Liste des maîtres de province de l'ordre du Temple

La liste des maîtres de province de l'ordre du Temple regroupe les noms des maîtres selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux.

Cette notion de province administrative au sein de l'ordre du Temple ne correspond pas aux limites géographiques actuelles et encore moins aux possessions territoriales des royaumes de l'époque[1]. Les limites de chaque province étaient propres aux templiers et si on fait référence à la province de France, ce n'est ni le royaume de France tel qu'il était au XIIe siècle et XIIIe siècle ni la France d'aujourd'hui.

L'organisation des provinces et leur évolution

Comme tout ordre religieux, les templiers étaient dotés de leur propre règle et cette règle évoluait sous forme de retrais (article statutaires) à l'occasion des chapitres généraux[2]. C'est l'article 87 des retrais de la règle qui nous indique la répartition territoriale initiale des provinces. Le maître de l'ordre désignait un commandeur pour les provinces suivantes[3],[4],[5]:

Cette répartition a évolué au fur et à mesure de l'expansion des templiers. On constate notamment la création de nombreuses nouvelles provinces et certaines réorganisations territoriales comme la fusion de l'Aragon et de la Provence puis vers le milieu du XIIIe siècle la scission en deux provinces distinctes de cette province de Provence et partie des Espagnes[6],[7].

Les responsables de chaque province étaient désignés par le titre de Præceptǒr (Précepteur/Commandeur) ou Mǎgistěr (Maître) selon les cas. Si la traduction de Mǎgistěr ne laisse pas place au doute, celle de Præceptǒr, littéralement « celui qui commande », est souvent sujette à caution. La question étant de savoir si on doit faire référence à des Préceptories ou à des Commanderies lorsqu'on évoque leurs installations.

Provinces créées au XIIe siècle

Province d'Angleterre

L'Angleterre et la France à l'époque d'Henri Ier.

C'est au cours de l'année 1128 qu'Hugues de Payns[8] se rendit dans le Duché de Normandie pour y rencontrer Henri Ier d'Angleterre. Avec son aval il parcourt le royaume d'Angleterre afin de collecter des fonds et recruter des hommes pour défendre les États latins d'Orient. Au cours de ce voyage, il ira jusqu'en Écosse alors en pleine révolution davidienne[3],[9].

Néanmoins les premières donations, dont celle d'Étienne d'Angleterre concernant une propriété dans la Cité de Londres, ne sont attestées qu'entre 1135 et 1144[9]. Temple church fut le siège des templiers dans cette province à partir de 1185[9] ou peu après 1160[10] avant que celui-ci soit transféré dans la ville de Baldock de 1199 à 1254[9].

Le rôle des templiers en Angleterre en tant que dépositaire du trésor royal est confirmé par les nombreuses transactions réalisées du règne d'Henri Ier (1100-1135) à celui d'Édouard Ier d'Angleterre (1272-1307)[11],[12]. On note même la venue en 1274 du maître du Temple Guillaume de Beaujeu dès le début de sa maîtrise afin de récupérer l'emprunt contracté par Édouard[13].

Ils établissent près de 45 commanderies à travers le royaume d'Angleterre, celui d'Écosse, l'île d'Irlande à l'exception des royaumes du pays de Galles où leur implantation est modeste[N 1] comparée à celle des Hospitaliers[15]. L'Écosse et L'Irlande avaient leur propre maître mais il était désigné lors des chapitres qui se tenaient en Angleterre et il était subordonné au maître de la province[17]. À la fin du XIIIe siècle, ces chapitres annuels avaient généralement lieu à Temple Dinsley mais il y en a eu également à Temple Bruer et à Garway[18].

Parmi les hauts dignitaires de l'ordre, le maître Thomas Béraud est parfois cité comme d'origine anglaise[19].

Le premier historien à avoir proposé une liste des maîtres de la province d'Angleterre en indiquant les sources initiales fut Charles G. Addison (en) en 1842, précisant que les Hospitaliers du prieuré de Clerkenwel (en) en avaient dressé une pour honorer la mémoire de ces dignitaires templiers[20]. L'un des ouvrages de référence est celui de Béatrice Adélaïde Lees publié en 1935 car il contient un grand nombre de documents authentiques sur les templiers en Angleterre[21]. On trouve également des informations dans l'ouvrage de T.W Parker paru en 1963[22] et en dernier lieu une liste publiée par Evelyn Lord qui ne reprend pas tous les noms figurant chez Addison, Lees et Parker, qui affine ou corrige certaines dates mais qui n'est pas très précise quant aux sources qui ont permis ce travail[23],[N 2].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Hugh of Argentinec.1140[23],[24](la): Hugonis de Argent', de Argentein
(en): Hugh of Argentein
[25]
(fr): Hugues d'Argentière, d'Argentine, de Argentein
c.1140 X 1143: « Hugoni de Argent[ein] in perpetuam elemosinam XL solidat[as] terre in manerio de Dynneslay »
[26]
c.1140 X 1145 (?): « Hugoni de Argent(ein) et aliis fratribus de Templo in perpetuam elemosinam de terra de Luppehalla »[27]
fr. Osto1150[23],[24]Osto of Saint-Omer, Osto de Boulogne[28],[29]
fr. Richard of Hastings1155 - 1177(la): Ricardus de Hastingas, de Hastinges, de Hastingis
(fr): Richard d'Hastings
janvier/
[30]: « Magister omnium militum et fratrum Templi qui sunt in Angliâ, salutem »[31],[32]
1164: « Ricardus scilicet de Hastinges , et socius ipsius Hosteus nomine de Bolonia ambo sapientes, ambo regis admodum familiares », Clarendon (en)[33]
avant 1171: « Magistro fratrum de Templo »[34],[35]
 Miliciæ Templi in Anglia minister humilis... magister et custos rerum quas domus Templi Salomonis habet in regno Anglie »[36]
postérieur au : « milicie Templi in Anglia magister concilio et assensu Capituli apud Londoniam »[37]
[Certains auteurs ne mentionnent que 1155-1164][23],[24],[N 3]
fr. Walter1157/59[39][Incertain][N 4]
(la): Walterus
1157/59: « magistro de Templo »[39]
fr. Richard Mallebeench ?[N 5](la): Ricardus Mallebeench
(en): Richard Mabang
non daté: « magister omnium pauperum militum et fratrum Templi Salomonis in Anglia »
[32],[40]
Cette charte est une confirmation Richard de Hastings[12],[32]

Probablement le même individu que « Ricardus Malban », chevalier du Temple (miles Templi) en 1147[42]
[Non mentionné par Lord et Parker][23]
fr. Geoffrey Fitz-Stephenc.1185 - 1195[43]
ou
1180 - 1185[12],[23],[24]
(la): Galfridus, Gaufridus filius Stephani
« militiæ Templi in Anglia minister »
[32]
1185: « per fratrem Galfidum filium Stephani, quando ipse suscepit bailiam de Anglia »[44]
c.1189-93: « Karissimo sibi in Christo S. magistro fratrum Templi in Anglia azo archidiaconus Salutem in Domino. »[45]
mai/: « frater Gaufridus filius Stephani milicie Templi in Anglia minister humilis »[46],[47]
fr. William of Newham ?[12],[23],[24](la): Willelmus de Neuham, de Neweham, de Niweham
(en): William de Newenham, of Newburgh
fr:Guillaume de Nehan, de Newham
c.1195-1200: « frater Willelmus de Neuham milicie Templi in Anglia minister humilis »
[48]
sans date: « qui tunc temporis erat magister Templi totius Angliae »[49]

Frère du Temple (témoin dans plusieurs chartes) lorsque Geoffrey Fitz-Stephen était maître, notamment en 1190[46],[50]
fr. Aymer St Mawr1200 - 1216[12](1218)[12],[23],[24](la): A., E., Amauricus, Emericus de Sancta Maura
(fr): Aimery de Sainte-Maure, Aymeric de Saint-Maur
Sources: 1214-1216
[51]
fr. Alan Martel1218 - 1228[12],[23],[24]Également orthographié Alan Marcell, documents pour l'année 1220 et 1228[12]
fr. Amberaldus1229[12],[32][Erreur de date ?, Ni Lees, ni Lord ni Parker n'en font mention][23]
Il apparait uniquement dans le Cotton, Ms. Nero, f. 466[N 6]
fr. Robert de Sandford1229[23] - 1234[12](la): Robertus de Saunford
«  magistrum milicie Templi in Anglia »
[52]
fr. Robert Mounford 1234[12][Erreur]
Probablement Robert de Sandford mal retranscrit par un copiste.
fr. Robert de Sandford1234 - 1248[23](la): Robertus de Samf', de Samford
1233/34: « Robertus de Samford milicie Templi in Anglia minister humilis »
[53]
Dans les chartes anglaises, il n'apparaît que jusqu'en 1247[12]
fr. Roncelin de Fos1250 - 1251[12]N'est pas mentionné par Evelyn Lord, y compris pour la période 1252-59[23]
Pierre-Vincent Claverie indique qu'il a pris ses fonctions en 1252[54]
Commandeur de Tortose (1241/42)[54], maître en Provence (1248-50, 1260-78)[55]
fr. Roncelin de Fos[N 7]
ou
Robert de Sandford[13]
1252[13],[56](la): Rocelinus de Fos
: « magister militiæ Templi in Anglia »
[57]
: « militum Templi in Anglia minister humilis »[58]
: « magistrum militiæ Templi in Anglia »[59]
: « magistrum militiæ Templi in Anglia »[60]
: « magistro militiæ Templi in Anglia »[61]
fr. Roncelin de Fos1252-1259[54]Voir aussi 1250-51[12]
fr. Amadeus de Morestello1259-1260[23],[24]Apparaît également en 1254 et 1258-1259[12]
Périodes pendant lesquelles Roncelin de Fos était en Orient[54]
fr. Ambesard1261 - 1266[62],[63](la): Ambelardus
(fr): Amblard de Vienne
1266: « magister milicie Templi in Anglia »
[62]

Maréchal du Temple (1271)[62]
Maître d'Aquitaine (1278-1295)[62]
fr. Humbert de Pairaud1267 - 1269[12][Erreur ?][N 8]
(la): Himbertus Peraut
Période proposée à partir des interrogatoires du procès
[67],[N 9]

Commandeur d'Aquitaine et visiteur général (1266-1269)[65]
fr. Humbert de Pairaud1269 - 1271(la): Imbertus de Peraut, de Pyraud
1270: « magister milicie Templi in Anglia »
[68]
: « milicie Templi in Anglia minister humilis »[69]

Commandeur de la baillie de Ponthieu (1257)[64]
Commandeur de la province de France (1261-1264)[64]
Commandeur de la province d'Aquitaine et visiteur général (1265/66-1269)[65]
Commandeur de la province de France (1272)[70],[71]
fr. Guy de Forester1272 - 1275[72](la): Guido de Foresta
(fr) : Guy de Foresta

Maréchal du Temple (1277)
[72]
Voir aussi 1291-1295
Autres sources:
[23],[63],[73]
fr. Robert de Turville1276 - 1282(la): Robertus de Turvile, de Turvill
(fr): Robert de Torteville, Tourville, Turvile
« magister milicie Templi in Anglia »
[74]
Il est généralement mentionné sans discontinuer de 1276 à 1290[23],[73]
Richard Peytevyn semble s'intercaler à partir de [75]lorsqu'il part pour l'Écosse[76],[77]
fr. Richard Peitevin1282[75](la): Ricardus Peitevyn, Peytevyn
Richard Peitevin ou Poitevein originaire de North Cave (en) (Yorkshire)
[78]
Reçu en 1266 à Temple Dinsley par Humbert de Pairaud[79],[80]
Commandeur de Wylburgham (1298)[81]
Interrogé[79],[82] et mentionné dans plusieurs interrogatoires du procès[83]
† postérieur à [84]
fr. Robert de Turville1283 - 1290[23],[24],[73](fr): Robert de Torteville, Tourville, Turvile
fr. Guy de Forester1291-1296 (avril)[72](fr): Guy de Foresta
Maréchal du Temple (1277)
[72]
Voir aussi 1272-1275
Autres sources:
[23],[63],[73]
fr. Guillaume de Tourville1292[73][Erreur ?]
fr. Brian de Jay1296 - 1298[23],[24]† lors de la bataille de Falkirk
fr. William de la More1298 - 1312[23],[24](fr): Guillaume de More

Baillie d'Écosse

Il ne s'agit pas d'une province en tant que tel mais d'une baillie dépendante de la province d'Angleterre au même titre que l'île d'Irlande[3]. On remarque notamment que Brian de jay fut d'abord commandeur de cette baillie avant de devenir maître en Angleterre[85].

Commandeur Période
fr. Robert Daken1290[86]
fr. Brian de Jay1291-1296[3]
fr. John de Sawtrey (John of Sawtry, † à la bataille de Falkirk)1296-1298[85]

Baillie d'Irlande

Commandeur Période Commentaires
fr. Walter the templarc. 1180[87]
fr. Guarnerus?[87]
fr. Hugh the templarc. 1200 - 1210[88]
fr. Henry Foliotc. 1210[88](la): Henricus Foliot
sans date: « Magister Militiæ Templi in Hibernia et fratres de Clontarff »
[89]
......
fr. Ralph de Southwark1234[88](la): Radulphus de Souekewurth
1235: « qui fuit frater domus Templi et preceptor ejusdem domus in Hibernia »
[90]
fr. Roger le Waleis1235 - 1250[88](la): Rogerus le Waleis, Walensi
1235: « quod fratrem Rogerum le Waleis, presentium latorem, quem magister Milicie Templi in Anglia de consilio fratrum suorum mittit in Hiberniam »
[90]
1242: « R. Walensi, magistro milicie Templi in Hybernia »[91]
fr. Herbert de Mancetter
(ou Mancester)
1257 - 1273[88](la): Herbertus de Manecestria
(en): Herbert of Mancester
[N 10]
1273: « Magistri militie Templi in Hibernia », à Crok[93]
fr. Roger de Glastonbury1278 - 1288[88]
fr. Thomas de Toulouse1288[88]
fr. Robert de Gloucester1290[86]
fr. Walter Bachelor1295 - 1301[88]
fr. Peter de Malvern1300[88][Chevauchement de dates avec Walter Bachelor]
fr. William de Waryne1302 - 1306[88]
fr. Walter Bachelor1307[94](en): Walter Bacheler
fr. Henry Tanet1307 - 1308 [88](la): Henricus de Tanet
procès: « magnus preceptor in Hibernia »
[95]

Province d'Aquitaine

La France en 1154.

(la): « Præceptor (magister) Domorum Militiæ Templi in Aquitania »

La province de Poitou-Aquitaine est une des premières provinces de l'ordre. C'était une très grande province incluant (du nord au sud) le duché de Bretagne, le comté du Maine, le comté d'Anjou (Touraine incluse) et en grande partie le duché d'Aquitaine[4] (Comté de Périgord, comté de Poitou), à l'exception des comtés à l'est (La Marche, Limoges, Auvergne) qui formeront un peu plus tard la province d'Auvergne et de l'ancien duché de Gascogne qui a fait partie de la province de Provence et parties des Espagnes avant d'être intégré dans les possessions en Aquitaine. Son territoire est comparable à l'Aquitaine seconde[4]. Hugues de Payns visita le Poitou en 1128[8] juste avant de se rendre en Angleterre puis dès 1139[96] Aliénor d'Aquitaine leur fit don de biens à La Rochelle.

Comme pour la province d'Auvergne (où les maîtres portaient parfois le titre de maître du Limousin), les maîtres désignés comme maître en Poitou (Magister in Pictavia) étaient maîtres d'Aquitaine (Aquitania). Giraud Brochard au début du XIIIe siècle est mentionné comme étant maître du Poitou et de Gascogne (Magister in Pictavia et Wasconia)[97].

La province d'Aquitaine intégra également la baillie du Duché de Bretagne, lors d'un accord établi en 1225 entre Giraud des Bruyères (Girardus de Breies), alors maître provincial d’Aquitaine, et les seigneurs de Retz[98]. Il s'était adjoint les services d'un lieutenant, Pierre de Langan, cité en 1245 comme "commandeur des maisons de la chevalerie du Temple en Bretagne"

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonctions
fr. Guillaume Guidaugierc. 1141[99]
fr. Hugues1151[99],[100](la): Hugo
fr. Pierre Levesquec. 1166[99],[100](la): P. Episcopus[101], Petrus Episcopus[N 11]
« magister Pictavie »
fr. Guillaume Pavet1166 - 1173[99],[101](la): Guillelmus Panel, Willelmus Pavet
(en): William Pavet
(fr): Guillaume Panet, Ponet
1173: « minister Templi in Acquitania »
[103]
Autres sources:[104]

Maître de la province de France (1160-1161)
fr. Humbert Boutiers1180[99],[100],[101](la): Hymbertus Boters
1180: « magister de Pictavia »
[105]
c. 1180: « humilis minister Templi in Aquitania »[101]
fr. Aimery de Sainte-Maure1189 - 1190[99](la): Aimericus de Sancta Mora
(fr): A. de Sainte-Maure
non daté: « magister fratrum milicie Templi per totam Aquitaniam »
[101]
fr. Guillaume Arnaud1201[99],[101](la): Guillelmus Arnaldus
1201: « magister fratrum milicie Templi in Aquitania »
[101]
fr. Témeric Boezc.1205[99](la): Lemerius Boez, Temerius Booz
sans date (1205?)
[N 12]: « magister militie Templi pictavensis, magister militiæ Templi pictaviensis »[106]

Commandeur de La Rochelle (1207)[107]
Guillaume "Œil de Bœuf"
1207[108][Erreur][N 13]
Maître cismarin (1207,1209,1211)[111]
Maître de la province de France (1209)[112]
Giraud Brochard1210 (1214)[100] - (1220)[100] 1222[113](Girardus brochardi)
Guy de Tulle1222 - 1223[100](Guido de Tullo)
Gérard de Breies1224 - 1231[100](Girardus de Breies, Girard des Brières)
1225: « frater Girardus de Breres, militie Temple in Aquitania preceptor humilis ; fratris Girardi de Breies tunc temporis milicie Temple in Aquitania preceptoris »
[114]
1231: « fratre G. de Breis, domorum Templi militiæ in Aquitania preceptore »[115]
Giraud de Brosses1232[100](Giraudus de Brosses)
fr. Guillaume de Sonnac1236-1246[116](la): Guillelmus de Sonaio, de Sonayo, Willelmus de Sounaio, de Sonayo
(en): William of Sonnac
(fr): Guillaume de Saunhac
: « preceptori fratrum milicie Templi in Aquitania »
[117]
1239: « Humble précepteur des maisons du Temple d’Aquitaine »
1242: « domorum militie Templi in Aquitania preceptor humilis »[118]
: « magister milicie Templi in Aquitania »[119]
fr. Garin de Sonariis1243[Guillaume de Sonnac][116],[N 14]
(la): Warinus de Sonariis
(en): William of Soum'
1243 x 1247: « domorum militiæ Templi in Aquitania preceptor humilis », lettre adressée au roi Henry III d'Angleterre
[120]
Autres sources:[100]
Témeric Boez1244[100][Erreur de date]
(la): Temerius Boez
Début XIIIe siècle
Foulques de Saint-Michel1250 - 1252[100](la): Fulco de Sancto Michaele
: « Ge frère Foques de Saint Michea, commanderers adonques dau maisons de la chevalerie dau Temple en Aquitaine »
[121]
1251: « ? »[122]
: « venerabilis vir frater Fulcho de Sancto Michaele, preceptor militie Templi in Aquitania »[123]
(Guido de bona Camierna)[13]1252
Hugues Grisard (Hugo Grisardi)1254 - 1258[100]: « fratre Hugone Grisart, tunc preceptore militie Templi in Aquitania »[124]
François de Bort1259 (?)[125] - 1261[101],[126],[99]: « fratri Franconi de Borno praeceptori et locum praeceptoris Templi in Aquitania tenenti »[127]
Guy de Bazainville1262 - 1264[128](Guido de Basenvilla, Gui de Basenville)

Maître de la province de France (1249-1255)
Commandeur de la terre et du royaume de Jérusalem (1256)[129]
Visiteur cismarin (1258-1260/61)
Humbert de Pairaud1266 - 1269[65]
Jean le Français1269 - 1276 [66],[3],[130](la): Johannes Franciscus, Johannes dictus le Franceis
: « frater Johannes dictus le Franceis magister militiae Templi in Aquitania »
[131]
Humbert de Pairaud1274 - 1278[N 15][Incertain]
Amblard de Vienne1278 - 1295[62] (1288)[100](Amblardus de Vienesio)
Pierre de Villiers1292 - 1300[100](Petrus de Villaribus, Petro de Villaria)[132],[133]
Geoffroy de Gonneville1302 - 1303[100] (1307)[134](la): Galfridus, Gaufredus, Gaufridus de Gonavilla, Guaufredo de Gonavala
Galfride de Gonavilla, Geoffroy de Goneville
[135]
, procès: « Galfridus de Gonavilla, Miles Ordinis Templi, preceptor Aquitaniæ & Pictaviæ »[136]

Reçu vers 1279 au Temple de Londres par Robert de Turville, maître d'Angleterre[136]
Autres mentions au cours du procès:[137]

Baillie de Bretagne

(la): « Preceptor domorum militie Templi in Brittania »

Commandeur Période Commentaires
fr. Guillaume Faucon1141[138](la): Guillelmus Faucon, magister militum Templi
fr. Guillaume Ferron1170[139]
fr. Pierre de Langan1245[140],[141]

Baillie de Périgord

(la): « Preceptor domorum militie Templi in Petragoricensis »

Commandeur Période Commentaires
fr. Raymond Aiz1246(la): « Raymundo Aiz, magistro Militiae Templi in Petragor. dioc. »

Province d'Auvergne

Carte de la France en 1154.

(la): Preceptor milicie Templi in Lemovicino et Arvernia, magister/preceptor in Lemovicino, preceptor Arvernie, preceptor domorum milicie Templi in Arvernia

Cette province se forme vers 1180 et correspondait aux territoires du comté d'Auvergne et du comté de la Marche au sein du Duché d'Aquitaine, certains auteurs faisant référence à la province d'Auvergne-Limousin lorsqu'ils évoquent cette province. Les limites exactes sont difficiles à établir notamment au nord où on trouve la seigneurie de Déols et la seigneurie de Bourbon avec des possessions templières dont on ne sait pas précisément à quelle province il faut les rattacher.

Émile-Guillaume Léonard a émis des réserves quant à l'autonomie de cette baillie ou province vis-à-vis de la province de France[142] et il semblerait que la province fut intégrée à celle d'Aquitaine à la fin du XIIIe siècle car la commanderie de Montferrand était devenue la résidence du maître d'Aquitaine[143]. On note par ailleurs une charte de qui montre qu'à cette date, leurs possessions en Auvergne dépendent de la province de Provence et parties des Espagnes. Foulques de Montpezat (ca), maître de Provence et d'Aragon et Guilhem d'Alliac alors commandeur d'Auvergne signant un accord avec le chapitre de Brioude[144].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Jourdainav. 1188[142](la): Jordanus
« Magister milicie Templi Lemovicensis » (Limousin)
[142]
Guy des Barres1201[145](Guido deu Barri)
« Magister domorum Templi in Lemovicinio » (Limousin)
[142]
Gérard1225[146][?, à vérifier]
fr. Guillaume d'Ailly
(Alliac)
1228[142],[147](la): Willelmus d'Alliac
(en): William of Alliac, of Azylach
(fr): Guilhem d'Alliac
: « frater Willelmus d'Alliac, preceptor militie Templi Arvernie »
[144]

Commandeur de Barberà (1207-1208)[148],[149]
Commandeur de Novillas (1212-1218)[148],[N 16]
Commandeur de la baillie de Provence (1217-1218)[150]
Maître de la province de Provence et partie des Espagnes (1220/21-1223)[148],[151]
fr. Archembaud1237[142](la): Archembaldus
1237: « Preceptor Arvernie »
[142]
fr. Pierre de « Malomonte »1253[142]« Humilis preceptor domorum mil. T. in Lemovicinio »[142]
Étienne de Leol ou de Loriut1258 - c. 1275[142],[152](la): Stephanus de Leol, de Loriut
Sources complémentaires: Procès
[153],[154]
Raymond de Boysso1275 - c. 1279[142],[152]Autres sources:[155],[156]
François de Bort1279 - 1288[142],[152],[155],[126][Dates à vérifier][N 17]
(Franco de Borto)[159]
Parait avoir été commandeur du Limousin à une date antérieure
: « fratris Franconis de Bront, domorum militiae Templi in Lemovicinio praeceptoris »
[160]
: « Nos Franco de Bornt domorum militiæ Templi in Lemovicinio præceptor humilis », Testament de Robert V d'Auvergne[157]
, 18 oct. 1282: « frater Franco de Bort, preceptor domorum milicie Templi in Lemovicinio ; magistrum milicie Templi in Lemovicinio »[161]
juillet 1208[N 18]: « frater Franco de Borto miles præceptor humilis domorum militiæ in Lemovicinio et Alvernia »

Commandeur de la province d'Aquitaine (1261)[162]
Commandeur de la province de Provence (1267)
Visiteur cismarin (1270-1273, 1279)
Tenant lieu de commandeur de la province de France (1273-74)
Gérard de Sauzet1289 - 1291[155][3],[163],[164]
Raymond de Mareuil1288, 1292, 1294/95[165][Sources indirectes, procès]
(la): Raimundus de Maroil, Raymundus de Marolio
1288: « frater Raymondus de Marolio, domorum militie Templi in Alvernia et Lemovicino »
[166]

Commandeur de Villegats et de Vouthon, tenant lieu de maître d'Aquitaine (1285)[167]
Tenant lieu de commandeur du Poitou (c. 1290)
Pierre de Madic1292 - 1301[155](la): P., Petrus de Madico[N 19]
: « frater Petrus de Madico, preceptor domorum milicie Templi in Arvernia »[168]
: « P. de Madico in Alvernia preceptor(ibus) »[133]

Commandeur de Bellechassagne (1272) [à vérifier][N 20]
Tenant lieu de visiteur (c.1289, 1292, c.1294)[169]
Tenant lieu de commandeur du Poitou (1291, 1294, 1300)[170]
Commandeur de L'Ormeteau (1299, 1301)[170],[171]
Humbert Blanc1301 - 1307[155],[172](la) Hymbertus Albi, Hymberto Blancho
(Imbert Blanke)
13-: « Hymberti Albi præceptoris domorum militiæ templi in Alvernia ; Hymberto Blancho ordinis militi(a)e templi in Alvernia »
[173]
Pierre d'Aumont1309[113][Légende ?]

Province de Castille et León

(la): « Præceptor (magister) Domorum Militiæ Templi in Legione et in Castella »

Cette province incluait le Royaume de Castille et de Tolède ainsi que le Royaume de León pendant les règnes d'Alphonse VIII de Castille et d'Alphonse IX de León.

L'implantation de l'ordre débute en 1146 pour le León et en 1148 en Castille lorsque Alphonse VII leur confie la forteresse musulmane de Qal'at Rabah[174]. De leurs difficultés à défendre cette forteresse qu'ils abandonnent dix ans plus tard, naîtra l'ordre de Calatrava[174]. D'après Pedro Rodríguez de Campomanes, le frère Pedro Robera ((la): Petrus de Robera)[175] semble avoir joué un rôle majeur à partir de 1152[176] mais il s'agit de Peire de Rovira, qui était maître de Provence et partie des Espagnes[175] à ce moment-là. En 1177 ils prennent possession du Château de Ponferrada et le premier maître à porter le titre de maître de Castille et León est nommé en septembre 1178[177],[178].

Dans une moindre mesure que dans la province de Portugal, ils participent à la Reconquista et ils sont à l'origine des nombreuses forteresses assurant la défense des frontières contre les Maures.

Si le Portugal fait partie des premières provinces comme en atteste un exemplaire de la règle française qui doit dater de 1139/40[4], son autonomie dans la seconde moitié du XIIe siècle vis-à-vis de la Castille et du León est sujette à discussion. Les historiens Alain Demurger et Kristjan Toomaspoeg ne sont pas de cet avis[179]. En 1169, Gualdim Pais alors « procurateur » de Portugal semble subordonné à Garsia Romeo, « Ministre » en Castille et León lui-même aux ordres de Geoffroy Fouchier, « maître en deçà-mer ». Cependant en 1178, on trouve le maître de Castille et León, Guido de la Guarda et le maître de Portugal, Gualdim dans un même acte[180], Gualdim Pais figurant avec le titre de maître dans de nombreux documents y compris avant 1169[181].

Au début du XIIIe siècle la Castille et le León sont clairement réunis avec la province de Portugal formant la province d'Espagne dite aussi des « trois royaumes d'Espagne ». Fernando Díaz est le premier maître apparaissant avec ce titre: (la) « Magister militie Templi in Hispania » notamment en 1203[182]. On trouve ensuite Gomes Ramires (que certains historiens qualifiaient à tort de « Grand » maître du Temple)[178],[183] mais son titre exact est inconnu puis Pedro Álvarez prend le titre de maître de la province de Castille, León et Portugal (ou des trois royaumes d'Espagne)[184]. Du point de vue des commanderies, la province ne se structure réellement que vers 1220[177]. Jusqu'à la maîtrise de João Fernandes (Juan Fernandez).

Les relations entre les templiers de Castille et León et ceux de Portugal furent marquées par de nombreux conflits[N 21] qui aboutiront à la scission des deux provinces pendant la maîtrise du dernier maître des trois royaumes d'Espagne, João Fernandes d'origine portugaise. Gómez García alors grand commandeur de Castille et León pris le parti de Sanche IV de Castille lors de sa révolte contre son père contrairement à João qui fut contraint de s'exiler (au Portugal) après l'accession au trône de l'infant[187]. Il agit seul à partir de 1285 au sein des prieurés castillan et léonais tandis que João Fernandes conserve le contrôle du Portugal jusqu'en 1288.

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Fulcado1148-[188],[189] ?
fr. Hermindoc. 1168/70[188],[190]
fr. Garsia Romeu1169[188],[191]((la) : Garcia Romeo, in Campis, et in Castela Militum prædictorum Ministro.)[191]
Peut-être maître de cette province dès 1168 si on suit l'avis de Gonzalo Martínez Díez[192] et de Philippe Josserand[193]. Il est mentionné comme commandeur de Ceinos (en Aragon) à cette date[194],[195].
fr. Guido de la Guarda1178[176],[178] - 1187[196]((la) : Guido de La Garda, magister militie Templi in Legione et Castella (1178)[180],[197]. Guidonis de Garda)
En , il n'est plus que maître en León tandis que le frère Rodrigo est maître en Castille (traité de paix entre Alphonse VIII de Castille & Ferdinand II de León)
[198],[199]. Il apparaît avec le titre de maître (de León)[N 22] dans les archives de Ferdinand II de León jusqu'au [201].
fr. Joan Fernández1183[176][Erreur]
Apparaît dans la liste proposée par Campomanes[176] qui tire l'information du cistercien Miguel Ramon Zapater[202]. Erreur de date, les faits relatés se sont produits en 1283. À cette date (1183), Guido de la Guarda est maître en León, Garnerio maître en Castille[200].
fr. Lope Fernández (ou de Serana) († )1197-1199[203],,[204](la) : Lupus de Serana)
Acte comme maître de Ponferrada en , ce qui laisse penser qu'il était maître de cette province
[203].
Les historiens portugais le mentionnent uniquement comme maître de Portugal (1195-1199) et successeur de Gualdim Pais
[204],[205]. Il a été commandeur de Tomar (1190)[204]
fr. Guttiere Hermildes[176][Incertain]
Aucune charte ni de dates précises.
Campomanes le mentionne
[176] en prenant sa source chez Gonzalo Argote de Molina (es)[206], la source primaire étant une chronique de l'ordre de Calatrava où ce dignitaire serait le grand-père d'un homonyme, commandeur de Biuoras[207] ?. Il n'est pas cité par Carlos Pereira Martínez[188], à moins qu'il s'agisse du frère Hermindo (c. 1168/70) ?
Voir les maîtres de Castille, León et Portugal pour la période c. 1200-1285
fr. Gómez García1285-1289[187]Grand commandeur de Castille et León depuis 1283, fr. João Fernandes est maître des trois royaumes d'Espagne à cette période[208] mais il prend le pas sur lui à partir de 1285[187],[209].
Commandeur de «  Sassivoz »[N 23] (1271/72)[212],[213]
fr. Gonzalo Yáñez1289 -[208]...[214]
fr. Sancho Ibáñez
ou
fr. Gonzalo Yáñez
1295[176],[208]03 aout 1295[208]
fr. Gonzalo Gómez
ou
fr. Gonzalo Yáñez
1295[215]19 aout 1295[216]
fr. Ruy Díaz1296[217]
Pedro Yáñez1296[176][Incertain]
fr. Gómez Pérez1298[217],[218]
fr. Rodrigo Yáñez1300-1301[219].((la):Rodericus Johannis)
Déchu de sa maîtrise entre et au moins jusqu'à , il se retire à Jerez de Los Cabaleros
[220].
Semble être à Tripoli en 1281
[221],[222]
fr. Pere de Tous
ou
fr. Gómez Pérez
1301-1302[223]Pere de Tous, lieutenant du commandeur en Castille nommé par Berenger de Cardona, le maître de la Province à cette période est peut-être Gómez Pérez[224]
fr. Rodrigo Yáñez1302-1307[219].

Province de France

La France en 1180

Ce fut la première province des Templiers en Occident[225]. Il ne s'agit pas du Royaume de France mais des terres où la langue d'oïl était parlée[4]. Initialement, elle couvrait également les territoires du royaume d'Angleterre.

Les frontières de cette province étaient les suivantes[3],[225]:

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Évrard des Barres1143[226] - 1147[227]27 nov. 1143: « donacio fuit facta in manu dompni Ebrardi, magistri Gallie »[228]
avant 1150 : « frater Evrardus, magister fratrum de Templo qui in Francia sunt »[229]
Otton[Lequel ?]1158[227]
Guillaume Pavet1160 - 1161[230](la): Willelmus Panet
(en): William Pavet
(fr): Guillaume Panet, Ponet
[N 24]
: « fratrum Templi in Gallia commorantium minister »[231]

Maître de la province d'Aquitaine (1166-1173)[99]
fr. Geoffroy Foucher (Fouchier)1171(la): Gaufridus Fulchen, Fulchier
(en): Geoffrey Foucher
1171: « Gaufrido Fulchen magistro militiae Templi in Francia »
[232]

Commandeur de la terre de Jérusalem (1156-1168), peut-être dès 1151[233]
Visiteur Cismarin (1171[234], 1172[235], 1179)[236]
Autres sources :[237],[238]
fr. Eustache le Quien? - 1178(la): Eustachius Canis
1171: « vice magistri tunc temporis rerum Templi procurator in Gallia »
[239]
1172: « Hoc vero fratris Gaufridi Fulcherii factum est consilio, qui cis mare Templi magister erat. Et consilio fr. E[ustachii] Canis, qui sub fratre Gaufrido preceptor erat Gallie »[235]
c. 1176: « bajulationis Francie magister »[240]
1178: « magister et procurator elemosinarum templi in Francia »[241]
fr. Amio de Ays1183[227][Sources contradictoires][N 25]
(la): Aimo, Amions
(fr): Amion des Haies
1183: « frater Aimo magister milicie Templi », à Paris
[242] ; « Amions fratrum templariorum in Francia commorantium [dictus] magister »[244]

Maître cismarin (1179-1186)[242]
Sénéchal (1190-1191)[242]
Il quitte l'ordre en 1198 pour se mettre au service d'Amaury II de Lusignan[245]
Commandeur de la terre d'Antioche (1211)[246]
fr. Olard1189[243][Incertain]
(la): Oelardus
1189: « Magister Templi Francie »
[243]

Commandeur de la baillie de Ponthieu (1194)[247]
Peut-être le même que Huilardus, maître cismarin
[248]
fr. Robert de Milly1190[243],[249][Homonyme de Robert de Milly , chambellan du comte de Champagne][N 26]
(la): Robertus de Miliaco
1190: « fratri Roberto scilicet de Milliaco, qui tunc temporis erat magister militie Templi in Francia »
[249], « minister in Francia »[253]

Maître de la province de France (1180)[243]
fr. Pierre de « Moron » ? - 1192
1195/96[254]
(la): Petrus de Moncione, de Moron
1192 (Laon): « Domorum Templi preceptor in Francia »
[255]
/96: « tunc procuratore domus templi in Francia »[256]
fr. Raoul de Montliard
(ou de Molitard ?)[N 27]
1192 - 1193[257](la): Radulphus de Monteletardi
(fr): Raoul de Montletard
fév [sic] 1192: « ? »
[258]
: « tunc temporis domorum Templi in Francia humilis procurator »[259]
fr. Gilbert Hérail? - 1196[227][Erreur][N 28]
(la): Girbertus Eracleo, Eral, Heral
(en): Girbert Eral
(fr): Gilbert Erail, Eral, Horal

Grand commandeur (1183, 1190-1191)
[265]
Maître de Provence et parties des Espagnes (1185-1189)[148],[266],[260]
Maître cismarin / deçà-mer (1191-1193)[260]
Maître de l'ordre (1194-1200)
fr. Pons de Rigaud1197[267],[N 29](la): Poncius Rigaut
1197: « Poncius, tunc temporis magister Francie, frater noster oriendus de Rigaut »
[274]

Commandeur du Ruou (1180)[275]
Commandeur de la baillie de Provence (1184-1189)[150]
Maître de la province de Provence et parties des Espagnes (1189-1195, 1202-1206)[148],[150],[276]
Maître en deçà-mer (cismarin) (1196, 1198, 1202, 1207-1208)[277]
Maître en Italie, Provence et Espagne (1200)[272]
fr. Gui de Briançon1201 - 1204[243](la): Guido de Briencon, Briencione, Brienchon
1201: « domus milicie Templi in Francia procurator »
[278]
: « militiæ templi in Francia minister humilis »[279]
: « F. Guido de Brienc. domorum militiae Templi quæ sunt in Francia procurator »[280]
1203: « Ego frater Guido de Brienc..., milicie Templi in Francia minister humilis »[281]
fr. André de Coulours1204 - 1205(la): Andreas de Celeres, de Coloors
: «  domorum milicie Templi que sunt in Francia preceptor »
[282]
: « domorum templi... tunc temporis in Francia »[283]
fr. Guillaume Œil-de-Bœuf1207, 1209(la): Vuilelmus Oculis Bovis, Willelmus de Eulebuef
1207: « fratris Vuilelmi Oculus Bovis magistri milit[i]ae Templi in Francia »
[284]
1209 : « Willelmus de Eulebuef tunc temporis magister militie templi in Francia »[285], « Magister [mil. Templi] in Francia »[243]

Maître cismarin (1206-1207, 1208-1209, 1211)[N 30]
André de Coulours1209 - 1220/21[290](la): Andreas de Coleors, de Coloors, de Colors, de Couleors
: « domus Templi in Francia preceptor »
[291]
: « domus Templi in Francia preceptor »[292]
1214: « domorum Templi in Francia preceptor »[293],[294],[295] ; « Præceptor domorum T. in Francia »[296] ; « Ego Andreas preceptor templi in regno Francie »[297]
1216: « domorum Templi in Francia preceptor »[298]
1219: « domorum militie Templi in Francia preceptor »[299]
1220/21: « domorum militie Templi in Francia preceptor »[290]
fr. Gérald de Villers1209[N 31][Erreur]
((la) Giraldus de Villers.)
fr. G. de l'Aigle[N 32]1222[243](la): G. de Aquila[N 33]
: « domorum militie Templi in Francia preceptor »[302],[304]

Peut-être Guillaume de l'Aigle, commandeur de Normandie (1219, 1226-1227)[N 33]
Olivier de La Roche1224[296][Erreur ?][N 34]
Pierre de Saint-Romain1225[307](la): Petrus de sancto Romano
 [sic]: « frater P., perceptor domorum milicie Templi in Francia »
[308]
nov. 1225: « frater Petrus de sancto Romano, magister militiae Templi in Francia »[307]

Maître de la province de France et visiteur cismarin (1238)
Grand commandeur (1241)

Commandeur de la terre de Tripoli (1243)[307]
fr. Olivier de La Roche1226-1234[243](la): Oliverius de Rupe
1226-1227: « ? »
[309],[310]
: « domorum militum templi in Francia preceptor »[311]
/27: « domorum militiæ Templi in Francia præceptor »[312]
: « domorum militi Templi in Francia preceptor »
[313]1232: «  »[314]
: « domorum militie Templi in Francia preceptor »[315]
: « domorum militie Templi in Francia preceptoris »[316]
Robert de Lille1234/35[243](la): Robertus de Insula
1234/35: « ? »
[317]

Frère chevalier (1217)[318]
Commandeur de la baillie de Flandre [?]
Pons d'Albon [?]1236 - 1237[296][sources contradictoires][N 35]
: « frater P., perceptor domorum milicie Templi in Francia »[308]
Pierre de Saint-Romain1238[307](la): Petrus de sancto Romano
: « magister milicie (militiae) Templi in Francia »
[295],[319]

Voir 1225 pour le reste de sa carrière
Pons d'Albon1238 - 1240/41(la): Poncius de Albone
1238: « Frater Pontius de Aubon, domorum Milicie Templi in Francia preceptor humilis »
[320]
:[321]
1240: « frater Pontius de Ambon, domorum milicie templi in francia preceptor  »[322]
: « Frater Pontius de Albon, domorum milicie Templi in Francia preceptor »[323]
juin/: Chronique anonyme relatant une lettre au roi de France à propos de l'invasion des Tatars[N 36]
Renaud de Vichiers1242 - 1243[325](la):Renaudus de Vicheriis
: Renaut de Vichery, « domorum milicie Templi in Francia preceptor »
[326]
: « Frater Renaudus de Vichier preceptor domorum milicie templi in Francia »[327]

Commandeur d'Acre (1240)
Commandeur de la baillie de Landrecies ou de Laon (1241) [?]
[N 37]
Maréchal de l'ordre (1249-1250), maître de l'ordre (1250-1256)[325]
Autres sources:[295],[331]
Guy de Bazainville (Gui de Basenville)1243[128][Problème de date][N 38]
(la): Guido de Basainvilla
: « preceptor domorum militie Templi in Francia »
[332]

Commandeur de la terre et du royaume de Jérusalem (1256)[129]
Visiteur cismarin (1258-1260)
Maître d'Aquitaine (1262-1264)
Renaud de Vichiers1244[N 39] - 1248 [325](la):Rainaldus, Renaldus, Renaudus, Reginaldus de Vicheriis
: « nos frater Renaldus de Vicherio, domorum militie Temple in Francia preceptor »
[333]
: « Renaudus de Vich. domorum militie Templi in Francia preceptor »[335]
: « fratrem Rainaldum de Vicherio, preceptorem militie Templi in Francia »[336]
: « fr. Renaldus, preceptor dominice milicie Templi Ierosolimitani in Francia »[328] ; « et fratrem Renaldum preceptorem domus milicie Templi Hierosolimitani in Francia »[337]
juil. 1247: « Reginaldus de Vicheriis, domorum milicie Templi in Francia preceptor »[328]
: « frater Renaudus de Vichier, domorum milicie Templi in Francia preceptor »[338]
: « fratris Renaudi de Vicher domorum milicie Templi in Francia preceptoris »[325]

Accompagne probablement Louis IX au moment de son départ pour Chypre en [339].
Voir période 1242-1243 pour le reste de la carrière.
Guy de Bazainville (Gui de Basenville)1249[340] - 1255[128](la): Guido, Guidone, Guidonis de Ba(s)senvilla, de Baseinvilla, de Balsenvilla, Gui de Bainvilla
1249: « Gui de Basenville, précepteur des maisons du temple en France »
[340]
: « frater Guido de Basenvilla domorum milicie Templi in Francia preceptor »[128]
: « freres Guis de Bazainvile mestres de la chevalerie del Temple en Franche »[341]
: « frater Guido de Basanvilla, domorum Militie Templi in Francia preceptor »[342]
: « a fratre Guidone de Balsenvilla milicie Templi in Francia preceptore »[343] ; « a fratre Guidone de Blansenvilla(sic) preceptore milicie Templi in Franciam »[344]
: « a domino Guidone de Balsenvilla milicie Templi in Francia preceptore »[345]
: « a domino Guidone de Bassenvilla milicie Templi in Francia preceptore »[346]
24 oct. 1253: « a fratre Guidone de Bassenvilla preceptore domorum milicie Templi in Francia »[347]
: « a fratre Guidone de Basenvilla domorum milicie Templi in Francia preceptore »[348]
: « a fratre Guidone de Basenville domorum milicie Templi in Francia preceptore »[349]
: « a fratre Guidone de Balsemvilla domorum milicie Templi in Francia preceptore »[350]
: « a fratre Guidone de Balsenvilla domorum milicie Templi in Francia preceptore »[351]
1251-1253: « frater Guido de Basemilla domorum militie Templi in Francia preceptorum »[352]
/55: « frère Gui de Basenville précepteur des chevaliers du Temple en France »[353]
: « fratris Guidonis de Basenvilla domorum milite Templi in Francia preceptoris »[353]
(08 oct. 1254): « a fratre Guidone de Blassenvilla milicie Templi in Francia preceptore »[354]
: « frater Guido de Basenvilla preceptor domorum milicie Templi in Francia »[353]
: « frater Guido de Basenvilla, domorum Militie Templi in Francia preceptor »[355]
1255: « ? »[356]

Commandeur de la terre et du royaume de Jérusalem (1256)[129]
Visiteur cismarin (1258[357]-1260)
Maître d'Aquitaine (1262-1264)
fr. Amaury de La Roche1256[358][Date incertaine][N 40]
(la): Emauricus de Ruppe
: « preceptor domorum milicie in Francia »
[358],[N 40]

Grand commandeur (1262)[358],[360]
Maître de la province de France (1265-1271)[358]
fr. Foulques de Saint-Michel1256 - 1258[257](la): Falconis, Fulco de Sancto Michaele
: « magistri Falconis de S. Michaele, domorum militiae templi in Francia »
[361],[N 40]
: « preceptor domorum milicie ejusdem in Francia »[357]
: « Nous frère Foulques de Saint-Michel, grand-maître (preceptor) des maisons du Temple de France »[362]

Maître d'Aquitaine (1250-1252)[100]
Humbert de Pairaud1261[363] - 1264[364],[N 41]juillet 1261: « frater Humbertus de Peraut, preceptor domorum militie Templi in Francia »[363]
1261: « Item procurator fratris huberti de p aut pceptoris militie Templi in Francia  »[365]
: « frater Ymbertus de Peraut, Domorum Milicie Templi in Francia preceptor »[366]
: « frater Imbertus de Paraut, Praeceptor domorum militiae Templi in Francia »[367]
: « frere Hubert commandeor des freres dou Temple en France »[368]

Commandeur de la baillie de Ponthieu (1257)
Commandeur de la province d'Aquitaine et visiteur général (1265/66-1269)
Maître de la province d'Angleterre (1269-1271)
Amaury de La Roche (Aimery de la Roche)1265 - 1271[358]avril ou : « frere Amauri de la Roche, commandeur de la maison du Temple en France »[369]
28 oct. 1267: « Amalricum de Rupe, magistrum domorum militiae Templi in Francia »[370]
: « frere Amaurri de la Roiche, commandeeur des mesons de la chevallerie dou Temple an France »[371]
: « freres Amaurriz de la Roche, comanderres de la chevalerie del Temple an France »[372]
: « Amalricus de Rupe preceptor domorum milicie Templi in Francia »[373]
: « frater Amaricus, humilis preceptor domorum milic. Templi in Francia »[374]
: « frater Amanricus de Rupe preceptor domorum Milite Templi in Francia »[375]
: « frere Amaury de la Roiche, maistre dou Temple de France »[376]

Peut-être jusqu'en 1277[358]. Aucun acte pour l'année 1272 où on retrouve Humbert de Pairaud[70],[71]
Humbert de Pairaud1272[71]: « frater Hymbertus de Peraut, præceptor domorum militiæ Templi in Francia »[70]

Commandeur de la baillie de Ponthieu (1257)[377]
Maître de France (1261-1264)
Visiteur Cismarin (1265)
[378] cumulant peut-être cette charge avec celle de maître d'Angleterre (1267-1269)[379], aurait été également maître d'Aquitaine.
François de Bort1274[380][Tenant lieu de commandeur][N 42]

: « freres François de Bort, commanderres de la chevalerie dou Temple, tenenz le leu de commandeur en France, salut »
[380]
Autres sources:[296],[381].

