Revigny-sur-Ornain

Revigny-sur-Ornain est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Revigny.

Revigny-sur-Ornain

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Bar-le-Duc
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Revigny-sur-Ornain
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Burgain
2020-2026
Code postal 55800
Code commune 55427
Démographie
Gentilé Revinéens [1]
Population
municipale
2 807 hab. (2018 )
Densité 145 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 44″ nord, 4° 59′ 17″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 182 m
Superficie 19,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Revigny-sur-Ornain
(ville isolée)
Aire d'attraction Bar-le-Duc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revigny-sur-Ornain
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Revigny-sur-Ornain
Géolocalisation sur la carte : Meuse
Revigny-sur-Ornain
Géolocalisation sur la carte : France
Revigny-sur-Ornain
Géolocalisation sur la carte : France
Revigny-sur-Ornain
Liens
Site web revigny-sur-ornain.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Revigny est située dans une vaste plaine, traversée de part en part par la rivière Ornain. Le sol est calcaire, sablonneux, légèrement limoneux, meuble et plat. Le territoire de la commune est limitrophe de 8 communes. Il y a quelques km à l'ouest qui sont en frontière du département de la Marne (commune de Vroil). La commune est sur la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    L'Ornain naît de la confluence de deux rivières qui sont l'Ognon et la Maldite au sud de Gondrecourt-le-Château. De 116 km de longueur, l'Ornain va se jeter dans la Saulx à Étrepy (en rive droite), à une quinzaine de km à vol d'oiseau de Revigny.

    L'Ornain alimente deux canaux. Celui du nord, dit canal de l'Ornain, est très ancien. Au milieu de la ville, il y a le petit canal Martin. Au sud de la ville, il y a le canal de la Marne-au-Rhin, mis en service en 1853, suivant une ligne est-ouest, comportant six écluses sur le territoire de la commune.

    Voies de communications et transport

    Revigny -sur-Ornain est une gare de la ligne Paris-Strasbourg, commencée en 1846 et inaugurée à Strasbourg le . Sous l'occupation allemande, de 1870 à 1918, la ligne s'arrête à la frontière : Avricourt, commune de la Moselle. C'est pourquoi la ligne s'appelle à l'époque Paris-Avricourt. En outre, il existait autrefois trois autres lignes à Revigny[2] : les lignes à deux voies Revigny-Vouziers (1882) et Revigny-Saint-Dizier (1884), et le chemin de fer d'intérêt local à voie étroite (dit le "tramway") Triaucourt-Revigny-Haironville (1878), qui avait sa propre gare. La gare principale était importante pour l'époque avec plusieurs quais et bâtiments, un réservoir d'eau de 10 m3 pour les locomotives, une plaque tournante, une halle de réparation pour 12 locomotives. Il y avait aussi un quai militaire de près d'un km. Le canal de la Marne-au-Rhin traverse le territoire de la commune suivant un axe est-ouest.

    Urbanisme

    Typologie

    Revigny-sur-Ornain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Revigny-sur-Ornain, une unité urbaine monocommunale[6] de 2 805 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,3 %), forêts (14,5 %), zones urbanisées (12 %), prairies (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Ruviene (1106), Revigney, Ruvigny (1321), Revigneyum (1402, 1580), Revigny (1682).

    Registres paroissiaux depuis 1700: Revigny ou Revigni. Registres d'état-civil : Revigny jusque 1918. Le cadastre de 1824[13] et la monographie de l'instituteur[14] sur la commune (1888) indiquent Revigny. Cependant, on trouve Revigny-aux-Vaches dans d'autres documents "officiels", pourtant des mêmes époques : carte de Cassini de 1758[15], dictionnaire de 1834[16], carte d'état-major[17] 1820-1866 (date exacte inconnue). Revigny devient Revigny-sur-Ornain par décret paru au Journal Officiel en 1919[18].

    Histoire

    Le village est détruit lors de la Première Guerre mondiale[19]. La Première Guerre mondiale à Revigny: voir la thèse de Mickaël Mathieu[20].

    La ligne Triaucourt-Revigny-Haironville

    Un programme national avait été décidé par une loi de 1865 : les chemins de fer d'intérêt local sur routes. L'idée est de créer des lignes à moindre coût, en utilisant l'accotement des routes, ce qui facilite la construction tant pour l'emprise que pour l'approvisionnement en matériaux. À l'époque, les cultivateurs sont demandeurs pour transporter céréales, lait, fromages, mais aussi les industriels du bois et de la métallurgie en Meuse. C'est dans ce programme qu'une ligne de chemin de fer à voie étroite (1 m) est construite entre Triaucourt et Haironville, passant par Revigny. La mise en service s'effectue par tronçons au fur et à mesure de l'avancement des travaux : 1878 :  Revigny-Coulonges (11 km); 1879 : Couvonge - Lisle-en-Rigault (9 km); Revigny-Laheycourt (15 km); 1880 : Laheycourt – Triaucourt (20 km); 1881 : Lisle-en-Rigault – Haironville (7 km).

