Golfech
Golfech [ɡɔlfɛʃ] (en occitan Golfuèg) est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Golfech | ||
![]() Centrale nucléaire de Golfech. | ||
Administration | ||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | |
Département | Tarn-et-Garonne | |
Arrondissement | Castelsarrasin | |
Intercommunalité | Communauté de communes des Deux Rives | |
Maire Mandat |
Pascal Benoit 2020-2026 |
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Code postal | 82400 | |
Code commune | 82072 | |
Démographie | ||
Gentilé | Golféchois | |
Population municipale |
1 009 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 104 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 44° 06′ 53″ nord, 0° 51′ 07″ est | |
Altitude | 48 m Min. 47 m Max. 71 m |
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Superficie | 9,72 km2 | |
Type | Commune rurale | |
Unité urbaine | Valence (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | ||
Départementales | Canton de Valence (Tarn-et-Garonne) | |
Législatives | Deuxième circonscription | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | ||
Site web | Site officiel | |
Ses habitants sont appelés les Golféchois.
Géographie
Commune située en Agenais sur la Garonne entre Agen et Castelsarrasin
Ce site est connu pour la centrale nucléaire de Golfech, de 2 tranches de 1 300 MW. Cette centrale est vivement contestée par les écologistes locaux. Elle possède les tours de réfrigération les plus hautes d'Europe (178,5 m) en raison de la configuration de la vallée de la Garonne.
Communes limitrophes
Golfech est limitrophe de six autres communes dont une dans le département de Lot-et-Garonne.
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Hydrographie
La commune est arrosée par la Garonne et son affluent la Barguelonne ainsi que par le canal latéral à la Garonne.
Relief et géologie
Située dans le bassin de la Garonne, sur la première terrasse de la Garonne.
La superficie de la commune est de 972 hectares ; son altitude varie de 47 à 71 mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès par l'autoroute A62 sortie 08 et la route départementale 813.
La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Golfech, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Montauban-Ville-Bourbon et Agen.
La ligne 801 du réseau liO relie la commune à Montauban depuis Lamagistère.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence », sur la commune de Valence, mise en service en 1994[9]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 740,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 42 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[13] à 14 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Golfech est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[18] et 7 713 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,8 %), eaux continentales[Note 6] (12,5 %), zones urbanisées (7,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de Golfech ne s'est pas toujours écrit de la sorte.
Vers l'année 1200, on écrivait en ancien occitan Golfeg ou Guolffeg ; en latin on mettait Apud Golfegium, ou Âpud Locum de Goiifegïo. Plus tard, et en 1465 notamment, on a écrit Golfech — comme aujourd'hui — et vers 1500 Goulfech. En 1573, on écrivait Golfex ou Gaulfeïx ; vers 1600, Goulfetz et puis enfin la transcription orthographique française de la prononciation occitane locale donna « Golfech ».
Histoire
Les premiers documents relatifs à Golfech ne remontent pas au-delà de l'année 1200. Ce que l'on peut affirmer, c'est que, formant une dépendance de Clermont-Dessus (Lot-et-Garonne), son territoire a toujours fait partie de l'Agenais, jusqu'à ce que le département de Tarn-et-Garonne soit formé par sénatus consulte du .
Avant la conquête des Gaules, l'Agenais était le territoire des Nitiobroges ou Nitiobriges, peuple de la Gaule celtique, sur la rive droite de la Garonne. Pendant la domination romaine, ce pays avait été embelli d'édifices magnifiques et de somptueuses villas ; aussi ne serait-il pas impossible de retrouver à Golfech des traces de cette occupation (une belle mosaïque mise à jour au lieu-dit « Les Vergnes », débris de poteries et de fragments d'objets utilitaires en terre cuite). Après l'occupation romaine, Golfech, modeste et petite seigneurie, a dû partager toutes les vicissitudes de l'Agenais.
Les Templiers et les Hospitaliers
Aux environs de l'année 1200, l'ordre du Temple vint s'établir à Golfech[24]. Grâce à de nombreuses donations et ventes, il ne tarda pas à faire de cette seigneurie une des plus belles et de ses plus riches commanderies.
En 1312 cet ordre fut supprimé et tous ses biens furent dévolus à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, et furent ainsi rattachés à la commanderie de Castelsarrasin. Vers 1378, Pierre de Varas, le commandeur, fixa les limites de ce qui allait être la commanderie même des Hôspitaliers. De 1311 au , date à laquelle les biens de l'ordre des Hospitaliers furent proclamés « biens nationaux », trente-sept commandeurs avaient eu en charge l'administration ; les plus illustres furent — semble-t-il — Bernard de Montlezun (1465-1477), Pierre d'Esparbès de Lussan (1579-1617), André de Grille (1731-1751), Gaspard Hiacynthe de Grille Destoublon (1757-1761).
