Courry

Courry est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Courry

Vue générale.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
Maire
Mandat
Jean Bernard
2020-2026
Code postal 30500
Code commune 30097
Démographie
Gentilé Courriols
Population
municipale
280 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 18′ 00″ nord, 4° 09′ 23″ est
Altitude Min. 198 m
Max. 516 m
Superficie 8,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Courry
Géolocalisation sur la carte : Gard
Courry
Géolocalisation sur la carte : France
Courry
Géolocalisation sur la carte : France
Courry

    Géographie

    Communes limitrophes

    Hydrographie et relief

    Le village de Courry se distingue par deux espaces géographiques différents. D’un côté, du sud à l’ouest, une chaîne des serres cévenoles qui culmine à 514 m d’altitude. Elle est couverte par une forêt de châtaigniers. Pendant des siècles, la culture des châtaigniers a constitué l’économie primordiale de ce territoire inclus dans le massif cévenol. Le côté nord-est, avec une altitude moyenne de 260 m, fait partie de l’important plateau calcaire, couvert par la garrigue, à cheval sur la Basse Ardèche et le Haut Gard. Ce maquis aux essences méditerranéennes : buis, cades, chênes kermès, thym … détient, en son sein, des Diamants noirs avec des gîtes à Tuber mélanosporum ou truffes du Périgord. Pendant des siècles l'acharnement du travail de l'homme, mémorisé par les rompudes, a créé des lopins de terre parmi les bancs rocheux omniprésents. Cette obstination, caractère essentiel des cévenols, a maintenu un verger : oliviers, mûriers, vignes, amandiers… complément nutritif, non négligeable, après la châtaigne. La récession agricole a commencé avec l'arrivée de la révolution industrielle, ponctuée par des fléaux naturels successifs : disparition de la vigne attaquée par le phylloxéra à partir de 1863, gel des oliviers en 1956, abandon des mûriers à la suite de la régression de la sériciculture, mécanisation de l’agriculture impossible en ces lieux. Toutes ces calamités ont donné raison à la nature pour reprendre ses droits.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 286 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur Sa », sur la commune de Saint-Sauveur-de-Cruzières, mise en service en 2000[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 033 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 32 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Courry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,3 %), zones urbanisées (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Occitan Courri, du bas latin Curium[19].

    Histoire

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    Préambule

    Les observations archéologiques et l'étude des anciens chemins permettent de penser que le village de Courry a vu le jour par une fixation de ses premiers occupants le long d'anciennes voies. Les principales sont : La draille du Languedoc qui canalisait la transhumance des ovins, vers le mont Lozère. La Vieille route où transitaient de nombreux échanges commerciaux ou militaires entre les plaines méditerranéennes et le Massif central. Au gré des mutations politiques, elle deviendra Chemin Royal, Chemin Impérial, Route nationale 104 pour finir par l’actuelle dénomination : Départementale 904. Une voie peu connue mais qui subsiste sous forme de témoins partiels : Le Chemin Muletier qui se déroulait le long du thalweg de la châtaigneraie. La caractéristique d’implantation des maisons du village s'observe au travers de constructions en chapelet, des mas et des hameaux, qui s'égrènent le long d’une dorsale principale complétée par des voies secondaires.

    Préhistoire

    Malgré l’occupation temporaire de la garrigue, les anciens ont respecté l’implantation des tombes préhistoriques. Courry a le privilège de compter vingt-deux coffres mégalithiques de l’époque chalcolithique (- 2300 à – 1800 ans av. J.-C.).

    Antiquité

    Pour la période gallo-romaine, une ruine, aujourd’hui disparue, a permis de mettre en évidence un établissement rural où se pratiquait l'élevage du mouton. Ce site a livré de nombreux tessons de poterie, des pièces de monnaie s’échelonnant de l’époque romaine au XIIIe siècle et une quantité de fusaïoles (contrepoids en pierre de la bobine d’une quenouille).

    Moyen Âge

    Le document écrit le plus ancien, connu actuellement, remonte en l’an 950. Il précise d'après la Charta vétus ou Recueil de chartes anciennes que Ennus, évêque du Vivarais, possède trente fermes à Courry (Currio). Depuis ces temps ancestraux Courry se trouve rattaché au Vivarais. Il formait avec les communautés de Banne, Brahic et Malbosc La presqu’île du Vivarais incluse dans le territoire de l’Uzêge.

    Du XIIe siècle, l'église a conservé l’essentiel de son architecture primitive avec son abside en cul de four ornée, surmontée en extérieur, d’une remarquable corniche à modillons. Le mur de façade de ce monument est coiffé d’un clocher peigne. Les spécialistes attribuent cet édifice au roman auvergnat fin du XIIèm siècle. À partir de cette période, les textes anciens mettent en évidence le rattachement de la paroisse de Courry à l’abbaye de Bonnevaux, sous tutelle des chanoines de l’ordre de Saint Ruf, elle-même dépendante de l’évêque du Vivarais. Pendant six siècles la communauté courriole dépendra de l’ancien diocèse du Vivarais qui se nomme aujourd’hui : Ardèche. Cette situation sera profondément modifiée après la Révolution Française avec la création des départements (1792). Courry deviendra commune gardoise.

