Allègre-les-Fumades

Allègre-les-Fumades est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie. Elle est située en vallée de la Cèze à proximité de l'Ardèche.

Allègre-les-Fumades

L'église Saint-Félix de Boisson
à Allègre-les-Fumades.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
Maire
Mandat
Geneviève Coste
2020-2026
Code postal 30500
Code commune 30008
Démographie
Population
municipale
928 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 12′ 01″ nord, 4° 14′ 47″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 381 m
Superficie 24,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Allègre-les-Fumades
Géolocalisation sur la carte : Gard
Allègre-les-Fumades
Géolocalisation sur la carte : France
Allègre-les-Fumades
Géolocalisation sur la carte : France
Allègre-les-Fumades

    Géographie

    La commune est composée de différents hameaux dispersés sur son territoire dont les plus importants sont : Boisson, Auzon, Arlende, la Bégude, Les Vieilles Fumades, Fumades-les-Bains et le Mas Chabert.

    La station thermale des Fumades-les-Bains est désormais le seul centre thermal du département du Gard accueillant des curistes et une clientèle venant se relaxer grâce à des soins de remise en forme. Ses sources riches en hydrogène sulfuré sont employées pour soigner les affections des voies respiratoires et de la peau, la rhumatologie et la fibromyalgie.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 978 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Salindres », sur la commune de Salindres, mise en service en 1915[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 068,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 39 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Allègre-les-Fumades est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,4 %), prairies (3,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2016). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    Préhistoire et Antiquité

    Un oppidum et des enceintes néolithiques sont parmi les premières traces de présence humaine. Deux sites archéologiques d'époque gallo-romaine ont été découverts, l'un sur le hameau d'Arlende, un second aux Fumades-les-Bains. Le site d'Arlende correspond à une agglomération secondaire du Ier siècle av. J.-C. au IIe siècle apr. J.-C. Elle a été étudiée par l'INRAP (Institut national de recherche et d'archéologie préventive) en 2003 avec la collaboration d'associations locales. Un diagnostic archéologique d'un mois a révélé une zone d'habitat, d'artisanat (fours de potier et certainement de métallurgie) et de culte. Ce site devait être étroitement lié à celui des Fumades déjà reconnu pour les vertus de ses eaux. En effet, des bas-reliefs dédiés aux nymphes des eaux ont été découverts. Sur l'un d'entre eux, la vénération des divinités des eaux est associée au culte de l'empereur. Parmi les vestiges, on répertorie notamment une piscine carrelée de 4 mètres de diamètre, des cippes, des monnaies, des mosaïques. Ces témoignages sont aujourd'hui enfouis.

    Moyen Âge

    La vie s'organisait autour du château d'Allègre. Les premières sources écrites mentionnant cet édifices datent du début du XIIe siècle. Il est l'un des exemples de co-seigneurie en Languedoc-Roussillon, ce qui lui vaut le surnom de "village de chevaliers". Une quinzaine de familles se partageaient les droits et les obligations et cohabitaient sous l'égide d'un seigneur dominant. Il est classé à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Au-dessus du château se dresse les vestiges de la Chapelle Saint Saturnin, placée sous la protection du saint thaumaturge, recevait de nombreux enfants malades que l’on mouillait avec l'eau de sa source. La croyance assurait que la maladie restait dans les vêtements retirés et laissés sur place en ex-voto.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Mas de Peyrolles est une ancienne grange de l'ordre du Temple qui dépendait de la maison du Temple d'Alès[19], devenue une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[20] dite de Saint-Julien de Peyrolles lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple puis un membre de la commanderie de Jalès au sein du grand prieuré de Saint-Gilles[21],[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Pierre Brun DVG Ancien président de la Communauté de communes du Pays de Cèze
    Président de la Communauté de communes Cèze-Cévennes (2011-2014)
    mars 2014 En cours Geneviève Coste SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

    En 2018, la commune comptait 928 habitants[Note 5], en augmentation de 11,14 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9707677868631 0201 0291 0901 1331 273
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2721 2471 2501 1511 0939671 0071 012991
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    917917932788774721634572591
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    588563577581623616695777853
    2018 - - - - - - - -
    928--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est la suivante :

    • 49,4 % d’hommes (0-14 ans = 19 %, 15 à 29 ans = 12,8 %, 30 à 44 ans = 21,1 %, 45 à 59 ans = 23,7 %, plus de 60 ans =23,5 %)
    • 50,6 % de femmes (0-19 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 13 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans =29 %)

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    Pyramide des âges à Allègre-les-Fumades en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,5 
    6,8 
    75 à 89 ans
    9,9 
    16,4 
    60 à 74 ans
    18,6 
    23,7 
    45 à 59 ans
    21,4 
    21,1 
    30 à 44 ans
    18,6 
    12,8 
    15 à 29 ans
    13,0 
    19,0 
    0 à 14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département du Gard en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,1 
    6,9 
    75 à 89 ans
    9,9 
    14,6 
    60 à 74 ans
    15,1 
    21,3 
    45 à 59 ans
    20,9 
    19,9 
    30 à 44 ans
    19,8 
    17,7 
    15 à 29 ans
    16,1 
    19,1 
    0 à 14 ans
    17,0 

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de la zone de production de l'olive de Nîmes AOC.

    Lieux et monuments

    • Le château d'Allègre.
    • Église Saint-Félix de Boisson (carillon de 10 cloches, le plus important du Gard).
    • Église Saint-Privat d'Allègre-les-Fumades.
    • Chapelle Notre-Dame d'Allègre-les-Fumades.
    • Maison de l'Eau.
    • Station thermale de Fumades-les-Bains.
    • Villa « Belle Époque » du Kronprinz.
    • Mas de Peyrolles[Note 6].

    Personnalités liées à la commune

    • Daniel Féret (né en 1944), homme politique et médecin, est esthéticien au centre thermal des Fumades[29].

    Héraldique

    Les armes d'Allègre-les-Fumades se blasonnent ainsi :

    D'azur à la bande losangée d'or et de sinople[30].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. Le mas de Peyrolles se trouve au nord du village en direction de Boisson: 44° 12′ 16″ N, 4° 15′ 04″ E
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Salindres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Allègre-les-Fumades et Salindres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Salindres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Allègre-les-Fumades et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Émile Bonnet, « Les maisons de l'ordre du Temple dans le Languedoc méditerranéen », Cahiers d'histoire et d'archéologie, t. VII, , p. 524-525, lire en ligne sur Gallica.
    20. Emmanuel-Ferdinand de Grasset, Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux, Paris, (lire en ligne), p. 195.
    21. Grasset 1869, p. 25.
    22. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 104-107, lire en ligne sur Gallica.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Evolution et structure de la population à Allègre-les-Fumades en 2007 » (consulté le ).
    28. « Résultats du recensement de la population du Gard en 2007 », sur www.recensement-2007.insee.fr (consulté le ).
    29. Éloïse Levesque, « FAIT DU JOUR Daniel Féret, le sulfureux médecin des Thermes des Fumades », sur objectifgard.com, .
    30. Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail de l'ordre du Temple
    • Portail de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.