Saint-Gaudens
Saint-Gaudens (prononcé [sɛ̃godɛ̃ːs][1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, dont elle est sous-préfecture, en région Occitanie.
Cet article concerne la commune française. Pour les autres significations, voir Saint-Gaudens (homonymie).
Ne doit pas être confondu avec Saint-Gaudent ou Saint-Gauzens.
Saint-Gaudens | |||||
Collégiale Saint-Pierre et Saint-Gaudens. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne (sous-préfecture) |
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Arrondissement | Saint-Gaudens (chef-lieu) |
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Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges (siège) |
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Maire Mandat |
Jean-Yves Duclos (DVG) 2020-2026 |
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Code postal | 31800 | ||||
Code commune | 31483 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Gaudinois | ||||
Population municipale |
11 604 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 350 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
16 090 hab. (2018) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 06′ 32″ nord, 0° 43′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 338 m Max. 558 m |
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Superficie | 33,18 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Gaudens (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Saint-Gaudens (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Gaudens (bureau centralisateur) |
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Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | stgo.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Gaudens se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[2].
Elle se situe à 80 km à vol d'oiseau de Toulouse[3], préfecture du département. 0 km de Saint-Gaudens[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Valentine (2,1 km), Miramont-de-Comminges (2,5 km), Rieucazé (4,5 km), Aspret-Sarrat (4,6 km), Villeneuve-de-Rivière (4,8 km), Saux-et-Pomarède (5,0 km), Estancarbon (5,1 km), Labarthe-Rivière (5,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Gaudens fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].
Saint-Gaudens est limitrophe de huit autres communes.
Hydrographie
La commune est installée sur la rive gauche de la Garonne, elle est aussi arrosée par son affluent le Jô qui y prend sa source et le Lanedon un affluent de la Noue.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 318 hectares ; son altitude varie de 338 à 558 mètres[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 34 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[23].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[25], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[28] et les « prairies humides et milieux riverains de la vallée du Jô » (468 ha), couvrant 7 communes du département[29] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[30].
Urbanisme
Typologie
Saint-Gaudens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Gaudens, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[34] et 16 090 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[35],[36].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est la commune-centre[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,3 %), zones urbanisées (24,5 %), prairies (14,4 %), forêts (9,2 %), terres arables (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), eaux continentales[Note 9] (1 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[39].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Saint-Gaudens constitue une ville-étape sur la liaison historique Toulouse-Tarbes par la route départementale 817, maintenant doublée au nord de la ville par l'autoroute A64. Elle est aussi un carrefour avec la route nationale 125 assurant la liaison Toulouse-Espagne et la ligne de Toulouse à Bayonne dont la gare de Saint-Gaudens la dessert également, entre le centre-ville et la Garonne.
À l'ouest de la ville, la route nationale 117 et la route départementale 21 forment le circuit automobile du Comminges.
Par le train : en gare de Saint-Gaudens par TER Occitanie et Intercités sur la ligne Toulouse - Bayonne.
Saint-Gaudens dispose d'un service de transport municipal payant nommé Movigo et qui dessert l'ensemble de la ville.
Il y a également plusieurs lignes du Réseau liO Arc-en-Ciel de Haute-Garonne qui relient la commune à d'autres communes du département :
- la ligne 342 part de la gare de Saint-Gaudens jusqu'à L'Isle-en-Dodon ;
- la ligne 344 part de Saint-Gaudens jusqu'à Boulogne-sur-Gesse ;
- la ligne 391 part de Saint-Gaudens (Lycée Agricole, Lycée Bagatelle, Collège Leclerc) jusqu'à Alan ;
- la ligne 392 part de la gare de Saint-Gaudens jusqu'à Moncaup ;
- la ligne 393 part de Saint-Gaudens jusqu'à Melles ;
- la ligne 394 part de Saint-Gaudens jusqu'à Bagnères-de-Luchon ;
- la ligne 395 part de Saint-Gaudens jusqu'à Les (Catalogne) Espagne ;
- la ligne 397 part de Saint-Gaudens jusqu'à Mane ;
- la ligne 398 part de Saint-Gaudens jusqu'à Montréjeau.
Toponymie
Le lieu se nomme Mansus dans l'Antiquité romaine, référant au manse, domaine agricole, avant de s'appeler Mans par diminution lexicale. Il s'est potentiellement développé sur un ancien manse celtibère, les Celtes fonctionnant par fermes éparses à peine réunies en hameaux et pagi.
