Canton de Genève

Le canton de Genève (GE), officiellement la République[9] et canton de Genève, est un canton de Suisse, dont le chef-lieu est Genève.

Pour les articles homonymes, voir Genève pour la ville et Genève (homonymie).

République et canton de Genève

Blason

Drapeau

Localisation du canton en Suisse.
Noms
Nom allemand Republik und Kanton Genf
Nom italien Repubblica e Canton Ginevra
Nom romanche Republica ed il Chantun Genevra
Administration
Pays Suisse
Entrée dans la Confédération
ISO 3166-2 CH-GE
Chef-lieu Genève
Districts Aucun
Communes 45[1]
Exécutif Conseil d'État (7 sièges)[2]
Législatif Grand Conseil (100 sièges)[3]
Conseil des États 2 sièges[4]
Conseil national 12 sièges[5]
Démographie
Gentilé Genevois, Genevoise
Population
permanente
504 128 hab. (31 décembre 2019)
Densité 1 785 hab./km2
Rang démographique 6e[6]
Langue officielle Français
Géographie
Coordonnées 46° 13′ 05″ nord, 6° 09′ 58″ est
Altitude Min. 332 m (Rhône à Chancy)
Max. 516 m (Les Arales[7])
Superficie 282,48 km2
Rang 21e[8]
Liens
Site web www.ge.ch

    Fin 2020, la population du canton s’établit à 508 774 habitants[10].

    Il s’agit du successeur de la république de Genève, indépendante depuis le XVIe siècle jusqu'à son intégration dans la République française en 1798. Elle retrouve son indépendance le après le départ des armées de Napoléon Ier[11], puis devient un canton suisse le .

    La république et canton de Genève a une superficie modeste mais est densément peuplée. Elle se situe à l'extrémité ouest de la Suisse et du Léman, et est entourée en grande partie par la France.

    Histoire de Genève

    L'histoire du canton se confond avec celle de la ville de Genève et de ses mandements, particulièrement jusqu'à l'annexion par la France en 1798 de la république de Genève, fondée en 1541 par Jean Calvin, lorsqu’elle devient fin août la préfecture et chef-lieu du département du Léman[12]. C'est la première fois que la commune est considérée comme une entité administrative distincte de son territoire. En 1813, à la suite de la défaite de l'armée napoléonienne, la restauration de la république de l'ancien régime est proclamée[13]. Cette indépendance n'est toutefois que de courte durée, car très rapidement les magistrats de la ville, conscients que Genève ne peut plus former un État isolé, se tournent vers la Suisse, allié historique, pour demander leur rattachement à la Confédération, effectif le à la suite du congrès de Vienne, après avoir négocié avec le duché de Savoie le transfert territorial de 108,8 km2 de terres pour supprimer la solution de continuité avec les territoires du Mandement et de Jussy, et obtenu six communes françaises pour désenclaver le futur canton par rapport au canton de Vaud (Collex-Bossy, Le Grand-Saconnex, Pregny, Vernier, Meyrin et Versoix soit 49,3 km2)[14].

    En 1846, une révolution dirigée par James Fazy renverse le gouvernement de la Restauration et établit la constitution[15] qui régira le canton jusqu'en 2012, date de la nouvelle constitution genevoise. Au cours du XIXe siècle et au début du XXe siècle, Genève accueille de nombreux réfugiés politiques. Suivant les idées du Genevois Henri Dunant, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) est créé en 1864, première des institutions internationales que la ville va abriter.

    La mission internationale de Genève s'affirme après la Première Guerre mondiale, lorsqu'elle est choisie comme siège de la Société des Nations, ancêtre de l'Organisation des Nations unies (ONU).

    Géographie

    Canton de Genève vu de La Barillette.

    Situé à l'extrémité occidentale de la Suisse, au bout du Léman, ce canton partage plus de 95 % de ses frontières avec la France (103 km contre 4,5 km si l'on exclut les frontières dans le canton de Vaud avec les exclaves de la commune de Céligny)[16].

    Il est entouré des départements de l'Ain à l'ouest, et de la Haute-Savoie à l'est et au sud, ainsi que du canton de Vaud au nord, dans lequel est enclavée la commune genevoise de Céligny.

    Vue sur la « Cuvette genevoise » depuis les contreforts du Reculet.

    On donne le nom de cuvette genevoise à cette région ciselée en trois cadrans par le Léman dont les pierres du Niton servent à mesurer l’altitude (373,6 mètres), le Rhône, et l’Arve provenant du massif du Mont-Blanc via la vallée de l'Arve.

