Théodose Ier
Théodose Ier (en latin : Flavius Theodosius Augustus), également nommé Théodose le Grand (en latin : Theodosius Magnus), est un empereur romain. Né en 347, il règne de 379 jusqu'à sa mort le . C'est le dernier empereur à régner sur l'Empire romain unifié, de sa victoire sur Eugène le à sa mort le [1]. Il est fêté le 17 janvier en tant que saint des Églises catholiques et orthodoxes[2],[3].
Pour les articles homonymes, voir Théodose.
Théodose Ier | |
Empereur romain | |
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Pièce de monnaie à l'effigie de Théodose Ier. | |
Règne | |
- (15 ans, 11 mois et 29 jours) Dernier empereur de l'Empire romain unifié (392-395) |
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Période | Théodosienne |
Précédé par | Valens Gratien Valentinien II |
Co-empereur | Gratien (jusqu'à 383), Valentinien II (jusqu'à 392) et Maxime (384-388) |
Usurpé par | Eugène (392-394) |
Suivi de | Flavius Honorius (Occident) Flavius Arcadius (Orient) |
Biographie | |
Nom de naissance | Flavius Theodosius |
Naissance | - Cauca (Hispanie) |
Décès | (~48 ans) Milan (Italie) |
Inhumation | Constantinople |
Père | Théodose l'Ancien |
Mère | Thermantia |
Fratrie | Honorius |
Épouse | (1) Ælia Flacilla (3??-385) (2) Ælia Galla (385-395) |
Descendance | (1) Arcadius (de Flacilla) (2) Honorius (de Flacilla) (3) Pulcheria (de Flacilla) (4) Galla Placidia (de Ælia Galla) |
Empereur romain | |
Jeunesse
Les sources
Les sources antiques sur le règne de Théodose sont assez nombreuses et variées mais se contredisent fréquemment. C'est pourquoi le personnage possède une image ambiguë. Aujourd'hui encore les historiens cernent mal cet empereur, qualifié de « Grand » mais aussi accusé de fanatisme religieux, d'indécision et de mollesse. Il faut cependant juger ce règne à l'aune de la période dramatique que vit l'Empire, invasion des Goths, crise religieuse avec la fin du paganisme, et rester prudent et mesuré dans la présentation de son bilan[4].
Dans les sources primaires, nous disposons tout d'abord du Code de Théodose, recueil de lois publié en 438 sous le règne de son petit-fils Théodose II. Il faut ajouter les Constitutions sirmondiennes[5]. Certaines lois se retrouvent dans le Code de Justinien, du VIe siècle. Ces recueils permettent de connaître une part non négligeable de l'œuvre législative de Théodose, sans toutefois que celle-ci s'y retrouve dans son intégralité.
Nous disposons aussi de plusieurs discours prononcés devant Théodose par des rhéteurs païens, en particulier ceux de Pacatus à Rome et de Thémistios à Constantinople. Ces discours contiennent chacun un éloge de l'empereur à qui ils s'adressent, indépendamment des attentes de leurs auteurs. À la même période, le sénateur de Rome mais aussi rhéteur, Quintus Aurelius Symmaque, est l'auteur d'une vaste correspondance adressée à un nombre élevé de personnalités proches de Théodose. Enfin, Libanios, sans doute le rhéteur le plus célèbre de l'époque, est l'auteur de plusieurs discours adressés directement à Théodose et, comme Symmaque, d'une importante correspondance avec les principaux notables du règne[6].
Les principales figures religieuses de l'époque sont aussi une source de renseignements précieux, en particulier leur correspondance. Ainsi celle d'Ambroise de Milan, qui a des relations étroites avec les divers empereurs de cette fin du IVe siècle, et qui est une source importante non seulement sur le règne de Théodose mais aussi sur l'ensemble des événements de la période. Ambroise de plus est l'auteur de l'oraison funèbre de Théodose. Quant à Jean Chrysostome, nous lui devons les Homélies sur les statues[7], allusion à la révolte de 387 à Antioche et une autre homélie[8] lors d'un anniversaire de la mort de Théodose quelques années plus tard.