Mais juste avant le catholicisme, la ville se nommait Bans[40], une évolution phonétique à relier possiblement au titre de Ban germanique du fait de l'implantation wisigothique.
Le nom change avec le catholicisme, et devient Mas-Saint-Pierre[41], revenant à l'idée de manse (Mansus, Mans, Mas).
Avec la canonisation catholique de Gaudens par les Francs conquérants, la ville prend son nom actuelle. En gascon alors, devenir local du latin relié à l'euskara, le nom de la commune est Sent Gaudenç.
D’origine latine, Gaudens signifie « l’homme qui détient la parole ». Il est aussi dérivé de Gaudentius qui veut dire « joie »[42].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-d'Unité[43].
Histoire
Dans l'antiquité, une voie romaine reliant Toulouse à Dax passe à proximité du site actuel de la ville, où se trouve un domaine rural.
En 475 le lieu accueille la sépulture d'un martyr : Gaudens, jeune garçon décapité par les Wisigoths. Une communauté religieuse se crée alors en son nom. Une église et un monastère sont construits vers le VIIIe siècle, les religieux suivant les règles de vie de saint Chrodegand.
Le bourg prend son nom actuel au IXe siècle, en raison du culte qui s'est développé autour du martyr, et au moment où ses reliques sont déposées en l'église du Mas-Saint-Pierre. Au XIe siècle, la communauté religieuse se donne le statut de chapitre collégial. L'église est reconstruite à cette époque, en s'inspirant de la basilique Saint-Sernin de Toulouse et elle devient une collégiale.
En 1212 puis en 1216, la ville accueille les croisés de Simon IV de Montfort. Le XIIIe siècle est une période où la cité devient une place marchande. L'absence de fortifications se fait sentir et des défenses sont érigées (sous la forme de murailles et de fossés, avec deux portes).
Le pape Clément V, ancien évêque du Comminges, rend visite à la ville le et reconnaît dans une bulle du le caractère authentique des reliques, tout en accordant de nombreuses indulgences pour encourager les pèlerinages au sanctuaire.
Le XIVe siècle et le XVe siècle sont marqués par une crise économique assez profonde en raison de guerres (guerre civile, guerre étrangère). La ville subit ensuite les outrages dus aux guerres de religion, malgré les travaux entrepris pour compléter ses défenses au XVIe siècle (une seconde enceinte munie de cinq portes est construite à la suite de la croissance des faubourgs hors les murs) : le , la ville est prise par les huguenots menés par le comte de Montgommery. Les archives de la ville sont incendiées, l'église et le marché sont saccagés et pillés. Une partie des reliques est cependant sauvée en étant mise à l'abri dans une église voisine. L'arrivée du maréchal de Matignon permet aux catholiques de reprendre la ville peu après.
Saint-Gaudens est annexée au domaine royal en 1607 par Henri IV. Le , les reliques du saint reprennent leur place initiale à la collégiale. Cette date reste celle de la fête patronale de la cité, toujours célébrée de nos jours.
Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, le chapitre reprend de l'ampleur, jusqu'à la Révolution : il est alors supprimé et ses archives sont détruites pour l'essentiel.
En 1945, l'acte de libération de la ville est signé par le Dr Pierre Ollé, directeur de la clinique Ferran et chef de la Résistance locale, qui accepte dans la foulée de diriger la ville.
Les Hospitaliers
En 1160, l'hôpital de Saint-Jean de Jérusalem est créé. Une charte de coutumes est accordée par Bernard IV, comte de Comminges aux habitants en 1202 (elle sera confirmée en 1345).
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 10 000 habitants et 19 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de trente-trois[44],[45].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, du canton de Saint-Gaudens (bureau centralisateur) et de la communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges avant le Saint-Gaudens faisait partie de la communauté de communes du Saint-Gaudinois.
