14e division d'infanterie (France)
La 14e division d'infanterie, est une division de l'Armée française, surnommée, durant la Grande guerre, la Division des As. Division d'active pendant l'entre-deux-guerres, elle combat ensuite au début et à la fin de la Seconde Guerre mondiale puis enfin lors de la Guerre d'Algérie.
Pour les articles homonymes, voir 14e division.
14e division d'infanterie | |
Insigne de 1954 de la 14e division d'infanterie. | |
Pays | France |
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Branche | Armée de terre |
Type | Division d'infanterie |
Rôle | Infanterie |
Surnom | "Division des As" |
Devise | "Ne pas subir" |
Guerres | Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale Guerre d'Algérie |
Batailles | 1914 - bataille d'Alsace 1914 - Bataille de Dornach 1914 - Bataille de la Marne (Bataille de l'Ourcq) 1914 - Bataille de l'Aisne 1915 - Bataille de Champagne 1916 - Bataille de Verdun 1916 - Bataille de la Somme 1917 - Chemin des Dames 1918 - Bataille de Champagne 1918 - 2e Bataille de la Marne 1918 - Offensive des Cent-Jours (Bataille de Somme-Py) (Bataille de Champagne et d'Argonne) 1940 - Bataille de France |
Commandant historique | Jean de Lattre de Tassigny |
Commandants
- : général Derroja
- - : Peychaud
- - : général Zénon Eugène Lamy
- - : général de Négrier
- - : général Boussenard
- - : général Hepp
- - : général Duchesne
- - : général Jeannerod
- - : général Hagron
- - : général Michal
- - : général Pau
- - : général de Langle de Cary
- : général Pouradier-Duteil
- - : général Curé
- - : général de Villaret
- - : général Faës
- - : général Albert Crepey - Mort pour la France
- - : général Philipot
- - : général Baston
- 1925-1928 : général Henri Ernest Petit[1]
- - : général Errard
- - : général Herscher (sl)
- - : général Catroux
- - : général Bouffet Mort pour la France
- 1er janvier - : général de Lattre de Tassigny
- - : général Salan
- - : général Malaguti
Premier Empire
Lors de la campagne des Cent-Jours, elle fait partie du 4e corps d'infanterie, du général Gérard. Son commandant le général de division Louis de Ghaisne, comte de Bourmont, ayant refusé de signer l'Acte additionnel aux Constitutions de l'Empire et à la déchéance des Bourbons, ce qui lui fait craindre pour sa liberté, quitte son commandement et rejoint Louis XVIII, à Gand. Il est remplacé par le général de brigade Étienne Hulot.
Composition
- brigade Hulot, commandée par le général de brigade Étienne Hulot, puis le colonel Paul Hippolyte Alexandre Baume.
- 9e régiment d'infanterie légère, colonel Paul Hippolyte Alexandre Baume, 2 bataillons.
- 111e régiment d'infanterie de ligne, colonel Louis-Antoine Sauset, 2 bataillons.
- brigade Toussaint, commandée par le général de brigade Jean-François Toussaint
- 44e régiment d'infanterie de ligne, colonel Jean-Dominique Paolini, 2 bataillons.
- 50e régiment d'infanterie de ligne, colonel François-Marie-Joseph Lavigne, 2 bataillons.
- 3e compagnie du 5e régiment d'artillerie à pied, capitaine Billon, avec 8 pièces.
Première Guerre mondiale
La division appartient au 7e corps d'armée, au sein de la 1re armée française. En 1914, elle se situait en Haute-Alsace.
Composition
- 27e brigade d'infanterie :
- 28e brigade d'infanterie :
- 11e régiment de chasseurs : 1 escadron (2 escadrons de janvier à juillet 1917)
- 47e régiment d'artillerie de campagne : 3 groupes de 75
- 107e régiment d'artillerie lourde : un groupe de 155 C (5e groupe, renommé 11e groupe en mars 1918) rejoint la division en novembre 1917
- Génie :
- 7e bataillon du génie : compagnie 7/1, renforcée mi-1915 par la 7/1 bis (renommée 7/51 en début 1916), ainsi que par la 7/21 créée début 1917
- 8e régiment d'infanterie territoriale : un bataillon de pionniers en août 1918
En mai 1917, le 42e RI est rattaché à la et quitte la division. Les deux brigades sont supprimées et les trois régiments d'infanterie sont directement rattachés à l'infanterie divisionnaire.