Maître d'Aquitaine vers 1259[125], en 1261[126],[99], Maître d'Auvergne en 1261, maître en Provence en 1267, visiteur cismarin (1270-1273, 1279), maître d'Auvergne et du Limousin (1279-1288)[126]
fr. Pierre le Normand1276[382][Tenant lieu de commandeur][N 42]
(la): Petrus Normannus
(fro): Pierres li Normans
Cumulant cette charge avec celle de commandeur du Laonnais (1276)

: « commanderes des maisons de le chevalerie dou Temple en Lauounois, et tenans le liu de commandeur en Franche »[383], « preceptoris domorum milicie Templi en Lauounois, ac tenentis locum preceptoris in Francia »[384]

Commandeur de la baillie de Vermandois (?-1274)[385]
Mentionné comme commandeur d'Aulnay en 1275 [Erreur ?][N 43]
Commandeur de la baillie du Laonnais (c. 1274/76, 1282-1287)
Jean le Français1277 - 1281[390],[295],[391](la): Johannes lo Franceys, Johannes Franciscus
: « a fratre Henrico de Dola, humili preceptore domorum milicie Templi in ballivia Buriarum, tenentem locum viri religiosi fratris Johannis dicti François preceptoris domorum ejusdem milicie Templi in Francia » (Henri de Dole, commandeur de la baillie de Bures tient lieu de commandeur de France en son absence)
[392]
: « Johannes Franciscus, domorum militie Templi in Francia preceptor humilis »[393]

Commandeur de la baillie du Temple de Paris (av. 1269/70)[N 44]
Maître d'Aquitaine (1269-1276)[66]
fr. Geoffroy de Vichier1282[394][Représentant du commandeur][N 42]
(la): Gaufridus de Ucherio, de Vicherio
(fro): Gaufre Ucher, Jofrois de Vichier
(fr): Geoffroi de Vicher, de Vichery
: « ? »
[395]

Visiteur de France, d'Angleterre & d'Allemagne (1286-1290, 1295)[N 45]
fr. Pierre le Normand1282[Tenant lieu de commandeur][N 42]
(la): ?
Cumulant cette charge avec celle de commandeur du Laonnais comme en 1276

: Accord concernant des terres à Ardon, censive du Temple de Laon[397]
Guillaume de Malay1283 - 1285[398],[399],[400],
1286 -[401] ?
(la): Guillelmus de Maalin, de Mallaio, de Mallayo
: « frater Guillermus de Malaio preceptor domuum militie Templi in Francia »
[402]
: « Guillelmus de Mallaio, domus militie Templi in Francia preceptor humilis »[403]
: « domorum milicie Templi in Francia preceptoris »[404]

Tenant lieu de Maréchal ()[402],[N 42],[N 46]
Maréchal du Temple ()[402][N 47]
Drapier (1271, 1277)[402]
Gautier d'Este1285/86[Tenant lieu de commandeur][N 42]
[Source indirecte, procès]
(la): Galterus de Ete, de Esta, d'Este
« fratre Galtero de Ete tenente locum magistri Francie »[405]

Commandeur de la baillie de Ponthieu (c.1280)
Commandeur de Sommereux (1280-1290)[406]
Hugues de Pairaud1292 - 1299(la): Hugo de Paraudo, de Perando, de Peraudo ; Hugonis de Paralto, de Parauda, de Peraudo
(fro): Hugue d'esperaut ; Hugues Désperaut, de Paraut, de Peraut
(en): Hugh Peraud's
(fr): Hugues de Paraut, de Peraudo
[134]
: « Frater Hugo de Peraudo, domorum milicie Templi in Francia preceptor humilis »[407]
1293: « venerabiliter et discreto viro magistro Hugone de Paraus, magistro universaliter in Gallia »[408]
: « frater Hugo de Paraudo, preceptor domorum milicie Templi in Francia »[409]
: « fratre Hugone de Peraudo, domus milicie Templi in Francia venerabili preceptore »[410]
: « Hugues de Paraut, commanderres des maisons dou Temple en France »
1295: « religiouse persone frere Hugues de Paraut honoraubles commandeurs des meisons de la chevalerie dou temple en France »[408] Nous, frere Hugue d'esperaut commandeur des maisons de la Chevalerie dou Temple en France »[411]
1296: « Hugone de Parauda in Francia preceptor »[133]
: « frere Hugues Désperaut commandeur des maisons de la Chevalerie dou Temple en France ; commandeur en ce Temple de nos maisons en France »[412]
: « Hugo de Peraudo, preceptor domorum milicie Templi in Francia »[413]
: « Hugoni de Paralto preceptori Domus Militie Templi Jerosolimitani »[414]
: « Nous freres Hugues de Peraut, commanderres des maisons de la chevalerie dou Temple en France »[415]
20 et 28 oct. 1298: « preceptor et fratres domus militie Templi Jerosolimitani in Francia ». Requête du commandeur de France [sans le nom] au pape Boniface VIII[416]
1299: « Nous, frere Hugues de Paraut, commandeur des maisons de la chevalerie dou Temple en France »[417]

En Orient (Acre) c.1272/73[418]
Commandeur de la baillie de Chalon-sur-Saône (date inconnue) [?][N 48]
Commandeur d'Épailly (1280, 1284)[419]
Visiteur général (1299-1306)[N 49]
Gérard de Villiers (de Villers)1299-1307(la): Gerardus de Villaribus
(fro): Gerot de Villers
: « frere Girarz de Villers, humbles comandeours des maysons de la chevalerie dou Temple an France »
[421]

Baillie de Bourgogne

(la): « Preceptor domorum militie Templi in Burgundia »

Le duché de Bourgogne ne constituait pas une province autonome mais plutôt une baillie dépendante de la province de France[3]. Quant au comté de Bourgogne qui était sous contrôle du Saint-Empire romain germanique mais qui était un pays de langue d'oïl, les templiers y possédaient de nombreuses commanderies dont celle de La Romagne[422]. Ce comté faisait partie également de la province de France[135],[225].

On trouve comme titulature des commandeurs du Temple en Bourgogne et des commandeurs des maisons de la chevalerie du Temple en Bourgogne[423],[424]

À noter que les commanderies présentes dans la Suisse actuelle en faisaient partie[425].

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Simon de Tramis1203, 1206,
1211
1206: « ? »[426]
1211: « frater Symon de Tramis templariorum magister in Burgundia »[427]
fr. Hugues de Beauvoir1219[428]« fratrer Hugo de Bello Visu, preceptor domorum Templi in Burgundia »[429]
fr. Renaud de Chaï1222[430]
fr. Hugues de Rogemont12271227: « Nos Hues de Rogemont mestre dou Temple en Borgone  »[431]
fr. Pierre de Fougerolles1232[427](la): Petrus de Forgueroles, de Folqueroles
1232: « praeceptor Domum Templi in Burgundia, preceptor domorum Templi in Burgundiă »
[427],[432]
: « P. de Folqueroles, preceptor domorum Templi »[433]
 ?1246: « au grant maistre de Borgoigne de la seinte maison dou Temple d'Outremer »[434]
fr. Pons1252[435]Pontius dit Busuus
fr. Paris1254-1255(la): Parisius
: « fratrem Parisium preceptorem militie Templi in Burgundia »
[436]
: « fratre Parisio præceptore domorum prædicte , scilicet de la Ajusie ou Muste et de Belleville »[437],[N 50]

Commandeur de la baillie de Lorraine (1259)[438]
fr. Robert de Girefontaine1268[428](la): Robertus de Girafonte
: « fratre Roberto de Girafonte, preceptore domorum milicie Templi in Burgundia »
[439]
fr. Hugues de Pairaud1289[419](la): Hugo de Perando, Hugonis de Peraudo
(en): Hugh of Peraud
(fr): Hugues de Paraut, de Parraut
1289: « preceptor de Buris et domorum totius milicie Templi in Burgundia »
[440]

En Orient (Acre) c.1272/73[418]
Commandeur de la baillie de Chalon-sur-Saône (date inconnue) [?][N 48]
Commandeur d'Épailly (1280, 1284)[419]
Maître de la province de France (1292-1299)
visiteur (1299-1306)[N 49]
fr. Richard de Bettoncourt1294: « preceptore domorum Milicie Templi in magna Burgundia et de lay Romagne »[392]

Commandeur de Sales (1302)
fr. Aymon d'Oiselay
(† 1316)[441]
1300[442],
1303-1304[424]
[Source indirecte, procès][N 51]
(la):Ayme, Aymo de Monte Avium, de Osiliers[445]
(en): Aimo of Oiselay
(fr): Aymon d'Osiliers, Hennes d'Oixelier, d'Oiseley, d'Oyselier, de Zelet
(fro):
: « freire Heine d'Oixeleir, maistres et commandeires de la baillie de Lohairainne et de la grant Borgoingne »
[446]
: « frater Aymo de Osiliers tunc preceptor dicti ordinis in Burgundia ; frater Ayme marescalcus tunc preceptor in comitatu Burgundie »[447]

Reçu dans l'ordre en 1276, assiste au chapitre qui s'est tenu à Paris en 1298
Commandeur de la baillie de Lorraine (1296-1303)
Se trouvait à Andravilla (Péloponnèse) le
Maréchal de l'ordre (1304-1312)
Arrêté, emprisonné et interrogé à Chypre
[448],[443],[449],[450]

Baillie de la Brie

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Jean de Beaulieu1233[296](la): « domorum militiae templi quæ sunt in Bria praeceptor humilis »[296]
fr. Hugues1256[296](la): « domorum militiae Templi in Bria praeceptor »[296]
fr. Jean de Monceauxc. 1267-1270[451]
1274[380]
(la): Johannes de Moncellis
(fro): Jehan de Monceaus
: « religiex home frere Jehan de Monceaus, commendeur de la baillie de Brie »
[380]

Commandeur de la baillie de Vermandois? (1276) [Incertain][452]
fr. Arnould de Wezemaal1286-1291[451]
fr. Godefroyc.1292(la): « frater Reginaldus preceptor domus Templi Aurelianensis...quindecim anni elapsi...receptus in domo Templi de Pruvino...per fratrem Godefredum tenentem locum preceptoris ballivie de Bria »[453]
fr. Raoul1299[296] - 1300[454](la): « praeceptor humilis et procurator domorum militiae templi in Bria »[296]
: « commandeur et procureur des mesons de la chevalerie du Temple de Brye »[454]
fr. Jean de « Mori »1305[455][Peut-être Jean de Mars][455]
1305: « Johannes de Mori, tunc preceptor dicti ordinis de balivia de Bria »[456]

Baillie de Chartres

(la): Preceptor domorum milicie Templi in Bailliva Carnotensi

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Hilaire12541254: « frater Hilarius, praeceptor domorum militiae Templi Aurelianensis et Carnotensis »
fr. Guillaume Bocelli12731273: « fr. Guillelmus Bocelli preceptor domorum milicie Templi in Bailliva Carnotensi »[457]
fr. Guillaume dit Gaudin1286: « fratri Guillelmo dicto Gaudin, magistro domus milicie Templi de Soors, et de toto Chartrain »[458]
Procès, 1311 : « fratrem Guillelmum Gaudini militem quondam, preceptorem tunc ballivie Carnotensis » (vers 1285)
fr. Guy de Mesnil-Aubry...Procès, 1307/11: « Guidonem de Maynillio Albrici servientem..., tunc preceptorem ballivie Carnotensis »[459]

Baillie de Flandre

(la): Domorum milicie templi in Flandria preceptoris

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Baudoin de Lidenghem1171[232],[460](nl): Boudewijn van Ledegem
1171: « Balduino de Lidenghem, magistro in Flandriâ »
[232],[461]
fr. Baudoin de Gand (nl)1175[461][Incertain][N 52]
(la): Balduinus de Gandavo
1175: « Balduino de Gandavo Templariorum magistro »

Maître cismarin (1176)
[462]
Maître du Ponthieu et de l'Hainaut (1179-1181)[463],[464]
fr. Thibaud de Furnes1181-1182[Gardien du Temple en Flandre][465]
(la) : Theobaldus de Furnis
(nl): Theobald van Veurne
[460]
fr. B. Vulpis1199-1200[460]
fr. Hildebaut1205[460],[466](la): Heldebaldus
......
fr. Soybertus1220,
1226-1228[460]
(nl): Soibert
oct. 1220: « fratre Soyberto, preceptore Flandrie »
[467]
1226: « Soibertus »[468]
fr. Gobert1225/261225 : « ? » [310]

Commandeur d'Aimont (1194)[N 53]
fr. Guillaume de Lambersart1230[460](la): Willermus de Lambersart
(nl): Willem van Lambesart
: « fratre Willermo de Lambersart, tunc temporis preceptore in Flandria »
[469]
fr. J.1235[470](nl): Jan[460]
fr. Jacques1241(nl): Jakob[460]
fr. Gautier de Villers1250-1252,
1257
(la): Walterus
(nl): Walter van Villers
« preceptor domorum militi Templi in Flandria »
: « frater W. »

fév 1251: « frères Watiers de Vilers » (sans titre précis)[341]
: « ? »[471]

Commandeur de la baillie de Lorraine (1244)[472], (1262, 1264-1265)
Maître de la baillie du Brabant et de l'Hesbaye (1248)[473],[N 54]

......
fr. Gautier de Villers1271, 1273[474](la): Galterus de Villers, de Villaribus
(fr): Gauthier de Villars, de Villers ou de Villiers
: « frères Gautier, commandères de Flandres »
[475]
: « Nous freres Watiers de Vilers, commanderes des maisons de la chevalerie dou Temple en Flandres »[476]
fr. Pieter uten Sacke
(† 1309)[477]
1280-1297[478][479]
(nl): Pieter uten Zak
1291: « broeder Pieter Uten-Zaeke, meester van den Hoven van der Temple in Vlaendren »
[480]
Autres sources:[481]
fr. Jacop die Repere1304[478]
fr. Bernard de Caëstres1306[Incertain]
Le document ne permet pas de confirmer qu'il est commandeur de la baillie mais qu'il est frère du Temple[482]
fr. Gossuin de Bruges1307[477],[483](nl): Go zwin van Brugge

Baillie de Hainaut

Peu de noms nous sont parvenus sachant que du point de vue géopolitique, le comté de Flandre et celui de Hainaut étaient réunis de la fin du XIIe siècle jusqu'au décès de Marguerite de Constantinople (1280).

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Baudoin de Gant1179-1181
fr. Renaud1240[Commandeur en Hainaut et en Brabant, à vérifier][484],[N 55]
......
fr. Jean Briars1282« commandeur de la balie de Hainaut »[485]

Baillie d'Île-de-France / Paris

(la): « Preceptor ballivie Templi Parisius »

cf. article connexe

Baillie du Laonnais

(la): « Preceptor domus milicie Templi in ballivia Laudunensi »

Baillie réunie avec celle de Reims à la fin du XIIIe siècle.

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Pierre1179[451](la): « Petrus miles et procurator domorum Laudunensis episcopatus »[486]
fr. Renaud1241[451](la): « Renaudus frater militie templi, preceptor balliviae de Landrecesio [Laudimesio] »
Renaud de Vichiers (?)
[N 37]
fr. Pierre le Normand1274-1275,
1284-1287
(la): « Petrus Normannus »
(fro): Pières li Normans
: « Commanderes de la chevalerie dou Temple de la baillie de Leonois »
[487]

Commandeur de la baillie de Vermandois (1274)[385]
Tenant lieu de commandeur (lieutenant) de la province de France (1267[488], 1282)
fr. Thierryc. 1300
fr. Gautier de Liancourt1307(la): « Galterius de Liancort »
Commandeur du Laonnais et du Reimois

Baillie de Normandie

(la): « Preceptor domorum militie Templi in Normannia, totius Normannie »

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Guillaumefin XIIe siècle[451]
fr. Robert Parvic. 1200[451],[489](la): Robertus Parvus
1199: « preceptor domorum Templi in Normannia »
[490]
fr. Richard Maleherbe1209-1213[451]
fr. Guillaume de l'Aigle1219, 1226-1227[451](la): Guillelmus de Aquilla, Willelmus de Aquila
(en): William de Aquila, de l'Aigle
: « preceptorem domorum templi in Normannia et fratres milicie templi de Corval »
[491]
: « S. Fratris W. de Aqvila »[303]
Aigle à deux têtes (son sceau)

Frère du Temple (1219), ambassade pour le roi de France auprès du roi d'Écosse[492]
Peut-être maître de la province de France (1222)[N 33]
fr. Thibaut de Melay1237-1252[451](la): Theobaldus de Melai, de Melleio, de Melloz,
1240: « Theobaldus preceptor domorum Templi in Normannia »
[493]
fr. Robert Payart1258[357]-1270[494](la): Robertus dictus Paiart
: « preceptor milicie templi in Normannia »
[357]
1259: « domorum militie templi in Normannia preceptor humilis ; preceptor domorum milicie templi in Normannia »[495]
: « preceptorem domorum milicie templi in Normania et fratres milicie templi de Corval... preceptor milicie domorum templi in Normania »[496]
1261: « frater Robertus preceptor milicie templi in Normania »[497]
fr. Alveretusc. 1281[451]
fr. André de Saquenvillac. 1289[451]
fr. Geoffroy le Berroyer1295[451]
fr. Philippe Agatec. 1300[498]Commandeur de Sainte Vaubourg (1307)[499]
fr. Philippe Uble1307Commandeur des maisons du Temple en Normandie ()[500]
fr. Geoffroy de Charnay1307[499],[501](la) :Joffridus, Gaufridus de Charnaio, de Charneio, de Charneyo
(fro): Jofre de Xarnay
(en): Geoffrey of Charny
21 oct. 1307: « preceptor totius Normannie »
[499]

Compagnon de Mathieu Sauvage, commandeur de Sidon (1271)[501]
Commandeur de Lieu-Dieu de Fresnes (1283) [?][502]
Commandeur de Villemoison (1294)[503]
1303: Passage à Marseille en partance pour Chypre[504]
Drapier (1304)[501]
(† )

Baillie de Ponthieu

(la): Preceptor domorum militie Templi in Pontivo

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Guillaume de Bosc-Normandc. 1190[247](la): Willelmus del Bos Norman
1185/1194: « tunc temporis preceptor in Pontivo »
[505]
fr. Olard1194[247](la): Oleardus
: « magistro domorum Pontivi »
[506]
fr. Pierre1195/96[507](la): Petrus
ou 1196: « procurator domus templi in Pontivo »
[256]
fr. Garin1205[508]
fr. Sylvestre1214[509](la): Silvestericus
: « tunc temporis preceptor in Pontivo »
[510]
fr. Humbert de Pairaud1257[511](la): Ymbertus de Perant
 : « [preceptor] domorum militie templi in Pontivo »
[512]

Commandeur de la province de France (1261-1264)[64]
Commandeur de la province d'Aquitaine et visiteur général (1265/66-1269)[65]
Commandeur de la province de France (1272)[70],[71]
fr. Hervé (Henri ?) de Villepreux1276[452] - 1280[513](la): Hervicus de Villa petrosa
(fro): Hervil de Vileprour
: « commandeur des maisons de le chevalerie dou Temple en Pontiu »
[452]
: « preceptoris in domibus templi existentibus in Pontivo »[514]
fr. Philippe de Hayes1283 - 1285[515](la): Philippus de Hayes
: « preceptor domorum militie templi in Pontivo »
[516]
fr. Jean Moetc. 1289/90[517](la): Johannes Moset
fr. Jean de Villeneuvec. 1290 - 1296[518]
fr. Guérin de Grandvilliers1299 -1302[519]Commandeur de la baillie de Vermandois (c. 1297)[520]
Robert de Beauvaisc. 1305[521][Incertain][N 56]
fr. Baudouin de Saint-Just1305-1307[522]

Baillie de Vermandois

(la): Preceptor domorum militie Templi in Viromendia

Avant de prendre le nom de baillie de Vermandois il semble qu'il s'agissait de la baillie regroupant les maisons du Temple dans l'évêché de Noyon[523]. La liste proposée par Émile-Guillaume Léonard est tirée des travaux publiés par Trudon des Ormes en 1894[N 57].

Commandeur Période Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Nivelon de Montdidier1182[523][Maître dans le diocèse de Noyon][524]
fr. G.1234: « frater G. preceptor domorum militie templi in Viromandia »[316]
fr. Daniel1250[523][Recteur du Temple]
(la): /50: « rector domorum militie templi in Viromandia »
[525]
fr. Daniel1265(la): Danielis
: « de mandato...fratris Danielis domorum milicie Templi in Viromandia »
[526]
fr. Pierre le Normand1274[385]oct. 1274: « ? »[527]

Commandeur de la baillie du Laonnais, tenant lieu de commandeur en France (1276)
fr. Jean1276[452][Jean de Maimbressy ou Jean de Monceaux ?]
(fro): Jehan
: « frere Jehan, commandeur a che tans des maisons de le chevalerie du Temple en Vermendois »
[452]
fr. Pierre le Normand1277: commandeur du Temple dans le ressort du bailliage de Vermandois[528]
fr. Jean de Maimbressy1281, 1285[523](la): Johannes de Membrechis
: Présent lors de la réception de Gilles de Rotangy (procès)
[529]

Commandeur du Catelet (1291)[530],[N 58]
fr. Garin de Grandvilliers1294[531](la): Garinus de Granvillie, de Grandivillari[532]

Commandeur de la baillie de Ponthieu (1298, 1304)[531]
Commandeur de l'« abbaye » de Ponthieu (1300)[532]
fr. Robert de Sarnoy1304(la): Robertus de Sarnoy
oct. 1304: « preceptor domorum militie Templi in baillivia de Viromandia, procurator dictorum fratrum »
[420]

Commandeur de Montécourt (1305)[533]
fr. Eudes1305(la): Odo

Province de Hongrie

Le royaume de Hongrie au milieu du XIIe siècle
Le royaume de Hongrie au XIIIe siècle

(la): « Magister domus militie Templi per Hungariam et Sclauoniam »

Les premières traces de donations aux templiers sont datées aux environs de 1160 et il semble qu'ils se soient surtout installés dans le sud du royaume de Hongrie, territoire correspondant à l'actuelle Croatie. Le royaume de Croatie faisant partie de celui de Hongrie à cette période. La commanderie principale était le prieuré de Vrána (hr)[534] et était en fait une puissante forteresse[535]. À partir de 1280, On constate plusieurs fois la présence de ces dignitaires dans le sud de l'Italie en particulier à Barletta (Royaume de Sicile citérieure)[N 59].

À partir de 1219, on remarque que les maîtres de cette province sont qualifiés de maître de Hongrie et d'Esclavonie, « Per Hungariam et Sclauoniam »[536]. Attention à ne pas confondre l'expression « Sclauoniam » avec « Slaviam / Slauiam » que l'on trouve employée pour les maîtres de la province d'Allemagne, cette dernière désignant initialement le duché de Poméranie (Pologne)[N 60].

La liste ci-dessous ne tient donc pas compte des publications où cette confusion existe, entre autres les noms proposés par Paul de Saint-Hilaire dans Les Sceaux Templiers et leurs symboles publié en 1991 car il semble y avoir un amalgame entre les maîtres d'Allemagne et ceux de Hongrie à partir de l'année 1271.

Maître(hu) Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Gualterij1194[539](la): Gualterius[540],[541],[542],[543]
fr. Conon1198-1210[539](la): Cone, Cono
1198: « ad preces magistri Cone ae fratris Franconis, et aliorum fratrum sacrae militiae Templi, in Hungaria »
[544],[545]
1209: « Preterea ad preces dilecti nostri fratris Cononis predicte domui Templi  »[546]
1210: « Concedimus autem et confirmamus ipsis fratibus milicie Templi ad preces fratris Cononis magistri eorum  »[547]
fr. Pons de (la) Croix (en)1217-1219[539](la): Pontius de Cruce, de Suce
(en): Pons of the Cross
(hr): Poncij od Križa
(it): Pontio della Croce
1217(?)[N 61]: « Pontio della Croce humile Maestro della militia del Tempio per Vngaria e Sclauonia »
[549],[550]
1219: « per Vngariam et Sclauoniam domus militiae Templi magister »[551],[552]
Peut-être déjà lui en 1211 comme « Magistro, et fratibus militiae Templi in Vngaria constitutis »[553],[554]
Responsable d'une partie du royaume lorsque André II de Hongrie est parti en croisade (Croatie et Dalmatie, 1217)[N 62].
fr. Tamás1221[539](la): Thomas
1221: « magistrum Thomam templarium...magistrum Thomam cum ceteris fratibus Templi...Thomas magister templariorum »
[555]
fr. Hermán1226[539](la): Hermanus[556]
fr. Rainardus Argentar1229[539](la): Ranardus Argentar
1229: « quod magister , nomine Ranardus Argentar(us) , et eius fratres , qui nec Vranam
[N 63] venerunt »[557]

Commandeur de Vrána (hr)(1221)[558]
fr. Johann Gotfried von Eberstein
1230[Erreur][N 64]
(la): Ioannes Godefridus ab Heberstein[559]

Peut-être maître cismarin, tué près de Liptovský Mikuláš (Liptoviensi) en 1230 alors qu'il visitait le royaume de Hongrie.
fr. Raimbaud de Caromb1235 - 1240(la): Raimbaldus de Carumpo, de Caro, Rambaldus de Carono, Rembaldus de Carumb, de Karump[560], frater de Karop
(hu)+(hr): Rembald de Karump, de Carumb
1235: « frater de Karop, magister militiae Templi per regnum nostrum »
[561], charte d'André II de Hongrie
1239: « Dilectum ac fidelem nostrum fratrem Rembaldum de Carumb magistrum toties dictae domüs »
[562],[563], charte de Béla IV de Hongrie
1240: « Magistro domus Templi per regnum Hungarie »
[564]
Autres sources :[565],[566],[567]

Visiteur cismarin (1245-1246)[N 65]
Maître de Provence (1251-1259, 1263)[150]
fr. Jakab de Monte Regali1240[539]
ou
1290[569]
[Date incertaine][N 66]
(la): Jacobus de Monte Regali
(fr): Jacques de Montréal
(hr): Jakob Meštar
1240: « frater Jacobus de Monte Regali Magister humilis Domorum Templi per Hungariam et Sclauoniam »
[571],[572]
fr. Ivan de Metis1245[539](la): Johannes de Metis[573]
1245: « frater J... de Metis magister militie Templi per Vngariam et Sclauoniam »[574]
fr. Thierry de Nuss?-1247[401][Erreur][N 67], Hospitalier
(la):Terricus, Theodoricus de Nussa
(en):Thierry, Theodore of Nussa
Prieur de la langue d'Angleterre (1235-1247)
[578]
fr. Vilmós de Sonai ou Sonar1248[579][Erreur][N 68]
(la): Guilielmus de Sonai, Guilelmus de Sonar
(fr): Guillaume de Sonnac, maître de l'ordre
1248: « ...fratrem Jacobum de Turrisellis ex altera, nuncium venerabilis fratris domini Guilielmi de Sonai magistri domus milicie Templi... »
[582]
fr. Morgolt1249(la): Morgolt
1249: « Frater Morgolt Magister Milicie Templi de Hungaria »
[583]
fr. Jourdain1256-1258[539](la): Jordanus, Yordanus
1256: « fr(atrem Ior)danum, magistrum domus militie Templi per Ungariam et Sclauoniam »
[584]
1258: « domorum militiae Templi per Hungariam et Sclauoniam magistrum »[585],[586]
fr. Frankoc. 1260/69[539](la): Franco[587]
« fratris Franconis magistri seu preceptoris, et aliorum fratrum militum Templi per Ungariam et Sclavoniam... frater Franco et alii fratres militie Templi per Ungariam et Sclavoniam »[N 69]
fr. Vilmós1272(la): Guilhelmus, Guillermus, Wyllermus[N 70]
(hr): Vilim
: « per fratrem G. magistrum domus milicie Templi per Vngariam et sclauoniam »
[591]
 : « Wyllermus magister domorum milicie Templi per Vngariam et Sclauoniam »[592]

[fr. Widekind (1271-1279) n'est pas maître en Hongrie]
Il est maître en Allemagne et Poméranie
(Alemannia et Slavia)
fr. Gellért de Sanseto (Sauçeto)1278-1279(la): Girardus, Gyrardus
(fr): Gérard de Sauzet
: « ac fratris G. magistri domorum milicie Templi per Vngariam et Sclauoniam »
[593]
: « atque fratre Girardo de Sanseto magister milicie Templi generali per Hungariam et Sclauoniam »[594]
: « frater Gyrardus magister domus militie Templi per Ungariam et Sclavoniam »[595]
juillet/: « fratre Gerardo magistro domus milicie Templi per Vngariam et Sclauoniam ; fratris Gerardi de Sauçeto magistri domorum milicie Templi per Hungariam et Sclauoniam »[596]

Dernier commandeur de la terre d'Antioche (1268)
Maître de la province d'Auvergne (1289-91)
fr. Róbert de Gudde1280[N 71](la): Robertus de Gudde
1280: « Robertus de Gudde preceptor militie Domus Templi in Ungaria »
[597]
Au moment de son passage par les Pouilles et le port de Barleta[604]
Robert de Rupe est vice-commandeur de la province la même année[605],[606]
Gérard de Villers1280-1282[À vérifier]
fr. Vilmós de Peymes1284(la): Guillelmus de Peymes, Paymes[N 70]
1284: « Guille(r)mus de Peymes Domorum Milicie Templi per Hungariam et Sclauoniam Magister  »[607],[608]
1291 (vidimus de 1284): « fratris Guillelmi de Peymes, domorum milicie templi per Hungariam et Sclauoniam Magistri »[609]
fr. Vilmós1286[539](la): Gwilermus, Guillermus[N 70]
1286[N 72]: « fratris Gwilermi , magistri militiae Templi per Hungariam et Sclauoniam... frater Guillermus »[610]
On ne peut pas savoir s'il s'agit du précédent ou du suivant tout en sachant que certains historiens considèrent que c'est le même individu qui figure en 1272, 1284, 1289 et 1292[N 70].
fr. Vilmós de Suaseto1289(la): Guillermus de Suaseto[N 70]
(hr): Guilermo ou Vilim de Suaseto[613]
1289: « Guillermus de Suaseto domorum militie Templi per Hungariam et Sclavoniam magister »[614]
fr. Jakab de Monte Regali1290[569]
ou
1240[539]
[Date incertaine][N 66]
(la): Jacobus de Monte Regali
(fr): Jacques de Montréal
(hr): Jakob
(it): Giacomo de Monte Regali
1290: « frater Jacobus de Monte Regali Magister humilis Domorum Templi per Hungariam et Sclauoniam »
[570],[615]

Le frère Salamon qui apparait en 1291[616] n'est pas templier[N 73].
fr. Guilhem de Noves
dit « le provençal »
1292[539](la): Guyllermus de Novis, Guyllermus de Peimis[N 70]
(fr): Guillaume de Noves
(hr): Guilermo, Vilim de Novis, Vilmós de Novis
[617]
(it): Guiglielmo de Noves[569]
: « Guyllermus de Nouis magister domorum milicie Templi per Hungariam et Sclauoniam »[590],[618]
On trouve la même charte avec le nom de Guyllermus de Peimis dans des publications plus anciennes[619],[620]

Selon Elena Bellomo, même individu que :
Guillelmus de Novis, maître de la province de Lombardie (1285)
[569],[621]
fr. Róbert de Gudde1295[602]Envoyé à Naples par Ivan Güssing afin de se voir confirmer sa charge auprès de Charles II d'Anjou qui est monté sur le trône récemment[603]
Frédéric de Nigrip (Friedrich von Nigrip, Fridericus de Nigrip)1297 - 1298[À vérifier]
Frédéric d'Avensleben (Friedrich von Avensleben)? - ?[À vérifier]
Theouron de Provencec. 1303[622][Source indirecte]
Pas de chartes, au moment du procès le frère Guy d'Acre interrogé à Chypre (1309) indique qu'il a été reçu à Barletta (Italie) il y a six ans par Theouron de Provence alors maître de Hongrie
[623].

Province d'Italie

Italie aux XIIe et XIIIe siècles

Les maîtres désignés comme étant maîtres de la province d'Italie (per Ytalia) n'administraient qu'une partie de la péninsule italienne ainsi que la Sardaigne. Le sud de la péninsule correspondait à une voire deux provinces distinctes selon les auteurs, à savoir les Pouilles et la Sicile. Il semble que le territoire de cette province incluait le Latium, la Lombardie, Les Marches, l'Ombrie (ou duché de Spolète), le Patrimoine de saint Pierre, la Toscane (ou Tuscie lombarde) et l'île de Sardaigne[624]. La majeure partie de l'actuelle région de Campanie dépendait de la province des Pouilles exception faite de l'enclave du Bénévent qui appartenait aux États pontificaux, la frontière entre ces deux provinces étant à l'époque celle qui séparait la Campagne et Maritime (dans le Latium) et la terre de Labour (à cheval sur les deux régions actuelles)[N 74].

Les États pontificaux choisissaient parmi les maîtres templiers ou hospitaliers ses cubiculaires (chambriers), à qui étaient confiées certaines missions délicates. Certains exerçant même la fonction de trésorier[626]

La commanderie d'Aventino était l'un des lieux privilégié de résidence des maîtres de cette province mais ce ne fut pas toujours le cas[627].

À partir de 1285, il semblerait que les maîtres de cette province étaient uniquement désignés par le titre de maître de Lombardie[628], parfois de Lombardie et de Tuscie (Toscane) notamment Guillaume de Noves en 1285[629] ou encore Giacomo da Montecucco en 1303[630].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Boniface (Bonifacio)1167 - 1169 [631](la): Bonifacius
1164 (ou 1174): « dominus magister Bonifacius ; in manum Domini magistri Bonifacii »
[632]
1167: « Bonifacius, de rebus Templi in Italia magister et procurator »
c. 1169: « Bonifacio magistro & fratribus militie Templi de Lombardia » [633]
Robold de Moncalvo (Roboaldo di Moncalvo)1179 [631]« magister omnium mansionum Templi Ierosolimitani in Italia »
Albert (Alberico) ? - 1190[631](la): Albricus
1190 : « magister Hyerosolimitani Templi in Italia »
[634]
Gaimardo (Gaimaro)1191[631]1190: « magister Marchie et Lombardie »
1191: « omnium mansionum Templi in Italie preceptor »
Henri de Sal (Aymeric, Aimerico de Saliis)vers 1203[631](la): Aymericus de Salucijs
1204 : « domorum milicie Templi in Ytalia humilis preceptor »
[635]
Barozio1205[631](la): Barocio
: [N 75]


Commandeur de la baillie de Lombardie (1200, 1204)
Se trouvait à Constantinople en
Giovanni Lombardo1222[631]1222: « domorum militie templi in Italia preceptor sive secundum vocabula Lombardorum magister »
Guillaume de Melzo (Guiglielmo da Melzo)1227 [631]« maior magister mansionum Templi tocius Ytalie »
Gerardo1231 [631]« Militie Templi in Italie magister »
Heinrich le Teuton (Enrico Teutonico)1239 - 1242[636](la):Henricus, Heinricus
06 fév. 1240: « fratri Henrico preceptori domorum militie Templi in Italia fideli suo ; quod frater Heinricus domorum militie Templi in Italia preceptor, devotus et fidelis noster »

: « Henrico, preceptori domus militie Templi in Ytalia »[637]

Commandeur de Pavie (1252) [?][N 76]
Goffredo Lupi di Soragna1244[636]
Jacques de Bois (Giacomo de Boscho)1245[636](la): Jacobus de Boscho
1245 : « magister et preceptor totius Ytalie »
[568]
Dalmazio de Funucccaria (Dalmazio de Fenolar, d'origine catalane)1254 - 1256[636]1255: « dalmacio de fenolar, Magistro et preceptore domorum et Mansionum Militie Templi per totam Italiam generalis nomine »[638]
Pierre Fernandi (Pietro Fernandi)1259 - 1260[636]1259: « frater Petrus Fernandi Magister Domus Militie Templi in Italia »[639]
: « Item, frater Thomas Berardi dei gratia pauperis militie Templi magister humilis, dilecto suo viro religioso et honesto fratri Petro Fernandi preceptori domorum militie eiusdem in Ytalia »[640]
Ermanno di Osimo1266[636]
Henri de Trévise (Enrico da Treviso)1268 - 1271[636](la): Henricus de Trivixio
: « fr. Henricus de Trevixio, magister Domorum et Mansionum Milicie Templi in Italia »
1271: « fr. Henricus de Trivixio Domorum Milicie Templi in Italia generalis... »
Bianco da Pigazzano (Bianco da Piacenza)1276 - 1285[641]1276-1278: « domini fratris Blanci de Pigaçano, domorum milicie Templi in Ytalia generalis preceptoris  »
: Responsable des maisons du Temple de Milan, Pavie, Verzarius, Plaisance, Fiorenzuola, Crémone, Brescia, Bergame et Montesordo
sans date: « domorum militie templi in Ytalia Generallis preceptor & domorum militie Templi in Lumbardia tota... »

c.1285/86: « per fratrem Blancum de Placentia comitatu magnum preceptorem in Lombardia, Tuscia, Patrimonio beati Petri in Tuscia, Roma, ducatu Spoletano, Campania, Maritima, Marchia et Sardinia », procès[642]

Commandeur d'Asti (1244)
Commandeur de Piacenza et Milan, Émilie-Romagne-Lombardie (1266)
[636]
Tenant lieu de maître dans la baillie de Lombardie (1266, 1271)[636],[641],[N 42]
Commandeur de Plaisance (1267-1271)
Recteur et ministre du Temple en Lombardie (1267)[N 77]
Disparition du titre de maître d'Italie, on trouve à partir de 1285 le titre de maître de Lombardie, Tuscie et Sardaigne
fr. Guilhem de Noves
dit « le provençal »
1285- 1290[629],[641](la): Guillelmus de Novis, Gulielmus Provintialis
(it): Guglielmo de Noves
1285 : « quod pax et concordia inter dominum Guillelmus de Novis Magistrum Generalem in Lumbardia et Tuscia »
[643]
c.1285: « frater Petrus de Bononia, presbyter et generalis procurator totius ordinis... sunt XXV anni vel circa quod fuit receptus Bononie, per fratrem Guillelmum de Novis preceptorem tunc in Lombardia  »[644]
1286: « magister domorum Templi in partibus Lumbardie, magnus preceptor Lombardie »[629]
: « fr. Guillelmi de Novis, tunc magistri generalis in Lombardia, Tuscia atque Sardinia, et fr. Artusium de Pocapagia locum dicti Magistri seu Preceptoris tunc tenentem »[645]

Maître de la province de Hongrie (1292)
Artusio de Pocapalea1290[641][Tenant lieu de maître]
(la): Artusius de Pocapagia, de Pocapalgia
(it): Artusio di Pocapaglia
: « fr. Guillelmi de Novis, tunc magistri generalis in Lombardia, Tuscia atque Sardinia, et fr. Artusium de Pocapagia locum dicti Magistri seu Preceptoris tunc tenentem »
[645]
Guillaume de Canelli (Guiglielmo di Canelli)1291 - 1296[646](la): Guillelmus de Canellis

Envoyé en Hongrie (ap. 1296), † à son retour
[647]
Hugues de Verceil (Uguccione di Vercelli)1300 - 1303[648]Cubiculaire du Pape de 1278 à 1282, puis de 1300 à 1302[626],[649],
Précepteur de l'Abbadia di Vulci à partir de 1283
Giacomo da Montecucco (ou Jacopo da Montecucco)[650]1303 - 1307[630][651]
1303: « preceptor Lombardie et Tuscie »
1304: « domini pape cubicularius et domorum militie Templi in Lombardia, Tuscia, terra Rome et Sardinia generalis preceptor atque alliarum preceptoriarum domorum militie Templi »


Cubiculaire du Pape de 1304[630] à 1307 (?)

On connait également les sous-divisions de cette province (baillies) et le nom de quelques dignitaires en ayant eu la charge :

Lombardie

Cette baillie (Balivia Lumbardie) était beaucoup plus grande que la région actuelle, elle incluait les commanderies en Émilie-Romagne, en Lombardie, dans le Piémont[652] et à priori mais sans certitudes, celles en Ligurie. À la fin du XIIIe siècle, elle avait le rang de province (se substituant globalement à la province d'Italie) et incluait également les commanderies en Vénétie[653]. La commanderie d'Asti apparaît comme la plus importante de cette baillie. C'est après la maîtrise de Bianco da Pigazzano (c. 1271 - 1285) que le titre de maître en Italie semble se perdre au profit de celui de maître en Lombardie. Guglielmo de Noves, son successeur étant désigné à partir de 1286 comme Magnum Preceptor Lombardie et ce titre semble se substituer à la province d'Italie. L'année précédente, date de sa prise de fonction, il portait le titre de Magister Generalem in Lombardia et Tuscia[654].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Bonifacio1169[631][Incertain]
c. 1169: « Bonifacio magistro & fratribus militie Templi de Lombardia »

Maître de la province d'Italie (1167)
[N 78]
Gaimardo1190[655](également précepteur de la marche de Vérone)
Barozio1200 - 1204[655]1204: « fratrem Barrochium, dudum in Lombardia domorum Templi magistrum »
Giovanni Lombardo1222[656](également maître d'Italie)
Guglielmo da Melzo1227[657](également maître d'Italie)
Giacomo de Balma1247[636](avait le titre de procureur du Temple en Lombardie)
Guglielmo da Bubbio1254 -1262[636],[655]Lombardie seule puis précepteur de Lombardie et Tuscie en 1261-1262
c. 1260, frère Isnardo tient lieu de commandeur de cette baillie en l'absence de Guglielmo da Bubbio.
Oberto di Calamandrana ? - 1271[636]« domorum Militie Templi in Lombardia preceptor »[658]
Bianco da Pigazzano
(Bianco da Piacenza)
1271 - 1285[636],[641]1267: « domini fratris Blanci de Placencia in Lombardia tenens locum magistri »
1268: « preceptor mansionis Placentie et rector et minister pro Templo in Lombardia »

: « fr. Blancho prec. Domorum Templi de Placentia et Mediolano, tenente locum magistri in tota bavilia Lumbardie et super Domo Templi S. Ambroxii »
c.1282: « Frater Bernardus de Parma... quod jam sunt XXX anni, ... per fratrem Bianchum de Pighazzano, magnum preceptorem baluie Lombardie et Tuscie », procès (Florence )[659]

Commandeur d'Asti (1244)
Commandeur de Milan (1266)
Commandeur de Plaisance (1267-1270)
Tenant lieu de commandeur de la baillie de Lombardie (1266, 1271)
[N 42]
Recteur et ministre du Temple en Lombardie (1267)
Maître de la province d'Italie (1276, 1278)
Commandeur des maisons de Milan, Pavie, Toricella Verzate, Plaisance, Fiorenzuola d'Arda, Crémone, Brescia, Bergame et Montesordo (1281) ⇒ Lombardie et partie de l'Émilie-Romagne
Grand commandeur de Lombardie et de Tuscie (c. 1281/82)
La baillie de Lombardie devient la province de Lombardie aux dépens de la province d'Italie1286 - 1307

Lucques

Baillie mentionnée en 1243 (Balia de Luca)[660] qui regroupait les possessions autour de la ville de Lucques donc des commanderies et maisons en Toscane. Fit ensuite partie de la baillie de Tuscie.

Marche d'Ancône

Il s'agit des Commanderies ayant existé dans la région des Marches (Marchia Anconitana). La commanderie San Filippo di Osimo fut pour un temps le lieu de résidence du précepteur de cette baillie[661].

Maître Période de maîtrise
fr. Gualtiero1268[661]

Marche de Vérone / Marche Trévisane

(la): Preceptor domorum Templi de Marchia Tarvisana, de Marchia Trivixana

Au milieu du XIIIe siècle, la baillie de la marche Trévisane était administrée à partir de la commanderie de Santa Maria a Campanea[652] et c'était encore le cas en 1302 -1304[662]. La présence de plusieurs commandeurs de cette région est attestée lors des chapitres provinciaux notamment à Plaisance en 1268 et en 1271[663] et peu de temps avant la chute de l'ordre (1303), la commanderie de Padoue était subordonnée au maître de la province de Lombardie, ce qui confirme l'étendue de cette province au Nord-Est de la péninsule italienne[652].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Gaimardo1190[652][Marche de Vérone]
fr. Ermanno1247[652][Marche Trévisane]
« preceptor domus milicie Templi de Campanea et aliarum domorum de marchia Tarvisana »
fr. Giacomo1268: « fratre Iacobo preceptore domorum de Campanea »[663]
fr. Gabriele Gambulara1271[652][Marche Trévisane]
: « frater Gabriel de Gambelaria preceptor domorum Templi de marchia Trivixana »
[663]

Frère, commanderie de Trévise (1247)
Commandeur de la baillie de Pavie (1268) [?]
[663],[N 79]
fr. Giovanni di Castell'Arquato1302 - 1304[664][Tenant lieu de commandeur]

Patrimoine de Saint-Pierre en Tuscie

Cette baillie se trouvait au nord du Latium.

Maître Période de maîtrise
fr. Guillaume de Cussac (Guiglielmo Cernerium)c. 1300[665]

Rome

Cette baillie regroupait les commanderies autour de la ville de Rome donc une partie des commanderies du Latium. On trouve également en 1218 un précepteur commun aux baillies de Rome, Tuscie et Sardaigne ainsi qu'en 1236[666].

Maître Période de maîtrise
fr. Giovanni (Rome, Tuscie et Sardaigne)1218[667]
fr. Alberto Lombardo (Rome, Tuscie et Sardaigne)1236[668]
fr. Pietro1244[669]
fr. Moro « da Pigazzano »c. 1300[665]

Tuscie

Il s'agit des commanderies en Toscane (Tuscia). Lorsque la province d'Italie devient la province de Lombardie (1286), on trouve fréquemment la mention Lombardie et Tuscie dans le titre de ces maîtres mais plus de traces d'un précepteur de cette baillie.

Maître Période de maîtrise
fr. Alberto Lombardo (Rome, Tuscie et Sardaigne)1236
fr. Alberto (Sindicus et Nuncius de Tuscie pendant la maîtrise de Dalmazio de Fenolar en Italie)1256[655]
fr. Giovanni di Castell'Arquato (Tuscia et Terra Romae)[670]1274[662]

Province de Portugal

Certains auteurs portugais mentionnent Arnaldo da Rocha (pt) parmi les neuf premiers chevaliers ayant fait partie de la milice des pauvres chevaliers du Christ et du temple de Salomon aux côtés de Gondemare (pt), tous deux d'origine portugaise[671],[672].

Mais l'implantation des templiers débute au Portugal en 1126 avec un don de la veuve d'Henri de Bourgogne, à la condition que ceux-ci participent à la Reconquista des terres des royaumes musulmans de la péninsule Ibérique[673].

Parmi les templiers qui ont contribué à l'installation de l'ordre dans ce qui n'était encore que le comté de Portugal, on trouve :

En 1147 le roi de Portugal, Afonso Henriques leur confia la garde de ses frontières avec les Maures mais aussi avec le royaume d'Alphonse VII de León et Castille. C'est à cette époque que l'on voit apparaître le titre de maître de la province de Portugal[3]. À partir de 1160, ils bâtirent la forteresse de Tomar autour de laquelle la ville éponyme s'installera[676].

Le Portugal fait partie des sept premières provinces que constitua le Temple en Europe comme l'indique l'article 87 des retraits de la règle[677].