La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Tendances politiques et résultats
Scrutin | 1er tour | 2d tour | |||||||||||||||||||
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1er | % | 2e | % | 3e | % | 4e | % | 1er | % | 2e | % | 3e | % | ||||||||
Présidentielle 2002 | PS | 20,91 | RPR | 20,61 | FN | 17,16 | UDF | 6,77 | RPR | 83,54 | FN | 16,46 | - | ||||||||
Présidentielle 2007 | UMP | 30,64 | PS | 29,43 | UDF | 18,92 | FN | 9,70 | UMP | 51,42 | PS | 48,58 | - | ||||||||
Présidentielle 2012 | PS | 31,68 | UMP | 24,98 | FN | 20,08 | FG | 10,41 | PS | 53,98 | UMP | 46,02 | - | ||||||||
Municipales 2014 | DVG | 61,76 | PS | 38,23 | - | - | |||||||||||||||
Européennes 2014 | FN | 28,48 | PS | 18,17 | UMP | 17,53 | UDI | 8,85 | tour unique | ||||||||||||
Départementales 2015 | DVG | 45,03 | PS | 19,41 | FN | 19,39 | UMP | 8,16 | DVG | 71,32 | PS | 28,68 | - | ||||||||
Régionales 2015 | PS | 34,32 | FN | 30,28 | LR | 16,00 | DVG | 7,64 | PS | 47,40 | FN | 35,42 | LR | 18,18 | |||||||
Présidentielle 2017 | LREM | 23,92 | FN | 22,40 | LFI | 18,55 | LR | 18,36 | LREM | 63,21 | FN | 36,79 | - | ||||||||
Législatives 2017 | LREM | 35,81 | PS | 16,86 | FN | 15,06 | UDI | 11,61 | LREM | 54,90 | PS | 45,10 | - | ||||||||
Européennes 2019 | FN | 27,37 | LREM | 21,98 | PS | 9,73 | EELV | 9,70 | tour unique | ||||||||||||
Municipales 2020 | DVG | 70,45 | DVG | 29,54 | - | - |
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a renouvelé son attribution de deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[47].
Jumelages
- Avranches (France)
- Barbastro (Espagne)
- Vielha e Mijaran (Espagne) (chef-lieu du Val d'Aran)
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[48],[Note 10]
En 2018, la commune comptait 11 604 habitants[Note 11], en augmentation de 3,23 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[50] | 1975[50] | 1982[50] | 1990[50] | 1999[50] | 2006[51] | 2009[52] | 2013[53] |
Rang de la commune dans le département | 3 | 4 | 5 | 9 | 12 | 11 | 11 | 14 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
L'agglomération compte, en 2018, (à périmètre identique) 16 090 habitants contre 13 494 habitants au recensement de 2009. Cette évolution positive est encourageante puisque le déclin était continu depuis 1975 (14 707 habitants). Elle se compose de 4 communes : Saint-Gaudens (11 604 habitants), Valentine (878 habitants), Miramont-de-Comminges (773 habitants) et Estancarbon (608 habitants).
L'aire urbaine (40 communes) est la seconde de haute Garonne passe quant à elle de 25 474 habitants en 1999 à 30 387 habitants en 2018. Le déclin industriel des trente dernières années est désormais compensé par le dynamisme de la métropole toulousaine toute proche, dont l'essor notamment le long de l'A64 ne cesse de progresser vers le sud. La seconde raison est liée au désenclavement du Comminges.
Enseignement
L'éducation est assurée sur la commune de Saint-Gaudens par les écoles élémentaires, des lycées, des formations post Bac (BTS) et universitaires avec le Campus Connecté, en passant par le collège un centre de formation des apprentis agricoles et un centre du GRETA.
- École Maternelle des Olympiades.
- Groupes Scolaires des Caussades, des Gavastous, du Pilat et de la Résidence.
- Groupe Scolaire Privé Sainte-Thérèse.
- Collège Didier Daurat
- Collège Leclerc.
- Collège Privé Sainte-Thérèse.
- Lycée Général et Technologique de Bagatelle.
- Lycée Général et Lycée Professionnel Hôtelier privés Sainte-Thérèse.
- Lycée Professionnel Élisabeth et Norbert Casteret.
- Lycée Professionnel Agricole du Comminges.
- Campus universitaire "connecté".
- Petite enfance : halte-garderie, relais assistantes maternelles, crèches, centres de loisirs
- Un service d'inspection académique
Manifestations culturelles et festivités
- Festival international de musique du Comminges, Festival de musique sacrée.
- Festival de Jazz[54]: Jazz en Comminges
- Les Pyrénéennes qui ont lieu tous les trois ans. La dernière ayant eu lieu en 2018.
Service public
Saint-Gaudens possède un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, un commissariat de police, une police municipale, une poste, un centre des impôts, plusieurs maisons de retraite, un office de tourisme et abrite aussi le siège de la communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges, la sous-préfecture, un tribunal de commerce, un tribunal de grande instance, un conseil de prud'hommes, l'antenne du Conseil départemental de la Haute-Garonne, une maison de la région Occitanie, pôle emploi, DDE, douanes, office national des forêts et une CPAM (antenne de Toulouse).
