Charenton-le-Pont

Charenton-le-Pont est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Charenton.

Charenton-le-Pont

La place Arthur-Dussault et le Monument à Henri IV[2] devant l'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Nogent-sur-Marne
Intercommunalité Paris-Est-Marne et Bois Métropole du Grand Paris
Maire
Mandat
Hervé Gicquel (LR)
2020-2026
Code postal 94220
Code commune 94018
Démographie
Gentilé Charentonnais
Population
municipale
30 053 hab. (2018 )
Densité 16 245 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 17″ nord, 2° 24′ 43″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 57 m
Superficie 1,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Charenton-le-Pont
(bureau centralisateur)
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Charenton-le-Pont
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Charenton-le-Pont
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Charenton-le-Pont
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Charenton-le-Pont
Liens
Site web charenton.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Charenton-le-Pont en région parisienne.

    Charenton-le-Pont est située sur la rive droite de la Seine, juste avant son entrée dans Paris et à la confluence de la Seine et de la Marne. Elle est bordée au nord par le bois de Vincennes.

    La ville s’étend sur 1,85 km2 (une des plus petites communes du Val-de-Marne, seules cinq autres étant moins étendues) et est entièrement urbanisée (15 349 hab./km2, l’une des densités les plus élevées du département et parmi les plus hautes de la petite couronne parisienne).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La ville est traversée par la Marne et le fleuve la Seine, qui y confluent au lieu-dit Conflans-l'Archevêque.

    Cette toponymie rappelle que les évêques  puis archevêques  de Paris y possédaient une propriété. Par la suite, un petit séminaire, pour le diocèse de Paris, s'y installa. Cet endroit vit la signature du traité de Conflans sous le règne de Louis XI.

    La Marne est franchie par le pont de Charenton, qui permet le passage de la route nationale 6.

    Voies de communication et transports

    La station de métro Liberté.
    La station de métro Charenton - Écoles.
    L'autoroute A4 à Charenton.

    La commune est traversée par l'Autoroute A4 et l'important faisceau ferroviaire de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles.

    Voies routières

    De par sa situation à proximité immédiate de Paris, Charenton bénéficie de plusieurs axes routiers majeurs, à savoir notamment le boulevard périphérique de Paris au nord de la commune et l'autoroute A4 le long de la Seine à l'ouest.

    À partir d'avril 2018, Charenton sera une des premières communes en région parisienne (avec Vincennes) à rendre payant le stationnement des deux-roues motorisés[3] car leur occupation de l'espace public a beaucoup augmenté et le stationnement illicite est fréquent.

    Aménagements cyclables

    La ville compte un réseau incomplet d'itinéraires cyclables, les rares pistes et double-sens cyclables ne permettant qu'une continuité partielle. Plusieurs stations Vélib' sont situées à Charenton-le-Pont, ainsi que dans le Bois de Vincennes adjacent.

    Transports en commun

    Charenton-le-Pont est une commune bien desservie par les transports en commun. La commune de Charenton-le-Pont se trouve dans la zone 2 du réseau de transports d'Ile-de-France.

    Métro

    La Ligne 8 du métro de Paris (Balard - Créteil-Pointe du Lac) dessert Charenton-le-Pont du nord au sud via les stations Liberté et Charenton - Écoles de 5 h 30 à 1 h 15 (2 h 15 les vendredis et samedis soirs).

    Bus de jour

    Cinq lignes du réseau de bus RATP relient Charenton-le-Pont aux communes avoisinantes :

    Bus de nuit

    Deux lignes du Noctilien :

    Urbanisme

    Typologie

    Charenton-le-Pont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

    Lieux-dits et écarts

    Bercy, Conflans, les Carrières, le Bourg-du-Pont et « le Plateau », emprise sur le bois de Vincennes, Conflans-l'Archevêque.

    En jaune, la partie de l'ancienne commune de Bercy rattachée à Charenton-le-Pont.

    Morphologie urbaine

    L'A4 et Charenton-le-Pont.

