Extrême droite en France

L’extrême droite en France est une notion abstraite associée à une partie de la classe politique française, en évolution depuis la Révolution française jusqu'à nos jours. Pour l'historienne Ariane Chebel d'Appollonia, « le terme a été appliqué à tant d'opinions ou de programmes politiques différents qu'une signification claire et acceptée par tous reste aléatoire »[1].

Pour des articles plus généraux, voir Extrême droite par pays, Extrême droite et Droite en France.

Au-delà de cette diversité, on peut tout de même retenir quelques traits récurrents de l'extrême droite française, souvent opposée au régime républicain : une droite de refus, de rejet. Rejet des institutions gouvernementales ou constitutionnelles, remise en cause de l'ensemble des institutions civiles, administratives, sociales, économiques et religieuses. Condamnant le matérialisme, le capitalisme, comme le collectivisme[2], son objectif à long terme est d'instaurer un ordre nouveau, politique, social, économique, parfois culturel et religieux.

Mais au sein de l'extrême-droite peuvent s'opposer des courants religieux et athée, libéraux ou rigoristes... Selon Ariane Chebel d'Appollonia, « L'extrême-droite ne peut être perçue qu'en fonction d'une époque et des problèmes posés à un moment particulier de l'histoire, tant il est vrai qu'une force politique est tout autant reflet d'une philosophie politique donnée que témoignage de l'état de la société[3]. » L'extrême droite française n'échappe pas à cette règle. En effet, plusieurs courants politiques s'y sont classés au cours de l'histoire de France : boulangisme, nationalisme, fascisme, populisme… chacun ayant sa propre doctrine et ses propres modes d'action, parfois similaires, parfois totalement opposés.

Histoire

Avant 1945

L'expression date de la seconde moitié du XIXe siècle et coïncide avec l'installation définitive de la République. La bataille de Sedan et la fin du Second Empire font passer les bonapartistes du côté de la droite[4]. Néanmoins, bonapartistes comme monarchistes disparaissent peu à peu pour laisser place au nationalisme, dont « le boulangisme a dressé l'acte de naissance » et « l'Affaire Dreyfus son acte de baptême » (René Rémond[réf. incomplète]).

Au cours de l’Affaire Dreyfus, l’extrême droite est antidreyfusarde. Le premier apogée de l'extrême droite intervient pendant les années 1930 et au début des années 1940, au travers du succès des différentes ligues. Les idées d’extrême droite trouvent leur consécration avec le régime de Vichy, de 1940 à 1944. Certains membres et sympathisants des ligues ou des mouvements monarchistes d'avant-guerre deviennent collaborationnistes par antimarxisme, antiparlementarisme et/ou antisémitisme, d’autres rejoignent les mouvements de résistance à l'Occupation[5] par nationalisme et antigermanisme.

Après 1945

Depuis la conférence de Yalta, qui aurait mis au point selon eux un « partage du monde », certains mouvements classés à l'extrême droite défendent l'antiaméricanisme.

Après-guerre, l'extrême droite reste marginale sur la scène politique. L'existence d'organisations revient à la fin de la guerre d'Algérie dans les années 1960 avec l'OAS, Occident puis Ordre nouveau ou le GUD, jusqu'en 1972, date à laquelle Jean-Marie Le Pen fonde le Front national. Le parti ne pèse guère aux élections à ses débuts, et ce n'est qu'à partir des années 1980 que le FN commencera son ascension.

La peur d'un coup d'État d’extrême droite disparaît avec l'alternance de 1981, qui se déroule sans incident[6].

Idées politiques

Parmi les idées caractéristiques des mouvements classés à l'extrême droite, ont figuré à titres divers notamment l'antiparlementarisme, l'islamophobie, l'antisémitisme ou le nationalisme ou bien encore l'homophobie et le sexisme chez certaines personnes.[réf. nécessaire] La plupart de ces mouvements sont anticommunistes.