Son règne est à situer à une conjoncture économique difficile. Il annonce la division de l'Empire en deux entités : l'Empire romain d'Occident, à dominante latine, et l'Empire romain d'Orient, qui correspond à la sphère du monde grec.
Une famille aristocratique hispanique
Théodose Ier est probablement né le à Cauca[9], aujourd'hui Coca, une petite ville dans le nord-ouest de la province romaine de Carthaginoise, à proximité de l'actuelle Ségovie. Son père, qui s'appelle Théodose l'Ancien, est un militaire victorieux[10] de Valentinien Ier, et possède de grandes propriétés dans cette région. Pour une raison incertaine il est exécuté à Carthage au début de l'année 376 probablement sur ordre de Valens[4]. Ses grands-parents paternels, Flavius Honorius et Thermantia, étaient déjà des chrétiens nicéens, tout comme son père et lui-même. Théodose a aussi un frère, Honorius, dont il adopta plus tard la fille Serena et qui devait avoir une grande influence par son mariage avec le magister militum Stilicon.
Le jeune Théodose passe son enfance dans son Espagne natale. On ne connaît presque rien de son éducation, à l'exception de l'intérêt qu'il montre pour l'étude de l'histoire. En raison de sa haute naissance, il reçoit probablement une bonne éducation.
Une carrière militaire
À partir de 368, il fait partie de l'escorte de son père. Il entame une carrière militaire et il prend part avec lui aux campagnes en Bretagne en 368-369, à la campagne contre les Alamans en 370 au niveau du Rhin (son père exerce à partir de ce moment-là la fonction de magister equitum præsentalis et fut donc commandeur de la cavalerie de l'armée) et contre les Sarmates en 372-373 au niveau du Danube.
Probablement grâce à l'influence de son père, Théodose est promu dux Moesiæ primæ, et reçoit le commandement d'une province militaire dans les Balkans, la Mésie première. Ce type de nomination est à cette époque courant et le jeune Théodose semblait être totalement à la hauteur de la tâche. En 373, son père est finalement envoyé en Afrique pour mater la rébellion de l'usurpateur Firmus, pendant que son fils battait en 374 les Sarmates en Pannonie (près de l'actuelle Hongrie), après que ces derniers eurent franchi le Danube. Ainsi, il prouva sa valeur militaire. L'exécution de son père, pour des raisons confuses, entraîne sa disgrâce provisoire entre 376 et 378.
Empereur
La mort de l'empereur Valens à la bataille d'Andrinople (378) obligea Gratien à proclamer Théodose empereur en 379 : il reçut l'Orient, la Macédoine et la Dacie.
Une politique de stabilisation des frontières
Théodose Ier se fixe pour objectif de stabiliser les frontières, d'abord celle du Nord avec les Goths puis celle de l'Est avec les Sassanides.
Fixation de la frontière du Danube
En 380, avec Gratien, il arrête les Goths en Épire et en Dalmatie. Théodose installe une partie des Ostrogoths en Pannonie, et s'installe lui-même à Constantinople.
Théodose Ier avait enrôlé dans l'armée romaine des contingents de barbares en leur laissant une organisation autonome. Ces fédérés préparèrent l'occupation de l'Empire par les barbares.
En 381, il reçoit Athanaric, roi des Goths à Constantinople[11]. Ce dernier y décédera 15 jours plus tard.
En 382, un traité de paix est conclu entre l'Empire et les Goths. Ils sont installés par foedus en Mésie et en Thrace, avec comme obligation de défendre la frontière. Cette décision, considérée par certains contemporains comme catastrophique (Hydace de Chaves parle de pace infida, une « paix trompeuse »[12]) sera l'une des causes les plus immédiates de la fin de l'Empire romain d'Occident. En effet, cette insertion d'un peuple barbare uni et fort dans l'Empire, et du même coup dans l'armée impériale, signera la fin d'un contrôle réel de l'empereur sur ses armées. Mais, après le désastre d'Andrinople sous l'empereur Valens, il est vraisemblable que Théodose Ier n'ait guère eu le choix. Cependant, le contenu exact du traité n'est pas connu ; la grande majorité des historiens considère qu'il accordait aux Goths la maîtrise d'un territoire, à l'intérieur des frontières de l'Empire, sur lequel ils jouissaient de plein droit d'une très grande autonomie avec exemption fiscale. Mais cette interprétation de leur statut repose sur des bases assez fragiles[13].
