Chambon (Gard)

Le Chambon est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie, dans la région naturelle des Cévennes.

Pour les articles homonymes, voir Chambon.

Le Chambon

Le village et son église.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Marc Sasso
2020-2026
Code postal 30450
Code commune 30079
Démographie
Gentilé Chambonnard
Population
municipale
263 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 18′ 10″ nord, 4° 01′ 07″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 644 m
Superficie 14,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Grand-Combe
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Le Chambon
Géolocalisation sur la carte : Gard
Le Chambon
Géolocalisation sur la carte : France
Le Chambon
Géolocalisation sur la carte : France
Le Chambon
Liens
Site web Mairie de Chambon

    Géographie

    Localisation

    Le village de Chambon est situé au nord du département du Gard, en limite de département avec l'Ardèche au nord et à 10 km de la Lozère à l'ouest. Il se trouve à 30 km au nord-ouest d'Alès, la sous-préfecture et plus proche grande ville. À 260 mètres d'altitude, il est inclus dans la zone périphérique du parc national des Cévennes.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et hameaux

    La commune compte de nombreux villages et hameaux dispersés dans la vallée de la rivière du Luech et sur les crêtes qui la surplombent : le Caissol, le Chambon, Chamboredon, Chamboverne, Chareneuve, Cornas, le Coton, Dieusses, Gagnages, la Lauzière (en partie), le Lingot, le Martinet Neuf, le Mas du Pellet, le Moulin, Palanquis, le Poujol, Pourcharesses, le Rigal, le Simonet, Tarabias, le Taillet, le Thau, le Tribes, Vern.

    Hydrographie et relief

    La rivière le Luech[1] est le principal cours d'eau qui arrose le village en traversant la commune d'ouest en est pour sa direction générale - nonobstant ses nombreux et larges méandres qui contournent les flancs des montagnes encadrant sa vallée. Il sert de limite de communes avec Chamborigaud sur environ 4,1 km.

    Neuf de ses affluents passent également sur la commune, dont six y prenant naissance. Notons :

    (G) le ruisseau qui, né au sud du col de l'Ance (sur la D17), passe à Maison neuve et conflue à Landiol ; il sert aussi de limite ouest de commune avec Génolhac au nord-ouest sur toute la longueur de son parcours.
    (D) la Ribeyrette[2], qui arrose Chamborigaud, conflue avec le Luech sur la commune de Chambon.
    (G) deux petits rus prenant naissance sur les flancs sud de la Coste vers le village de Vern, passent aux Gagnages et confluent immédiatement en aval du viaduc, sur une boucle de méandre formant une zone humide de quelque un hectare sur la commune de Chamborigaud. Deux autres méandres suivent, qui reçoivent chacun un ruisseau prenant naissance sur les flancs sud de la Coste vers le hameau de Dieusses.
    (D) le ruisseau de Broussous[3], venant de Portes par la Vernarède, sert de limite de communes avec La Vernarède sur les derniers 1 200 m de son parcours. Il conflue au niveau du Martinet Neuf.
    (G) Deux petits rus viennent de Pourcharesses et le Tribes, et confluent à Palanquis.
    (D) Le Revermanoux[4], qui naît sur Peyremale, sert de limite de communes avec celui-ci sur 500 mètres avant de confluer en aval de Chamboredon.

    Le valat du Logier[5], affluent de l'Homol, prend naissance sur la commune au nord de Chambon. Il rejoint l'Homol alors que ce dernier sert de limite de communes avec Sénéchas.

    Au nord-est de Chambon, l'Homol sert de limite de commune avec Sénéchas sur environ 3,7 km jusqu'à sa confluence avec la Cèze. Cette confluence a été modifiée par le barrage écrêteur de Sénéchas qui est partagé entre Chambon et Malbosc mais pas avec Sénéchas. Ce barrage sert à protéger la vallée en aval, dont Bessèges, contre les inondations dues au crues saisonnières, la fonte des neiges du printemps et les pluies d'automne. Le lac formé par le barrage est divisé en deux branches. Celle du sud-ouest occupe une partie de la vallée de l'Homol et est située sur le territoire de la commune. La Cèze au nord-ouest sert de limite de communes avec Malbosc sur environ 350 mètres puis avec Peyremale sur environ 900 mètres.

