursuit sa croissance externe. Elle acquiert en 1943 le site de Rochefort-Andouillé (Mayenne) de la Compagnie française de l'amiante du Cap, créée par Frédéric Chaplet, dont l'activité de filature de tissus d'amiante est transférée en 1953 à Condé-sur-Noireau (Normandie). En 1952 est créée l'Union de Fabricants de garnitures (UFAGA) pour réunir deux acquisitions récentes de concurrents, Hersot et Nafra, spécialisés dans les garnitures de freins[7]. La SAFF achète la Société française de l'amiante à Viry-Châtillon en 1956[7]. Ainsi, « dans les années 50, l’entreprise se modernise et se développe hors de la région parisienne en construisant de nouvelles usines, notamment en Normandie (garnitures de friction) et à Amiens (embrayages). En 1953, l’entreprise a 30 ans. Les embrayages, dont la technologie est en constante évolution, deviennent sa première activité[12]. »
À partir des années 1960, la société commence à se diversifier : systèmes thermiques (1962), composants, systèmes et équipements électroniques (1963), éclairage et systèmes électriques (à partir de 1970)[7]. Ces développements se font notamment par la prise de contrôle de groupes eux-mêmes déjà importants et parfois diversifiés comme Paris-Rhône (équipements électriques), SEV Marchal (éclairage, équipements électriques, essuyage), Cibié (éclairage, signalisation), Ducellier (éclairage, équipements électriques, essuyage), Chausson thermique (chauffage et refroidissement), Neiman (sécurité, éclairage, signalisation) ou Labinal (équipements électriques). Elle se lance aussi dans des activités hors automobile (éléments de construction préfabriqués, ponts pour véhicules utilitaires) par la prise de contrôle d'entreprises spécialisées, mais, après plusieurs années de volonté d'intégration, ces activités ont été cédées.
Après Mai 68, de jeunes journalistes du mensuel J'accuse viennent en reportage en , dans le sillage du Tribunal populaire de Lens en 1970 et de la vague de séquestrations de cadres qui a suivi, dans des entreprises où les ouvriers sont exposés à un travail dangereux pour leur santé. Le , à l'usine Ferodo de Condé-sur-Noireau, dans le Calvados, exposés aux maladies professionnelles, de jeunes ouvriers protestant contre le licenciement d'un ancien[13] séquestrent le chef d'atelier, puis trois cadres, qui sont libérés grâce aux syndicalistes. La polémique devient nationale. La CGT intervient pour se dire « opposée à certaine campagne visant à identifier les techniciens, cadres et ingénieurs au patronat »[13], par la voix de son secrétaire général Georges Séguy lors d'une conférence de presse à Brive[14][source insuffisante], même si dans un article du , le Nouvel Observateur dénonce « une conception militariste de la hiérarchie » qui « fonctionne comme à l'armée », selon le responsable de l'Union départementale CFDT[13].
Le , la société prend le nom de Valeo (« Je vais bien » en latin), ce nom étant à l'époque celui de la filiale italienne du groupe SAFF et hors du secteur automobile[12].
C’est à partir du début des années 1980 que Valeo atteint la dimension d'une entreprise internationale parmi les plus importantes du secteur de l'équipement automobile, en conduisant une stratégie de redéploiement externe par de très nombreuses acquisitions.
En 1986 l'ingénieur Carlo De Benedetti, par l'intermédiaire de son groupe CIR, prend le contrôle de Valeo pour un montant de cent milliards de lires, attirant l'attention du monde industriel et financier italo-français[15]. De Benedetti aurait empêché un renforcement de la position allemande dans Valeo, un problème, selon les articles de l'époque, étant donné les fortes relations industrielles entre Valeo et le groupe FIAT, l'un de ses principaux clients.[16]
Dix ans plus tard, en 1996, le groupe De Benedetti doit céder Valeo au français CGIP, sous la pression de ses principaux clients, Peugeot-Citroën et Renault, pour un montant d'environ 2 000 milliards de lires. Une opération réalisée à un moment où quasiment aucune entreprise européenne du secteur n'était en mesure de racheter Valeo : l'allemand Bosch en raison de la législation anti-monopole, le britannique Lucas en raison de ses problèmes financiers. Seuls deux grands groupes, tous deux américains, étaient intéressés : la filiale composants de General Motors et TRW, à l'époque leader mondial dans la fabrication d'airbags. Les constructeurs français y ont cependant opposé leur veto, menaçant de retirer Valeo de leur liste de fournisseurs en cas de passage aux mains d'une entreprise américaine. Le ministre de l'Industrie de l'époque, Franck Borotra, les a soutenus à cet égard.[17] Après le retour en mains françaises, les experts ont cependant affirmé que Valeo était une entreprise encore trop petite (en 1996, elle était seizième au classement mondial du secteur) pour continuer d'avancer seule.[18]
Valeo poursuit parallèlement la rationalisation de son portefeuille d'activités, avec par exemple la cession de son activité de câblage à l'allemand Leoni. Valeo est dirigé par Noël Goutard de 1987 à 2000[19],[20].