    La branche au nord de Revigny desservait les villages de : Triaucourt, Vaubecourt,  Lisle-en-Barrois,  Villotte-devant-Louppy,  Laheycourt, Auzécourt,  Noyers, Brabant-le-Roy, Revigny (carte de la ligne[23],[24]). Elle servait au transport des produits agricoles, mais surtout du bois de Laheycourt, et des phosphates extraits dans les environs, soit sous forme de nodules (grains de la taille d'une noisette/une pomme) pour y être pulvérisés dans les moulins de Revigny, soit sous forme de poudre en sacs, provenant des moulins de Laheycourt et Villotte-devant-Louppy, pour y être repris sur le réseau ferré à Revigny pour expédition dans d'autres régions. Cette branche fermera en 1936. La branche sud desservait : Revigny, Contrisson, Mognéville, Couvonges, Beurey, Robert-Espagne, Ville-sur-Saulx, Saudrupt, Haironville, soit au total 62 km. Elle transportait outre les produits agricoles, des produits de l'industrie métallurgique, scieries, papeteries, moulins. La branche sud fermera en 1929. Des cartes de la ligne plus ou moins détaillées indiquent le tracé. Ce chemin de fer était surnommé le "tramway" à cause de sa proximité à la route (et parfois sur la route) et de sa faible vitesse. La ligne entre dans Revigny par la Voie Saint-Jean (toujours sur l'accotement) puis emprunte l'actuelle Avenue du Général Leclerc jusqu'à la rue du Pâquis et continue tout droit vers l'Ornain. Elle franchit le canal Martin qui longe le quai des Gravières puis l'Ornain sur un pont métallique, appelé souvent sur les cartes postales "Pont du Tramway". Elle croise la grande ligne Paris-Avricourt (actuellement, Paris-Strasbourg. Avricourt, 50 km à l'est de Nancy, est alors la gare frontière avec l'Allemagne, jusqu'en 1918) à angle droit, probablement par un passage supérieur et arrive à la gare du tramway située presque en face de la gare actuelle.

    En 1914, il y avait trois trains dans chaque sens par jour. La durée du trajet était d'environ 2,5-3 h entre Revigny et Triaucourt et 2 h entre Revigny et Haironville (voir Chaix 1914 sur Wikicommons). La ligne était mixte voyageurs-marchandises.

    La construction et l'exploitation de la ligne fut confiée à Léon Soulié, ingénieur, par convention avec le préfet de la Meuse du [21]. Toutefois, sa société Compagnie des Chemins de Fer d'Intérêt Local de la Meuse fit faillite le , après sept ans d'exploitation. L'activité fut reprise par le département de la Meuse puis par la Compagnie Meusienne des Chemins de Fer (Compagnie Varinot) en 1892. Une petite locomotive 031T-C.M. n° 26, de 14 tonnes à vide, baptisée « La Suzanne » fut mise en service en sur la ligne[25]. Elle a été retrouvée puis restaurée et se trouve à Bar-Le-Duc (chemin du Varinot).

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2014

    En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

    • total des produits de fonctionnement : 2 664 000 , soit 855  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 696 000 , soit 865  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 1 859 000 , soit 596  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 1 588 000 , soit 510  par habitant ;
    • endettement : 1 561 000 , soit 501  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 12,06 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,33 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 37,25 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1913 août 1920 Jules Gaxotte   Notaire, père de Pierre Gaxotte
    Les données manquantes sont à compléter.

    (démission)
    Alain Clément[27] PS Cadre à la C.P.A.M.
    Conseiller général du canton de Revigny-sur-Ornain (1994 → 2000)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Bernard Domon SE  
    En cours
    (au 27 mai 2020)
    Pierre Burgain [28]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    PS Conseiller général du canton de Revigny-sur-Ornain (2008 → 2015)
    Conseiller départemental du canton de Revigny-sur-Ornain (2015 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2018, la commune comptait 2 807 habitants[Note 3], en diminution de 5,84 % par rapport à 2013 (Meuse : −3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6891 7671 6501 6161 5981 5661 6401 5721 547
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5561 4961 5621 5351 5801 8101 8841 8241 810
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7441 7152 0342 1632 9793 1982 8352 6073 092
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 2873 9554 0774 0543 5283 6603 2613 2063 005
    2017 2018 - - - - - - -
    2 8052 807-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Activités industrielles

    Les domaines actuels sont: métallurgie, aciers plats, barres. Construction mécanique, remorques, engins de traction et de levage. Équipements automobiles (suspensions). Électronique.

    En 1888, il y avait des activités industrielles diversifiées à Revigny : fabrique de ressorts de montres, fabrique de chaussures, une tuilerie-briqueterie, un constructeur de machines agricoles (faneuse, râteaux, coupe-racines, hache-paille, rouleaux), une marbrerie, des fabricants d'engrais minéraux (phosphates) extraits dans la région (Bister, Desaux)[14].

    Agriculture et maraichage

    Asperges: Revigny, ainsi que plusieurs autres communes de la Meuse, est réputée pour ses asperges blanches (mai à début juin).

