Peyremale

Peyremale (Pèiramala en occitan) est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Malepeyre.

Peyremale

Église romane de Peyremale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
Maire
Mandat
Guy Silhol
2020-2026
Code postal 30160
Code commune 30194
Démographie
Gentilé Peyremalencs, Peyremalencques
Population
municipale
281 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 18′ 05″ nord, 4° 03′ 46″ est
Altitude Min. 162 m
Max. 619 m
Superficie 8,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Peyremale
Géolocalisation sur la carte : Gard
Peyremale
Géolocalisation sur la carte : France
Peyremale
Géolocalisation sur la carte : France
Peyremale

    Elle fait partie de l'aire d'adhésion (la zone centrale) du parc national des Cévennes et de la zone de transition de la réserve de biosphère des Cévennes.

    Géographie

    Village cévenol étendu aux confins de la Lozère et de l'Ardèche, Peyremale est situé dans le Nord du département du Gard, entre Génolhac et Saint-Ambroix. Il se trouve dans la vallée de la Cèze, qui traverse le village avant de recevoir son affluent le Luech sur la commune également.

    Ses habitants sont les Peyremalencs et Peyremalencques[1].

    Lieux et hameaux

    La petite commune de Peyremale inclut de nombreux hameaux. Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

    C

    • le Chambonnet*, D453
    • Chanet*, chemin de la crête de Pertus (est du Chambonnet)
    • Chatusse, D386
    • Clamoux, D453
    • le Claux, D453
    • Courtes, D386

    D

    • les Drouilhèdes, D386

    E

    • l'Elzière, D17

    F

    • La Fabrègue*, col des Quatre Chemins

    M

    • le Mas Arnal, D453
    • le Mas Bladier*, D453
    • le Mas Bordel, vallée du Rieu-Sec
    • le Mas Dardaillon, D386
    • le Mas Herm, D17
    • Mercoire, D453

    N

    • les Nogiers, D17

    P

    • le Puech*, D453

    R

    • le Ranc, D386
    • Rastel, D386

    S

    • les Selves*, D17
    • le Serre, D17

    T

    • le Tourrel, chemin à partir de l'Elzière
    • les Traverses, D386
    • le Trental*, vallée du Rieu-Sec

    Des mas isolés, souvent éloignés les uns des autres, s'élèvent sur tout le Peyremalès, entre Portes, Bordezac et Sénéchas.

    Ces lieux et hameaux sont situés entre 160 et 620 m d'altitude et sont disséminés soit en bordure des rivières de la Cèze et du Luech, soit en bordure de la montagne cévenole. Tous les lieux habités sont installés sur les flancs Est des crêtes ou sommets, sauf le Puech qui est sur une crête et les Drouilhèdes et Chambonnet installés sur des replats du fond de vallée de la Cèze[2]. Les maisons cévenoles typiques de Mercoire, avec leurs pierres en schiste et leurs tuiles romaines, remontent au Moyen Âge. Le Puech (selon certains avis, autrefois fortifié [réf. nécessaire]) et surplombant à 443 m d'altitude la route de Portes (D453) au niveau de Clamoux, domine de presque 250 m la vallée du Rieu-Sec sur son côté est et celle du Luech sur son côté nord-ouest ; ses ruelles intérieures voûtées sont du même schiste rouge que les maisons. Le hameau de l'Elzière était déjà mentionné en 1414, où deux familles ou plus travaillaient la terre et élevaient des moutons[3].

    La mairie est située au Claux à 220 m d'altitude.

    Communes limitrophes

    Entouré par les communes de Bordezac, Bessèges et Chambon, Peyremale est situé à 19 km au Nord-Ouest d'Alès la plus grande ville aux alentours.

    Relief et géologie

    Le village de Peyremale est situé dans les Cévennes, mais la topographie n’est pas homogène dans l'ensemble de cette région naturelle où le relief s’étage entre 200 et 1 700 mètres d’altitude. Les vallées cévenoles des basses Cévennes, où se trouve Peyremale, alternent crêtes étroites et vallées profondes et encaissées. Le territoire de la commune et environnant est surtout montagneux.

    Peyremale, c’est surtout un pays de schiste - tantôt de schiste et parfois de granite, que les lauzes recouvrent bien souvent. Les sentiers y glissent à travers les forêts de châtaigniers, plongeant vers les rivières avant de rejoindre les sommets.