En 2005, Valéo subit un espionnage industriel réalisé par une jeune stagiaire chinoise. Polyglotte et diplômée dans de multiples domaines, la jeune femme aurait piraté le système informatique de défense de l'entreprise et copié des données confidentielles sur son ordinateur personnel.[21]
Le , Valeo annonce qu'il va supprimer 5 000 emplois dans le monde[22], dont 1 600 en France[23]. L’objectif du groupe est d'atteindre une marge opérationnelle supérieure à 7 % avant 2015 et de se positionner parmi les plus importants équipementiers mondiaux, notamment par la poursuite de son développement en Asie et dans les pays émergents.
Entre et , le groupe est dirigé par Thierry Morin. Il est remplacé depuis par Jacques Aschenbroich (ancien directeur de la branche vitrage de Saint-Gobain). Celui-ci lance un nouveau plan stratégique en [24].
En , Valeo cède sa branche Sécurité Habitacle (VSS) au Japonais U-Shin .
Le , Valeo réintègre le CAC 40 après 13 ans d'absence et une augmentation de ses actions de 630 % en 5 ans [25].
En , Valeo rachète les entreprises allemandes Peiker (de)[26] et Spheros (de)[27]. Le , Valeo réalise l'acquisition de FTE pour 819 millions d'euros, une entreprise allemande spécialisée dans la production de boîte de vitesses[28].
En 2017, Valeo présente son prototype de véhicule électrique low-cost lors du salon de Las Vegas[29].
En , malgré des ventes en baisse au premier trimestre de l'année de 7 % à 4,49 milliards d'euros, Valeo résiste mieux que le marché en pleine épidémie de Covid-19[30]. Les perspectives de l'entreprise sont annoncées optimistes en dépit de l'inactivité du marché, notamment grâce à la reprise de production de ses usines en Chine[31].
Actionnaires
Liste des principaux actionnaires au [32].
Bpifrance Participations | 5,13% |
Caisse Des Dépôts & Consignations | 2,13% |
Valeo (plan d'épargne) | 2,08% |
Valeo (aut-contrôle) | 1,23% |
Scopus Asset Management | 0,28% |
Allianz Global Investors | 0,21% |
Enseignants retraités de l'Ohio | 0,20% |
Triodos Investment Management | 0,15% |
Los Angeles Capital Management & Equity Research, | 0,033% |
Thompson, Siegel & Walmsley | 0,029% |
Organisation
En 2018, Valeo emploie 113 600 salariés dans 33 pays, sur 186 sites de production, 21 centres de recherche, 38 centres de développement et 15 plates-formes de distribution[33].
Activité internationale et endettement
- Chiffre d’affaires total de 19,1 milliards d’euros, en hausse de 4%[34] :
- Performance équilibrée entre l’activité première monte (+ 10 %) et le marché du remplacement (+ 8 %) ;
- Performance du chiffre d’affaires première monte supérieure de 6 points à celle du marché.
→ Europe : croissance de 0 %, supérieure de 1 points à celle du marché.
→ Chine : croissance de 13 %, inférieure de 3 points à celle du marché.
→ Amérique du Nord : croissance de 20 %, supérieure de 3 points à celle du marché.
→ Amérique du Sud : croissance de 2 %, supérieure de 12 points à celle du marché.
- Marge opérationnelle en 2018 de 1,2 milliard d’euros, soit 6,3% du chiffre d'affaires[35] ;
- Résultat net part du Groupe en 2018 de 546 millions d’euros[36] ;
- Génération de cash flow libre de 161 millions d’euros[37].
→ Endettement financier net de 2,248 milliards d’euros en 2018[38].
Quatre grands pôles d’activités
Le Groupe se divise en quatre grands pôles d’activités avec douze familles de produits, répartis comme suit :
- Pôle Systèmes de confort et d'aide à la conduite (CDA) :
- Commandes intérieures intuitives ;
- Aide à la conduite ;
- Véhicules connectés.