- Le Tribunal de Grande Instance.
- Conseil Départemental de la Haute-Garonne
Santé
Centre hospitalier, Irm, téléchirurgie, centre médico social, centre intercommunal d’action sociale, école d'infirmières, école d'aides soignantes.
Culte
- Eglise Évangélique - Assemblée de Dieu.[55]
Sports
Rugby à XIII
Le club de rugby à XIII le Racing club saint-gaudinois Comminges XIII, surnommé « les Ours », est le club semi-professionnel de rugby à XIII de la ville. Il évolue actuellement en première division nationale.
Le club a un palmarès prestigieux et a notamment gagné trois coupes de France (en 1973, 1991 et 1992) et quatre championnats de France de première division nationale (en 1970, 1974, 1991 et 2004).
L'ensemble des équipes évolue au Stade Jules-Ribet.
Rugby à XV
Un club de rugby à XV, le Stade saint-gaudinois, évolue dans le Championnat de France de 3e division fédérale pour la saison 2017-2018. Il a évolué en première division groupe B dans les années 1980 et 1990 et même en Groupe A en 1987.
Autres sports
- Circuit automobile du Comminges en activité entre 1929 et 1954.
- Yves Giraud-Cabantous, né le à Saint-Gaudens, a été un coureur automobile de 1930 à 1957 (victoires au Bol d'or, à San Remo, au Grand Prix des Frontières, à la Coupe du Salon, au Grand Prix de Paris et aux 12 Heures de Reims).
- Marcel Tarrès (Marcel Tarrès-Sala), dit l'Aigle des montagnes, né le à Saint-Gaudens, a été un autre coureur automobile de 1976 à 1994, remportant onze championnats de France de courses de côtes entre 1982 et 1993, deux en Belgique en 1977 et 1978, et également trois championnats de France de sport prototype (Coupe Alfa), en 1991, 1993, et 1994[56].
- Tournoi de tennis international ITF féminin[57] : créé en 1996, l'Open Engie de Saint-Gaudens Occitanie est doté de 60 000 $.
- Club de football Union Sportive Saint-Gaudinoise Violettes en division Honneur régionale.
- Course cycliste Route d'Occitanie et son palmarès et ses statistiques.
- Moto club du Comminges (MCC) homologation Moto-cross FFM et UFOLEP.
- Le , Saint-Gaudens accueille l'arrivée de la 16e étape de la course cycliste du Tour de France .
Économie
Le Saint-Gaudinois draine des flux économiques du sud de la Haute-Garonne, une activité industrielle est présente.
- Papeterie : cette usine de fabrication de pâte à papier fut construite à la fin des années 1950 avec des capitaux américains dans le cadre du plan Marshall. L’usine de Saint-Gaudens produit plusieurs types de pâte à papier : pâte de feuillus mélangés, pâtes spéciales, pâtes de résineux. La « Cellulose d’Aquitaine » a appartenu au canadien Tembec. Elle est détenue depuis 2010 par la société canadienne Paper Excellence (en) et a pour nom « Fibre Excellence Saint-Gaudens ».
- Fabricant de capsules de surbouchage pour l'industrie du vin : Janson Industrie
- Recherche géophysique : Sercel, filiale de la Compagnie générale de géophysique
- Confection de prêt à porter : Groupe Formen
- Câblage électronique et électrique : ASC/SOPIDY
- Bâtiments et travaux publics : Giuliani SA
- Électricité et réseaux : Cassagne SAS
- Génie climatique et plomberie : Pyretherm SAS
- Fabrication de cuisines industrielles : Arcometal
- Antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Toulouse, Chambre de métiers et de l'artisanat, Chambre d'agriculture
- Papeterie Fibre Excellence
- Chambre de métiers et de l'artisanat
- Maison de l'agriculture
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Sont inscrits aux monuments historiques :
- Collégiale Saint-Pierre et Saint-Gaudens, construite au XIe siècle et remaniée au XVe siècle puis au XIXe siècle, classée 1840[59], entièrement rénovée de 2017 à 2019[60] ;
- Cloître provenant de l'ancienne abbaye de Bonnefont, classée en 1927[61] ;
- Halle aux grains : à deux vaisseaux, construite de 1830 à 1843, inscrite en 2004[62] et devenue Halle Gourmande en 2018 avec 7 commerces de bouche ;
- Monument des trois Maréchaux, inscrit en 2018[63] ;
- Monument aux morts, inscrit en 2018[64] ;
- Oratoire Notre-Dame-de-la-Caoue, inscrit en 1929[65].