Vers 1220 selon Damien Carraz[177], cette province fut clairement intégrée à la province de Castille et León, pour former la province des trois royaumes d'Espagne (basée à Tomar et Castelo Branco). On trouve alors des commandeurs de Portugal subordonnés au maître de la province. Cette fusion pourrait être antérieure (dès le début du XIIIe siècle si on suit l'opinion de certains historiens espagnols et portugais, mais si on prend le point de vue d'Alain Demurger et de Kristjan Toomaspoeg, le Portugal a toujours été subordonné à la Castille et au León[179].

À partir de 1283, les templiers de Castille et León, alors aux ordres du grand commandeur Gómez García, s'opposent à João Fernandes qui est pourtant maître des trois royaumes légitimement élu[187]. En résulte la scission des deux provinces en 1289 avec Gonzalo Yáñez maître de Castille et León et Afonso Gomes, maître de Portugal mais dans les faits cette scission est déjà effective depuis 1285 car João Fernandes a été mis à l'écart par le grand commandeur de Castille et León appuyé par Sanche IV de Castille[187].

Dès 1310, à la suite du procès intenté aux Templiers, le roi Denis Ier de Portugal mit tout en œuvre pour préserver leurs actifs qui devaient revenir aux hospitaliers, et en 1319 la milice de l'ordre du Christ fut créée.

Maître[678] Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Hugues de Montoire (Hugo Martins ou Hugo Martonio)1143 - 1156[3]
Pedro Arnaldo1156 - 1158[679]
Gualdim Pais1156[3](1158)[679] - 1195
Lopo Fernandes[679],[680]
Fernando Dias1202[681]
Gomes Ramires (Gómez Ramírez)1210 - 1212[176],[178],[679]
Province de Castille, León et Portugal pour cette période1210-1285
fr. João Fernandes1285 - 1288Dernier maître des trois royaumes d'Espagne, élu en 1283. Il perd le contrôle de la Castille et du León à partir de 1285, supplanté par Gómez García son subordonné (grand commandeur) dans ce royaume[187]
Afonso Pais-Gomes1289 - 1290[679]
Lourenço Martins1291 - 1295 († )[682]
Vasco Fernandes1295 - 1306[683]1295: « Fr. Gonçalo Fernandes em nome do glorioso Barõ D. Vasco Fernandes Mestre da Cavallaria do Temple no Reino de Portugal »
« , e religiosos D. Vasco Fernandes Mestre da Nobre Cavallaria da Ordem do Temple no Reino de Portugal »
1296: « Domni Velasci Fernandi Magistri Ordinis Militiæ Templi in regno Portugaliæ  »
« D. Vasco Fernandes Mestre da Ordem da Cavallaria do Templo nos meus Regnos »
oct. 1301: « Virum Domnum Valascum Fernandi Magistrum Ordinis Militiæ Templi in Regno Portugaliæ »
1303: « Damos a vós D. Vasco Fernandus Mestre dà Ordem da Cavallaria do Temple nos nossos Regnos »
« Præsentibus Viris Valasco Fernandes olim Magistro in Regno Portugaliæ... Fratribus quondam Ordinis Templi Hyerosolimitani in dicto Regno »
[684]

Commandeur de Montalvão (pt) (Ordre du Christ), 1319-...[685],[N 80]
† 1323[687]

Province des Pouilles et de la terre de Labour

Bien qu'il y ait des avis très divergents entre les auteurs, les publications depuis le début des années 2000 s'accordent sur le fait qu'il s'agissait bien d'une province et non d'une baillie jusqu'à l'apparition des maîtres du royaume de Sicile dans la deuxième partie du XIIIe siècle. Ces dignitaires ne semblent pas subordonnés au maître d'Italie et semblaient ne rendre des comptes qu'au maître en deçà-mer (puis visiteur cismarin), intermédiaire entre les maîtres provinciaux et les plus hauts dignitaires qui se trouvaient en Orient. La seule exception connue étant l'année 1196 avec Guillaume de Saint-Paul, alors maître du royaume de Sicile et des Pouilles[688].

Maître / Précepteur Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
(Nicola di Collalto)1208[688]
Pierre de Ayse1213[689](Pietro de Ays)
Étienne de Sissey1260[690] (Sissi dans les ouvrages du XIXe siècle, Maréchal de l'ordre en 1264[691])

Province de Provence et partie des Espagnes

Cette province a existé jusqu'en 1239/40 avant d'être séparée avec d'un côté l'Aragon et la Catalogne, de l'autre la Provence[692]. Initialement, son étendue couvrait la partie chrétienne de la péninsule ibérique, exception faite du Portugal (comté puis royaume) qui a toujours été une province distincte, et la majeure partie du sud de la France actuelle. Au moment de sa création, elle couvrait une aire incluant :

La province était elle-même divisée en entités plus restreintes regroupant les commanderies par diocèse puis par baillie. Bego de vereriis, parmi tant d'autres, portait le titre de maître en Rouergue en 1152 et sa présence auprès des maîtres successifs de Provence et partie des Espagnes est régulièrement signalée[693]. Une baillie de Toulouse existait également[N 81] et ses maîtres successifs sont attestés jusqu'en 1250[695].

La liste chronologie des maîtres de la province de Provence et partie des Espagnes indiquée ci-dessous est celle publiée par Alan John Forey en 1973[148], reprise quasiment à l'identique dans l'ouvrage de Damien Carraz en 2005[151] avec quelques corrections de dates,[N 82]. Certains maîtres, comme Hugues de Barcelone, Bérenger d'Avignon et Pons de Rigaud ont cumulé la charge de Provence et partie des Espagnes avec celle de la sous-province de Provence[266]:

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Pierre de Rovira1143-1158[148](Peire de Rovira)
: « in manu venerabilis Petri de Rovera, magistri Provincie et cuiusdam partis Ispanie »
[228]
1147: « Petro de Roveria nunc temporis in parte militie Templi in Hispania et in Provincia magistro »[697]
1155: « Petrus de Roveria, magister Templi in Hispania »[698]
1156: « in Provincie et cuiusdam partis Ispanie »[699]
Hugues de Barcelone1159-1162[148](la): Hugo de Barchilona[700]
(Uc de Barcelone)
1160: « magistro in parte nostre Hispanie »
[699]
: « in manus Hugonis de Barçelo ceterorumque fratrum eiusdem Domus Milicie »[701]
Hugues Jaufré1163-1166[148],[696](Uc Jaufré)
1163: « eiusdem domus Militie in partibus Barchinone magistri » ; « Ego Ugo Gaufridi militie templi fratri in partibusque Ispanie minister »
[702]
1164: « comendator de Ispania »[703]
: « que ego Ugo Gaufrido, magister Milicie Templi et Arnaldus de Torroia, cum consilio aliorum fratrum »[704]
: « Ego Ugo Gaufridus fratri pauper et minister militie partes Ispanie »[705]
05 nov. 1166: « fratris Hugonis Gaufredi in Provincie et Yspanie magistri partibus »[706]

Commandeur du Mas Deu (1158-1159)[707]
Arnau de Torroja1166-1181[148] (1180)[151](Arnaut de Torroja)
(la): Arnaldus de Turre Rubea, Arnaudus de Torroia
: « manulevamus de Arnaldo de Torroya, magistro milicie Templi »
[708]
nov. 1168: « magistro Provincie et istius nostre Ispanie »[709]
: « Arnaldus de Torroia, in partibus Prouincie et Ispanie magister milicie »[710]
: « fratris Arnaldi de Turrerubea, tunc temporis magistri Provincie et Yspanie Templi »[711]
: « Signum Arnaldi de Turerubea, magister Milicie »[712]
1175: « A[rnaldi] de Turre Rubea tunc temporis Hispanie et Provincie magistri »[713]
: « fratre Arnaldo de Turrerubea, Hispanieque Templi magistro » ; « in presencia fratris Arnaldi de Turrerubea, tunc temporis Hispanie et Provincie Templi magistri »[714]
: « ad frater Arnaldus de Turrerubea, magister, »[715]
: « Arnallus de Turrerubea, minister Milicie Templi Christi »[716]
18 et : « Arnaldus de Torroga, magister Espanie » ; « Arnaldo de Turrerubea, magistro »[717]
: « frater magister Arnallo de Turrerubea »[718]
22 oct. et : « in concordia cum magistro Militie Templi Arnaldo de Turrerubea » ; « magistri Arnaldi de Turrerubea »[719]
1180: « et tibi magistro, Arnaldo de Turre Rubea, in partibus Yspanie et Provincie, et Berengario de Avinione, in Provincia ministro »[720]
: « fratri Arnaldo de Turrerubea, in partibus Provincie et Yspanie magister »[721]
: « Signum Arnaldi de Turrerubea, magistri Milicie Templi in partibus Provincie et Yspanie »[722]
: « fratri Arnaldo de Turrerubea, magistro in partibus Provincie et Yspanie »[723]

Maître de l'ordre (1180-1184)
Bérenger d'Avignon(1180)[151] 1181-1183[148](la): Berengarius de Avinione
: « a Berenger de Avino, magister Milicie Templi »
[724]
1181-1182: « Magister milicie in Provincia et partibus Hyspanie »[725]
« Magister Provincie et harurn partium Ispanie »
« magistri Milicie in Provincia et partibus Yspaniarum »[726]
09 oct. 1182: « Et hoc fuit factum in manu Berengarii de Avino, magister de Provenca et partibus Ispanie »[727]
: « quod ego Berengarius de Avinione, in partibus Provincie[...] »[728]

Frère du Temple ()[722]
Gui de Sello1183[148],[151](la): [Guigonis/Guingo][N 83] de Sellon
(en): Guy of Sellón
(es): Gringo, Guingo de Sellon, de Seron
: « et vobis Guingo de Sellon, magistro istius domus in Provincia et in pluribus partibus Yspanie »
[729]
Raymond de Canet1183-1185[148](la): Raimundus de Canet
(Raimon de Canet)
/84: « fratri videlicet Raymundo de Canet Magistro Militie... »
[730]
: « fratri Raimundo de Canet, in éartibus Provincie et Ispanie Dei gracio magistro Templi Milicie, »[731]
1184: « in potestate Raimundi de Canet fratris predicte militie et magistri de Provincia et de partibus Ispanie »[732]
1185: « Ramon de Canet, magistri militie in Provincia et partibus Ispanie »[733]
: « et vobis R[aimund]us de Canet, magistro istius domus in Provincia et in pluribus partibus Yspanie »[734]
Gilbert Hérail(1184)[735] 1185-1189[148](la): Gilbert, Gilberto, Girbertus, Guibertus Erai, Eral, Erail, Erali, Erall, Erallii, de Arail, de Arall, de Rall
1185/86(?): « magistro Girberto Eral »
[736]
: « et fratri Girberto Eral, Dei gracia iamdicte Domus magistro »[737]
: « vobis Gilbert de Arall, magistro domus Templi Salomonis in Provincia et in pluribus partibus Yspanie »[738]
: « Girberti Eral magistri milicie in partibus Provincie et Yspanie ; Girberto Erail magistro in partibus Provincie et Yspanie »[739]
: « vobis Gilberto de Rall, magistro eiusdem domus in Provincia et in pluribus partibus Yspanie »[740]
: « Girberti de Arail fratris et magistri Provincie vel in partibus Ispanie »[739]
: « domini Girberti Eral magistri in partibus Provincie et Yspanie »[739]
: « fratri Girberto Eral, gran fratri Templi in partibus Provincie et Yspanie magistro »[741]
: « magistro Girberto Eral »[742]
: « fratri Girberto Eral, magistro eiusdem milicie in Provincia et partibus Hyspanie »[743]

Grand commandeur (1190)
Maître cismarin (1191, 1193)
Maître de l'ordre (1194-1200)
fr. Pons de Rigaud1189-1195[148],[696],[276](la): Poncius de Rigaudo, de
(ca): Pons de Rigalt
« Magister domorum milicie Templi in Provincia et partibus Hispanie »
« domorum in partibus Provincie et Yspaniarum preceptor »
« frater Poncii de Rigaldus, magister eiusdem domus in partibus Provincie et Hyspanie »
1190: « in posse et in manu Poncii de Rigaut, magister in Provincie et in partibus Yspanie »
[744]
: « Poncii de Rigaldo, in partibus Yspanie et Provincie magistri »[745]
: « in presencia fratris Poncii de Rigalldo, magistri in Provincia et partibus Yspanie »[746]
: « Poncio de Rigaldo, in partibus Yspanie magistro »[747]
: « fratri Poncio de Rigaldo, in hoc tempus magister in partibus Yspanie et Provincie »[748]
: « fratri Poncio de Rigaldo, magistro in quibusdam Provincie et Yspanie partibus »[749]
: « Signum magistri Poncii de Rigallo, Domus Milicie »[750]

Commandeur du Ruou (1180)[275]
Maître de la baillie de Provence (1184-1189)[150]
Maître en deçà-mer (1196, 1198, 1202)
Maître de la province de France (1197)
Maître d'Italie, Provence et Espagne (1200)
De nouveau maître de Provence et parties des Espagnes (1202-1206)
Géraut de Caercino1195-1196[151](la): Geraldus de Caercino, de Caurzino, de Chaurzino, Geralli de Cahercino, Guiraldus de Caercino[N 84]
(ca): Guerau de Caercí
(en): Gerald of Caercino
: « in manu et posse fratris Geralli de Cahercino, in partibus Provincie et Yspanie magistri »
[752]
/97: « in domo Militie apud Montempessulanum... sunt testes Guiraldus de Caercino, magister Milicie »[753]
: « scilicet Geraldi de Caercino, magistri in Provincia atque in partibus Yspanie »[754]
: « fratri Geraldo de Caercino, existente in partibus Ispanie ac Provincie magistro »[755]

Commandeur de Palau (ca) (1179-1180)[756]
Chambellan de Tortosa (1184-1186)[757]
Commandeur de Tortosa (1187, 1190-1191)[148]
Commandeur de Miravet, Tortosa et la Ribera(1194)[148]
Arnaud de Claramunt1196[148](la): ?
(ca): Arnau de Claramunt, Arnaut de Claramunt
: « cum assensu et voluntate Magistri nostri Arnaldo de Claromonte in partibus magistri »
[758]

Commandeur de Monzón (1191-1194)[148]
Maître en Provence et partie des Espagnes (1199-1200)[148]
Pons Marescalci1196-1199[148](la): Poncius Marescalci, Menescal, Menescalch, Menescalco, Merescalchi
(ca): Ponç Menescalc
1196: « venerabilis fratris Pontii Merescalchii ejusdem militie in partibus Provincie et in quibusdam Yspanie honorandi et discreti magistri »
[759]
: « in manu et potestate Poncii Menescalci, magistri in partibus Provincie et Yspanie »[760]
: « Fratri Poncio Menescalco, magistro in Provincia et in partibus Ispanie »[761]
: « Fratri Poncio Menescalco, magistro in Provincia atque in partibus Yspanie »[762]
: « fratris Poncii Menescalch, magistro in Provincia et in partibus Yspanie »[763]
: « magistro Poncio Menescalcho, »[764]
1198: « consilio et voluntate magistri nostri fratris Poncii Marescalci...Signum Poncii Marescalcii in Provincia »[765]
fév. & : « frater Poncio Merescalcii, magister eiusdem domus »[766]
mai-: « fratri Poncio Merescalco, Dei gratia magistro milicie Templi in Provincia et in quibusdam partibus Yspanie »[767]

Commandeur de Monzón (?-1196, 1202-1210, 1218-1221)[148]
Tenant lieu de maître de Provence et partie des Espagnes (, , , , , , avril et , , avril-mai et )[148],[N 42]
Commandeur de Miravet (1210)[768]
Arnaud de claramunt1199-1200[148](la): Arnaldus de Claromonte
(ca): Arnau de Claramunt, Arnaut de Claramunt
06 oct. 1199: « Hoc autem totum factum est Arnaldum de Claromonte, magistro stante in partes Provincie et Yspanie »
[769]
: « frater Arnaldus de Claromonte, Dei gratia domorum milicie Templi in Provincia et in quibusdam partibus Yspanie magistro »[770]

Commandeur de Monzón (1191-1194)[148]
Maître en Provence et partie des Espagnes (1196)[148]
Raymond de Gurb1200-1201[148](la): Raimundus de Gurbo
(Raimon de Gurb)
: « magister omnium domorum milicie Templi in partibus Yspaniarum et Provincie constitutarum »
[771],[N 85]
: « fratri Raimundo de Gurb, magistro a partibus Provincie sive Yspanie »[774]

Frère du Temple (sans titre), cartulaire de Barberà (1196)[775]
fr. Pons de Rigaud1202-1206[148](la): Poncius de Rigaldo
(ca):Pons de Rigalt / Pere d'Urgell en 1205 (?)
[N 86]
: « Dei gracia magistrum domus milicie Templi in Yspania et partibus Provincie »[778]
: « ejusdem milicie magistro in partibus Provincie et Yspanie »[777]
: « tunc temporis domino Poncio de Rigaldo in Provincia et in partibus Yspanie magistro »[779]

Voir la période 1189-1195 pour plus de détails
Pierre de Montaigu1207-1212[148](la): Petrus de Monteacuto
(ca): Pedro de Monteagudo
Peire de Montagut
: « fratri Petro de Monteacuto, gratia Dei iamdicte Domus in illo tempore magistro »
[149]
1208: « P. de Monteacuto, in partibus Yspanie atque Proviencie domus milicie Templi Dei gratia magister »[780]
: « fratris Petri de Monteacuto, venerabilis magistri militie Templi in Provincia et Ispania »[780]
sept./oct. 1210: « venerabilis Frater Petrus de Monte Acuto, preceptor domus Miliciae in provincia et quibusdam partibus Hispaniae ; vobis fratri Petro de Monteacuto venerabili Magistro Militiae Templi in provincia et quibusdam partibus Ispaniae »[768]
1211: « frater P. de monte acuto Magister domorum militie templi in provincia et quibusdam partibus hyspanie »[781]
: « voluntate fratris Petri de Monteacuto, Dei gratia in partibus Provincie et in quibusdam Ispanie domus militie Templi magister »[782]
: « cum assensu et voluntate domini magistri Petri de Monteacuto  »[783]
Guilhem Cadel1212-1213[148](fr): Guillaume Cadel
: « fratri G(ui)l(e)lmo Catello honorando magistro domus milicie Templi in Provincia et in quibusdam partibus Hypanie »
[779]
: « vobis Fratri Guillelmo Catelli Domorum Militie Templi in Provincia et quibusdam partibus Hispanie honorando Magistro »

Commandeur de Saint-Gilles (1201-1204)[784]
Maître de la baillie de Provence (1204-1209)[784]
Commandeur de Monzón (1210-1212)[148],[768]
Maître cismarin (c.1214-1216)[784]
Participation probable à la cinquième croisade (1217-1221)[779]
Lieutenant du maître de l'ordre, Pierre de Montaigu (1222)[779]
Maître de Provence et partie des Espagnes (1231/32)[784]
Guillaume de Montredon (es)(1213)[151]1214-1218[148] (1217)[151],[785](la): Guillelmus de Monterotondo
(en): William de Monterotunda
(fr): Guilhem de Montredon
: « magister in Provincia et in Hispania »
[786]
oct. 1218: « venerabili G. de Monterotondo, militiae Templi magistro in regno nostro et partibus Provinciæ »[787]

Commandeur de Gardeny (1206-1212)[148]
Guillaume de Cerzols1219[788][N 87]
Guilhem d'Alliac (ca)(1220)[151] 1221-1223[148](la): G. de Alliaco
(Guilhem de Alliaco, Azylach)
[790]
13 fév. 1221: « Frater G. de Allaco, magister Templi »[791]
1222: « Magister milicie Templi in partibus Yspanie et Provincie »[142]

Commandeur de Barberà (1207-1208)[148],[149]
Commandeur de Novillas (1212-1218)[148],[N 16]
Commandeur de la baillie de Provence (1217-1218)[150]
Commandeur de la province d'Auvergne (1228)[142],[147]
Ripert de « Puig Guigone »jan. 1224[148](la): Ripertus
: « fratrem Ripertum pro se et domo milicie Templi »
[792]

Peut-être le commandeur de Barberà (1219) du même nom.[793]
Foulques de Montpezat (ca)1224-1228[151](la): Folco de Montpezat
: « fratris F. de Montepesato magistri domus militie Templi »
[794]
: « magister militie Templi Provincie et Aragonie »[144]

Maître de la baillie de Provence (1200)[150]
Commandeur de Jalès (1201-1202, 1204, 1207-?, 1214, 1218)[N 88]
Commandeur du Mas Deu (1205-1207)[796]
Commandeur de Saint-Barthélemy du Puy-en-Velay (1210)[795]
Commandeur de Pézenas (1213, 1218-1219)
Guilhem Cadel1229-1232[148](fr): Guillaume Cadel
: « Frater Guillelmus Catelli, magister milicie Templi »
[797]

Commandeur de Saint-Gilles (1201-1204)[784]
Maître de la baillie de Provence (1204-1209)[784]
Commandeur de Monzón (1210-1212)[148],[768]
Maître de Provence et partie des Espagnes (c.1212-1214)[784]
Maître cismarin (c.1214-1216)[784]
Participation probable à la cinquième croisade (1217-1221)[779]
Lieutenant du maître de l'ordre, Pierre de Montaigu (1222)[779]
Raymond Patot1233-1234[148](la): Raimundus Patot, R. Patoth
(Raimon Patot)
1233: « dilectus nostre fratri R. Patot domorum milicie Templi in Provincia et in partibus Ispanie magistro
[798], domorum Templi in Provincia et Yspania magistro, venerabilis magistri domus militie Templi in Provincia et Yspania »
Hugues de Montlaur1234-1238[148](Uc de Montlaur)[799]
: « ? »[800]
: « fratri Hugoni de [M]onte Lauro magistro domus Templi in partibus Yspanie et Provincie »[801]
: « Nos frater hugo de Montelauro, domus milicie Templi in Provincia et partibus Hyspanie magister humilis »[802]
: « venerabili fratri domino Hugoni de Montelauro, magistro domorum Templi in Provincia et in quibusdam partibus Spanie »[803]
: « et vobis fratri Ugoni de Montelauro, magistro in Provincie et in partibus Yspanie »[804]
: « frater Hugo de Monte Lauro, magister domorum Templi in Provincia et in quibusdam partibus Spanie »[805]

Maître Cismarin (1236)[801]
Maréchal du Temple (1242-1244)[801]
† 17 oct 1244, bataille de Forbie[806]
Estève de Belmonte, ou de Bellomonte1239[66],[148],[266][Mentionné parfois sous le nom d'Astruch de Cla(i)rmont][N 89]
(la):
(ca): Astruch de Clarmont, de Belmont ; (es): Esteban de Belmonte
(en): Stephen of Belmonte
(pt): Estevão de Belmonte

Commandeur de Castellote (1217-1220), Villel (1221), Cantavieja (1224)
[148]
Maître de Castille, León et Portugal (1229/30-1237)[66]
Maître de Provence (1246)[66],[150]

Pour la période qui suit 1239, date de la scission de cette province, il faut se référer à la province d'Aragon et à la province de Provence (ne pas confondre avec la baillie de Provence ci-dessous).

Baillie de Gascogne

(la): Custodes domorum Templi in Vasconia, magistros in Vasconia, in Gasconia

Possessions du Temple dans l'ancien duché de Vasconie. L'aire d'influence de ces maîtres de baillie s'étendait initialement des Pyrénées au Lot-et-Garonne et il ne faut pas confondre avec la baillie de Toulouse qui couvrait plus ou moins le reste de la région Midi-Pyrénées. Cette étendue semble avoir varié car si on voit ces maîtres dans l'Agenais jusqu'à la fin du XIIe siècle, on trouve ensuite une baillie de l'Agenais[808]. Ces possessions semblent dépendre au départ de la province de Provence et parties des Espagnes mais elles font partie par la suite de la province d'Aquitaine. Au début du XIIIe siècle, on trouve notamment Giraud Brochard, maître du Poitou et de Gascogne en 1215[809] et à la fin de ce siècle, il y avait un commandeur de Bordeaux et de toutes les possessions en Gascogne[810].

Les dates indiquées pour les premiers dignitaires que sont Augier de Bedeisan et Hélie Focald ne sont pas celles que l'on trouve généralement. Les périodes supposées provenaient d'Antoine du Bourg[811] en rapport avec la baillie de l'Agenais et avaient été établis à partir de chartes qui ne comportaient pas de dates[N 90]. Des travaux plus récents avec la mise au jour de chartes datées remettent en cause ces périodes.

Maître Période de maîtrise Commentaires
fr. Guillaume de Verdun1156[812](la):Guillelmus de Verduno[813]
(oc): Guilhelm de Verdune[814]
1156: « Guillelmum de Verduno, magistrum domorum milicie Templi in Vasconia »

Maître de la bailie de Toulouse (c.1155)[812]
fr. Augier de Bedeisanc.1159 - 1171[N 91](la): frater Auger, Augerius de Bedeisan
(fr): Auger de Badelsan, de Bedeissan, Augier de Bédeissan
avant 1159 [?]: « custos domus Templi in Vasconia »
[812],[815], « tempore illo custodis domus Templi in Gasconia »[818],[N 92]
1167: « Deo et militibus Templi Jerosolimitani, in manu fratris Augerii et Heliæ Folcaldi », à Bouglon[817],[N 93]
1167 x 1171: « Ecclesiam Sancta Mariæ d'Argenten et quicquid juris in eâ habebant, in manu Augerii, magistri, fratris, et Arnaldi de Argenten, fratris, et Guillelmi del Bois, fratris »[821],[822]

Autres sources:[823]
c.1171[N 94]
fr. Hélie Focaldc.1172 - 1175/76[N 95](la): Elie Focal, Helias Folcaldi
(fr): Hélie de Focald, de Foucauld, Élie Foucauld

« magister milicie Templi in partibus Gasconie, magister templarius totius Vasconie »[815]
c.1161[826]: « magister domuum Vasconie in domo Agenni »[N 96]
sans date (1161 ou 1175): « magistro domum tocius Vasconiæ »[828],[N 97]
sans date: « magister Vasconiæ »[829]

Frère du Temple, compagnon du commandeur de Novillas, Aragon (1147-1148)[830]
Frère du Temple, commanderie de Montsaunès (sans date, 1156 x 1161)[831]
Commandeur de Cours, Lot-et-Garonne (1160)[824],[N 98]
Commandeur du pays de Narbonne (1167)[819]
Frère du Temple (sans titre), commanderie de Douzens (1169)[835],[N 99]
Frère du Temple, Cours (Aude) (1170)[836]
Commandeur de Périès (1171)[820]
fr. Pierre d'Astuguec.1170 - 1180[815]
ou
après 1175[812]
(la): Petrus d'Astuga, d'Estuga, d'Estugas, Petrus de Stuga, W.P. d'Estugas
(fr): Pierre d'Astugue
sans date: « magister totius Vasconie, magister Vasconie »
[815]

Maître de la baillie de Toulouse (1164, 1166[837],[838], 1169)[812]
Sans titre, , donation gage du fief de Tizac. (1167)[839]
Maître (1168), commanderie de Montsaunès[840]
Sans titre, donation à Saint-Sirac (1169)[841]
Frère de la commanderie de Montsaunès (1176)[842]
fr. Jourdain de Corbarieuc.1180[812](la): Iordanus de Corbariu, Jordanus de Corbarriu
(fr): Jourdain de Corbariu, de Corbarrieu
(en): Jordan of Corbarieu
sans date: « magister totius Vasconie »
[843]

Commandeur de Monzón (1182-1183)[148],[844]
fr. R. de Caneg1186[812]1186: « en la ma del frayre R. de Caneg, que era maestre e comanaire de las maisos de Gascuina »[812]
fr. Fort Sans de Vidaillacc.1211[845](la): Fortin Sans de Bidalac, Fortis Sancius de Bidalhac, Fortis Sans de Vidalac
(fr): Fort Sans de Vidalac, de Vidalhac
c.1211: « in presentia Fortin Sans de Bidalac qui erat commandator istius bailie et G. de Brasac commandator de Golfugs »
[845]

Serait-ce le même individu que Fort Sans de Vidaillac (Fortinus Sans de Bidalhac, miles) dans le cartulaire de l'évêché d'Agen ?[846],[N 100]
fr. B. de Sempastor?[812]
fr....
fr. Élie Amanieu1288 - 1289[810](la): Helias Amaneui
(fro): Helies Amaniu
: « preceptorem domorum nostrarum Burdegalis et de Vasconia »
: « caperan comendador de la mayson dou Temple de Bordeu de Jherusalem et de totes les autres maysons de Guascoyne »
: « comanday de las mayzons de la cauareyrie deu Temple en Guascombe, procurador generau deu frey Gaufrer Ucher generau visitedor de les maysons deu Temple en los règnes de France e d'Anglaterre  »
[810]

Baillie de Provence

(la): « Magister (præceptor) militiæ Templi in partibus Provincie »

Il s'agit d'une sous-province dépendante de la province de Provence et partie des Espagnes. La terminologie « baillie » apparaissant au XIIIe siècle. La baillie ou sous-province de Provence représentait un territoire allant de l'actuel Languedoc au comté de Provence de l'époque[6]. On trouve également des baillies plus petites au sein de celle-ci comme la baillie regroupant les maisons dépendantes d'Arles et Narbonne.

C'est avec Bérenger d'Avignon que l'on voit apparaître le titre officiel de maître en Provence[7], les frères templiers précédents ayant une responsabilité semblable sans en porter le titre.

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Hugues de Beciano (Uc de Beciano)1134-1143[150]
Bego de Vereriis1151-1152[150]
Hugues de Barcelone1155-1159[N 101](Uc de Barcelone) cité de 1155 à 1173[150],[848]
Bego de Vereriis1159[N 101]-1160[150]
peut être jusqu'à 1162
Hugues de Barcelone (Uc de Barcelone)1162-1169 [N 101]
Bego de Vereriis1169[150],[848]
Bérenger d'Avignon1179-1183[150](la): Berengarius de Avinione
« Berengarii de Avinione, magistri milicie in Provincia »
[849]
Pons de Rigaud1184-1189[150],[850](la): Poncius de Rigaudo
« Magister milicie Templi in Provincia »

Commandeur du Ruou (1180)
[275]
Maître de Provence et parties des Espagnes (1189-1195, 1202-1206)[276]
cf. la période 1189-1195 pour la suite de sa carrière.
A. de Toulouse1190[150]
Guillaume de Saint-Paul (Guilhem de Saint-Paul)1190[150]
Déodat de Bruzac1195[150](la): Deodatus de Breisacho, de Breissaco
« frater Deodatus de Breisacho, magister domorum Templi in Narbonensi et Arelatensi et aliis provinciis »
[851]
Pons Marescalci1197-1200[150]
Foulques de Montpezat (ca)1200[150](la): Fulco de Montepesato
(?): « Fulco de Montepesato magister milicie Templi »
[852]
: « preceptor domorum Provincie »[771],[N 85]

Commandeur de Jalès (1201-1202, 1204, 1207-?, 1214, 1218)[N 88]
Commandeur du Mas Deu (1205-1207)[796]
Commandeur de Saint-Barthélemy du Puy-en-Velay (1210)[795]
Commandeur de Pézenas (1213, 1218-1219)
Maître de Provence et parties des Espagnes (1224-1228)[151]
Hugues de Roquefort1200[853],[854]
(décembre)
fr: Hugues de Rocquefort ; (it): Hugo de Rocaforti

Commandeur de la baillie de Sicile (1197)
[688],[855]
Déodat de Bruzac1201[856] - 1202[150](la): Deodatus de Breisaco, de Brizac, de Bruissaco, Deudat de Breisaco, Deude de Breissac
(fr): Déodat de Brusiac
avr. 1201: « magister militie Templi in partibus Provincie »
[857]
oct. 1201: « Deodatum magistrum Templi »[858]

Commandeur de Richerenches (1200[771], 1205-1212)[859]
Guilhem Cadel1203-1210[150]
(1204-1209)[784]
(la): G. Cadelli
(fr): Guillaume Cadel
/04: « G. Cadelli preceptoris domus milicie in Provincia »
[860]
: « Guillelmo Cadello magistro Provincie »[779]
: « Poncio de Rigaldo in Provincia et in partibus Yspanie magistro et W[illelmo] Catelli sub ipso in Provincia commendatore »[779]
mars & : « magistro quondam W. Catello ; magistro existente Guillelmo Catelli »[779]
: « fratre Guillermo Catelli domus Templi militiae in partibus Provinciae magistro »[779]
: « Fr[ater] Guillemus Cadelli magister milicie in Provincia »[861]

Commandeur de Saint-Gilles (1201-1204)[784]
Commandeur de Monzón (1210-1212)[148],[768]
Maître de Provence et parties des Espagnes (c.1212-1214, 1231/32)[784]
Maître cismarin (c.1214-1216)[784]
Participation probable à la cinquième croisade (1217-1221)[779]
Lieutenant du maître de l'ordre, Pierre de Montaigu (1222)[779]
Guilhem Grahli1207[150](la): Guillelmus Gralhi
(fr): Guillaume, Guilhem Graille
1207: « Guillelmo Gralhi, in partibus Provincie magistro »
[862]
Bermond1210[150](Bermon)
Jordan1212[150]
Guillaume d'Alliac1217-1218[150](en): William de Alliaco
(fr): Guilhem d'Alliac
: « magister Templi Provinciæ », chapitre provincial, Saint-Gilles du Gard
[786]
1218: « Et nos frater Guillelmus de Allaco predictus ad majorem quoque ipsius rei firmitatem... sigillum nostri capituli apponi fecimus. », Pézenas[863]

Commandeur de Barberà (1207-1208)[148],[149]
Commandeur de Novillas (1212-1218)[148],[N 16]
Maître de la province de Provence et parties des Espagnes (1220/21-1223)[148],[151]
Commandeur de la province d'Auvergne (1228)[142],[147]
Hugues de Roquefort1218-1219[150]
Archimbaut de Sénas1229-1234[150]
Géraut1235[150]

Après frère Géraut, cette baillie devient une province à part entière (elle ne relève plus du maître de province de Provence et partie des Espagnes, dignité qui a été supprimée)[266]


Province du royaume de Sicile (sud de l'Italie)

Le royaume de Sicile au XIIe siècle.

La première province répertoriée est celle d'Apulie (Pouilles) mais les maîtres successifs administraient en fait une région correspondant au royaume de Sicile alors sous domination des Normands[864],[865]. Initialement, il s'agissait du duché d'Apulie qui fut intégré à ce royaume vers 1130 et la province était probablement divisée sous forme de baillies (sous-provinces).

Ce n'est qu'à la fin du XIIe siècle qu'elle semble se séparer en deux provinces, d'un côté les Pouilles et la terre de Labour et de l'autre la Calabre et la Sicile, (Apūlĭæ & Terra Lǎbōris, Cǎlǎbrĭæ & Sĭcĭlĭæ)[624],[688].

La chute des Hohenstauffen en 1266 au profit de Charles d'Anjou entraîne une nouvelle organisation avec une seule province dite du royaume de Sicile dans laquelle on retrouve les baillies des Pouilles et de Sicile puis plus tardivement l'Abruzze .

Au nord de ces provinces se trouvait le territoire des États pontificaux qui incluait les commanderies du Latium, de l'Ombrie et des Marches alors que les provinces de Pouilles-Sicile regroupaient celles des régions actuelles de : (lien vers les listes de chaque région)

Certains auteurs pensent néanmoins que les Pouilles et la Sicile n'ont jamais été séparées[866],[867],[868]. Le fait qu'on trouve pendant la maîtrise de Guillaume de Saint-Paul un précepteur pour les Pouilles, Goffredo et un pour la Sicile, Hugo de Rocaforti n'étaye pas forcément cette hypothèse[866] bien qu'il s'agisse alors des commandeurs de baillie, division interne de la province qui regroupait un certain nombre de maisons mais ce maître est le seul mentionné avec un tel titre avant 1266 (précepteur du royaume de Sicile et des Pouilles).

Il faut également prendre en compte l'histoire politique de la région avec la lutte entre guelfes et gibelins et surtout prêter attention au terme « Sicile ». Cette notion de royaume de Sicile a évolué au cours de ces deux siècles avec une scission qui interviendra en 1282 à la suite des vêpres siciliennes. C'est la naissance de ce que l'on appelle communément le royaume de Naples mais dans les sources, il était désigné sous le nom de Sicile « citérieure » alors que l'île de Sicile s'intitulait Sicile « ultérieure ».

Les implantations se situaient principalement dans les villes côtières, Brindisi entre autres[3], afin d'abriter pour l'hiver les bateaux et les hommes avant de rejoindre les États latins d'Orient.

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Maîtres des Pouilles (royaume de Sicile)
Henri1169[866](Enrico)
Guillaume de la Fosse1184[866](it): Guglielmo de la Fossa
1184: « in manus Guillelmi de la Fossa magister ejusdem Templi domorum quae sunt in Apulia et terra laboris »
[869]
Maîtres du Royaume de Sicile
Guillaume de Saint-Paul1196[866](it): Guglielmo de Sancto-Paulo)[688]
: « fratris Guillelmi de Sancto Paulo, magistri domorum Templi Sicilie et Apulie »[870]
......
fr. Albert de Canelli1262 - 1266[871],[872]((la): Obertus de Canelli, (it): Alberto de Canelli, de Camaldulla)
fr. Baudoin1267[873],[874],[875]((la): Baldovino)
fr. Guglielmo Piliforte1269[876](Lieutenant (second) pour le royaume de Sicile pendant la maîtrise d'Albert de Canelli.)
fr. Étienne de Sissey1270[877] - 1272[866],[878],[879]((la) Stephanus de Scisseio, de Sesciayo, (it) Stefano de Sissy, (en) Stephen of Sissey, parfois orthographié Sissi dans certains vieux ouvrages)
: « Stephanus, magister domus militie Templi in regno Sicilie »
[880]
1271/72: « pro religioso viro fratri Stephano de Sesciayo, magistro domorum Militie Templi in Regno Sicilie »[881]
fr. Guillaume de Beaujeu1272[877] - 1273[882](la): Guillelmus de Belloioco
(de): Wilhelm von Beaujeu, (it): Guglielmo de Bellojoco
1272: « Religioso fratri G. De Belloioco, magistro domorum militie Templi in regno Sicilie »,
« Religioso fratri Guillelmo de Belloioco, magistro domorum militie Templi in regno Sicilie, consanguineo nostro »
[883]
: « frere Guillaume de Biaujeu, qui estoit Outre mer commandeor du Temple en Puille »

Maître de l'ordre (1273-1291)
fr. Ademaro1273[877](Précepteur et lieutenant (second) pour le royaume de Sicile pendant la maîtrise de Guillaume de Beaujeu)
fr. Arnoul de Wisemale1274[884],[885](Arnulf de Ursemali)
fr. Simon de la Tour1275 - 1277[877]((la): Symone de Turri, Simonis de Turre; (en): Simon of la Tor;(it):Simone de la Tour)
(Précepteur de Safed en 1262, commandeur de la terre de Jérusalem en 1271, visiteur cismarin pour la péninsule ibérique en 1277
[886])
fr. Robert
((it):Roberto)
1277[887]
fr. Pierre Le Griffier1277 - 1279[887],[888]((la): Petrus de Griferio, Pietro de Genua, Pietro de Triario, Pietro de Gemma)
fr. Gioberto « de Nicherio »
(† )
1285[887](Jubertus de Nicher, de Vicherio)
fr. Guillaume « de Nozeta »1287 - 1289[889]((it): Guglielmo da Nozeta. Lieutenant de Gioberto « de Nicherio », et précepteur de San Giorgio (Brindisi) en 1289)
Hugo de Monterotondo1290 - 1292[887]« magister Templi in Barolo »
Reynald de Varenne1292 - 1299[890][Grand commandeur du royaume de Sicile]
(la): Raynaldus de Varena
[891]
(it): Rinaldo de Varenna, Rainaldo de Varensis, Raynaldo di Varena
1292: ?[887]
1299/1300: ?[892]
Pierre « Dada » (Pietro Dada, Petrum Dada)fin XIIIe siècle[893]
Peire de Pierrevert1297 - 1303[622], début XIVe siècle[894][Grand commandeur des Pouilles et des Abruzzes][N 102]
[Sources indirectes, procès][896]
(la): Petrus Peraverde Ultramontanus
(it): Pietro Peraverde « ultramontano »
av. oct. 1303
[N 103]: « Andreas Armani de monte Oderisio... qui receptus fuerat tempore pape Bonifacii in Barulo per magnum preceptorem in Appruntio et Apulea; Erat Petrus de Ultramontanis, nunc autem est frater Oddo de Valdric »[897]
« frater Petrus preceptor magnus Apulee »[898]
« Et in continenti frater Petrus de Peraverde qui tunc erat magnus preceptor dicti ordinis in Aprutio et Apulea »[899]

[Laurent de Beaune n'était pas commandeur des Pouilles c. 1300 mais commandeur d'Épailly][N 104]
Simon de Quincy1304/05[901] - 1307Surnommé « le Chaperon »

Commandeur de la baillie de Prunay (1284-1291)
Commandeur de Chanu, Haute-Normandie (1295)
Commandeur du passage (1303)
[902]
[903]
Odo de Villaret1308[904],[905](it): Odone de Valdris
(Oddone de Villaret, Odo de Valdric)
: « ...qui receptus fuerat tempore pape Bonifacii in Barulo per magnum preceptorem in Appruntio et Apulea; Erat Petrus de Ultramontanis, nunc autem est frater Oddo de Valdric »
[897]

Baillie des Pouilles

Il s'agit des commanderies dans la région des Pouilles et non pas de la province dite des Pouilles qui englobait un territoire bien plus vaste (royaume de Sicile). La commanderie de Barletta était la plus importante mais à certaines périodes, le précepteur de cette maison semble avoir eu le rôle de maître de l'ensemble du royaume de Sicile[906]. C'est a priori le cas lorsque le maître provincial était absent et lorsqu'il avait une vacance du pouvoir dans l'attente de l'élection d'un nouveau maître de la province. De nombreuses marchandises étaient acheminées en Terre sainte à partir de ce port et le précepteur de cette maison avait la charge d'obtenir les mainlevées auprès des portulans du royaume.

Maître / Précepteur Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Goffredo di Stefano1195[688]
......
fr. Jacob de Torricella
(Jacobus, Jacobi de Torricella, précepteur des Pouilles)
1256[907]
Arnoul de Wisemale (Arnulf de Ursemali)1271[884],[908]
fr. Pietro d'Ocre (Pietro di Ocra)1284[889]
fr. Falcone (vice-précepteur dans les Pouilles)1284[909]
fr. Pietro Dada1285[889]
fr. Jaufré de Pierrevert1302[622],[910][Peire de Pierrevert?][N 105]
(la): Gaufridus, Goffredus de Petraviridi
(en): Jeffey of Petra Verde
(it): Pietro-Goffredo di Piervert
: « fratris Goffridi de Petra Viridis, magistri sacre domus milicie Templi in regno Sicilie »
[913]
1303: « quod frater Joffredus de Petra [Viridi], tunc tenens locum magistri dicti ordinis in Apulea »[914]

Reçu à Castelo Branco (pt) (c.1275)[915]
En Orient (ap. 1275-1302, Acre)
Commandeur du Ruou (1308)
[915]

Baillie et Province de Sicile

Il s'agit des possessions dans l'île de Sicile. Cette baillie semble avérée dès le milieu du XIIe siècle[916] puis en 1197 avec un précepteur des maisons du Temple en Sicile, Hugues de Roquefort alors que l'on trouve également l'année précédente un maître du bailliage des Pouilles, Goffredo (1195-1196) et qu'il y avait un maître de la province du royaume de Sicile et des Pouilles, Guillaume de Saint-Paul à peu près aux mêmes dates[688]. Elle devient ensuite une province à part entière qui selon certains auteurs inclut leurs possessions en Calabre et dont on trouve trace jusqu'en 1255. À la suite des vêpres siciliennes, on retrouve de nouveau des dignitaires avec ce titre et peu avant la chute de l'ordre, la fonction existait toujours en la personne de Gerardo de Finoleriis (1304)[917]. Aucune des chartes liées à ces dignitaires ne mentionne le terme Calabre dans le titre excepté pour Bonifacio di San Michele en 1255 et il faut préciser que très peu d'informations sont parvenues jusqu'à nous concernant les biens leur ayant appartenu dans l'actuelle Calabre.

Maître / Commandeur Période de maîtrise Commentaires
Geoffroy de Champigny1151[916](it): Goffredo de Champiny
1151: « F. Gaufrido Campiniaco Prefecto generalis omnium domorum Templi in Sicilia »
[918]
Hugues de Roquefort1197[688],[919](fr): Hugues de Rocquefort ; (it): Hugo de Rocaforti
: « preceptor domorum sacre Militiae Templi Siciliae »
[855]

Commandeur de la baillie de Provence (1200)[853]
Guillaume d'Orléans1209 - 1210[688](la): Guilielmi Aureliensis[920], parfois Oreliensis et Orlientensis
1209: « Guillelmi Oreliensis domorum templi in Sicilia praceptoris »[921]
1210: « frater Guillelmus magister domus militia templi in Sicilia »[922]
Armand de Périgord1229[923](la): Hermanus de Petragors
1229: « fratris Hermani de Petragors domus militia templi in Sicilia & Calabria praceptoris »
[924]
Bonifacio di San Michele1255[907]
Martino Cabillone1280[925] - 1283[926]
Guglielmo de Canelli1284 - 1285[927]
......
Gerardo de Finoleris (Gerardus de Finoleriis, « Pinoleris ? »)1304[928],[929]
Albertino de Canelli ? - 1312: « frater Albertus de Canellis miles, Aquensis diocesis, provincie Mediolanensis, preceptor bailivie insule Sicilie »[930]

Provinces créées au XIIIe siècle

Province d'Allemagne

La Bohême et ses alentours au XIIe siècle et XIIIe siècle.

La province d'Allemagne ne se forme qu'au XIIIe siècle pendant le règne de Frédéric II de Hohenstaufen dans le Saint-Empire romain germanique et incluait également les commanderies établies dans le royaume de Bohême, les duchés de Pologne et la Prusse teutonique[3].

Dès 1157, Albert Ier de Brandebourg leur octroie des terres près de la rivière spree et en 1200 ils fondent le château de Mongberg dans la marche de Brandebourg[931]. Avant le milieu du XIIIe siècle, certaines commanderies dans l'ouest de l'Allemagne faisaient partie de la province de France[932].

L'expansion de la province débute à partir de 1232 avec de nombreux dons comme ceux de Ladislas Odonic concernant Quartschen[933],[934], de l’Évêque de Lebus pour les terres de Custrin[935], de Barnim Ier le Bon dans le Duché de Poméranie, d'Henri Ier le Barbu pour le duché de Grande-Pologne, de Boleslas V le Pudique pour celui de Petite-Pologne, de Boleslas Ier de Mazovie dans le duché de Mazovie[936] et de Venceslas Ier pour le royaume de Bohême[13].

On trouve à partir de 1227 un commandeur (preceptor) d'Alémanie (Alemannia)[937]. C'est peut-être le même individu, du nom de Gebhard (Gevehardus) que l'on retrouve en 1241 actant comme maître puis en 1244 comme commandeur des maisons du Temple en Allemagne au moment des donations relatives à Schiedlow[N 106] et Sulęcin en Pologne[939].

En dehors des titulatures qui varient fréquemment, certaines bulles papales nous permettent d'attester l'existence de cette province et nous renseignent sur son étendue à des dates précises. En 1238 Grégoire IX confirme les biens reçus à Custrina dans l'évêché de Lebus en s'adressant au maître et aux frères de la maison du Temple en Teutonie[940], en 1247 c'est Innocent IV qui s'adresse au commandeur et aux frères en Alémanie (Alemannia)[940], en 1249/50 ce sont deux bulles de ce même pape adressées au maître et aux frères en Alémanie et en Pologne (Polonia)[941] puis une troisième qui mentionne l'Alémanie et la Poméranie (Slavia)[942],[943]. Compte tenu de la proximité de ces dates, il apparaît que le royaume de Pologne et les duchés de Poméranie ont toujours fait partie de cette province et que la Hongrie (Hungaria) n'en faisait pas partie.

