Saint-Ambroix (Gard)

Saint-Ambroix, en occitan Sent Ambruèis, est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Ambroix.

Saint-Ambroix

Le rocher de Dugas et la Chapelle Notre-Dame du Dugas

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Pierre de Faria
2020-2026
Code postal 30500
Code commune 30227
Démographie
Gentilé Saint-Ambroisiens, Saint-Ambroisiennes
Population
municipale
3 257 hab. (2018 )
Densité 277 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 41″ nord, 4° 11′ 55″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 485 m
Superficie 11,74 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Alès
(banlieue)
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Ambroix
Géolocalisation sur la carte : Gard
Saint-Ambroix
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Saint-Ambroix
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Ambroix
Liens
Site web www.saint-ambroix.fr/

    Géographie

    Située dans le sud de la France, Saint-Ambroix est une ancienne capitale de la soie. Carrefour touristique et commercial des Cévennes, la ville est située proche du Parc national des Cévennes dans un site particulièrement pittoresque dominé par le rocher de Dugas et son remarquable ensemble en grande partie médiéval, comprenant l'ancien château, la tour de l'horloge et la chapelle de la Vierge ainsi que la fameuse tour Guisquet sur un promontoire qui lui fait face au sud. Elle est traversée par la Cèze, endiguée sur sa rive gauche pour protéger des crues le faubourg du Paradis.

    Par sa situation géographique privilégiée, Saint-Ambroix constitue le point de départ de multiples itinéraires touristiques notamment en direction de la verdoyante haute vallée de la Cèze.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 114 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur Sa », sur la commune de Saint-Sauveur-de-Cruzières, mise en service en 2000[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 033 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 34 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Ambroix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[16] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,1 %), forêts (27,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,7 %), zones urbanisées (17 %), cultures permanentes (3,6 %), prairies (0,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Saint-Ambroix est une cité historique, les Celtes et les Romains y ont laissé des traces de leur passage. Ville fortifiée au Moyen Âge, elle va par la suite se développer commercialement et industriellement (industrie de la soie au XIXe siècle). Étonnante et mystérieuse par son rocher du Dugas, ses fouilles archéologiques, ses maisons troglodytes, les ruines de son château, sa tour Guisquet, sa légende du Vòlo-Biòu (le bœuf qui vole) mais surtout son autel à sacrifice humain de l'époque celtique qui rend cette ville unique.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Pont-Cèze[22].

    Aujourd'hui, Saint-Ambroix joue le rôle d'un véritable pôle commercial grâce à son marché dont les origines remontent à 1363 (faveur royale du roi Jean II le Bon). Ville très touristique durant la période estivale, elle est dotée de nombreux campings, hôtels, restaurants, gîtes, plans d'eau ainsi que d'une maison de retraite et de repos.

    Héraldique

    Les armes de Saint-Ambroix se blasonnent ainsi :

    D'azur au château d'argent, ouvert et ajouré de deux fenêtres de sable, flanqué de deux grosses tours aussi d'argent, ajourées chacune d'une fenêtre aussi de sable.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? 1891 Louis Hyacinthe Flandin   Notaire
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 1971 Édouard Thibault MRP Professeur d'histoire-géographie, secrétaire d'État (1953 → 1954)
    Député du Gard (1945 → 1958)
    Député de la 3e circonscription du Gard (1958 → 1962)
    Conseiller général du canton de Saint-Ambroix (1958 → 1964)
    1971 1973 Marcien Tuech    
    1973 1987 Raymond Dalverny    
    Maire en 1988[23]  ? Georges Dachicourt   Colonel de l'arme du train
    René Dugas[24] (1929-2020) DVD Retraité des houillères
    Marcel Tronc DVD  
    Daniel Pialet DVG Artisan
    En cours
    (au 25 mai 2020)
    Jean-Pierre de Faria DVD Cadre supérieur
    Vice-président de la CC Cèze-Cévennes (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.
    Saint-Ambroix (30)

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 3 257 habitants[Note 5], en augmentation de 0,31 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3002 2582 1022 5312 9473 1073 1483 6503 724
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 2604 0604 6454 2604 0123 4543 4333 3803 307
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5853 6313 4943 5493 5583 3503 3173 3013 627
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    3 7314 1643 8153 8453 5173 3653 5083 3493 176
    2018 - - - - - - - -
    3 257--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    Les quais de la gare de St-Ambroix.

