Aspet
Aspet (Aspèth en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Aspet | |||||
La mairie d'Aspet. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cagire Garonne Salat | ||||
Maire Mandat |
Jean-Sébastien Billaud-Chaoui 2020-2026 |
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Code postal | 31160 | ||||
Code commune | 31020 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aspétois | ||||
Population municipale |
877 hab. (2018 en diminution de 8,74 % par rapport à 2013) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 00′ 58″ nord, 0° 48′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 399 m Max. 1 240 m |
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Superficie | 26,37 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Gaudens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bagnères-de-Luchon | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Aspétois.
Géographie
Localisation
La commune d'Aspet se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 84 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 12 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 30 km de Bagnères-de-Luchon[4], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Aspet[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Milhas (3,1 km), Sengouagnet (3,4 km), Izaut-de-l'Hôtel (3,8 km), Soueich (4,0 km), Couret (4,2 km), Estadens (4,3 km), Arbon (4,7 km), Razecueillé (5,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Aspet fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].
Située au pied des Pyrénées dans le Comminges, Aspet se trouve à 15 km au sud-est de Saint-Gaudens et au pied du pic de Cagire qui domine la vallée à 1 912 m.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 637 hectares ; son altitude varie de 399 à 1 240 mètres[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 26 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[22], d'une superficie de 11 134 ha. Il s'agit d'une vallée profonde, marquée par l'érosion glaciaire, avec une végétation essentiellement acidiphile caractérisée par des landes à Callune, une forte étendue du manteau boisé , une présence ponctuelle de formations alpines et la présence d'Ours liée à une réintroduction expérimentale[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :
- l'« aval des ruisseaux du Job et du Ger » (102 ha), couvrant 8 communes du département[25] ;
- la « grotte de Saint-Paul » (25 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
- le « massifforestier de Juzet-d'Izaut à Aspet » (828 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;
- le « massifforestier en rive droite du Job à Encausse-les-Thermes » (632 ha), couvrant 5 communes du département[28] ;
- les « massifs d'Arbas, Paloumère et Cornudère » (3 918 ha), couvrant 11 communes dont deux dans l'Ariège et neuf dans la Haute-Garonne[29] ;
- le « réseau hydrographique du Ger, partie médiane » (93 ha), couvrant 5 communes du département[30] ;
et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :
- l'« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d'Izaut » (9 679 ha), couvrant 18 communes du département[31] ;
- le « massif de l'Arbas » (27 233 ha), couvrant 45 communes dont 24 dans l'Ariège et 21 dans la Haute-Garonne[32] ;
- le « piémont calcaire commingeois et bassin de Sauveterre » (8 553 ha), couvrant 26 communes du département[33].
Urbanisme
Typologie
Aspet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[34],[35],[36].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,5 %), prairies (26 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (2 %)[39].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Selon certains, Aspet serait issu du basque azpeta qui signifie en pied de falaise. Le nom de la commune se dit Aspèth (ou « Aspetch », comme écrit André Bouéry) en gascon.
Le rapprochement est tentant entre aspet et azpeta. Cependant, dans les premiers documents qui se rapportent à la ville, celle-ci est appelée « Spel » (1068), ou « Espel », ce qui est loin de « Azpeta ».
Dauzat aussi bien que Nègre ou d'autres, sont très hésitants sur l'origine du mot. Aymard y voit le radical « asper », « lieu abrupt », mais alors il s'agirait de la situation élevée de la ville, sur un promontoire entre la vallée du Ger et le vallon du Soueil.
Histoire
On ignore à quel moment exact s’est constituée la seigneurie d’Aspet. Le premier seigneur dont le nom a été conservé s’appelait Ramon-At(hon). Il vécut autour de 1068. Plusieurs seigneurs d’Aspet participent aux Croisades, en particulier Arnaud II, qui s’embarque avec Philippe-Auguste à Gênes en 1190. Au début du XVe siècle, la baronnie passe à la famille de Coarraze, dont la dernière représentante sera dame Catherine, à qui l’on doit, selon la légende, la fontaine qui orne encore la place principale de la ville. Raymond-Arnaud II de Coarraze participe, aux côtés de Jeanne d’Arc, à la prise d’Orléans. Dame Catherine meurt en 1492 et la baronnie passe ensuite à la maison de Foix. Son dernier baron sera Henri III de Navarre, qui deviendra Henri IV. C’est sous son règne que la baronnie sera rattachée à la Couronne[40].