La maîtrise du frère Widekind[N 107] confirme l'emploi du titre de maître en Alémanie et en Slavie (Poméranie)[945] mais on constate que Frédéric d'Alvensleben (de), avant-dernier maître de cette province[934] portait le titre de « maître en Allemagne et en Esclavonie » et est également cité comme « maître d'Allemagne et d'Italie » en 1307[946].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
 ?1208(la): « provisor bonorum Theotonie »
fr. Martin1219(la): Martinus
1219: « fratri Martino templario in Alemanniam destinatis », registre d'Honorius III
[947],[556]
fr. Gebhard1227[937],[948](la): Geuehardus
1226/27: « domni Geuehardi tunc preceptoris Alemannie »
[949]
fr. Gebhard / Gerhard1238[N 108] - 1244[952](la): Geuehardus, Gevehardus[939],[953]
1238: « Magistro fratibus Domus militie Templi in Teutonia »[N 108]
1241: « Magistri Gebehardi militiae Templi Praeceptoris »[954],[N 109],[956]
1244: « Geuehardo preceptori domorum militie Templi per Alemanniam »[955],[956]
, sans titre régional dans un deuxième acte[957]
fr. Johann1251[958](la): Johannes, « summus preceptor militie Templi per Teutoniam, per Bohemiam, per Moraviam et per Poloniam »[958]
Pierre Berka de Dube & Lippa[13],[952]
Widekind1262 - 1279[952](la): Wedekindus, Widekindus[19]
: « frater Wedekinus, domorum militie Templi in Alemannia et Sclavia magister »
1262: « Widekinus domorum militie Templi in Alemannia et Slavia preceptor »[945]
: « frater Widekindus magister domorum militie templi per Alemanniam et Poloniam »
?: « frater Wedekindus magister domus milicie templi » ; : « frater Wedekindus domorum militie Templi per Alemanniam et Slaviam magister »[959]
: « frater widekindus magister fratrum de Templo per Allemanniam »
Friedrich Wildgraf (de)1282-1292[960](la): Fridericus Silvester (dictus Silvester), preceptor domorum militie Templi per Alemanniam et Slaviam[960]
En 1288, son second (vice-preceptor) est le commandeur de Lietzen, Jordan von Esbeke (Jordanus)[961].

De 1295 à 1297, il se trouve dans le duché de Bavière, plusieurs documents dont un où il est qualifié de « maister Weilent »[N 110]
Renier de Villers1292[963]: « frater Reynerus dictus de Vileyr commendator domus Templi in partibus Almanie »[964]

Commandeur de la baillie de l'Hesbaye (1275, 1289)
Bertram von Esbeke1294-1297[952],[961](la): Berchramus de Czwek, Bertramus de Esbeke[965],[966]
1295: domorum militie Templi per Alamaniam, Schlaviam, Boemiam et Moraviam humilis preceptor[967]
Friedrich von Nigrebe1301[966](la): Fridericus de Nigrip[968]
1301: « fratris Frederici de Nigrip, nostri generalis preceptoris » dans la même charte que Friedrich von Alvensleben (de) alors commandeur de Supplingburg[969]

« Frederico dicto Nigro », frère du Temple en 1291 pourrait être le même individu[970],[968]
Friedrich Wildgraf (de)1302-1303[960],[971] (ou 1302)[N 111] : « Nos frater Fredhericus dictus Silvester, preceptor humilis domorum militie templi Jherosolimitani per Alimaniam et Slaviam »[972]
Procès, Chypre (mention): « Fredericus, frater tunc comitis de Savoya, tunc preceptor in Alamania  »
Friedrich von Alvensleben (de)1303-1308[961](la): Fredericus de Alvensleve
21 avr. 1303: « Frater Fredericus de Alvensleben domorum milicie templi per Alemanniam et Slaviam preceptor humilis »
[973]
avr. et : « Frater Fredericus de Alvenseleve, Dei gracia domorum milicie templi in Alamannia et Slavia preceptor humilis ; Nos frater Fredhericus de Alvensleve, humilis preceptor domorum militie templi Jherofolimitani per Alemaniam et Slaviam »[974]
: « Fredericus de Alvensleve, domorum militie Templi per Almaniam et Slaviam preceptor humilis »
: « domorum milicie Templi per Alemanniam et Slaviam preceptor humilis »[975]
1308: « frater Fredhericus de Alvensleve domorum milicie templi per alemaniam et Slaviam preceptor humilis »[976]
[934],[977]
Commandeur de Supplingburg (1301)[966]
Hugo de Gumbach1310[978],[979],[113]

Baillie de Bohème, Moravie et Autriche

(la): Comendator provincialis per Bohemiam, Moraviam et Austriam
Magister ordinis Templi per Bohemiam et Moraviam, magister militie Templi tocius Boemie et Maravie

Possessions subordonnées au maître d'Allemagne depuis au moins 1251[958], des maîtres dont la présence dans cette région est attestée plusieurs fois, notamment Bertram von Esbeke commandeur (preceptor) d'Allemagne, Hongrie, Bohême et Moravie. La baillie/province de Bohême et de Moravie apparaît pour la première fois en 1297 aux ordres d'un maître (magister) et l'Autriche ne se rajoute que tardivement, pas avant le début du XIVe siècle. Un seul commandeur connu avec ces titulatures mais on mentionne tout de même un commandeur de Moravie en 1243. En 1267, on trouve à Prague un maître de la maison du Temple à l'occasion d'un chapitre qui se déroule dans cette ville[980] (Bohême) sans que l'on puisse affirmer qu'il s'agit du maître de la baillie incluant les commanderies en Moravie voir du maître de la province d'Allemagne[N 112]. Problème identique à propos de Peter Ostrew, le maître qui a supervisé la construction de Saint-Laurent de Prague en 1253.

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Friedrich1243[983],[984](la):Fridericus, commendatoris militie Templi per Moraviam[984],[N 113]
fr. Bertholt von Czinnburg1250[986]
fr. Peter Ostrom von Berka und Duba1253-1254[Commandeur de Bohême ?]
(de): Johann Peter Burka ; Ostrowo von Berka ; Peter Ostrowo

Chronique: « supremus magister ordinis Templariorum, Petrus Berka, nominatissimae famigeratissimae familiae regulus, penes Templum S. Laurentii magnificum monasterium aedificavit »
fr. Sulislav1267[980],[987][Incertain]
(la): magistrum Sulizlaum de domo Templi
dans deux chartes relatives à la ville de Prague
[980]
fr. Ekko1297-1308[988](la):Ekko, Ecchoni, Eckone, Ekkonis
Ekko d'Egerberger
Commandeur de Čejkovice en Moravie (1292[989]-1295)[967]
Maître de Bohême et de Moravie (1297-...)[990]

Baillie du Brabant et de l'Hesbaye

(la): Preceptor domorum milicie Templi in Brabantia et in Hesbannia (Hasbania)

Les possessions de l'ordre dans le duché de Brabant, bien que faisant partie du Saint-Empire, semblent se rattacher à la province de France[991] et non à celle d'Allemagne comme on aurait pu le supposer.

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Renaud1240[Commandeur en Hainaut et en Brabant, à vérifier][484]
: « ? »
fr. Walter / Wautier1248: « fratrem Walterum, praeceptorem domorum balliviae militiae Templi in Hasbania »[473]

Commandeur de la baillie de Lorraine (1244)[472], (1262, 1264-1265)
Commandeur de la baillie de Flandre (1250-1251, 1257)
Accompagne Guy de Bazainville, maître en France (1251, Valenciennes)[128],[341]
fr. Gérard1255(la): Gerardus
(nl): Geeraart
: « quod frater Gerardus, magister sive provisor milicie Templi in Brabantia »
[992]
(?): « frater G., preceptor fratrum militie Templi in Hasbania et Brabantia »[993]
fr. Inguelran1256: « frater Inghelramus, domorum milicie Templi in Brabantia commendator »[994]
fr. Gérard1257-1260(la): Gerardus, Gerardus de Villari
(fr): Gérard de Villers
: « frater Gerardus, domorum milicie Templi in Brabant. et Hasban. commendator »
[994],[995]
: « preceptor domorum milicie Templi in Brabantia et in Hesbannia »[996]
: « frater Gerardus, provisor domorum Militie Templi in Hesbania »[997]
fr. H.1262[963]: « H. commendator omnium Domorum Militie Templi in Brabantia & in Hasbania »[998]
fr. Gérard de Villiers1265: « frater Gerardus de Villari, preceptor domorum fratrum Militie Templi in Brabantia, Hasbania et Condrusio »[999]

/74
fr. Renier de Villers1274-1291[Période à vérifier]
: « Homme saige et discreiz freres Reniers de Vileir commaistre des maisons dou Temple en Hesbaings »
[1000]
17 oct 1289: « religioso fratre Renero, fratre et magistro domus militie Templi in Hasbania Leodiensis diocesis »[1001]

Maître de la province d'Allemagne (1292)[963]
fr. Henri de Lille1286-1289Commandeur de l'ordre du Temple en Brabant
: « ? », avec le commandeur de Vaillampont
[1002]
: « ? »[1003]
fr. Godefroid1291
fr. Jacques de Bruges129505 oct. 1295: « domorum militie Templi in Brabantia preceptor generalis »[1004]
fr. Guillaumec.1300- 1307

Baillie de Lorraine

Cette baillie regroupait les commanderies dans le duché de Lorraine ainsi que dans le comté de Bar. Avant la création de la province d'Allemagne, ces maisons faisaient déjà partie de la province de France comme en atteste la présence répétée des maîtres de cette province tel que Olivier de La Roche en 1228 et 1232[N 114] puis Amaury de La Roche en 1269[1005] ou encore Guillaume de Malay en 1284[N 115]. En l'état actuel des recherches, aucune charte ne met en évidence l'intervention d'un maître d'Allemagne dans cette baillie où la langue d'oïl était d'usage et cette hypothèse n'est évoquée que par Auguste Digot[1006] . Initialement la province de France regroupait justement les possessions de l'ordre dans les pays où l'on parlait cette langue. On voit également le maître de Lorraine intervenir jusque dans l'électorat de Trèves en 1228[1007] et en 1273[1008] à propos de la commanderie de Trèves (Trier)[1009]. À la fin du XIIIe siècle, les possessions en Bourgogne, Lorraine et dans les trois évêchés (Metz, Toul et Verdun) étaient réunies sous l'autorité d'un même commandeur, notamment pendant la maîtrise de Jean de Mars et de son successeur Aymon d'Oiselay (Jean Haimmes d'Oixeleir)[1010] qui deviendra ensuite le dernier maréchal de l'ordre[N 116].

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Pons de Guillaume1217-1222(la): Poncius, Pontius « de Villame »
: « major magister Templarius de Lothoringia / temporis magister Poncii Templarii »[1012]
1218: « Sigillum Pontii magistri de Villame »[1013]
1220: ?[451]
: « magistro Pontio de Guillaume, magistro fratrum militie Templi in Lotoringia »[1014]
fr. ?1228: « ? », Templermeister von Lothringen (à Trèves)[1007]
fr. Ferry de Mohrange1231-1232[451](la): Fredericus dictus de Moherenges
: « magister domorum militiae templi in Lotharingia »
[1015]
: « frater Frid., preceptor fratrum milicie Templi in Lothoringia » ou « Nos fratres Fredericus preceptor fratrum milicie Templi in Lotharingia »[1016]
: « frater Ferricus, tunc preceptor Lothoringie »
fr. Jean de Naix1232[1017]
fr. Ferry de Mohrange1239/40[451],[1018](fro): Freriz de Moherenges
(fr): Ferri de Mohrange
/40: « ju freres Freriz de Moherenges, maistres de la chevalerie dor Temple de Lorregne »
[1019]

Commandeur de Norroy (1239) [erreur][N 117]
fr. Domenges1243[451](la): Dominicus ; (fro):Domenges
(fr): Dominique
1243: « freires Domenges, comanderes des maisons dou Temple an Lorreigne ; Freire Domenge, maistre de Lorreigne »
[1020]

Commandeur de Norroy (1231)[1015]
fr. Gautier de Villers1244[472]: « ? »[1021]
fr. Domenges12461246: « freires Domenges comanderes des Maisons dou Temple an Lorreigne ; Et por cen que se soit ferme chose, si avons nos mis le seel freire Domenge, maistre de Lorreigne »[1022],[N 118]

Commandeur de Norroy (1231)[1015]
Commandeur de Saint-Georges de Lunéville (1249, 1254)[1023],[1024],[1025]
fr. Rou d'Apremont1247[1026],[1027]: « Ront d'Espremont »[1028]
: « au proïres de frere Roul dou Tanple... au freres de Tanple de la ballie de Louyrenne »[1022]

Commandeur (maître) de Doncourt (1243, 1248)[1029]
fr. Poençon1251[1027]: « ? »[1030]
fr. Paris1259[438](la): Parisius

Commandeur de la baillie de Bourgogne (1254-1255)
Commandeur de la baillie de Laumusse et de Belleville (1254-1255)
[N 119]
fr. Gautier de « Villers »1262-1267[472],[1031]
(1262-1265)[1032]
(la): Galterius de Vileis
oct. 1262: « frere Wautier comandor des Maisons de la chevalerie dou Temple de la baillie en Loherainne »
[1022],[1033]
/65: « freres Gautiers de Vileis commederes de Lorainne »[1022],
: « frere Gautier commandeur des maisons de la chevalerie du Temple en Lorraine »[1034]
fr. Martin[N 120]1260,
1269-1274[451]
sept. 1269: « freires Martins, commanderes des maisons de la chevalerie dou Temple en Lorrengne »[1035]
1271: « commandeur des maisons de la chevalerie du Temple de Loherenne »[1036], « ? »[1037],[N 121]
: « frater Martinus preceptor et procurator... fratrum milicie Templi in Lotthoringia »[1008],[1038]
: « Nos freires Martins, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Lorreine »[1039]
1275: « ? »[1040] [à vérifier]
1277: « ? »[1041] [à vérifier]

Commandeur d'Epailly (1256)
Commandeur de la baillie de Bures et Epailly (1257-1258, 1267)
Commandeur de Laumusse (1275)
fr. Jean1285[Sources contradictoires, 1275-1288 ?]
mai 1264 [?]: « freres Jehans de la balie dou Temples en Lohereine »
[N 122]
1285: « Jennas Clowanges, li mares de la frarie des massons dou Tample »[1043]
1287: « Ci gist Mesires Jehans Freires chapelens ki fut maistre des mazons dou tanple de Lorene xxiii ans ki fut mors la vigile de la chandelour lan m cc iiiixx vii »[1042]

, inhumé à la commanderie de Metz.
fr. Martin[N 120]1287/881288: « ? »[1044]

Commandeur de la baillie de Bures et Epailly (1257-1258, 1267)
Commandeur de la baillie de Lorraine (1260, 1269-1274)
fr. Jean de Mars1289-1294[1045][Commandeur de Bourgogne et de Lorraine]
(la): Johannes Ademari, Demar, de Mares aut des Maix, de Mars, de Marciis
(fr): Jean Adhémar, Jean des Mars
: « virum religiosum, fratrem Johannem, preceptorem domorum militie Templi in Lothoringia »
[1045]
: « freres Jehan de Marx, freres dou Temple, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Loherainne »[1045]
: « freires Jehans des Mars, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Lorrainne »[1046]
1293: « ke freires Jehans, c'on dit de Mairs en Borgoigne, et freires Renalz, comandeires de lai Maxon dou Temple de Mes »[1047]
: « Jehans de Mars, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Lorrainne »[1045],[1048]

Commandeur de Payns (c.1298-1303)[1049]
Commandeur de Ruetz (1303-1307)[1050]
fr. Aymon d'Oiselay1296 - 1303[1051][Commandeur de Bourgogne et de Lorraine][N 116]
(la): Aymo d'Oiselaers, Aymone d'Oysilieres, de Oiselier, deu Zelet
(de): Hannes
[N 123]
(fr): Aymon du Zelet, Hennes d'Oixelier ou d'Oiseley, Jean Haimmes d'Oixeleir
: « Nos, freires Hianmes, Commandeires des maisons don Temple en la bailie de Loherengne »
[1048]
: « freire Heine d'Oixeleir, maistres et commandeires de la baillie de Lohairainne et de la grant Borgoingne »[446]
: « Haimmes d'Oiseley, Maistres & Commandeires de la Balie dou Temple en Loharainne »[1048],[1052]
et : Aimne d'Ozilley[1048]

Commandeur de Virecourt (1298-1302) [Erreur][N 124]
Maréchal de l'ordre (1304-1312)
fr. Henri de Vaucouleurs1304[451](la): Henricus de Vauquelours
(fr): Henri de Vauquelein, de Vauquelour
: « honorauble home et discret, freire Hanri de Vauquelour, maistre des maisons de la chevalerie dou Temple en la ballie de Lorreinne », Marbotte
[1051]

Commandeur de Lunéville & aumônier du duc Thiébaud II de Lorraine (1306) [probable][N 125]
fr. Demanges1306 - 1307[1051](fro): Domanges li Allemans
(fr): Domenge Lallemant
[442]
: « Domange »[N 125]
: « Nous, frères Demanges, maistres de la baillie dou Lorreigne  »[1053]
: « Demange, frere chappelain dou Temple Maistres & commandaires des maisons dou Temple, en la baillie de Lorraigne »[1048]
30 oct. 1307: ?[1048]

Tenant lieu[N 42] de maître de la baillie de Lorraine (1300)[1048]

Baillie de Pologne, Poméranie et Nouvelle Marche

(la): humilis preceptor domorum milicie Templi per Poloniam, Sclaviam et Novam Terram

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Bernhard von Eberstein1291[983](la):Bernhardus dictus de Euirsten
1291: « preceptor domorum milicie Templi per Poloniam, Sclaviam, Novam Terram et magister curie Quarczanis (pl) »
[1054]

Province d'Aragon (Aragon, Catalogne et Navarre)

Les comtés des Pyrénées orientales au XIIe siècle et XIIIe siècle

Ce fut d'abord une province distincte avant de faire partie intégrante (bailliage) de la province de Provence et partie d'Espagne. On remarque notamment que les deux premiers dignitaires de l'ordre cités en Catalogne et en Navarre, Hugues de Rigaud et Arnaud de Bedos, ne sont jamais mentionnés dans les documents relatifs aux templiers en Aragon[6].

Cette province correspondait au territoire de l'ancienne Couronne d'Aragon, union du royaume d'Aragon et des comtés de catalogne ainsi que celui du royaume de Navarre. Les ouvrages sur le sujet désignent souvent certains maîtres de province comme étant maître de Provence es Espagne ou maître en Provence et partie des Espagnes[7] mais on fait état pour la première fois en d'un maître d'Aragon et de Catalogne[6].

Il faut se référer à la liste des maîtres en Provence et parties des Espagnes pour les maîtres précédents et ne pas confondre avec le maître de la baillie de Provence ou celle d'Espagne au sens Aragon-Catalogne (sous-divisions de la province) qui dépendait du maître de cette province[7].

Maître Période de maîtrise Autre(s) fonction(s)
Raymond de Serra1240-1243[148]: « frater R., Dei gratia humilis magister domorum milice Templi in Catalonie et in Aragone »

Commandeur d'Ambel (1214-1218)[1055], Gardeny (1223-1228)[1056], Cantavieja (1225, c. 1230, 1234)[1056], Villel (1228-1229)[1057], Monzón (1231-1234)[1058] et lieutenant du maître de cette province (1232)[148], Tortosa (1235-1236)[1059], Miravet (1239)[1060], puis après sa maîtrise Ascó (1244)[1061], de nouveau Tortosa (1245), Monzón (1246-1248) puis enfin Horta (1251-1252)[1062]
Lui ou un homonyme commandeur de Majorque entre et [1063] car il était à ces dates commandeur de Monzón et lieutenant de la province[148], même problème pour Miravet où ce nom est cité entre et [1060].
Guillaume de Cardona (Guillén de Cardona)1244-1252[148]: « fratri Guillelmo de Cardona, magistro Militie Templi »[1064]
: « venerabili et dilecto fratri Guillelmo de Cardona, magistro domus milicie Templi in Aragonia et Catalonia »[1065]

Lieutenant de cette province (1238, 1241)[148] alors qu'il était commandeur de Gardeny (1239-1243)[1056] puis commandeur de Miravet (1255-1258)[1060]
Signataire du traité d'Almizra ()[1066]
Hugues de Jouy (Hugo de Joiaco)1254-1258[148]Maréchal de l'ordre (1251-1252) avant d'être envoyé en Catalogne[1067],[1068],[1069].
Guillaume de Montañana (Guillén de Montañana, Montanyana)1258-1262[148]: « Guillelmo de Montanyana, magistro domorum milicie Templi in Aragonia et Catalonia »[1070]

Il part ensuite en Orient comme commandeur de Sidon (1262)[1071] puis comme commandeur de la terre de Jérusalem[1072]
Guillaume de Pontons (Guillén de Pontons)1262-1266[148],[1073](la): Guillelmus de Pontons
: « magister militie Templi in regno Aragonum »
[1074]

Commandeur d'Horta (1259)[1062], était en Orient après sa maîtrise comme tenant lieu de maître de l'ordre puis envoyé dans les Pouilles pour chercher Guillaume de Beaujeu nouvellement élu (1273)[1075],[1076]
Arnaud de Castelnou (Arnau de Castellnou)1267-1278[148]: « dilecto nostro fratri A. de Castro Novo, magistro milicie Templi et fratribus eiusdem domus Templi »[1077]

Frère de Guillaume VI de Castelnau (Fils de Guillaume V de Castelnou)[1078],[1079].
Il était en Orient en 1277 et exerça également la fonction de visiteur pour la péninsule ibérique en 1278[1080],[1081]
Pierre de Montcada (ca)
(Pere de Montcada, Pierre de Moncade)
1279-1282[148]« frater Petrus de Montecathano, domorum militie Templi in Aragonia et Cathalonie magister humilis »[1082]

Fils cadet de Raymond de Montcada (ca), tué en 1229 lors de la conquête de Majorque[1083].
Il semble avoir d'abord exercé la charge de lieutenant de cette province en l'absence d'Arnaud de Castelnou ( à )[148] bien que mentionné dans certains documents avec le titre de maître[1084],[1085]: exemple [1086].
Visiteur pour la péninsule ibérique (1279-1281)[1081], Commandeur d'Acre (1284/85-1289)
(† , siège de Tripoli)
[1087]
Bérenger de Saint-Just (Berenguer de Sant Justo)1283-1290[148]Il devient ensuite commandeur de la terre (1292, Chypre) puis commandeur de Miravet (1297-1307) avec la fonction de lieutenant du maître de la province d'Aragon et de Catalogne en 1300[1088]
(† postérieur à 1319)[1089],[1090]
Bérenger de Cardona (Berenguer de Cardona)1291-1307[3](la): Berengarius de Cardona[133]

Cumulé avec la fonction de visiteur pour la péninsule ibérique (1297-1307)[1081]
(† 1307)
Exemen de Lenda (Simon de Lenda[148])[3] -Lieutenant de cette province en 1296 lorsqu'il était commandeur d'Horta[148].
Il a d'abord été commandeur de Cantavieja (1277-1295)
[1056] puis de Horta (1296-1307)[1062]


Province de Castille, León et Portugal

(la): « Magister militie Templi trium regnorum Hispanie » (Legionis, Castelle et Portugalie)

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Fernando Díaz
(† 1206)
1200-1206[203] (Maître en Espagne, (la) : « Fernandus Didacus, Magister militie Templi in Hispania »)[789]
fr. Sancho Fernández1206 ((la):Sancio Fernandi)
Cité comme maître dans un acte relatif à la commanderie de Benavente (León) en
[1091] ; Maître de la province selon Martínez Díez[1092], du León uniquement d'après Pereira Martínez[203].
fr. Gómez Ramírez
(† )[1093]
1210-1212[176],[1094][Probable]
((la):Gomecii Ramirit)
((pt): Gomes Ramires)
[681]
Pas de preuve directe qu'il ait été maître des trois royaumes d'Espagne même si c'est probable[203].
Attesté comme maître de Portugal en 1209
[1094], il conclut un accord avec Alphonse IX de León en pour la restitution des forteresses d'Algodor, Alcañices, Ponferrada et autres[1095], commandait les templiers lors de la bataille de Las Navas de Tolosa où il est blessé, meurt à Úbeda le [1093],[183],[1096],[1097]
fr. Pedro Alvítiz
(Pedro Álvarez, Alvítez)[203]
1213 - 1223[1098] ((la) : Petrus albiti(s), Alviti)
1214-1215 : « magister militie Templi in quibusdam partibus Yspaniæ »
[1099]
1216-1217 : « magister militie Templi in Hispania »[184],[1100]
1218: « Petro Alvarez, magistro Templi »[1101]
1220 : « magister militie Templi trium regnorum Hispanie »[184].
Signataire d'un accord avec l'évêque d'Astorga (1213)
[1102],[1103],
majordome royal (es) d'Alphonse IX de León (1214)
[1104],[1105],
s'illustre lors de la bataille d'Alcácer do Sal (1217)
[1106], plusieurs chartes à partir de 1220[184],[1107].
Promu exécuteur testamentaire d'Alphonse II de Portugal (1221), il contracte d'importantes dettes afin de défendre les possessions chrétiennes de sa province et fut jugé par ses pairs, le pape Honorius III intercédant en sa faveur auprès de Pierre de Montaigut (1223-1224)
[1108],[176],[679],[1109],[1110],[1111]
Pedro Anes1223[Incertain]
Il est « maître » de Portugal à cette date[203],[1112]. Peut-être assure-il l’intérim durant la période de disgrâce de Pedro Alvitiz (1223/24), ce dernier n' ayant pas démissionné mais a été renvoyé à la curie avant de reprendre ses fonctions[1108].
Il se pourrait que Martín Sánchez que l'on trouve en 1228 soit maître de Castille et León l'année suivante mais la date du document où il apparaît est incertaine (c. 1224)
[N 126].
fr. Pedro Alvítiz
(Pedro Álvarez, Alvítez)[203]
1224 - 1227[1108][1098],[1115]
Henri III d’Angleterre lui paya les services d’un bateau et d’un frère du Temple (fr. Thomas) pendant la guerre contre le royaume de France (1224-1226)[1116].
fr. Martín Sánchez
(† 1234)
1228[186]((la): Martinho Sanches)
((pt): Martim Sanches)
Maître de Castille et León (c. 1224)
[1113],[1114].
Commandeur du Temple en Galice (1227), il n'est pas maître à cette date, actant au nom de Pedro Alvítiz, maître des trois royaumes
[203].
Maître des trois royaumes (1228)
[1112],[1117], il a démissionné de sa charge, remplacé selon certains auteurs par Guillermo Fulconis cette même année[186]. Puis désigné commandeur de Portugal mais il meurt avant de prendre ses fonctions[1118].
fr. Estève de Belmonte1229/30 - 1237/39[186],[66](la) : Stephanus de Belmonte, de Bellomonte
(ca): Esteve de Bellmunt, (es) : Esteban de Belmonte
(pt) : Estevão de Belmonte
Cité par certains auteurs comme maître des trois royaumes d'Espagne à partir de 1229
[186],[1112], 1230 d'après les sources les plus récentes[66],[1119]. Il s'est rendu en Terre sainte en 1232[1120]. D'origine catalane selon Damien Carraz[150]. Gutton indique qu'il est mort en 1237[1121]
(?): « in istis tribus Regnis, Portugaliæ, Legionis, atque Castelæ, Preceptor »[1122]
: « S. de Belmonte, magistrum milicie templi in tribus regnis Yspanie »[1123]
avant 1233: « instanti magistro ordinis milicie Templi in quinque regnis Hyspanie »[1124],[N 127]
déc 1236: « magistrum militiae Templi in istis regnis Hispania »[1126]

Commandeur de Castellote (1217-1220), Villel (1221), Cantavieja (1224)[148]
Maître de Provence et partie des Espagnes (1239)[66],[148],[1127]
Maître de la province de Provence en 1246[66],[1128]
fr. Guillermo Fulconis
(Guilhelme Fulcon, † 1239/40)
1239[Sources contradictoires][N 128]
(la): Guilhermus Fulconis, Vilhelmus Fulq's
(pt): Guilherme Fulcon
: « per mandatum Domni Vilhelmus Fulq's Magister Templi cum concilio »
[1135]
: « & vobis Guilhermo Fulconis Præceptori Domorum Militiæ Templi in tribus regnis Hispaniæ »[1136]
: « D. Guilherme Fulcom, Mestre nos trez Reinos, e Commendadore da Ordem do Templo em Portugal D. Pedro Costem »[1112]

Il tombe malade et sa mort provoque un conflit majeur entre les templiers de Portugal et ceux de Castille et León à propos de sa succession dont on trouve mention dans les retraits de la règle du Temple[186],[185].
Vacantc. 1240[N 129][Aucun maître officiel des trois royaumes d'Espagne]
À la suite du décès de Guillermo Fulconis, scission entre les Templiers de Castille et León et ceux de Portugal. Un lieutenant (« en luec de Comandeor »)[N 130] pour chaque royaume[185]:
fr. Adam pour la Castille et le León

fr. Raimond de Lunel pour la baillie de Portugal
fr. Martín Martínez
(† )[1137]
1241 - 1244[186]((la) : Martinus Martini)
((pt): Martim Martins)
1241 : (la) « preceptor domorum militie Templi in tribus regnis Yspanie »
[1138]
1244 : (la) « magister Templi in tribus regnis Yspanie » comme signataire du traité d'Almizra ()
[1139],[1140]
Attesté avec ce titre jusqu'au
[1141],[1142]
Il prend part au siège de Séville entamé en et meurt après neuf mois[1137]
fr. Pedro Gómez1247[N 131] - 1249[208]((la): P. Gomecii)
: « frater P. Gomecii, Militiae Templi in tribus Regnis Hispaniae Magister »
[1143]
: « Pedro Gomes Mestre dos Templarios nos tres Reynos de Espanha » pendant le siège de Séville[1146]
: « P. Gomecii magistrum et fratres domus milicie templi[1147]
Autres sources:[1148],[1145]
fr. Paio Gómez1250 - 1253[208]((la): Pelagius Gomesii)
Il renonce à sa charge en 1253
[208].
fr. Martín Núñez1253 - 1265[208]((pt): Martinho Nunes)[679],[1149],[1150]
fr. Lope Sánchez1265[208],[1151]-1266[176]Il cumule cette charge avec celle de visiteur pour la péninsule ibérique[1152]
fr. Juan Eanes1267-1268[208],[1153]Peut-être commandeur de Benavente (1271/72) s'il s'agit de Oyraz Eanes[211],[1154] ?
fr. Guillén1269-1273[208],[1153],[1155][176]
Gonçalo Martins1266[679](1269) - 1271

Commandeur d’Acre (1262)[1156].

fr. Garci Fernández1271[176] ou 1272[208]Uniquement en Castille et León[208]
Beltrão de Valverde1273 - 1277(Beltran de Valverde)[679]
João Escritor1280 - 1283[679]
fr. João Fernandes1283 - 1285Poussé à l'exil par Gómez García en 1285[187], il ne dirige plus que la baillie de Portugal jusqu'en 1288 tout en continuant d'acter avec le titre de maître des trois royaumes[N 132].
Camérier du pape à partir de 1296
[1157],[1158],[1159]

Baillie de Portugal

Période pendant laquelle les commanderies portugaises furent encadrées par un commandeur de Portugal ((la) Commandator Templi totius Portugalis, ... in Portugalia ») subordonné au maître des trois royaumes d'Espagne. On trouve également des maîtres de Portugal pendant cette période, alors que la dignité de maître des trois royaumes d'Espagne existe toujours.

Commandeur[678] Période Commentaires
fr. João Domingues1208[204]Précepteur de la baillie de tomar (1177)
fr. Simeão Mendes1214[1099](la):Simeom Menendi, commandator Templi in Portugalia[1160]
Commandeur de Tomar (1230/31)[1161]
.........
fr. Pedro Anes1223[186]-1224[205](la): Petrus Joannis,
Apparaît uniquement en 1223
[1112],[186],[1162], Capêlo proposant d'étendre la période jusqu'à 1224[205], une source plus ancienne mentionnait 1221-1224[1163].
fr. Martim Sanches
(† 1234)[1112]
1234 (?)[Dates incertaines][N 133]
((la): Martinho Sanches)
((es): Martín Sánchez)
Les sources primaires indiquent qu'il était :
Maître de Castille et León (c. 1224)
[1113],[1114]
Commandeur du Temple en Galice, actant au nom de Pedro Alvítiz, alors maître des trois royaumes (1227)
[1168] qui avait conservé sa charge[1108].
Maître des trois royaumes d'Espagne en 1228
[1117],[N 134] mais il semble renoncer à sa charge, remplacé par Guillermo Fulconis[186] ou Estevão de Belmonte[205].
Il a bien été élu commandeur de Portugal
[186] mais il est mort avant de se rendre dans sa baillie, tel que mentionné dans le retrait n° 581 de la règle française du Temple[1118].
Pas de sources primaires relatives à ses fonctions en 1225-26 mais après 1229, il n'a plus de titre si ce n'est celui de frère jusqu'à son élection comme commandeur de Portugal qui aurait donc eu lieu en 1234, année de sa mort d'après Viterbo
[1112].
fr. Pedro Costem1239[1112],[1170](la): P. Costem, Comendatoris Templi Ordinis in Portugalia.
Ou en 1238 (?) tel qu'indiqué dans la source primaire (Figueiredo)
[1171].
fr. Raimond de Lunelc. 1240[N 129][Tenant lieu de commandeur][185],[N 130]

Chamberlain de Tortose (1228-1231)[148]
Commandeur de Tortose (1234)[148],[276]
Chamberlain, tenant lieu de commandeur de Monzón (1238)[276]
fr. Rodrigo Dias1242[1172][Incertain]
Pas de sources primaires, Il apparaît dans une liste publiée par Figueiredo en 1800
[1173], l'information étant reprise par Viterbo[1112] et figure toujours dans les listes proposées par certains historiens portugais[1172],[1174]
fr. Gonçalo Fernandes1253[1150]Commandeur de Portugal, [1150]
On trouve également Gonçalvo Fernandes avec ce titre en 1262[1175]
fr. Afonso Gomes1261[1176](la):Alfonsus Gomecii, magister milicie Templi in Regno Portugalie.
À ce moment-là, le maître des trois royaumes d'Espagne semble être Martín Núñez
[208].
On retrouve le même nom de 1288/89 à 1290
[205],[1177].
fr. Gonçalvo Fernandes1262[1175]Commandeur majeur de Portugal.[1175]
Même individu qu'en 1253 ?
fr. Gonçalo Martins1265-1271
[205],[1178],[1150]
(Gonsalve Martin, maître de Portugal)
Commandeur d'Acre (1261-1262)
[1179],[1156]
Durant cette période, on trouve comme maître des trois royaumes d'Espagne
[208] :
fr. Lope Sánchez (1265)
[1151], Juan Eanes (1267-1268)[1153], fr. Guillén (1269-1273)[1153],[1155]

Province de Provence

La stricte notion de province de Provence n'apparaît qu'à partir de 1240 alors qu'auparavant les maîtres de province portaient le titre de Maître en Provence et partie des Espagnes[266],[6] et il existait un maître de la baillie de Provence subordonné au maître de cette province.

C'est pendant la maîtrise d'Estève de Belmonte que s'opère cette scission entre la province d'Aragon et de Catalogne et la province de Provence[266], Raymond de Serra devenant alors maître de la province ibérique. Le titre de maître en Provence et parties des Espagnes n'étant plus porté par aucun maître.

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Estève de Belmonte1246[150](la): Stephanus de Belmonte, de Bellomonte
(en): Stephen of Belmonte
(fr): Estève de Bellomonte, Étienne de Belmonte

Commandeur de Castellote (1217-1220), Villel (1221), Cantavieja (1224)
[148]
Maître de Castille, León et Portugal (1229/30-1237/39)[66]
Maître de Provence et partie des Espagnes (1239)[66],[150]
Rostan de Comps1247: « Frater Rostagnus de Comps, preceptor major domorum milicie Templi in Provincia, a civitate Aquensi usque ad Niciam »[1180]

Commandeur du Ruou (1216, 1225-1229, 1235/36, 1248/49)
Commandeur de Richerenches (1232)[1181]
Roncelin de Fos1248-1250[150]
Raimbaut de Caromb1251-1259[150](la): Rembaudus de Carone
: « fratris Rembaudi de Carone, magistri tunc Provincie »
[1182]
Roncelin de Fos1260-1263[150]
Raimbaut de Caromb1263[150],[566]
Roncelin de Fos1263-1267[150](la): Roncelinus de Fos
: « preceptoris domus Militie Templi in Provintia »
[1183]
Modèle:Date-: « magistri domorum ordinis Militiæ Templi in Provincia »[1184]
Modèle:Date-: « magistri domorum Militiæ Templi in Provincia »[1185]
Francon de Bort (Franco de Borto)1267Modèle:Refm
Roncelin de Fos1267-1278[150](la): Roncelinus de Fos
13 oct. 1269: « magistro domorum milicie Templi in Provincia »
[1186]
1274: « Ronsoli de Fos », commandeur / maître des maisons de la cavalerie du Temple en Provence[1187]
1274: « dom. Ronsolinum, magistrum sancte domus milicie Templi in Provincia »[1188]

Maître de la province d'Angleterre (1250/52-1259)
Pons de Brozet1280-1292[150](la): Poncius de Broeto, de Brozeto
Modèle:Fro/Modèle:Oc: Pons de Breoito, del Broet
18 oct. 1281: « domino fratre Poncio de Broseto, magistro domorum Templi in Provincia »
[1189]
Modèle:Date-: « dominus Petrus de Broseto, magister domorum milicie Templi in Provincia »[1190]
Modèle:Date-: « Pontius de Broeto, magister domorum militiae Templi in Provincia »[1191]
Modèle:Date-: « Nos, frayre Pons de[l] Broet, cavalier, humil maestre de las maysos del Temple de la cavalaria del Temple en la Provincia e en la Gasconha... e expressa voluntat de frayre Celebru de PiModèle:Note, cavalier e comandador de la mayso de la cavalaria del Temple de Montsaunes e de sa baylie  »[1192]

Commandeur de Jalès (1260-1265)[451]
Commandeur de la baillie de Carcassonne et de Razès (1273-1274)[451]
Commandeur de Saint-Gilles (1292)[1193]
Visiteur cismarin (1288) [?][1194]Modèle:,Modèle:Note
Ripert du Puy1292[150]
Guigue Adhémar1293[150]Modèle:,[1195] -1296(la): Guigone, Guigonis Ademarii, Adzemarii
« domini fratris Guidonis Ademarii, venerabilis magistri domorum dicte Milicie Templi in Provincia »
[1196]
1295 (procès, 1308): « dominus Guigo Ademarii, locum tenens magistri dicti ordinis in Provincia »[1197]

Frère, commanderie de Montélimar (1280-1281)[1198]
Commandeur de Sainte-Eulalie (?-1293)
Pons de Brouzet1296[1199]Modèle:,[1200](la): Poncius de Broet, Pontius de Brocheto
Guigue Adhémar1296-1300[150](la): Guidonis Ademarii
Modèle:Fr: Gui Ademar
1296: « frater Guigo Adhemari dictus de Tornello, domorum milicie Templi in Provencia provincie magister »
Modèle:Sfn
1298: « domini Guidonis Ademarii militis magistri seu preceptoris provincialis domus milicie Templi »[1201]
1301 (procès, 1308): « dominus Guigo Ademarii, preceptor major in Provincia templarius »[1202]
Bernat de Roca1300-1303[150](la): Bernardus de la Roca, de Rupe, de Ruppe
Modèle:Fr: Bernard de la Roche, de Laroque
1302 (procès, 3 avr. 1310): « fratrem Bernadum de Rocha militem Provincie, preceptorem Provincie »
[1203]Modèle:,[1204]

Commandeur de Carnac (1278-1279, 1281)
Commandeur de La Selve (1281-1282)
Commandeur d'Argentens, maître de l'Agenais (1289, 1297-1299)

Commandeur de Montricoux (1300) et de Vaour (1303)
Tenant lieu de visiteur de Provence (1303)
Guigue Adhémar1303[1199]Modèle:,[1205]
Modèle:Date-: Déclaration d'honorabilité de Guigue Adhémar, précepteur du Temple en Provence par Richard Neveu, réformateur royal[1206]
1303 (procès, 1310): « fratrem Guigonem Ademarii, magistrum tunc dicti ordinis in Provincia »[1207]
1305 (procès, 1310): « dominum Guigonem Ademarii, magistrum dicti ordinis in Provincia »[1208]
Bernat de Roca1303-1308[150](la): Bernardus de Rocha

Voir période 1300-1303

Baillie de l'Agenais

Modèle:La: domorum militie Templi in Agennensibus Modèle:Article connexe Modèle:... Classée comme faisant partie de la province de Provence d'après Émile-Guillaume Léonard avec Argentens pour commanderie principale au Modèle:S-[451]Modèle:,Modèle:Note. La titulature la plus fréquente étant celle de commandeur de l'Agenais sans que l'on puisse déterminer l'aire géographique exacte mais en 1259, Bernard Guilhem d'Aspet est qualifié de commandeur de la dite maison d'Argentens et de toutes les autres maisons du Temple d'Agen sous la Garonne. Ce qui permet de constater que la Garonne constituait une limite provinciale pour les templiers mais aussi que l'Agenais templier n'avait rien à voir avec l'Agenais tel qu'on l'entend de nos jours car il se trouve au-dessus de la Garonne. Auparavant ces possessions dépendaient du maître de Gascogne et l'ensemble de ces informations est en contradiction avec l'hypothèse d'Antoine du Bourg selon laquelle Brulhes était le siège cette baillie[1209]Modèle:,Modèle:Note. Néanmoins, à la fin du Modèle:S-, Brulhes constituait une petite baillie regroupant les possessions entre la Garonne et le Lot[1210]Modèle:,Modèle:Note.

La liste dressée par Antoine du Bourg en 1883[811] comporte quelques imprécisions de dates et est incomplète, il est préférable de consulter les travaux d'Émile-Guillaume Léonard publiés en 1930[812], affinés par Jacques Clemens en 1997[808]. Monique Sieuzac, qui n'est pas historienne, a publié en 2007 une liste légèrement plus étoffée pour l'Agenais mais qui reprend la plupart des informations d'Antoine du Bourg sans correction de dates. On y trouve également des listes concernant les commanderies, notamment Argentens mais les sources primaires ne sont pas précisées dans les deux cas[816].

On trouve fréquemment les noms des premiers maîtres de Gascogne en tant que maîtres de l'Agenais car ceux-ci administraient cette région mais la baillie de l'Agenais n'est constituée que plus tard et il n'y a pas de chartes mentionnant un maître de l'Agenais avant le Modèle:S-.

Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc
......
fr. Martin de NesseModèle:C.1226 - 1228
?-1233Modèle:Note
(la): Martinus de Nessa, de Nissa
Modèle:C.1226: « comanador de la bailia Agennensis et Vasatensis »
[1211]
1228: « Commendator domorum templi d'Agenes »[1212]
1233: « maestre d'Ajenes, comanador d'Argenten »[1212]

Commandeur d'Argentens (1203, 1226, 1228, 1230)[812]
Commandeur de la baillie de Toulouse (1228-1229, 1231, 1233-1236)[812]
Commandeur du Mas Deu (1240-1241)[1213]
fr. Fortanier de Seadosaprès 1233[1212] - 1240(la): Fortius de Seador, de Senador, Fortanerius de Seados
Modèle:Fr: Forlamer de Seados, Fortaner de Ciadoux
[811]
« For. de Seador, comanador de la Bailia d'Ajenes » [1212]
1240: « Fort Aner de Sanados (?) de Agenes erat magister »[1211]
[Du Bourg indique à tort 1230-1236]Modèle:Note

Commandeur d'Argentens (1230, 1232, 1236)[812]
Commandeur de Montsaunès (1241[1214], 1244[1215], 1248[1216], 1249)[812]
fr. Arnaud Raymond de la Mothe1241 - 1247(la): Arnaldus Raimundus de la Mota
1241: « Comandador de la masos de la cavaleria del Temple en Agenes »
[1212]
1242: « Arnat Ar era commanair de bailia d'Agenes et de Basades »[1211]
1245: « Arn. R de la Mote ere Comandair [comanair] de les [las] maisons del temple de[l] Comanement d'Agenes »[1217]
1246: « comandaire de las maisons del temple de tot Agenes »[1212]
1247: «  Arn. R. de Lamota, comandair de las maisons del temple de Agenes e de Basades »[1211]
fr. Bernard Guilhem d'Aspet1248/49 - 1267(la): Bernardus Guillelmus d'Aspet
1248/49: « fraire Bernat Guilhelmi Comandaire de las maisons [maizos] del Temple d'Aganès [Ajanes] »
[1218]
1255: « comandaire de las mashos de la cavaleria del Temple en Agenes »[1212]
1259: « preceptor domorum milicie templi Agennesis »[1212]
1260: « frai W. Cambrer de la mezissa maison d'Argenten, tenen loc de frai B. W. d'Aspel comanador dela dita maison d'Argenten »[1219]
1261: « comandaire de totas las maisos del temple de Ajanes »[1212]
Modèle:Date-: « fray B. W. d'Aspet, comandaire de la dita maizon d'Argente e de totas las autras maizons del Temple d'Agenes desa Garona »[1220]
1266: « comandador d'Argenten e de las altras maisos del ordre de la Cavararia del Temple en Agenes »[1212]
1263-1265, 1267: commandeur d'Argentens « Argente e de (totas) las autras maizons d'Agenes desa Garona »[1220]Modèle:,Modèle:Note
fr. Pierre d'Andiran1267[Incertain]Modèle:Note
(la): ?
Modèle:Fr: Pierre d'Audiran
1267: Commandeur de l'Agenois, à Romestaing
[1221]

Ou commandeur de Romestaing [?][1222]
fr. Arnaud d'Auron(1271)Modèle:Note 1273-1275[812][Sources contradictoires]Modèle:Note
fr. Pierre de SombrunModèle:C.1276-1285Modèle:Refm(la): P. de Sombrun, Petrus de Sombrini
Modèle:En: Peter of Sombrun
Modèle:Date-: « Petrus de Sombrini, preceptor Argentini »
[1223]
1280: « comandair en Agenes à la maizo del Temple d'Argenten »[1212]
1283: « cavoer, comandaire de la cavalerie du Temple de l'abescad d'Agenes »[1212]Modèle:,Modèle:Note
1285: « Comandador de la mayson d'Argenten, in tota senescalia Agennensi »[1212]

Commandeur de Montsaunès (1270-1271)[1224]
Commandeur de Bordères (1272, 1274)
fr. Bernard de La Roche1289Modèle:Refm(la): Bernardus de la Roca
Modèle:Ca: Bernat de Roca
Modèle:Fr: Bernard de Laroque
1289: « comandador de la maio d'Argenten e de las autras maios del Temple en Agenes »
[1211]Modèle:,[1225]
Modèle:Date-: « commandeur del ordre de la cavareria del temple de la maison d'Argenten e de las autras maios del temple en Agenes desa Garona »[1211]

Commandeur de Carnac (1278-1279, 1281)
Commandeur de La Selve (1281-1282)
Maître de la province de Provence (1300-1303)
fr. Sénebrun de PinsModèle:C. 1290-1293Modèle:Note[Dates incertaines]Modèle:Note
(la): Celebrunus, Cenebrunus, Cerebrunus de Puni, Senebrunus de Pinu, de PraniModèle:Note
Modèle:Fr: Célestin, Cénebrun, Cérebrun de Pins

Commandeur de Montsaunès (1278-1280, 1287-1288, 1302-1303)
Modèle:Note
Commandeur d'Argentens sans la baillie () [douteux]
fr. Bernard de La Roche1297-1299[812](la): Bernardus de la Roca
Modèle:Ca: Bernat de Roca
Modèle:Fr: Bernard de Laroque
Modèle:Date-: « comandai de las maizos de la cavaleiria del Temple en la bailia d'Argenten »
[1226]

Commandeur de Carnac (1278-1279, 1281)
Commandeur de La Selve (1281-1282)
Maître de la province de Provence (1300-1303)
fr. Barral de GauzignanModèle:Note1300[812](la): Barralus de Gravinha, de Grasilhano
Modèle:Fr: Barral de Graulhet, de « Grazillhano », Barrau de Grasillon, de la Graynhia, Bernard de Graigne
1300: « comanair d'Argenten e de tot son bayliage »
[812]

Commandeur de Saint-Gilles (Modèle:C.1196)[1227]
Tenant lieu de maître de Provence (Modèle:C.1298)[1228]Modèle:,Modèle:Note
Commandeur d'Argentens (1299-1300[1229], 1300-1302)Modèle:Refm
fr. Ratier de Limousin1303[812](la): Raterius de Lemozi, Racterius de Lemovicinio, Rancerius de Lemovicinio
Modèle:Fr: Iter de Limousin, Ratier de Lemosin, Rattier du Limousin
1303: « preceptorem balivie de Argentesio »
[1230]

Commandeur de Carnac (1283)
Tenant lieu de commandeur de La Capelle-Livron (1291)
Commandeur de La Capelle-Livron (1292-1294)
Commandeur de La Selve (1306-1307)
fr. Bertrand de Trèbes
(ou de Tarbes ?)
1307(la): Bertrandus de Terbis
Modèle:Oc: Bertran de Trebes
Modèle:Fr: BernardModèle:Sic de Trèbes
[1231]
1307: « frater Bertrandus de Terbis preceptor domorum de Argenteno et de Gimbreda eiusdem ordinis militie Templi Agennen »[1232]

Commandeur de Saint-Léon (1293)[1233]

Notes

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Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Portail