    La commune est longée par une autoroute le long de la Seine et traversée de part en part par une tranchée contenant des voies de chemin de fer provenant de la gare de Lyon ainsi que, sur sa partie ouest, par la gare de triage des TGV de Bercy-Conflans. Elle a cependant réussi à conserver un centre architecturalement cohérent autour de sa mairie et de son église principale.

    Charenton-le-Pont est située sur la rive nord de la Marne à l’endroit où celle-ci rejoint la Seine juste avant son entrée dans Paris. Depuis 1975, l’accès à la Seine est restreint par la présence de l’autoroute A4 qui longe les quais de Seine et est large de 10 voies à cet endroit.

    La commune de Charenton-le-Pont est divisée en deux parties par la traversée de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles empruntée, entre autres, par le RER D. Plusieurs ponts permettent de relier ces deux parties de la ville.

    Projets d'aménagement

    En liaison avec le projet de ZAC parisienne de Bercy-Charenton, qui prévoit notamment la prolongation de la rue Baron-Le-Roy vers Charenton, la municipalité prévoit l'aménagement de son quartier Bercy ; le projet prévoit en particulier la restructuration du centre commercial Bercy 2 et la construction d'une tour de 180 mètres de haut, signée par l’agence américaine Skidmore, Owings and Merrill, ainsi que l'élargissement de la passerelle Valmy vers le bois de Vincennes, le tout créant 360 000 m² de nouvelles constructions, dont un millier de logements, des bureaux et des commerces[12].

    Toponymie

    Panneau d'entrée.

    Le nom de la commune est composé de deux termes. Charenton a pour origine le radical pré-indo-européen kal ou kar qui signifie pierre[13]. Ce terme serait donc lié à l'activité d’extraction de la pierre de liais au bourg des Carrières[14]. Le second terme, Pont, est lié à un pont du VIIe siècle passant par la Marne[13].


    Histoire

    Le pont de Charenton vers 1750. Archives municipales.
    Moulin à Charenton de François Boucher, années 1750.
    Conflans, Les carrières au XVIIIe siècle.
    Charenton-le-Pont dans les années 1920.
    La ville était alors desservie par plusieurs lignes de tramway.
    La ville fut également desservie par les navettes fluviales de la Compagnie générale des bateaux parisiens.

    La ville s’est formée par la réunion de quatre bourgs et de quatre seigneuries et occupait à l’origine une superficie plus importante qu’à l’heure actuelle, puisqu'elle s’étendait jusqu’à Bercy jusqu’en 1791 et possédait une partie du bois de Vincennes (plaine de Bercy) jusqu’en 1929.

    • Bourg du Pont

    La ville doit son nom à la présence du pont de Charenton, franchissant la Marne et permettant les relations entre la capitale et les provinces à l'Est, à proximité duquel s'est édifié le Bourg du Pont, un lieu d'auberges et de débits de boisson ; c'est un des premiers noyaux d'urbanisation de la commune. L'ouvrage est mentionné dès le VIIe siècle et est certainement l'un des plus anciennement bâtis pour faciliter la desserte de Paris. Il a toujours été regardé comme sa clef. Située à un emplacement stratégique (proximité de la capitale, existence d’un pont permettant de franchir la Marne près de son confluent avec la Seine), la ville fut le théâtre de nombreux combats.

    En 865, les Vikings s'emparent du pont et le rompent.

    En juin 1358, le dauphin Charles s'en rend maître pour se diriger sur Paris occupée par les Anglais.

    Sous Charles VII, les Anglais, maîtres de Charenton, en sont chassés, le , par le capitaine de Corbeil nommé Ferrière.

    En 1465, l'armée de la Ligue du Bien public l'attaque, et s'y porte pour protéger ses opérations contre Louis XI.

    Les calvinistes le prennent en 1567.

