Commanderie de Temple-sur-Lot

La commanderie de Temple-sur-Lot[1] ou Commanderie de Brulhes, Temple du Breuil[2] ou encore Temple d'Agen se situe dans le département de Lot-et-Garonne à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Villeneuve-sur-Lot, en bordure du Lot, commune de Temple-sur-Lot.

Commanderie de Temple-sur-Lot
Présentation
Fondation Templiers
Reprise Hospitaliers 1312
Protection  Inscrit MH (1952)
Géographie
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Ville Le Temple-sur-Lot
Coordonnées 44° 22′ 46,3″ nord, 0° 31′ 27,2″ est
Géolocalisation sur la carte : Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : France

Historique

L'ordre du Temple a été fondé à Jérusalem, en 1118, par Hugues de Payns et quelques chevaliers, près du temple de Jérusalem. Le concile de Troyes entraîna la rédaction de la règle de l'Ordre inspirée de la règle de saint Benoît appliquée par les cisterciens et de la règle de saint Augustin du chapitre de l'ordre canonial régulier du Saint-Sépulcre. L'ordre est reconnu par le pape Innocent II par la bulle Omne datum optimum a été fulminée le . Leur costume était un habit blanc auquel le pape Eugène III a ajouté une croix rouge en 1146.

Les Templiers s'établirent d'abord à Agen pendant l'épiscopat d'Hélie de Castillon, évêque d'Agen entre 1149 et 1182, probablement vers 1154. Ils s'installèrent dans la maison dite de Sainte-Quitterie d'Agen, près de la porte Sainte-Quitterie. Le premier commandeur d'Agen serait Jourdain de la Contraria en 1161 ou plutôt en 1175[5]. La commanderie aurait été fondée à la suite d'un don de Rainfroid Ier de Montpezat[6].

Dès que le Temple de Bruhles fut achevé sur les bords du Lot, à la fin du XIIe siècle[7],[8], les maîtres de l'ordre établis à Agen y déplacèrent assez rapidement le siège de leur commanderie[9]. Le premier bâtiment a un plan rectangulaire. Il est construit en pierre de taille, divisé par un mur de refend longitudinal.

Après la construction du château du Temple, des constructions vinrent s'établir autour. Aussi les maîtres de la commanderie choisirent-ils d'établir une bastide, au XIIIe siècle par une charte de paréage dont on ne connaît pas la date, passée entre le roi et le commandeur du Temple. Le roi se chargea d'établir les fortifications contre la moitié de leur basse juridiction et différents autres droits. La muraille de la bastide s'est élevée malgré les protestations du seigneur de Montpezat qui prétendait avoir des droits sur les lieux.

Le , le seigneur Guillaume Amanieu de Castelmoron-sur-Lot s'est rendu au temple de Brulhes pour se dessaisir en faveur de l'ordre du Temple de la seigneurie qu'il avait sur une partie du territoire des Templiers, du droit de péage qu'il prélevait sur terre et sur l'eau, de l'impôt de passage sur le Lot qu'il prélevait pour moitié avec le monastère de Fongrave, plus des dîmes sur des chapelles.

L'importance des biens reçus par le Temple de Brulhes vont amener leurs commandeurs à réclamer pour eux la succession des maîtres de la baillie d'Agen. Le Grand-maître du prieuré de Toulouse va choisir de transmettre ce titre au commandeur de Castelsarrasin.

Les Templiers avaient de nombreux biens en Agenais, en plus de la Maison Sainte-Quitterie d'Agen et du Temple de Brulhes : la forteresse de Sainte-Foy-de-Jérusalem près de Pont-du-Casse dont il reste l'église Sainte-Foy-de-Jérusalem, à Sauvagnas, à Golfech, à Saint-Sulpice-de-Rivalède, sur les bords de la Lède, à Saint-Jean-de-l'Herm (sur le territoire de Villeneuve-sur-Lot), à Port-Sainte-Marie où il reste l'église Saint-Vincent-du-Temple, le château de Bedat, près d'Agen, le château de Gavaudun mais où l'évêque de Périgueux, Jean Ier d'Assida les a assiégés et a rasé le château en 1160.