  1. Cartulaire général de l'ordre du Temple : 1119?-1150 : recueil des chartes et des bulles ... sur Gallica
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    Le document n°25 publié par Dugdale est la charte de confirmation par Henry II du document précédent. Delisle mentionne le n°25 en indiquant « après 1273 » (Delisle et Arbois de Jubainville 1909, p. 429), il est forcément postérieur au 29 août 1176.
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  38. Lees 1935, p. l, 205
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    Enquête sur les possessions des templiers en Angleterre en 1185 par ce dignitaire. Texte complet chez Dugdale p. 821-831
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    « Whitsuntide 1190 » ⇒ Semaine suivant la pentecôte. Un des témoins est frère William of Newham, « Willelmo de Niweham ».
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    p. 28, lire 1273 et non 1237
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    « Liste "inédite" des Maîtres des chevaliers du Temple en Aquitaine ». A été étoffée depuis par d'autres auteurs.
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    Texte intégral du traité en latin p. 399-401
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    Emile-Guillaume Léonard indique frèreBos pour 1207
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  109. (fr + la) Meschinet de Richemond et Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, « Chartes de la commanderie magistrale de La Rochelle (1139-1268) », dans Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, (lire en ligne), p. 35-36 (doc. 9)
  110. La Boutetière 1873, p. 172-174 (doc. 19)
  111. Léonard 1930, p. 16
  112. Trudon des Ormes 1894, p. 296-297 (doc. 1)
  113. Ivy-Stevan Guiho, L'Ordre des Templiers : petite encyclopédie, L'Harmattan, , 292 p. (ISBN 978-2-296-23087-3, lire en ligne)
  114. La Boutetière 1873, p. 206-207 (doc. 57
  115. Meschinet de Richemond 1874, p. 43-44 (n°16)
  116. Bulst-Thiele 1974, p. 217
  117. (fr + la) M. de La Boutetière, « Dons d'hommes en Bas-Poitou au XIIIe siècle », Archives historiques du Poitou, vol. I, , p. 105-106, lire en ligne sur Gallica
  118. M. Redet, « Chartes concernant les commanderies de Château-Bernard et d'Angles près Cognac », Bulletin de la société archéologique et historique de la Charente, 4e série, t. V, , p. 70 (n°3), lire en ligne sur Gallica
  119. Alexandre Teulet et Joseph de Laborde (dir.), Layettes du trésor des chartes : de l'année 1224 à l'année 1246, t. II, , p. 622-623 (n°3524), lire en ligne sur Gallica
  120. Waddington Shirley 1866, p. 31 (n°437), lire sur Google Livres ; Public Record Office, List of Ancient Correspondence of the Chancery and Exchequer Preserved in the Public Record Office, coll. « List and Indexes, n°15 », (présentation en ligne), p. 54, consulter sur discovery.nationalarchives.gov.uk
    Les documents publiés par Waddington Shirley et le Public Record Office sont les mêmes et non deux lettres distinctes.
  121. Meschinet de Richemond 1874, p. 44-46 (n°17)
  122. Louis Douët d'Arcq, Collection de sceaux, vol. III, Plon, (lire en ligne), p. 242 (n°9867)
  123. La Boutetière 1873, p. 210 (doc. 61-2)
  124. La Boutetière 1873, p. 212-213, 215 (doc. 61-3)
  125. Guiho 2009, p. 42
  126. Roger & Anne-Marie Sève, Le procès des templiers d'Auvergne, Éd. du CTHS, , 322 p. (présentation en ligne), p. 275
  127. Reinhold Röhricht, Regesta regni Hierosolymitani (MXCVII-MCCXCI), (lire en ligne), p. 341 (n°1303)
  128. (en) Jochen Burgtorf, The Central Convent of Hospitallers and Templars : History, Organization, and Personnel (1099/1120-1310), Leiden/Boston, Brill, , 761 p. (ISBN 978-90-04-16660-8, lire en ligne), p. 548-551
  129. Burgtorf 2008, p. 274
    1256: « frater Guido de Basainuilla domorum militiae Templi praeceptor in regno Hyerosolimitano ».
  130. Histoire de la ville de la Rochelle et du pays d'Aulnis, Tome II. sur Google Livres, Louis-Étienne Arcère, Académie royale des belles-lettres de la Rochelle, 1757.
  131. (fr + la) D. Massiou, Histoire politique, civile et religieuse de la Saintonge et de l'Aunis, t. II (lire en ligne), p. 461-462 (n°14)
  132. Carraz 2005, p. 485
  133. (la) Georges Digard et al., Les registres de Boniface VIII : recueil des bulles de ce pape, vol. 1, E. de Boccard, , p. 547-548 (pièce n° 1508), lire en ligne sur Gallica
    Liste des principaux dignitaires présents pendant le chapitre général de l'ordre en 1296 à Arles
  134. Monumen(t)s historiques, relatifs à la condamnation des chevaliers du Temple et à l'abolition de leur ordre. sur Google Livres, François-Just-Marie Raynouard, 1813.
  135. Demurger 2002, p. 193,265,267
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  137. Michelet 1841, p. 88, 120, 514, 604
  138. Abbé Amédée Guillotin de Corson, Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem dits Chevaliers de Malte en Bretagne, Laffitte Reprints, (1re éd. 1902), 306 p. (ISBN 978-2-7348-0065-1, OCLC 17723952, présentation en ligne), p. XIII
  139. Guillotin de Corson 1982, p. XV,XVIII,XX,XXX, Extraits en ligne sur http://www.infobretagne.com
  140. Josserand 2012, p. 19
  141. Guillotin de Corson 1982, p. XX,124,190, Extraits en ligne sur http://www.infobretagne.com
  142. Léonard 1930, p. 165
  143. Les comptes des consuls de Montferrand: 1273-1319. sur Google Livres, R. Anthony Lodge, Études et rencontres de l'école des chartes, 2006.
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  146. Émile Le Goazre (comte de Toulgoët-Tréanna), « La commanderie des Bordes », dans Mémoire de la Société des Antiquaires du Centre,
  147. Forey 2015, p. 208
  148. (en) Alan John Forey, « Appendix II : Lists of Officials », dans The Templars in the Corona de Aragon, (lire en ligne), p. 420-421
  149. Sans y Travé 1997, p. 316-317 (n°227)
  150. Carraz 2005, p. 319
  151. Carraz 2005, p. 318-319 (note 177)
  152. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple en Syrie, en Chypre et en France d'après les pièces du procès : X - Auvergne et Limousin », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 529-530
  153. Trudon des Ormes 1899, p. 535
  154. (la + de) Konrad Schottmüller, Der untergang des Templer-Ordens : mit urkundlichen und kritischen beïtragen, vol. II, Ernst Siefried Mittler & Sohn, (lire en ligne), p. 25, 64-65
  155. Sève 1986, p. 25-26
  156. Sève 1986, p. 278
  157. (fr + la) Étienne Baluze, Histoire généalogique de la maison d'Auvergne, vol. 1, (lire en ligne), p.|122, 124
    « datum die veneris post aestivale festum beati Martini Domini millesimo ducentesimo septuagesimo octavo » ⇒ Vendredi 11 novembre 1278 (Saint-Martin). La mention de 1274 ne permet pas d'affirmer qu'il l'était à cette date.
  158. Trudon des Ormes 1899, p. 520,530,532,535-537,539-540,542-545,550,552,555-556
  159. Titres de la maison ducale de Bourbon, volume 1. sur Google Livres, Alphonse Huillard-Breholles & Albert Lecoy de la Marche, Archives de l'Empire, 1867.
  160. Louis-Georges de Bréquigny, M. de Pardessus et Laboulaye, Table chronologique des diplômes, chartes, titres et actes imprimés, concernant l'histoire de France, t. VII, (lire en ligne), p. 130
  161. Revue Mabillon, vol. 75, (présentation en ligne), p. 71-72, 75
  162. Léonard 1930, p. 96
  163. Guerre et paix dans l'orient méditerranéen. sur Google Livres, Association "Méditerranées.", 2001.
  164. Les templiers. sur Google Livres, Stéphane Ingrand, Éditions Carnot, 2004.
  165. Sève 1986, p. 288
  166. Émile Le Goazre (comte de Toulgoët-Tréanna), « Les commanderies de Malte en Berry », dans Mémoire de la Société des Antiquaires du Centre, vol. XXXI, Bourges, , p. 172 (doc. 5), lire en ligne sur Gallica
  167. Sève 1986, p. 288 ; Léonard 1930, p. 103
    1285: « comandeor de Villeguast et de Votun, tenant leu dou maistre de Aquitaine ». Amblard de Vienne est le commandeur d'Aquitaine à cette époque, cf. Burgtorf 2008, p. 477.
  168. Chassaing 1886, p. 228 (n°86)
  169. Sève 1986, p. 287-288 ; Léonard 1930, p. 97 ; Michelet 1851, p. 90, 93, 96
    Source indirecte : Interrogatoires du Procès en 1310. c. 1289 et c. 1294 : « receptum... per fratrum Petrum de Madico militem quondam, tunc locum tenantem visitatoris ». Pour 1292 le frère Auditus de Monte Laudato indique avoir été reçu il y a 18 ans dans la maison du Temple d'Angers par Petrum de Mandito quondam, tunc locum tenentem visitatoris (Michelet 1851, p. 103) et non de Madico mais Michelet considère qu'il s'agit du même individu mentionné par ailleurs comme commandeur d'Auvergne (Michelet 1851, p. 124).
  170. Sève 1986, p. 287-288
  171. Sève 1986, p. 123
    « quando frater Petrus de Madico, tunc preceptor de Ulmo Tialdi recepit in fratrem fratrem Bartholomeum de Pratmi apud Ulmium Tialdi »
  172. Sève 1986, p. 274
  173. (la) Yvonne Lanhers, Regestum Clementis Papae V [annus primus-annus nonus] : ex vaticanis archetypis sanctissimi domini nostri Leonis XIII pontificis maximi iussu et munificenta nunc primum editum cura et studio monachorum ordinis s. Benedicti anno 1884-[1888], vol. I, (lire en ligne), p. 189-192 (no 1032-1036)
  174. Alain Demurger, Chevaliers du Christ : les ordres religieux-militaires au Moyen Age (XIe-XVIe siècle), Seuil, (lire en ligne)
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  177. Carraz 2005, p. 102
  178. Martínez Díez 1993, p. 63
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  180. (es) Carlos de Ayala Martínez, Libro de privilegios de la orden de San Juan de Jerusalén en Castilla y León (siglos XII-XV), Instituto Complutense de la Orden de Malta, , 860 p. (présentation en ligne), p. 307, 333
  181. (pt) Manuel Sílvio Alves Conde, « Os forais tomarenses de 1162 e 1174 », Revista de Guimarães, no 106, , p. 193-249 (lire en ligne)
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  183. (es) Gonzalo Martínez Díez, Alfonso VIII, rey de Castilla y Toledo, Editorial la Olmeda, (lire en ligne), p. 204
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  186. (es) Carlos Pereira Martínez, « Los Maestres de la Orden del Temple en los Reinos de Galicia, León y Castilla », Revista V Feira Franca Medieval, , p. 3 (lire en ligne)
  187. Josserand 2004, p. 506-507
  188. Pereira Martínez 2003, p. 1
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  191. (pt) Joaquim de Santa Rosa de Viterbo, Elucidario das palavras : termos e frases que em Portugal antigamente se usaram e que hoje regularmente se ignoram, vol. 2, A. J. Fernandes Lopes, , 450 p. (lire en ligne), p. 239-240
  192. Martínez Díez 1993, p. 111
  193. Philippe Josserand, Église et pouvoir dans la péninsule ibérique : les ordres militaires dans le royaume de Castille, 1252-1369, Casa de Velázquez, , 912 p. (ISBN 978-84-95555-72-4, présentation en ligne), p. 324 (note 150)
  194. González 1943, p. 401
  195. (es) Manuel Lucas Álvarez, La documentación del Tumbo A de la catedral de Santiago de Compostela, Centro de Estudios e Investigación San Isidoro, , 442 p. (présentation en ligne), p. 280-288 (n° 116)
  196. (de) Herbert Kolb, « Guido militiae Templi magister », Archiv für das Studium der neueren Sprachen und Literaturen (A Stn Spr.), Erich Schmidt Verlag, no CCCXXIII, , p. 337-344 (ISSN 0003-8970, lire en ligne)
  197. Pereira Martínez 2003, p. 1-2
  198. (es) Julio González, Regesta de Fernando II, Madrid, (lire en ligne), p. 304
  199. (es) Julio González, El Reino de Castilla en la época de Alfonso VIII. : documentos: 1145-1190, vol. 2, (présentation en ligne), p. 622 (doc.362)
  200. Martínez Díez 1993, p. 36
  201. González 1943, p. 338-340(doc. 60), 507
  202. (es) Miguel Ramon Zapater, Cister militante en la campaña de la Iglesia contra la sarracena furia, (lire en ligne), p. 65
  203. Pereira Martínez 2003, p. 2
  204. Viterbo 1865, p. 241
  205. (pt) José Manuel Capêlo, Portugal templário : a presença templária em Portugal ; relação e sucessão dos seus mestres 1124 - 1314, Lisbonne, Zéfiro, , 272 p. (ISBN 978-972-8958-58-9, présentation en ligne), p. 200-201
    Ne pas tenir compte de la numérotation des maîtres des trois royaumes d'Espagne indiquée dans cet ouvrage, elle est basée uniquement sur ceux qui ont été maîtres de portugal.
  206. (es) Gonzalo Argote de Molina, Nobleza del Andaluzia, , 696 p. (lire en ligne), p. 166
  207. (es) Francisco de Rades y Andrada, Chronica de las tres ordenes y cauallerias de Sanctiago, Calatraua y Alcantara, , 426 p. (lire en ligne), p. 48
  208. Pereira Martínez 2003, p. 4
  209. (en) Peter W. Edbury, The Military Orders : Politics and Power, vol. 5, Ashgate Publishing, Ltd., (présentation en ligne), p. 368-369
  210. Martínez Díez 2001, p. 172
  211. (la) Bullarium Equestris Ordinis S. Iacobi de Spatha, (lire en ligne), p. 266, script.14, n.3
  212. Campomanes 1747, p. 30-31
  213. (es) Matías Ramón Martínez y Martínez, El libro de Jerez de los caballeros, E.Rasco, (lire en ligne), p. 60
  214. Edbury 2013, p. 365,368-372
  215. Pereira Martínez 2003, p. 4-5
  216. Biblioteca Nacional, mss. 4357, fol. 161r-v.
  217. Pereira Martínez 2003, p. 5
  218. (es) Raquel del Carmen Fernández Ruíz, Colección diplomática del monasterio de Santo Domingo de Benavente (1228-1390), Salamanca, , p. 65 (doc. 27)
  219. Philippe Josserand, « Rodrigo Yáñez », dans Nicole Bériou (dir. et rédacteur), Philippe Josserand (dir.) et al. (préf. Anthony Luttrel & Alain Demurger), Prier et combattre : Dictionnaire européen des ordres militaires au Moyen Âge, Fayard, , 1029 p. (ISBN 978-2-2136-2720-5, présentation en ligne), p. 801
  220. Edbury 2013, p. 373
  221. Philippe Josserand, « Et succurere Terre sancte pro posse : Les Templiers castillans et la défense de l’Orient latin au tournant des XIIIe et XIVe siècles », Cahiers de recherches médiévales [En ligne], no 15, , p. 7 (note 41) (ISSN 2273-0893, lire en ligne)
    D'après le procès de l'ordre du Temple, t. II, p. 16 publié par Jules Michelet
  222. (la) Jules Michelet, Le procès des Templiers, vol. 2, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Documents inédits sur l'histoire de France », , 540 p. (lire en ligne), p. 16, lire en ligne sur Gallica.
    (la) « Rodoricum de Cuyre militem, tunc preceptorem Tripolitanum, presentibus fratibus Rodorico Ynanhes socio dicti preceptoris », Rodrigue de Cuyre alors commandeur de Tripoli, en présence de frère Rodrigo Yáñez, compagnon du dit commandeur.
  223. Edbury 2013, p. 374
  224. Edbury 2013, p. 371,374-375
  225. Melville 1974
  226. Demurger 2008, p. 202
  227. Victor Carrière, Histoire et cartulaire des templiers de Provins : avec une introduction sur les débuts du Temple en France, Paris, Laffitte reprints, (réimpr. 1978), 231 p. (présentation en ligne), p. 25
  228. Josep Maria Sans y Travé, Col·lecció diplomática de la Casa del Temple de Barberà (945-1212), vol. 14, Generalitat de Catalunya - Departament de Justícia, coll. « Textos Jurídics Catalans - Documents 1 », (lire en ligne), p. 110-114 (n°35)
  229. Acte n°262764 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Maximilien Quantin (dir.), Cartulaire général de l'Yonne : Recueil de documents authentiques pour servir à l'histoire des pays qui forment ce département, vol. I, Auxerre, Perriquet et Rouillé, , p. 461-462 (n° 309), lire en ligne sur Gallica
  230. Melville 1974, p. 93
  231. (en + la) The Registrum Antiquissimum of the Cathedral church of Lincoln, C. W. Foster, (lire en ligne), p. 15-16 (doc. 208/322) ; Lees 1935, p. liii, lx, lxiii, lxxxviii
  232. Louis-Georges de Bréquigny et Mouchet, Table chronologique des diplômes, chartes, titres et actes imprimés, concernant l'histoire de France, t. III, (lire en ligne), p. 457
  233. E. Rey, « Geoffroy Foucher : Grand-Commandeur du Temple 1151-1170 », Revue de Champagne et de Brie, 2e série, t. VI, , p. 259-269 lire en ligne sur Gallica
    Le titre de cet article peut induire en erreur. L'auteur précise qu'il n'a pas de rang défini en 1151 (p. 259), attesté à partir de 1156 (p. 265), envoyé en France puis en Angleterre par Bertrand de Blanquefort fin 1164 (p. 267), retour à Acre en 1166, pas de documents en Orient après mai 1168.
  234. Burgtorf 2008, p. 534, « Gaufridus Fulcherii pauperum Templi cis mare existens procurator »
  235. Henri de Curzon, La maison du temple de Paris : histoire et description avec deux planches, (lire en ligne), p. 27
  236. (la) Jacques Le Vasseur, Annales de l'église cathédrale de Noyon, (lire en ligne), p. 903-904
    Source très ancienne mais la plupart des cartulaires de Noyon ont été perdus depuis, cf. Henry Stein, Bibliographie Générale des Cartulaires Français ou Relatifs à l'histoire de France, 1907, p. 382. Les publications ultérieures de ce document sont toutes tirées de cet ouvrage.
  237. Burgtorf 2008, p. 17, 37, 44, 48-49, 83, 430, 435, 440-441, 447, 534, 709 et al. « Geoffrey Fulcherii »
  238. R. Delachanal, Cartulaire du Temple de Vaulx, A. Picard et Fils, (lire en ligne), p. 13-15, 49 (doc. 5)
  239. F. Bourquelot, « Notice sur le cartulaire des templiers de Provins (XIIe et XIIIe siècle) », Bibliothèque de l'école des chartes, vol. 19, no 4, (lire en ligne), p. 187-188 (doc. 3)
  240. (la) Charles Métais, Les Templiers en Eure-et-Loir : histoire et cartulaire, vol. 2, Lafolye frères, (lire en ligne), p. 9 (doc. 4)
  241. (la) Eugène Müller, Le Prieuré de Saint-Leu d'Esserent : cartulaire (1080-1538), Société historique du Vexin, , p. 86-87 (doc. 81), lire en ligne sur Gallica. lire sur elec.enc.sorbonne.fr
  242. Burgtorf 2008, p. 478-480
  243. Léonard 1930, p. 115
  244. Victor Carrière, « E.-G. Léonard - Introduction au cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, suivie d'un Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs - Paris, E. Champion, 1930. In-8°, xv-259 pages. », Revue d'histoire de l'église de France, vol. 18, no 79, (lire en ligne), p. 203 ; Abbé Lebeuf et Hippolyte Cocheris, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t. II, Paris, (lire en ligne), p. 474
  245. Burgtorf 2008, p. 74
  246. Claverie 2005, p. 117
  247. Trudon des Ormes 1894, p. 139-140 ; Gérard Bacquet, Le Ponthieu, , 534 p. (présentation en ligne), p. 245
    A.N. S. 5970
  248. Léonard 1930, p. 16,115
    D'après Léonard : Verisimiliter idem ac Huilardus, « magistri cis mare »
  249. Victor Carrière, « Auguste-Charles-Henri Menche de Loisne. Cartulaire de la commanderie des templiers de Sommereux », Revue d'histoire de l'église de France, vol. 12, no 56, (lire en ligne), p. 345 ; M. le comte de Loisne, Cartulaire de la commanderie des Templiers de Sommereux, Paris-Beauvais, Champion, coll. « Publications de la Société académique de l'Oise, IX », (présentation en ligne), p. 48
  250. (en) Jochen Schenk, Templar Families : Landowning Families and the Order of the Temple in France c. 1120-1307, Cambridge/New York, Cambridge University Press, coll. « Cambridge studies in medieval life and thought, 79/4 », , 339 p. (ISBN 978-1-107-00447-4, présentation en ligne), p. 215
  251. Schenk 2012, p. 233-234 ; Bulletin philologique et historique (jusqu'à 1610) du comité des travaux historiques et scientifiques, Bibliothèque nationale, (présentation en ligne), p. 118-119
  252. Annales de la Société Historique et Archéologique du Gâtinais, vol. 30-31, (présentation en ligne), p. 334
    « Robertus de Miliaco, miles, et Eremburgis uxor ejus »
  253. Léopold Devillers, Inventaire analytique des archives des commanderies belges de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte, Rector Manceaux, (lire en ligne), p. 175
  254. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Etude sur les possessions de l'ordre du Temple en Picardie », Mémoires de la société des Antiquaires de Picardie, 4e série, vol. 2, (lire en ligne), p. 145
  255. Léonard 1930, p. 115. Mentionné dans : Édouard de Barthélémy, « Notes sur les établissements des ordres religieux et militaires du Temple, de Saint-Jean-de-Jérusalem et de Saint-Antoine-de-Viennois dans l'ancien archidiocèse de Reims », dans Travaux de l'académie nationale de Reims : Année 1880-1881, vol. 70, Académie de Reims, , chap. 3-4, p. 35, lire en ligne sur Gallica
    Témoin d'une donation faite aux hospitaliers de Saint-Jean de Rametz
  256. Trudon des Ormes 1894, p. 312-313 (doc. 15)
  257. Delphine Marie, Les Templiers dans le diocèse de Langres : des moines entrepreneurs aux XIIe et XIIIe siècles, Langres, D. Guéniot, , 189 p. (ISBN 2-87825-260-8, présentation en ligne), p. 154
  258. (fr + la) Édouard de Barthélemy, Diocèse ancien de Chalons-sur-Marne : Histoire et monuments : suivi des cartulaires inédits de la commanderie de la Neuville-au-Temple, des abbayes de Toussaints, de Monstiers et du prieuré de Vinetz, (lire en ligne), p. 410 (pièce n°38)
  259. Acte n°263298 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Maximilien Quantin (dir.), Cartulaire général de l'Yonne : Recueil de documents authentiques pour servir à l'histoire des pays qui forment ce département, vol. II, Auxerre, Perriquet et Rouillé, , p. 450 (n° 444), lire en ligne sur Gallica
  260. Burgtorf 2008, p. 543-547
  261. Carrière 1932, p. 203
    À propos de la liste des commandeurs de France publiée par Léonard en 1930: « Des distractions, à moins que ce ne soit défiance excessive d'autrui, ont amené parfois monsieur Léonard à passer sous silence des noms de dignitaires tenus par certains pour authentiques ».
  262. Carrière 1919, p. 25 (note 6). Il cite : M. de Saint-Allais, L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des chroniques, et autres anciens monuments, depuis la naissance de Notre-Seigneur, t. II, (lire en ligne), p. 122, contenu identique dans le tome V du même ouvrage, p. 548, lire sur Google Livres
  263. Mansuet Jeune 1789, p. 199
  264. (fr + la) Étienne Perard, Recueil de plusieurs pièces curieuses servant à l'histoire de Bourgogne, (lire en ligne), p. 263 ; Claude Devic et Joseph Vaissette, Histoire générale de Languedoc avec des notes & les pièces justificatives, t. III, , p. 409, lire en ligne sur Gallica
    Dans les deux cas dont 1190 [sic], il y est mentionné comme maître cismarin / deçà-mer.
  265. Burgtorf 2008, p. 543, 545
    1183: « Girbertus Arayl magnus preceptor », 1190-91: « Gerbertus, Gibertus, Girbertus Eral, Eralio, magnus preceptor ».
  266. Carraz 2005, p. 318
  267. Trudon des Ormes 1894, p. 290-292
  268. (fr + la) Victor de Beauvillé, Histoire de la ville de Montdidier, vol. III, (lire en ligne), p. 7-8
  269. Carraz 2005, p. 320. Charte publiée dans: (ca + la) Joaquín Miret y Sans, Les cases de Templers y Hospitalers en Catalunya : Aplech de noves y documents històrichs, (lire en ligne), p. 245-246, mentionné également dans : André Soutou, « Les Templiers et l'aire provençale : À propos de « La Cabane de Monzon » (Tarn-et-Garonne) », Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, vol. 88, , p. 93 (lire en ligne)
    « P. de Rigaldo Magistro citra mare et A. Clarimontis Magistro in Provincia et partibus Ispanie »
  270. (la) SS Innocentius III [1198-1216] et Jacques Paul Migne, Patrologia Latina : Innocentii III Romani Pontificiis - Regestorum Sive Epistolarum [AD_1198-1202], Liber Primus, vol. 214, (lire en ligne), p. 468-469 (doc. 507) [p. 235 du Pdf]
    « ...volontate et assensu fratris Pontii de Rigaudo magistri in citramarinis partibus, ... »
  271. Carraz 2005, p. 320
  272. (en) Elena Bellomo, The Templar order in north-west Italy (1142-c.1330), Leiden /Boston, Brill, , 464 p. (ISBN 978-90-04-16364-5, lire en ligne), p. 89 ; Carraz 2005, p. 103 (note 107). Charte publiée dans : (fr + la) Fernand Benoît, Recueil des actes des comtes de Provence appartenant à la maison de Barcelone : Alphonse II et Raimond Bérenger V (1196-1245), vol. 1, A. Picard, (présentation en ligne), p. 143 (doc. 125), (doc. 12, Alphonse II).
  273. Carraz 2012, p. 794
  274. Beauvillé 1857, p. 354-355 (doc. 96), lire sur Google Livres
  275. Joseph-Antoine Durbec (préf. Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p. 41, 183 ; Léonard 1930
  276. Forey 2015, p. 209
  277. Carraz 2005, p. 98, 318-320
  278. Société des antiquaires du Centre, « Les commanderies de Malte en Berry : IIe partie », Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, vol. 34, no 4 (2e série), , p. 241-242 (doc. 6), lire en ligne sur Gallica
  279. (la) Claude Hemeré, Augusta Viromanduorum vindicata et illustrata duobus libris, (lire en ligne), p. 192 ; (fr + la) M. de Bréquigny et M. Pardessus, Table chronologique des diplômes, chartes, titres et actes imprimés concernant l'histoire de France, t. IV, (lire en ligne), p. 324 ; mentionné par : Henri de Curzon, La maison du Temple de Paris : Histoire et description avec deux planches, Paris, (lire en ligne), p. 28 (note 4) ; cité par : Trudon des Ormes 1894, p. 292
  280. « Archives nationales, salle des inventaires virtuelle (SIV) », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr, (consulté le ) ; Léopold Delisle, Catalogue des actes de Philippe-Auguste : avec une introduction sur les sources, les caractères et l'importance historique de ces documents, A. Durand, , 655 p. (lire en ligne), p. 171
  281. M. E. Socard, « Chartes inédites extraites du cartulaire de Molesme », Mémoires de la société académique de l'Aube, 3e série, t. 28, , p. 292, lire en ligne sur Gallica.
  282. (fr + la) Joseph Depoin, Recueil de chartes et documents de Saint-Martin-des-Champs : Monastère parisien, t. III, Paris, A. Picard et fils, , p. 222 (doc. 617), lire en ligne sur Gallica ; Texte numérisé sur elec.enc.sorbonne.fr
  283. Acte n°202671 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Trudon des Ormes 1894, p. 146, 314 (pièce n° 16)
  284. André Debord et Société Archéologique et Historique de la Charente, Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Amant-de-Boixe, (présentation en ligne), n°310
  285. Trudon des Ormes 1894, p. 297 (doc. 1)
  286. Anne Gilbert-Dony, « Les derniers Templiers du bailliage de Caen : étude des documents relatant leurs tribulations, 1307-1311 », Bulletin des Antiquaires de Normandie, années 1994-1997, 1re partie, Caen, t. 62, , p. 175 (présentation en ligne) ; (la) V. Bourrienne, Antiquus cartularius Ecclesiae Baiocensis : livre noir, Rouen, A. Lestringant, 1902-1903, p. 294 (n°247), lire en ligne sur Gallica
  287. Bulst-Thiele 1974, p. 211 ; (la) Concilia Germaniæ quæ celsissimi principis Joannis Mauritii Archi-Episcopi Pragensis : AB anno M. AD MCCXC, t. III, (lire en ligne), p. 484-485
  288. (de) Peter Classen et Peter Scheibert, Festschrift Percy Ernst Schramm : zu seinem siebzigsten Geburtstag von Schülern und Freunden zugeeignet, vol. 1, Franz Steiner Verlag GMBH, , 825 p. (présentation en ligne), p. 294
  289. Célestin Port, Inventaire-sommaire des archives départementales anterieures à 1790, Maine-et-Loire : clergé régulier. Archives ecclésiastiques, série H, vol. 1, La manutention, (réimpr. 1991) (présentation en ligne), p. 35
    La date indiquée (1273) est erronée, probablement la charte de 1207 répertoriée par Émile-Guillaume Léonard 1930, p. 16)
  290. Trudon des Ormes 1894, p. 355 (pièce n° 54)
  291. Abbé Lebeuf et Cocheris 1864, p. 474 (t. II)
  292. Actes 204936 et 204937 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne
  293. Actes n°204943 et 204944 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Émile Morel, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Corneille de Compiègne, t. I, Montdidier, , p. 430-432 (n° 304-305)
    Deux actes de février 1214, Compiègne, abbaye Saint-Corneille
  294. Alexandre Teulet et Joseph de Laborde (dir.), Layettes du trésor des chartes : [755-1223], t. I, (lire en ligne), p. 408-409 (n. 1090, 1094)
    Octobre et décembre 1214
  295. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. V., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 444-445, lire en ligne sur Gallica
  296. Bibliothèque de l'École des chartes, 19e année, volume 4. sur Google Livres, 1858. Acte de l'année 1214
  297. (fr + la) Peigné-Delacourt, Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame d'Ourscamp, de l'ordre de Cîteaux, fondée en 1129 au diocèse de Noyon, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, coll. « Mémoires de la société des antiquaires de Picardie. Documents inédits concernant la province, 6 », , p. 330 (doc. 538), lire en ligne sur Gallica
  298. Acte n°207211 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Abbé Lallore, Collection des principaux cartulaires du diocèse de Troyes : Cartulaire de l'abbaye de Montier-la-Celle, t. VI, , p. 165 (doc. 161), lire en ligne sur Gallica
  299. Acte n°263586 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Maximilien Quantin (dir.), Recueil de pièces pour faire suite au Cartulaire général de l'Yonne : XIIIe siècle, Auxerre, , p. 98 (doc. 221), lire en ligne sur Gallica
  300. (la) Denis de Sainte-Marthe et Barthélemy Hauréau, « Instrumenta ad Tomus II : Galliae Christianae », dans Gallia Christiana : in provincias ecclesiasticas distributa, vol. 2 (lire en ligne), p. 85
  301. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville de Clermont-Ferrand, Lafitte, (1re éd. 1870), 1234 p. (lire en ligne), p. 47
  302. (fr + la) Daniel Haigneré, Les chartes de Saint-Bertin d'après le grand cartulaire de Charles-Joseph Dewitte : 648-1240, t. I, Saint-Omer, Société des antiquaires de la Morinie, (lire en ligne), p. 273 (n°628)
  303. Douët d'Arcq 1868, p. 242 (n° 9868)
  304. Acte n°205483 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne
  305. (la) Jacobi Malbrancq, De Morinis : Ab Anno Christi MXCIV. Ad Annum Eiusdem M.D.LIII, t. III, (lire en ligne), p. 720
  306. Louis-Georges de Bréquigny et M. de Pardessus, Table chronologique des diplômes, chartes, titres et actes imprimés, concernant l'histoire de France, t. V, (lire en ligne), p. 181
  307. Burgtorf 2008, p. 617-618
  308. Wauters 1875, p. 173, lire sur Google Livres
    L'auteur indique 05 juillet 1223 mais il doit y avoir une erreur car l'extrait de la charte contient 1236. De plus la charte suivante concerne la sentence des arbitres qui avaient été désignés par ce document et elle date du 18 novembre 1236.
  309. L. L. A. Diegerick, Inventaire analytique et chronologique des chartes et documents appartenant aux archives de la ville d'Ypres, t. I, (lire en ligne), p. 32-34 (n°35)
    1227 et non 1225, cf. note p. 34
  310. Jean-Jacques Lambin, « Sur les archives de Rupelmonde », Messager des sciences et des arts de la Belgique, t. VI, , p. 258 (lire en ligne)
    Plutôt 1226 (nouveau style).
  311. Acte n°203960 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Alexandre Pruvost, Chronique et cartulaire de l'abbaye de Bergues-Saint-Winoc de l'ordre de Saint-Benoît, vol. I, (présentation en ligne), p. 215
  312. Teulet et Laborde 1866, p. 117 (n° 1914) ; Mentionné dans: Trudon des Ormes 1897, p. 445
  313. Métais 1902, p. 127 (doc. 108, note 2)
  314. Becquart et Colnat 1958, p. 366 (cote 22 H 9 fo 5)
    Arbitrage de frère de la Roche, précepteur des templiers de France au sujet du moulin de Moncelle. Voir aussi p. 38, cote 4 H 5, fo 169-170, cartulaire de l'abbaye de Saint-Mihiel, erreur de date car 1277 ?
  315. Acte n°266681 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Maurice Prou et Alexandre Vidier, Recueil des chartes de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, t. II, (lire en ligne), p. 364 (doc. 477)
    La charte contient « O. de Rupe » et les sources mentionnent 'Eudes de Roches' mais il s'agit d'Olivier de Rupe.
  316. Trudon des Ormes 1894, p. 359 (pièce n°58)
  317. Diegerick 1853, p. 48 (n°53)
  318. Devillers 1876, p. 181
  319. Teulet et Laborde 1866, p. 383-384 (n° 2726)
  320. Socard 1864, p. 349-350
  321. Ernest Petit, Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne, avec des documents inédits et des pièces justificatives., t. IV, Dijon, Société bourguignonne de géographie et d'histoire, , p. 305-306 (n° 2296), lire en ligne sur Gallica
  322. A. Vattier, Cartulaire du prieuré de Saint-Christophe en-Halatte, (lire en ligne), p. 12-13
  323. Guérard 1850, p. 527-528 (n°8)
  324. Léopold Delisle (dir.), Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. XXI, , p. 81-82, lire en ligne sur Gallica
  325. Burgtorf 2008, p. 636-640
  326. Auguste Matton, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Aisne - Archives ecclésiastiques - Série G, Laon, (lire en ligne), p. 66 (G. 253)
    Janvier 1242 (a.s.) ⇒ jan. 1243 (n.s.)
  327. Le Goazre (comte de Toulgoët-Tréanna) 1909, p. 177-179 (doc. 6)
    Pièces justificatives. L'auteur indique 1241 mais le pied de la charte mentionne juillet 1243.
  328. Bulst-Thiele 1974, p. 230
  329. (la) Frédéric Auguste de Reiffenberg, Monuments pour servir à l'histoire des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg, vol. 1, (lire en ligne), p. 342 (doc. 22)
  330. Mannier 1872, p. 519
  331. Travaux de l'Académie nationale de Reims, vol. 41 à 42, F. Michaud, , 228 p. (lire en ligne), p. 128. Seul ouvrage existant à mentionner ce nom, « Whyteris ».
  332. Acte n°205720 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Carrière 1919, p. 143-145 (doc. 139)
  333. Olivier Guyotjeannin, Le chartrier de l'abbaye prémontrée de Saint-Yved de Braine (1134-1250), École nationale des chartes, , 455 p. (ISBN 978-2-900791-20-2, présentation en ligne), p. 341 (n° B 20)
  334. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Etude sur les possessions de l'ordre du Temple en Picardie », Mémoires de la société des Antiquaires de Picardie, 4e série, vol. 2, , p. 364 (doc. 61) (lire en ligne)
  335. (la) Jeannine Cossé-Durlin, Cartulaire de Saint-Nicaise de Reims, Éditions du Centre national de la Recherche scientifique, , 494 p. (présentation en ligne), p. 355 (doc. 221)
  336. (fr + la) Joseph Noulens, Documents historiques sur la maison de Galard, (lire en ligne), p. 54
  337. Champollion Figeac, Documents historiques inédits : tirés des collections manuscrites de la bibliothèque royale, t. II, (lire en ligne), p. 51-52 (n°28) ; (it + la) Luigi Tommaso Belgrano, Documenti inediti riguardanti le due crociate di San Ludovico IX Re di Francia, Gênes, (lire en ligne), p. 28 (n°3)
  338. Auguste Pétel, « Le Temple de Bonlieu : pièces justificatives », Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube, 3e série, vol. 47, t. LXXIV, , p. 316-317 (n°19), lire en ligne sur Gallica
  339. Bulst-Thiele 1974, p. 226
  340. Archives départementales de l'Yonne, « H. 654 » (consulté le ) : « Échange par Frère Gui de Basenville, précepteur des maisons du Temple en France, d'une pièce de pré à Douchy, contre une autre pièce de pré à Soisy (1249) ».
  341. Devillers 1876, p. 31-32 (n°132)
    Dans cette charte, les templiers accompagnant Guy de Bazainville n'ont pas de titre précis contrairement aux affirmations de Laurent Dailliez... on y trouve néanmoins frère Tierry Deni ainsi que Gérard et Wautier de Villers dont on sait qu'ils étaient dignitaires dans le Brabant et l'Hesbaye et en Flandre
  342. École des chartes » ELEC », « Cartulaires d'Île-de-France » Saint-Martin-des-Champs » Tome 4 » XV. — Actes concernant Saint-Martin-des-Champs sous le règne de saint Louis (1226-1270) »,
  343. Belgrano 1859, p. 89-91 (n°67-68)
  344. Belgrano 1859, p. 91 (n°118)
  345. Belgrano 1859, p. 101-103 (n°84-86)
  346. Belgrano 1859, p. 109 (n°92)
  347. Belgrano 1859, p. 121-122 (n°110)
  348. Belgrano 1859, p. 122-123 (n°111-112)
  349. Belgrano 1859, p. 135 (n°129)
  350. Belgrano 1859, p. 166 (n°168)
  351. Belgrano 1859, p. 188-189 (n°197)
  352. Marie 2004, p. 154
    Archives départementales de la Côte-d’Or, 111 H 1158, « Commanderie de Bure, domaine : Ampilly-le-Sec, Beneuvre, Buncey, Chamesson, Chatellenot (Terre-Fondrée), Chaugey, 1189-1769. »
  353. Burgtorf 2008, p. 550
  354. Belgrano 1859, p. 210 (n°226)
  355. Jean-Marc Roger, « Notre-Dame aux Nonnains, Templiers et Saint-Fale: les bois du Perchoy au XIIIe siècle », Mémoires de la Société académique du département de l'Aube, t. CVII (1971-1973), , p. 248, lire en ligne sur Gallica
  356. Victor Leblond éd., Cartulaire de la maladrerie de Saint-Lazare de Beauvais comprenant 406 chartes conservées aux Archives hospitalières de cette ville, Paris, coll. « Publications de la Société académique de l'Oise. Documents, 7 », (présentation en ligne), xliv
    L'auteur indique que Gui de Basenville est alors commandeur du Bois-d'Ecu mais c'est peu plausible. Il est vraisemblablement toujours maître de la province de France à moins qu'il s'agisse d'un homonyme. À vérifier.
  357. Amédée-Louis Léchaudé d'Anisy, « Documents historiques touchant les Templiers et les Hospitaliers en Normandie, tirés des Archives [départementales] du Calvados et d’autres dépôts publics [1258-1376] », Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, t. XIV, , p. 354, 378-379 (notes 1-3), lire en ligne sur Gallica
  358. Burgtorf 2008, p. 470-474 ; BnF, collection d'Albon, Nouvelles acquisitions latines, ms. 52, f. 202, présentation en ligne
    Charte émise par Amaury à l'intention du chapitre de Saint-Pierre de Troyes. Cette charte est absente du cartulaire du chapitre cathédral Saint-Pierre de Troyes publié par l'abbé Lallore en 1880 (Collection des principaux cartulaires du diocèse de Troyes, vol. 5). Omis également dans la liste des commandeurs de France par Émile-Guillaume Léonard, établie à partir du même fonds (Albon) et qui n'indique comme période pour Amaury que de 1265 à 1271.
  359. Carrière 1919, p. 139-140 (doc. 135)
  360. Claverie 2005, p. 152-154
  361. (la + de) Cam. Wampach, Urkunden- und Quellenbuch zur Geschichte der altluxemburgischen Territorien bis zur burgundischen Zeit, vol. III, (lire en ligne), p. 196-197 (doc. 190) ; (la + fr) Jean Bertholet, Histoire ecclésiastique et civile du Duché de Luxembourg et Comté de Chiny, t. V, (lire en ligne), xlvi-xlvii ("Vianden")
    Au XVIIIe siècle,le document original se trouvait dans les archives de la commanderie de Roth (« Rode », Bertholet 1743, p. 47).
  362. Amédée Piette, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Michel en Thiérache, imp. de Vervins, , p. 149-150 (doc. 268), lire en ligne sur Gallica
  363. Barthélemy 1861, p. 422 (pièce n°95)
  364. Barthélemy 1861, p. 423 (pièce n°100)
  365. Aug. Neÿen, Histoire de la ville de Vianden et de ses comtes, (lire en ligne), p. XVIII-XIX (N°10)
  366. (fr + la) Victor Leblond, Cartulaire de l'hôtel-Dieu de Beauvais comprenant 529 chartes la plupart originales conservées aux archives hospitalières de cette ville, Champion-Picard, , 856 p. (présentation en ligne), p. 336.
  367. Louis-Georges de Bréquigny et M. de Pardessus, Table chronologique des diplômes, chartes, titres et actes imprimés, concernant l'histoire de France, t. VI, (lire en ligne), p. 434
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  369. G. Servois, « Emprunts de Saint Louis en Palestine et en Afrique », Bibliothèque de l'école des chartes, t. IV, , p. 290-291, lire en ligne sur Gallica
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  376. Acte n°205731 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Carrière 1919, p. (n°151)
  377. Demurger 2002, p. 50,103
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  379. (it) Barbara Frale, L'ultima battaglia dei Templari: dal codice ombra d'obbedienza militare alla costruzione del processo per eresia, Rome, Viella, coll. « libri di Viella », , 337 p. (ISBN 88-8334-037-X), p. 13-14 & 34
  380. Acte n°205733 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Carrière 1919, p. 26, (doc. n°153)
  381. Abbé Ythier, Histoire ecclésiastique de Provins, vol. 7, p. 329
  382. Actes n°201465 et 201466 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne
  383. Acte n°201465 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Tock et Milis 2000, p. 580-581 (doc. 381)
  384. Acte n°201466 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Benoît-Michel Tock et Ludo Milis, Monumenta Arroasiensia, vol. 175, Turnhout, coll. « Corpus Christianorum, Continuatio Mediaevalis », (présentation en ligne), p. 581-582 (doc. 383)
    Vidimus de l'acte de Pierre le Normand (juillet 1276) fait en juin 1279 par Guy des Prés, évêque de Noyon.
  385. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple en Syrie, en Chypre et en France d'après les pièces du procès : VI -Ponthieu, Vermandois, Beauvaisis », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 257-258
  386. Michelet 1851, p. 319
  387. Dailliez 1974, p. 64
  388. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple en Syrie, en Chypre et en France d'après les pièces du procès : IV - Laonnais et Artois », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 242-243
  389. Trudon des Ormes 1899, p. 242 ; Michelet 1851, p. 392
  390. Carrière 1919, p. 26
  391. Michelet 1851, p. 118
  392. Roger 2001, p. 92
  393. Collection de cartulaires chartrains, vol. I, (présentation en ligne), p. 197
  394. Carrière 1919, p. 27
  395. Barthélemy 1861, p. 430 (n°132)
  396. (la) Frédéric Auguste de Reiffenberg, Monuments pour servir à l'histoire des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg, vol. 4, (lire en ligne), p. 429 (n°9) ; Cartulaire de l'évêché de Tournay, vol. III, p. 121
  397. G. Demay, Inventaire des sceaux de l'Artois et de la Picardie : Recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements de la Somme, de l'Oise et de l'Aisne, Paris, , p. 171 (n° 1493), lire en ligne sur Gallica
    Conservé dans les archives de l'Hôtel-Dieu de Laon d'après l'auteur.
  398. Demurger 2008, p. 162, 313.
  399. Anne Terroine et Lucie Fossier, Chartes et documents de l'Abbaye de Saint-Magloire : (1280-1330), vol. 2, CNRS-Brepols, , 715 p. (présentation en ligne), p. 14 (n°12)
  400. Geneviève Etienne, « La Villeneuve du Temple à Paris aux XIIIe et XIVe siècles », dans Actes du 100e congrès nationale des sociétés savantes, Bibliothèque nationale, , 99 p. (présentation en ligne), p. 94
  401. Paul de Saint-Hilaire (préf. Jean-Marie Auzanneau), Les sceaux templiers, Pardès, , 179 p. (ISBN 978-2-86714-110-2, présentation en ligne)
    Les dates proposées dans cet ouvrage sont rarement justes
  402. Burgtorf 2008, p. 681-682
    La charte de 1283 est adressée à Pierre le Normand, le commandeur du Laonnais qui a assuré l'intérim comme commandeur de France en 1282.
  403. Lucie Fossier et Y. de Montenon, Chartes et documents de l'Abbaye de Saint-Magloire : 1280 à 1330, CNRS, , 745 p. (présentation en ligne), p. 14, 28 ; Devillers 1876, p. 42 (n° 166)
  404. (fr + la) Cartulaire de l’abbaye Notre-Dame des Vaux-de-Cernay, de l’ordre de Cîteaux, au diocèse de Paris : Tome premier (2e partie) 1251-1300, Paris,, Lucien Merlet et Auguste Moutié, 1857-1858 (lire en ligne), p. 842 (doc. 878 ; Texte numérisé sur elec.enc.sorbonne.fr
  405. Michelet 1851, p. 367
  406. Loisne 1924, p. XIII
  407. Acte n°213662 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Georges Espinas, La vie urbaine de Douai au Moyen-âge : pièces justificatives, vol. III, Paris, Auguste Picard, (lire en ligne), p. 585-589 (n° 796)
  408. Jean Bernard de Vaivre, La commanderie d'Epailly et sa chapelle templière durant la période médiévale, , 294 p. (présentation en ligne), p. 24
  409. Auguste Pétel, « Templiers et Hospitaliers dans le diocèse de Troyes : La maison de Villers-lès-Verrières », Mémoires de la Société académique d'agriculture, des sciences, arts et belles-lettres du département de l'Aube, Troyes, 3e série, vol. 42, t. LXIX, , p. 468-470, lire en ligne sur Gallica
  410. Pétel 1910, p. 336-339 (n°34)
    Auguste Pétel le donne comme commandeur de Bonlieu à cette date sur la base de cette pièce justificative (« Hugoni de Peraudo, ementi nomine suo et nomine domus sue de Bono Loco ») mais le contenu ne permet pas de confirmer cette assertion
  411. Marie 2004, p. 35 (note 39) ; ADCO, cartons 111 H 1156, Fonds de Bure, Bure
  412. Marie 2004, p. 34 ; ; ADCO, cartons 111 H 1156, Fonds de Bure, Bure
  413. Fossier et Montenon 1966, p. 111, 124
    Procuration au commandeur de Sommereux, Robert de Saint-Just. Le document de la page 124 est le vidimus d'un acte d'Hugues de Payraud en date du 15 fév. 1296 par le prévôt de Paris
  414. Digard 1907, p. 914-915 (n°2323-2324)
  415. Vaivre 2005, p. 185-186
  416. M. le comte de Loisne, « Bulles de papes pour l'ordre du Temple conservées aux archives nationales (1155-1312) », Bulletin philologique et historique jusqu'à 1715 du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1917 (1918), p. 231, lire en ligne sur Gallica
  417. Marie 2004, p. 35 (note 39) ; ADCO, carton 112 H 1208, Fonds de la Madeleine, E, 4
  418. Michelet 1851, p. 14, lire sur Google Livres
    Source indirecte (procès): Guido de Charbac, reçu à Acre par Thomas Béraud (donc avant mars 1273) en présence d'Hugues de Pairaud et de Thibaud Gaudin.
  419. Marie 2004, p. 35 ; Léonard 1930
  420. Acte n°203484 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Peigné-Delacourt 1865, p. 330-331 (doc. 539)
  421. Roger 2001, p. 116 (note 9)
  422. Maurice Rey, L'ordre du Temple en Franche-Comté à la lumière des documents écrits : Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon. Procès-verbaux et mémoires, t. 180, 1972-1973
  423. Cartulaire lyonnais : documents inédits pour servir à l'histoire des anciennes provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Dombes, Bresse [et] Bugey comprises jadis dans le Pagus Major Lugdunensis, vol. 1&2, , 1444 p. (présentation en ligne), t.1 (122,161), t.2 (272)
  424. (en) Anne Gilmour-Bryson, The Trial of the Templars in Cyprus, Brill, , 502 p. (ISBN 978-90-04-10080-0, lire en ligne), p. 82, 127
  425. Nicole Bériou (dir. et rédacteur), Philippe Josserand (dir.) et al. (préf. Anthony Luttrel & Alain Demurger), Prier et combattre : Dictionnaire européen des ordres militaires au Moyen Âge, Fayard, , 1029 p. (ISBN 978-2-2136-2720-5, présentation en ligne), p. 889-890
  426. Gabriel Jeant, « Les commanderies du Temple-Sainte-Catherine de Montbellet et de Rougepont », Société des amis des arts et des sciences de Tournus, t. 19, , p. 109, lire en ligne sur Gallica
  427. Louis Suchaux et Société d'agriculture, sciences, commerce et arts du département de la Haute-Saône, La Haute-Saône : nouveau dictionnaire des communes, vol. 6, Musée G. Garret, , 308 p. (présentation en ligne), p. 179 ; Louis Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, vol. I, (lire en ligne), p. 252
  428. Roger 2001, p. 93
  429. Cartulaire lyonnais 1893, p. 213 (t. I)
  430. Mansuet Jeune 1789, p. 307
  431. Académie de Besançon, Mémoires et documents inédits pour servir à l'histoire de la Franche-Comté, t. VIII, (lire en ligne), p. 18-19 (n°17)
  432. Cartulaire lyonnais 1893, p. 347 (t. I)
  433. Roger 2001, p. 93 ; Cartulaire lyonnais 1893, p. 303, n° 232 (t. I)
  434. René Locatelli, Denis Brun et Henri Dubois, Les salines de Salins au XIIIe siècle : cartulaires et livre des rentiers, Presses Universitaires de Franche-Comté, , 372 p. (présentation en ligne), p. 201-202 (n°154)
  435. Emmanuel Bousson de Mairet, Annales historiques et chronologiques de la ville d'Arbois, département du Jura, depuis son origine jusqu'en 1830, 1856, p. 106, lire en ligne sur Gallica
  436. Cartulaire lyonnais 1893, p. 641 (t. I), n°505
  437. G. Jeanton, « Les commanderies du Temple Sainte-Catherine de Montbellet et de Rougepont », Annales de l'académie de Mâcon, 3e série, t. XX, , p. 162 (note 3), lire en ligne sur Gallica
  438. M. Noël, Catalogue raisonné des collections lorraines, t. I, Nancy, 1850-1851 (lire en ligne), p. 254 (n°1635) ; Catalogue analytique des archives de M. le baron de Joursanvault, t. 2, Paris, (lire en ligne), p. 8 (n°2126)
    Note descriptive  Convention entre frère Paris, commandeur du Temple en Lorraine et le comte de Salm en 1259  ». La collection Joursanvault a été vendue et dispersée en 1838. M. Noël a acquis cette pièce qui est un original rédigé en vieux français. Reste à vérifier si ce document a été acquis depuis par un collectionneur privé ou s'il a rejoint les archives départementales de Moselle ?
  439. Cartulaire lyonnais 1893, p. 272 (t. II), n°671
  440. Marie 2004, p. 128
  441. (it) Francesco Amadi et René de Mas Latrie, Chroniques d'Amadi et de Strambaldi : publiées par M. René de Mas Latrie, t. I, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Documents inédits sur l'histoire de France », , p. 398, lire en ligne sur Gallica
  442. Abbé Clouët, Histoire de Verdun et du pays verdunois, t. III, , p. 80, lire en ligne sur Gallica
  443. Burgtorf 2008, p. 462-465
  444. Huguenin 1853, p. 20
  445. Burgtorf 2008, p. 302,464
  446. Roger 2001, p. 115 (note 6)
  447. Burgtorf 2008, p. 463 ; Schottmüller 1887, p. 169 (n°6), 199 (n°49)
  448. Gilmour-Bryson 1998, p. 77-79,124,127
  449. (la) Jules Michelet, Le procès des Templiers, vol. 1, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Documents inédits sur l'histoire de France », , 681 p. (lire en ligne), p. 407, lire en ligne sur Gallica
  450. Amadi et Mas Latrie 1891, p. 283-286,290,360,398
  451. Léonard 1930, Extraits en ligne
  452. Acte n°201463 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Tock et Milis 2000, p. 577-579 (doc. 379)
    « frere Jehan, commandeur a che tans des maisons de le chevalerie du Temple en Vermendois, et par frere Hervil de Vileprour, commandeur des maisons de le chevalerie dou Temple en Pontiu ». Peut-être Jean de Monceaux mais il peut s'agir d'un autre frère Jean car le patronyme n'apparait pas et on trouve Jean de Maimbressy, commandeur du Vermandois attesté en 1281 et 1285.
  453. Michelet 1851, p. 355
  454. Acte n°205737 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Carrière 1919, p. (doc. 159)
  455. Roger 2001, p. 114-115
    Pour Jean de Mars, voir baillie de Lorraine.
  456. Roger 2001, p. 115 (note 20) ; Schottmüller 1887, p. 177-178
  457. Métais 1902, p. 184-185 (doc. 172)
  458. Métais 1902, p. 194-195 (doc. 183)
  459. Michelet 1841, p. 545
  460. (nl) M. Nuyttens, « De Tempeliers in Vlaanderen », Handelingen der Maatschappij voor Geschiedenis & Oudheidkunde te Gent, vol. 28, , p. 5 (lire en ligne)
  461. Mansuet Jeune 1789, p. 130 (t. I), lire sur Google Livres ; (la) Aubert Le Mire, Opera diplomatica et historica, vol. II, (lire en ligne), p. 1316
  462. Reiffenberg 1846, p. 424 (n°5), lire sur Google Livres
    « frater de Templo et magister templalium domorum quae cis mare sitae sunt »
  463. Charles Duvivier, Recherches sur le Hainaut ancien (Pagus Hainoensis) du VIIe au XIIe siècle, , p. 621 (n°144 bis), lire en ligne sur Gallica
    1179: « Agente ergo fratre nostro Balduino de Gant, cui, in comitatu Hainoensium, Wimacensium et Pontiviensium, procurationem commiseramus »
  464. Reiffenberg 1846, p. 427 (n°7), lire sur Google Livres
    1181: « Balduinus de Gand, magister Pontiensis ac Hainoensis  »
  465. Devillers 1876, p. 174-175
  466. André Joseph Ghislain Le Glay, Mémoire sur les archives de l'abbaye de Loos, près de Lille, (lire en ligne), p. 19 (n°47)
  467. Devillers 1876, p. 183
  468. Devillers 1876, p. 187
  469. Devillers 1876, p. 190-191
  470. (la) Cronica et cartularium monasterii de Dunis : fascicule II, (lire en ligne), p. 193 (doc. 83)
  471. Devillers 1876, p. 198-199
  472. Michel Henry, Les ordres militaires en Lorraine, Serpenoise, , 354 p. (ISBN 978-2-87692-706-3, présentation en ligne), p. 73
  473. Godefroid Kurth, Chartes de l'abbaye de Saint-Hubert en Ardenne, t. I, Bruxelles, Kiessling et cie, P. Imbreghts, successeur, (lire en ligne), p. 322-324 (n°26)
  474. Alphonse Wauters, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, mise en ordre et publiée sous la direction de la Commission royale d'histoire, vol. 5, (présentation en ligne), p. 522
  475. Acte n°206231 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; E. Hautcoeur, Cartulaire de l'abbaye de Flines (1200-1630), t. I, Lille-Bruxelles, (lire en ligne), p. 190 (n°178)
  476. Joseph Brun-Lavainne, Franchises, lois et coutumes de la ville de Lille : ancien manuscrit à l'usage du siège échevinal de cette ville, (lire en ligne), p. 288
  477. (en) Filip Hooghe, « The trial of the Templars in the county of Flanders (1307-1312) », dans Jochen Burgtorf, Paul Crawford, Helen Nicholson, The Debate on the Trial of the Templars, 1307-1314, Ashgate Publishing ltd., , 399 p. (ISBN 978-0-7546-6570-0, lire en ligne), p. 295
  478. (en) Bernard Schotte, « Fighting the King of France : Templars and Hospitallers in the Flemish Rebellion of 1302 », dans Jochen Burgtorf, Paul Crawford, Helen Nicholson, The Debate on the Trial of the Templars, 1307-1314, Ashgate Publishing ltd., , 399 p. (ISBN 978-0-7546-6570-0, lire en ligne), p. 53-55
  479. Hooghe 2010, p. 286-287,290,295
  480. Reiffenberg 1846, p. 429-430 (n°10)
  481. Joseph de Saint-Génois, Monumens anciens essentiellement utiles a la France, aux provinces de Hainaut, Flandre, Brabant, Namur, Artois, Liège, Hollande, Zélande, Frise, Cologne et autres pays limitrophes de l'Empire, t. I, Léonard Danel, (lire en ligne), p. 698, 701, 734-735, 767, 810, 859, 866
    Inventaire chronologique des titres de la Flandre à la chambre des comptes à Lille. Documents où Pierre dou Sac apparaît comme commandeur en Flandre en 1282, 1285, 1286, 1288, 1292, 1296 et sept. 1297
  482. Avec son sceau apposé sur une quittance datée du 15 avril 1306, cf. Archives départementales du Nord. Chambre des Comptes, B4060/4527. (DM FI. 7537)
  483. (nl) M. Nuyttens, Krijgers voor God. De orde van de Tempeliers in de Lage Landen, 1120-1312, Zutphen, , p. 175-176
  484. Chestret de Haneffe 1901, p. 320 ; Victor Barbier, Le chapitre noble de Moustier-sur-Sambre, (présentation en ligne), p. 126
    Laurent Dailliez ne le mentionne que comme « précepteur » de Hainaut. cf. Laurent Dailliez, Les templiers : Flandre-Hainaut-Brabant, Liège et Luxembourg,
  485. « ? », Recueil, Société d'études de la province de Cambrai, vol. 28, , p. 198 (présentation en ligne)
  486. Edmond Sénemaud, Revue historique des Ardennes, vol. 6, (lire en ligne), p. 71-72
  487. M. Sénemaud, Inventaire sommaire des archives départementales antèrieures à 1790 : Ardennes, t. IV, (lire en ligne), p. 34 (H. 89)
  488. Gilmour-Bryson 1998, p. 119-120 ; Schottmüller 1887, p. 194 (n° 43)
    Pièces du procès de l'ordre du Temple à Chypre, interrogatoire du frère Baudouin de Cery, reçu 43 ans auparavant (c. 1267) par Pierre le Normand , tenant lieu de commandeur de la province de France
  489. Auguste Le Prévost, Mémoires et notes pour servir à l'histoire du département de l'Eure, (lire en ligne), p. 289
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    « Gaufridus de Charmoy » (Léonard 1930, p. 164) mais Jochen Burgtorf pense qu'il s'agit d'un autre individu
  503. Léonard 1930
    « Gauffridus de Charney »
  504. Burgtorf 2008, p. 530 ; Michelet 1851, p. 290
    procès, interrogatoire de Guillelmus de Giaco le 21 octobre 1307 : « apud Marsiliam per fratrem Symonem de Quinciaco, presentibus fratre Gaufrido de Charnaio et quibusdam aliis fratribus dicti Templi qui sunt in Cipro »
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    Interrogatoire en juin 1310 de Gérard de Plaisance (Placentia), reçu il y a 24 ans dans l'église Sainte-Marie de Plaisance par Bianco du « comté » de Plaisance, grand commandeur en Lombardie...
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  663. Bellomo 2008, p. 115 (note 226), 116 ; (it) Cristina Dondi, « Missale vetus ad usum Templariorum: L'ordine dei cavalieri Templari in area Modenese nei secoli XII-XIV », Aevum, vol. 68, no 2, (lire en ligne), p. 347, 350
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  666. Bellomo 2008, p. 94-95
  667. Bini 1839, p. 62-65 (n°5), lire sur Google Livres
    1218: « magistro Johan. dn. magistro Templariorum Rome et Tuscie et Sardinie »
  668. Bini 1839, p. 65-75 (n°6), lire sur Google Livres
    1236: « de licentia et mandato domini Alberti lombardi domorum militie Templi Rome, Tuscie et Sardinie magistri et de voluntate capituli generalis »
  669. Bellomo 2008, p. 96
  670. Bini 1845, p. 458-459 (n°8), lire sur Google Livres
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  677. Burgtorf 2008, p. 56-57
  678. (pt) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en portugais intitulé « Ordem dos Templários » (voir la liste des auteurs).
  679. Gutton 1982, p. 25
  680. (en)L'histoire du Portugal: Du commencement de la monarchie au règne d'Alphonse III. sur Google Livres, Edward McMurdo, 1888, Searle, & Rivington
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  684. Costa 1771, p. 109-118
  685. Alain Demurger, Moines et Guerriers : les ordres religieux-militaires au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « L'Univers-Histoire », , 414 p. (ISBN 978-2-02-102720-4, présentation en ligne), p. 275 ; Francis Gutton, L'ordre du Temple, l'ordre du Christ, l'ordre d'Avis, l'ordre de Santiago : la chevalerie militaire au Portugal, P. Lethielleux, , 205 p. (présentation en ligne), p. 22, 30
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  687. (pt) Antonio Caetano de Sousa, Provas da Historia genealogica da casa real portugueza, Officina Sylviana da Academia real, (lire en ligne), p. 89-91 (n°6)