    Phosphates

    Une veine de phosphate de chaux existe dans la région et est exploitée de 1860 à 1900 environ, soit par prélèvement en surface soit avec des puits pouvant atteindre 20 m. Le produit se présente sous forme de nodules de 3 à 10 cm de diamètre appelés aussi "coquins". Ils sont utilisés comme engrais dans l'agriculture sous forme de poudre. L'exploitation avait lieu dans plusieurs villages an nord de Revigny, notamment Villotte-devant-Louppy et Laheycourt. Ils étaient transportés à Revigny par le train à voie étroite (tramway), soit déjà en poudre provenant des moulins de Villotte et Laheycourt, soit en grains pour être pulvérisés dans trois moulins de Revigny : moulin de la Ville et moulin des Bas-Prés alimentés par le canal de l'Ornain au nord de la ville (machines à vapeur ultérieurement), moulin des Gravières alimenté par le canal Martin (longeant l'actuel quai des Gravières). Alcide Bister, industriel et homme politique local, exploitait à la fois des mines à Villotte-devant-Louppy (une trentaine de puits) et des moulins. La poudre était ensuite expédiée dans la France par chemin de fer notamment en Bretagne.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre et Saint-Paul (visioguide[33]) avec un chœur voûté d'ogives et un transept gothique flamboyant des XVIe – XVIe siècles  Classé MH (1908)[34]. Le clocher a été détruit à 2 reprises. Orgues[35],[36],[37],[38]: grand-orgue de Roethinger (1958), célèbre maison à Strasbourg et Schiltigheim et de Albin Unfer (1977), facteur d'orgue à Leutenheim (Bas-Rhin). Orgue néo-gothique de chœur (1893) de Jaquot-Jeanpierre, facteur d'orgue à Rambervillers (Vosges). Le buffet de l'orgue de chœur en chêne est classé MH[39]. Chemin de croix (1952-1953) de Lucien Lantier, peinture à l'huile sur bois taillé (classé MH).
    • L'église Saint-Joseph, Quartier la Tuilerie (Moderne).
    • La chapelle Notre-Dame de Grâce[40].
    • La chapelle du cimetière.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meuse-55
    2. Fédération des amis des chemins de fer secondaires (FACS), « Les chemins de fer secondaires en Meuse », sur http://www.trains-fr.org/ (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Revigny-sur-Ornain », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Archives Départementales de la Meuse, « REVIGNY - Tableau d'assemblage feuille 01 (161 FI 96) », sur http://archives.meuse.fr (consulté le ).
    14. Jules Lepointe, Monographie de la commune de Revigny, , 18 p. (lire en ligne).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Navigation : cartes de Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
    16. Briand de Verzé, Dictionnaire complet, géographique, statistique et commercial de la France et de ses colonies, Paris, Langlois, , 671 p. (lire en ligne), page 254.
    17. « Fond de carte état-major 1820-1866 », sur https://www.geoportail.gouv.fr/, 1820-1866 (consulté le ).
    18. Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2017-53797, Table annuelle du Journal officiel de la République française Lois et décrets, Paris, , 240 p. (lire en ligne), page 20.
    19. James Moore, Paul Nero, Pigeon-Guided Missiles: And 49 Other Ideas That Never Took Off, p. 45.
    20. Mickaël Mathieu, « « Doctorat d'histoire. Thèse "Revigny-sur-Ornain, Vaubécourt et la Première Guerre mondiale. Histoire et mémoire dans deux cantons ruraux de la Meuse (1914-1918) », sur http://www.theses.fr, (consulté le ).
    21. Ernest Chabrier, Les chemins de fer d'intérêt local sur routes, Nancy, Berger-Levrault, (lire en ligne), pages 25-26.
    22. Jean Marc Dupuy, Gares et tortillards de Lorraine, Cheminements, , 333 p., page 293.
    23. Passions métrique et étroite, « Forum. Le tacot meusien » (consulté le ).
    24. « Atlas des lignes de chemins de fer disparues ».
    25. « Chemin de Fer Historique de la Voie Sacré » (consulté le ).
    26. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 22 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Mairie de Revigny-sur-Ornain, « Visioguide » (consulté le ).
    33. « Eglise Saint-Pierre », notice no PA00106608, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Notice no PM55002736, base Palissy, ministère français de la Culturebuffet d'orgue : buffet de l'orgue de chœur
    35. Orgue de chœur de l'église Saints Pierre et Paul
    36. Mérite diocésain : Odile Mathieu, organiste de Revigny-sur Ornain
    37. Inventaire du Grand orgue de l'église Saints Pierre et Paul
    38. « orgue de chœur : buffet d'orgue », sur https://www.pop.culture.gouv.fr/ (consulté le ).
    39. Chapelle Notre Dame de Grâce
    40. La nécropole nationale
    41. Le monument dédié à André Maginot
    42. Fontaine Notre Dame de Grâce
    43. Tombeaux des Immortels
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