"La Division des As" . cette dénomination est due au général Philipot, commandant la division, le [réf. nécessaire], qui, dans son ordre du jour no 45, à la suite de la bataille de Champagne, fit l'éloge de ses hommes : Je suis fier de vous… merci mes enfants, bravo mes as !, car la 14e division fut la première division dont les régiments furent tous décorés d'une fourragère.
Plus tard, des lieutenants d'approvisionnement de chacun de ces régiments décidèrent de se réunir le jour même, pour tirer au sort la répartition des as. Le 35e eut l'as de trèfle, signe de chance, le 42e l'as de carreau[réf. nécessaire], le 60e l'as de cœur. Le lieutenant d'approvisionnement du 44e, le lieutenant Taillard, particulièrement jalousé par ses pairs pour les faveurs qu'il obtenait de l'intendance, étant opportunément absent, reçut l'as de pique, le plus déprécié du jeu : symbole de la mort[Information douteuse].
Quant au 47e régiment d'artillerie, n'ayant plus d'as à recevoir, il se vit attribuer le Joker.
Historique
Mobilisée dans la 7e région.
1914
- 2 - : couverture au Nord-Est de Belfort, dans la région de Petit-Croix, Rougemont-le-Château. À partir du , engagée dans la bataille d'Alsace.
- : prise de Mulhouse.
- : violents combats vers Riedisheim et Rixheim.
- 10 - : repli vers Reppe et Vauthiermont, le combats vers Reppe.
- 14 - : reprise de l'offensive en direction de Mulhouse. Le , combat vers Dornach et réoccupation de Mulhouse. le , repli vers la frontière.
- 25 - : retrait du front et transport par V.F. de la région de Belfort à celle de Villers-Bretonneux. Le , mouvement vers l'Est, combat vers Proyart.
- - : repli par Montdidier, Clermont, Persan et Beaumont jusque dans la région de Louvres.
- 6 - : engagée dans la bataille de la Marne. Du 6 au , bataille de l'Ourcq, combats vers Bouillancy et Acy-en-Multien. À partir du , poursuite par Vaumoise et Vic-sur-Aisne, jusque vers Autrêches.
- - : engagée dans la bataille de l'Aisne, violents combats vers Autrêches, Hautebraye, Chevillecourt et Vingré. Stabilisation du front et occupation d'un secteur dans cette région.
- 3, 8, : éléments engagés dans les attaques sur le plateau de Nouvron.
- : attaques françaises au nord de Vingré et vers la ferme Sainte-Léocade.
- - : retrait du front et repos vers Hartennes.
1915
- 12 - : mouvement vers Soissons ; les 12 et , violents combats au nord de cette ville, puis occupation d'un secteur aux abords de Soissons.
- 19 - : retrait du front et repos dans la région de Montgobert.
- - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Vingré et Pernant (guerre de mines).
- 6 et : éléments engagés dans les attaques du 35e corps d'armée sur la ferme Quennevières.
- 4 - : retrait du front et repos vers Faverolles. À partir du , transport par V.F. vers Saint-Hilaire-au-Temple, travaux dans la région de Suippes.
- - : occupation d'un secteur au nord de la ferme des Wacques.
- Engagée du 25 septembre au 6 octobre dans la seconde bataille de Champagne, violentes attaques françaises dans cette région.
- 2 - : retrait du front et repos vers Les Grandes-Loges, puis à partir du vers Bussy-le-Château. À partir du , stationnement en seconde ligne vers la ferme Jonchéry ; travaux et instruction.
- - : occupation d'un secteur vers l'Épine de Vedegrange et à l'est.
- - : retrait du front ; repos et instruction dans la région de Mairy-sur-Marne. À partir du , mouvement par étapes par Thiéblemont-Farémont, vers la région d'Aulnois-en-Perthois ; repos et instruction.