    Ancien ouvrage où est publiée la charte du roi Diniz pour le transfert des biens du Temple à l'ordre du Christ et qui mentionne Vasco Fernandes: « ...a dita carta da Doaçom, que de mi havia, e que agora depois que esse Dom Vasco Fernandes morreo, ». Voir aussi à partir de la page 79 (doc. n°5), la bulle relative à la création de cet ordre.
  688. Houben 2002, p. 264-265
  689. Houben 2002, p. 268
  690. Mansuet Jeune, 1789, op. cit., p. 48
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  694. (la) Régis de La haye, Les archives brûlées de Moissac : Reconstitution du chartrier de la ville de Moissac brûlé le 1er novembre 1793, Maastricht/Moissac, Régis de La Haye, (1re éd. 1999), 206 p. (ISBN 90-802454-6-1, lire en ligne), p. 140-141
  695. Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p. 6-7, 24, lire en ligne sur Gallica
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  700. Léonard 1930, p. 23
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  704. Sans y Travé 1997, p. 133 (n°51)
  705. Miret y Sans 1910, p. 100
    « Le 4 des Ides de septembre » ⇒ 10 sept. 1165 du calendrier julien = 20 sept. 1165 du calendrier grégorien.
  706. Noël Coulet, « Les Templiers de Bayle au XIIe siècle : un document inédit », Provence historique, vol. 54, no 215, , p. 27-34. (ISSN 0033-1856, lire en ligne)
  707. Tréton 2010
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  709. Miret y Sans 1910, p. 103
  710. Thomas N. Bisson, Fiscal Accounts of Catalonia Under the Early Count-Kings (1151-1213), University of California Press, 1985, 393 p., Vol. 2, p. 77 (doc. 22)
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  714. Sans y Travé 1997, p. 158-160 (n°78-79)
    + p. 160-164, n°80-81 du 02 sept. 1175, « frater Arnald(us), magister de Turrerubea et de partibus Ispanie » et n°83 du 27 déc. 1175, « frater magister Arnallus de Turrerubea ».
  715. Sans y Travé 1997, p. 164-165 (n°84)
  716. Sans y Travé 1997, p. 165-166 (n°86)
  717. Sans y Travé 1997, p. 166-168 (n°87-88)
    + p. 168-169, n°89 du 06 mai 1177, « magistro Arnallo de Turrerubea ».
  718. Sans y Travé 1997, p. 172-173 (n°94)
  719. Sans y Travé 1997, p. 173-175 (n°95-96)
  720. Sánchez Casabón 1995, p. 424
  721. Sans y Travé 1997, p. 176-178 (n°98)
    + p. 181-182 (n°102) du 07 sept. 1180, « magistro Arnaldo de Turrerubea ».
  722. Sans y Travé 1997, p. 183-185 (n°104)
  723. Sans y Travé 1997, p. 185-186 (n°105)
  724. Sans y Travé 1997, p. 186-187 (n°106)
  725. Sánchez Casabón 1995, p. 451, 453-454, 457 ; (es + la) Antoni Virgili, Diplomatari de la catedral de Tortosa, 1062-1193, Fundació Noguera, , 711 p. (ISBN 978-84-7935-418-3, présentation en ligne), p. 426
  726. Sánchez Casabón 1995, p. 459
  727. Sans y Travé 1997, p. 194-195 (n°113)
    + p. 192-194, n°111-112 du 12 mars et du 28 juil. 1182, « magistro Berengario de Avinione ».
  728. Sans y Travé 1997, p. 195-196 (n°114)
  729. (es + la) Antonio Gargallo Moya, María Teresa Iranzo Muñío et María José Sánchez Usón, Cartulario del Temple de Huesca, Vía de la Hispanidad, , 329 p. (présentation en ligne), p. 99 (n°5)
  730. Miret y Sans 1910, p. 165
    Miret y Sans indique 1183 mais il doit s'agir de 1184 car Gui de Sello apparaît au mois d'avril, A.J Forey indique comme première date pour Raymond de Canet, novembre 1183.
  731. Sans y Travé 1997, p. 197-198 (n°116)
  732. Miret y Sans 1910, p. 164
  733. Miret y Sans 1910, p. 155, 231
  734. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 105 (n°102)
  735. Melville 1974, p. 124, 147
    1184 parait peu plausible dans la mesure où son prédécesseur actait encore en février 1185, cf. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 105 (n°102)
  736. Sans y Travé 1997, p. 204-205 (n°123)
  737. Burgtorf 2008, p. 545 ; Sans y Travé 1997, p. 206-207 (n°125)
  738. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 110 (n°108)
  739. Burgtorf 2008, p. 544
  740. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 111 (n°109)
  741. Burgtorf 2008, p. 545 ; Sans y Travé 1997, p. 216-217 (n°135)
    Voir aussi la pièce n°134 du 28 nov. 1186 qui contient: « fratri Girberto Eral, magistro in partibus Provincie et Yspanie Templi Milicie » et les pièces 130-133 (juin à août 1186) où il est mentionné en tant que « magistro ».
  742. Burgtorf 2008, p. 545 ; Sans y Travé 1997, p. 219-220 (n°138)
    Voir aussi p. 225-226 (n°142), même formulation « magistro Girberto Eral » en date de janvier 1188
  743. Burgtorf 2008, p. 545 ; Sans y Travé 1997, p. 227-228 (n°144)
  744. Sans y Travé 1997, p. 238-240 (n°155)
  745. Sans y Travé 1997, p. 240-242 (n°156)
  746. Sans y Travé 1997, p. 242-243 (n°157)
  747. Sans y Travé 1997, p. 253-254 (n°166)
  748. Sans y Travé 1997, p. 255-256 (n°168)
  749. Sans y Travé 1997, p. 257-259 (n°170)
  750. Sans y Travé 1997, p. 263-264 (n°173)
  751. Martin Aurell, Actes de la famille Porcelet d'Arles (972-1320), CTHS, coll. « Collection de documents inédits sur l'histoire de France, vol. 27 », (présentation en ligne), p. 94 (n°169)
  752. Sans y Travé 1997, p. 267-269 (n°178)
    On trouve également dans ce document, Gilbert Hérail, maître de l'ordre : « Girbertus Eral, magister Milicie Templi ultramarinus et citramarinus » et Pons de Rigaud Poncii de Rigallo ») dont on voit qu'il était encore maître de cette province peu de temps avant cette date.
  753. (la) Société archéologique de Montpellier, Liber Instrumentorum Memoralium : Cartulaire des Guillems de Montpellier, (lire en ligne), chap. 2, p. 331-332 (n°190)
  754. Sans y Travé 1997, p. 270-271 (n°180)
  755. Sans y Travé 1997, p. 271-273 (n°181)
  756. Forey 1973, p. 439 ; 1180: (ca + la) Biso, « Document vallesà de l'any 1180 (templers de Palau Solità) », Butlletí Interior de la Societat d'Onomàstica, no 30, (lire en ligne)
  757. Forey 2015, p. 202
  758. Miret y Sans 1910, p. 149
  759. (fr + la) Charles Portal et Edmond Cabié, Cartulaire des Templiers de Vaour (Tarn), E. Privat, , xxiii-132 p., p. 97-98 (n°109), lire en ligne sur Gallica
    Il n'est pas maréchal du Temple, « Merescalchi » étant son nom et il ne s'agit pas de Pons de Rigaud contrairement à ce que l'on peut lire chez certains auteurs (Soutou 1976, p. 93 (note3)), (Léonard 1930).
  760. Sans y Travé 1997, p. 278-279 (n°185)
  761. Sans y Travé 1997, p. 279-280 (n°186)
  762. Sans y Travé 1997, p. 280-281 (n°187)
  763. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 135 (n°131)
  764. Sans y Travé 1997, p. 282-283 (n°189)
  765. Font Rius 1969, p. 236 (n°208) ; (es + la) Santos A. García Larragueta, « Fueros y cartas pueblas navarro-aragonesas otorgadas por templarios y hospitalarios », Anuario de Historia del Derecho Español, t. 24, , p. 592-593 (n°2) (lire en ligne)
  766. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 137-138 (n°133-134)
  767. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 141-144 (n°136-139)
  768. A.C.A.. Cancillería, Carp. 64, doc. 370 ; A.C.A. Cancillería. Reg. 309, fol. 59v. 60r lire en ligne sur http://www.alcaladelavega.com ; (ca + la) « ? », Boletín de la Real Academia de Buenas Letras de Barcelona, Casa Provincial de Caridad, vol. 3, , p. 517 (présentation en ligne)
  769. Sans y Travé 1997, p. 296-297 (n°203)
  770. Moya, Muñío et Sánchez Usón 1985, p. 147-148 (n°141)
  771. (la) J. Rouquette et A. Villemagne, Cartulaire de Maguelone, t. I, (lire en ligne), p. 461 (doc. 257)
  772. Rouquette et Villemagne 1912, p. 453-463 ( doc. 257)
  773. Innocent III et Migne 1855, p. 468-469 (doc. 507)
  774. Sans y Travé 1997, p. 301-302 (n°209)
  775. Sans y Travé 1997, p. 270-273 (n°180-181)
    Deux chartes du cartulaire de Barberà où il est cité après Géraut de Caercino, maître de la province mais il n'a pas de titre précis. La charte suivante (n°182) mentionne également un Raimundi de Gurb, exécuteur testamentaire de Geralda de Puigverd.
  776. (ca + la) Martin Alvira Cabrer, Pedro el Católico, Rey de Aragón y Conde de Barcelona (1196-1213) : Documentos, Testimonios y Memoria Histórica, t. II, (lire en ligne), p. 626-627 (doc. 515
  777. Tréton 2010, p. 707-711 (doc. 195)
  778. (ca + la) Rodrigue Tréton, Diplomatari del Masdéu, vol. II, Pagès Editors, (ISBN 978-84-9779-972-0, lire en ligne), p. 704-707 (doc. 194) ; (fr + la) Véronique de Becdelièvre, Le chartrier de l'Abbaye cistercienne de Fontfroide, 894-1260 : Le chartrier, vol. 2, Paris, CTHS, , 869 p. (ISBN 978-2-7355-0709-2, présentation en ligne), p. 450-451
  779. Burgtorf 2008, p. 672-674
  780. Bulst-Thiele 1974, p. 187
  781. Soutou 1976, p. 99
  782. Font Rius 1969, p. 329-330 (n°236)
  783. Sans y Travé 1997, p. 328-329 (n°238)
  784. Carraz 2005, p. 98 (note 78)
    L'auteur mentionne Provence-Espagne de nouveau en 1231/32 alors que page 319, il indique 1229-1232 comme deuxième période
  785. L'ordre du Temple en pays catalan
  786. Nicholson et Burgtorf 2006, p. 115
  787. Carraz 2005, p. 403 (note 273) ; Devic et Vaissette 1737, p. 259-260 (n°128)
  788. Ulysse Chevalier, Cartulaires des Hospitaliers et des Templiers en Dauphiné, E.-J. Savigné (Vienne), , 136 p., p. 128-129, lire en ligne sur Gallica
  789. Martínez Díez 1993, p. 39
  790. Le grand dictionnaire historique ou Le melange curieux de l'Histoire sacrée et profane sur Google Livres
  791. Desamparados Cabanes Pecourt 2009, p. 30-31 (n°5)
    Témoin en bas de cette charte, sans indication géographique précise mais maître du Temple dans le royaume d'Aragon.
  792. Desamparados Cabanes Pecourt 2009, p. 37-38 (n°10)
    Pas de titre précis mais correspond à la période indiquée par Forey 1973, p. 420.
  793. Forey 1973, p. 425
    « Ripertus ». Alan John Forey n'indique pas si c'est bien le cas ou s'il s'agit d'un autre individu
  794. Desamparados Cabanes Pecourt 2009, p. 46-48 (n°20)
  795. Chassaing 1882, p. 6-7 (n°6), 13-14 (n°8), lire en ligne sur archive.org
  796. Tréton 2010, p. 704-711, 719-723, 728-730 (chartes n°194-195, 199-201, 205) (vol. 2), lire en ligne sur fundacionoguera.com
  797. (ca + la) Archivo de la Corona de Aragón, Jaime I de Aragón (1208-1276) : Exposición documental conmemorativa del VIII centenario de su nacimiento, Madrid, Ministerio de Cultura, , 163 p. (ISBN 978-84-8181-390-6, présentation en ligne), p. 76
  798. Miret y Sans 1910, p. 255
  799. Biographie toulousaine: ou Dictionnaire historique... sur Google Livres
  800. (es) Santos Agustín García Larragueta, « El Temple de Navarra », Anuario de Estudios Medievales, vol. 11, (présentation en ligne), p. 647 ; Archivo Histórico Nacional, Ordenes militares, San Juan, leg. 673, nûm. 2 & leg. 681, nûm. 57
  801. Burgtorf 2008, p. 564-566
  802. Teulet et Laborde 1866, p. 319 (n°2453), lire sur Google Livres
  803. (la) Henri Moris, Cartulaire de l'abbaye de Lérins : 2ème partie, Paris, , CX-296 p. (lire en ligne), p. 160 (n°95)
  804. Sans y Travé 1997, p. 335-336 (n°241)
  805. Moris 1905, p. 161 (n°96)
  806. Burgtorf 2008, p. 125 ; Bulst-Thiele 1974, p. 224
  807. Copie numérisée du manuscrit datant de 1343 conservé à la bibliothèque de l'université de Barcelone (ms. 1, f. CXXIIIv)
  808. (fr + la) Jacques Clemens, « La rumeur agenaise de l'enfermement templier au début du XIVe siècle », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 124, no 1, , p. 23-40 (présentation en ligne)
  809. Soutou 1976, p. 98 (note 26)
    L'auteur ne nomme pas précisément Giraud Brochard mais la mention « magister militie Templi Pictavie et Wasconie » se rapporte à ce dignitaire, qui était maître de la province d'Aquitaine, cf. Léonard 1930.
  810. J. Delaville le Roulx, Documents concernant les Templiers extraits des archives de Malte, Paris, (lire en ligne), p. 43-48 (n°33-34)
  811. Bourg 1883, p. 25
  812. Léonard 1930, p. 82-83, lire sur templiers.net
    Maîtres de Gascogne, maisons du Temple dans le Gers, Maîtres de l'Agenais et les commandeurs d'Argentens: « domorum Templi in Vasconia, magistros Vasconiæ & Domus in Agennensibus et Vasatensibus, preceptori et fratribus militie Templi Agennensis etc... »
  813. Acte n°218626 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Charles Higounet, « Cartulaire des Templiers de Montsaunès », Bulletin philologique et historique (jusqu'à 1715) du comité des travaux historiques et scientifiques: Années 1955 et 1956, Paris, Bibliothèque nationale, , p. 247-248 (n°41), lire en ligne sur Gallica
    Sans titulature précise
  814. Bourg 1883, p. XXVI (n°37)
  815. Clemens 1997, p. 25
  816. Monique Sieuzac, Templiers et Hospitaliers dans le Lot-et-Garonne, Coudray-Macouard, Cheminements, , 156 p. (ISBN 978-2-84478-553-4, présentation en ligne), p. 11, 18
  817. Jacques Dubourg, Les Templiers dans le Sud-Ouest, Bordeaux, Éditions Sud-Ouest, , 312 p. (ISBN 2-87901-451-4, présentation en ligne), p. 48 ; (fr + la) M. Veilhon, « La Commanderie des Templiers et Hospitaliers de Romestaing (L-et-G) », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 76, nos 3-4, , p. 108 (présentation en ligne), extraits sur templiers.net ; Bourg 1883, p. LI (n°72)
    Charte de 1167 et non pas c.1160 comme le pensait Antoine du Bourg
  818. Bourg 1883, p. XLVIII (n°68-A)
    Charte sans date: « in manu fratris Augerii de Bedeisan, tempore illo custodis domus Templi in Gasconia », donation du fief d'Argentens par Arnaud d'Argentens
  819. Pierre Gérard, Élisabeth Magnou et Philippe Wolff (dir.), Cartulaires des Templiers de Douzens, Paris, CTHS, coll. « Collection de documents inédits sur l'Histoire de France, vol. 3 », , p. 33 (n°20), lire en ligne sur Gallica
    15 mai 1167: « Helie Fulcaudi, Narbonensis patrie comendatori »
  820. Becdelièvre 2009, p. 139 (n°272)
    10 mars 1171: « fratris Helie Folcadi, preceptoris domus de Peiroriis », Périès (commanderie dans l'Hérault).
  821. Bourg 1883, p. XLVIII-XLIX (n°68-B)
    Charte sans date qui n'est pas forcément antérieure à 1159 contrairement à ce que pensait Antoine du Bourg. Plutôt c. 1170/71
  822. Donation de l'église d'Argentens par Garsia Marra et sa femme à frère Augier, maître mais la charte n'est pas datée (Bourg 1883, p. XLVIII-XLIX (n°68-B)). Peu de temps après (recenter hoc dono facto), Hélie Focald, successeur d'Augier qui est mort entre-temps (post mortem Magistri fratris Augerii), donne 300 sols morlans à ce même Garsia. La donation de cette église n'est donc pas antérieure à 1159. Forcément postérieur à 1167, sans doute vers 1170/71
  823. (fr + la) Jacques Dubourg, « La commanderie de Romestaing », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 130, no 2, , p. 128 (présentation en ligne)
  824. Veilhon 1950, p. 106 ; Bourg 1883, p. LI (n°71, 1° paragraphe)
    Sans date: « factum est tempore quo Helias Focalt Magister de Curnis existebat »
  825. Abbé Bénaben, « La commanderie de Gimbrède », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 21, no 3, , p. 135, lire en ligne sur Gallica
  826. Clemens 1997, p. 26 (note 109)
    Ne permet pas de se situer vers 1161 puisqu'il s'agit de la prise de possession de l'Agenais par le roi de France en 1271.
  827. Recueil des travaux de la Société d'agriculture, sciences et arts d'Agen, t. XIII, , p. 81,87, lire en ligne sur Gallica
  828. Bourg 1883, p. XLIX (n°68)
    Dernier paragraphe de ce document. Charte sans date: « Eliae Folcaudi, Magistro domum tocius Vasconiæ », donation de Sainte-Quitterie de Rives.
  829. Bourg 1883, p. LI (n°71, 2° paragraphe)
    Deuxième paragraphe de ce document. Charte sans date: « in manu Heliæ Focalt, qui tempore illo Magister Vasconiæ »
  830. Albon 1913, p. 266 (n°424), 271 (n°434), 295 (n°473), 305-307 (n°493-494,496), 310 (n°502)
    1185-1186 (calendrier julien) au moins du mois de mars 1147 et après le 09 fév. 1148. Apparait systématiquement en 2e position derrière Rigald Viger, commandeur de Novillas (1139-1151), cf. Forey 1973, p. 437.
  831. Acte n°218605 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; Higounet 1957, p. 237 (n°22)
  832. Bourg 1883, p. XLIX (n°68, dernier paragraphe)
  833. Bourg 1883, p. 383
  834. (en) Nicholas Vincent, «  The Plantagenêts and the Agenais (1150-1250)  », dans Martin Aurell, Frédéric Boutoulle, Les Seigneuries dans l'espace Plantagenêt (c.1150 – c. 1250), Éditions de Boccard, coll. « Études d'Ausonius », , 471 p. (ISBN 978-2-3561-3020-4, présentation en ligne), p. 424
  835. Gérard, Magnou et Wolff 1965, p. 98 (n°104)
    25 février 1169: « honestissime Templi Jherosolimitani militie et tibi Elie Fulcaudi et Petro de Sancto Johanne et Isarno et Arnaldo de Carreria et Petro de Paderno... ».
  836. Gérard, Magnou et Wolff 1965, p. 233 (n°56)
    11 avril 1170: « Elias Fulcaudi et Petro de Sancto Johanne atque Isarno, fratribus et servis milicie propedicte (militie Templi Jherosolimitani) ». Un acte de 1182 (p. 211, n°30) fait également référence à ces deux templiers au sujet d'une donation antérieure (Elie Fulcoaldi).
  837. Higounet 1957, p. 243-244 (n°32)
    1166: « Petri de Astuga qui tunc erat preceptor Tolose »
  838. Higounet 1957, p. 266-267 (n°76)
    Sans date, c.1164-1168: « Petrus de Stuga qui tunc erat magister domus Tolosane Templi et frater Petrus Berengerii qui tunc erat preceptor domus Montis Salnensis ; Petri d'Estuga magistri domus Templi Tolose ». Cette charte montre qu'il est à ce moment-là maître de la baillie de Toulouse et non simple commandeur (preceptor) de la maison de Toulouse.
  839. Higounet 1957, p. 229 (n°7)
    1167: « militibus Templi, scilicet Petro de Restuga [d'Estuga] et Bernardo Vila et omnibus aliis »
  840. Higounet 1957, p. 259-260 (n°62)
    06 mai 1168: « Petro d'Astuga qui erat magister [domus] ». Pas d'indication géographique précise, maître de la baillie dont dépendait Montsaunès mais est-ce celle de Toulouse ou celle de Gascogne ?
  841. Higounet 1957, p. 277 (n°95)
    1169: « Petro d'Astuga et Arnallo de Martras et fratribus Templi ».
  842. Higounet 1957, p. 225 (n°1) ; Bourg 1883, p. XXIX-XXX (n°43)
    Sans date, supposé de 1176: « Od de Basuz qui erat comendator Montis Salnensis in illa die, et Petrus d'Astuga et Fort de Linag...et totus conventus Montis Salnensis ». Il n'a pas de titre et est cité après le commandeur de Montsaunès. Antoine du Bourg proposait c.1180.
  843. Clemens 1997, p. 25
    Argentens, IX, 8
  844. Sánchez Casabón 1995, p. 451 (n°339), 454, 457 (n°347) ; Virgili 1997, p. 418, 426
  845. Acte n°218443 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne ; (fr + la) Nicole de Peña, Documents sur la maison de Durfort (XIe-XVe siècle), vol. I, Bordeaux, (présentation en ligne), p. 14-15 (n°20) ; Bourg 1883, p. XXXVII (n°56)
    Dans la charte publiée par Antoine du Bourg, il manque un passage « in presentia Fortis Sans Vidalac [qui erat commandator istius bailie et G. de Brasac], comendator de Golfeg ».
  846. (fr + la) Pierre Jules de Bourrousse de Laffore, « Notes historiques sur des Monuments féodaux ou religieux du département de Lot-et-Garonne (suite) », Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest : historique, littéraire, scientifique & artistique, Société des Sciences, Lettres et Arts d'Agen, t. 6, , p. 497, lire en ligne sur Gallica
    Donation à l'évêque d'Agen de son droit et de la dîme sur la paroisse de Saint-Germain de Rivière par ce chevalier. Nom peu commun, parenté à déterminer.
  847. Bourg 1883, p. 324 ; Clemens 1997, p. 28 (note 121
  848. Léonard 1930, p. 25
  849. Virgili 1997, p. 418
  850. Léonard 1930, p. 26
  851. (la) J. Rouquette et A. Villemagne, Bullaire de l'église de Maguelone : 1030-1216, t. I, (lire en ligne), p. 225, 255-256
  852. Cartulaire de Trinquetaille, Ophrys, , 372 p. (présentation en ligne), p. 161 (n°173)
    Son titre ne précise pas de Provence et la date paraît curieuse (1199). Appel du procès entre le Temple et l'Hôpital portant sur l'honneur de la Vernède, référence aux chevaliers du Temple d'Arles (Templi arelatensi) dont Bernardus de Caza connu comme commandeur d'Arles en 1201, cf. Léonard 1930 sachant que P.(etrus) de Villa Plana était commandeur d'Arles en 1200 au moment du chapitre provincial qui s'est tenu à Montpellier, cf. Rouquette et Villemagne 1912, p. 461.
  853. Jean Paul Boyer et Thierry Pécout, La Provence et Fréjus sous la première maison d'Anjou (1246-1382), Aix-en-Provence, Université de Provence, , 213 p. (ISBN 978-2-85399-761-4, présentation en ligne), p. 125
  854. Fernand Benoit, Recueil des actes des comtés de Provence appartenant à la Maison de Barcelone : Alphonse II et Raimond Béranger V (1196-1245)., vol. 2, (OCLC 492232553), Acte n°12
  855. Bagnarini et Guzzo 2008, p. 65
  856. (en) Dominic Selwood, Knights of the cloister : Templars and Hospitallers in central-southern occitania 1100-1300, Boydell & Brewer Ltd, , 261 p. (ISBN 978-0-85115-828-0, lire en ligne), p. 96
  857. (la) Joseph-Hyacinthe Albanès et Ulysse Chevalier, Gallia christiana novissima : Histoire des archevêchés, évêchés & abbayes de France : Marseille, , p. 702-704 (pièce n° 1122), lire en ligne sur Gallica
  858. Guillaume 1893, p. 173-174 (n°245)
    Peire de Rovira, Hugues de Barcelone et Hugues Jaufré, les trois premiers maîtres en Provence/Espagne y sont mentionnés.
  859. Léonard 1930 ; Ripert-Monclar 1907, p. CLVI, lire en ligne sur Gallica ; Chevalier 1875, p. 107-108 (n°162)
  860. Teulet et Laborde 1863, p. 248 (n°709)
  861. Burgtorf 2008, p. 674 ; Bulst-Thiele 1974, p. 187
  862. Aurell 2001, p. 164 (n°259)
  863. (fr + la) Raymonde Foreville, Le Cartulaire du chapitre cathédral Saint-Etienne d'Agde, CNRS éditions, , 583 p. (ISBN 978-2-222-04708-7, présentation en ligne), p. 476 (n°446)
  864. (it) Malcom Barber (trad. M. Scaccabarozzi), La storia dei Templari, Piemme, , 479 p. (ISBN 978-88-384-1020-8, présentation en ligne), p. 282
  865. (it) Hubert Houben, « Templari e Teutonici nel Mezzogiorno normanno-svevo », dans Il Mezzogiorno normanno-svevo e le crociate : atti delle quattordicesime giornate normanno-sveve, Bari, 17-20 ottobre 2000, vol. 14, Edizioni Dedalo, coll. « Atti del Centro di studi normanno-svevi dell'Università degli studi di Bari », , 417 p. (ISBN 978-8-8220-4160-9, lire en ligne), p. 265
  866. (it)I templari nella Puglia medievale sur Google Livres, Vito Ricci, Edizioni dal Sud, 2009.
  867. (it)Storia dell'Ordine dei Templari in Italia: le fondazioni, volume 2. sur Google Livres, Fulvio Bramato, Atanòr, 1991.
  868. (it) Luciana Petracca, Giovanniti e templari in Sicilia, Congedo, , 674 p. (ISBN 978-0-88808-668-6, présentation en ligne)
  869. Le Mire 1723, p. 1191, lire sur Google Livres
    Godefroid III de Louvain: confirmation en 1188 d'une donation faite en 1184 à Bénévent alors qu'il se rendait à Jérusalem.
  870. Bagnarini et Guzzo 2008, p. 63
  871. (it) Cristian Guzzo, Templari in Sicilia : la storia e le sue fonti tra Federico II e Roberto d'Angiò, vol. 2, Name, coll. « Insigna e arma », , 122 p. (ISBN 978-88-87298-58-1, présentation en ligne), p. 48, 62
  872. Toomaspoeg et Rossi Vairo 2003, p. 249
  873. Guzzo 2003, p. 69
  874. Petracca 2006, p. 80
  875. (en) Malcom Barber, The New Knighthood : A History of the Order of the Temple, Cambridge University Press, (1re éd. 1994), 464 p. (ISBN 978-1-107-60473-5, présentation en ligne), p. 238
  876. Bagnarini et Guzzo 2008, p. 86
  877. Guzzo 2003, p. 62
  878. (it) Riccardo Filangieri, I registri della Cancelleria angioina, vol. 7, L'Accademia, (présentation en ligne), p. 11
  879. (it) Riccardo Filangieri, I registri della Cancelleria angioina, vol. 8, L'Accademia, (présentation en ligne), p. 106 (Note 89)
  880. Bulst-Thiele 1974, p. 244
  881. Petracca 2016, p. note 169
  882. Bulst-Thiele 1974, p. 260, 288
  883. Bulst-Thiele 1974, p. 288
  884. Demurger 2008, p. 334
  885. (it) Riccardo Filangieri, I registri della Cancelleria angioina, vol. 11, L'Accademia Pontaniana, (présentation en ligne), p. 122, 136
  886. Burgtorf 2008, p. 656-657
  887. Guzzo 2003, p. 63
  888. (it) Riccardo Filangieri, I registri della Cancelleria angioina, vol. 21, L'Accademia, (présentation en ligne), p. 213(charte n°56)
  889. Bagnarini et Guzzo 2008, p. 87
  890. Bramato 1991, p. 137
  891. Schottmüller 1887, p. 125
  892. Guzzo 2003, p. 61
  893. Sève 1986, p. 143
  894. Barber 2012, p. 246
  895. Gilmour-Bryson 1982, p. 133
  896. (en) Anne Gilmour-Bryson, The trial of the Templars in the Papal State and the Abbruzi, vol. 303, Biblioteca apostolica vaticana, coll. « Studi e testi », , 313 p. (ISBN 978-88-210-0525-1, présentation en ligne), p. 35-36, 39, 131-136, 138-139, 146, 155
  897. Schottmüller 1887, p. 411
    Voir aussi Gilmour-Bryson 1982, p. 39 (n°138).
  898. Gilmour-Bryson 1982, p. 135
  899. Gilmour-Bryson 1982, p. 147
  900. Alain Demurger, La persécution des Templiers : Journal (1307-1314), Éditions Payot, coll. « Bibliothèque historique Payot », , 400 p., Grand format (ISBN 978-2-2289-1407-9, présentation en ligne), p. 148
  901. (it) Cristian Guzzo, « Milites Templi Hierosolimitani in Regno Siciliae. Vecchi documenti, nuove acquisizioni », dans I Templari nell'Italia centro-meridionale : storia ed architettura., Edizioni Penne & Papiri, (ISBN 978-8-8893-3635-9, lire en ligne), p. 87 (note 207, p. 125-126) ; Demurger 2002, p. 230-231
    Lettre sans date de Pierre de Castillon adressée à Pierre de Saint-Just, commandeur d'Alfambra pour l'informer des changements concernant les commandeurs et maîtres de province. Alain Demurger pense qu'elle date de Noël 1304, au plus tard janvier 1305 donc des nominations qui sont intervenues en 1304. Cristian Guzzo propose fin 1303, début 1304 pour la nomination de Simon de Quincy qui n'est connue que par cette lettre.
  902. Claverie 2005, p. 381
  903. Guzzo 2008, p. 125-126 (note 207)
  904. (en) Anne Gilmour-Bryson, « Italian Templars Trials : Truth or Falsehood », dans Norman Housley, Malcolm Barber et al., Knighthoods of Christ : Essays on the History of the Crusades And the Knights Templar, Presented to Malcolm Barber, Ashgate Publishing ltd., , 257 p. (ISBN 978-0-7546-5527-5, lire en ligne), p. 225
  905. (it) Barbara Frale, « Lo strano caso del processo ai Templari in Italia », dans Antonio Rigon, Francesco Veronese, L'età dei processi : inchieste e condanne tra politica e ideologia nel '300, Istituto storico italiano per il Medio Evo, , 401 p. (ISBN 978-8-8891-9059-3, lire en ligne), p. 37-57
  906. (en) Kristjan Toomaspoeg, « The Templars and Their Trial in Sicily », dans The Debate on the Trial of the Templars, 1307-1314, Ashgate Publishing, , 399 p. (lire en ligne), p. 276
  907. Houben 2002, p. 267
  908. Filangieri 1955, p. 199
  909. (it) Nadia Bagnarini et Cristian Guzzo, I templari nell'Italia centro-meridionale : storia ed architettura, Tuscania, Penne e papiri, , 206 p. (ISBN 978-88-89336-35-9, présentation en ligne), p. 76
  910. (it) Barbara Frale, « L'interrogatorio ai Templari nella Provincia di Bernardo Gui : un'ipotesi per il frammento del Registro Avignonese 305 », dans Dall'Archivio segreto vaticano : miscellanea di testi, saggi e inventari, vol. 1, Archivio segreto Vaticano, , 686 p. (ISBN 978-8-8850-4250-6, présentation en ligne), p. 256-257
  911. Gilmour-Bryson 1998, p. 152
  912. Gilmour-Bryson 1982, p. 155, 304
  913. Guzzo 2008, p. 87 (note 206, p. 125)
  914. Schottmüller 1887, p. 217 (n°76)
    Voir aussi la traduction de ce procès par Anne Gilmour-Bryson (Gilmour-Bryson 1998, p. 152).
  915. Carraz 2005, p. 306 ; Carraz 2012, p. 797 ; Guzzo 2003, p. 64 ; (de) Heinrich Finke, Papsttum und Untergang des Templerordens, vol. 2, (lire en ligne), p. 352-353 (n°75)
    Son interrogatoire pendant le procès (la): « Frater Gaufridus de Petraviridi miles dicti ordinis, preceptor domus Templi de Rua, Foroiuliensis diocesis..., quod ipse fuit receptus per quondam fratrem Ferrandum Alfoncii preceptorem domus Templi de Castroalbo (pt), Colimbriensis diocesis (pt) in quadam camera dicte domus in Portugalia » (Frale 2006, p. 256-257) ; (Finke 1907, p. 352-353). Guzzo mentionne « Goffredus de Petraviridi ».
  916. Bagnarini et Guzzo 2008, p. 85
  917. (it) Kristjan Toomaspoeg et Giulia Rossi Vairo, Templari e Ospitalieri nella Sicilia medievale, Centro studi melitensi, , 288 p. (présentation en ligne), p. 78
  918. Giuseppina Pecorella, I templari nei manoscritti di Antonio Amico : contributo di documenti inediti sui templari di Sicilia, , 106 p., p. 57-58
  919. (it) Luciana Petracca, « L’Ordine dei Templari in Capitanata. Storia, sviluppi, aspetti e problematiche », Mélanges de l’École française de Rome - Moyen Âge, vol. 128, no 2, (ISBN 978-2-7283-1228-3, lire en ligne), p. 8
  920. (la) Eduard August Winkelmann, Acta imperii inedita saeculi XIII et XIV : Urkunden und Briefe zur Geschichte des Kaiserreichs und des Königreichs Sizilien, Scientia Verlag, (présentation en ligne), p. 89
  921. (la) Rocco Pirri et Antonino Mongitore, Sicilia sacra disquisitionibus et notitiis illustrata, t. II, (lire en ligne), p. 934
  922. Pirri et Mongitore 1733, p. 935
  923. Demurger 2008, p. 371
  924. Pirri et Mongitore 1733, p. 936
  925. (it) Luciano Catalioto, Terre, baroni e città in Sicilia nell'età di Carlo I d'Angiò, Intilla, , 417 p. (présentation en ligne), p. 315
  926. (it) Fulvio Bramato, Storia dell'Ordine dei Templari in Italia, vol. 1, Atanòr, , 236 p. (présentation en ligne), p. 231
  927. Nicholson 2011, p. 297
  928. Toomaspoeg et Rossi Vairo 2003, p. 78
  929. Charles Alfred Grandjean, Le registre de Benoît XI : recueil des bulles de ce pape publiées ou analysées d'après le manuscrit original des archives du Vatican, A. Fontemoing, , 1148 p., Nr. 1279
  930. Michelet 1841, p. 424-425
  931. L' Art De Vérifier Les Dates Des Faits Historiques, Des Chartes, Des ... sur Google Livres, François Clément, 1783.
  932. (en) Paul Vincent Smith, « The Templar Province of Alemannia and Slavia », dans Crusade and society in eastern Europe : The Hospital and the Temple in Poland and Pomerania (1145-1370), London university, (lire en ligne), p. 358
  933. (la) Adolph Friedrich Johann Riedel, Codex diplomaticus Brandenburgensis, vol. 19, Berlin, (lire en ligne), p. 1 (doc. 2)
  934. Mémoires de l'Académie royale des sciences et belles-lettres depuis l'avénement de Frédéric Guillaume II au trône, 1788 et 1789 avec l'histoire pour le même temps. sur Google Livres
  935. Riedel 1860, p. 1 (doc. 1)
  936. La marche de Brandebourg sous la dynastie ascanienne sur Google Livres, Ernest Lavisse, 1875.
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  940. Riedel 1860, p. 4 (doc. 5), lire sur Google Livres
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  943. Smith 1995, p. 360
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  945. Riedel 1860, p. 5 (doc. 8), lire sur Google Livres
  946. cf. mémoires de l'Académie royale : « Magister Domorum militiae Templi per Alemaniam et Sclavoniam », Cf. Divertissements historiques et diplomatiques : « Domorum militiae Templi per Alemanniam et Italiam praeceptor humilis »
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  956. Lüpke et Irgang 1987, p. 26
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  958. Bulst-Thiele 1974, p. 211 (note a), 379
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  960. Bulst-Thiele 1974, p. 327,374,379
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    Liste des maîtres du Brabant et de l'Hesbaye tirée d'un bulletin de la commission royale d'histoire (Chestret de Haneffe 1901, p. 302-303)
  964. J. Daris, « Le cartulaire de l'abbaye de Herckenrode (suite et fin) », Bulletin de l'institut archéologique liégeois, Liége, t. XI, (lire en ligne), p. 91
  965. Bulst-Thiele 1974, p. 285,375
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  970. (de)Marie-Luise Heckmann, « Fecit pulsare campanas : Kriegsdienste und Frömmigkeit deutscher Templer aus der Perspektive ihrer Wohltäter », dans Regionalität und Transfergeschichte. Ritterorden-Kommenden der Templer und Johanniter im nordöstlichen Deutschland und in Polen seit dem Mittelalter, Lukas Verlag, , 649 p. (ISBN 978-3-8673-2140-2, présentation en ligne), p. 119 (note 168)
  971. Demurger 2008, p. 425,458
  972. C.A. Schwetschke, Urkundenbuch der Stadt Braunschweig, vol. 2, (lire en ligne), p. 266
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  975. Riedel 1859, p. 50, lire sur Google Livres
  976. Schwetschke 1900, p. 333
  977. Bulst-Thiele 1974, p. 335,372,375,379 ; (fr)Divertissements historiques et diplomatiques. "Diplomatische und historische Belustigungen", volume 2 sur Google Livres, Friedrich Carl Moser, 1755, p. 265.
  978. (de) Julius Hermann Gotthelf Gmelin, Culpabilité ou innocence des templiers ? : Tentative pour résoudre cette question cruciale, W. Kohlhammer, , 532 p., p. 470
  979. Régine Pernoud, Les Templiers : Chevaliers du Christ, Gallimard, , 128 p. (ISBN 978-2-07-053286-5), p. 128
  980. (la) Jindřich Šebánek et Sáša Dušková, Codex diplomaticus et epistolaris regni Bohemiae, vol. V/2, (présentation en ligne), p. 93 (doc. 535-536)
  981. (la) Adolph Friedrich Johann Riedel, Codex diplomaticus Brandenburgensis, vol. 1, Berlin, (lire en ligne), p. 70 (doc. 96) où janvier 1162 est indiqué, charte publiée également dans le volume 19 de ce même ouvrage, cf.Riedel 1860, p. 5 (doc. 8) mais avec la date de décembre 1262
  982. Bulst-Thiele 1974, p. 415
  983. Bulst-Thiele 1974, p. 212
  984. (la) Antonii Boczek, Codex diplomaticus et epistolaris Moraviae, studio et opera Antonii Boczek : Ab annis 1241 - 1267, vol. III, Skarnitzl, (lire en ligne), p. 36
  985. Boczek 1841, p. 11
  986. Lehmann et Patzner 2004, p. 17
  987. (de) Libor Jan, « Böhmische and mährische Adelige als Förderer und Midglieder der geistlichen Ritterorden », dans Zsolt Hunyadi, József Laszlovszky, The Crusades and the Military Orders : Expanding the Frontiers of Medieval Latin Christianity, Central European university press, , 606 p. (ISBN 978-9-6392-4142-8, lire en ligne), p. 311
  988. Bulst-Thiele 1974, p. 278-279,378 (note 42)
  989. Národní archiv Praha (cs), RM 1887(la) « Charte (1292) », sur monasterium.net (consulté le ); Également cité dans une charte de juillet 1292 : (la) Antonii Boczek, Codex diplomaticus et epistolaris Moraviae, studio et opera Antonii Boczek : Ab annis 1268 - 1292, vol. IV, Olomucii, (lire en ligne), p. 389
  990. Boczek et Chytil 1850, p. 78-80
  991. Chestret de Haneffe, « L'ordre du Temple dans l'ancien diocèse de Liège ou la Belgique orientale », Compte rendu des séances de la commission royale d'histoire, ou recueil de ses bulletins, 5e série, t. IX, (lire en ligne), p. 300-301
  992. (nl + la) « ? », Bijdragen tot de geschiedenis bijzonderlijk van het aloude hertogdom Brabant, vol. 10, (présentation en ligne), p. 527-528 (n°173-174)
  993. Ibid., p. 544 (n°192).
  994. Alphonse Wauters, « Mélanges : Deux chartes concernant l'ordre du Temple », Revue d'histoire et d'archéologie, t. I, (lire en ligne), p. 213-214
  995. (nl + la) « ? », Bijdragen tot de geschiedenis bijzonderlijk van het aloude hertogdom Brabant, vol. 5, (présentation en ligne), p. 426-427
    p. 427 ⇒ « commendator et magister domorum militie Templi in Brabantia et Hasbania »
  996. J. de Saint-Genois, « Templiers en Belgique », Messager des sciences historiques, des arts et de la bibliographie de Belgique, (lire en ligne), p. 376
    « Anno domini MCCLX, feria sexta post purificationem B. Virginis » ⇒ 08 février 1260 et non le 06 février 1263 tel qu'indiqué par Dailliez 1978.
  997. Abbé Evrard, « Cartulaire de l'abbaye de Flône », Analectes pour servir à l'histoire ecclésiastique de la Belgique, t. XXIII, (lire en ligne), p. 392 (n°89)
  998. (la) Jean Charles Diercxsens, Antverpia Christo nascens et crescens, t. I, (lire en ligne), p. 268
    Laurent Dailliez attribue cette charte à Gérard de Villiers sans justification, Cf. (Dailliez 1978).
  999. Evrard 1892, p. 408 (n°103)
  1000. Chestret de Haneffe 1901, p. 335-336 (n°5) ; Ferdinand Henaux, « Les Templiers au pays de Liège : Le Temple de Visé », Bulletin de l'institut archéologique liégeois, Liége, t. I, (lire en ligne), p. 341 (note 1)
  1001. Chestret de Haneffe 1901, p. 336-337 (n°6)
  1002. Chestret de Haneffe 1901, p. 302, 310
  1003. Joseph Cuvelier, Inventaire des archives de la ville de Louvain : N°3809 à 10278, t. II, (OCLC 63482263, présentation en ligne), p. 70 (n°4236)
    D'après Laurent Dailliez, on trouve également le commandeur de Louvain (Jean Leminghe) et celui de « Fain » [sic] (Godefroid de Huy) dans cette charte. FainFaimes ? Nom de commanderie templière inédit pour le duché de Brabant et l'actuelle province de Liège. À rapprocher de la supposée commanderie de Corswarem.
  1004. Alphonse Wauters, « Exploration des chartes et des cartulaires belges existants à la bibliothèque nationale, à Paris », Compte rendu des séances de la commission royale d'histoire, ou recueil de ses bulletins, 4e série, t. II, (lire en ligne), p. 174.
  1005. Henry 2006, p. 99
  1006. Auguste Digot, « Mémoire sur les établissements de l'ordre du Temple en Lorraine : (Duchés de Lorraine et de Bar, évêchés de Metz, Toul et Verdun) », Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, Nancy, 2e série, vol. X, (lire en ligne), p. 266, lire en ligne sur Gallica
  1007. (de) Ad. Goerz, Mittelrheinische regesten : chronologische Zusammenstellung des quellen-materials für die Geschichte der Territorien der beiden Regierungsbezirke Coblenz und Trier in kurzen Auszügen, vol. II, (lire en ligne), p. 499-500 (n°1874)
  1008. (de) Ad. Goerz, Mittelrheinische regesten : chronologische Zusammenstellung des quellen-materials für die Geschichte der Territorien der beiden Regierungsbezirke Coblenz und Trier in kurzen Auszügen, vol. IV, (lire en ligne), p. 3 (n°14)
  1009. (de) Universität Hamburg, « Trier (Komturei, Deutschland) », sur www.templerlexikon.uni-hamburg.de (consulté le )
  1010. A. Huguenin, « Des ordres militaires et religieux à Metz », La Moselle: monuments, paysages, histoire, (lire en ligne), p. 19
  1011. Pierre-Vincent Claverie, « Aymon d'Oiselay », dans Nicole Bériou (dir. et rédacteur), Philippe Josserand (dir.) et al. (préf. Anthony Luttrel & Alain Demurger), Prier et combattre : Dictionnaire européen des ordres militaires au Moyen Âge, Fayard, , 1029 p. (ISBN 978-2-2136-2720-5, présentation en ligne), p. 135,présentation en ligne.
  1012. Jean-Marc Roger, Le Prieuré de Champagne des "chevaliers de Rhodes" : 1317-1522, , 2000 p. (OCLC 491104531), p. 111
  1013. (de) Freiherr von Hammerstein, « Der Besitz der Tempelherren in Lothringen », Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie lorraine, vol. 7, , p. 6, lire en ligne sur Gallica ; Hammerstein 1895, p. 26-27 (n°90)
    Page 6, Il faut lire 1218 et non 1213 pour Pontius de Villame.
  1014. Roger 2001, p. 112-113
  1015. Roger 2001, p. 112-113 (note 16) ; Jean-Charles Chapellier et Gérard Gley, Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges, t. VII, Paris, J.-B Dumoulin & H. Champion, , p. 17-19, lire en ligne sur Gallica
  1016. Roger 2001, p. 112 (note 12) ; Chapellier et Gley 1882, p. 19-21
    Date=1232, octave de Saint Pierre et Saint Paul donc en juillet. Archives départementales des Vosges, G 1321, vidimus de 1279.
  1017. Henry 2006, p. 72
  1018. André Philippe et Raymonde Florence, Archives départementales des Vosges, Répertoire numérique détaillé : Série H, clergé régulier avant 1790, 18 H Abbaye de Flabémont, Épinal, (1re éd. 1925) (lire en ligne), p. 183
  1019. Roger 2001, p. 112 (note 15) ; (F. Bonnardot, « Mélanges: Variétés Lorraines », Romania: recueil trimestriel consacré à l'étude des langues et des littératures romanes, vol. 2, (lire en ligne), p. 246-247
    Archives départementales des Vosges, série H, fonds de l'abbaye de Flabémont. Ce document infirme l'assertion initiée par Auguste Digot selon laquelle il était commandeur de Norroy en 1239, erreur que l'on trouve également chez Michel Henry (Henry 2006, p. 72, 75).
  1020. Roger 2001, p. 113 ; Noël Becquart, Jean Colnat et Archives départementales de la Meuse, Inventaire sommaire de la série H (clergé régulier) : Ordres d'hommes, t. I, (lire en ligne), p. 367.
    cote 22 H 9, f.42: « Charte de frère Domenge, commandeur des templiers de Lorraine »
  1021. Henry 1998, p. 181 ; Becquart et Colnat 1958, p. 366 (cote 22 H 9 f.12)
    Donation par Laurent de Saint-Aignan de tous ses biens à la commanderie de Marbotte.
  1022. Anne-Christelle Matthey, « 13 chartes du XIIIe siècle rédigées par le Scriptorium de la Commanderie de Marbotte, Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem », sur www.commercy.org, (consulté le )
    Dans la présentation de certaines de ces chartes, l'auteur désigne (à tort) les dignitaires qualifiés de maître de Lorraine comme étant commandeurs de Marbotte. Exemple p. 5-6, quatrième charte où sont clairement mentionnés, Gautier de Villers, le commandeur de Lorraine et W[i]llars, le commandeur de Marbotte. Idem p. 16, Gautier est commandeur de Lorraine, pas de Marbotte etc...
  1023. Martin-D. Glessgen (dir.) et Michel Arnold, Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », Sept. 1249, Abandon par Baudouin et Aubert, clercs, de Lunéville, de leurs droits sur l'église d'Harmonville et de leur dîmes à frère Demenge et à la maison du Temple de Lunéville., Corpus : Array, chartes de Meurthe-et-Moselle, ChMM068 (consulté le )
    « à frere Demeinge et au freres dou Temple »
  1024. Martin-D. Glessgen (dir.) et Michel Arnold, Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », Déc. 1249, Don par Ferri chevalier de Lunéville, Roscegnourt et Arnould, ses frères, Charles, fils de Ferri, et ses autres enfants, au Temple de Lunéville., Corpus : Array, chartes de Meurthe-et-Moselle, ChMM069 (consulté le )
    «  à frere Demonge· et au freres de la chevalerie dou Temple »
  1025. Martin-D. Glessgen (dir.) et Michel Arnold, Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », 30 juin 1254, Arbitrage rendu par Renaut comte de Blieskastel et seigneur de Bitche, entre Simon de Parroy et frère Demenge commandeur du Temple de Lunéville, Corpus : Array, chartes de Meurthe-et-Moselle, ChMM104 (consulté le )
    « freire Demenge, commandor de la maison sein George de Linevile de la chevalerie de Temple »
  1026. Henry 2006, p. 72, 74
  1027. Hammerstein 1895, p. 6
  1028. Henry 1998, p. 256 (n°126) ; Hammerstein 1895, p. 18 (n°30)
    Ront d'espremont / Rout d'Apremont. Hammerstein propose 1247 ou 1248, Henry mentionne uniquement 1247
  1029. Michel Henry, Itinéraires templiers en Lorraine, Serpenoise, , 288 p. (ISBN 978-2-87692-367-6, présentation en ligne), p.155, 177, 180
  1030. Hammerstein 1895, p. 21 (n°53)
  1031. Henry 1998, p. 177
  1032. Léonard 1930
    Galterius de Vileis
  1033. Anne-Christelle Matthey et Martin-D. Glessgen (dir.), Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », Oct. 1262, accord à la suite d'une querelle entre Gauthier commandeur des Templiers de Marbotte[commandeur des Templiers de la baillie de Lorraine] et Albert de Prény chanoine de Metz, Corpus : chartes de la Meuse, ChMe169 (consulté le )
  1034. Hammerstein 1895, p. 27 (n°93)
  1035. Acte n°222379 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne
  1036. Henri Lepage, « Notice sur quelques établissements de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem situés en Lorraine : IX. Commanderie de Libdeau et de Toul », Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe, (lire en ligne), p. 61
    « et frère Renaut commandeur du Temple de Liebedos ».
  1037. Becquart et Colnat 1958, p. 366 (cote 22 H 9 f.13)
  1038. Roger 2001, p. 116
  1039. Abbé Clouët, Histoire de Verdun et du pays verdunois, t. II, , p. 252, lire en ligne sur Gallica
    Archives départementales de la Meuse, 22 H 9, n°30 (Marbotte). Voir aussi Henry 1998, p. 248, n°90 et Becquart et Colnat 1958, p. 366-367 (cote 22 H 9 f.31).
  1040. Henry 1998, p. 256 (n°127) ; Hammerstein 1895, p. 18 (n°32)
  1041. Henry 1998, p. 256 (n°129) ; Hammerstein 1895, p. 18 (n°34)
  1042. Julien Trapp et Pierre-Marie Mercier, « A-t-on retrouvé la commanderie templière de Metz ? », Les Cahiers Lorrains, nos 2/2, (lire en ligne), p. 41
    Montre qu'il y a eu une coupure concernant Frère Martin qu'on retrouve de nouveau en 1287/88.
  1043. (de + fro) Karl Wichmann, Die Metzer Bannrollen des dreizehnten Jahrhunderts : Band II., coll. « Quellen zur lothringischen Geschichte, vol. 6 », , p. 166 (n°538), lire en ligne sur Gallica
    Bans de Tréfonds de Metz.
  1044. Hammerstein 1895, p. 19 (n°38)
  1045. Roger 2001, p. 114
  1046. Roger 2001, p. 114 ; Becquart et Colnat 1958, p. 370
    Archives départementales de la Meuse, Série H, cote 22 H 13, n°6. Avec son sceau.
  1047. Wichmann 1910, p. 371 (n°87)
  1048. Jean François et N. Tabouillot, Preuves de l'histoire de Metz : partie 1, (lire en ligne), p. 243-244 ; Paul Ferry, Observations séculaires, XVIe siècle, t. II, p. 20, arche de Saint-Livier.
    Hammerstein indique 1296 « Bruder Hannes, Comtur in Lothringen » ⇒ Frère Hannes, commandeur en Lorraine. Huguenin indique Jean Haimmes d'Oixeleir, maître de la baillie de Lorraine à partir des mêmes documents. Il s'agit donc bien de Aymon d'Oiselay. Malheureusement la layette qui contenait ces chartes dans l'arche de Saint Livier a été détruite pendant la seconde guerre mondiale et on ne dispose plus que de leurs descriptions.
  1049. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VI., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 197-198, lire en ligne sur Gallica ; Léonard 1930
    (la): Johannes de Marciis.
  1050. Trudon des Ormes 1898, p. 205-206, lire en ligne sur Gallica ; Léonard 1930
    (la): Johannes de Marciis.
  1051. Roger 2001, p. 115
  1052. Hammerstein 1895, p. 24 (n°72)
  1053. Chapellier et Gley 1882, p. 37-38
  1054. (de + la) Pommersches Urkundenbuch : Rodgero Prümers: 1287–1295, vol. 1, t. III, (lire en ligne), p. 140-141 (doc. 1596)
  1055. Forey 1973, p. 423
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  1058. Forey 1973, p. 437
  1059. Forey 1973, p. 442
  1060. Forey 1973, p. 435
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    Viterbo indique qu'il a consulté le document original mais il ne précise son origine.
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  1. Pas de commanderie attestée, les possessions dans le sud étant administrées à partir de la commanderie de Garway[14] et aucun templier ne semble avoir été arrêté au pays de Galles[15], cf. Liste des commanderies templières au Pays de Galles. Mais au nord (Denbighshire/Flintshire) une maison du Temple située entre le château fortifié de Rhuddlan et celui près de Basingwerk avait été fondée à l'initiative d'Henri II (roi d'Angleterre) en 1158[16].
  2. Aucune référence n'est adossée à cette liste. Pour ne citer que le premier de ces dignitaires, Hugh of Argentine, l'auteur indique 1140 dans sa liste[23], le mentionne p. 74-75 pour l'année 1142 en indiquant une charte mais sans indiquer dans quel ouvrage ou collection elle se trouve...
  3. Evelyn Lord ne précise pas ses sources[23] mais ces informations correspondent à ce que l'on trouve chez Émilie Amt[30] et chez Parker[24]. L'authenticité et les dates des chartes publiées par Béatrice Adélaide Lees concernant 1176-77[38] ne semblent pourtant pas avoir été contestées.
  4. Ce dignitaire ne figure pas dans les listes connues de ces maîtres de province en Angleterre. L'hypothèse est suggérée par Trevor Foulds et demande être vérifiée car la titulature employée dans la charte ne précise pas s'il s'agit du maître en Angleterre et est assez inhabituelle: « Hiis testibus : Waltero magistro de Templo », Cartulaire de Beauvoir, donation faite par Robert alias Oliver Deyncourt au moment de son entrée dans les ordres comme moine de cette abbaye[39].
  5. Aucun historien n'a été en mesure de dater précisément cette charte. Il s'agit de la confirmation d'un accord passé entre l'abbaye de Kirkstead et Richard de Hastings en 1155[40]. Le cartulaire de Kirkstead indique entre 1155 et 1161[41]. La période précise durant laquelle Richard de Hastings a été maître de cette province n'est pas connue. Il est attesté en 1155 puis en 1176/77, les autres documents où il apparait n'étant pas datés.
  6. Cette liste établie par les Hospitaliers contient un certain nombre d'erreurs liées à une confusion entre certains maîtres de Province et les maîtres de l'ordre qui se sont rendus en Angleterre comme Jacques de Molay en 1295. Dans le cas présent, peut-être qu'une erreur de date, il s'agirait alors de d'Amblard de Vienne (1261-1266).
  7. « De discordiis in Wasconia sedandis » où apparaît « Fratrem R. Magistrum Militiae Templi in Anglia », le 13 juin de la 36e année du règne d'Henri III (1252)[56]. R(obert de Sandford) d'après Mansuet[13] ou plutôt R(oncelin de Fos) qui apparaît en 1250-51 et 1253[12]. À noter qu'Evelyn Lord ne mentionne pas Roncelin de Fos en Angleterre[23] contrairement à Pierre-Vincent Claverie qui indique qu'il a exercé cette charge de 1252 à 1259 et que ce dignitaire a été commandeur de Tortose (1241/42)[54] puis maître en Provence en 1248-50 et en 1260-78[55].
  8. Incertitude et divergences de point de vue selon les auteurs. Alain Demurger pense qu'il cumulait la maîtrise d'Aquitaine et d'Angleterre tout en étant visiteur général de 1266 à 1271[64]. Evelyn Lord l'exclut de la liste des maîtres d'Angleterre[23]. Du strict point de vue des chartes, il est maître d'Aquitaine et visiteur général en 1266 et 1269, la charge de visiteur général incluant à ce moment-là la France, l'Angleterre, l'Allemagne et la Provence[65]. Il n'y a pas d'autre nom recensé dans les chartes pour le maître d'Angleterre durant cette période et aucune charte ne mentionne précisément Humbert avec le titre de maître d'Angleterre avant juin 1269. Durant cette période, on trouve Amaury de La Roche en France, Widekind en Allemagne et Roncelin de Fos en Provence. Pour l'Aquitaine, il a également un successeur attesté à partir de 1269: Jean le Français (1269-1276)[66].
  9. Novembre 1309 ⇒ 4° Interrogatoire : « Frater Richardus de Peitevyn...quod receptus fuit apud Dineslee...quadraginta duobus annis jam elapsis...per fratrem Himbertum Peraut tunc magnum praeceptorem in Anglia », 42 ans soit 1267, idem pour le 5° « Willielmus de la Forde » il y a 40 ans, le 8° « Thomas de Tholouse » il y a 43 ans et enfin « Alexander de Bulbecke (42°) il y a 30 ans[67]. Incertitudes sur la précision de ces dates.
  10. Mancester d'après Evelyn Lord[88], Manchester ?, « Manecestria » correspond à Mancetter selon une autre source[92].
  11. Émile-Guillaume Léonard n'indique pas le prénom et ne donne pas de date pour ce maître du Poitou (Pictavie), vers le milieu du XIIe siècle (« Tempore incerto, medio aut exeunte XIIe sæculo »). Même constat concernant le prénom chez Jean-Claude Bonnin[99] et pour l'abbé de La Boutetière[100]. Il figure pourtant parmi les témoins du traité de paix entre Henri II d'Angleterre et Louis VII le Jeune en 1160 sous le nom de Petro Episcopo mais sans titre particulier (Templi fratribus, frères du Temple), seul Guillaume Pavet y étant désigné comme maître du Temple (Willelmo Pavet magistro Templi) mais sans précision géographique (il est en fait maître de la province de Gaule donc de France). Quatre autres noms de dignitaires templiers apparaissent également parmi les témoins: Otton de Saint-Omer (Ottone de S. Audom[aro]), Gilbert de Lacy (Giliberto de Laci), Richard de Hastings (Ricardo de Hasting) et Robert de Pirou (Roberto de Piro), tous frères du Temple[102].
  12. La charte n'est pas datée. Émile-Guillaume Léonard ne s'est pas prononcé et le plaçait avant Guillaume Arnaud (1201), au XIIe siècle tout au moins. Il mentionne un autre document non daté lui aussi où le titre est : « magister in Aquitania »[101].
  13. Figure dans la « Liste des maîtres templiers en Aquitaine et des prieurs hospitaliers du prieuré de Poitou-Aquitaine » établie par Alain Jacquet, l'auteur précisant qu'il est maître en France[108]. Attesté comme maître de la province de France en 1209. Pas de charte avec le titre de « magister in Aquitania », uniquement « magister cis mare » en 1207 (actes relatifs à la Commanderie de La Rochelle[109] et à la commanderie de Coudrie au sujet de Pornic, seigneurie de Rays[110]).
  14. Marie Luise Bulst-Thiele propose 1236-1246 comme période en tant que commandeur d'Aquitaine (Bulst-Thiele 1974, p. 217) avec comme preuve à l'appui des documents de l'année 1236 et 1242 (note 3) ainsi que cette lettre datant de 1243 x 1247 où on trouve Warinus de Sonariis (note 4). Le prénom en latin correspond à Garin et non à Guillaume. Une lettre d'Isabelle d'Angoulême du 02 juin 1246 montre que Guillaume était encore maître d'Aquitaine (Teulet et Laborde 1866, p. 622-623 (n°3524)). Néanmoins il est enregistré sous le nom de William de Soum' par les archives du Royaume-Uni (Public Record Office 1968, p. 54).
  15. Dates établies par déduction, les maîtres étant nommés pour 4 ans.
  16. Problème de chevauchement de dates entre A.J Forey et Damien Carraz, début en tant que commandeur de Provence en 1217 d'après Carraz 2005, p. 319 alors qu'il semble toujours commandeur de Novillas en 1218 selon Forey 1973, p. 438.
  17. Émile-Guillaume Léonard indique 1279-1288 citant une série de documents couvrant cette période[142] mais pas celui relatif au testament de Robert V d'Auvergne qui est antérieur[157], avant lui Trudon des Ormes proposait 1279-1289 sur la base des interrogatoires du procès[158].
  18. À priori l'année est erronée.
  19. À priori uniquement sous la forme Madico dans les sources directes mais dans les interrogatoires du procès où il est mentionné, on trouve les graphies Madico, Madito, Madit, Mait et Mandito, cf. (Michelet 1851, p. 529).
  20. Information sans source primaire qui provient de M. Déribier Du Châtelet, Dictionnaire statistique du département du Cantal, vol. 4, (lire en ligne), p. 49.
  21. Par exemple la succession de Guilherme Fulcon mentionnée dans la règle du Temple[185] ou encore la période de maîtrise du frère Guillèn (1269-1273) qui n'apparaît jamais au Portugal[186].
  22. Du point de vue de la province templière, la Castille et le León ont été séparés à la suite du conflit qui opposa les deux royaumes (1178-1180). À Rodrigo succède Garniero comme maître de Castille (1183)[200].
  23. Commanderie de Ceinos (Liste des commanderies templières en Castille-et-León) d'après Martínez Díez[210], on trouve dans cet acte relatif à Valencia del Ventoso, Garci(a) Fernández, maître de Castille et León, Paio Gomez, commandeur de Xerèz (Jerez de los cabalerros, Estrémadure) et de Castilbranco (Castelo Branco, Centre du Portugal), Oyraz Eanes (Juan Eanes ?), commandeur de Benavente (Castille et León) et Gomez Garcia, commandeur de Sassivoz (Ceinos, Castille et León). Le document se trouve dans le Bulario de Agurleta, fol. 266, script. 14, n. 3[211] mais curieux mélange d'espagnol et de portugais, pas en latin.
  24. On trouve ces deux graphies uniquement dans les ouvrages qui mentionnent sa période en Aquitaine (1166-1173).
  25. Doute possible sur le fait que le dignitaire nommé Aimo ou encore Amions en 1183 et qualifié de maître en France soit le même que Amio de Ays ou des Haies attesté comme maître cismarin sans discontinuer de 1179 à 1186. J. Burgtorf pense que la charte de 1183 où Aimo s'intitule « magister milicie Templi » ne permet pas de corroborer le fait qu'il soit maître de la province de France cette année-là mais plutôt maître cismarin puisque l'on trouve un autre document en 1983 avec ce titre (« Amio magister milicie Templi citra mare, Paris »)[242]. Émile-Guillaume Léonard ne l'incluait pas non plus dans la liste des maîtres de la province de France[243] alors que Victor Carrière est formel sur l'existence du frère Amion, commandeur de la province de France en 1183 s'appuyant sur une charte dans laquelle il s'intitule « Amions fratrum templariorum in Francia commorantium [dictus] magister »[244]
  26. Malgré la proximité des événements (1190 dans les deux cas), ce sont vraisemblablement deux individus distincts. Le plus connu (Robert de Milly) fut chambellan des comtes de Champagne (Henri II de Champagne, Thibaut III de Champagne et Thibaut Ier de Navarre) et est devenu « confrater » du Temple avant de se croiser en 1190[250]. De ce fait, il paraît peu probable qu'il ait pu être maître de la province de France cette année-là. À son retour de Terre sainte, il a continué à effectuer de nombreuses donations envers l'ordre[251], ce qui tend à prouver là encore qu'il n'a pas été maître de Province car l'entrée dans l'ordre comme frère impliquait l'abandon de toutes ses possessions. Certains de ces actes mettent également en évidence qu'il est toujours marié[252], condition incompatible avec une appartenance à l'ordre. L'hypothèse que Robert de Milly, maître de la province de France[249] se soit croisé également est à envisager dans la mesure où il est déjà mentionné par Léonard en 1180 et qu'il n'apparaît plus dans les sources après 1190. La parenté entre ces deux individus reste à étudier.
  27. Les deux seules sources primaires existantes mentionnent « (la): Monteletardi », traduit initialement en Montletard/Mont-Letard puis en Montliard (Loiret) par Victor Carrière en 1919[227], cette dernière graphie étant toujours usitée[257]. Du point de vue de l'analyse toponymique et anthroponymique, on trouve également la graphie latine « Monteletardi » se rapportant au Prieuré Saint-Thomas de Molitard (Prioratus de Monte Letardi, de Monteletardi, en 1320 et 1351), diocèse de Chartes, doyenné du Dunois, commune actuelle de Conie-Molitard (Eure-et-Loir).