    Le , Henri IV l’enlève aux soldats de la ligue mais en septembre 1590, lors du siège de Paris, l’Espagnol Alexandre Farnèse reprend la ville, ce qui permet de ravitailler la capitale assiégée par Henri IV au cours de la huitième guerre de religion[15].

    Après quelques hésitations, la ville est désignée pour abriter le temple protestant de Paris attribué par l’édit de Nantes. Lors du soulèvement protestant de 1621, les protestants y sont massacrés après l’échec de Luynes au siège de Montauban[16].

    En 1631, se tient à Charenton un synode national de l’Église réformée de France pour discuter ses principes et sa discipline.

    Pendant les guerres de la minorité de Louis XIV, en 1649, les frondeurs y repoussent le prince de Condé qui le reprend la même année.

    Pris et repris plusieurs fois au cours des siècles, le pont de Charenton est rebâti plusieurs fois ; il l'est, entre autres, en 1714, et subit quelques réparations en 1812.

    De 1790 à 1795, Charenton, qui porte quelque temps le nom révolutionnaire de Le Républicain, est un canton du district de Bourg-de-l'Égalité[17] (Bourg-la-Reine).

    Au mois de février 1814, les armées ennemies s'approchant de Paris, la défense du pont de Charenton est confiée aux élèves de l'école nationale vétérinaire d'Alfort. Le 30 mars, accablés par le nombre, ils sont obligés de céder à la force. Charenton-le-Pont est pris, et, le lendemain, les troupes wurtembergeoises et le corps autrichien du comte de Guilay campent à Charenton.

    En 1815, le pont est coupé pour arrêter la marche de l'ennemi. Il est plus tard entièrement reconstruit.

    • Bourg des Carrières

    Un autre noyau d'urbanisation, un peu en aval du Bourg du Pont, s'est lui aussi développé très tôt ; le Bourg des Carrières qui doit son nom à l'extraction en ce lieu de pierres à bâtir de calcaire. Y est aussi présent un site naturel d'accostage sur la Seine, permettant non seulement le manutention des pierres mais aussi d'autres marchandises : vins, bois et céréales ; les activités commerciales liées au fleuve deviennent vite une des vocations principales de Charenton et gagneront au cours du temps l'ensemble de la rive de la localité.

    • Conflans

    Encore un peu plus à l'aval, Conflans est le troisième noyau à l'origine de Charenton, voué lui à la vie religieuse et aristocratique.

    S'y trouvent le château de Conflans et le pavillon d'Antoine de Navarre.

    En 1316, Philippe V le Long donne à sa belle-mère, la comtesse d'Artois Mahaut, une partie de la garenne dépendant de sa terre de Conflans.

    Philippe VI de Valois habite à Conflans en 1339.

    Jeanne II, reine de Navarre, meurt à Conflans en 1349.

    De 1481 à 1483, Louis XI donne la terre de Conflans successivement à Bastard de Valère-Capelle puis à Sixte d'Allemagne, son chirurgien[18].

    Les comtes de Flandres et ducs de Bourgogne y eurent un hôtel.

    En 1548, Henri II ordonne de vendre les maisons de Bourgogne, d'Artois, de Flandres et de Brabant, les achète, et, le , les cède à Claude Dodieu, évêque de Rennes, y ajoutant toute la terre de Conflans.

    En 1672, François de Harlay, archevêque de Paris, y achète la maison du duc de Richelieu, la rebâtit, et, à sa mort en 1695, la lègue à ses successeurs. Elle est vendue à la Révolution.

    En 1790, est créée la municipalité, alors nommée Conflans-l'Archevêque, qui compte alors approximativement 1 800 habitants ; devenue un temps Le Républicain, elle prend le nom de Charenton-le-Pont en 1801. Cependant, en octobre 1790, quelques mois après la création de la municipalité, son territoire a été amputé, tout le nord-ouest de celui-ci devenant la commune de Bercy.

