Alexandre Farnèse (1545-1592)

Alexandre Farnèse, en italien Alessandro Farnese (Rome, - abbaye Saint-Vaast à Arras, ), est un noble italien de la Renaissance. Troisième duc de Parme et Plaisance, quatrième duc de Castro, et gouverneur des Pays-Bas espagnols, il est l'un des plus grands chefs militaires du XVIe siècle, ses victoires ont contribué à former la configuration géopolitique de la Belgique et des Pays-Bas.

Pour les articles homonymes, voir Alexandre Farnèse et Alexandre Ier.

Pour les autres membres de la famille, voir Maison Farnèse.

Biographie

L'enfance

Alexandre Farnèse est le fils d'Octave Farnèse (1524-1586), duc de Camerino, Parme, Plaisance, Castro et Ronciglione, préfet de Rome, petit-fils du pape Paul III (1468-1549), et de Marguerite de Parme (1522-1586) (Marguerite d'Autriche), elle-même fille naturelle puis légitimée de Charles Quint (1500-1558).

Il est baptisé avec son frère jumeau Carlo, mort prématurément, dans l'église Sant'Eustachio en présence de 19 cardinaux et du pape Paul III. Le parrain est l'empereur Charles Quint et la marraine est Éléonore de Habsbourg, sœur de ce dernier, et reine de France en tant qu'épouse de François Ier.

Alexandre passe les premières années de vie à Parme où, de 1551 à 1552, il est le témoin de la guerre entre les armées françaises et du duché contre celles du pape et des impériaux. Durant la guerre de Parme, il peut admirer la ténacité et l'habileté militaire de son père, et voir à l'œuvre le commissaire à la guerre et à l'artillerie du duché Francesco De Marchi (1504-1576), grand expert en fortifications et technologies militaires.

Pendant la période passée à Parme, il reçoit une excellente éducation ; à l'âge de 10 ans, il est capable d'écrire une lettre en latin à son oncle le cardinal Alexandre Farnèse (1520-1589). Alexandre est un garçon précoce ; ses précepteurs sont Giuliano Ardinghelli, Francesco Paciotto et Francesco Salomone[1], qui lui enseignent les matières scientifiques pendant que Francesco Luisino d'Udine lui enseigne les lettres.

Parme embrasse
Alexandre Farnèse

Girolamo Mazzola Bedoli, 1556
Galerie nationale de Parme

À la cour d'Espagne

Après la guerre de Parme, Octave suit une politique toujours plus pro-espagnole, reniant l'amitié française. Comme conséquence du traité de Gand du signé par Philippe II (1527-1598) et le duc Octave, Alexandre est invité, aussi comme otage, à la cour d'Espagne qui se trouve à Bruxelles, où il se rend en décembre accompagné de sa mère, demi-sœur de Philippe. Son oncle l'accueille chaleureusement et Alexandre en conquiert vite l'estime. Le portrait de Girolamo Mazzola Bedoli, date probablement de ce départ.

Le , Charles Quint meurt; ainsi Philippe doit rentrer en Espagne laissant Marguerite gouverner la Flandre, mais emmenant avec lui Alexandre.

À la cour de Madrid, Alexandre fait la connaissance d'un fils naturel puis légitimé de Charles Quint, don Juan d'Autriche (1545-1578). Entre Alexandre (le neveu) et Don Juan (l'oncle), qui ont le même âge, naît une forte amitié qui les lie toute la vie. À la cour d'Espagne, Alexandre est initié aux principes des sciences politiques et est éduqué à respecter l'autorité légitime et la religion. Il suit les cours de philosophie et de sciences exactes à l'université de Alcalá de Henares.

Le mariage, le retour à Parme et la bataille de Lépante

Alexandre Farnèse

Alexandre reste en Espagne pendant presque six ans. Entre-temps, son père veut le marier à une Médicis ou à une Este mais Philippe II est opposé à ce mariage entre Italiens, il décide donc de le marier à une de ses filles mais à son tour sa mère, Marguerite de Parme, s'y oppose. Le choix se porte sur Marie de Portugal (1541-1577), fille aînée de l'infant Eduardo d'Avis (en), duc de Guimarães, et petite-fille de Manuel Ier (roi de Portugal).

Le mariage est célébré à Bruxelles dans les Pays-Bas méridionaux le . En 1567 les époux s'installent à Parme. Cette même année naît Marguerite, puis deux ans après l'héritier au trône ducal Ranuce. Alexandre supporte mal cette vie oisive à laquelle il est contraint et pour occuper son temps, il fait de l'équitation, de l'escrime et étudie l'art militaire.