Traité de paix avec les Sassanides
Alors que la guerre avec les Sassanides avait fait rage sous Valens, Théodose compose avec le roi Chapour III, qui envoie une ambassade à Constantinople en 384 pour demander la paix. Elle est signée à Ekeleac en 387. Le traité portait principalement sur le sort de l'Arménie, qui est divisée entre les deux grandes puissances, la part du lion revenant à la Perse.
Une politique intérieure forte
Le triomphe du christianisme nicéen sur la doctrine arienne
En 380, il publie un édit (dit édit de Thessalonique) : « Tous les peuples doivent se rallier à la foi transmise aux Romains par l'apôtre Pierre, celle que reconnaissent le pontife Damase et Pierre, l'évêque d'Alexandrie, c'est-à-dire la Sainte Trinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».
La foi catholique trinitaire, telle qu'elle a été définie par le concile de Nicée en 325, triomphe désormais sur l'arianisme, qui va être condamné une nouvelle fois par le premier concile œcuménique de Constantinople (381).
En avril 390, le peuple de Thessalonique se soulève du fait de la perturbation d'une course de char par une histoire de mœurs, et plusieurs responsables romains dont le magister militum Buthéric sont tués et leur corps traînés dans la ville. La répression fait sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d'être excommunié par l'évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent majoritairement des Romains et les massacreurs d'anciens barbares, populations au sein desquelles l'armée recrutait. Pendant plusieurs mois, Théodose et Ambroise campèrent sur leurs positions respectives. Puis Théodose, sentant que la sienne devenait intenable, accepta de venir s'humilier publiquement devant Ambroise la tête couverte de cendres pour obtenir sa réintégration dans l'Église[14].
Les empereurs Théodose Ier, pour l'Empire romain d'Orient, et Gratien, pour l'Empire romain d'Occident, tous deux chrétiens, font du christianisme nicéen l'unique religion officielle et obligatoire de l'État, par l'Édit du , dit l'édit de Thessalonique. L'empereur Gratien cesse alors de porter le titre de pontifex maximus (pontife suprême) de l'ancien culte romain païen. Cette titulature impériale sera ultérieurement reprise par l'évêque de Rome Théodore Ier à partir de 642, mais dans un sens sacerdotal nouveau, selon la primauté pétrinienne, c'est-à-dire la primauté pontificale décrétée lors du concile de Nicée. Les temples païens de l'Empire romain sont alors fermés (particulièrement en Orient, sous l'impulsion de Théodose Ier), et la statue de la déesse Victoire est retirée du Sénat romain par ordre de Gratien, ce qui provoqua l'inutile protestation d'une aristocratie païenne minoritaire mais encore politiquement influente à Rome (Confer la supplique du sénateur païen Quintus Aurelius Symmaque à ce propos). En Égypte, le patriarche Théophile d'Alexandrie est chargé d'appliquer l'édit de Théodose Ier qui interdit aux païens l'accès à leurs temples et toutes les cérémonies païennes. Les temples sont soit détruits, soit consacrés en églises. Les statues des divinités païennes sont brisées et le sérapéum de Memphis est détruit sur ordre de l'empereur lui-même. Le temple d'Isis le sera plus tard, au cours de soulèvements populaires entraînés par le conflit entre les partisans du patriarche Cyrille d'Alexandrie et Oreste, dernier préfet païen de la ville.
