Domjevin

Domjevin est une commune française située dans la région Grand Est dans le département de Meurthe-et-Moselle, dans l'arrondissement de Lunéville et dans le canton de Blâmont.

Domjevin

Vue du village depuis la route de Blémerey.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes de Vezouze en Piémont
Maire
Mandat
Dominique Pierrat
2020-2026
Code postal 54450
Code commune 54163
Démographie
Gentilé Domjevinois, Domjevinoise [1]
Population
municipale
258 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 37″ nord, 6° 41′ 51″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 293 m
Superficie 10,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Baccarat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Domjevin
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Domjevin
Géolocalisation sur la carte : France
Domjevin
Géolocalisation sur la carte : France
Domjevin

    Géographie

    Localisation

    Village situé dans la partie ouest du canton de Blâmont, Domjevin est situé à égale distance de Lunéville, Blâmont, Badonviller et Baccarat soit 17 km, et à 48 km de Nancy.

    Géologie, hydrologie

    La commune s'étend sur 1 028 ha dont 218 boisés et son altitude varie entre 237 et 293 mètres.

    Le territoire de la commune est traversé par la Vezouze avec ses nombreux méandres au milieu d'une grande prairie - il y a 12 km de rives sur le territoire de Domjevin - complété par le ruisseau de Chazal, affluent de la Vezouze qui part de la Bonne Fontaine.

    Le sol est constitué en partie de terres fortes ou argileuses et en partie de terres légères ou sablonneuses.

    Communes limitrophes

    Village de Domjevin vu d'une hauteur.

    Urbanisme

    Typologie

    Domjevin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,5 %), prairies (30 %), forêts (19,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Tombeau dit de Jovin, selon la tradition Jovin l'aurait apporté d'Italie pour lui servir de sépulture (musée archéologique Saint-Rémi de Reims).

    Domjevin dont le nom apparaît pour la première fois dans une donation de 1010, a certainement des origines plus anciennes, voire gallo-romaines : les traditions veulent que les Romains aient élevés un camp et un temple à Jupiter (Juvinus) sur une des collines du village mais aucun vestige ne vient confirmer cette supposition[9]. Le village a dû porter un autre nom avant d'être rebaptisé pour prendre celui d'un Saint Jovin, général romain[10],[11] d'origine gauloise né à Reims sous l'empereur Julien (Constantinople mai-juin 332 / Ctesiphon 26 juin 363), combattit en Gaule et repoussa trois invasions en particulier à Sainte-Geneviève près de Pont-à-Mousson en 367. Nommé consul la même année, il se convertit au christianisme et mourut en 370. Ce qui pourrait confirmer cette hypothèse est le vitrail central de l'église (détruit en 1914) représentant un soldat romain déposant ses armes au moment de se convertir et qui passait pour être saint Juvino patron de la paroisse.

    H. Lepage a relevé les différents noms suivants : Domnus Jovinianus (1175), Domnus Juvinus, Dongevin ou Donjevin (1248), Domgevin (1476), Donsevrin (1594) et Domjuvin (Cassini)[12].

    Histoire

    Moyen Âge central

    • En 1175, Hermann, abbé de Moyenmoutier, céda à la même abbaye ce que son monastère possédait à Frisonviller et à Domjevin[9].
    • En 1189, la 3e partie des dîmes de Domjevin fut abandonnée à l'abbaye de Haute-Seille par Henri, comte de Salm[9].
    Armoiries de Blâmont, les 2 saumons adossés sont l'emblème de la famille de Salm.
    • En 1219, Henri, comte de Salm, donna à l'abbaye de Senones sa cour ou sa métairie de Domjevin[9].
    • En 1248, Ferry de Salm, sire de Blâmont, reconnaît que son cousin Mathieu, duc de Lorraine, lui a laissé la moitié du ban de Domjevin[9],[13],[14],[15].
    • En 1280, le sire de Blâmont, qui vivait avec les religieux, donna ses fours banaux de Domjevin et de Frisonviller à ces religieux à condition de partager la moitié du produit.