    La création de la ligne de chemin de fer de Paris à Lyon bouleverse le paysage de la commune. Elle traverse le territoire de celle-ci du nord-ouest au sud-est, évitant en restant à l'écart de la Seine les secteurs déjà construits de Charenton-le-Pont qui sont alors concentrés sur sa rive, mais en nécessitant à flanc de côteau la création d'une longue (deux mille trois cents mètres) et profonde (dix à douze mètres) tranchée ouverte. Pour la nouvelle ligne est aussi édifié, à la limite communale avec Maisons-Alfort et en direction de Lyon, un nouveau pont sur la Marne par dessus l'île Martinet. La gare de Charenton est créée aux Carrières. Implantée au sud-ouest des voies, elle est inaugurée le lors de la mise en service officielle de la ligne. Un nouveau bâtiment, au nord-est des voies, remplacera l'ancien vers 1905. La gare de Charenton fermera en , jugée superflue pour la desserte de la commune, du fait, le même mois, du prolongement depuis Paris de la ligne 8 du métro de Paris à la station Charenton - Écoles.

    En 1860, la commune de Bercy qui était traversée par l'enceinte de Thiers disparaît. Ses anciens territoires communaux situés au nord-ouest de celle-ci sont annexés par Paris, tandis que ceux situés au sud-est retournent à Charenton-le-Pont, qui récupére ainsi une partie de ce qui avait été perdu au profit de Bercy en 1790. Par ce changement, Charenton-le-Pont devient aussi à nouveau mitoyen avec la capitale. Cependant, en 1861, est retranché du territoire communal de Charenton-le-Pont le nord de la plaine de Bercy, dans le bois de Vincennes, au profit de la ville de Paris qui y creuse et aménage le Lac Daumesnil.

    En 1929, la superficie communale est encore amputée, dans sa partie nord, de ce qui lui restait de territoire dans le sud-ouest du bois de Vincennes et qui est rattaché à cette date au 12e arrondissement de Paris. Sont situés dans le périmètre cédé le cimetière ancien  bien qu'étant donc maintenant à Paris, il reste la propriété de la commune de Charenton-le-Pont  et le vélodrome de la Cipale  propriété de la ville de Paris et qui l'était déjà avant 1929, dès sa création en 1896.

    Depuis 1975, l’autoroute A4 emprunte le tracé du canal de Saint-Maurice, comblé en 1952.

    Politique et administration

    Mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Sous l'Ancien Régime, Charenton était un lieu-dit de la Paroisse de Conflans[19].
    Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[20], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le .

    Pour l'élection des députés, la ville fait partie depuis 2012 du huitième circonscription du Val-de-Marne.

    La commune était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Charenton-le-Pont[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont elle est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de deux à quatre communes.

    Intercommunalité

    Les communes de Charenton-le-Pont et de Saint-Maurice ont créé 2003 la communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice, qui ne comptait que ces deux villes.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[21].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

    La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[22], qui s'est substitué à l'ex-communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des municipales de 2014, les candidats avaient obtenus les résultats suivants[23] : Jean-Marie Brétillon (UMP, 64,8 %), Gilles-Maurice Bellaïche (PS, 16,5 %), Émilie Bertrand (FG, 9,6 %), Chantal Gratiet (DVD 9,1 %).

    La liste menée par Jean-Marie Brétillon ayant obtenu plus de 50 % des suffrages exprimés, le second tour n'avait pas été organisé.