    Campagne genevoise, près de Choulex.
    Vignes à Anières, au bord du Léman.

    Elle est ceinturée, sur territoire français, par le massif du Jura au nord-ouest dont le point culminant s'établit au Crêt de la Neige à 1 720 mètres, là où le point le plus élevé du canton se situe aux environs de 516 mètres sur la commune de JussyMonniaz). Le Vuache à l'ouest, séparé des Monts du Jura par le creuset du Rhône, le Fort l'Écluse a été construit pour dominer la région du Genevois. Le Mont-de-Sion au sud, décrit par César dans la guerre des Gaules comme le seul passage franchissable pour les convois de chars désirant quitter Genava en direction de la Narbonnaise. Le Salève, au sud-est, est situé en France mais on le surnomme la montagne des Genevois de par sa grande facilité d’accès (téléphérique) mais aussi grâce à sa situation privilégiée de surplomb au-dessus du canton et du lac, qui offre une vue pour le moins spectaculaire. Par temps clair, on bénéficie d'un panorama allant de Fort l'Écluse, passage du Rhône creusé lors de la dernière glaciation par son glacier que l’on estimait s’étendre jusqu’aux alentours de Lyon et qui façonna les reliefs vallonnés et caillouteux de la plaine, jusqu’à Nyon dans le canton de Vaud.

    Vue partielle du canton de Genève par un satellite SPOT.

    La caractéristique principale du canton consiste en ce mélange très homogène entre d'un côté une ville moyenne par sa taille, mais grande par son rayonnement international, aidée en cela par son aéroport créé en 1923 (17,4 millions de passagers en 2017) et de l'autre par une campagne encore bien conservée, située au maximum à environ 15 kilomètres du centre-ville. Le Mandement, au nord-ouest du canton, est une partie vallonnée qui a été notamment creusée par l’Allondon, un affluent du Rhône prenant sa source au pied du Jura et qui regroupe les communes viticoles de Dardagny, Russin, et Satigny. Le barrage de Verbois construit sur le Rhône fournit une bonne partie de l’énergie genevoise et relie le Mandement à la région de la Champagne, sur la rive gauche, entre les communes de Russin et Aire-la-Ville.

    Dans la Champagne genevoise se trouve la commune de Chancy, la commune la plus occidentale de la Suisse. C’est à Bernex, la bourgade principale, que se trouve le lieu-dit du Signal, le deuxième point le plus haut du canton avec 509,9 mètres, sur lequel on allumait jadis un feu destiné à être vu par le plus grand nombre[17]. La commune de Bernex, qui regroupe sous son administration les villages de Lully et Sézenove, avoisine les 10 000 habitants. On trouve encore dans cette région de petits villages au cachet typique comme ceux qui ont été cédés par le duché de Savoie en 1815 lors de l’entrée de Genève dans la Confédération tels Sézegnin, Athenaz, Avusy, Laconnex, Soral, Cartigny ou encore Avully. La plus grande partie de la frontière entre la Champagne et la France est délimitée par la Laire, petit affluent du Rhône qui passe à proximité de Soral et Sézegnin et le Rhône.

    La région comporte principalement des exploitations agricoles mais aussi viticoles et fournit, de par les couches de sédiments déposées par le glacier du Rhône, d’importantes ressources en gravier.

    Communes

    Au 31 décembre 2019, le canton de Genève compte 13 villes (plus de 10 000 habitants) sur les 45 communes genevoises[18],[19] :

    Population

    Évolution de la population du canton de Genève[20],[21]
    Population
    au 1er janvier
    Naissances Décès Solde
    naturel
    Solde
    migratoire
    Population
    au 31 décembre
    Accroissement %
    1999 398 910 4 598 3 089 1 509 2 042 403 067 4 157 1,0
    2000 403 067 408 146 5 079 1,3
    2001 408 146 4 526 3 001 1 525 3 147 413 618 5 472 1,3
    2002 413 618 4 646 3 076 1 570 3 447 418 747 5 129 1,2
    2003 418 747 4 368 3 230 1 138 3 854 423 993 5 246 1,3
    2004 423 993 4 714 2 919 1 795 1 653 427 396 3 403 0,8
    2005 427 396 4 817 3 054 1 752 1 331 430 638 3 242 0,8
    2006 440 982 4 617 3 110 1 507 2 817 445 306 4 324 1
    2007 445 306 4 934 3 103 1 831 447 447 584 2 278 0,5
    2008 447 584 4 849 3 105 1 744 4 111 453 439 5 855 1,3
    2009 453 439 4 540 3 195 1 345 2 844 457 628 4 189 0,9
    2010 457 682 4 959 3 214 1 745 4 546 463 919 6 291 1,4
    2011 463 919 4 869 3 037 1 832 1 167 466 918 2 999 0,6
    2012 466 918 4 645 3 201 1 444 2 150 470 512 3 594 0,8
    2016 493 706 5 131 3 363 1 768 1 360 493 706
    2018[22] 498 221 5 002 3 444 1 558 1 969 501 748 3 527 0,7
    2019[23] 501 748 5 011 3 372 1 739 3 278 506 765 5 017 1,0