    Moyen Âge tardif

    Frisonviller était un hameau qui devait se situer dans le voisinage de la Bonne-Fontaine (en amont du ruisseau de Chazal) décrit comme habitations et moulin ; fut plusieurs fois nommé dans les chartes du XII et XIIIe siècle ; en 1308, il fut anéanti " Tout y périt, bestes, mobles, bleif et vin " au point qu'il n'en reste même plus trace dans les désignations du cadastre. Frisonviller n'est plus cité que comme breuil dans le partage de 1311, préparé par le comte de Blâmont[11].

    En 1308 Domjevin et Frisonviller subirent un véritable désastre : une incursion de Messins, tout y périt, le hameau fut complètement détruit. Domjevin très meurtri, s'en releva heureusement[11].

    Le templiers avaient bâti une maison de leur ordre sur une colline surplombant la vallée de la Vezouze. On voit encore le bassin d'une fontaine qui était à leur usage. Ce poste devait avoir une haute importance, car une route pavée et cimentée, qui, du village rejoignait la route de Lunéville fut découverte en partie au XVIIIe siècle[13],[15],[16]. En 1308, les templiers disparurent, leur maison fut affectée aux chevaliers de Malte.

    Au mois de septembre 1324, Henri de Blâmont reconnaît tenir en fief du duc Ferry, après l'évêque de Metz, le village de Domjevin[9].

    En 1329, les habitants de Domjevin se mirent sous la protection et sauvegarde de la duchesse de Lorraine, Isabelle d'Autriche et du duc Raoul son fils, moyennant une certaine somme. Henri, comte de Blâmont, de qui le village dépendait, y donna son consentement. Les habitants renouvelèrent le traité de sauvegarde en 1384 avec Jean, duc de Lorraine[14],[15].

    Temps modernes

    Au XVIe siècle, Domjevin est compris avec 15 autres villages dans le comté de Blâmont. Plusieurs seigneurs se partagent les rues et les habitants, sur lesquels ils ont pleine justice : ce sont les ducs de Lorraine et les comtes d'Haussonville[9].

    Domjevin est le seul village avec Reillon à adhérer à la « Charte de Beaumont » et s'affranchit partiellement de la féodalité. Il s'est donné deux maires élus le jour de la Pentecôte. Le village géra les délits et profita d'avantages fiscaux. La division amena disparité, jalousie et dissension[9],[11].

    Le 20 avril 1518, Henri, prévôt de Blâmont, rachète des mains de Warry de Luxembourg, seigneur de Fléville, le quart du village de Domjevin, que Thibaut, seigneur de Blâmont, avait engagé en 1427 à Jean de Fléville pour la somme de 100 francs[9].

    L’Inquisition était une juridiction d'exception, établie pour représenter l'autorité judiciaire du pape sur une région donnée, quand le fonctionnement normal des tribunaux ecclésiastiques s'avérait inadapté. Les inquisiteurs ont le pouvoir juridique absolu pour juger et condamner les gens (ils pouvaient être exécutés, pendus…). De 1584 à 1630, Domjevin fut un des villages où il y eut le plus d'habitants exécutés (à Blâmont) pour sorcellerie[17] : 13 femmes[18] et 3 hommes[9].

    Les épidémies de pestes et la Guerre de Trente Ans ont laissé à nouveau Domjevin dépeuplé et ravagé : il ne restait plus que 30 habitants[11].

    Il n'existe que 3 ponts sur la Vezouze dont un à Domjevin : ce pont est à péage et apporte des revenus aux habitants de Domjevin qui en sont propriétaires. En 1650 les habitants s'entendent pour remplacer le pont de bois par un pont de pierre. Les habitants de Vého et de Fréménil seront exemptés de droit de péage car ils participèrent à l'entretien de ce pont[9].

    Révolution française et Empire

    En 1802, après avoir appartenu au bailliage de Lorraine, cour souveraine de Nancy, Domjevin fut une succursale qui relevait de Blâmont avec Fréménil pour annexe[9].

    Époque contemporaine

    Gare du Tacot en 1911.

    La gare de Domjevin de la ligne de Lunéville à Blâmont et à Badonviller est inaugurée par le ministre Albert Lebrun le . Elle est située à 1 200 m au sud du village, le trafic fonctionne jusqu'en 1942[19].