    Cette tendance se poursuit en Mars 2020 où le sortant, Hervé Gicquel est réélu avec 56,21% des voix contre 16,90% pour Caroline Campos-Brétillon (DVD, fille de Jean-Marie Brétillon, Maire de 2001 à 2006), 10,37% pour l'élu socialiste et candidat EELV Loïc Rambaud, 7,09% pour le candidat socialiste João Martins-Pereira, 6,03% pour Francis Rodriguez-Lacam (LREM) et 3,46% pour l'élue socialiste et candidate DVG Alison Uddin[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25],[26],[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1793 Louis Nicolas Masson   Avocat en la cour du Parlement de Paris[25]
    1800 1815 Charles Cahouet    
    1815 1816 M. Perot    
    1816 1821 M. de Cau    
    1821 1828 M. Favard    
    1828 1835 Jean Pierre Ventenat    
    1835 1842 Louis Thomas Santallier-Thelu    
    1843 1860 Jean Baptiste Marty    
    1860 1865 Achille Domergue    
    1865 1870 Felix Joseph Godillot    
    1870 1871 Camille Leclerc    
    1871 1876 Louis Maréchal   Capitaine commandant l'artillerie du Fort de Charenton[27]
    Officier de la Légion d'honneur
    1877 1878 Eugène Louis Chevalier    
    1878 1878 Edouard Aimé Delmas    
    1878 1885 Paul Carpentier    
    1885 1886 Eugène Hippolyte Catalo    
    1886 1891 Alphonse Marvillet    
    1891 1912 Arthur Dussault   Marchand de vin[27], peintre
    Chevalier de la Légion d'honneur
    1912 1915 Charles Henri Paul Thévenin Rad. Soc. Médecin
    [26]
    Chevalier de la Légion d'honneur
    1915 1917 François Clément Ternaux SFIO Député de la Seine (1924 → 1928)
    1917 1919 Charles Henri Paul Thévenin Rad. Soc. Médecin[26]
    Chevalier de la Légion d'honneur
    1919 1925 Arthur Dussault Rad. Soc. Marchand de vin[27]
    Chevalier de la Légion d'honneur
    1925 1944 Charles Henri Paul Thévenin Rad. Soc. Médecin[26]
    Chevalier de la Légion d'honneur
    Maintenu dans sa fonction par le gouvernement de Vichy[28]
    1944 1947 Philippe Émile Joseph Denis   Courtier en assurances[26]
    1947 1972[29] Henri-René Guérin UDR Médecin
    Conseiller général de la Seine[26]
    Décédé en fonction
    1973 2001 Alain Griotteray PR
    puis UDF
    Député du Val-de-Marne (1967 → 1973 et 1986 → 1997)
    Commandeur de la Légion d'honneur[26]
    2001 mai 2016[30],[31] Jean-Marie Brétillon[32] UDF-DL puis
    UMPLR
    Pharmacien
    Conseiller général de Charenton-le-Pont (1998 → 2015[33])
    Vice-président de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois (2016 → 2016[34])
    Démissionnaire
    mai 2016[35] En cours
    (au 3 mars 2020[23])
    Hervé Gicquel LR Cadre financier à la Caisse des dépôts et consignations
    Conseiller départemental de Charenton-le-Pont (2015 → )

    Vice-Président du Conseil Départemental du Val de Marne (2021 → )

    Représentants de Charenton le Pont

    Nom Parti
    Maire Hervé Gicquel (depuis Mai 2016) LR
    Conseillers Cantonaux puis Départementaux

    (Canton de Charenton)

    Hervé Gicquel (depuis Mars 2015)(Charenton le Pont) LR
    Chantal Durand (depuis Mars 2015, Joinville le Pont) LR
    Conseillers Régionaux (Liste Départementale) Gilles Maurice Bellaïche (jusque Décembre 2015) PS
    Sénateur (Liste Départementale)
    Député (8ème Circonscription du Val de Marne) Michel Herbillon[36] (depuis 1997, de Maisons-Alfort) LR

    Distinctions et labels

    Depuis 2010 et jusqu'à au moins 2016, la commune de Charenton-le-Pont est récompensée par la plus haute distinction au label Ville Internet avec @@@@@ (5 arobases)[37]. L'année 2021 marque pour Charenton l'obtention du label Territoire d'excellence numérique[38].

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 30 053 habitants[Note 4], en diminution de 1,17 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 1261 2641 4001 9772 5583 3933 5053 219
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 2585 5346 1907 1418 82211 82613 53515 30616 811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    17 98018 37219 49920 87220 89121 09820 94621 45722 079
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    22 53022 30020 46820 50021 87226 58228 39529 56230 500
    2018 - - - - - - - -
    30 053--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    École élémentaire Valmy.