    Langues

    Le tableau suivant détaille la population du canton suivant la langue principale, en 2014[24] :

    Langue principalePourcentage
    Français81,04 %
    Anglais10,84 %
    Portugais9,89 %
    Espagnol7,82 %
    Allemand5,32 %

    Note : les personnes interrogées ont la possibilité de mentionner plusieurs langues principales.

    Religions

    Le tableau suivant détaille la population du canton suivant la religion, en 2014[25] :

    ReligionPourcentage
    Sans religion37,16 %
    Catholiques romains35,98 %
    Protestants9,93 %
    Autres chrétiens5,48 %
    Musulmans5,90 %
    Juifs1,02 %

    Politique

    Niveau fédéral

    Niveau cantonal

    Niveau communal

    Les communes genevoises de moins de 3 000 habitants sont administrées par un maire et deux adjoints. Les communes de plus de 3 000 habitants élisent un conseil administratif de 3 membres, ce nombre étant porté à 5 pour la ville de Genève. Les conseillers administratifs occupent la fonction de maire à tour de rôle, le de chaque année.

    Chaque commune élit également un conseil municipal (législatif), dont la taille varie selon la population (de 9 membres pour les communes de moins de 600 habitants à 80 pour la ville de Genève)[26].

    Organisations internationales

    De nombreuses institutions ont leur siège, leur centre européen ou leur bureau à Genève. Parmi celles qui se trouvent en périphérie, on peut citer:

    Sciences et techniques

    Au niveau européen, l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN), est situé des deux côtés de la frontière, sur la commune suisse de Meyrin, et les communes françaises de Prévessin-Moëns et Saint-Genis-Pouilly.

    Économie

    L'économie genevoise est principalement orientée vers les services même si le canton a une longue tradition agricole et viticole. Elle comprend un important secteur financier qui est spécialisé dans le secteur bancaire et le financement du commerce international (négoce). De nombreuses banques sont représentées à Genève, parmi lesquelles les banques privées[27] Baumann & Cie, Bordier & Cie, E. Gutzwiller & Cie, Gonet & Cie, Landolt & Cie, La Roche & Co Banquiers, Lombard Odier & Cie, Mirabaud & Cie, Mourgue d'Algue & Cie, Pictet & Cie, Rahn & Bodmer, Reichmuth & Co, Wegelin & Co, etc.

    Entre mars et septembre 2008, Genève est passée de la septième à la sixième place au classement des places financières mondiales selon le Global Financial Centres Index[28] de la City of London.

    Genève est le siège international de compagnies comme Merck Serono (départ annoncé en 2012) et STMicroelectronics. Beaucoup d'autres compagnies multinationales comme Alcon, DuPont de Nemours, Electronic Arts, Hewlett-Packard, IBM, McDonald's, Procter & Gamble, Thomson Reuters, Colgate-Palmolive et Sun Microsystems y ont installé leurs sièges européens.

    Le canton a également une longue tradition dans le domaine de l'horlogerie : en 2007, 75 sociétés actives dans ce secteur sont basées à Genève[29] avec des marques telles que Baume & Mercier, Chopard, DeWitt, FP Journe, Franck Muller, Hublot, Patek Philippe, Piaget, Roger Dubuis, Tudor, Urwerk, Vacheron Constantin et surtout Rolex, le plus important employeur du canton en 2010[30].

    Firmenich et Givaudan, deux producteurs importants d'arômes et de parfums y ont leurs sièges et leurs centres de production.

    Sécurité

    En plus des différentes polices municipales gérées par certaines communes (ex. : police municipale de Genève), le canton de Genève dispose d'un corps de police au niveau cantonal[31]. En plus des services administratifs et logistiques, le corps de police est composé des services police-secours, police internationale, police de proximité, police routière et police judiciaire. Des unités spécialisées le Groupe d'intervention existent pour faire face aux menaces particulières. L'unité de déminage (NEDEX) est conjointe avec le canton de Vaud[32].