    Son paysage a été entièrement redessiné par la main de l’homme qui y a créé les faïsses, terrasses aménagées pour la culture de la vigne, des mûriers et des céréales.

    Hydrographie

    Rivière du Luech, entre les hameaux du Claux et du Mas Herm

    Deux rivières traversent le village, où elles confluent : la Cèze et le Luech.

    Le ruisseau de Rieu-Sec (2,8 km) coule entièrement sur la commune et, affluent de la Cèze, conflue avec cette dernière en rive droite au niveau des Nogiers, immédiatement en aval du bourg[4].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 333 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Génolhac », sur la commune de Génolhac, mise en service en 1974[10] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[11],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 633 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 37 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[16].

    Description générale

    La commune dépend du centre météorologique de Nîmes.

    Le climat de Peyremale correspond au climat des Cévennes, qui est de type méditerranéen[17] et qui devient montagnard en fonction de l'altitude.

    Les contrastes géographiques prononcés (différences d'altitude) jouent sur les tendances climatiques et le climat se caractérise par de fortes précipitations qui peuvent être accompagnées d’orages : on parle alors d'épisodes cévenols (ou effet cévenol)

    Le climat est plus clément que celui des districts proches du mont Aigoual. L'influence de la Méditerranée est beaucoup plus sensible : les hivers et les automnes y sont doux et, la sécheresse estivale est parfois importante.

    Données

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Peyremale 266976232311
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Données climatiques à Nîmes
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 3,4 5,1 7,8 11,2 14,9 17,7 17,2 14,7 10,8 5,9 3 9,5
    Température moyenne (°C) 6,3 7,7 9,9 12,8 16,6 20,5 23,7 23 20 15,4 10 6,9 14,4
    Température maximale moyenne (°C) 10,3 11,9 14,7 17,8 21,9 26,2 29,8 28,9 25,3 20 14 10,7 19,3
    Ensoleillement (h) 143,5 147,4 203,1 227,6 267,8 310,2 353,8 315,3 236,6 186,8 143,9 133 2 668,9
    Précipitations (mm) 67,7 70,7 55,9 59,2 60,9 38,6 25,3 51,6 66,8 131,9 69,2 64,1 761,9
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Nîmes de 1961 à 1990[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Peyremale est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (86 %), prairies (11,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Issu de l'occitan pèira, signifiant « pierre ».

    Peyremale : Petra mala « mauvais pavé »[25], « mauvais rocher »[26].

    Histoire

    Héraldique

    « D'azur au cor de chasse d'or, lié d'argent, accompagné de trois molettes du même remplies aussi d'or[27]. »

    La potence à Peyremale, en 1602

    Un article datant de 1602, intitulé : « Redressement de potances ou fourches pathibulayres en la vrai juridi(cti)on du S(eigneu)r de Chamborigaud au mand(emen)t de Pieremale, trouvé dans les archives notariales, atteste que vers le milieu du XVe siècle messire Jean de Chasteauneuf de Randon, seigneur d’Alès et de Peyremale, aurait fait planter trois fourches au-dessus du roc de François pour y faire exercer la haute justice, c'est-à-dire y faire « punyr & executer les délincquants dud(it) mandement de Pieremale & Chamborigaud ». Ainsi le seigneur local du XVe siècle avait droit de haute et basse justice, dont la peine de mort - exécutée en principe toujours après confirmation du jugement par des juges royaux[28].

    La peste à Peyremale : 1629, 1720

    En 1629, année de la paix d'Alès entre le pouvoir et les protestants, la peste noire sévit dans le Sud de la France. Arrivée par bateau à Marseille, elle a fait 6 000 morts à Lyon (et quantités de morts dans maints autres endroits de la France du Sud) en 1628 avant de s'imposer lourdement l'année suivante dans les Cévennes via Largentière, Joyeuse et Les Vans. Les villes semblent les plus touchées, avec leur plus grande concentration de population ; Peyremale semble avoir été peu atteint cette fois - les records notariaux concernant la commune portent témoignage de grande peur mais de relativement peu ou pas de décès relevant de cette contagion. Il est fort possible que l'éparpillement et l'éloignement des hameaux les uns des autres aient eu un rôle salutaire au milieu de cette hécatombe nationale ; on peut aussi penser à une relative autarcie et, conséquence de celle-ci, peu de mouvements de population nécessaires à l'expansion de la contagion[29].