Héraldique
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Son blasonnement est : écartelé : au premier et au quatrième d'azur à une meule de moulin d'argent; au deuxième parti de gueules à deux otelles adossées d'argent, une en chef posée en bande, l'autre en pointe posée en barre et d'or à deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur ; le troisième contourné du deuxième. La clé de voûte de la chapelle seigneuriale, qui se trouve derrière le chevet de l'église paroissiale, comporte les armes des Coarraze, qui furent seigneurs d'Aspet au XVe siècle. Raymond-Arnaud de Coarraze décrit ainsi ses armes : « d'or à deux brebis passantes de sinople, accornées et clarinées d'argent, qui était Coarraze, écartelé d'azur à une meule de moulin d'or, chargée de son anille de sable, qui était Aspet ». À la clé de voûte, on voit effectivement les brebis passantes, ainsi que les meules, mais aussi les otelles, qui figurent dans les armes de Comminges. La chapelle gothique date, sûrement, de l'époque des Coarraze. Les brebis passantes sont devenues ensuite vaches, celles-ci étant l'emblème du Béarn. |
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Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[41],[42].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Aspet était le chef-lieu de l'ex-canton d'Aspet) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes des Trois Vallées.
La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[44].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2018, la commune comptait 877 habitants[Note 9], en diminution de 8,74 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[49] | 1975[49] | 1982[49] | 1990[49] | 1999[49] | 2006[50] | 2009[51] | 2013[52] |
Rang de la commune dans le département | 59 | 85 | 117 | 124 | 137 | 160 | 164 | 168 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin.
- Chapelle de Miègecoste[53], dédiée à la Vierge.
Aspet a conservé peu de vestiges de ces temps. On sait que la ville a été entourée de « clausuras = clôtures », vraisemblablement au XIVe siècle, qu’elle avait trois portes, dont la Porte Saint-Martin, dominée par le clocher de l'église qui abrite un carillon célèbre de 16 cloches. Derrière le chevet actuel de l’église on voit encore la chapelle seigneuriale, de style gothique, dont la clef de voûte est ornée des armes des Coarraze.
Certains érudits locaux affirment encore aujourd'hui que la tour du Chucaou, qui domine la ville, est une « tour à signaux ». Pour cela, ils se basent sur une série d'anciens articles de Maurice Gourdon, publiés en 1910, 1911 et 1912 dans la Revue de Comminges[54]. Or, cette idée émise par Maurice Gourdon, qui l'a décrite, est totalement gratuite et ne repose sur aucun fondement. Elle est malheureusement reprise dans toutes les brochures touristiques. Selon Mondon et Gourdon, elle aurait été édifiée entre le XIIe et le XIVe siècles. Elle est donc attribuée au Moyen Âge central ou au bas Moyen Âge sans plus de certitude. La question de sa datation n'est donc pas tranchée, et les Chartes d'Aspet sont totalement muettes à son sujet. On lui donne également — à tort — la dénomination de « tour sarrasine ».
- Espace ALAF
- L'ancienne trésorerie où à vécu le général Jean-Étienne Barthier est aujourd'hui reconvertie en espace culturel investi par l'association ALAF.
- Le Monument aux morts
- Église Saint-Martin le clocher
- L'église Saint-Martin
- Escalier menant au clocher
- L'intérieur de l'église Saint-Martin
- Chapelle de Miègecoste
- Espace ALFA
Hameaux
- Girops
- Gouillou
- Raoux
- Le hameau de Girosp.
- L'églsie de Girosp.
- Le hameau de Gouillou.
- Le clocher-mur de l'église de Gouillou.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Étienne Barthier, baron de Saint-Hilaire (1766-1835), général de brigade du Premier Empire, né à Aspet, inhumé à Huos.
- Bernard Saint-Gaudens, né le à Aspet, où il fut cordonnier, père du peintre et sculpteur américain Augustus Saint-Gaudens. Ce dernier avait baptisé sa maison dans le New Hampshire Aspet.