    Climat

    Le climat du Chambon correspond au climat des Cévennes qui est de type méditerranéen[6] et qui devient montagnard en fonction de l'altitude.

    Les contrastes géographiques prononcés (différences d'altitude) jouent sur les tendances climatiques et le climat se caractérise par de fortes précipitations qui peuvent être accompagnées d’orages : on parle alors d'épisodes cévenols (ou effet cévenol).

    Le climat est plus clément que celui des districts proches du mont Aigoual. L'influence de la Méditerranée est beaucoup plus sensible : les hivers et les automnes y sont doux et la sécheresse estivale est parfois importante.

    Données

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    le Chambon 266976232311
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Données climatiques à Nîmes
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 3,4 5,1 7,8 11,2 14,9 17,7 17,2 14,7 10,8 5,9 3 9,5
    Température moyenne (°C) 6,3 7,7 9,9 12,8 16,6 20,5 23,7 23 20 15,4 10 6,9 14,4
    Température maximale moyenne (°C) 10,3 11,9 14,7 17,8 21,9 26,2 29,8 28,9 25,3 20 14 10,7 19,3
    Ensoleillement (h) 143,5 147,4 203,1 227,6 267,8 310,2 353,8 315,3 236,6 186,8 143,9 133 2 668,9
    Précipitations (mm) 67,7 70,7 55,9 59,2 60,9 38,6 25,3 51,6 66,8 131,9 69,2 64,1 761,9
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Nîmes de 1961 à 1990[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Chambon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (88,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), eaux continentales[Note 2] (0,5 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Deux hypothèses ont été avancées pour expliquer l’origine du mot chambon, les 2 significations s’étant parfois mélangées :

    • « Champ bon ou fertile », le nom commun occitan cambon signifiant « champ fertile » c'est-à-dire une plaine formée d’alluvions riches (ou plus précisément plaine d’alluvions près d’un cours d’eau)[14],[15] ;
    • « Plaine près d’un cours d’eau », le mot gaulois passé dans le langage du latin vulgaire puis en occitan cambo signifiant « Courbe de rivière »[16].

    Ses habitants sont appelés les Chambonnards et les Chambonnardes.

    Histoire

    Moyen Âge

    • 17 avril 1295 : le plus ancien parchemin retrouvé sur la commune évoque la vente du fief du Chambon à Portes. Il reste la propriété du seigneur de Portes jusqu’au XVIIe siècle où le sieur Roussel le rachète.

    Époque contemporaine

    • 21 avril 1839 : une ordonnance royale érige le village du Chambon en commune distincte de Portes et de Sénéchas[17].
    • 29 novembre 1869 : la commune de La Vernarède est créée à partir de territoires distraits de ceux des communes de Portes et du Chambon.
    • 1889 : la commune possède enfin sa propre église.
    • Dans les années 1950, le village se vide après la fermeture des mines de charbon. Commencée dans les années 1860, l'aventure minière du Chambon s'est définitivement arrêtée un siècle plus tard, le 31 août 1960, date à laquelle le portail de bois allait être remplacé par un mur, au hameau de Cornas.
    • Depuis les années 2000, le village retrouve vie avec notamment le tourisme vert.

    Depuis le 1er janvier 2016 la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartient le Gard, a fusionné avec la région Midi-Pyrénées. L'ensemble est devenu la nouvelle région Occitanie.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1946 1971 Louis Badouric    
      mars 1977 Albert Guiraud    
    mars 1977 mars 1983 Lucien Polge    
    mars 1983 mars 2008 Guy Laganier[18] PCF Conseiller général du Canton de Génolhac (1999-2015)[19]
    mars 2008 mai 2020 Serge Meurtin PCF Cadre
    2020 En cours Marc Sasso DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2018, la commune comptait 263 habitants[Note 3], en diminution de 11,74 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881
    637640624643625646676757747
    1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    813820898792807770676670587
    1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
    564557525418273222183196240
    2006 2011 2016 2018 - - - - -
    271292265263-----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Tumulus du Chambon

    Le tumulus du Chambon ou de l’Elzière est un vaste monument funéraire en pierre de la protohistoire réutilisé au Moyen Âge[24]. Il se trouve plus ou moins à cheval sur la limite nord de la commune avec celle de Sénéchas, au nord-est[Note 4] de Chamborigaud et nord-ouest de Chambon, entre les vallées du Luech et de l'Homol, sur la ligne de crête qui domine la petite route reliant les lieux-dits Vern à Dieusses. À 630 mètres d'altitude, il est à moins de 500 m du sommet de la Mole[25]. Il est remarquable par sa taille (20 mètres de diamètre et 3 mètres de haut) et par sa construction en gradins[24],[26]. Il a été méthodiquement fouillé dans les années 1980[27].