- Pôle Systèmes de Propulsion (PTS) :
- Électrification ;
- Automatisation des transmissions ;
- Moteur propre.
- Pôle Systèmes Thermiques (THS) :
- Therm. habitacle ;
- Therm. du groupe motopropulseur ;
- Therm. compresseurs ;
- Therm. face avant ;
- Therm. véhicules commerciaux
- Pôle Systèmes de Visibilité (VIS) :
- Systèmes d'éclairage ;
- Systèmes d'essuyage.
En outre, Valeo dispose d’une activité de deuxième monte : Valeo Service, qui fournit des pièces et accessoires de rechange pour les constructeurs et pour le marché indépendant du rechange[39].
Un des axes de recherche et de développement des activités d'innovation de Valeo est la sécurité du conducteur et des éléments de son environnement ainsi que la réduction des émissions de CO2 et l’électrification des véhicules[40]. En , Valeo s'associe avec le japonais Fujitsu Tenn dans le cadre d'un partenariat portant sur la détection d'obstacles : l'équipementier français développe une caméra associée à un radar conçu par son partenaire japonais[41].
Présidents-directeurs généraux
- 1923 : Eugène Buisson, fondateur
- 1928-1944 : Jacques Vandier
- 1944-1951 : Georges Brabant
- 1987-2000 : Noël Goutard
- 2000-2001 : André Navarri
- 2001-2009 : Thierry Morin
- 2009 : Jacques Aschenbroich
Chiffres clés
2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 est. | 2021 est. | 2022 est. | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Chiffre d'affaires | 16 519 | 18 550 | 19 124 | 19 477 | 16 376 | 19 229 | 20 684 |
Résultat d'exploitation (EBIT) | 1 273 | 1 455 | 1 203 | 1 034 | -330 | 846 | 1 146 |
Résultat net | 925 | 886 | 546 | 313 | -908 | 366 | 652 |
Répartition du CA par pôle d'activités
En 2018, la répartition du chiffre d'affaires par pôles d'activités est la suivante[43] :
- systèmes de visibilité (29,8%) : équipements d'éclairage et de signalisation (feux, projecteurs antibrouillards) et systèmes d'essuyage ;
- systèmes de propulsion (26,3%) : systèmes électriques (démarreurs, alternateurs) et systèmes de transmission ;
- équipements thermiques (23,6%) : équipements et modules destinés à l'habitacle (systèmes de chauffage et de climatisation, compresseurs) et au moteur (refroidisseurs, échangeurs d'huile) ;
- systèmes de confort et d'aide à la conduite (19,6%) : systèmes de commutation et de détection, équipements de sécurité (systèmes d'accès sans clef, antivols de direction) ;
- autres (0,7%).
En 2018, les prises de commandes s’élèvent à 24,2 milliards d’euros[44]. Elles sont portées par :
- les produits et systèmes innovants qui représentent 30 % des prises de commandes ;
- l’accélération du développement du Groupe en Asie et dans les pays émergents. L’Asie représente 41 % des prises de commandes ;
- la Chine (25 % des prises de commandes, 13 % du chiffre d’affaires première monte) est le premier pays du Groupe.
Controverses
Contentieux sociaux
Le , Valeo est condamnée à payer 4,3 millions d'euros de suppléments d'indemnités en raison de 260 licenciements économiques requalifiés en abusifs pour défaut de procédure dans son usine de Labastide-Saint-Pierre[45]. Près d'un siècle après les premières contaminations par l'amiante sur son site de Condé-sur-Noireau (amiante présent dans les systèmes d'embrayage ou les garnitures et plaquettes de freins) et après plus de dix ans de procédure pénale, Valeo et plusieurs de ses dirigeants, puis son propre médecin du travail[46], sont mis en examen en 2006 et 2007 pour homicides, blessures involontaires et non-assistance à personnes en péril[47].
Le groupe Valeo a depuis mis en place des procédures très strictes de maîtrise du risque amiante, tant pour ses salariés que pour ses retraités. Ce dispositif a fait l’objet d’un protocole d’accord national signé le avec le ministère de l’Écologie et du Développement durable[48].