- À partir du , mouvement par étapes par Thiéblemont-Farémont, vers la région d'Aulnois-en-Perthois ; repos et instruction.
- À partir du , mouvement vers le camp de Mailly, instruction.
- À partir du , transport par V.F. dans la région de Bar-le-Duc ; repos.
1916
- - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Bezonvaux et les abords ouest d'Étain. Engagée à partir du dans la bataille de Verdun.
- : repli sur les Hauts-de-Meuse, de Bezonvaux à Eix.
- 25, 26 et : violentes attaques allemandes.
- : front réduit à gauche jusqu'à Vaux-devant-Damloup.
- : attaque allemande sur Vaux-devant-Damloup.
- - : retrait du front, transport par camions vers Haudainville, puis regroupement vers Lisle-en-Barrois. À partir du , transport dans la région de Neufchâteau et repos dans celle de Colombey-les-Belles. À partir du , travaux dans la région de Lucey (secteur du 31e corps d'armée)
- - : mouvement vers le front. À partir du , engagée à nouveau dans la bataille de Verdun, vers l'étang de Vaux et le sud de Damloup (éléments engagés dès le ).
- 16 - : retrait du front et regroupement vers Revigny-sur-Ornain. À partir du , transport par V.F. dans la région de Bruyères ; repos vers Remiremont.
- - : mouvement vers le front et à partir du , occupation d'un secteur à l'est de Gérardmer entre la haute vallée de la Lauch et le col de la Schlucht.
- - : retrait du front et transport par V.F. dans la région d'Amiens. Repos dans la région de Cachy et de Gentelles, puis dans celle de Chipilly.
- 10 - : engagée dans la bataille de la Somme, vers la Somme et le bois des Riez (secteur réduit à droite, le jusque vers le bois de Hem).
- 12, 13, 16, 18 et : attaques françaises, coopération avec la 47e division d'infanterie pour la capture du bois de Hem.
- - : retrait du front ; repos vers Villers-Bretonneux.
- 7 - : mouvement vers le front. Engagée, à nouveau dans la bataille de la Somme vers le nord de Bouchavesnes et la ferme de bois l'Abbé.
- : enlèvement de Bouchavesnes.
- 13 et : combats vers la ferme de bois l'Abbé, le bois Saint-Pierre Vaast et le bois Germain.
- - 1er octobre : retrait du front et transport par V.F. dans la région de Châlons-sur-Marne. Repos à l'ouest de Sainte-Menehould.
- - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur du front vers la Main de Massiges et Vienne-le-Château, étendu à gauche le jusqu'à Maisons de Champagne et réduit à droite le jusqu'à l'Aisne.
1917
- 1er janvier - : retrait du front, mouvement par étapes de Possesse vers le camp de Mailly, par Vanault-les-Dames, Saint-Amand-sur-Fion et Saint-Ouen ; repos et instruction. À partir du , mouvement par Châtillon-sur-Marne et Sézanne, vers la région de Muizon ; travaux de seconde position.
- - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers le nord du Godat et la ferme du Luxembourg (éléments au repos jusqu'au ). Engagée dans la bataille du Chemin des Dames.
- : enlèvement des positions allemandes vers Berméricourt.
- - : retrait du front, transport par camions dans la région Cumières, Ay ; repos. Le , mouvement vers Ville-en-Tardenois ; repos et instruction.
- - : occupation d'un secteur vers Courcy et Loivre.
- - : retrait du front ; repos et instruction vers Damery. Du 16 au , transport par camions vers Dommartin-Varimont ; repos.
- - : mouvement vers la région de Verdun ; à partir du , occupation d'un secteur vers la cote 344 et la ferme Mormont.
- : violente action allemande vers la cote 344 (bataille de Verdun).
- - : retrait du front, transport par camions vers Condé-en-Barrois ; repos et instruction.
- - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Béthincourt et l'ouest de Forges-sur-Meuse.
1918
- 3 - : retrait du front, mouvement vers Bar-le-Duc ; à partir du , transport par V.F. dans la région de Bayon ; repos et instruction.