    Le canton de Genève accueille et gère 7 établissements pénitentiaires sur son territoire :

    Éducation

    L'éducation publique est gérée par le Département de l'instruction publique, de la formation et de la jeunesse (DIP)[40],[41].

    • L’enseignement obligatoire comprend 164 écoles primaires (réunies en 58 établissements) et 19 cycles d'orientation (CO, enseignement secondaire I).
    • L’enseignement secondaire II comprend : onze collèges (formation gymnasiale à plein temps, culture générale comprenant les langues, les mathématiques et sciences expérimentales, les sciences humaines et les arts) ; six écoles de culture générale (ECG) dont une pour adultes ; huit centres de formation professionnelle (arts, commerce, construction, nature et environnement, santé, social, hôtellerie et restauration, technique) et un centre de formation pré-professionnelle.
    • Les hautes écoles : la Haute École spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO Genève) et l'Université de Genève.

    Le canton compte également 43 écoles privées[42].

    Jours fériés

    Le Jeûne genevois est un jour férié propre au canton de Genève qui est célébré le jeudi suivant le premier dimanche de septembre.

    Le 31 décembre est un autre jour férié propre au canton de Genève. C'est l'anniversaire de la Restauration de la République décrétée en 1813 après l'épisode napoléonien.

    Transport et mobilité

    Réseau ferroviaire

    Les Chemins de fer fédéraux suisses (CFF) et la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) avec le TGV Lyria ainsi que le TER Auvergne-Rhône-Alpes desservent le canton.

    Le canton compte 22 gares dont la gare de Genève-Cornavin et la gare de Genève-Aéroport. Il est au cœur du réseau Léman Express ou RER franco-valdo-genevois dont la clé de voûte est la réalisation de la nouvelle ligne ferroviaire entre Genève et Annemasse, terminée en décembre 2019.

    Réseau fluvial

    Les Mouettes genevoises assurent les traversées entre la rive gauche et la rive droite du Léman à travers quatre lignes, accessibles avec les titres de transport Unireso. Plusieurs lignes de la Compagnie générale de navigation sur le lac Léman (CGN) desservent Genève. Notons l'existence d'une ligne touristique descendant le Rhône jusqu'au barrage de Verbois.

    Réseau routier

    L'autoroute A1 traverse le canton du nord au sud, en contournant Genève par l'ouest et en finissant à la douane de Bardonnex tandis que la route principale 1 aboutit dans le centre-ville de Genève. Le canton possède un important réseau routier cantonal, on peut citer par exemple la route 101 qui relie Genève au CERN et la frontière française.

    Transports publics

    Les Transports publics genevois (TPG) font partie des communautés tarifaires Unireso et Léman Pass. Ce réseau s'étend sur plus de 420 km de lignes, à travers cinq lignes de tramway, six lignes de trolleybus et une soixantaine de lignes d'autobus, dont plusieurs s'étendent jusqu'en France ou sont même intégralement en territoire français. Le canton a la particularité, commune avec celui de Bâle-Ville de n'avoir aucune ligne CarPostal[43].

    La commune de Céligny, enclavée dans le canton de Vaud, bénéficie quant à elle d'une desserte par les Transports publics de la région nyonnaise (TPN).

    La nuit, le réseau de bus Noctambus dessert l'intégralité du canton, ainsi que de nombreuses communes vaudoises et françaises.

    Transport aérien

    L'aéroport de Genève est situé près du hameau de Cointrin, sur les communes de Meyrin, Grand-Saconnex et Bellevue. Il est accessible en bus ou trolleybus (lignes 5, 10, 23, 28, 50, 54, 56, 57, 59 et 66 des Transports publics genevois) ou en train (gare de Genève-Aéroport). Entre 3 et 6 heures du matin, des lignes Aérobus desservent l'aéroport. Ce-dernier est positionné en bordure de la frontière entre la France et la Suisse, ce qui a permis l'aménagement d'une route douanière reliant directement le terminal de l'aéroport au territoire français, évitant ainsi aux frontaliers le passage par la douane suisse[44]. De grandes compagnies telles que EasyJet, British Airways, Air France, Lufthansa, Swiss, United, Etihad Airways, Emirates, Royal Air Maroc, Qatar Airways et EgyptAir proposent des lignes à destination de toute l'Europe et du reste du monde.