- André Bouéry (1821-1879), musicien et poète gascon, auteur des Cansous det campanè d'Aspetch, Chansons du sonneur d'Aspet, poèmes accompagnant des mélodies originales jouées au carillon de dix cloches (à l'époque, 16 aujourd'hui). Un buste de marbre a été édifié en son honneur sur une place de la ville.
- Le cardinal Guillaume-Marie-Romain Sourrieu (Aspet, 1825 - Rouen, 1899). Il fut successivement évêque de Châlons-en-Champagne et archevêque de Rouen. Fait cardinal par Léon XIII, il mourra deux ans après son accession au cardinalat. Bienfaiteur de sa ville natale, on lui doit, entre autres, la rénovation de la chapelle de Miègecoste. Un monument en sa mémoire dont le buste a été sculpté par Alexandre Laporte a été placé sur la place de l'église.
- Joseph Ruau, maire, député, ministre de l'Agriculture. Mort en 1923. On lui doit la réalisation d'un « petit train » qui relia de 1906 (année de l'inauguration) à 1936 Aspet à Saint-Gaudens, la construction de la mairie, d'un hôpital intercantonal, etc. Un monument en sa mémoire, réalisé par le sculpteur André Abbal, orne la place principale du bourg[55].
- Raoul Dufy (3 juin 1877 - 23 mars 1953). Au début des années 1940, le peintre se réfugie dans le Sud de la France et notamment à Aspet. Il y peint une toile qui a pour sujet principal la Fontaine de la place centrale du village.
- Jean-Louis Georgelin, général d'armée et, de 2010 à 2016, grand chancelier de la Légion d'honneur[56].
- Joseph-Édouard Barès, général français, pionnier de l'aviation militaire, vétéran de la Première Guerre mondiale et Chef d'état-major de l'Armée de l'air à plusieurs reprises. Décédé à Aspet, une place porte son nom.
- Monument au cardinal Sourrieu.
- La maison familiale su sculpteur américain Augustus Saint-Gaudens.
Vie locale
Santé
Centre médico-social, cabinet dentaire, cabinet d'infirmières, cabinet vétérinaire,
Enseignement
Aspet fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par le groupe scolaire Germaine Barès et le collège Armand Latour.
Culture et festivité
Médiathèque, festival "Aspet s'expose"[57], marchés (tous les mercredis et samedis), école de musique, office du tourisme,
Activités sportives
Chasse, randonnée pédestre, pétanque, gymnastique, cyclisme, karaté, tennis, football[58], rugby à XIII
Protection environnementale
La zone Natura 2000 de la Haute vallée de la Garonne d'une superficie de 11 134 hectares est classé[59],[60]:
En zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2008.
En zone de protection spéciale (en référence à la Directive Oiseaux) depuis 2006.
Elle s'étend sur une partie de la commune d'Aspet.
Voir aussi
Bibliographie
- Jacques Ducos, Le canton d'Aspet, Éditions Catherine de Coarraze, 2003.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Office de tourisme d'Aspet
- Aspet sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune d'Aspet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aspet et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aspet et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aspet et Bagnères-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aspet », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Labarthe-Rivière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aspet et Labarthe-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Labarthe-Rivière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aspet et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aspet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- D’après P.-E. Ousset, Les anciens seigneurs d’Aspet, in Revue du Comminges, 4e trimestre 1950, tome LXIII
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- Nommée « Miègecoste » car elle se situe à « mi-côte » : « Présentation de Notre Dame de MIEGECOSTE à ASPET », sur Aux plaisirs du Cagire (consulté le )
- Les tours à signaux ou tours de guet dans le Haut-Comté de Comminges, in Revue du Comminges, 1910, fasc. 2,3,4, p. 91-122 ; 1911, fasc. 1, 2, 3, p. 13-41 et p.122-134 ; 1912, fasc. 1, 2, 3, p. 17-25
- « Joseph Ruau (1865-1923) », sur data.bnf.fr.
- Site de la grande chancellerie de la Légion d'honneur.
- http://www.mairie-aspet31.fr/fr/culture-loisirs/festival-aspet-s-expose.html
- http://www.mairie-aspet31.fr/fr/vie-quotidienne/monde-associatif.html
- « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300883 - Haute vallée de la Garonne - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « INPN - FSD Natura 2000 - FR7312005 - Haute vallée de la Garonne - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
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