    Saint-Ambroix est dotée d'une gare de voyageurs sur la ligne Alès-Bessèges de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF). L'ancien bâtiment voyageurs est toujours présent.

    Lieux et monuments

    Édifices civils

    • L'ancien château et la chapelle XIXe surplombant l'ancienne ville sur le rocher de Dugas.
    • La tour de l'horloge et sa cloche du XVIIe siècle.
    • La vieille ville : portes, fenêtres, façades, vestiges des remparts, rues en pentes, escaliers, etc.
    • Places, fontaines, et immeubles richements décorés sur le boulevard tout comme l'hôtel de ville (XIXe).
    • Anciennes filatures et maisons de filateurs (façade du Crédit agricole, maison et filature Silhol...).
    • Ancienne minoterie.
    • Site archéologique du Dugas.
    • 33 sentiers pédestres.
    • La Tour Guisquet de style médiéval édifiée en briques.
    • Château de Montalet (Molières-sur-Cèze).
    • Tour Guisquet.
      Musée de la Femme et de l'Enfant (Les Mages) - Musée des Blasons (Saint-Jean-de-Valériscle) - Maison des Liqueurs (Saint-Florent-sur-Auzonnet).
    • Grotte de la Cocalière (Courry).

    Édifices religieux

    Vue sur la ville depuis le Dugas.
    Place aux Herbes.

    La légende du Volo Biòu

    Tous les 13 et , les Saint-Ambroisiens font revivre leur légende datant du Moyen Âge par une fête médiévale et font voler un bœuf[28] ! La fête a été primée en 1994 et sélectionnée comme l'une des plus belles fêtes de France en 1998. Elle est sélectionnée par le guide des fêtes viticoles de France.

    En résumé : Après une récolte très importante de raisins, les Saint-Ambroisiens ne savaient plus quoi faire de leur vin qui commençait à moisir. Le consul (maire de l'époque) décida que l'on ferait voler un bœuf à Saint-Ambroix, le fit annoncer et organisa une grande célébration où tout le monde but à volonté... le vin s'écoula, il n'en resta pas une goutte, et le bœuf fut jeté du haut de la colline (le Ranc d'Uzège). Malheureusement et bien évidemment il s'écrasa au pied de la colline en question... mais tout le monde avait passé un bon moment et les esprits des Saint-Ambroisiens avaient été apaisés et le vin écoulé... C'est la raison pour laquelle on surnomme les Saint-Ambroisiens les « volo biou »... Pour la petite anecdote... Les Alésiens, qui vivaient à cette époque là une période de famine, étaient venus à la célébration et en avaient profité pour récupérer les tripes du bœuf... on les surnomme depuis les « mange tripo »... !

    Personnalités liées à la commune

    Environnement

    Le territoire de Saint-Ambroix abrite 27 espèces menacées, tant animales que végétales[29], et inclut ou est inclus dans quatre zones de protection dont certaines se chevauchent :