    Enseignement primaire

    La commune de Charenton dispose de dix établissements scolaires publics dans l'enseignement primaire[41]. Parmi eux, six sont des écoles maternelles :

    • Cerisaie ;
    • Champ des Alouettes ;
    • Conflans ;
    • Port aux Lions ;
    • Quatre Vents.

    Les écoles élémentaires sont :

    • Aristide-Briand (A et B, l'école est divisé en deux bâtiments) ;
    • Desnos ;
    • Pasteur ;
    • Valmy.

    Il existe un établissement privé, l'ensemble Notre-Dame-des-Missions qui regroupe une école primaire, un collège et un lycée[41].

    Établissement du secondaire

    Le collège la Cerisaie et le lycée Robert-Schuman sont les deux établissements scolaires publics du cycle secondaire[41].

    Sports

    Le stade Henri-Guérin, où évolue actuellement le CAP Charenton à domicile.

    La commune compte de nombreux équipements sportifs.

    Le complexe Tony-Parker a été inauguré en 2011 par le champion de basket éponyme. Il est composé de deux gymnases (45 m × 35 m) parallèles séparés par une paroi en verre, une salle de musculation, une salle de réunion et de bureaux associatifs. L'un des gymnases comporte 300 places assises.

    Le complexe Maurice-Herzog est composé d'un gymnase (35 m × 21 m), d'une salle de boxe avec ring et d'une salle destinée aux arts martiaux.

    Le complexe Télémaco-Gouin est composé d'une piscine, d'une fosse de plongée (m et 15 m), d'un gymnase avec 300 places assises et d'un espace destiné à la gymnastique aux agrès.

    Le complexe Nelson-Paillou est composé d'un gymnase (35 m × 21 m) avec 500 places assises, d'une salle polyvalente, d'une salle de gymnastique aux agrès, d'une salle de tennis de table de 18 tables.

    Le complexe Jean-Mermoz est composé d'une salle de danse en parquet, d'un boulodrome couvert avec deux pistes de pour jouer à la boule parisienne et de deux terrains de tennis.

    Le stade Henri-Guérin est composé d'un terrain de football (105 m × 68 m) en synthétique avec 500 places assises.

    Le stade Charentonneau est composé d'un terrain de football (105 m × 68 m) en synthétique.

    La piste d'athlétisme Stéphane-Diagana, d'une longueur de 300 mètres, est composée de cinq couloirs et d'une aire stabilisée de 70 m × 30 m au centre.

    La commune possède également un dojo, de dimension de 15 m × 15 m, la salle d'armes Henri-IV de neuf pistes destinées à l'escrime, les salles Aristide-Briand (salle d'art martiaux et salle polyvalente), la salle Claude-Bessy (salle de danse en parquet), les trois terrains de tennis Jules-Noël et une salle de 430 m2 destinée au Krav Maga rue Jean-Pigeon.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 36 748 €, ce qui plaçait Charenton-le-Pont au 4 790e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[42].

    Entreprises et commerces

    Bercy 2, centre commercial de 71 enseignes pour 36 000 m2, est situé à Charenton-le-Pont aux bords de la Seine et du périphérique. Ce centre commercial, inauguré le , est l'œuvre des architectes Renzo Piano et Jean-François Blassel. La structure, dont la courbure suit le virage du périphérique, évoque un grand dirigeable. Elle est constituée d'une structure en bois, couverte de tuiles d’acier inoxydable, formant une grande halle fermée de l’extérieur et éclairée par la verrière du toit[43],[44].

    La commune accueille le siège social d'Essilor, cinq sites de la banque Natixis (Liberté, Liberté 2, Bercy, Nouveau Bercy et Coupole) employant près de 5 000 personnes, le siège admlinistratif du Crédit foncier de France (au no 4 du quai de Bercy), une usine et une plateforme de distribution de Porto Cruz et la Banque française mutualiste.[réf. souhaitée]

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Cimetière ancien.