- Le clocher de la collégiale Saint-Pierre de Saint-Gaudens.
- Cloître de l'abbaye de Bonnefont.
- La Halle de Saint-Gaudens.
- Monument aux morts par Paul Ducuing.
- Oratoire Notre-Dame-de-la-Caoue.
Autres lieux et monuments :
- Gare de Saint-Gaudens ;
- Hôtel de ville ;
- Tribunal de Grande Instance ;
- Le monument à André Maginot en 1914 ;
- Le monument à Eugène Azémar ;
- La chapelle de la Caoue ;
- La chapelle Sainte-Anne de Saint-Gaudens (quartier du Pouech) ;
- La chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs ;
- La Chapelle de Sainte-Germaine (quartier des Gavastous) ;
- La chapelle Saint-Jacques datant du XVIIe siècle. Désacralisée en 1991, convertie en Centre d'art contemporain[66] ;
- Stèle de la Liberté ;
- Jardin Public ;
- Lac de Sède.
- Cloître de la collégiale.
- Monument à André Maginot en 1914.
- Le monument à Eugène Azémar.
- Chapelle de la Caoue.
- Maison à colombages.
- Ancien monument situé à l'arrière du Conseil Départemental de la Haute-Garonne.
- Stèle de la Liberté.
- Lac de Sède.
- Aire de jeux du lac de Sède.
Équipements culturels
- Le cube, salle multi-activités et de spectacles, d'une capacité de 1 500 personnes assises et 3 000 debout.
- Théâtre municipal Jean-Marmignon.
- Le Musée - Arts & Figures des Pyrénées Centrales a une importante collection de Porcelaine de Valentine et d'œuvres du peintre Jean-Andrée Rixens.
- Centre d'art contemporain chapelle Saint-Jacques[67]. La chapelle Saint-Jacques, construite dans la première moitié du XVIIe siècle, attenante au couvent des Dames Religieuses de Notre-Dame de Nevers, est donnée à la Ville de Saint-Gaudens, en 1991 créer[Quoi ?] un lieu consacré à l'art contemporain[68].
- Médiathèque intercommunale qui conserve le fonds de la Société des études du Comminges.
- Conservatoire de musique à rayonnement intercommunal Guy Lafitte.
- Plaque commémorative à Saint-Gaudens.
- Le Musée - Arts & Figures des Pyrénées Centrales.
- Entrée de la Médiathèque intercommunale et du Conservatoire de musique Guy Laffite.
- L'entrée du Centre d'art contemporain chapelle Saint-Jacques.
- Centre d'art contemporain chapelle Saint-Jacques.
Personnalités liées à la commune
Personnalités politiques
- Bertrand Pégot (1750-1827), négociant, député à l'Assemblée constituante (1789-1791), père de Guillaume Alexandre Thomas Pégot et de Jean Pégot.
- Raymond-Théodore Troplong (1795-1869), personnalité politique français, juriste, Corédacteur du texte initial de la Constitution.
- Armand Marrast (1801-1852), personnalité politique français ancien maire de Paris.
- Henri Ebelot (1831-1902), avocat, ancien maire de Toulouse.
- Jean Bepmale (1852-1921), pyrénéiste et politicien[69], ancien maire de Saint-Gaudens.
- Hippolyte Ducos (1881-1970), ancien ministre et député du Comminges
- Nicole Bacharan (1955), politologue franco-américaine née à Saint-Gaudens
Militaires
- Jean-Bernard de Pointis (1645-1707), officier de marine et corsaire français du XVIIe siècle.
- Guillaume Alexandre Thomas Pégot (1773-1858), officier général des armées de la République et de l'Empire, né et décédé à Saint-Gaudens.
- Jean Pégot (1774-1819), chevalier de l'Empire, général de brigade, frère du précédent, né et décédé dans la commune.
- Raoul Castex (1878-1968), amiral français et théoricien militaire, fondateur de l'IHEDN (Institut des Hautes Études de la Défense Nationale).
- Ferdinand Foch (1851-1929), maréchal de France, de Grande-Bretagne et de Pologne, originaire de Valentine (Haute-Garonne).
- Jean-Louis Georgelin (1948), officier général français et chef d'état-major des armées. Grand chancelier de la Légion d'honneur
Sciences, médecine
- Charles Abadie (1842-1932), médecin ophtalmologiste.