En 1309, toutes les possessions de l'ordre en Gascogne et en Guyenne sont saisies par le pape Clément V. Il en a d'abord confié la garde à l'évêque d'Agen, Bernard de Farges, puis au roi Philippe le Bel. Le concile de Vienne, en 1312, trancha pour transmettre les biens des Templiers aux Hospitaliers de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, sauf l'église de Port-Sainte-Marie.

La maison-mère de l'Ordre dans le sud de la France était le grand prieuré de Saint-Gilles dont dépendaient de nombreuses « commanderies hospitalières », dont celle de l'Agenais.

Le bâtiment est incendié dans les dernières décennies de la guerre de Cent Ans. Un nouveau bâtiment est construit en brique entre 1485 et 1510. Un premier logis avec tour d'angle est construit à l'est. Puis il est doublé côté ouest avec une tour hors œuvre servant d'escalier à vis. Les fenêtres, les portes et les cheminées doivent dater de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle. Ils ont probablement été faits avant le rattachement de la commanderie de Brulhes à celle de La Cavalerie. Une enceinte fortifiée par des tours et munie de canonnières datant du XVIe ou XVIIe siècle ferme la cour.

Entre 1506 et 1650, le Temple de Brulhes et la Maison d'Agen sont réunis à La Cavalerie.

La commandeur d'Agen et celui du Temple de Brulhes avaient de nombreux biens qui pouvaient donner lieu à des contestations. On voit ainsi Honorat de Savoie, seigneur de Montpezat faire un procès au commandeur au sujet de Dominipech, jusqu'en 1557, les consuls d'Agen engageaient en 1533 un long procès avec les Hospitaliers concernant leurs biens dans le quartier de Sainte-Quitterie et autour qu'ils voulaient taxer. Ce procès n'a pris fin qu'en 1608 au profit des droits des Hospitaliers.

L'éloignement des commandeurs avait entraîné leurs vassaux à ne plus respecter leurs droits. Quand le commandeur Denys de Polastron de la Hillière, ambassadeur de l'Ordre auprès du Saint-Siège, visita la commanderie de l'Agenais, il vit que les paysans chassaient sur ses terres comme s'ils en étaient les seigneurs. Tentant de rétablir l'ordre, il se heurta à leur révolte. Il fit alors appel au roi. Le roi Louis XIII fit placer des panneaux fleurdelisés sur les terres de la commanderie de Brulhes par Jean Rigal, commandeur de Goutz.

En 1650 la commanderie du Temple de Brulhes est rétablie. Les commandeurs du Temple de Brulhes « jouissaient d'une sorte de suprématie sur les maisons de l'Ordre de la contrée ». On lui a adjoint l'hôpital de Sauvagnas. L'église Sainte-Quitterie d'Agen étant abandonnée, le commandeur de La Cavalerie conclut un accord avec les pénitents gris d'Agen en 1601 pour leur en donner la jouissance tout en conservant la propriété. Cet accord a été dénoncé par les pénitents gris en 1633. L'église Sainte-Quitterie d'Agen a alors été abandonnée pendant plus d'un siècle. L'église Sainte-Quitterie, le cloître et la tour ont été détruits par l'évêque d'Agen en 1753 pour y construire une Maison du Refuge pour recevoir les filles de mauvaise vie de la ville et de la province. Le commandeur passa un bail pour l'enclos de Sainte-Quitterie au profit de l'évêque d'Agen le [10]. L'enclos Sainte-Quitterie est resté possession des Hospitaliers jusqu'à la Révolution.

La commanderie est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis le [1].

Commandeurs de la baillie (templiers)

Maître Période de maîtrise Commentaires
Commandeurs de la baillie de Brulhes (Breuil)[N 1]
fr. Guillaume de Cantamerle1267[11](la): Guillelmus de Cantamerle
26 février 1267: « ? »

Commandeur de Monricols (1255)
[12]
Commandeur de Golfech (1269, 1270, 1277-1278)[13]
fr. Raymond de Cantamerle1281[N 2](la): Raimundus de Cantamerle

Commandeur de Bruhles (1268, 1281)
[13],[16]
fr. Ripert du Puy1284[13](la): Ripertus de Podio, del Pug
1284: « commandayre de las mayos [de la cavalaria] del Temple entre Garona et Dordonha »
[17]