    Lors de la Première Guerre mondiale, l'occupation allemande dure peu de temps mais la population est évacuée pendant quatre ans et à son retour retrouve un champ de ruines. De nombreuses maisons ne seront pas reconstruites[11].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, le village est occupé par les Allemands. À la libération 30 000 obus ont été tirés sur le village, pendant que les habitants vivent un exode au pays de Sarrebourg[11].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995 mars 2008 René Brégeard DVD  
    mars 2008 2014 Lucien Manonviller    
    avril 2014 En cours
    (au 23 mai 2020)
    Dominique Pierrat[20],[21]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
      Artisan

    Administration vers 1836

    Vers 1836, Domjevin comptait 12 conseillers municipaux ; deux électeurs pour la députation et 60 électeurs communaux[15] (il y avait peu d'électeurs communaux à cause du suffrage censitaire masculin de 1815 à 1848 : seul les hommes très riches avaient le droit de vote. En 1815, en France, seules 100 000 personnes avaient le droit de vote sur 30 millions d'habitants.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 258 habitants[Note 2], en augmentation de 0,78 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    496577562599600601559530548
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    533568522511481478485458447
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    437411311343315322244286296
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    257237228230267237248254258
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Démographie : histoire

    En 1829, on dénombrait 599 habitants. Vers 1836, Domjevin comptait 610 habitants 135 feux et 115 habitations. Vers le milieu du XVIe siècle, Domjevin comptait 25 feux ; et 29 en 1708, pour 279 habitants ; au village on recense 70 chevaux, 108 vaches, 35 bœufs et 107 porcs[11]. En 1841 il y a 559 habitants ; plus que 244 en 1946 ; conséquence de l'exode rural : 228 en 1982[11].

    Économie

    À la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle 14 hectares de vignes couvraient les beaux coteaux du finage. Le vin de Domjevin, d'excellente qualité, avait une certaine réputation à Nancy[15].

    Entre 1840 et 1914, beaucoup de gens travaillent la terre au village, il y a de nombreux commerces, il y a beaucoup d'artisanat : vannerie et broderie[11].

    En 1946, il y avait 35 exploitations agricoles, 2 laiteries, 10 commerçants et des artisans : ce qui formait l'économie du village[11].

    En , Domjevin compte 27 établissements[26], essentiellement dans l'élevage, la culture, l'exploitation forestière, services et travaux divers[27].

    Culture locale et patrimoine

    Bonne Fontaine

    La Bonne-Fontaine de nos jours.

    Avant la Révolution, on venait déjà à la source, dédiée à Notre Dame sous la Croix et réputée pour des vertus bienfaisantes. En 1851 une chapelle néogothique fut construite, la chapelle Notre-Dame-de-la-Bonne-Fontaine[28]. En 1944, la nef est détruite, seuls le chœur et la statue de la Vierge restent intacts ; la nef fut remplacée par une construction plus moderne.

    On peut qualifier cette chapelle de haut lieu de la spiritualité du Lunévillois. Près de 5 000 cierges sont brûlés par an par plus de 10 000 visiteurs. C'est un lieu privilégié pour le calme et le recueillement[29].

    Portes monumentales

    Après la Guerre de Trente Ans, le village en ruines se reconstruit : d'imposantes fermes sont construites, ornées de portes monumentales dues à des artistes italiens qui ont voulu reproduire les belles réalisations architecturales de leur pays. Ces constructions sont un mélange du style baroque et Renaissance : cet art est le « style italo-lorrain du XVIIIe siècle ». Aujourd'hui, il ne reste plus que quelques portes, les autres furent détruites lors des deux Guerres mondiales[10],[11].

    Calvaires

    • Calvaire du carrefour de le RD 19 et 19 bis ; on pourra s'interroger sur ce texte : « CET CROX A ETE FAIT PAR LA COMUNOTE DE DOMJUVIN EN 1791 ». Cette croix a été érigée en pleine révolution, à l'époque de la destruction de objets de culte. Le mot paroisse a été remplacé par communauté …
    • Croix du centre située sur la route de Domjevin à Manonviller (1893)[11].

    Église

    L'église du village de Domjevin.

    Inaugurée en 1733, elle remplace l'ancienne église vétuste et trop petite. La nef est de style grange (commun à l'époque). L'église se remarque par son clocher à bulbe et à tourelle construit par Fhilibert, originaire de Suisse, venu habiter Domjevin après avoir quitté Fribourg[10],[11].