    La situation est tout autre quand, un siècle plus tard, une autre épidémie de peste noire se répand - venant également de Marseille où le navire Grand-Saint-Antoine l'a amenée de Damas (Syrie) en . Une grande quantité de châtaigniers ont gelé pendant l'hiver particulièrement froid de 1708-1709[30] ; les mûriers ont commencé à les remplacer. La fabrication de la soie commence juste son extraordinaire développement dans les Cévennes[31], qui fait passer la région d'une économie de subsistance à une économie de marché - avec son corollaire : plus de déplacements de personnes et de transports de marchandises. Cette fois, Peyremale est si durement touché qu'en 1722, lorsque le diocèse d'Uzès accorde une diminution des impositions de 30 000 livres pour toutes ses paroisses, « Peiremales, Seneschas, le mas Vert et Malenches » se voient ensemble attribuer quelque 1 665 livres - une des plus grosses diminutions du diocèse derrière Génolhac, Malons, Gravières et Les Vans[32].

    L’inondation du 9 septembre 1772

    Certains se souviennent des plus fortes inondations du XXe siècle, celle de 1958, notamment à Peyremale, lorsque la Cèze monte, le moulin du Grand Tournant peut rapidement disparaître sous les eaux. C’est ce qui survint en 1772. Absent de chez lui au moment du débordement de la Cèze, il est facile d’imaginer la terreur du meunier Paul Chamboredon, revenant quelques heures après la terrible crue du . Dans ce drame, « il eut le malheur de perdre sa femme avec cinq enfants que l’eau entraîna avec le plus haut étage dudit moulin et tous ses effets, au moyen de quoi il se trouve réduit dans le plus triste état & dans une mandicité affreuse ». Paul Chamboredon tenait le moulin en inféodation depuis plusieurs années.

    Si son nom a été oublié depuis – à l’instar du moulin du Deneyriel au Mas Herm –, on l’appelait réellement moulin de coste (côté) ou moulin du Malpas, mauvais pas, endroit par où il est dangereux et difficile de passer. Construit au début du XVIIe siècle, il appartenait alors au haut et puissant seigneur messire Anthoine Hercule de Budos, marquis de Portes, qui l’affermait à Yzac Jaussal. En 1630, la marquise de Portes Louise de Crussol, veuve de son mari tué l’année précédente au siège de Privas, promettait « de faire accommoder et rendre le(dit) moullin rouant et battant », prévoyant que si « par inonda(ti)on & ravages d’eaux led(it) moullin viendroit à tomber ou se desmolir en bloct ou en partie, ledict Jaussal ne sera tenu en aulcune faisson du dommage et perte d’icelluy ». Certes, l’on n’ignorait pas les conséquences d’une crue extraordinaire…[28].

    Création de la mairie de Peyremale en 1830

    Au lendemain de la Révolution, Peyremale est amenée à se rattacher à la municipalité de Portes. Une partie de Peyremalencs mécontents se ligue pour exiger la distinction du village de la commune voisine, arguant que : « (…) depuis trop longtemps, la communauté de Peyremale avait le malheur d’être réunie avec celle de Portes pour le fait des impositions, que depuis trop longtemps aussi Portes était habitée par des nobles, des seigneurs et des gens d’affaires qui avaient su créer et se conserver une prépondérance et une domination sur les timides habitants de Peyremale dont ils faisaient le plus abusif et le plus blâmable usage vis-à-vis de ceux-ci. » À cette pétition, rédigée le par le notaire Joseph Jaussaud, les membres du Directoire du département du Gard transigeront âprement, déclarant « nulle et comme non avenue la municipalité formée dans le lieu de Peyremale. »

    Résignés, les habitants de Peyremale devront donc ”monter” à Portes pour déclarer les naissances de leurs enfants, les décès de leurs proches, ainsi que pour se marier civilement. Ce n’est effectivement que le que le village sera enfin érigé en commune. Les premiers maires seront François Régis Jaussaud, fils du notaire évoqué plus haut, puis Balthazard Draussin qui, dès le , enregistrera les naissances d’Alix Philippine Dugas et de Joseph Julien Platon, nés respectivement à 8h et 11h du matin aux Drouilhèdes, ce premier jour de l’an[28].