    Viaduc de Chamborigaud

    Viaduc de Chamborigaud vu du train de Génolhac à Chamborigaud.

    La partie nord du viaduc de Chamborigaud, sur à peu près six arches, est érigée sur la commune de Chambon. Parfois appelé viaduc du Luech, cet ouvrage supporte une ligne de chemin de fer, la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac situé entre les gares de Chamborigaud et de Génolhac. Sur la photo ci-contre, le train va de Génolhac à Chamborigaud, et se trouve sur la commune de Chambon, la tête de train est à peu près au niveau du Luech, après quoi il entre sur la commune de Chamborigaud.

    Anciens moulins

    Il reste sur le territoire de la commune trois anciens moulins avec des canaux d’irrigation et des cascades en pierres bâties. L'exploitation houillère du passé a laissé de nombreux vestiges : anciens bâtiments, mines, tunnels, plate-forme minière.

    Église Notre-Dame

    Édifices religieux

    Espaces protégés et gérés

    La commune fait partie de ces deux grands espaces protégés :

    Cours moyen de la Cèze

    La ZNIEFF continentale de type 2 Cours moyen de la Cèze couvre près de 648 hectares sur 16 communes[Note 5] et est entièrement comprise dans le Parc national des Cévennes. Cette ZNIEFF abrite deux espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain : la gratiole officinale (Gratiola officinalis, une scrophulaire) et la spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis, une orchidée)[30].

    Vallée du Luech à Chambon

    La ZNIEFF continentale de type 1 Vallée du Luech à Chambon concerne 884 ha sur Chambon, Chamborigaud et Peyremale. L'habitat très diversifié y est fait de zones humides, cultures, forêts et zones rocheuses. L'habitat déterminant de la ZNIEFF désigne des terrains en friche et terrains vagues. Le faucon pèlerin, qui craint le dérangement dans ses zones de nidification, est particulièrement visé par la protection[31]. Là de même on retrouve la Fougère mâle d'Ardèche ou Dryopteris ardechensis[32].

    Vallées amont de la Cèze et de la Ganière

    La ZNIEFF continentale de type 1 des Vallées amont de la Cèze et de la Ganièrecomprend 10 752,18 hectares sur 11 communes[Note 6]. Son habitat déterminant est fait de terrains en friche et terrains vagues. Cette ZNIEFF vise six espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain :

    • l'orchis à odeur de punaise (Anacamptis coriophora, une orchidée terrestre), le ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii), le botrychium à feuilles de matricaire (Botrychium matricariifolium, une petite fougère vivace), la gratiole officinale (Gratiola officinalis, une scrophulaire), l'ophioglosse des Açores (Ophioglossum azoricum, une fougère) et la spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis, une orchidée) - cette dernière étant également protégée au titre de la directive Habitat. L'œillet du granite (Dianthus graniticus), autre espèce visée, est sur la « liste des espèces végétales sauvages pouvant faire l'objet d'une réglementation préfectorale permanente ou temporaire ».
    • Deux espèces animales sont de même visées par cette ZNIEFF : l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), résidente, y est protégée au titre de la directive Habitat et de la "Protection des écrevisses autochtones sur le territoire français métropolitain" ; le faucon pèlerin (Falco peregrinus) est protégé au titre de la directive Oiseaux et, en sus, est sur la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire français[33].

    Hautes vallées de la Cèze et du Luech

    Chambon est inclus dans les 13 080 ha de la Zone spéciale de conservation Natura 2000 dite Hautes vallées de la Cèze et du Luech au titre de la Directive Habitats, au sein de la Réserve de biosphère des Cévennes[34]. Cette zone ne concerne que la partie de vallée en amont de Saint-Ambroix, la vallée en aval est couverte par les ZNIEFF Rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix et Cours moyen de la Cèze.

