Castelmoron-sur-Lot

Castelmoron-sur-Lot est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Castelmoron-sur-Lot

Mairie de Castelmoron.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Communauté de communes Lot et Tolzac
(siège)
Maire
Mandat
Line Lalaurie
2020-2026
Code postal 47260
Code commune 47054
Démographie
Gentilé Castelmoronais, castelmoronaises
Population
municipale
1 756 hab. (2018 )
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 53″ nord, 0° 29′ 45″ est
Altitude 50 m
Min. 35 m
Max. 195 m
Superficie 23,25 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Villeneuve-sur-Lot
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tonneins
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Castelmoron-sur-Lot
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Castelmoron-sur-Lot
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Castelmoron-sur-Lot
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Castelmoron-sur-Lot
Liens
Site web http://www.castelmoronsurlot.com/

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine de Villeneuve-sur-Lot située sur le Lot entre Villeneuve-sur-Lot et Aiguillon, dans le Pays de la Vallée du Lot.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 801 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sainte-Livrade-sur-Lot », sur la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot, mise en service en 1989[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 757,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 27 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Castelmoron-sur-Lot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[18] et 48 356 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,3 %), terres arables (16,9 %), cultures permanentes (15,1 %), prairies (13,3 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (3,6 %), eaux continentales[Note 5] (2,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    C'est sur un site humide et marécageux, près d'un méandre du Lot, que fut fondé à une date inconnue, un prieuré autour duquel se fixa un premier peuplement qui aurait pu constituer une sauveté. Au XIIIe siècle l'habitat groupé autour du château en bordure de la rivière s'appelle déjà Castelmoron (Castiel de Mauron, Froissart ; Castromorone, Valéri 1320 ; Castro-Mauronis, hommages de 1259). Il faut noter qu'aucune de ces appellations ne reprend le mot latin mariscus ou palus, ni le mot germain marisk, qui sont les étymologies du mot marais. Il faut alors trouver l'origine du nom dans celui d'un envahisseur germain ou latin plus que dans celui de Maures, Maurorum étant le pluriel de maurus (maures en latin), et les Sarrasins et probablement un important bastion morisque.

    C'était le temps des bastides mais Castelmoron ne bénéficia pas de l'acte fondateur ni des coutumes qui accompagnent la création de ces lieux de vie : il s'agit probablement d'un castrum comme l'indique d'ailleurs l'hommage de 1259.

    Au début de la guerre de Cent Ans, en 1345, la ville fut prise grâce à une feinte par les troupes anglaises du comte de Derby. Ce dernier la donna au chevalier de Caumont qui était à l'origine de la feinte. La seigneurie resta dans cette famille jusqu'au milieu du XVIIe siècle. En 1435, elle fut reprise par les Français et ses fortifications furent démantelées.

    Au XVIe siècle, Castelmoron devint un des foyers calvinistes de l'Agenais. Son église réformée fut fondée en 1559. Épargnée pendant les guerres de religion grâce à un accord passé entre catholiques et protestants en 1609, elle vit toutefois son temple, d'abord interdit, livré à la démolition en 1693.

    La révocation de l'édit de Nantes () provoqua l'exode d'un certain nombre de protestants. Un Castelmoronais, Mathieu Maury, rejoignit l'Amérique. Ses descendants se distinguèrent dans la fondation des États-Unis, notamment son fils James, directeur d'une école qui compta parmi ses élèves Thomas Jefferson, futur président des États-Unis. Le petit-fils de James, Matthew Fontaine Maury, est renommé pour ses travaux en Météorologie marine et océanographie.

    En 1668, la seigneurie de Castelmoron passa des Caumont aux Belsunce (ou Belzunce). C'est dans cette famille à Born que naquit celui qui allait devenir évêque de Marseille, François-Xavier de Belsunce de Castelmoron qui fit acte de dévouement pendant la peste de 1720. Les Belsunce vendirent en 1769, sans le titre de marquis, à monsieur de Lalande, magistrat bordelais.

    Le XVIIIe siècle, éprouvé par les deux grandes inondations de 1728 et 1783 qui détruisirent en partie le moulin de Lacoste (datant de 1290) et le moulin Neuf (début XVIIIe) marqua cependant l'apogée de la navigation fluviale sur le Lot. Les nombreuses gabares, depuis le port de Castelmoron, transportaient vins et farines (minots) vers Bordeaux à destination des pays du nord de l'Europe et des Antilles françaises. Un courant commercial s'établit avec Saint-Domingue et la Louisiane suscité par les maîtres des bateaux castelmoronnais. Certains d'ailleurs s'installèrent dans les "Isles" des Antilles. Mais, dès la fin du XVIIIe siècle, la perte des colonies d'Amérique ferma définitivement cet horizon commercial.