Religieux
- Robert Davezies (1923-2007), prêtre, chercheur en mathématiques, militant de l'indépendance algérienne et des causes tiers-mondistes, en Afrique et en Amérique latine.
Culture, artistes
- Augustus Saint-Gaudens (1848-1907), sculpteur et médailleur américain, originaire d'Aspet. Un mémorial et un buste en son honneur symbolisent l'amitié franco-américaine au bas de la place de la légion d'honneur.
- Romain Cazes (1801-1881), peintre élève d'Ingres.
- Jean-André Rixens (1846-1925), peintre élève de Jean-Léon Gérôme et d'Adolphe Yvon.
- Romuald Joubé (1876-1949), acteur de cinéma muet.
- Guillaume Pujolle, (1893-1971), peintre français d'art brut.
- Norbert Casteret (1897-1987), spéléologue et écrivain.
- René Maheu (1905-1975), philosophe, sixième directeur général de l'UNESCO de 1961 à 1974.
- Jacques Borel (1925-2002), romancier et poète publié aux éditions Gallimard, prix Goncourt 1965, a vécu ses dix premières années à Saint-Gaudens, ville qu'il évoquera à plusieurs reprises dans son œuvre sous le nom de Mazerme.
- Guy Lafitte (1927-1998), saxophoniste de jazz.
- Jacqueline Boyer (1941), chanteuse qui a gagné le Concours Eurovision de la chanson en 1960.
- Dick Annegarn (1952), auteur-compositeur-interprète néerlandais
- Nicole Bacharan (1955), politologue et écrivaine spécialiste des États-Unis.
- Jacques Verdier (1957-2018), journaliste sportif et écrivain.
- Pierre Maubé (1962), poète, écrivain.
- Cédric Sire (1974), écrivain.
Sportifs
- Marcel Loubens (1923-1952), spéléologue, agent de liaison de la Résistance.
- Bernard Momméjat (1934-2011), joueur international de rugby à XV.
- Marcel Tarrès (1951), pilote de course français.
- Pierre Berbizier (1958), joueur international et entraîneur de rugby à XV.
- Élie Baup (1955), entraineur de football.
- Laurent Estadieu (1975), coureur cycliste.
- William Servat (1978), joueur international et entraîneur de rugby à XV.
- Arnaud Méla (1980), joueur international et entraîneur de rugby à XV.
- Laëtitia Grand (1990), joueuse internationale de rugby à XV.
Héraldique
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Les armes de Saint-Gaudens se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Bibliographie
- [Paris & Monciardini 1971] Jean-Pierre Paris et M. Monciardini (déterminations micropaléontologiques), « Notice explicative de la carte géologique à 1/50 000 « Saint-Gaudens » no 1055 (XIX - 46) », 23 p. [PDF], sur ficheinfoterre.brgm.fr, Orléans, éd. BRGM, (consulté le ).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la ville de Saint-Gaudens
- Office de tourisme du Saint-Gaudinois
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
- « Métadonnées de la commune de Saint-Gaudens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Gaudens et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Gaudens et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Gaudens », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
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- Saint-Gaudens, historique, sur lieuxsacres.canalblog.com.
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- Président du Comité local de Libération de 1944 à 1945.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Les Rencontres du saxophone.
- « Église Évangélique de Saint-Gaudens »
- Janine Tissot, Les grands pilotes automobile du XXe siècle, sur janinetissot.fdaf.org.
- Site web de l'Open de Saint-Gaudens Occitanie
- http://www.sivom-sgma.org/
- « Église collégiale Saint-Pierre de Saint-Gaudens », notice no PA00094461, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La collégiale Saint-Pierre se refait une beauté. », sur Petite République.com, (consulté le ).
- « Abbaye de Bonnefont », notice no PA00094460, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Halle », notice no PA31000067, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Monument commémoratif aux trois maréchaux pyrénéens Foch, Joffre et Gallieni », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire Notre-Dame-de-la-Caoue », notice no PA00094666, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Centre d’art », sur Chapelle (consulté le ).
- Arrêté du 30 août 2019 portant attribution du label « centre d'art contemporain d'intérêt national » à l'association « Chapelle Saint-Jacques ».
- « Chapelle Saint-Jacques Centre d'art contemporain », sur lachapelle-saint-jacques.com (consulté le ).
- Note biographique sur Jean Bepmale.
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