    Patrimoine religieux

    École secondaire diocésaine du Sacré-Cœur de Conflans. Cour d'honneur et façade sud.
    • Église Saint-Pierre (1859), possède une pietà du XVIe siècle, des fonts baptismaux du XVIIe siècle et un calvaire en bronze de François Rude (1855) ;
    • Ancien Couvent de Conflans, dont subsistent entre autres la chapelle de Conflans (construite en 1867 chapelle de l'ancien petit séminaire de Paris) et le parc du Séminaire-de-Conflans[48]. Les bâtiments du couvent abritent aujourd'hui la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine.
    • La chapelle Saint-Antoine-de-Padoue, dite chapelle des tonneaux, qui existait depuis 1891, était située rue Escoffier (rue de la Zone à l'époque). Abandonnée en 1941 et démolie en 1988 lors de la création du quartier Bercy 2, elle fut remplacée en 1942 par la chapelle Sainte-Sophie-Barat située avenue de la Liberté et devenue le centre Emmaüs Charenton.
    • Chapelle Notre-Dame-de-Valmy (construite en 1996), rue du Petit-Château ;
    • La chapelle Notre-Dame-du-Sacré-Cœur, plus communément appelée chapelle Chanzy ou petite chapelle, située alors rue de Chanzy, fut démolie lors de la création du nouveau quartier Valmy-Liberté ;
    • Temple protestant, rue Guérin ;
    • Synagogues : rue des Bordeaux (construite en 2005 - ACIC), rue de Paris (Beth-Habad Charenton - S.Maurice) et rue de l'Arcade (Ben Abraham).

    Gastronomie

    Charenton abrite le siège de la Compagnie des courtiers jurés-experts piqueurs de vins de Paris.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes de Charenton-le-Pont se blasonnent ainsi : D'azur au pont de quatre arches ogivales d'or, fortifié, donjonné et girouetté d'argent, le tout maçonné de sable et posé sur une mer d'argent.

    La devise de la ville est : Præsidium et decus, ce qui signifie « Défense et gloire »[51].