  28. Erreur très répandue dans les ouvrages du XVIIIe et XIXe siècles mais également chez Victor Carrière en 1919[227]. D'une part il était déjà maître de l'ordre depuis 1194 mais de surcroît il exerçait la charge de maître cismarin avant de se faire élire (1190-1193)[260]. Pour l'anecdote, Victor Carrière, toujours prompt à tancer ses confrères (Léonard[261], Menche de Loisne[249] et al.), en particulier sur l'étroitesse de leurs champs de recherche, a continué à propager cette erreur en se contentant de faire confiance à L'art de vérifier les dates[262]. L'erreur semble avoir pris naissance chez Mansuet jeune: « le Frere Gilbert Horal ou Éral, nommé d'abord précepteur de France dans les histoires de Bourgogne & de Languedoc »[263] alors que les sources indiquées par cet auteur ne mentionnent pourtant pas Gilbert de Hérail comme maître en France[264].
  29. Ne figure pas dans la liste des maîtres de la province de France établie par Émile-Guillaume Léonard[243]. Victor de Beauvillé indique que cette charte se trouve (trouvait ?) aux archives du département de la Somme[268], elle doit être absente de la collection d'Albon. Pons de Rigaud est également maître cismarin l'année précédente[269] puis de nouveau fin 1198 mentionné dans les registres épistolaires du pape Innocent III au sujet d'un différend qui opposait les templiers de Montpellier et le chapitre de la cathédrale de Maguelone depuis avril 1197 et qui fut réglé à Arles par l'archevêque Imbert d'Eyguières[270]. Émile-Guillaume Léonard indique qu'il est maître cismarin sans discontinuer de 1196 à 1202, peut-être de 1193 à 1207[111]. À priori c'est inexact car il s'agit d'une charge temporaire[271]. On trouve par ailleurs Pons de Rigaud qualifié de maître en Italie, Provence et Espagne en 1200[272] et il se trouve à Acre en 1201[273].
  30. Émile-Guillaume Léonard indique 1207 (Coudrie et Angers), 1209 (Lagny-le-Sec) et 1211 (Fretay)[111]. On trouve ⇒ Noël 1206: « Frater Guillelmus Oculus Bovis, miliciæ Templi citra mare magister humilis » (Bayeux)[286] ; 1207: « frater Willelmus Oculus Bovis, magister militie Templi citra mare » (La Rochelle)[109], « fratris Willelmi Oculi Bovis, domorum Templi cis mare magistri » (Coudrie)[110] ; Pons de Rigaud en tant que maître cismarin en 1207-1208 [à vérifier] ; 1208: « frater W. Oculus Bovis, pauperis militiæ templi citra mare Minister humilis » (synode d'Halberstadt)[287] ; 1209: « magister cismare Guillelmus Oculus Bovis... Praeceptor Franciens Andreas de Colours » (don numéraire au Temple par Bérengère de Navarre, douairière du Maine)[288] ; 1211: « ? » (Fretay, non consulté, « A.D. 86-3 H 1, chartrier de Fretay », mentionné par Léonard) ; 1273 [sic] : « Guill. Oculus Bovis, fratrum milicie Templi citra mare » (transaction sur l'enclos de l'abbaye Saint-Aubin d'Angers)[289].
  31. date indiquée dans la Gallia christiana[300] mais qui pourrait être erronée si on suit l'opinion d'Ambroise Tardieu, celui-ci proposant 1309[301]. Auquel cas il s'agit de Gérard de Villers, dernier maître de la province. Dans cet acte figure Johannes Senaldi, commandeur de la Fouilhouze or on trouve un commandeur du même nom durant le procès de l'ordre du Temple. Opinion partagée par Roger & Anne-Marie Sève dans : Sève 1986, p. 278.
  32. On ne peut pas affirmer qu'il s'agit de Guillaume de l'Aigle, commandeur de Normandie même si cette assertion est plausible compte tenu de la proximité des dates et du fait que le commandeur de Normandie avait été envoyé en Écosse en 1219 comme ambassadeur par le roi de France. Le doute subsiste dans la mesure où le sceau et le contre-sceau de G. de Aquila en 1222 (sceau: coupole du temple, contre-sceau: « homme ou enfant nu tenant une épée la pointe en haut, dans la main droite, adextrée d'un croissant »)[302] n'ont rien à voir avec le sceau de Guillaume de l'Aigle,commandeur de Normandie en 1227 (un aigle à deux têtes)[303].
  33. Le prénom exact n'apparait pas dans l'unique charte de ce maître de la province de France telle qu'elle est transcrite par l'abbé Daniel Haigneré G. de Aquila »)[302], c'est également sous cette forme qu'on le trouve chez Émile-Guillaume Léonard[243] et dans une version numérisée de cette charte[304]. Dans un ouvrage plus ancien de Jacques Malbrancq on peut lire Gérard (« Gerardus de Aquila »)[305], également répertorié sous ce nom chez Bréquigny[306]. À la même époque, on trouve comme commandeur de Normandie un certain Guillaume de l'Aigle (1219, 1226-1227). Néanmoins le sceau de 1222 (coupole, homme assis)[302] diffère totalement de celui de Guillaume de l'Aigle en 1227 (aigle à deux têtes)[303].
  34. Mentionné en 1224 uniquement par l'abbé Ythier[296]. La charte concernée semble avoir disparu ou alors il s'agit d'une erreur de date puisque ce dignitaire est attesté dès l'année suivante et que l'on trouve en 1223 et 1225 Pierre de Saint-Romain et Jean de Tournus qui tient lieu de commandeur en l'absence du maître de la province.
  35. Information qui provient de l'abbé Ythier dans Histoire ecclésiastique de Provins, t. VII et que l'on retrouve dans Bibliothèque de l'École des chartes, 1858, tome quatrième. Delphine Marie indique Pons d'Albon, 1236-1240 sans interruption (Marie 2004, p. 154), en contradiction avec la charte de Pierre de Saint-Romain en juin 1238 (Burgtorf 2008, p. 617). Émile-Guillaume Léonard le mentionne en 1236, 1238, 1240 et 1246 (Léonard 1930, p. 115). La charte de 1236 contient l'abréviation P., ce qui peut correspondre à l'un ou l'autre de ces dignitaires.
  36. Publiée dans Recueil des historiens des Gaules et de la France, tome XXI[324]. Extraits publiés par Bulst-Thiele (Bulst-Thiele 1974, p. 212) : « Et sachiez que nostre mestre en Bohaine, en Hongrie(?), em Poulaine, en Alemaigne, et en Morainne n'est pas venu a nostre chapitre ». La mention de la Hongrie paraît erroné, il doit s'agir de la Poméranie ((la): Slavia, (fro): Slavie) mais c'est ce qui apparaît dans le recueil et on trouve la même information chez Demurger qui publie une partie du texte en français moderne (Demurger 2008, p. 253). La confusion entre la Poméranie (Slavia) et la Slavonie (Sclauonia) est fréquente, Sclaves et Venèdes étant des synonymes de Slaves en français et se rapportent à ce territoire au nord-est de l'Allemagne et au nord-ouest de la Pologne. À cette date, on trouve fr. Gebhard, maître sans précision du titre régional « Magistri Gebehardi militiae Templi Praeceptoris » (Smith 1995, p. 359), vraisemblablement d'Allemagne puisqu'en 1238, il est « magister in Teutonia » et en 1244 « preceptor per Alemmaniam ». Raimbaud de Caromb était quant à lui maître en Hongrie l'année précédent cette lettre « Magistro domus Templi per regnum Hungarie » puis visiteur cismarin de 1240 à 1246 (Carraz 2005, p. 302)ou à partir de 1246 (Carraz 2012, p. 791). Damien Carraz pense que c'est de Caromb dont il s'agit notamment pendant la bataille de Mohi (Ibid.).
  37. « Renaudus, frater militiae templi, perceptor balliviae de Landrecesio » si on suit l'opinion de Marie-Luise Bulst-Thiele[328], partagée par Jochen Burgtorf[325] bien qu'il puisse s'agir d'un frère Renaudus totalement distinct. La baillie de Landrecies (orthographié « Landrecesio » dans l'exemplaire de cette charte figurant dans le cartulaire de Hainaut[329], « Laudimesio » dans celui de la collection d'Albon, Nouvelles acquisitions latines, ms. 49, f. 101) n'est pas mentionnée dans d'autres documents, sachant que la commanderie templière connue la plus proche serait celle de Saint-Aubin[330], la charte traitant justement d'un accord au sujet de l'étang de S. Albano (Saint-Aubin) conclu avec Bouchard d'Avesnes. D'après Émile-Guillaume Léonard, (trad. Marion Melville), Tableau des Maisons du Temple en France et de leurs commandeurs: 1150-1317, Ed du Giet, 1980, Renaudus était commandeur de la baillie du Laon (Laudunensis).
  38. La date de l'unique charte mentionnant Guy de Bazainville en 1243 parait curieuse car on trouve en janvier et juillet[327] de la même année le frère Renaud de Vichiers qui est formellement attesté entre 1242 et 1248. Peut-être faut-il reconsidérer l'année qui serait alors 1253.
  39. Burgtorf ne mentionne aucune pièce pour 1244 et 1245[325] et Guy de Bazainville parait exercer cette charge en mars 1243[128], ce qui laisserait penser qu'il y a une interruption pour ce dignitaire. Or Renaud de Vichiers apparaît dans deux chartes de 1243 (janvier et juillet). Par ailleurs il existe aussi une charte de février 1244[333] ainsi qu'une charte en juin 1245 et une pour décembre 1245[334] où on trouve de nouveau Renaud de Vichiers.
  40. Problème de chevauchement de dates: Foulques de Saint-Michel (1256-1258)[257] apparait dans une charte datée d'avril 1256 or en mai 1256, Amaury de La Roche semble exercer cette charge[358]. La date de l'une des deux chartes doit être erronée. On précisera que la graphie « Emauricus de Ruppe » (charte rédigée à Troyes)[358] est également employée dans une charte de 1266 en Champagne[359]. Aucune charte n'indique le nom du maître de la province de France entre 1259 et 1260.
  41. Il ne l'était plus en 1265, devenu visiteur de France lorsqu'il reçoit Jacques de Molay dans l'ordre en présence d'Amaury de La Roche, son successeur à la tête de la province de France, cf. Demurger 2008, p. 416.
  42. La locution latine correspondante est « Locum tenens ». Il ne s'agit pas d'un lieutenant au sens actuel de ce terme, à savoir un subordonné permanent de ce dignitaire chargé de certaines tâches (le compagnon). Le Tenant lieu, toujours un templier avec un rang moins important, prenait sa place durant l'absence du titulaire ou actait comme tel en attendant la nomination d'un nouveau dignitaire à la suite de son décès par exemple. Il arrivait que le dignitaire soit mandaté pour une mission particulière à l'extérieur de sa province, convoqué à un chapitre général de l'ordre ou encore parce qu'il s'est rendu au couvent de l'ordre en Orient.
  43. Procès, interrogatoire du frère Guy de l'Oratoire, commandeur de la Sablonnière: « Item frater Guido de Oratorio...quod fuit receptus apud Moisiacum Meldensis diocesis, illo anno quo fuit ultimum concilium Lugduni, per fratrem Petrum Normanum militem, magistrum de Alneio [sic]... »[386] que Laurent Dailliez analyse en : « Guy de l'Oratoire - sergent, commandeur de la Sablonnières - Moissy, par Pierre Normand, commandeur d'Aulnay en 1275 »[387]. Trudon des Ormes indiquait: « en la maison de Moisy du diocèse de Meaux, l'année même du dernier concile de Lyon (1274), alors qu'il était maître ou précepteur du Laonnais »[388]. D'une part Dailliez ne précise pas de quel Aulnay il peut s'agir et il n'y a pas de commanderie de ce nom attestée, encore moins une baillie de ce nom. D'autre part ce serait le seul exemple d'un commandeur de maison (Aulnay) qui effectue une réception dans une autre maison (Moisy). Ce sont les maîtres de Province ou de baillie qui lorsqu'ils étaient présents effectuaient la réception d'un nouveau frère en lieu et place du commandeur de la maison. L'opinion de Trudon des Ormes parait plus plausible dans la mesure où Pierre le Normand est mentionné comme commandeur de la baillie du Laonnais vers 1275[389] et formellement attesté avec ce titre l'année suivante (1276) alors qu'il tient lieu de commandeur en France[382].
  44. Vers 1269-70 d'après Trudon des Ormes mais c'est forcément avant sa période en Aquitaine.
  45. 1288⇒« frater Gauffridus de Vicherio, humilis in regnis Franciae, Angliae et Almaniae domorum militiae Templi generalis visitator »[396].
  46. 31 mai 1262, Acre: « frere Guillaume de Malai tenant leu de mareschal ; frere Guilliaume de Malai tenant leu de mareschau » (Burgtorf 2008, p. 682). Il exerce la fonction temporairement en attendant la nomination officielle d'un nouveau maréchal.
  47. 18-19 décembre 1262: « frere Guillaume de Malay mareschal ; frere Guillelme de Malay mareschau dou Temple » (Burgtorf 2008, p. 682).
  48. Trudon des Ormes 1899, p. 231. Source indirecte issue du procès (Michelet 1851, p. 139), interrogatoire du frère Jean Senandi qui dit avoir assisté à la réception du frère Odon de Belna par « frater Hugo de Penrando... qui tunc erat preceptor de Cabilone » mais sans pouvoir préciser quand.
  49. Peut-être depuis 1294 cumulé avec ses fonctions de maître de province si on suit l'opinion d'Alain Demurger et de Delphine Marie. Mais du point de vue des titres employés dans les chartes, il n'est attesté qu'à partir de 1299 comme Visiteur: fév. 1297: « Hugoni de Paralto preceptori Domus Militie Templi Jerosolimitani... per Domum Militie Templi Jerosolimitani in partibus Cismarinis  » (verse 6000 florins aux légats du pape par ordre de Jacques de Molay) (Digard 1907, p. 914-915 (n°2323-2324)) mais il est maître de France à ce moment-là ; 1299: « fratri Hugoni de Paraudo venerabili visitatori domorum milicie Templi conventuali » (Vaivre 2005, p. 24 (note 103)), « frater Hugo de Peraudo domorum Milicie Templi visitator generalis in Anglia / domorum visitator generalis  » (Cole 1844, p. 152, 159-163, 172) au moins depuis mars ; fév. 1300: « religioso frater Hugoni de Paraudo venerabili visitori generali domus milicie Templi nomine Francie » (Marie 2004, p. 34) ; juillet 1302: « Frater Hugo de Peraudo generalis visitator domorum Milicie Templi in Anglia » (Cole 1844, p. 173-174) ; juillet 1302: « Frere Hugues de Peraut, Generals visiteures de Mesons de la chevalerie dou Temple deça mer » ; 10 août 1302: « Hugonis de Peraut, visitatoris generalis domorum militiae Templi in citra-marinis partibus » (Bréquigny, Pardessus et Laboulaye 1863, p. 559) ; mars 1303: « Frater Hugo de Peraudo domorum Templi visitator generalis » (Cole 1844, p. 171) ; oct. 1304: « fratris Hugonis de Perando, generalis visitatoris domorum cismaritim militie Templi »[420] ; avr. 1305: « frere Hugues de Paraut visiteurs generauls des maisons de la chevalerie dou Temple » (Marie 2004, p. 34) ; 1306: « Hugo de Perando, visitator militiae templi Ierosolimitani in Francia » (Lanhers 1884, p. 192 (n°1037)).
  50. Apparaît avec le titre de commandeur de Laumusse et de Belleville. E.G Léonard pense qu'il est en fait commandeur de la baillie de Bourgogne (Léonard, 1930, Domus comitatus Burgundiæ): Annis 1254 et 1255 in chartis Muciæ apparet Parisius, « præceptor de la Musce et de Belleville ». Sed Templarius iste re vera præceptor Burgundiæ erat.
  51. Nombreuses sources relatives à ce dignitaire templier, cf. Burgtorf[443] mais en ce qui concerne sa période en Bourgogne on croyait ne disposer que de l'interrogatoire de deux templiers à Nicosie qui indiquaient avoir été reçus à la Laine par Aymon. L'abbé Clouet le mentionnait, sans préciser ses sources, dès 1300 dans Histoire de Verdun avec le titre de « maître et commendeur de la baillie de Lorraine et Grande Bourgogne »[442] et il semble avoir succédé à Jean de Mars en Lorraine au moins depuis 1296[444]. Jean-Marc Roger a retrouvé la source.
  52. La charte indique qu'il est maître (templariorum magistro) mais ne précise pas si c'est bien de Flandre bien que cela paraisse plausible. cf. Gallia christiana, vol. III, (lire en ligne), p. 81 (n°6, Instrumenta ad tomum III, Ecclesiae Atrebatensis).
  53. Probablement le même individu, frater Gobertus mentionné en 1194 dans Trudon des Ormes 1894, p. 140-141, 143, 310 (n°13). La maison du Temple d'Aimont faisait partie de la baillie de Ponthieu.
  54. « Magister fratrum militi Templi in Brabantia et in Hasbania », « fratrem Walterum præceptorem domorum balliviæ militiæ Templi in Hasbania »[473].
  55. Le document original n'a pas été consulté, erreur de traduction ? D'un point de vue géopolitique, il semble curieux de trouver un commandeur commun à cette date alors que Thomas II de Piémont, comte de Flandre et de Hainaut est en conflit avec Henri II de Brabant.
  56. Information donnée par Trudon des Ormes dans son étude sur les templiers en Picardie (Trudon des Ormes 1894, p. 138) mais l'auteur infirme cette hypothèse en 1897 car ce dignitaire était en fait procureur de l'ordre en France (Trudon des Ormes 1899, p. 256). Émile-Guillaume Léonard l'inclut malgré tout dans cette liste (Léonard 1930).
  57. À l’exception de Robert de Beauvais (ou de Saint-Just ?) en 1291 absent chez Léonard
  58. Dans ce document, Robert dit de Beauvais occupe un rang supérieur à Jean de Maimbressy (« Johanne de Membrechy preceptore domûs de Castelleto in Viromandia, nostre diocesis, procuratore substituto a Roberto dicto de Belvaco, presbytero, procuratore generali domûs et fratrum templi ». Trudon des Ormes l'avait initialement inclus dans la liste des commandeurs du Vermandois (Trudon des Ormes 1894, p. 264) et du Ponthieu (Trudon des Ormes 1894, p. 100-101, 111, 181) mais a infirmé ensuite cette hypothèse (Trudon des Ormes 1899, p. 256). Léonard ne le prend pas non plus en compte dans cette liste. On y trouve également Geoffroy de Vichiers, visiteur général des maisons du Temple dans les royaumes de France et d'Angleterre (Trudon des Ormes 1894, p. 349 (doc. 49)).
  59. Róbert de Gudde en 1280 et 1295, Theouron de Provence en 1303. Barletta était le point de départ privilégié pour l'Orient.
  60. On trouve souvent des listes des maîtres en Hongrie avec des noms des maîtres de la province d'Allemagne, notamment Widekind et Friedrich von Alvensleben (de). Il ne semble pas y avoir de chartes mentionnant ces deux maîtres dans le royaume de Hongrie. L'erreur parait prendre sa source chez Dithmar qui désigne le dernier maître d'Allemagne comme « Domorum militiae Templi per Allemaniam et Sclavoniam præceptor »[537] littéralement maître d'Allemagne et d'Esclavonie, information reprise entre autres par l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres[538] bien que les deux ouvrages ne mentionnent pas la Hongrie. On trouve à des périodes concordantes un maître distinct pour chacune de ces provinces et l'expression « Slaviam / Slauiam » apparait systématiquement dans des chartes qui se rapportent aux possessions des templiers dans la marche de Brandebourg, les duchés de Poméranie et dans le royaume de Pologne à savoir en Pologne et dans le nord-est de l'Allemagne d'aujourd'hui.
  61. 1219 d'après Stossek[548] mais la source qu'il indique mentionne 1217[549].
  62. cf. Demurger 2008, p. 370, « locotenente regio in Croatia e Dalmatia »[550]
  63. Vrána (hr), commanderie principale des templiers dans le royaume de Hongrie[534].
  64. Source secondaire provenant des archives de la famille des comtes d'Eberstein (de) dans laquelle ce dignitaire est qualifié de « grand visiteur et commandeur templier », tué en 1230 alors qu'il visitait la Hongrie, « in peripheria Liptoviensi, in monte Mnich ad S. Martinum »[559], près de Liptovský Mikuláš, actuellement en Slovaquie mais qui faisait partie à l'époque du royaume de Hongrie. La titulature de grand visiteur n'était pas en usage à cette période, il s'agit peut-être du visiteur cismarin mais en aucun cas d'un maître de la province de Hongrie. Aucune autre charte ne mentionne ce dignitaire de l'ordre du Temple.
  65. Uniquement 1246 d'après Marie-Luise Bulst-Thiele (Bulst-Thiele 1974, p. 201,note 62), Miha Kosi qui cite Bulst-Thiele (Kosi 2001, p. 160-161, note 116) ou encore Damien Carraz (Carraz 2012, p. 791). On trouve également 1240 dans certains livres dont Carraz dans un précédent ouvrage (Carraz 2005, p. 320), sa source étant E.G Léonard, Gallicarum militiae Templi domorum, 1930, p.16-17 où figure une liste des maîtres deçà-mer et des visiteurs. Il l'était déjà en octobre 1245 lorsqu'il désigne Jacopus de Boscho comme maître de la province d'Italie[568]
  66. Sur le document original consultable aux archives nationales hongroises[570], la date exacte n'est pas visible, on ne voit que la fin: « M M ...(r/n)agesimo » bien que l'espace manquant laisse peu de place pour écrire « quadragesimo » au lieu de « nonagesimo ». Ce document a été daté de 1240 par Wenzel Gusztáv dans le Codex diplomaticus Arpadianus (Wenzel 1869, p. 114 (doc. 73)). C'est également cette date qui est indiquée dans le Codex diplomaticus Regni Croatiae, Dalmatiae et Slavoniae (Smičiklas 1906, p. 121 (doc. 111)). Lajos Thallóczy fut le premier à corriger cette date dans le Codex diplomaticus partium regno Hungariae adnexarum (Thallóczy 1912, p. 23-24 (doc. 16)). Il est officiellement archivé pour l'année 1290 (N° 40197).
  67. L'erreur semble provenir de la mention d'un sceau de Terricus de Nussa en 1237 insérée au milieu d'une liste de sceaux templiers par G. C. Bascapè en 1959 dans son étude des sceaux des ordres militaires et hospitaliers[575], erreur reprise ensuite par Paul de Saint-Hilaire[401]. L'illustration de ce sceau est identique à celui du prieur hospitalier de la langue d'Angleterre, avec le même nom et la même année, qui est conservé au British Museum[576]. Une autre source qui pourrait également prêter à confusion mentionne un Terricus de Nussa comme commandeur templier de Radnage (Angleterre) en 1237[577]. Probablement le même dignitaire hospitalier car Radnage (Radenach) appartenait déjà en partie aux hospitaliers et il n'y a pas de commanderie templière attestée à cet endroit.
  68. Il s'agit de Guillaume de Sonnac[580], maître de l'ordre (1247-1250). Il n'est pas maître en Hongrie. La charte mentionne: « Hec est concordia inita inter Jacobum Teupolum dei gratia inclitum ducem Veneciarum ex una parte, suo nomine et communis Veneciarum, et fratrem Jacobum de Turrisellis ex altera, nuncium venerabilis fratris domini Guilielmi de Sonai magistri domus milicie Templi... ut apparebat per litteras sigillatas dicti magistri, presentibus et consencientibus fratre Harmanno de Burgo praeceptore in Campania et Marchia Tarvisina et fratre Jordano preceptore Oranie et Sennie » (Smičiklas 1906, p. 350-351, doc. 314) ou selon une autre interprétation « fratre Jacobo de Turisellis ex altera, nuntio fratris Guilelmi de Sonar magistri domus militiae Templi, consentientibus fratre Hermano de Burgo praeceptore in Campania et Marchia Tarvisina, et fratre Iordano praeceptore Vranae et Senniae »[581]. Accord entre Jacopo Tiepolo, doge de Venise et le représentant du Temple (envoyé) frère Jacques de Turrisellis, muni d'une lettre ,semble-il scellée, du maître de l'ordre Guillaume de Sonnac en présence et avec l'accord d'Hermann, commandeur en Campanie et dans la marche de Trévise et de Jourdain, commandeur de Vrana et de Szeng.
  69. Bulle du pape Grégoire X en 1275 confirmant les privilèges des templiers en Hongrie et dans laquelle on retrouve les privilèges accordés par les rois successifs de ce royaume, Béla IV de Hongrie, Étienne V de Hongrie, Ladislas IV de Hongrie. Certaines date ne sont pas mentionnées mais Franko apparait clairement en 1268 et après[588].
  70. L'historien Juraj Belaj pense que Guillermus de Peymes, Gwilermus, Guillermus de Suaseto et Guyllermus de Novis sont un seul et même individu[589]. Lelja Dobronić (hr) relève quant à elle que selon les publications la charte de 1292 mentionne Guyllermis de Novis (Smičiklas 1909, p. 98-99 , doc. 79) ou Guyllermis de Peimis (Wenzel 1873, p. 79-80, doc. 57), (Tkalčić 1889, p. 70-71, doc. 82)[539]. Sur l'exemplaire de cette charte dans les archives hongroises (numérisé et consultable en ligne) figure Guyllermis de Novis[590]. Elena Bellomo pense que Guyllermus de Novis est celui qui fut maître de la province d'Italie de 1285 à 1290 (Guiglielmo de Noves)[569] donc un dignitaire distinct de celui qui apparaît en 1286 (Gwilermus) et 1289 (Guillermus de Suaseto) comme maître de Hongrie.
  71. En 1280 tel qu'il figure dans trois documents des registres angevins de Naples[597],[598] et non 1295 comme indiqué dans l'ouvrage de Lelja Dobronić (hr)[539]. Dobronić prenant sa source chez Wenzel Gustáv, deux documents qu'il date à tort de 1295 (N° 152-153)[599], un troisième toujours à propos de ce même Robertus de Gudde étant bien daté de 1280 (N° 80)[600] mais Dobronić ne fait pas mention de ce dernier. La source primaire est pourtant commune à tous ces ouvrages (Registri Angioini Vol. 35 - Carolus I. 1279. B. fo  26-27)[601]. Il s'avère également qu'il se trouve à Naples en 1295 envoyé par Yvan Gürding et de nouveau en qualité de maître de Hongrie[602],[603]
  72. Le document où apparait son nom est daté de 1324[610] mais il fait référence aux privilèges accordés aux templiers en 1286 par Élisabeth la Coumane, reine de Hongrie[611],[612].
  73. il s'agit du prieur de Hongrie de l'ordre dominicain, le document pourrait porter à confusion car il fait référence à des documents émanant de Vilmós de Peymes en 1284 qu'il authentifie[616]. L'expression prior provincialis Hungarie n'était pas en usage chez les templiers.
  74. La Campagne et Maritime était une province pontificale faisant partie de la province d'Italie[625] alors que la terre de Labour faisait partie du royaume de Sicile et dépendait de la province des Pouilles puisqu'on trouve mention d'un précepteur de la baillie des Pouilles et de la terre de Labour, cf. (it) Hubert Houben, « Templari e Teutonici nel Mezzogiorno normanno-svevo », dans Il Mezzogiorno normanno-svevo e le crociate : atti delle quattordicesime giornate normanno-sveve, Bari, 17-20 ottobre 2000, vol. 14, Edizioni Dedalo, coll. « Atti del Centro di studi normanno-svevi dell'Università degli studi di Bari », , 417 p. (ISBN 978-8-8220-4160-9, lire en ligne), p. 261.
  75. Description de la charte (pas de texte original) dans Fedele Savio, Gli antichi vescovi d'Italia dalle origini al 1300 descritti per regioni: la Lombardia, 1932, vol. 2, p. 449 : 17 mai 1205, « Bernardo vescovo di Pavia, ed i suoi canonici confermano a Barocio, maestro della milizia del tempio in Italia, l'investitura dell'ospedale di S. Eustachio un miglio discosto da Pavia ». À priori la donation initiale avec les mêmes protagonistes (il semblerait qu'il s'agisse du même document avec une erreur de date) remonterait à 1201, cf. Robolini, Notizie appartenenti alla storia-della sua patria, 1830, vol. 4, p. 68, lire sur archive.org
  76. Homonyme ou peut-être Henri de Trévise que l'on trouve à partir de 1268 ? Il s'agit du commandeur de Pavie à qui a été donné l'église de San Giacomo di Tortona en 1252.
  77. Titulature inhabituelle pour le milieu du XIIIe siècle: « rector et minister pro Templo in Lombardia », cf. Bellomo 2008, p. 98, 364.
  78. La titulature employée en 1169 ne permet pas d'être certain qu'il n'est maître que de la Lombardie.
  79. Pavie était une commanderie importante et il se pourrait qu'il soit le commandeur de cette baillie en 1268 alors que frère Nicolao est commandeur de la maison du Temple de Pavie car dans l'énumération des commandeurs présents, il figure devant: « fratre Gabriele de Gambalara, fratre Nicolao preceptore domus Papie ». Elena Bellomo n'évoque pas cette éventualité mais s'interroge sur l'absence de titre en 1268[663].
  80. Dans certains ouvrages[686], on trouve le nom de Vasco Bernardes au lieu de Fernandes en référence au dernier maître du Temple du Portugal qui est devenu commandeur de Montalvão. Source primaire non consultée.
  81. (la): præceptore Templi de bajulia de Tholosano. Exemple Bertrand de la Roche qui figure comme témoin en 1218 dans un hommage d'Amaury de Montfort[694].
  82. Les corrections apportées par Damien Carraz sont entre parenthèses. Pour frère Arnaud de Torroge, Damien Carraz indique comme fin l'année 1180 alors que A.J Forey indique 1181. Diffère également pour frère Gérald de Caercino, pour Carraz 1195-1196 alors que A.J Forey n'indique que février 1196. Décalage d'un an pour Guillaume de Montredon (es), 5 ans à partir de 1213 et non pas de 1214 pour A.J Forey. En 1910, Joaquím Miret y Sans a publié une première liste de ces maîtres comprenant également celle des commandeurs des maisons en Aragon et en Catalogne[696]. Liste également disponible chez A.J. Forey qui propose en plus celle des lieutenants de la province.
  83. A.J Forey et Damien Carraz proposent Guy comme prénom, pourrait correspondre à Guigue(s) vu la graphie employée dans cette charte: « Guingo » plutôt que « Guido, Guidonis ».
  84. Guiraldus de Caercino, Templier présent à Arles en 1187[751]. Même individu.
  85. Accord entre les religieux de Maguelone et les templiers de Montpellier[772]. Outre Raimond de Gurb, maître de Provence et parties des Espagnes et Foulques de Montpezat (ca), commandeur de la baillie de Provence, cet accord contient les noms de nombreux autres commandeurs des maisons du Temple dans cette province templière en 1200 réunis à l'occasion du chapitre annuel. Le cartulaire de Maguelone ne contient pas la lettre que l'on trouve dans les registres épistolaires d'Innocent III au sujet du différend opposant la commanderie de Montpellier à ces mêmes religieux fin 1198, contentieux ayant débuté en avril 1197[773] et qui est mentionnée dans cet accord (p. 457).
  86. Pons de Rigalt est la graphie employée par Miret y Sans[696]. Pere d'Urgell ((la): Petro de Urgelli), qui pourrait être un autre dignitaire, est le nom que l'on va trouver dans une des versions d'une charte du 14 mai 1204/05 émise par Pierre II d'Aragon pour la commanderie du Mas Deu[776]. Cette charte a également été publiée avec le nom de Pons de Rigaud[777].
  87. En 1219, ce dignitaire apparaît avec le titre suivant : « Guillelmo de Cerzols, magistro Yspanie » alors qu'il se trouve à Roaix dans le Vaucluse[788]. Maître de la baillie d'Espagne ? Probablement le même individu que William of Sartol mentionné comme lieutenant de la province de Provence et parties des Espagnes en 1219 par A.J Forey et que Guillèm de Fortol, vice-maître de cette même province en 1218-1219 d'après Miret y Sans[148],[696]. Les maîtres de Provence et parties des Espagnes avaient des seconds, un pour la Provence qui est avéré et un pour l'Espagne au sens Aragon & Catalogne ? Sachant que les lieutenants au sens « tenens locum » semblent plutôt se substituer au maître lorsque celui-ci est absent ou dans l'attente de la désignation d'un nouveau maître. A.J. Forey ne précise pas si la liste des lieutenants qu'il propose se rapporte à la province dans sa globalité ou uniquement aux commanderies du royaume d'Aragon. S'il s'agit du même individu, sa présence dans le Vaucluse laisse penser que l'aire d'influence de ces lieutenants couvrait l'ensemble avant la séparation de la province vers 1240. Concernant la titulature de maître d'Espagne, « magistro Yspanie », il ne faut pas confondre avec la maîtrise des trois royaumes d'Espagne qui correspondent à la Castille, au León et au Portugal. On trouve Fernando Díaz au début du XIIIe siècle[789] puis Pedro Alvítiz en 1216 qui sont qualifiés de « magister militie Templi in Hispania » . Pedro Alvítiz étant le premier attesté à porter le titre de maître des « trois royaumes d'Espagne » à partir de 1220[184].
  88. Léonard indique 1207-1214 mais il y a nécessairement eu interruption puisqu'il commandait le Puy-en-Velay en 1210[795] et Pézenas en 1213 puis en 1218-1219.
  89. Astruch de Clairmont dans la liste proposée par Paul de Saint-Hilaire[401] qui semble avoir pris sa source chez Miret y Sans où on trouve Astruch de Clarmont[696]. L'origine de cette graphie semble provenir d'une des versions du Llibre dels fets communément appelé chronique du roi Jacques Ier d'Aragon. Le plus ancien manuscrit connu en catalan contient pourtant Nastruch de Belmont[807]
  90. Ces dignitaires que l'on voit recevoir les premières donations dans l'Agenais sont maîtres de Gascogne, la baillie de l'Agenais n'existe pas encore. La plupart des chartes sont indiquées dans les commentaires se rapportant à chacun de ces dignitaires.
  91. Les dates généralement proposées semblent erronées. À commencer par Jacques Clemens qui indique c.1154-1159[815] mais comme ses recherches sont centrées sur l'Agenais, il a omis Guillaume de Verdun attesté en 1156[812]. Antoine du Bourg indiquait 1155-1158[811], information reprise à l'identique par Monique Sieuzac[816]. La mise au jour d'une charte de 1167 dans les archives d'Argentens[817] montre que ce dignitaire est toujours vivant et décale de facto les débuts supposés de son successeur, Hélie Focald qui n'est alors que commandeur de Cours (Lot-et-Garonne).
  92. La date de donation du fief d'Argentens, point de départ de la future commanderie de ce nom n'est pas connue car la charte n'est pas datée. Antoine du Bourg ne propose pas de date précise (Bourg 1883, p. 381-382) mais indique indirectement entre 1155 et 1158, à savoir la période qu'il donne pour Augier de Bedeisan comme maître de Gascogne (Bourg 1883, p. 25), partant du postulat qu'Hélie Focald lui aurait succédé en 1159 et qu'il est mort entre-temps (Bourg 1883, p. 382-383, XLIX (n°68-B)). Émile-Guillaume Léonard indique également que Augier a été maître de Gascogne avant 1159 et que Hélie Focald lui succède cette année-là[812]. Sachant que Augier est toujours vivant en 1167, actant devant Hélie dans une charte par laquelle Raymond de Bouglon cède la moitié de la dîme de Saint-Hilaire de Cavagnan (Dubourg 2001, p. 48), (Bourg 1883, p. LI (n°72)) et que ce document ne date pas de c.1160 contrairement à ce que pensait Antoine du Bourg. Cette donation est vraisemblablement plus tardive.
  93. Donation par Raymond de Bouglon de la moitié de la dîme de Saint-Hilaire de Cavagnan. Dans l'ouvrage d'Antoine du Bourg, cette charte n'a pas de date (Bourg 1883, p. LI (n°72)). Il indiquait c.1160, antérieur à 1165 (Bourg 1883, p. 402). Or elle date en réalité de 1167 (Dubourg 2001, p. 48) et il existe deux actes qui le prouvent: Archives départementales de Haute-Garonne, Série H, Commanderie d'Argenteins, H MALTEINV 35-36, « Romestaing, Cartulaire n°8 (pièces n°30-31) ». La présence du frère Augier permet d'infirmer certaines dates proposées par Antoine du Bourg, de reconsidérer la période pendant laquelle Augier de Bedeisan est resté maître de Gascogne au-delà de 1167 et montre qu'Hélie n'est encore que commandeur de Cours/Romestaing. Ce dernier part ensuite pour Narbonne la même année[819] et est encore dans cette région en 1171 comme commandeur de Périès[820], ce qui amène à penser que Augier était encore vivant à cette date car Hélie ne semble pas avoir pu être maître de Gascogne avant 1172 et on a la preuve qu'il est bien son successeur peu après la donation de l'église d'Argentens (Bourg 1883, p. XLVIII-XLIX (n°68-B)).
  94. Et non en 1158/59 comme le supposait Antoine du Bourg car toujours vivant en 1167.
  95. Nombreuses incertitudes et informations contradictoires concernant la période exacte pendant laquelle il a été maître de Gascogne. Les dates proposées par Antoine du Bourg en 1883 (Bourg 1883, p. 25) sont invalidées par des publications plus récentes. À commencer par Émile-Guillaume Léonard qui proposait de 1159 [sic] à 1175 (Léonard 1930, p. 82), ce qui infirme les dates généralement indiquées par de nombreux auteurs (1159/61 - 1165/69) sur la base des travaux initiaux d'Antoine du Bourg. Néanmoins les chartes où il apparait en tant que maître de Gascogne ne sont pas datées (cf. les différentes chartes mentionnées dans les commentaires et son parcours) et on constate que d'une part son prédécesseur Augier de Bedeisan est toujours là en 1167[817] et que d'autre part il semble avoir été commandeur de Cours bien après[824] la date généralement admise qui était uniquement 1160/61. La charte de 1167 (donation de Saint-Hilaire de Cavanac pour les templiers de Romestaing) que Antoine du Bourg situait vers 1160 montre qu'Augier occupait un rang plus élevé qu'Hélie et que ce dernier est encore à Cours (Dubourg 2001, p. 48). L'une des autres rares chartes datées de cette période ne précise pas le rang de ce dignitaire mais il semblerait qu'il soit déjà commandeur de Cours/Romestaing (1160) (Dubourg 2003, p. 131). A ceci se rajoute un ensemble de chartes qui le situent dans l'Hérault de 1167 à au moins 1171. Parmi les informations qui viennent contribuer à cette confusion il y a les dates proposées par Antoine du Bourg concernant Gaston de Castelmoron, commandeur de Cours (1175), de Gimbrède (1160-61) et maître supposé de l'Agenais (1176-1180) qui sont également contradictoires. Émile-Guillaume Léonard ne le mentionne pas pour Cours et indique 1175 pour Gimbrède. L' abbé Bénaben indique 1169-1179 comme commandeur de Gimbrède[825]. Hélie et Gaston apparaissent ensemble dans ces deux documents non datés dans lesquels Hélie est maître de Gascogne (chez Antoine du Bourg: n°71, 2°paragraphe où Gaston est commandeur de Cours, n°68, dernier paragraphe où il est commandeur de Gimbrède, aucun document où il est maître de Gascogne...).
  96. Source incohérente (Clemens 1997, p. 26 (note 109)). L'auteur indique comme référence la prise de possession de l'Agenais par Philippe IV le Bel qui a eu lieu un siècle plus tard (1271)[827]. Aucune information sur les archives où se trouve cette charte.
  97. Donation des terres d'Arrivet, Sainte-Quitterie de Rives, aujourd'hui Sainte-Quitterie de Béas? C'est une des chartes qui pose problème car le siège de Castillon, seule indication temporelle du document, a eu lieu en 1161 mais aussi en 1175. Antoine du Bourg pensait à celui de 1161, Émile-Guillaume Léonard à celui de 1175 car c'est la date qu'il donne pour les trois dignitaires templiers présents dans cette charte.
  98. Donation par Raymond de Bouglon de ses terres de Cours-les-Bains. Charte non datée que M. Veilhon situe vers 1160 et qui provient du cartulaire de Cours. Cet auteur mentionne qu'il a été commandeur de Cours de 1160 à 1175 (à tort car il devient commandeur de la baillie de Narbonne de 1167 à 1171). Afin d'éviter toute confusion, cette charte correspond au 1er paragraphe du document n°71 publié par du Bourg, le 2° paragraphe est plus tardif, Hélie est alors maître de Gascogne, « in manu Heliæ Focalt qui tempore illo Magister Vasconiæ » et Gaston de Castelmaurin, commandeur de Cours: « Gastonis de Castelmaurun qui comandator de Curnis existebat ». Gaston de Castelmaurin, également connu comme commandeur de Gimbrède , du temps où Hélie était maître de Gascogne, « dederut Deo et domui Templi terram d'Arrivet post longum tempus annuit Arnaldus Guillelmus Eliæ Folcaudi, Magistro domum tocius Vasconiæ, in domo Agenensi manente comandatore Jordan de la Contrariâ, Gastons de Castedmauron comandatore de Gimbrède » (donation des terres de Sainte-Quiterie de Rives)[832]. Émile-Guillaume Léonard situe le document n°68 (dernier paragraphe) en 1175[812] et l'abbé Bénaben précise que Gaston apparait en tant que témoin dans les archives d'Argentens, avec le titre de commandeur de Gimbrède entre 1169 et 1179[825]. À la vue de ces différentes pièces non datées et publiées par Antoine du Bourg, il y a manifestement des contradictions dans l'analyse que cet auteur en a fait. Les périodes proposées pour Hélie Focald, Gaston de Castelmauron et Jordan de Contraria semblent contradictoires voir erronées. Antoine du Bourg a peut-être été induit en erreur par la mention « Quo tempore Pictavensis Consul insedit Castillon »[832] du document n°68, pensant qu'il s'agissait du siège de Castillon (en) par Henri II d'Angleterre en 1161[833]. Or il s'avère que le château de Castillon au nord-est d'Agen et au nord de Bon-Encontre a été assiégé une deuxième fois en 1175 par Richard, alors comte de Poitiers et futur roi d'Angleterre[834], ce qui permet de corroborer la date indiquée par Émile-Guillaume Léonard.
  99. Ni Hélie Focald ni Pierre de Saint-Jean n'ont de titre précis dans cette charte que l'on trouve dans le cartulaire de Douzens[835] mais Hélie intervient vraisemblablement au titre de commandeur de la baillie de Narbonne et Pierre est connu cette année-là comme maître de la baillie de Carcassonne et commandeur de Douzens (Gérard, Magnou et Wolff 1965, p. XXXIX), la donation du seigneur de Domneuve portant sur des biens dans ces deux baillies. Le château de Domneuve se trouvait au sud-est de Carcassonne et au sud-ouest de Narbonne 42° 53′ 54″ N, 2° 44′ 51″ E .
  100. Le nom de la baillie n'est pas précisé. Nicole de Peña indique baillie de Quercy [sic] contrairement à E.G Léonard qui mentionne la baillie de Gascogne[812]. Peut-être la baillie de l'Agenais comme le pensait Antoine du Bourg[847] car on y voit aussi le commandeur de Cours (Lot-et-Garonne), Bernat Ug et le commandeur de Golfech, Guillaume de Brassac. cf. Liste des commanderies templières en Aquitaine et en Midi-Pyrénées.
  101. Dates établies par déduction. Frère Hugues de Barcelone étant mentionné de 1155 à 1173 en tant que maître (en Provence)[150],[848] et attesté de 1159 à avril 1162 comme maître de Provence et partie des Espagnes[148].
  102. Dans les interrogatoires du procès, on trouve par exemple : « Qui frater Petrus Ultramontanus preceptor magnus Apulee et Ap[rut]ii »[895]. Le titre ne se limite pas aux possessions dans les Abruzzes et les Pouilles actuelles mais bien à l'ensemble du sud de la botte italienne, à savoir la Sicile citérieure (royaume de Naples).
  103. Pas de date précise. Andreas Armani de monte Oderisio indique avoir été reçu du temps où Boniface VIII était pape donc entre 1295 et octobre 1303 par le grand commandeur des Abruzzes et des Pouilles qui était Petrus Ultramontanus et qui est maintenant Oddo de Valdric[897].
  104. « nostre amez frere Lorent de Biame, jadis commandaur de Apuli », extrait d'une lettre adressée à Laurent de Beaune (Laurencius de Belna) au cours du procès à Paris (Michelet 1841, p. 71). Au prime abord, le terme Apuli peut prêter à confusion (notamment dans l'ouvrage de Paul de Saint-Hilaire)[401] mais l'analyse par Alain Demurger de l'ensemble des documents relatifs aux interrogatoires parisiens montre qu'il s'agit en fait du commandeur d'Épailly[900].
  105. Damien Carraz considérait, dans son premier ouvrage (Carraz 2005, p. 306 (note 100)), que Peire et Jaufré de Pierrevert étaient deux individus distincts contrairement à certains historiens italiens. Il évoque l'éventualité que ce puisse être une seule personne dans une parution de 2012: fiche prosopographique de Jaufré de Pierrevert (Carraz 2012, p. 797). À priori, le titre de maître dans les Pouilles et dans les Abruzzes correspond à celui de maître dans le royaume de Sicile. Pendant les interrogatoires du procès à Chypre, le frère Simon de Racanato indique avoir été reçu à Barletta il y a sept ans par Jaufré de Pierrevert, maître de l'ordre dans les Pouilles[911] alors que l'on trouve le nom de Peire de Pierrevert « au-delà des montagnes » dans les interrogatoires qui se sont déroulés dans les états pontificaux et les Abruzzes à peu près aux mêmes dates[912]. Deux individus distincts?
  106. À priori Szydłów (en) puisque la charte émane de l’évêque de Lebus (en), Henri[938] et qu'il s'agit d'un bien dans le duché de Silésie.
  107. A priori, il était déjà templier en 1253. Un frère Widekinus apparait dans une charte de 1253 signée à Magdebourg pendant la maîtrise du fr. Heinrich[944]
  108. Date incertaine qui figure dans certains ouvrages du XIXe siècle. Le premier auteur qui a proposé d'identifier Gebhard comme étant le « Magistro fratibus Domus militie Templi in Teutonia » qui apparait sans être nommé dans une confirmation du pape Grégoire IX en 1238[950] est S. W. Wohlbrück (de) dans Geschichtliche Nachrichten von dem Geschlechte Alvensleben und dessen Gütern, 1819, vol. 1, p. 213[951]. Information reprise par Joseph Hormayr zu Hortenburgen en 1842 lorsqu'il dresse une liste des maîtres de la province d'Allemagne[952]. Même information annotée dans Lehmann et Patzner 2004, p. 19 (note 6).
  109. Paul Vincent Smith indique à tort que fr. Gebhard n'apparait jamais avec un titre régional[954]. Dans la source qu'il cite pour 1244, Gebhard est pourtant mentionné comme « preceptori domorum militie Templi per Alemanniam »[955],[956].
  110. Trois documents en relation avec son frère, Emcho, évêque de Freising. Le premier en langue germanique où il a le titre de « maister Weilent » (p. 454, doc. 413, août 1295), les deux suivants en latin et il y apparaît sans titre particulier (p.460, doc. 419, sept 1297) dont un qui stipule bien qu'il n'est plus maître en Allemagne, « Fridericus quondam magister Templi » (p. 457, doc. 416, oct. 1296)[962]. Dans ce même ouvrage, figure une charte de 1285 où il est maître, p. 429, doc. 392.
  111. Cette charte date bien du 7 mai mais il parait plus plausible que ce soit l'an 1302 et non 1303 car dès avril 1303, on trouve Frédéric de Alvensleben qui est maître de cette province et qui tient un chapitre provincial à Lietzen (Leśnica). Ce maître est sans doute mort peu avant.
  112. Maître ou simplement commandeur de Prague ? Le titre de maître (magister) était généralement réservé aux maîtres de province mais on trouve habituellement l'expression magister domorum templi in... à savoir le maître des maisons du Temple d'une région donnée. Concernant la province d'Allemagne au sens large, fr. Widekind est attesté en 1262[981], 1268, 1271 et 1279[982]. Ces maîtres étant en général nommés pour 4 ans, on ne peut pas affirmer qu'il était à la tête de cette province en 1267 ou qu'il a conservé cette maîtrise sans interruption de 1261 à 1279. Mais on ne peut pas pour autant être certain que Sulislav exerçait une fonction autre que celle de commandeur d'une maison du Temple, en l’occurrence Prague.
  113. Quelques noms des autres templiers présents en Moravie à cette période apparaissent dans d'autres documents de ce même ouvrage: fr. Cuno, fr. Cunradus (Commanderie de Jamolice, 1242)[985]
  114. Pour les templiers de Doncourt et de Pierrevillers (Henry 2006, p. 98). Concernant ceux de Norroy et de Marbotte en 1228 (Roger 2001, p. 112). Déjà en 1160 pour la commanderie de Marbotte mentionné par Auguste Digot (Digot 1868, p. 278-279). À priori ce serait Guillaume Pavet mais l'auteur ne le précise pas. On voit aussi le commandeur de Bourgogne et de Lorraine Aymon Oisiliers intervenir en 1300 (Clouët 1870, p. 80).
  115. Guillaume de Mallain qui n'est autre que Guillaume de Malay, le commandeur de la province de France entre 1283 et 1285 (Demurger 2008, p. 162, 313). Auguste Digot supposait à tort qu'il était commandeur de Brouvelieures (Digot 1868, p. 285) et Michel Henry indique qu'il était peut-être maître de Lorraine (Henry 1998, p. 111).
  116. Dans les interrogatoires du procès de l'ordre, Aymon d'Oiselay est presque toujours cité comme Maréchal de l'ordre, rang qu'il occupait au moment de l'arrestation des templiers mais aussi comme commandeur de la bailli de Bourgogne (Burgtorf 2008, p. 463-464)(Schottmüller 1887, p. 169 (n°6), 199 (n°49)) en 1303. Il apparaît également dans des documents relatifs aux templiers de Lorraine ⇒ En 1296, Jean Haimmes d'Oixeleir (Huguenin 1853, p. 20) ; En 1300, frère Hennes d'Oixelier ou d'Oiseley (Clouët 1870, p. 80) ; En 1302, Aymon du Zelet (Henry 2006, p. 72) à chaque fois commandeur de Lorraine. Michel Henry mentionne, sans doute à tort, Aymon du Zelet comme commandeur de Virecourt (1298-1302)(Henry 2006, p. 75). Une autre charte de 1302 où l'on voit frère Hannes, maître et commandeur de la baillie du Temple [Il s'agit toujours d'Aymon Oiselay] confirme ce regroupement entre la Lorraine et la Bourgogne puisqu'on y trouve la mention des commandeur de Xugney, Pierrevillers, Metz et La Laigne en Bourgogne (Hammerstein 1895, p. 24 (n°72)). Pierre-Vincent Claverie a publié un article sur ce dignitaire[1011] (source non consultée) tout comme Jochen Burgtorf mais ce dernier ne mentionne pas la période en Lorraine[443].
  117. Erreur initiée par Digot 1868, p. 287 et reprise par Michel Henry (Henry 2006, p. 72, 75) qui le qualifie pourtant bien de maître de Lorraine (Henry 2006, p. 97) sur la base d'un acte de février 1239 qui concerne la commanderie de Norroy et dans lequel son titre est bien celui de maître de Lorraine (Bonnardot 1873, p. 247), (Philippe et Florence 2004, p. 183).
  118. Accord de paix entre les templiers de Lorraine et Wacelon d’Avilliers: p. 17, onzième charte. Y figure également Raoul d'Apremont: « par l'o_troi et par lo crant de freire Rou d'Aspremont, et des altres freires ». La commanderie de Marbotte n'est pas explicitement citée mais comme cette charte provient du cartulaire de Marbotte, on peut supposer que Raoul d'Apremont en est alors le commandeur.
  119. (la): præceptor domorum Templi de Mucia et de Ballivia, præceptor de la Musce et de Belleville. E.G Léonard pense que cela correspond à la baillie de Bourgogne.
  120. Michel Henry indique 1264-1287 (Henry 2006, p. 72) sans interruption mais cette proposition paraît infondée, tout comme celle d'Hammerstein: 1275-1288 (Hammerstein 1895, p. 6) mais elle est partagée par Jean-Marc Roger 2001, p. 114. La pierre tombale du frère Jean (oratoire de Metz) suggère que ce dernier a été maître de Lorraine de 1275 à février 1288, 13 ans (Trapp et Mercier 2008, p. 41). Frère Martin retrouve éventuellement ce rang à la suite de son décès avant de céder la place à Jean de Mars (1289). On retiendra plutôt les dates données par Émile-Guillaume Léonard, à savoir 1269-1274 sachant qu'il a lu la publication d'Hammerstein. Commandeur de Metz Durant l'intervalle ? Il faudrait pour cela vérifier deux documents mentionnés par Hammerstein relatifs à la commanderie de Metz et dans lesquels Martin apparaît car il indique qu'il y figure comme « maître de Lorraine »: 1275 et 1277 (Hammerstein 1895, p. 18, n°32 et 34) provenant de l'inventaire des titres de la commanderie magistrale du petit Saint-Jean de Metz, f.12-13, anciennes archives du grand prieuré de Champagne (Voulaines), aujourd'hui archives de Moselle, série H 4601, registre de Voulaines, n°16 et 19. La note descriptive de ces deux documents a été reprise par Michel Henry (Henry 1998, p. 256, n°127 et 129) mais pas le texte original.
  121. Il existe un 3° acte pour 1271: traité de réconciliation entre Martin, commandeur de la baillie de Lorraine et le chapitre de Saint-Dié, cf. N. F. Gravier, Histoire de la ville épiscopale et de l'arrondissement de Saint-Dié, Épinal, 1836, p. 157, lire sur Google Livres.
  122. Archives départementales de la Meuse, 4 H 6, p. 222. Charte issue d'un recueil de copies du XVIIe siècle que Jean-Marc Roger qualifie de suspecte (Roger 2001, p. 113, note 6-7). Peut-être une simple erreur de date du copiste ? À rapprocher éventuellement de la période du frère Jean qui fut maître pendant treize ans et qui est mort en février 1288[1042]. Cette charte pourrait plutôt dater de 1284 puisque frère Martin est formellement attesté entre 1269 et 1274.
  123. Michel Henry considère à tort que le frère Hannes mentionné par Hammerstein et Aymon du Zelet qui apparaît dans les pièces du procès (Aymo deu Zelet, Michelet 1851, p. 268) sont deux individus distincts[1017]. La période 1296-1306 proposée par Hammerstein[1027] va un peu trop loin mais il s'agit bien de Aymon d'Oiselay que l'on trouve déjà en 1296[1048]. On trouve ensuite Henri de Vauquelours en 1304 puis frère Demanges, dernier commandeur connu en 1306, Cf. (Roger 2001, p. 115).
  124. Information donnée par Michel Henry sur la base d'une assertion qu'il tire des interrogatoires publiés par Michelet: Dans Itinéraires templiers en Lorraine, p. 126, il parle de l'interrogatoire du « frère Gérard, sergent du Temple de la commanderie de Virecourt qui indique avoir été reçu par Aymon d'Oyselier, commandeur » or la référence qu'il mentionne correspond à l'interrogatoire du frère Raynaldus Belli Pili , reçu à Payns par Jean de Mars et qui indique avoir assisté à la réception de frère Gérard dans la chapelle de Virecourt par Aymon d'Oiselay mais il ne précise pas qu'il en était le commandeur (Michelet 1851, p. 267-268). Dans Les ordres militaires en Lorraine, p. 75, on constate la même assertion, Michel Henry partant du principe qu'il ne devient maître de la baillie qu'en 1302 et qu'il était commandeur de Virecourt avant, au moins depuis 1298 lorsqu'il est aux côtés d'Hugues de Pairaud toujours sur la base des pièces du procès (Michelet 1851, p. 263-268). Mais qu'il s'agisse de l'interrogatoire du frère Johannes de Chali ou de celui de Raynaldus Belli Pili, jamais ils ne précisent son rang et encore moins qu'il était commandeur de Virecourt. Il était déjà commandeur de la baillie de Bourgogne et de Lorraine et non de cette maison.
  125. Charte du frère Domange du 05 janvier 1306 relative à un don fait aux templiers et à une prébende accordée par lui et dans laquelle on trouve le nom de plusieurs commandeurs: qu'alors estoient Commandeur, Scavoir, à Lineyville, seigneur Henri, Aumosnier du duc de Lorraine, Frere Louis à Gilocourt, Freire Piere Commandour de nostre Maxon de Mes & de Pierrevillers. (François et Tabouillot 1781, p. 244). Jean-Marc Roger en déduit qu'il devait déjà être maître de la baillie de Lorraine bien que son titre ne soit pas précisé (Roger 2001, p. 115 (note 10))
  126. Archivo Histórico Nacional, Tumbo Menor de Castilla, nº 101, pp. 337- 339. Publié dans O'Callaghan, Hermandades between the Military Orders[1113], publication partielle dans Mascareñas, Apología en 1651[1114].
  127. « quinque regnis Hyspanie » soit les cinq royaumes d'Espagne. Avis divergents selon les auteurs quant à l'aire géographique concernée. La source dans laquelle est publiée cette charte indique que cela correspond à: Portugal, León, Castille, Aragon et Navarre[1124] mais ce n'est pas l'avis de Gonzalo Martínez Díez qui infirme cette hypothèse (León, Castille et Portugal uniquement)[1125]. Ferdinand III de Castille était roi de Castille depuis 1217 et du León à partir de 1230 reformant ainsi la couronne de Castille.
  128. L'acte où il apparaît ne serait pas de 1239 mais de 1228 d'après Pereira Martínez[186] qui se base sur l'édition révisée de l'ouvrage de Viterbo par Mário Fiúza[1129]. José Manuel Capêlo n'est pas de cet avis, le donne comme maître des trois royaumes de 1239 à 1242, élu lors d'un chapitre en mai 1239, il ne mentionne qu'un seul acte en juin 1239 relatif à la donation faite à Fonte Arcada (pt) par Froilhe Hermigues (Fruíla Ermiges) de Lauredo ((la): « quam habeo in Lauredo prope Caldis de Arregos »[1130]. À priori Louredo de Baixo, Miomães (pt)) près de Caldas de Aregos (pt)), Santa Olaia (pt) et Cinfães[1131]. Froilhe Hermigues ayant déjà donné Vila Franca de Xira[1112],[1132] et toutes ses possessions en Castille et au Portugal en 1228[1133]. Les sources primaires ont été publiées dans un ouvrage du XVIIIe siècle (Bernardo da Costa, 1771), deux documents tous deux datés de 1277[1134] dans le calendrier julien, donc 1239.
  129. Date indéterminée, les retraits relatifs à cet événement ne mentionnent pas de date[185] mais postérieur à juillet 1239 et antérieur à la nomination de Martín Martínez qui est attesté en 1241.
  130. « Et quant il fu mort frere Adam dist que il estoit en luec de Comandeor, et frere Reimont de Lunel dist qu'il avoit esté avant de lui, et sur ce orent contrast; »[185]
  131. À partir de juin 1247 si on suit l'opinion de Carlos Pereira Martinez[208] qui prend sa source chez Viterbo[1143] sachant que ce dernier cite le Torre do Tombo, Leitura Nova, liv. 53 (Livro de Mestrados), fol. 36. La classification des archives nationales portugaises a été modifiée depuis, le « livre des maîtres » ayant été numérisé (lire en ligne) mais la charte relative à la donation de Maria Paes dans laquelle il apparaît (fol. 36) semble avoir été perdue ou tout au moins n'a pas été numérisée, cf. l'index des documents numérisés et rattachés à ce livre (même lien). Les historiens portugais proposent 1248[1144],[1145] comme année d’élection partant du principe qu'il n'aurait remplacé Martim Martins (Martín Martínez) qu'à la suite de son décès en avril/mai 1248 (après 9 mois de siège) pendant le siège de Séville. Rien ne permet d'affirmer que Martín Martínez était toujours maître des trois royaumes pendant ce siège, tout au moins on sait qu'il y a participé et qu'il y a été tué grâce à une chronique de l'époque[1137], une autre chronique confirmant la présence autour de Séville de Pedro Gómez, maître des trois royaumes le 05 mai 1248[1146].
  132. Officiellement il est resté maître des trois royaumes jusqu'en 1288 mais dans les faits, Gómez García est le seul à acter en Castille et León à partir de 1285 bénéficiant de l'appui du nouveau roi Sanche IV de Castille[187].
  133. Nombreuses sources contradictoires[176],[1112],[1114],[1164],[1165],[1166],[1162],[1167].L'opinion des historiens portugais est qu'il était maître de Portugal de 1224 à 1229 et des trois royaumes d'Espagne[205] mais ce n'est pas l'avis des historiens espagnols notamment Pereira Martínez[1098].
  134. Donation de Froilhe Hermigues dont on peut consulter l'original aux archives nationales du Portugal[1133] ou lire la transcription dans Costa 1771, p. 265-266 (doc. 49). Il préside également le chapitre provincial de l'ordre à Castelo Branco cette année là[1112]. On trouve également mention de ce maître dans les archives de l'ordre de Calatrava en tant que maître en Castille et León[1114] à priori en 1228[1169].
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