- - : occupation d'un secteur vers Domèvre-sur-Vezouze et Emberménil.
- - : retrait du front et transport par V.F. de Bayon, vers Clermont et Liancourt. Repos vers Breuil-le-Sec ; à partir du , travaux à l'est de Clermont.
- À partir du , transport par camions au sud-ouest d'Amiens, puis mouvement vers Rainneville et Vauchelles-lès-Authie. À partir du 1er mai, transport par camions vers Abeele.
- 9 - : relèves d'éléments britanniques et occupation d'un secteur vers l'étang de Dickebusch et la ferme Godezonne.
- 27 mai : combats de Dickebusch.
- - : retrait du front ; repos vers Arques, puis vers Zuytpeene. À partir du , transport par V.F. de Saint-Omer, au nord-ouest de Beauvais ; repos. À partir du , transport par camions vers Breteuil ; travaux et instruction.
- - : transport par V.F. par Coolus, Avize et Vitry-le-François. Engagée dans la bataille de la Montagne de Reims, puis dans la seconde bataille de la Marne.
- 17 - : combats du bois de Courton.
- 21 - : en seconde ligne, dans la zone britannique. À partir du , engagée à nouveau vers le bois de Courton et poursuite vers la Vesle.
- - : retrait du front et repos dans la région de Damery, Cumières, puis mouvement par étapes vers Montmirail.
- - : transport par camions à l'est de Châlons-sur-Marne. À partir du , engagée à l'est de Perthes-lès-Hurlus et l'ouest du Mesnil-lès-Hurlus dans la bataille de Somme-Py (Bataille de Champagne et d'Argonne), puis dans son exploitation (progression vers Orfeuil).
- - : en seconde ligne.
- 10 - : retrait du front, repos vers Vitry-le-François.
- - : mouvement vers la région de Sommepy, puis progression en seconde ligne pendant la poussée vers la Meuse, par Coulommes-et-Marqueny et Tourteron.
- 10 - : regroupement vers Tourteron et Baâlons où la division se trouve au moment de l'Armistice.
Rattachement
- rattachement organique : la division est intégrée au 7e corps d'armée d' à
- 2 -
- 7 -
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- 2 -
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- 13 -
Entre-deux-guerres
La loi du , sur l’organisation générale de l’armée, et la loi des cadres et effectifs du , fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt.
Composition
En 1934, elle est rattaché au 7e corps d'armée et est constituée des unités suivantes[2] :
- quartier général, à Mulhouse ;
- 35e régiment d'infanterie, à Belfort et Giromagny ;
- 152e régiment d'infanterie, à Colmar et Neuf-Brisach ;
- Chasseurs à pied :
- 2e bataillon de chasseurs à pied, à Mulhouse ;
- 4e bataillon de chasseurs à pied, à Colmar ;
- 31e bataillon de chasseurs à pied, à Mulhouse ;
- 4e régiment d'artillerie divisionnaire, à Colmar et Mulhouse ;
- un groupe du 107e régiment d’artillerie lourde automobile, à Chaumont ;
- un groupe de reconnaissance divisionnaire du 11e régiment de chasseurs à cheval d'Épinal ;
- deux compagnies du 506e régiment de chars de combat de Besançon ;
- une compagnie du 1er régiment du génie de Besançon ;
- une escadrille de la 32e escadre d'observation de Dijon.
- Garde au drapeau du 35e régiment d'infanterie.
- Garde au drapeau du 152e régiment d'infanterie.
- Le commandant Mollinier du 2e bataillon de chasseurs à pied.
Seconde Guerre mondiale
Composition
Le la 14e DI, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny, est rattachée à la réserve du GQG.
À cette date elle se compose des :
- 35e régiment d'infanterie
- 152e régiment d'infanterie
- 3e demi-brigade de chasseurs à pied
- 4e régiment d'artillerie divisionnaire,
- 204e régiment d'artillerie lourde divisionnaire,
- 25e GRDI (groupe de reconnaissance de division d'infanterie)
- et tous les services (sapeurs mineurs, télégraphique, compagnie auto de transport, groupe sanitaire divisionnaire, groupe d'exploitation etc.)