    • Zone Natura 2000 au titre de la directive habitats, dite « Hautes vallées de la Cèze et du Luech » (13 080 ha sur 22 communes[30])[31]. Cette zone ne concerne que la partie de vallée en amont de Saint-Ambroix ; la vallée en aval est couverte par les ZNIEFF « Rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix » et « Cours moyen de la Cèze ». Par ailleurs, à Saint-Ambroix de même que pour six autres communes[32], cette zone concerne uniquement le fond de vallée de la Cèze ;
    La protection vise les quelques zones boisées riveraines qui subsistent encore entre les parcelles cultivées d'une vallée urbanisation relativement développée. Cinq espèces animales sont particulièrement visées par cette zone de protection : le toxostome (Parachondrostoma toxostoma, un poisson), la cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii, une libellule), le castor d'Europe (Castor fiber), la vandoise (Leuciscus leuciscus) et le blageon (Telestes souffia) – ces quatre dernières ayant un statut réglementé[33] ;
    • La ZNIEFF « Cours moyen de la Cèze », soit 647,91 ha, concerne 16 communes[34] et est entièrement comprise dans le Parc national des Cévennes. L'habitat visé est fait de terrains en friche et terrains vagues. Cette ZNIEFF abrite deux espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain : la gratiole officinale (Gratiola officinalis, une scrophulaire) et la spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis, une orchidée)[35] ;
    • « Réserve de biosphère des Cévennes »[36] ;
    • ZNIEFF continentale de type 1 dite « Pelouses du Trou a Ragot »[37] ;
    • ZNIEFF continentale de type 2 dite « Marais du Pontet »[38].

    Jumelages

    • Avec la commune allemande de Aßlar, land de la Hesse, district de Giessen, arrondissement de Lahn-Dill[39].
    • Avec la commune italienne de Fossato di Vico, province de Pérouse, région d'Ombrie, en Italie centrale[39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Saint-Sauveur Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Ambroix et Saint-Sauveur-de-Cruzières », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Saint-Sauveur Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Ambroix et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 d'Alès », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. [vidéo] Saint Ambroix : un cafetier tue un client, 18 août 1988, sur ina.fr
    24. « Un dernier hommage à René Dugas », Midi Libre, (lire en ligne).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. La Légende du Volo Biòu
    29. Liste des espèces menacées sur la commune de Saint-Ambrois. Fiche Natura 2000.
    30. Les communes concernées par le site Natura 2000 « Hautes vallées de la Cèze et du Luech » sont,
      • pour le Gard (80%) :
      Aujac, Bessèges, Bonnevaux, Bordezac, Chambon, Chamborigaud, Concoules, Génolhac (vallée du Luech), La Vernarède, Malons-et-Elze, Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Peyremale, Ponteils-et-Brésis, Rochessadoule, Saint-Ambroix, Saint-Brès et Sénéchas ;
      • pour la Lorèze (20%) :
      Saint-André-Capcèze, Saint-Maurice-de-Ventalon et Vialas ;
      • pour l'Ardèche (>3%):
      Malbosc.
    31. Hautes vallées de la Cèze et du Luech - FR9101364, fiche Natura 2000.
    32. Pour les communes de Bessèges, Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Rochessadoule, Saint-Ambroix et Saint-Brès, la zone Natura 2000 concerne uniquement le fond de vallée de la Cèze.
    33. « Rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix - 910030336 ». Fiche ZNIEFF Natura 2000.
    34. Les communes concernées par la ZNIEFF « Cours moyen de la Cèze » sont : Allègre-les-Fumades, Bessèges, Bordezac, Chambon, Meyrannes, Molières-sur-Cèze, Peyremale, Potelières, Rivières, Robiac-Rochessadoule, Rochegude, Saint-Ambroix, Saint-Brès, Saint-Denis, Saint-Jean-de-Maruéjols-et-Avéjan et Saint-Victor-de-Malcap.
    35. « Cours moyen de la Cèze- 910011811 ». Fiche ZNIEFF Natura 2000.
    36. « Réserve de biosphère des Cévennes- FR6300005 ». Fiche ZNIEFF Natura 2000.
    37. Pelouses du Trou a Ragot (identifiant national : 240006417, identifiant régional : 00000164)
    38. Marais du Pontet (identifiant national : 240000922, identifiant régional : 10010000).
    39. « Saint-Ambroix : l'histoire du premier marché de Noël du Gard », sur Midi libre, .
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