Pendant qu'Alexandre se languit à Parme, le danger turc se fait toujours plus pressant. En , les Ottomans envahissent Chypre, royaume rattaché à la république de Venise, déclenchant ainsi la quatrième Guerre vénéto-ottomane. Ils conquièrent rapidement Nicosie avant de se heurter à la forteresse vénitienne de Famagouste. Atteint par ces événements, le pape Pie V (1566-1572) en appelle à la chrétienté entière pour la création d'une Sainte-Ligue destinée à combattre la flotte turque qui devenait peu à peu maîtresse de la Méditerranée.

Le , un accord est conclu, don Juan d'Autriche, oncle et ami d'Alexandre, devient le commandant suprême de la flotte et le veut immédiatement à ses côtés. Alexandre, pour qui cet appel constitue une opportunité à ne pas laisser échapper, rassemble autour de lui les familles parmesanes et placentines et part rejoindre les troupes de Don Juan à Gênes le , avec un contingent formé de 24 gentilshommes et 300 soldats.

Du fait de la diversité de la flotte chrétienne, surviennent rapidement de nombreuses difficultés, accentuées par le fait que les amiraux vénitiens et génois sont obligés d'obéir à un commandant âgé de 24 ans sans expérience maritime. Le , la situation explose lorsque l'amiral vénitien Sebastiano Veniero fait pendre des mutins espagnols, empiétant sur la juridiction de Don Juan. Alexandre réussit à calmer la colère de son oncle[réf. nécessaire][2] et à rétablir l'ordre entre les amiraux, alors que les flottes espagnole et vénitienne étaient prêtes à en découdre entre elles. Pour cette intervention, Alexandre reçoit les éloges du pape.

Le , les flottes chrétienne et turque combattent dans les eaux du golfe de Lépante, en Grèce. L'issue de la bataille, pendant laquelle Alexandre se distingue encore une fois par son courage et son habileté militaire, est favorable à la Sainte-Ligue et met fin à l'expansionnisme turc, la flotte ottomane étant presque anéantie.

Le contingent parmesan prend part à la poursuite de la guerre terrestre, et en particulier au siège de Modon en 1573, finalement levé à la suite de l'intervention de la flotte turque reconstituée et commandée par Uluç Ali. Lorsque la paix est signée le , mettant fin à la quatrième guerre vénéto-ottomane, Alexandre retourne à sa vie tranquille à Parme. Le , naît Odoardo, futur cardinal.

Le , Marie de Portugal meurt. Cette mort rompt le dernier lien qui unit Alexandre au duché.

Les Pays-Bas espagnols

Alexandre Farnèse

1577 est l'année de l'arrivée d'Alexandre dans les Pays-Bas espagnols sur invitation de Philippe II et à la demande de Don Juan, gouverneur des Pays-Bas de 1576 à 1578. Le 15 décembre, il traverse les Alpes pour ne plus revenir en Italie.

L'Espagne, malgré la légitimité héréditaire de sa possession, risque d'être chassée par la fraction protestante emmenée par le prince Guillaume Ier d'Orange-Nassau le Taciturne (1533-1584) soutenue par l'Angleterre, en raison de la médiocre administration du gouverneur Ferdinand Alvare de Tolède.

La première préoccupation d'Alexandre est celle de réorganiser l'armée, opération bénéfique dès le lorsque les troupes espagnoles battent les orangistes à proximité de Gembloux. Après cette bataille, le sort de la guerre est en faveur des forces impériales, les orangistes étant contraints de demander l'aide du catholique François de France, duc d'Anjou (1554-1584). À l'âge de 32 ans, le , don Juan d'Autriche meurt ; ainsi Philippe II, tenant Alexandre pour un des plus habiles et fidèles collaborateurs, le nomme gouverneur général des Flandres et de la Bourgogne et capitaine général de l'armée.

La situation en Flandre n'est pas des meilleures ; la modération d'Alexandre s'oppose aux excès calvinistes qui transforment la guerre d'indépendance en guerre de religion. Grâce à ses qualités, il devient un élément de rassemblement entre les catholiques et les protestants modérés qui apprécient sa loyauté, sa modération et la discipline de ses troupes qui ne se laissent jamais aller aux saccages et à des destructions contrairement aux troupes orangistes et françaises.

Le , avec la signature du traité d'Arras, les provinces catholiques reconnaissent Alexandre Farnèse comme gouverneur, elles renoncent à leurs aspirations d’indépendances en échange de plus grandes garanties au terme des hostilités. Ce succès diplomatique est suivi, le , de la conquête de Maastricht. Les deux années qui suivent voient le retour de Marguerite de Parme comme gouverneure de la Flandre, nomination qui n’est pas appréciée par son fils Alexandre, qui considère qu’elle porte atteinte à son prestige et qu’elle est dangereuse pour sa politique de pacification du pays. Philippe II la révoque le . Entre-temps, le duc d’Anjou François cherche en permanence à conquérir la région mais est régulièrement repoussé par Alexandre.