Les suites de l'Édit sont catastrophiques pour les tenants des anciens cultes païens. Les rôles sont drastiquement inversés : ce sont maintenant les adeptes de la « religion païenne » et leurs œuvres qui sont interdits et éliminés, après avoir causé tant de martyrs parmi les chrétiens, notamment durant la dernière grande persécution de Dioclétien, au début de ce même IVe siècle. Toutes les œuvres et manifestations jugées païennes sont progressivement interdites. En 415, une émeute fomentée par un certain Pierre le magistrat, à Alexandrie, que le patriarche Cyrille[réf. souhaitée] n'a pu contenir, aboutit au lynchage d'Hypatie, philosophe néoplatonicienne, adepte de Plotin, accusée soit de pratiques de magie, soit d'empêcher la réconciliation entre le patriarche Cyrille d'Alexandrie et le préfet païen Oreste, à la suite de divers conflits sanglants dans la ville. Selon Socrate le Scolastique, son corps mis en pièces est porté au sommet du Cinâron pour y être brûlé, tandis que les émeutiers se dirigent vers la bibliothèque pour l'incendier (Thomas Molnar, dans son essai Moi, Symmaque, date cet événement de 391, à l'instar de ceux qui croient que ce fut Théodose Ier lui-même qui commanda cet incendie, ce qui n'est pas prouvé). Enfin, en 394, Théodose écrasa l'usurpation d'Eugène qui, bien que chrétien, favorisait les anciens cultes païens et avait annulé, dans les territoires qu'il avait temporairement occupés, les mesures décidées par Théodose Ier.
Une réforme monétaire
Les différentes opérations militaires, surtout aux frontières du Rhin, en Pannonie, et aux frontières de l'Empire sassanide sont lourdes de conséquences pour le budget de l'Empire. Théodose renonce ainsi définitivement aux projets de reconquêtes de la Mésopotamie, et par raison, du fait de guerres interminables avec l'Empire sassanide, une solution de trêve, ou quelques années de paix sont conclues. Les temps sont très difficiles pour une grande partie de la population qui sombre dans la misère, surtout dans les régions occidentales. Les caisses sont vides, et les Barbares présents aux frontières annoncent le sac de Rome (410). L'insécurité est très présente, et les villes commencent à se vider de leurs habitants au profit de la campagne. La priorité est donnée aux dépenses militaires des légions, aux dépens du social. Cependant, déjà à cette époque, il arrive que la solde des légionnaires soit payée avec du retard (parfois plusieurs mois). La monnaie est fortement dévaluée, pour donner de minuscules nummi en bronze, ou l'argent diminue. Le système du troc, qui va être très observé durant le Haut Moyen Âge commence à s'installer, et les échanges monétaires commencent à se raréfier. Cependant, le solidus d'or garde son prestige, et se maintient pour les transactions.
Une relation ambiguë avec les co-empereurs
Entre 383 et 388, il dut faire face à l'usurpation de Magnus Maximus qui, après avoir défait Gratien, s'était emparé de toute la préfecture des Gaules et occupait Rome et l'Italie entière au détriment de Valentinien II. Théodose fait exécuter Magnus Maximus le 5e jour avant les calendes d'août () 388 à Aquilée[15].
De 388 à 391, Théodose demeura en Occident, presque toujours à Milan. En 390, voulant mettre fin aux mœurs qui avaient jusqu'alors prévalu dans le monde antique, et imposer la morale ascétique préconisée par les chrétiens les plus radicaux, il publia une loi qui punissait de mort les homosexuels, et fit réprimer dans le sang par les troupes barbares une émeute à Thessalonique.
Entre 392 et 394, il réprima l'usurpation d'Eugène, un fonctionnaire proclamé empereur après la mort de Valentinien II. Eugène est vaincu par les armées de Théodose et meurt en 394.
En 393, il fut l'auteur du décret interdisant les jeux olympiques antiques accusés de diffuser le paganisme (les jeux ne seront rétablis que 1502 ans plus tard en Grèce, soit en 1896).
Un héritage difficile
Théodose, qui souffrait d'hydropisie, mourut à Milan le [16]. L'Empire était réunifié pour la première fois depuis trente ans, mais également pour la dernière fois.