Les mouvements d'extrême droite en Europe sont souvent accusés de racisme et de xénophobie en raison de leur hostilité générale à l'immigration et des positions ouvertement racistes revendiquées par certains d'entre eux. Ils partagent la haine d'un ennemi commun, d'un bouc émissaire qui aurait changé au cours du XXe siècle : le juif au début du XXe siècle, l'immigré de nos jours, ce qui est théorisé par la thèse conspirationniste du Grand remplacement, développée par Renaud Camus, et son corollaire la remigration, c'est-à-dire l'expulsion par la force ou par la peur de « l'étranger ». Selon Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, « « L’étranger » a surtout les traits du musulman. L’islamophobie se trouve « au cœur du logiciel idéologique » de presque chacun des activistes d’ultra-droite. ». La haine s'étend également aux institutions, à « l'Establishment », à la « classe politique ». Le tout conjugué à « une fascination pour la violence » et un « virilisme » opposé au féminisme et à l'homosexualité, considérés comme « traitres », « symptômes de la décadence des sociétés occidentales orchestrée par leurs propres dirigeants ». Il y a de grandes nuances dans les différents courants. L’antisémitisme de néofascistes comme Yvan Benedetti n'est pas partagée par tous, tout comme le monarchisme de l’Action française de Charles Maurras ou le survivalisme de l'Action des forces opérationnelles (AFO). Selon Jean-Yves Camus et Nicolas Lebourg, autre spécialiste de l'extrême droite, les attentats de Paris de novembre 2015 et celui du 14 juillet 2016 à Nice ont servi de catalyseur à certains groupuscules d'extrême droite qui se considèrent en guerre, une partie d'entre eux voulant recourir à la violence, six attentats ayant été déjoués entre 2017 et 2021. Pour Marion Jacquet-Vaillant, docteure en science politique, « à partir de 2015, la figure de l’immigré, qui était assimilée à celle de la racaille, est associée à celle de l’islamiste. » Une frange de l'extrême droite est déçue par le Rassemblement national « pour qui désormais tout individu peut devenir français à condition de s’assimiler », et pour Jean-Yves Camus « ils restent ethno-différentialistes et considèrent que certaines populations, en raison de leur origine ethnique ou de leur religion, ne sont pas assimilables à la nation française », tel le groupe Génération identitaire dissous en 2021[7].

Typologie

Le politologue Thomas Guénolé distingue quatre types de courants dans la famille d'extrême-droite française : l'extrême-droite poujadiste, l'extrême-droite souverainiste, l'extrême-droite traditionaliste et l'extrême-droite raciste. Ces quatre familles correspondent respectivement d'après lui, sous forme radicalisée, aux familles de la droite française que sont la droite libérale, la droite gaulliste, la droite morale et la droite sécuritaire[8].

Cependant s'il existe plusieurs formes distinctes d'extrêmes droites, à l'occasion du retour dans l'actualité politique de la question de ce qui fait la nature commune à l'extrême-droite sous ses diverses formes et qui la distingue de la droite classique, une définition est donnée par un groupe d'historiens et spécialistes de politique. La caractéristique centrale est l'organicisme, soit la société conçue comme un être vivant, qui donc est fondée à se défendre contre les corps étrangers susceptibles de l'attaquer comme le font les microbes pour un organisme. « Les extrêmes droites véhiculent une conception organiciste de la communauté qu'elles désirent constituer (que celle-ci repose sur l'ethnie, la nationalité ou la race) ou qu'elles affirment vouloir reconstituer. Cet organicisme implique le rejet de tout universalisme au bénéfice de l'« autophilie » (la valorisation du « nous ») et de l'« altérophobie » (la peur de « l'autre », assigné à une identité essentialisée par un jeu de permutations entre l'ethnique et le culturel, généralement le cultuel). Les extrémistes de droite absolutisent ainsi les différences (entre nations, races, individus, cultures). Ils tendent à mettre les inégalités sur le même plan que les différences… »[9].

Groupes d’extrême droite en France

Derrière Pierre Vial, une chaîne de croix celtiques (voir « La croix celtique en politique »), symbole utilisé depuis la fin des années 1940 par divers mouvements comme Jeune Nation ou Ordre nouveau.
Jean-Marie Le Pen en meeting (photo à dater, années 1980-1990).

En 2004, d’après les renseignements généraux français, il existerait entre 2 500 et 3 500 militants ou sympathisants des différents groupes d'extrême droite (sans compter le FN et le MNR). Les groupes les plus importants se trouvent en Alsace, en région PACA, en Île-de-France. Le ministère de l’Intérieur a recensé 65 actes violents perpétrés par certains de ces groupes en 2004[réf. nécessaire].