Commandeur de Richerenches (1284)[N 3]
Commandeur de Saint-Gilles (1287-89)
Commandeur de Montfrin (1289)
[18]
Tenant lieu de maître de la province de Provence (1292)[N 4]
fr. Bertrand de la Selve1288-1290[19](la): Bertrandus de la Selva, de Silva
(fr): Bertrand de la Seauve, Bernard[sic] de la Selva
[N 5]
1289: « fratri Bertrando de Silva preceptori dictorum domorum inter Garonam et Dordoniam »[20]
1290: « comandaire del Temple de Brulhs e de las autras mayos del Temple que son entre Guarona e Dordonha »[13]

Reçu vers 1280 à Montpellier par Roncelin de Fos[21]
Commandeur du Puy-en-Velay (1291)[22]
Commandeur du Ruou (1307)
fr. Guillaume Bernard de Laymont1298[11](la): Guillelmus Bernardus de Laymonte
(fr): Bernard de Léaumont, de Leymont


Commandeur de Saint-Léon (1281, 1284)[13],[23]
Commandeur de Toulouse (1293, 1297)[13]
Commandeur d'Agen (1298)[13],[24]
Commandeur de Golfech (1292[25], 1300)[13]
  1. Possessions templières situées entre la Dordogne et la Garonne, au nord d'Agen (Chaumié 1931, p. 283-284). Ne pas confondre avec la baillie d'Argentens, possessions templières dans l'Agenais mais au sud de la Garonne
  2. Monique Sieuzac l'inclut dans les commandeur de l'Agenais[14]. Cette année-là, il est commandeur de Bruhles d'après Antoine du Bourg et Émile-Guillaume Léonard[15] donc des commanderies situées entre la Dordogne et la Garonne, pas des possessions du Temple sous la Garonne qui dépendaient d'Argentens
  3. Impossible de déterminer sans les dates précises des chartes s'il était commandeur de Richerenches avant de devenir commandeur de cette baillie ou après.
  4. La locution latine correspondante est « Locum tenens ». Il ne s'agit pas d'un lieutenant au sens actuel de ce terme qui correspond un subordonné permanent chargé de certaines tâches (le compagnon). Le Tenant lieu, toujours un templier avec un rang moins important, prenait ce titre durant l'absence du titulaire ou actait comme tel en attendant la nomination d'un nouveau dignitaire à la suite d'un décès par exemple. Il arrivait aussi que le dignitaire soit mandaté pour une mission particulière à l'extérieur de sa province, convoqué à un chapitre général de l'ordre ou tout simplement absent car il a dû se rendre au couvent de l'ordre en Orient.
  5. L'hypothèse que son nom latin Selva / Silva se rapporte à La Seauve a été proposée par Auguste Chassaing (Chassaing 1882, p. XIX). Jacqueline Chaumié (Chaumié 1931, p. 284) et Monique Sieuzac (Sieuzac 2007, p. 108), qui reprend strictement les informations de madame Chaumié, lui ont donné le prénom de Bernard mais les chartes de 1289-90 semblent montrer que son prénom est en fait Bertrand (Léonard 1930, p. 88) (Chaumié 1931, p. 291), cf. les commentaires. Antoine du Bourg lui donne également comme prénom Bertrand (Bourg 1883, p. 349) et Jacqueline Chaumié parle de Bertrand de La Selve lorsqu'elle mentionne le document qui montre qu'il était déjà commandeur de Brulhes en mars 1288 (Chaumié 1933, p. 156).