    Démographie

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2018, la commune comptait 281 habitants[Note 4], en diminution de 3,1 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1876
    6871 0261 139777777732702680650
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    626671670646588628572508468
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    441419432406404371305274273
    1999 2006 2011 2016 2018 - - - -
    281273290286281----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Peyremale en 2007[37] en pourcentage.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    Avant 1917
    0,7 
    17,3 
    1918-1932
    18,6 
    30,8 
    1933–1947
    30,7 
    21,1 
    1948-1962
    23,6 
    8,3 
    1963-1977
    12,9 
    12,8 
    1978-1992
    5,7 
    9,8 
    1993-2007
    7,9 

    Politique et administration

    Municipalité

    Liste des maires successifs[38]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1945 mars 1959 Émile Chamboredon    
    mars 1959 mars 1983 Jean Chamboredon    
    mars 1983 mars 2001 Georges Lopez    
    mars 2001 mars 2008 Évelyne Xavier    
    mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Pouly    
    mars 2014 En cours Bernard Pertus SE Retraité Fonction publique

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Cévennes Actives, créée en 1999 et fusionnée en 2013 à la communauté de communes Cèze-Cévennes.

    Jumelages

    La commune de Peyremale est jumelée avec la commune de Jaworzyna Śląska, en Pologne.

    Vie locale

    Économie, emploi et tourisme

    Il n'y a pas de commerce dans le village. Un boulanger et un boucher ambulants desservent la commune régulièrement.

    Il y a cependant deux restaurants et quelques artisans comme une entreprise de maçonnerie et une miellerie.

    Le tourisme rural et le tourisme de randonnées (plusieurs circuits pédestres) connaissent un essor depuis une dizaine d'années. On trouve sur la commune deux campings et de nombreux gîtes qui accueillent des touristes.

    Enseignement

    Depuis la dernière décennie du XXe siècle, il n'y a plus d'école dans le village. Les enfants sont scolarisés sur Bessèges ou sur Alès.

    Santé

    Il n'y a pas de médecin, pharmacie, kinésithérapeute ni dentiste sur le village. Les plus proches se trouvent à Bessèges.

    Le centre hospitalier se trouve sur Alès.

    Sports et loisirs

    Le village est équipé d'un terrain de tennis, de deux terrains de half court et d'un mini golf.

    Randonnées

    Le GR de Pays « Haute vallée de la Cèze » arrive sur la commune par la D17, passe en bordure de Peyremale puis à Chambonnet. Il longe ensuite à mi-hauteur le flanc sud-est du mont des Chams (surmonté d'un dolmen) où il rejoint la commune de Bordezac.
    Boucle de randonnée du sentier de la Combe aux Chats (4 km)[39].
    Le chemin du Valat de l'Oule (7 km) passe parmi les anciennes terrasses de cultures, avec une belle vue sur l'église romane, et par le dolmen au sommet des Chams (N-E du hameau de l'Elzière)[40].
    Circuit de randonnée pédestre n°2.

    Associations

    De nombreuses associations font vivre le village :

    • l'Association du CLAP (Comité de loisirs et d'animation de Peyremale),
    • l'Association sportive,
    • l'Association maintien en forme,
    • une Association de cours de yoga,
    • une Association de chasse,
    • l'Association du Tourel (pour la gestion du canal d'irrigation de la commune),
    • l'Association Mercoire (pour la réhabilitation des terrasses en pierres sèches),
    • l'Association des Amis du Puech (pour la sauvegarde du site du Puech),
    • l'Association Cévenole Culturelle et Citoyenne (AC2C)

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête du .
    • Depuis 1983, il est organisé une course pédestre du Tour du Mirandon (11,2 km) ainsi qu'une marche (8,5 km), qui ont lieu un dimanche matin, au mois de juillet.
    Antoine Deparcieux

    Lieux et monuments

    • Église de la Dormition de Peyremale, de style roman, en partie du XIIe siècle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1981[41]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[41].
    • La cloche précédant celle actuelle (qui, elle, date de 1885) a été bénie et nommée Marie par le curé du village M. Antoine Chalmeton[Note 5] le . Pesant environ 300 kg, elle portait effigie de saint Michel, peut-être un rappel de l'existence au village d'une importante faction protestante[42].
    • le temple protestant au hameau de l'Elzière
    • Anciens moulins à blé
    • le "béal" commença par être un canal d'acheminement de l'eau de la Cèze depuis le Tourrel vers le bras de rivière asséché et un moulin à eau. Remontant au XVe ou XVIe siècle, cette partie est longue de environ 150 mètres. Par suite, ce chenal fut considérablement allongé pour atteindre environ 1 100 mètres et apporter l'eau jusqu'aux hameaux de l'Elzière, du Serre et du Mas Herm. Certaines parties sont creusées dans la roche, d'autres sont maçonnées. Il est long de environ 1,4 km[3]. L'Association du Tourel s'occupe de son entretien.