Mouvance identitaire et Nouvelle Droite

Nationalisme

Nationalisme Révolutionnaire

National-catholicisme et royalisme

Civitas

Des groupes religieux interviennent aussi dans les débats de société (liberté d'expression dans les arts, mariage homosexuel, etc.). Civitas, aussi connu sous le nom de France Jeunesse Civitas ou Institut Civitas, est un mouvement social et politique français qui se définit lui-même comme un « lobby catholique traditionaliste »[12], un mouvement « engagé dans l’instauration de la Royauté sociale du Christ sur les nations et les peuples en général, sur la France et les Français en particulier ». Civitas ne se contente pas d'intervenir dans le débat d'idées, mais propose aussi des « stages techniques ». Ils consistent en un entraînement aux techniques de discussions face à la dialectique subversive, à un apprentissage des savoir-faire fondamentaux pour pratiquer une action efficace : prise de parole en public, organisation de réunions, lancement d'associations, comment mener une action concrète, etc.[13] Ce groupe est réputé proche des catholiques intégristes[14] et de l'extrême droite[15]. Il est très fortement lié avec la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X fondée par l'évêque Marcel Lefebvre en 1970[16].

Fascisme clérical

  • Cercle franco-hispanique

Pétainisme

Néonazisme

  • Breizh Atao
  • La section française de Truppenkameradschaft IV, groupe austro-allemand[17]
  • Werwolf[18]

Fascisme, Néofascisme

Mouvance identitaire et néopaïenne

Nationalisme

Nationalisme révolutionnaire et Solidarisme

Nouvelle Droite et Nationalisme européen

National-catholicisme et Royalisme

Néonazisme

Poujadisme

Mouvements étudiants

Groupes armés

Ce type d'extrême droite se distingue des autres par la référence directe de certains groupes à l'époque nazie. En France, d'anciens Waffen-SS ont fondé des groupuscules dans les années 1960 puis 1970. Chacun de ces groupes ne dépassait pas une centaine d'individus. Certains des groupuscules avaient des contacts avec des militants syriens, recherchés pour leur opposition à Israël. Des groupes paramilitaires s'entraînaient dans les forêts. Certains de ses membres ont franchi le pas en allant s'entraîner dans des camps paramilitaires, pouvant fournir des combattants aptes au terrorisme, installés en Syrie. Mais également, d'autres composantes de cette nébuleuse eurent des contacts très fréquents avec l'Irak de Saddam Hussein. Plus radicaux, les membres de revues telles Le Devenir européen et Notre Europe, reprirent les thèmes de la Collaboration. Marc Frederiksen, créateur du journal Notre Europe, fut d'ailleurs condamné pour avoir publié un encart en faveur de la libération de Rudolf Hess.[réf. nécessaire]

La presse d'extrême-droite

De nombreux journaux d’extrême droite ont été publiés en France au début du XXe siècle : Le Nouveau Siècle (1925), Le Franciste, Les Cahiers, La Revue française, Combat, Plans, Je suis partout.

Le régime de Vichy a favorisé la publication de nombreux journaux d’extrême droite comme Au Pilori ou Le Petit Marseillais.

Parmi les journaux d’extrême droite publiés en France après 1944, il faut citer Paroles françaises (1946), Verbe (1949), Rivarol (1951), Fraternité française (1954), Défense de l’Occident (1952-82), Jeune Nation (1959), Minute (1962), Europe-Action (1963-67), Militant (1967), Initiative nationale (1975-1981), Pour une force nouvelle (1982), Présent (1982), National-Hebdo (1984-2008), Alliance populaire (1994), Le Choc du mois (1987-93, puis 2006-2011).

Plus récemment de nouvelles revues sont apparues telles que la revue nationaliste et identitaire Synthèse nationale publiée depuis 2006, le trimestriel Réfléchir et agir.

Actions politiques de l'extrême droite française

  • Création de l'association « SOS enfants d'Irak », proche du FN, et présidée par Jany Le Pen, épouse du président d'honneur du FN.
  • Distribution par des associations comme « Solidarité des Français » (SdF), proche des Identitaires, ou Solidarité alsacienne, proche de la Nouvelle droite populaire, de soupe au cochon aux SDF, la soupe identitaire, écartant ainsi tout juif ou musulman qui appliquerait sa religion de façon littérale[19],[20],[21].
  • Création du « rock identitaire français » (RIF), courant musical proche des milieux identitaires, illustré par des groupes tels qu'In Memoriam, Vae Victis, Elendil… Les textes sont identitaires mais n'ont rien à voir avec le racisme du rock anticommuniste (RAC) de groupes comme Légion 88.
  • Création du « Comité d'entraide aux prisonniers européens », qui aide les nationalistes emprisonnés, proche des Identitaires.
  • Création de diverses agences de presse sur internet parmi lesquelles Novopress et Altermedia.