Organisation

Notes et références

  1. « Ancienne Commanderie des Hospitaliers de Jérusalem », notice no PA00084256, base Mérimée, ministère français de la Culture
  2. « Commanderie de templiers, puis d'Hospitaliers dite le Temple de Brulhe ou du Breuil », notice no IA47002674, base Mérimée, ministère français de la Culture
  3. (la) E.G Léonard, Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale suivi d'un tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs, E. Champion, , xv-259 p.
    Chapitre sur les maisons du Temple en Provence
  4. (en) Nicholas Vincent, «  The Plantagenêts and the Agenais (1150-1250)  », dans Martin Aurell, Frédéric Boutoulle, Les Seigneuries dans l'espace Plantagenêt (c.1150 – c. 1250), Éditions de Boccard, coll. « Études d'Ausonius », , 471 p. (ISBN 978-2-3561-3020-4, présentation en ligne), p. 424
  5. 1161 est l'information généralement répandue sur la base des travaux d'Antoine du Bourg (Bourg 1883, p. 349, 383) à partir d'une charte non datée dans laquelle on trouve « in domo Agenensi manente comandator Jordan de la Contrariâ » avec comme indication temporelle « Quo tempore Pictavensis consul insedit Castillon, Êlia de Castillon manente Episcopo Agenensi » (Bourg 1883, p. XLIX (n°78)) donc à l'époque du siège de Castillon (en) par le « consul » de Poitiers, du temps où Hélie de Castillon était évêque d'Agen. Émile-Guillaume Léonard qui a dressé une liste des dignitaires du Temple à partir du fonds d'Albon mentionne ce commandeur pour l'année 1175 au même titre que les autres templiers qui figurent dans cette charte: Hélie Focald, maître de la baillie de Gascogne et Gaston de Castelmauron, commandeur de Gimbrède[3]. Il y a eu deux sièges du château de Castillon près d'Agen[4], le plus connu par Henri II en 1161, le second en 1175 par Richard Cœur de Lion, qui était alors comte de Poitiers.
  6. « Inventaire général : Commanderie de templiers, puis d'hospitaliers dite le Temple de Brulhe ou du Breuil », notice no IA47002674, base Mérimée, ministère français de la Culture
  7. Philippe Lauzun, Les couvents de la ville d'Agen avant 1789 : Couvents d'hommes., vol. 1, Nabu Press, 1889 (2011), 2e éd., 490 p. (ISBN 978-1-271-11831-1), chapitre 2
  8. Pierre Vidal, Hospitaliers et templiers en France méridionale : : le Grand Prieuré de Toulouse de l'Ordre de Malte, CNRS FRAMESPA, , 237 p., p. Commanderie de Bruhles (page 121)
  9. Bourg 1883, p. 337
    Nota : il y a une erreur dans ce texte, qui place le Temple de Brulhes dans la vicomté de Bruilhois.
  10. Philippe Lauzun, Le Refuge ou la Maison du Bon Pasteur à Agen, p. 97-117, Revue de l'Agenais, 1892, tome 19 ( lire en ligne )
  11. Chaumié 1931, p. 283-284
  12. Léonard 1930
    « G. de Cantamerle, Comandaire de la maio de Monricols »
  13. Léonard 1930, p. 82-83, lire sur templiers.net
    Maîtres de Gascogne, maisons du Temple dans le Gers, Maîtres de l'Agenais et les commandeurs d'Argentens: « domorum Templi in Vasconia, magistros Vasconiæ & Domus in Agennensibus et Vasatensibus, preceptori et fratribus militie Templi Agennensis etc... »
  14. Monique Sieuzac, Templiers et Hospitaliers dans le Lot-et-Garonne, Coudray-Macouard, Cheminements, , 156 p. (ISBN 978-2-84478-553-4, présentation en ligne), p. 11, 18
  15. Léonard 1930, p. 83 ; Bourg 1883, p. 349
  16. Chaumié 1931, p. 284 (note 2), lire en ligne sur Gallica
  17. (it) Barbara Frale, « L'interrogatorio ai Templari nella Provincia di Bernardo Gui : un'ipotesi per il frammento del Registro Avignonese 305 », dans Dall'Archivio segreto vaticano : miscellanea di testi, saggi e inventari, vol. 1, Archivio segreto Vaticano, , 686 p. (ISBN 978-8-8850-4250-6, présentation en ligne), p. 246 ; Léonard 1930, p. 83
  18. Damien Carraz (préf. Alain Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales / 17 », (ISBN 978-2-7297-0781-1, lire en ligne), p. 311
  19. Jacqueline Chaumié, « De quelques Commanderies de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem en Agenais: Sauvagnas et le Temple de Breuil et leurs dépendances (1235-1550) : Vicairie perpétuelle », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 60, , p. 156, lire en ligne sur Gallica ; Léonard 1930, p. 83
    Émile-Guillaume Léonard indique uniquement 1289-90 mais le document mentionné par Jacqueline Chaumie permet de faire débuter cette période à au moins mars 1288.
  20. Chaumié 1931, p. 291 (note 3) ; Charles Bémont, Rôles gascons transcrits et publiés par Charles Bémont : 1273-1290, t. II, , 588 p. (lire en ligne), p. 431 (n°1393)
  21. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple en Syrie, en Chypre et en France d'après les pièces du procès : X - Auvergne et Limousin », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 578 ; Étienne Baluze, Procès des Templiers, vol. 396 (Recueil de pièces), BNF, coll. « Manuscrits de la collection Baluze » (présentation en ligne), pièces n°4, 19, 33 ; Procès à Allais/Nîmes (interrogatoire):(la) Léon Ménard, « Preuves de l'histoire de la ville de Nîmes », dans Histoire civile, ecclésiastique, et littéraire de la ville de Nismes, t. I, (lire en ligne), p. 192,201-202,212
    Interrogé en 1310, reçu 30 ans auparavant
  22. (fr + la) Auguste Chassaing, Cartulaire des Templiers du Puy-en-Velay, (lire en ligne), p. 72-73 (n°44)
    12 mars 1291: « domino fratri Bertrando de Silva, preceptori domus milicie Templi Aniciensis »
  23. (fr + la) Jacques Clemens, « La rumeur agenaise de l'enfermement templier au début du XIVe siècle », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 124, no 1, , p. 28 (note 120) (présentation en ligne)
    21 juillet 1284: « W. Bernard de Leimon, comandaire de la maizon del temple de Sent Leu »
  24. Chaumié 1931, p. 292
  25. François Moulenq, Documents historiques sur le Tarn-et-Garonne : diocèse, abbayes, chapitres, commanderies, églises, seigneuries, etc, (présentation en ligne), p. 56
    06 fév. 1292: Bernard de Laymont (Léaumont), à Valence.