    Personnalités liées à la commune

    Patrimoine naturel

    Espaces protégés et gérés

    ZNIEFF

    Gratiole officinale
    (Gratiola officinalis)
    Œillet du granite
    (Dianthus graniticus)
    Castor commun
    (Castor fiber)

    Peyremale est concerné par cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

    La ZNIEFF continentale de type 2 du « cours moyen de la Cèze », soit 647,91 ha, concerne 16 communes[Note 6] et est entièrement comprise dans le Parc national des Cévennes. L'habitat visé est fait de terrains en friche et terrains vagues. Cette ZNIEFF abrite deux espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain : la gratiole officinale (Gratiola officinalis, une scrophulaire) et la spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis, une orchidée également protégée au titre de la directive Habitat)[45].
    La ZNIEFF continentale de type 2 des « gorges du Chassezac, de la Borne et de l'Altier » couvre 5 808,5 hectares sur sept communes[Note 7]. L'habitat visé est là aussi fait de terrains en friche et terrains vagues.
    En sus de la spiranthe d'été, quatre autres plantes résidentes de cette ZNIEFF sont inscrites sur la liste des espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain : le lycopode des tourbières ou lycopode inondé (Lycopodiella inundata) ; le drosera à feuilles rondes (Drosera rotundifolia, petite plante herbacée vivace et carnivore de la famille des Droseraceae et dépendante des tourbières) ; la laîche des tourbières (Carex limosa) ; et l'orchis à odeur de punaise (Anacamptis coriophora, une orchidée terrestre). L'œillet du granite (Dianthus graniticus, famille des Dianthus), autre espèce déterminante de cette ZNIEFF, est sur la « liste des espèces végétales sauvages pouvant faire l'objet d'une réglementation préfectorale permanente ou temporaire ».
    Parmi les animaux résidents, le circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus) et le faucon pèlerin (Falco peregrinus), qui craint le dérangement dans ses zones de nidification, sont eux aussi des espèces protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain et, en sus, sont protégés au titre de la directive Oiseaux. L'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) y est protégée au titre de la directive Habitat et de la "Protection des écrevisses autochtones sur le territoire français métropolitain"[46].
    La ZNIEFF continentale de type 1 « vallée du Luech à Chambon » concerne 884 ha sur Chambon, Chamborigaud et Peyremale. L'habitat très diversifié y est fait de zones humides, cultures, forêts et zones rocheuses. L'habitat déterminant de la ZNIEFF désigne des terrains en friche et terrains vagues.
    Les espèces déterminantes de cette ZNIEFF sont le faucon pèlerin[47]. S'y trouve également et la fougère mâle d'Ardèche (Dryopteris ardechensis)[48].
    La ZNIEFF continentale de type 1 des « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » comprend 10 752,18 hectares sur 11 communes[Note 8]. Son habitat déterminant est fait de terrains en friche et terrains vagues. Cette ZNIEFF vise six espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain :
    l'orchis à odeur de punaise, la gratiole officinale, la spiranthe d'été, le ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii[49]), le botrychium à feuilles de matricaire (Botrychium matricariifolium, une petite fougère vivace), et l'ophioglosse des Açores (Ophioglossum azoricum, une fougère). L'œillet du granite (Dianthus graniticus), autre espèce visée, est sur la « liste des espèces végétales sauvages pouvant faire l'objet d'une réglementation préfectorale permanente ou temporaire ».
    Deux espèces animales sont de même visées par cette ZNIEFF : l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et le faucon pèlerin (Falco peregrinus)[50].
    La ZNIEFF continentale de type 2 du « bois de Bordezac et de Bessèges »[51] inclut 1 796 ha répartis sur les quatre communes de Bessèges, Bordezac, Gagnières et Peyremale. L'habitat déterminant de cette zone est la forêt de pins de Salzmann des Causses, pour laquelle la ZNIEFF du « Bois de Bordezac et de Bessèges prolonge les 745 hectares du site d'intérêt communautaire (SIC) voisin de la « Forêt de pins de Salzmann de Bessèges » sur les communes de Bordezac et Gagnières[52].