Extrême droite et droite française

Au milieu de l'année 1937, à la suite de la victoire du Front populaire aux élections législatives de 1936, le Front de la liberté est créé notamment à l'initiative de Jacques Doriot, chef du parti populaire français, et regroupe au côté de ce parti et d'autres représentants du fascisme français et de ligues dissoutes la Fédération républicaine, parti représentant la droite républicaine conservatrice au Parlement. Cette tentative d'opposition bloc contre bloc échoue en quelques mois, les partis du centre-droit (Alliance démocratique, parti démocrate populaire) ainsi que le Parti social français refusant de s'y associer.

Une petite partie des hommes politiques de la droite française actuelle a commencé son activisme politique comme partisans de l'Algérie française (Hubert Bassot, Jean Taoussan…) ou au sein de groupuscules d'extrême droite nationalistes comme Occident (Patrick Devedjian, Gérard Longuet, Alain Madelin…). Après l'échec du Parti des forces nouvelles, certains de ces activistes rallient la droite classique (Gérard Ecorcheville, Alain Robert, Philippe Guignache, José Bruneau de la Salle, Hervé Novelli, Serge Didier, Guy Teissier…), la plupart par le biais de la « machine Albertini » ou par celui du Centre national des indépendants et paysans.

La « machine Albertini » était dirigée par Georges Albertini, ancien collaborateur cadre du Rassemblement national populaire. L'anticommunisme est leur étendard de ralliement et est selon certains le véritable seul point commun entre les libéraux de la droite et l'extrême droite. Roland Gaucher écrit à leur sujet : « un certain nombre de ces récupérés (Madelin, Ecorcheville, Van Ghell, Nicolas Tandler) sont passés par la machine à laver ultra-silencieuse de feu Albertini et de l'IST[réf. nécessaire] ».

Le Centre national des indépendants et paysans (le parti de centre-droit d'Antoine Pinay sous la IVe République) a également servi de point de passage vers la droite. Anti-gaulliste après les accords d'Alger, il se rapprocha du RPR en 1976. À la fin des années 1970 et pendant les années 1980, il accueillit de nombreux anciens militants de groupuscules d'extrême droite, en particulier du Parti des forces nouvelles. Alain Robert, Hervé Novelli, Philippe Guignache, Yves Van Ghele, entre autres sont passés par le CNIP avant de rejoindre la droite classique. D'autres personnalités ont transité par le CNI pour rallier ensuite le Front national comme Pierre Sergent ou Michel de Rostolan.

Par la suite, deux partis vont largement accueillir les anciens nationalistes : le RPR (Patrick Devedjian, Bruno Tellene, Jean Taoussan, Jean-Jacques Guillet…) et au sein de l'UDF, le Parti républicain (l'ancien résistant Alain Griotteray, Hubert Bassot, Alain Madelin, Gérard Longuet, Guy Tessier, Serge Didier, Hervé Novelli). Une fois ralliés à la droite, les ascensions politiques de ces personnalités seront diverses, plus ou moins couronnées de succès.

À l'inverse, des recrues de la « Nouvelle Droite » telles que Bruno Mégret et Jean-Yves Le Gallou, respectivement issus du RPR et de l'UDF, s'éloigneront de la droite « classique » pour rejoindre le FN dans les années 1980 puis fonder le MNR dans les années 2000.

Des accords ont existé localement directement entre la droite et le Front national : Jean-Pierre Stirbois a été élu en 1984 à Dreux sur une liste commune UDF-RPR-FN. De 1986 à 2004, la région Languedoc-Roussillon était administrée par Jacques Blanc avec le soutien des élus du Front national.

Depuis la percée du Front national lors des élections présidentielles de 2002 et plus encore 2017, celui-ci exerce son attraction sur la « droite de la droite » ou sur d'autres partis d'extrême droite, qui peut se traduire par des ralliements (comme Thierry Mariani), des soutiens (Christine Boutin et le Parti chrétien-démocrate) ou des alliances (comme Nicolas Dupont-Aignan et Debout la France).

Liens entre ultra-droite et forces de sécurité françaises

Le 9 avril 2018, le journal Mediapart publie un article, fruit d’une enquête menée depuis octobre 2017, affirmant que la DGSI et la SDAT s’inquiètent de la part grandissante de membres ou anciens membres des forces de sécurité, notamment des anciens militaires, liés à l’ultra-droite violente et ayant rejoint des groupuscules d’« autodéfense ». Une cinquantaine des individus suivis par la DGSI seraient des fonctionnaires de la sécurité en activité ou à la retraite, militaires, gendarmes, ou policiers[22].