Annexes

Bibliographie

  • Jacques Pons et Michel Daynès, « Le Temple-sur-Lot (Lot-et-Garonne): La commanderie », Archéologie médiévale, t. 22,
  • Jacqueline Chaumié, « De quelques commanderies de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en Agenais - Sauvagnas et Le Temple-de-Breuil et leurs dépendances (1235-1550) », Revue de l'Agenais, t. 58, , p. 269-295, lire en ligne sur Gallica
    Histoire des commanderies (I) - Des origines à la guerre de cent ans
    • Jacqueline Chaumié, « De quelques commanderies de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en Agenais - Sauvagnas et Le Temple-de-Breuil et leurs dépendances (1235-1550) », Revue de l'Agenais, t. 59, , p. 123-153, lire en ligne sur Gallica, p. 257-279, lire en ligne sur Gallica
      Histoire des commanderies (II) - De la suppression de l'ordre du Temple à la fin de la guerre de cent ans
    • Jacqueline Chaumié, « De quelques commanderies de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en Agenais - Sauvagnas et Le Temple-de-Breuil et leurs dépendances (1235-1550) », Revue de l'Agenais, t. 60, , p. 145-168, lire en ligne sur Gallica, p. 201-233, lire en ligne sur Gallica, p. 294-314,lire en ligne sur Gallica
      p. 145: Vicairie perpétuelle; p. 201: Droits de juridiction; p. 294: Exploitation du domaine réservé
    • Jacqueline Chaumié, « De quelques commanderies de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en Agenais - Sauvagnas et Le Temple-de-Breuil et leurs dépendances (1235-1550) », p. 81-90, 148-164, 226-246, 312-332, Revue de l'Agenais, 1934, tome 61 , lire en ligne sur Gallica
      p. 81: Histoire de l'exploitation des terres (suite); p. 148: Conditions économiques; p. 226: La culture
    • Jacqueline Chaumié, « De quelques commanderies de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en Agenais - Sauvagnas et Le Temple-de-Breuil et leurs dépendances (1235-1550) », p. 65-82, Revue de l'Agenais, 1935, tome 62, lire en ligne sur Gallica
      (Suite et fin); Commerce
  • Philippe Lauzun, Les couvents de la ville d'Agen avant 1789 : Les templiers - Les Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, p. 97-115, Revue de l'Agenais, 1886, tome 13 ( lire en ligne )
  • Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p. 337-350, lire en ligne sur Gallica

Articles connexes

Liens externes

  • Portail des monuments historiques français
  • Portail de l'ordre du Temple
  • Portail de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
  • Portail de Lot-et-Garonne
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.