    Site d'intérêt communautaire (directive Habitat)

    La haute vallée de la Cèze, dont Peyremale, est depuis 2013 entièrement incluse dans les 13 080 ha de la zone spéciale de conservation (ZSP) Natura 2000 des « Hautes vallées de la Cèze et du Luech » au titre de la Directive Habitats, au sein de la Réserve de biosphère des Cévennes. Cette ZSC s'étend pour 80 % dans le Gard et pour 20 % en Lozère, avec seulement environ 370 ha sur la commune de Malbosc en Ardèche[Note 9],[Note 10]. Le couvert végétal est composé de 40 % de forêts de résineux, 20 % de forêts sempervirentes non résineuses, 20 % de landes, broussailles, recrus, maquis, garrigues et phrygana, 10 % de forêts caducifoliées, 5 % de rochers intérieurs et éboulis rocheux, 2 % de prairies semi-naturelles humides ou mésophiles améliorées et 2 % de pelouses sèches. Une partie de ces habitats, notamment les prairies de fauche et les châtaigneraies, sont dépendantes de la maintenance des activités humaines traditionnelles ; celles-ci cessant peu à peu, ces milieux sont sujets à la fermeture du milieu pour les prairies de fauche, et au développement des maladies et la destructuration pour les châtaigneraies.
    Cinq espèces sédentaires résidentes sont inscrites à l’annexe II de la directive Habitats : le castor commun (Castor fiber), la loutre (Lutra lutra), le blageon (Telestes souffia), l'écrevisse à pattes blanches et le barbeau méridional (Barbus meridionalis). Le castor commun et la loutre y présentent des populations non isolées mais en marge de leur aire de répartition ; pour la loutre, ce site est le seul présent en versant méditerranéen et donc d'une importance capitale pour la colonisation des rivières méditerranéennes[53].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Antoine Chalmeton, vicaire de l'église St-Geniez de Manduel, près de Nîmes, arrive pris possession de la chaire vacante de Peyremale le 7 janvier 1715. Voir Prise de possession de l'église en 1715. Pascal Jaussaud, op. cit., 30 juin 2010. Sur peyremale.village.free.fr.
    6. Les communes concernées par la ZNIEFF « Cours moyen de la Cèze » sont : Allègre-les-Fumades, Bessèges, Bordezac, Chambon, Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Peyremale, Potelières, Rivières, Robiac-Rochessadoule, Rochegude, Saint-Ambroix, Saint-Brès, Saint-Denis, Saint-Jean-de-Maruéjols-et-Avéjan et Saint-Victor-de-Malcap.
    7. Les communes concernées par la ZNIEFF des « Gorges du Chassezac, de la Borne et de l'Altier » sont : Malons-et-Elze, Peyremale, Altier, Pied-de-Borne, La Bastide-Puylaurent, Prévenchères et Villefort.
    8. Les communes concernées par la ZNIEFF des « Vallées amont de la Cèze et de la Ganière » sont : Aujac, Bonnevaux, Chambon, Concoules, Génolhac, Malons-et-Elze, Peyremale, Ponteils-et-Brésis, Sénéchas, Saint-André-Capcèze, Villefort (Lozère).
    9. Les communes concernées par le site Natura 2000 « Hautes vallées de la Cèze et du Luech » sont,
      • pour le Gard (80 %) :
      Aujac, Bessèges, Bonnevaux, Bordezac, Chambon, Chamborigaud, Concoules, Génolhac (vallée du Luech), La Vernarède (pour environ 10 ha au nord et une petite frange en limite Est), Malons-et-Elze (env. 720 ha sur le sud-est de la commune), Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Peyremale, Ponteils-et-Brésis, Rochessadoule, Saint-Ambroix, Saint-Brès et Sénéchas ;
      • pour la Lorèze (20 %) :
      Saint-André-Capcèze, Saint-Maurice-de-Ventalon (env. 180 ha autour du Luech) et Vialas ;
      • pour l'Ardèche (>3%):
      Malbosc (environ 370 ha dans le Sud de la commune). Noter que le département de l'Ardèche n'est pas mentionné dans la fiche Natura 2000 ; mais sa cartographie indique clairement que la zone s'étend sur une partie de la commune de Malbosc, de même que dans la carte Géoportail des zones Natura 2000.
    10. Pour les communes de Bessèges, Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Rochessadoule, Saint-Ambroix et Saint-Brès, la Zone spéciale de conservation ZSC des « Hautes vallées de la Cèze et du Luech » concerne uniquement le fond de vallée de la Cèze. Sur Saint-Ambroix, cette zone ne concerne que la partie de vallée en amont de la ville ; la vallée en aval est couverte par les ZNIEFF « Rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix » et « Cours moyen de la Cèze ».
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