Penseurs de la mouvance française d'extrême droite

Sont fréquemment cités[réf. nécessaire] comme penseurs et intellectuels de l'extrême droite Maurice Barrès, Édouard Drumont, Joseph de Gobineau, Pierre Drieu la Rochelle, Robert Brasillach, André Fraigneau, Lucien Rebatet, Louis-Ferdinand Céline, Henri Massis, Léon Daudet, Thierry Maulnier, Henry de Monfreid, Jacques Bainville, Pierre Boutang, Paul Sérant, Kléber Haedens, Jacques Benoist-Méchin, Marc Augier, Alphonse de Châteaubriant, René Benjamin, Jean-Pierre Maxence, Raymond Abellio, Henri Béraud, Charles Maurras, Alain de Benoist, Pierre Gripari, Jules Monnerot, Jean Mabire, Alain Soral.

Henry Charbonneau (directeur), Philippe Henriot, Paul Marion, Abel Bonnard, Paul Morand[23], Jacques de Lacretelle, Roger Vercel, Pierre Mac Orlan comptent parmi les rédacteurs du journal collaborationniste Combats (organe de la Milice).

Personnalités actuelles

Notes et références

  1. Chebel d'Appollonia 1998, p. 9.
  2. Chebel d'Appollonia 1998, p. 59.
  3. Chebel d'Appollonia 1998, p. 13.
  4. Chebel d'Appollonia 1998, p. 15.
  5. On citera par exemple le Colonel Rémy (Gilbert Renault), Pierre Bénouville, Georges Valois, Philippe Leclerc de Hauteclocque, Alain Griotteray, Honoré d'Estienne d'Orves, Daniel Cordier, Paul Dungler, Jacques Renouvin, les frères d’Astier de La Vigerie ou le Colonel François de la Rocque.
  6. Nicolas Lebourg, Les médias, l'énarchisation du FN et la diabolisation de l’adversaire, Slate, 6 juin 2014
  7. Terrorisme d’ultra-droite, l’autre menace, La Croix, 21/5/2021
  8. Thomas Guénolé, « Manif pour tous : l'UMP de Copé s'autodétruit en se rapprochant de la cathosphère », sur Le Nouvel Observateur.com, (consulté le ).
  9. Collectif, « Le FN, un national populisme », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  10. Génération identitaire : son sort dépend de Hollande, sur le site lefigaro.fr du 23 octobre 2012
  11. « Parti national radical », sur www.parti-national-radical.fr
  12. Xavier Bonnehorgne, « Civitas, le lobby catho qui flirte avec l'extrême droite », sur Rue89 (Le Nouvel Observateur.com), (consulté le ).
  13. « Civitas : Qui sommes-nous ? », sur Cvitas Institut.com (consulté le ).
  14. AFP, « 'institut Civitas va porter plainte contre les Femen », sur Libération.fr, (consulté le ).
  15. AFP, « Violences de l'extrême droite : les appels à la dissolution de Civitas se multiplient », sur Le Point.fr, (consulté le ).
  16. Mathieu Martiniere, « Civitas, l’institut qui rêvait de rechristianiser la France », sur Slate, (consulté le ).
  17. Lars Rensman, Politics and Resentment: Antisemitism and Counter-Cosmopolitanism in the European Union, BRILL, 2010, 516 p. (ISBN 9789004190467) p. 295.
  18. Jacques Leclercq 2012, p. 168-170.
  19. Abel Mattioli Mestre, « L'extrême-droite remet le couvert », Libres Échanges, L'Humanité, 19 janvier 2006.
  20. « Au cochon ou aux saucisses, notre soupe identitaire continue ! », communiqué du
  21. « 1, 2, 3 - Paris, Nice, Charleroi - Que mijotent cent soupes identitaires ! », communiqué du
  22. Matthieu Suc et Marine Turchi, « Forces de l’ordre liées à l’ultra-droite violente: la DGSI s’inquiète », Mediapart, (lire en ligne, consulté le )
  23. Pascal Ory, les collaborateurs, Seuil Points/Histoire 1976 p. 251

Bibliographie

Articles

Vidéographie

Voir aussi

  • Portail de la politique française
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.