Elle est reformée à partir du , par l'amalgame d'unités des Forces françaises de l'intérieur. Commandée par le général Raoul Salan, elle se compose de :
- 3e demi-brigade de chasseurs à pied
- 2e bataillon de chasseurs à pied, formé par le maquis du Louhanais
- 4e bataillon de chasseurs à pied, formé d'Alsaciens et de Lorrains
- 31e bataillon de chasseurs à pied, formé d'Alsaciens et de Lorrains
- 35e régiment d'infanterie, formé par le maquis de Bourgogne et les FTP du Lot et de Haute-Garonne
- 152e régiment d'infanterie, formé par le maquis de Loire et de l'Allier, et les FFI d'Auvergne
- 12e régiment de dragons, formé par le maquis du Tarn
- 4e régiment d'artillerie, formés par le maquis d'Auvergne, du Languedoc, de Normandie et de Tulle.
Guerre d'Algérie
La 14e division d'infanterie fut recréée le , en même temps que la 11e DI. Commandée par le général Lavaud elle est dirigée sur l'Afrique du Nord où elle combat d'abord en Tunisie puis en Algérie, dans la région de Constantine.
Sa composition partielle fut la suivante :
- État Major de la division
- 4e bataillon de chasseurs à pied - (Laverdure)
- 4e régiment d'artillerie
- 4e régiment de chasseurs à cheval - (Aïn El M'Lila)
- 6e régiment de cuirassiers
- 8e régiment de hussards
- 10e bataillon de chasseurs à pied - (Sétif)
- 10e régiment d'artillerie de marine
- 15e régiment de tirailleurs sénégalais - (Constantine/Collo)
- 16e régiment d'infanterie de marine - (El Arrouch/Saint Charles)
- 17e bataillon de chasseurs à pied - (Bougie)
- 51e régiment d'infanterie - (Grarem/Aïn M'Lila/Philippeville)
- 64e régiment d'artillerie - (El Milia)
- 65e bataillon du génie - (Constantine)
- 67e régiment d'artillerie d'Afrique
- 81e régiment d'infanterie puis Rgt Infanterie Alpine
- 156e régiment d'infanterie "Bataillon de Corée"
- 64e bataillon de génie de zone - (Constantine)
- 64e compagnie de quartier général - (Constantine)
- 64e compagnie de transmissions - (Constantine)
- 264e compagnie de circulation routière-(Constantine)
De 1962 à aujourd'hui
La 14e division d'infanterie était toujours active dans les années 1980 au sein de la 5e Région Militaire (Rhône-Alpes/Auvergne). Elle était alors composée des unités suivantes :
- 75e régiment d'infanterie,
- 92e régiment d'infanterie,
- 99e régiment d'infanterie (dit le neufneuf),
- 1er régiment étranger de cavalerie basé à Orange.
- 14e régiment de commandement et de soutien basé à Lyon, au Quartier Général Frère. Il comprenait notamment les compagnies suivantes:
L'État-Major de la division était stationné au quartier général Frère.
Cette division a été sollicitée par la FINUL dès 1982.
Traditions
Devise
Ne pas subir
Notes et références
- voir au SHD Vincennes, le dossier 9 YD 690
- « Le maréchal Pétain assistera aux plus importantes manoeuvres françaises de l'année », Paris-Midi, no 2573, , p. 1&3 (lire en ligne)
- 9 juin 1940 : La 14e DI tient toujours à Rethel
- Seconde Guerre mondiale : retour sur les combats oubliés du général de Lattre de Tassigny
- « Jean de Lattre de Tassigny », sur ordredelaliberation.fr, ordre de la Libération, (consulté le ).
- « Jean de Lattre de Tassigny (1889–1952) », sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense, coll. « Mémoire et citoyenneté », no 19 (consulté le ) [PDF].
Voir aussi
Bibliographie
- AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
Liens externes
La 14e DI dans la bataille de l'Aisne (1917)
- Armée et histoire militaire françaises
- Portail de la Première Guerre mondiale