De son premier mariage avec Aelia Flacilla, Théodose a deux fils : Flavius Arcadius en 377 et Flavius Honorius en 384. Il partagea entre eux l'Empire : Honorius (10 ans) reçut l'Occident et Arcadius (18 ans), l'Orient ; il chargea le Vandale Stilicon de veiller sur eux deux.
Valentinien Ier 327 - †375 | Justine | Théodose l'Ancien | Thermantia | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Aelia Galla | Théodose Ier 379 - †395 | Aelia Flacilla | Honorius | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Athaulf roi des Wisigoths 411 - †415 | Galla Placidia 388 - †450 | Constance III †421 | Arcadius 395 - †408 | Eudoxie | Marie fille de Stilicon et Serena | Honorius 395 - †423 | Thermantia fille de Stilicon et Serena | Serena | Stilicon | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Théodose | Honoria | Valentinien III 419 - †455 | Théodose II 408 - †450 | Eudocie | Pulchérie | Marcien 450 - †457 | Marie | Eucher | Thermantia | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Licinia Eudoxia | Pétrone Maxime †455 | Genséric roi des Vandales 427 - †477 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Olybrius †472 | Galla Placidia la Jeune | Eudoxia | Hunéric roi des Vandales 477 - †484 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Anicia Juliana ∞ Areobindus | Hildéric roi des Vandales 523 - 530 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Irène nièce d'Anastase Ier | Olybrius | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Famille impériale byzantine | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Notes et références
- Pierre Maraval, Théodose le Grand, le pouvoir et la foi, 2009, p. 275-285.
- Voir saint Théodose Ier sur Nominis.
- Voir les saints pour le 17 janvier du calendrier ecclésiastique orthodoxe.
- Pierre Maraval, Théodose le Grand, Fayard, 2009.
- Il s'agit d'une compilation de près d'une vingtaine de constitutions impériales consacrées au droit cultuel et généralement publiées en annexes du livre XVI du Code théodosien.
- Pierre Maraval, Théodose le Grand, le pouvoir et la foi, Fayard, 2009.
- Homiliæ de Statuis.
- Homilia VI.
- (la) Hydace de Chaves, Hydatii Gallaeciae episcopi chronicon (lire en ligne), "Theodosius natione Hispanus, de provincia Gallaecia, civitate Cauca"
- Il mate plusieurs révoltes en Bretagne (vers 368), puis devenu maître de la cavalerie en Gaule (en 369) il combat les Alamans et les Sarmates. Enfin vers 373/374 il vient à bout de l'usurpateur Firmus.
- (la) Hydace de Chaves, Hydatii Gallaeciae episcopi chronicon (lire en ligne), "Athanaricus, rex Gothorum, apud Constantinopolim decimo quinto die ex quo a Theodosio fuerat susceptus, interiit."
- (la) Hydace de Chaves, Hydatii Gallaeciae episcopi chronicon (lire en ligne), "Gothi infida Romanis pace se tradunt"
- Voir Michel De Jaeghere, Les derniers jours. La fin de l'Empire romain d'Occident, 2e éd., Paris, Perrin, 2016 : « Annexe. – Le traité de 382 », p. 719-725.
- cf. l'article de Biblia-cerf (archive) .
- (la) Hydace de Chaves, Hydatii Gallaeciae episcopi chronicon (lire en ligne), "Maximus tyrannus occiditur per Theodosium tertio lapide ab Aquileia quinto kalendas Augustas"
- (la) Hydace de Chaves, Hydatii Gallaeciae episcopi chronicon (lire en ligne), "Theodosius invaletudine hydropis apud Mediolanum defunctus est anno regni sui XVII
Voir aussi
Ouvrages anciens
Ouvrages modernes
- Pierre Maraval, Théodose le Grand, le pouvoir et la foi, édition Fayard, 2009.
- Bertrand Lançon, Théodose, Perrin, 2015, 393 p.
Articles connexes
Liens externes
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