Notes et références
- « Une nouvelle signature et une campagne internationale pour Valeo », Après-vente Auto, (lire en ligne, consulté le )
- « https://amadeus.bvdinfo.com/version-2019829/ » (consulté le )
- https://www.zonebourse.com/VALEO-27891158/fondamentaux/
- L'Usine Nouvelle, « Valeo, PSA et Safran, trio de tête du dépôt de brevets en France en 2018 - Propriété intellectuelle », Hebdomadaire, (lire en ligne, consulté le )
- Valeo, PSA, Safran… qui a déposé le plus de brevets en France en 2017?, Challenges, 28 mars 2018
- « Valeo dépasse PSA et devient le numéro 1 du dépôt de brevet en France », Challenges, 27 mars 2017.
- « Valeo, quelle histoire ».
- Brevets français et internationaux d'Eugène Buisson en 1922 : Brevet US 1547408 Brevet US 1526203 Brevet US 1493803 Brevet US 1588305 Brevet DE 416 805 Brevet CH 105759
- Michel Bernier, Le XXe sièclè en Deux-Sèvres, Niort, Geste, , 319 p. (ISBN 2-84561-004-1 et 9782845610040), p. 102.
- Usine du Rocray à Cahan, à 10 km de Condé-sur-Noireau
- Frank Bournois, Sébastien Point, Jacques Rojot, Jean-Louis Scaringella, RH - Les meilleures pratiques CAC 40 / SBF 120, Paris, Editions Eyrolles, , 766 p. (ISBN 978-2-212-04309-9 et 2-212-04309-0, lire en ligne), p. 746.
- « L’histoire de Valeo », sur valeo.com.
- « Ferodo : Le pouvoir d'autorité et de décision de l'usine », Informations correspondance ouvrière, n°103-104, mars-avril 1971, sur http://archivesautonomies.org (consulté le 18 avril 2019). [PDF]
- Le Monde, 23 décembre 1970.
- Claire Blandin, « Valeo : de Benedetti, Suez et d'autres... », Le Monde, (lire en ligne)
- (it) Eraldo Gaffino, « Colpo di De Benedetti. Acquistata la Valeo. », La Repubblica, (lire en ligne)
- (it) Giampiero Martinotti, « Valeo torna francese. De Benedetti ha ceduto. », La Repubblica, (lire en ligne)
- (it) Siegmund Ginzberg, « De Benedetti lascia Parigi e taglia quasi tutti i debiti », L'Unità, , p. 19 (lire en ligne)
- Noël Goutard, L'Outsider : chroniques d'un patron hors normes, Village mondial, coll. « Management », , 216 p. (ISBN 978-2-7440-6164-6, présentation en ligne).
- « L'Outsider : chroniques d'un patron hors normes », sur franceculture.fr, France Culture (consulté le ).
- « Espionnage industrielchez Valéo », sur L'Obs (consulté le )
- Valeo s'apprête à supprimer 5 000 emplois emplois dans le monde
- Valeo va supprimer 5 000 emplois dans le monde, dont 1 600 en France
- Valeo présente son nouveau plan stratégique et ses objectifs financiers à moyen terme
- Valeo méritait-il de retrouver le CAC 40 ?, Challenges, 2 juillet 2014
- Valeo acquiert Peiker et se renforce dans la voiture autonome
- Valeo acquiert Spheros pour profiter de l'essor mondial du transport en commun
- Le Point, magazine, « Automobile: Valeo finalise l'acquisition de FTE », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
- « Valeo présente son véhicule électrique urbain », FIGARO, (lire en ligne, consulté le )
- Zone Bourse, « Valeo : Communiqué de presse – Chiffre d'affaires du 1er trimestre 2020 | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
- Le Figaro avec AFP, « Malgré des ventes en baisse au T1, l'équipementier Valeo résiste mieux que le marché », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
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- « VALEO France », sur www.top-employers.com (consulté le )
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- « autoactu.com - l'information automobile professionnelle », sur www.autoactu.com (consulté le )
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- Communiqué de presse [PDF]
- « VALEO : Données Financières », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
- « Valeo : Actionnaires Dirigeants et Profil Société », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
- « Valeo : Résultats 2018 en ligne avec la guidance du 25 octobre 2018 », sur Bourse Direct (consulté le )
- « Pas vu d'amiante dans la cave de Natascha », Le Plan B, no 4, octobre 2006, p. 8.
- Cécile Casciano et, « Amiante: le médecin du travail mis en examen », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
- Eliane Patriarca, « Condé-sur-Noireau ravagé par un siècle d'amiante », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
- http://www.mayenne.pref.gouv.fr/communiques-63-installation-de-la-commission-pour-la-mise-en-securite-du-site-de-rochefort-a-andouille.php
Voir aussi
Liens externes
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