      Références

      1. Peyremale. Sur habitants.fr.
      2. Peyremale, commune et hameaux
      3. Peyremale - Le patrimoire. Pascal Jaussaud, Peyremale, Peyremalencs, Peyremalès, 28 janvier 2015. Sur peyremale.village.free.fr.
      4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Rieu-Sec (V5421000) » (consulté le ).
      5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      10. « Station Météo-France Génolhac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      11. « Orthodromie entre Peyremale et Génolhac », sur fr.distance.to (consulté le ).
      12. « Station Météo-France Génolhac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      13. « Orthodromie entre Peyremale et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
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      15. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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      17. Géographie physique - Territoire. Sur cevennes-parcnational.fr.
      18. « Climatologie mensuelle à Nîmes », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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      23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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      26. Pascal Jaussaud, « De quelques fausses (et vraies) histoires de Peyremale », Journées du patrimoine 2018.
      27. Banque du Blason.
      28. Pascal Jaussaud, « Peyremale, Peyremalencs, Peyremalès », Journal de Peyremale n°2 (juillet 2002).
      29. Peste de 1629. Pascal Jaussaud, op. cit., Bulletin municipal n° 6, février 2007. Sur peyremale.village.free.fr.
      30. Le Morvand, Jean-François Baudiau, curé de Dun-les-Places. 1867.
      31. L'arbre d'Or. Pascal Jaussaud, op. cit., janvier 2010. Sur peyremale.village.free.fr.
      32. Peste de 1720. Pascal Jaussaud, op. cit., Bulletin municipal n° 7, janvier 2008. Sur peyremale.village.free.fr.
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      35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      37. Pyramide des âges de Peyremale, Recensement 2007 sur le site de l'INSEE.
      38. Bulletin municipal de Peyremale n°3 (2004)
      39. Les sentiers de promenade à Peyremale. Pascal Jaussaud, op. cit., 18 avril 2010. Sur peyremale.village.free.fr.
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      41. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
      42. Bénédiction de la cloche de l'église en 1742. Pascal Jaussaud, op. cit., 30 juin 2010. Sur peyremale.village.free.fr.
      43. « Parc national des Cévennes, aire d'adhésion » - FR3400004. Fiche et cartographie Natura 2000.
      44. « Réserve de biosphère des Cévennes, zone de transition » - FR6500005. Fiche et cartographie Natura 2000.
      45. « Cours moyen de la Cèze » - 910011811. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      46. « Gorges du Chassezac, de la Borne et de l'Altier » - 910007383. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      47. « Vallée du Luech à Chambon - 910030284 ». Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      48. Dryopteris ardechensis ou fougère d'Ardèche. Fiche Natura 2000, aire de répartition.
      49. Le Ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii) sur tela-botanica.org.
      50. « Vallées amont de la Cèze et de la Ganière - 910014065 ». Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      51. « Bois de Bordezac et de Bessèges » - 910011807. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      52. « Forêt de pins de Salzmann de Bessèges » - FR9101366. Fiche et cartographie ZSC Natura 2000.
      53. « Hautes vallées de la Cèze et du Luech » - FR9101364, Fiche et cartographie ZSC Natura 2000.

      Voir aussi

      Bibliographie

      • Ernest Durand, Notes pouvant servir à la monographie de Peyremale (1905), rééditée en Monographie de Peyremale suivie de Biographie d’Antoine Deparcieux), Une étude notariale au village (1899) lire en ligne sur Gallica
      • Abbé Bouillon et Jacky Chareyre, Peyremale… son église (ca 1968)

      Articles connexes

      Liens externes

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