    L'ancien blason de la ville (officialisé le 24 janvier 1900) présentait une couronne murale de quatre tours et les arches latérales du pont couleur d'or.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Charenton-le-Pont », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Monument à Henri IV – Charenton-le-Pont », notice sur e-monumen.net.
    2. « Monument à Henri IV – Charenton-le-Pont », notice sur e-monumen.net.
    3. « Charenton.fr | Environnement > Stationnement », sur www.charenton.fr (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Charenton-le-Pont s’offre un gratte-ciel vert, 94.citoyens.com, 13 mars 2018.
    13. Kelly Pujar, « Charenton-le-Pont, avant-poste de Paris », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    14. Ville de Charenton-le-Pont, « Archives et patrimoine - Histoire de la Ville », sur charenton.fr (consulté le ).
    15. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne). p. 373.
    16. Miquel, p. 425.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti.
    19. https://www.geneanet.org/archives/registres/view/18927/1383
    20. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
    21. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    22. Décret n° 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance
    23. Corinne Nèves, « Municipales à Charenton : le maire sortant LR défiée par la fille de son prédécesseur : Pas moins de six listes sont engagées dans la campagne, deux à droite, une au centre et trois à gauche. », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Têtes de liste : Caroline Campos-Brétillon (DVD), Hervé Gicquel (LR), João Martins-Pereira (PS), Loïc Rambaud (EELV), Francis Rodriguez-Lacam (LREM), Alison Uddin (DVG). ».
    24. Par L’édition du Val-de-Marne Le 15 mars 2020 à 18h52 et Modifié Le 16 Mars 2020 À 10h53, « Municipales dans le Val-de-Marne : la moitié des maires élus au premier tour », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    25. Fernand Bournon, Département de la Seine, Direction des affaires départementales, État des communes à la fin du XIXe siècle - Charenton-le-Pont : notice historique et renseignements administratifs / publié sous les auspices du Conseil général, Paris, Impr. de l'école d'Alembert (Montévrain), , 138 p. (lire en ligne), p. 29.
    26. « Les élections municipales approchent : comme l'ensemble des Français, les Charentonnais vont être appelés aux urnes pour élire le Maire de la Commune. L'occasion nous est offerte de rappeler qui, au fil de l'histoire récente, a exercé ces fonctions », Charenton magazine, no 188 « 1914-2014 : Charenton se souvient », , p. 8 (lire en ligne [PDF]).
    27. Base Leonore, Archives Nationales
    28. « Maires des communes suburbaines de la Seine », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, no 131, , p. 391 (lire en ligne).
    29. Alain Faujas, « À Charenton-le-Pont : Les élections municipales et cantonales ou la stratégie en deux temps de M. Griotteray, député républicain indépendant », Le Monde, (lire en ligne).
    30. Corinne Nèves, « Le maire de Charenton annonce son départ », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne) « Maire depuis 15 ans, élu en 2014 avec 65 % de voix, Jean-Marie Brétillon avait déjà annoncé, lors de la campagne municipale de mars 2014, que ce serait « son dernier mandat ». Réélu avec 65 % des voix, il rendra donc son écharpe 4 ans avant l'échéance des prochaines municipales de 2020 ».
    31. Corinne Nèves, « Je suis heureux de ce que j'ai fait pendant 15 ans » : Jean-Marie Brétillon, quitte son mandat de maire (LR) aujourd'hui », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Il démissionne après 15 ans à la tête de la ville et 44 ans comme conseiller municipal. Il a désigné son successeur, Hervé Gicquel, son 1er adjoint, après lui avoir déjà laissé son poste de conseiller départemental en mars 2015. « J'ai fait mon temps et la roue tourne, remarque Jean-Marie Brétillon, 72 ans, élu en 2001 face au maire sortant Alain Griotteray, 78 ans ».
    32. « Jean-Marie Brétillon brigue un troisième mandat à Charenton », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
    33. « Jean-Marie Brétillon cède son fauteuil au conseil général », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
    34. « La fille à la place du père à Paris-Est-Marne et Bois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
    35. Laure Parny, « « Je serai le chef d'une équipe soudée » : Hervé Gicquel, nouveau maire (LR) de la commune », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
    36. Par C. N. Le 18 juin 2017 à 20h00, « Législatives 2017 : Michel Herbillon (LR) réélu haut la main », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    37. « Charenton-le-Pont@@@@@ 2016 », sur http://www.villes-internet.net (consulté le ).
    38. « Label Ville Internet 2021 », sur charenton.fr (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Famille - Éducation / Enfance - Éducation Établissements », sur charenton.fr (consulté le ).
    42. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    43. Hervé Martin, Guide de l'architecture moderne à Paris 1900-1995, Éditions Alternatives, Paris, 1995, 5e édition, p. 11.
    44. Renzo Piano, Carnet de bord, éd. Le Seuil, Paris, 1997
    45. « Château de Bercy », notice no PA00079859, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Château de Conflans », notice no PA00079860, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Pavillon d'Antoine de Navarre », notice no PA00079861, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. Charenton magazine n°184 octobre 2013
    49. René Le Guénic, Morbihan - Mémorial de la Résistance, 1998, page 23
    50. René Le Guénic, Morbihan - Mémorial de la Résistance, 1998, pages 32 et 33
    51. L'importance du pont fortifié, au confluent de la Marne et de la Seine, qui servit de défense près de Paris, a fourni naturellement les armoiries de la ville : « d'azur, au pont de quatre arches, soutenant une tour donjonnée et girouettée, le tout d'argent, maçonné et ajouré de sable, sur une rivière au naturel ». Quant à la devise, tirée de Horace, H. Tausin la donne comme douteuse.
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