Le , Guillaume d'Orange, le chef charismatique des protestants est tué.

À partir de ce moment, Alexandre enchaîne des succès ininterrompus, ces faits d'armes sont illustrés sur des tableaux du peintre génois Draghi (en), que les Farnèse utilisèrent pour décorer le salon de la Meridiana dans le palais qui est actuellement le siège du musée archéologique national de Naples. Le , il conquiert Gand et, en , Bruxelles et Nimègue. Le , Anvers tombe, ce qui nécessite, pour la bloquer, la construction côté mer, d’un pont long de 720 mètres.

Pour ces opérations, Alexandre reçoit les insignes de l’ordre de la Toison d'or et la restitution formelle de la ville de Plaisance jusqu’alors aux mains des Espagnols qui acceptent ainsi de lui rendre l’intégralité du territoire de son duché.

Au cours des années qui suivent, Alexandre s'emploie à préparer la guerre contre l’Angleterre qui n’a pas lieu en raison de l’anéantissement de la flotte espagnole, l'Invincible Armada en 1588.

Le duché de Parme et les dernières gloires

À la mort de son père Octave, en 1586, Alexandre devient duc de Parme et de Plaisance, mais il ne gouverne jamais son duché, nommant son fils Ranuce (1569-1622), âgé de dix-sept ans, régent.

Au cours des dernières années de sa vie, à la demande de Philippe II, Alexandre prend part à la guerre de Religion qui se déroule en France.

En , il part avec 13 000 hommes, rejoint le duc Charles de Mayenne, et libère Paris assiégée par l'armée royale commandée par Henri IV (1553-1610). Celui-ci le contraint à lever le siège, mais ne se risque pas à l’affronter. Il se contente de prendre Lagny-sur-Marne, Saint-Maur, Charenton et Corbeil, et ainsi de ravitailler la capitale affamée[3]. Alexandre se retire ensuite en Flandre où il combat Maurice de Nassau (1567-1625), fils et successeur du Taciturne.

Deux ans plus tard, le , il marche au secours de Rouen, également assiégée par Henri IV, avec 18 000 hommes. Le roi de France le repousse au-delà de la Somme avec seulement 7 000 cavaliers. Il parvient néanmoins à dégager la ville, mais lors des combats devant Caudebec, le , il est blessé au bras[4]. Malgré la pression des troupes d’Henri IV, Alexandre, par une grande manœuvre, permet à son armée de s’échapper[5]. Il rentre en Flandre, puis après s’être rétabli, se déclare prêt à reprendre les opérations en France, mais à la cour de Madrid, en raison de la jalousie qu'il suscite, on l’accuse de manquer de loyauté envers le monarque qui lui retire la charge de gouverneur.

Sa santé s’aggrave subitement et dans la nuit du au , il meurt à l'abbaye Saint-Vaast d'Arras.

Sa dépouille est habillée de la tenue des capucins et transférée à Parme avant d’être inhumée dans l’église des capucins aux côtés de sa femme. La mort lui épargne la nouvelle de la perte de sa charge de gouverneur.

Alexandre Farnèse emporte dans la tombe l'estime de son adversaire même, Henri IV.

Il a contribué par ses victoires à la séparation définitive des Pays-Bas calvinistes, qui obtiennent finalement l’indépendance en 1648, et des provinces du sud (les Flandres) qui restent dans l’orbite catholique des Habsbourg (d'abord d'Espagne puis d'Autriche), bien qu'amputées sous Louis XIV de nombreux territoires au profit de la France.

Descendance

Alexandre se marie, le à Bruxelles, avec l'infante Marie de Portugal (1538-1577), fille de Duarte (Édouard), duc de Guimarães et frère des rois Jean III et Henri Ier (de la maison d'Aviz), et d'Isabelle de Portugal-Bragance. Ils eurent trois enfants :

  • Édouard (1573-1626), cardinal et mécène, commanditaire des peintures de la galerie du palais Farnèse à Rome, par les Carrache ;
  • Margherita (1567-1643) qui deviendra nonne bénédictine après son mariage annulé avec Vincent Ier de Mantoue ;
  • Ranuce (1569-1622) qui sera le 4e duc de Parme et de Plaisance, titré Ranuce Ier.