En 1569 et 1588, au moment des guerres de Religion, la commanderie tout entière fut mise à sac et incendiée. En 1792, elle fut vendue comme bien national, 475 000 livres payées en assignats, et toutes ses possessions furent dispersées.
Il ne semble apparemment ne subsister aucune trace intéressante des anciens bâtiments. Il faut pourtant descendre le chemin qui conduit à « Darreloc » (« derrière le cimetière »). Une importante muraille bâtie en briques rosées, à la façon toulousaine, subsiste avec ses contreforts, ses meurtrières grossières, et sa série d'« oculus » circulaires. Elle forme la façade d'un bâtiment construit sur les remparts, dont le mur nord a été modifié et rebâti en partie. Ce bâtiment actuel comprenait le grenier et la prison de l'ancien château. Les « oculus » destinés primitivement à l'éclairage des combles, ont été transformés au cours des guerres en meurtrières, par un ébrasement intérieur très visible. C'est tout ce qui rappelle l'ancienne commanderie qui, pourtant, comprenait un mur d'enceinte fortifiée, un chemin de ronde avec créneaux, des fossés, un pont-levis, etc. et au centre, une église romane.
Crue au XXe siècle
D'après de vieux documents, Golfech a toujours eu à souffrir des débordements de la Garonne voisine. Les murs de certaines maisons ou édifices publics portent des marques ou annotations relatives à la crue du ; celle-ci a alors atteint la cote de 11,75 m à la hauteur de Lamagistère, un village voisin, Les crues les plus désastreuses furent celles de , puis celles de 1930 et de 1952 qui ont également causé des dégâts très importants.
Golfech, bourgade à vocation essentiellement agricole, n'a pas échappé au dépeuplement ; plus de 1 200 âmes vers 1840, alors qu'au recensement de 1968 il n'y avait que 555 habitants. Au dernier recensement de 2006, 710 personnes étaient dénombrées, 810 personnes en 2008 et actuellement, la commune compte pas moins de 955 personnes.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[25],[26].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Castelsarrasin de la communauté de communes des Deux Rives (Tarn-et-Garonne) et du canton de Valence.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2018, la commune comptait 1 009 habitants[Note 7], en augmentation de 5,65 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[31] | 1975[31] | 1982[31] | 1990[31] | 1999[31] | 2006[32] | 2009[33] | 2013[34] |
Rang de la commune dans le département | 60 | 79 | 95 | 75 | 63 | 63 | 63 | 62 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
Enseignement
Golfech fait partie de l'académie de Toulouse.
Économie
Depuis le début des années 1980, une centrale nucléaire a été mise en chantier à Golfech. Les deux réacteurs qu'elle contient fonctionnent respectivement depuis 1991 et 1994. Le site emploie environ 700 personnes.
Le surplus d'énergie contenu dans l'eau du circuit de refroidissement de la centrale est utilisé pour le chauffage de la piscine, de la maison de retraite et de l'école de la commune.
Golfech est aussi connu pour l'échelle à poissons de son barrage hydraulique mais qui sont situés sur la commune voisine de Malause.
Cependant il faut signaler que cette commune est actuellement en pleine mutation industrielle. Située sur la rive droite de la Garonne, en bordure de la R.D. 813, elle a été retenue par l'Électricité de France pour l'implantation d'usines de production de courant électrique (voir texte « la chute de Golfech »). L'implantation de la centrale nucléaire en 1981 (début des travaux) a permis l’arrivée de nouvelles entreprises prestataires et partenaires. De plus, deux zones artisanales sont apparues dans la dernière décennie réunissant une trentaine d’entreprises. Un petit centre commercial est aussi apparu au centre du village avec pas moins d’une dizaine de commerces. Une gendarmerie spécialisée, le Peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie, s’est implanté sur Golfech, réunissant 38 gendarmes qui œuvrent pour la surveillance et la protection du site nucléaire et de ses environs.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Louis de Golfech. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[35]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[35].
- Barrage hydroélectrique.
- CNPE EDF (centrale nucléaire).
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Golfech et Valence », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Valence - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Golfech et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Commanderie de Templiers », notice no IA00039666, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Louis », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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