    Notes et références

    1. [xls] « Répertoire officiel des communes de Suisse - 13.01.2020 », sur Office fédéral de la statistique (consulté le )
    2. « Conseil d'Etat > Le pouvoir exécutif », sur genève.ch (consulté le )
    3. « Parlement cantonal », sur ge.ch (consulté le )
    4. « Liste des conseillers aux Etats par canton », sur parlement.ch (consulté le )
    5. « Liste des conseillers nationaux par canton », sur parlement.ch (consulté le )
    6. « Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel », sur Office fédéral de la Statistique (consulté le ).
    7. [xls] « Les points culminants des cantons suisses », sur Office fédéral de la statistique (consulté le )
    8. « Statistique de la superficie 2004/09 : Données communales », sur Office fédéral de la Statistique (consulté le )
    9. La Constitution cantonale, et et le Dictionnaire historique de la Suisse emploient la majuscule pour le mot « république ».
    10. « Office cantonal de la statistique », sur ge.ch (consulté le ).
    11. DIP Direction de l'enseignement primaire Service de l'environnement, 1814 Une année mémorable, Genève, Département de l'Instruction publique de la République et Canton de Genève, , 33 p., p. 1
    12. (fr) Frédéric Joye, « La période française de 1798-1814 », MEMO, 2007
    13. Louis Binz, Brève histoire de Genève, p. 50
    14. Louis Binz, Brève histoire de Genève, p. 51-53
    15. Louis Binz, Brève histoire de Genève, p.  58.
    16. Genève aujourd'hui en quelques chiffres, site officiel de la ville de Genève
    17. Commune de Bernex, « Historique », sur bernex.ch, mise à jour le 10 11 20 (consulté le )
    18. « Statistiques cantonales - République et canton de Genève », sur www.ge.ch (consulté le )
    19. Statistiques cantonales (république et canton de Genève)
    20. OFS - État de la population et évolution démographique - Analyses
    21. Pour 2006 à 2012 OCSTAT - Bilan et état de la population de Genève par années
    22. Hervé Montfort, « INFORMATIONS STATISTIQUES bilan et état de la population de Genève en 2018 », sur ge.ch, 01 population, (consulté le )
    23. Hervé Montfort, « Informations statistiques bilan et état de la population du canton de Genève en 2019 », sur ge.ch, 01 population, (consulté le )
    24. Population résidente permanente âgée de 15 ans ou plus selon la langue principale
    25. Population résidante permanente âgée de 15 ans ou plus selon l'appartenance religieuse
    26. « Loi sur l'administration des communes entrée en vigueur le 1er janvier 2018 », sur Site officiel de l'État de Genève (consulté le )
    27. « Association des banquiers privés suisses », sur genevaprivatebankers.com (consulté le )
    28. [PDF] (en) « The Global Financial Centres Index - 4, September 2008 », sur zyen.com (consulté le )
    29. [PDF] « Enquête conjoncturelle annuelle 2007-2008 », sur Chambre de commerce, d'industrie et des services de Genève (consulté le )
    30. Rolex reste le premier employeur du canton de Genève, Tribune de Genève du 5 juin 2010, consulté le 13 février 2014.
    31. « Corps de Police », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    32. Pascale Defrance, « Les démineurs romands, 40 experts répartis entre Lausanne et Genève », RTS Info, (lire en ligne)
    33. « Prison de Champ-Dollon », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    34. « Etablissement fermé La Brenaz », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    35. « Etablissement fermé Curabilis », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    36. « Etablissement ouvert avec section fermée Villars », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    37. « Etablissement ouvert Le Vallon », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    38. « Centre éducatif de détention et d'observation La Clairière », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    39. « Etablissement de détention administrative Favra », sur GE.CH – République et canton de Genève (consulté le )
    40. « Le DIP en bref) », sur www.ge.ch (consulté le ). « Contacter ou trouver un établissement de l'enseignement secondaire II », DIP, (consulté le ).
    41. « Département de l'instruction publique, de la formation et de la jeunesse (DIP) », sur ge.ch (consulté le )
    42. Éric Budry, « Les écoles privées pèsent 345 millions de francs », La Tribune de Genève, (lire en ligne, consulté le )
    43. Bernard Wuthrich, « L’astuce qui fait tomber le chef de CarPostal », sur https://www.letemps.ch, (consulté le )
    44. « Aéroport de Genève - Secteur France », sur https://www.gva.ch (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jacques Chenevière, Campagne genevoise, Éditions du Griffon, Neuchâtel, 1950
    • Alfred Dufour, Histoire de Genève, Presses universitaires de France, Que-sais-je ?, no 3210, 1997
    • Karl Werdenberg - Pierre Hainard, Les paysages végétaux du Canton de Genève, Conservatoire et jardin botaniques de Genève, 2000. (ISBN 2-8277-0334-3)

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de Genève et son canton
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