    Randonnées

    Six sentiers de randonnée non balisés sillonnent la commune. Le sentier du tumulus, comme le nom l'indique, passe par le tumulus au départ de la place de Dieusses. Le sentier Autour de la mine de Cornas est fléché. Il joint plusieurs vestiges de l'exploitation de la houille et est complémenté par un parcours de santé, l'arboretum et une aire de pique-nique[35].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. Et non au sud-est comme indiqué dans l'article Le Chambon en Cévennes sur le site cevennes.centerblog.net cité en référence
    5. Les communes concernées par le site Natura 2000 Cours moyen de la Cèze sont : Allègre-les-Fumades, Bessèges, Bordezac, Chambon, Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Peyremale, Potelières, Rivières, Robiac-Rochessadoule, Rochegude, Saint-Ambroix, Saint-Brès, Saint-Denis, Saint-Jean-de-Maruéjols-et-Avéjan et Saint-Victor-de-Malcap
    6. Les communes concernées par la ZNIEFF des Vallées amont de la Cèze et de la Ganière sont : Aujac, Bonnevaux, Chambon, Concoules, Génolhac, Malons-et-Elze, Peyremale, Ponteils-et-Brésis, Sénéchas, Saint-André-Capcèze, Villefort (Lozère).
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Luech (V5410500) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Ribeyrette (V5410500) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Broussous (V5410600) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Revermanoux (V5411420) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Logier (V5401660) ».
    6. « Géographie physique - Territoire », sur www.cevennes-parcnational.fr (consulté le ). sur cevennes-parcnational.fr.
    7. « Climatologie mensuelle à Nîmes », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France 2 vol. Étymologie de 35 000 noms de lieux, 1990, Volume 1 (pages 242 à 244).
    15. Auguste Vincent, Toponymie de la France, 1937, (page 99).
    16. Paul Fabre, Noms de lieux du Languedoc, 1995 (page 11 et 12).
    17. Germer Durand, Dictionnaire topographique du département du Gard, 1868 (page 54)
    18. « Guy Laganier », sur www.politiquemania.com (consulté le )
    19. « Quatre élections cantonales partielles », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le )
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. « Le Chambon en Cévennes », sur cevennes.centerblog.net (consulté le ).
    25. Coordonnées du tumulus de l'Elzière : 44° 18′ 53″ N, 3° 59′ 45″ E . Le tumulus est très visible en mode "earth" dans « google maps », sur www.google.fr (consulté le ) ou en mode "photographies aériennes" dans « géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ) (entrer "Chambon" et activer la couche "Carte IGN" dans le menu de gauche).
    26. Carte archéologique de la Gaule (30/2 : Gard) sur Google Livres, Michel Provost, Jean-Michel Pène, Guilhem Fabre, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1999, (ISBN 2-877-54065-0). p. 315, avec croquis du site du tumulus ; p. 66 : Cévennes micachisteuses.
    27. Dauge Jean-Michel, Tillault Francis. Société archéologique du Chambon (Génolhac), « Tumulus de l'Elzière : rapport de fouilles 1988 », sur Centre de documentation et d'archives du Parc national des Cévennes à Génolhac (consulté le ).
    28. « Fiche et cartographie Natura 2000 - FR3400004 : Parc national des Cévennes, aire d'adhésion », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    29. « Fiche et cartographie Natura 2000 - FR6500005 : Réserve de biosphère des Cévennes, zone de transition », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    30. « Fiche ZNIEFF - 910011811 : Cours moyen de la Cèze », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    31. « Fiche ZNIEFF - 910030284 : Vallée du Luech à Chambon », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    32. « Fiche espèce Natura 2000 : Dryopteris ardechensis ou fougère d'Ardèche », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    33. « Fiche ZNIEFF - 910014065 : Vallées amont de la Cèze et de la Ganière », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    34. « Fiche Natura 2000 - FR9101364 : Hautes vallées de la Cèze et du Luech », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
    35. « Le Chambon », sur www.portailcevennes.org (consulté le )
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