    La ville de Castelmoron traversa sans dommage la période révolutionnaire. Toutefois, un Castelmoronnais, Jacques Bujac fut guillotiné à Bordeaux, le pour ses accointances avec le parti girondin. Au début du Premier Empire, un autre Castelmoronnais se rendit célèbre par son courage et son audace. Le , Pierre Alexandre Marauld Dupon, commandant le bateau corsaire La Représaille battait et mettait en fuite devant Santander, une goélette anglaise bien supérieure en force. Il mérita le surnom de "Corsaire Agenais".

    L'expansion économique commencée sous la monarchie de Juillet provoqua dans la seconde moitié du XIXe siècle, de profondes transformations qui donnèrent à Castelmoron, une nouvelle physionomie en rupture avec son ancienne configuration moyenâgeuse.

    En 1845, pour permettre à la route départementale 13 de traverser Castelmoron, un pont suspendu fut construit sur le Lot ; il débouchait sur l'emplacement de vieille église du XIIIe siècle qui fut démolie. La construction de ce pont changea radicalement la ville dont l'axe devient perpendiculaire au Lot et fait une rotation de 90°.

    La nouvelle église (l'actuelle) est construite sur l'emplacement de l'ancien cimetière suivant les plans de l'architecte Leboucher. Elle a été consacrée le par l'évêque d'Agen, Mgr Jean-Aimé de Levezou de Vezins. En 1859, le temple protestant s'élèvera à la sortie de la ville. En 1871, le vieux château est acheté par la veuve de Félix Solar et entièrement transformé tel que son mari, natif de Castelmoron et mort en 1870, l'avait voulu et choisi [24]. Son architecture nouvelle, comprenant de nombreuses structures en bois (galerie et balcons) prenait son inspiration dans l'Alhambra de Grenade et la mosquée de Cordoue, imitant en cela le casino mauresque d'Arcachon. Le « Château Solar » sera acheté par la municipalité en 1902 et deviendra l'hôtel de ville. C'est aussi à la générosité de Félix Solar que l'on doit la fontaine à jets d'eau construite en 1859 sur la place, près de la Halle.

    L'impulsion donnée par la Troisième République aux municipalités devait engendrer de nouvelles réalisations. En 1873 furent créées la place du Foirail, agrémentée de platanes, la place de l'Airyal (ancien cimetière protestant), et sur le lieu de l'ancien réservoir pour le fossé de la ville (fossé qui fut alors ponté) l'actuelle place Bransoulié (du nom du maire qui prit alors la décision des travaux). En 1874, une halle métallique fut édifiée en remplacement de l'ancienne halle en bois.

    Enfin, en 1875, sur le site de l'ancien bac, on construisit une cale de commerce avec un imposant quai en pierre. Malheureusement, le trafic fluvial était sur son déclin malgré les énormes travaux réalisés tant sur le Lot que sur la Garonne (chaussées nouvelles, amélioration des écluses et des chemins de halage, constructions de quais). La concurrence du chemin de fer et le développement du réseau routier donneront un coup de grâce à la navigation commerciale sur la rivière qui disparaîtra définitivement en 1923.

    Au XXe siècle, d'autres événements, d'autres personnages vont enrichir la chronique historique de Castelmoron-sur-Lot.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1918 1936 Pierre Carles SE Propriétaire
             
    mars 1977 mars 2014 Bernard Genestou UMP Conseiller général du canton de Castelmoron-sur-Lot (1975-2015), pharmacien honoraire
    mars 2014
    (réélue en mai 2020[25])
    En cours Line Lalaurie DVD Secrétaire de mairie retraitée
    Conseillère départementale du canton de Tonneins (depuis 2015), Présidente de la Communauté de communes (depuis 2020)

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 1 756 habitants[Note 6], en augmentation de 2,75 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6312 0172 0992 1332 2992 3232 3792 3102 240
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2242 0942 1382 0102 0481 9491 8131 7591 649
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4941 4951 4511 2221 2941 2971 3611 3501 466
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 5281 5471 4441 5271 6621 6641 7391 7501 761
    2013 2018 - - - - - - -
    1 7091 756-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église catholique Saint-Caprais des Moulins du Lot

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent au château de gueules surmonté d'une tête de maure de sable[32].
    Détails
    Armes parlantes (armes accordées en 1697 par Louis XIV en référence aux invasions maures).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sainte-Livrade-sur-Lot - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Castelmoron-sur-Lot et Sainte-Livrade-sur-Lot », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sainte-Livrade-sur-Lot - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Castelmoron-sur-Lot et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Villeneuve-sur-Lot », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Façade arrière de la mairie de Castelmoron-sur-Lot, Région Aquitaine, en ligne.
    25. Françoise Yrieix, « Line Lalaurie à l'unanimité », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Des informations sur le patrimoine de la ville », sur www.castelmoronsurlot.com (consulté le ).
    31. « Pont sur le Lot », notice no EA47000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Armorial de France
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