    Tableaux

    Vers 1850, de grandes toiles représentant les stations du chemin de croix furent peintes par De Mirbeck (originaire de Barbas) et vinrent orner l'église. Aujourd'hui, ces tableaux sont assez abîmés et ont été remisés depuis 1945[10].

    « Hôpital militaire »

    Construit en 1917, vestige de la Grande guerre, l'« hôpital » était un poste de secours qui se situe au bord de la route de Domjevin à Manonviller[30]. Ouvrage de campagne construit en retrait d'une ligne de front stabilisée dès septembre 1914 à proximité du fort d'arrêt de Manonvillers, ce poste de secours est constitué de trois galeries perpendiculaires, en béton, couvertes de tôles ondulées et protégées par un talus de terre. Il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du [31].

    Personnalités liées à la commune

    • M. Mangin (1797-1868), curé de Blâmont de 1834 à 1868, un des prêtres distingués du clergé de Nancy, est né à Domjevin[15],[32].
    • M. l'abbé Émile Hatton (1882-1963), érudit, curé de Domjevin de 1925 à 1936[33].

    Héraldique

    Blason
    D'or, à la porte monumentale du lieu de gueules ouverte du champ et mouvant de la pointe, au casque romain du même à la cocarde du champ en abîme[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CCV, Communauté de communes de la Vezouze, des communes à vivre, Blâmont, CCV, 2003, p. 52-57.
    • AUBRY-HUMBERT Antoinette, Seigneurs et laboureurs dans le Blâmontois aux XVIIe et XVIIIe siècles, 2011, vol.3 p. 207-249.
    • Monographies communales et études statistiques départementales : H. Lepage, A. Calmet, E. Grosse, L. A. Michel.
    • Marc Gabriel, L'épopée du LBB, Nancy, NMG éditions, , 230 p. (ISBN 978-2-9537068-1-9).

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. LEPAGE Henri, Les communes de la Meurthe, journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes, A. Lepage, 1853, vol.1 p. 305-306 [lire en ligne].
    10. AUBRY-HUMBERT Antoinette, Seigneurs et laboureurs dans le Blâmontois aux XVIIe et XVIIIe siècles, 2011, vol.3 p. 207-249.
    11. CCV, Communauté de communes de la Vezouze, des communes à vivre, Blâmont, CCV, 2003, p. 52-57.
    12. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862, p. 43, à lire sur gallica.bnf.fr
    13. LEPAGE Henri, Le département de la Meurthe : statistique historique et administrative, Nancy, Peiffer, 1843, vol.2 p. 161 [lire en ligne].
    14. CALMET Augustin, Notice de la Lorraine qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, l'électorat de Trèves, les Trois Évêchés, Lunéville, Mme George, 1840, vol.1 p. 301 [lire en ligne].
    15. GROSSE E. (abbé), Dictionnaire statistique du département de la Meurthe, Lunéville, Creusat, 1836, vol.1 p. 184-185 [lire en ligne].
    16. MICHEL Louis Antoine, Statistique administrative et historique du département de la Meurthe, Nancy, Michel, 1822, p. 244 [lire en ligne].
    17. Procès et exécution de Chistienne Simon sorcière à Domjevin (1607), à lire sur gallica.bnf.fr
    18. HATTON Emile, Procès et exécution de Christienne Simon, sorcière à Domjevin, 1607, Le Pays Lorrain, 1935 [lire en ligne].
    19. Gabriel 2011, p. 73 & 109-110
    20. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Entreprises à Domjevin, en ligne sur entreprises.lefigaro.fr
    27. Dossier complet Insee, en ligne sur www.insee.fr
    28. DEDENON Alphonse, Cinq pèlerinages dans le Blâmontois, Nancy, 1926, p. 1-20 [lire en ligne].
    29. Livret : Notre-Dame de la Bonne Fontaine à Domjevin, 2010.
    30. Notes sur "l'Hôpital de Domjevin", blamont.info [lire en ligne].
    31. « Poste de secours dit de Manonvillers », notice no PA00106090, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. 10 juin 1900 - Le monument de Blâmont, à lire sur www.blamont.info
    33. Nécrologie de M. l'abbé Hatton, à lire sur gallica.bnf.fr
    34. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=19086
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