Après la mort de sa femme, il vint à avoir une fille naturelle de Catherine de Roquoi[réf. nécessaire][6], une dame des Flandres de la maison de Roquoi :

  • Isabelle Marguerite Farnèse (Isabella Margherita Farnese) (Luxembourg, 1578 - Lisbonne, 1610), mariée à Rouen en (certains contestent le mariage), avec le Portugais D. João de Meneses, le Roux (le Pourpre) (Penamacor, vers 1550 - Madrid, 1604), seigneur du Majorat de Penamacor, colonel de l'Armée espagnole, maître d'armes dans les Pays-Bas espagnols, seul fils et héritier de D. Simão de Meneses (alcade majeur et commandeur de Penamacor, fils des seigneurs de Louriçal)[7], et de sa femme et parente D. Leonor de Castro[8]. Ils ont une seule fille et héritière :
    • D. Leonor de Meneses (vers 1600 - ?), mariée en Penamacor avant 1630 avec son parent Pedro Álvares Cabral, 13e seigneur d'Azurara (es) et 12e alcade majeur de Belmonte et seigneur de sa maison (vers 1600 - vers 1655), fils de Nuno Fernandes Cabral (vers 1565 - a. 1613), 10e seigneur d'Azurara et 9e alcade majeur de Belmonte, et de sa femme D. Margarida de Meneses (vers 1570 - ?) ; arrière-arrière-arrière-petit-fils en ligne masculine de Pedro Álvares Cabral ; avec descendance, bien qu'éteinte en ligne masculine, dans la famille de Figueiredo Cabral da Câmara (D.), seigneurs du majorat de la Ota, alcades majeurs et comtes de Belmonte et seigneurs d'Azurara, et par bâtardise dans la famille de Brito Cabral de Meneses de Alarcão.

La citadelle de Parme

Plan de la citadelle.

La citadelle de Parme fut construite sur les ordres d'Alexandre en limite de l'ancien mur qui entourait Parme afin d'en assurer la défense et en tant qu'emblème du pouvoir ducal. Sa construction fut aussi l'occasion de fournir du travail à une grande partie de la population qui subissait une forte famine. De forme pentagonale, l'architecture s'inspire de la citadelle d'Anvers. Aujourd'hui, elle est devenue un jardin public.

Curiosité

En 1950, à la demande de Franco, le quatrième Tercio (régiment) de la légion espagnole est créé à Villa Sanjurjo (aujourd’hui Alhucemas), au Maroc et porte le nom d’Alexandre Farnèse (Alejandro de Farnesio en espagnol).

Notes

  1. (it) « Alessandro Farnese, duca di Parma, Piacenza e Castro », sur Treccani (consulté le ).
  2. D'autres sources attribuent cette médiation au prince Marcantonio Colonna, par exemple Alessandro Barbero, La bataille des trois empires - Lépante, 1571, Flammarion Au fil de l'histoire, 2012.
  3. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne)., p. 373.
  4. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne)., p. 382.
  5. François Puaux, Histoire de la réformation française, quatrième tome, Michel Lévy frères, éditeur, 1860, p. 7, 8.
  6. Per Alexandre Farnèse by Lèon van der Essen, vol. I, p. 1, he had no illegitimate children. (April 2017)
  7. Des seigneurs de Cantanhede (antérieurement comtes de Neiva seigneurs de Faria).
  8. Des comtes au-devant seigneurs de Tarouca, des comtes de Viana do Alentejo et comtes de Viana da Foz do Lima et des comtes au-devant seigneurs de Vila Real (antérieurement comtes de Barcelos et comtes de Ourém).

Bibliographie

  • (it) Antonello Pietromarchi, Alessandro Farnese l'eroe italiano delle Fiandre, Gangemi, Roma, 1998.
  • (it) Giovanni Tocci, Il Ducato di Parma e Piacenza, UTET Libreria, Torino, 1987.
  • (it) Emilio Nasalli Rocca (1901-1972), I Farnese, TEA, 1997.
  • (it) Edoardo del Vecchio, I Farnese, Istituto di Studi Romani Editore, 1972.
  • Léon van der Essen, Alexandre Farnèse, prince de Parme, gouverneur général des Pays-Bas, 1545-1592 :
    • I 1545-1578, Librairie nationale d'art et d'histoire, Bruxelles, 1933.
    • II 1578-1582, Librairie nationale d'art et d'histoire, Bruxelles, 1934.
    • III 1582-1584, Librairie nationale d'art et d'histoire, Bruxelles, 1934.
    • IV Le siège d'Anvers, 1584-1585, Nouvelle Société d'Éditions, Bruxelles, 1935.
    • V 1585-1592, Nouvelle Société d'Éditions, Bruxelles, 1937.
  • Charles-Albert de Behault, Le siège d'Anvers par Alexandre Farnèse, in Bulletin trimestriel de l'ANRB, n° 307, juillet 2021.
  • Marie-Charles-Joseph de Terrier-Santans, Campagnes de Alexandre Farnèse, duc de Parme et de Plaisance 1591-1592, Paris et Rouen, 1888.

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

Sources

  • Cet article comprend des extraits du Dictionnaire Bouillet. Il est possible de supprimer cette indication, si le texte reflète le savoir actuel sur ce thème, si les sources sont citées, s'il satisfait aux exigences linguistiques actuelles et s'il ne contient pas de propos qui vont à l'encontre des règles de neutralité de Wikipédia.
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