    Au XVe siècle, un manuscrit très intéressant, L’Estime de 1464, donne une description assez précise du village, avec les noms des habitants, les types de cultures, les noms de lieux etc. Ce document met en évidence la composition d’une communauté essentiellement rurale avec pour économie principale la culture de la châtaigne. Par la-même, le village de Courry se retrouve inclus dans le territoire des Cévennes.

    Révolution française et Empire

    Durant la Révolution française, le comte François-Louis de Saillans (1742-1792) tente une contre-révolution royaliste (3e camp de Jalès), suivi par environ 6 600 paysans. Il enlève le fort de Banne début juillet 1792[20]. Il est rapidement repris par le général d’Albignac, venu de Bourg-Saint-Andéol.

    Le , le groupe pro-royaliste, composé de quatre cents hommes, se posta dans les bois de Courry pour tendre une embuscade à un détachement de l’armée révolutionnaire qui venait à sa rencontre. Le combat fut acharné. L’armée du Gard dut user du canon contre les insurgés. Une grande partie des réfractaires périt au cours de cet affrontement dont un des chefs : Monsieur le Chevalier de Melon. Ce sanglant accrochage restera gravé, dans les annales historiques, sous la dénomination de Victoire de Courry. De nombreux villages, du sud ardéchois, subirent la foudre des armées révolutionnaires. Le , le fort de Banne est incendié par les combats et réduit en ruines. Le chef principal de cette rébellion, le Comte François-Louis de Saillans , en fuite, sera repris, conduit aux Vans et décapité sans jugement ainsi que plusieurs de ses complices le .

    Époque contemporaine

    Après les périodes de troubles, comme tous les villages de France et de Navarre, Courry conserve ses activités rurales au travers des multiples vicissitudes du temps. Son agriculture reste toujours à la limite du précaire malgré son implantation généralisée sur la totalité de son territoire. Il doit, en parallèle, confronter les nombreuses épidémies et la forte charge des impôts. La Révolution le marque profondément avec l’abandon du Vivarais et son rattachement au département du Gard. Des mutations profondes s’enclenchent avec la prospection minière dans la région. Dans le village plusieurs exploitations du minerai de fer verront le jour mais les gisements trop lenticulaires seront de courte durée. Les mineurs paysans se convertissent dans les mines de charbons environnantes. Suivra la litanie des causes d’abandon de la terre avec la mécanisation agricole peu adaptée aux terrains caillouteux, le départ des filles vers les filatures, l’hémorragie des jeunes hommes avec la guerre de 1914-1918, l’attraction des grandes villes pour la recherche d’un emploi sûr et une vie plus confortable. Ensuite, tout se précipite avec la motorisation, les moyens de communications, l’attrait des loisirs, les études longues pour les jeunes.

    Aujourd’hui, une nouvelle communauté supplante la traditionnelle. Les paysans frustes d’autrefois, héritiers, d’une langue ancestrale, ne parlaient que le patois. Ils ont laissé la place aux retraités du baby-boom conservateurs de quelques parcelles de châtaigniers et d’oliviers entre deux voyages touristiques, aux jeunes couples qui travaillent dans les villes voisines et aux européens, attirés par le soleil et le charme de la région, restaurateurs des vieux mas et constructeurs de piscines. Ainsi se poursuit l’histoire des courriols au travers de la mutation immuable du temps.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1959 1965 Maurice Roux PCF  
    1965 1977 Kléber Thomas    
    1977 1985 Jean Lengelle    
    1985 2008 François Sereni PCF  
    2008 2014 Denise Cesco PCF  
    2014 août 2018 Jacques Sanfilippo SE Retraité Fonction publique
    août 2018 En cours Jean Bernard SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2018, la commune comptait 280 habitants[Note 5], en diminution de 8,5 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    478433477525615606607607713
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    725716719649639568565578561
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    564526504437411321281238237
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    230202179212218254293301279
    2018 - - - - - - - -
    280--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Mine de fer de Pierre Morte : Mine faisant partie de l'ensemble des mines et hauts fourneaux de Gagnières[25].

    Édifices religieux

    Église.

    Originalité signalétique

    La découverte du village est facilitée grâce à une signalétique originale des quartiers et des hameaux. Des plaques, sur céramique, portent le nom des différents lieux accompagné d’une image thématique.C'est madame Deudon, céramiste originaire de Beaurains, à côté d'Arras qui a réalisé toutes ces plaques. Cette réalisation et son financement ont été effectués à l’initiative de l’association Les Amis de Courry pour conserver la toponymie traditionnelle. Le flambeau vient d’être repris par l'association Le plateau des Gras.

    Grotte de la Cocalière

    Visite de la grotte.

    Aux confins du Gard et de l’Ardèche, blotti dans le piémont cévenol, le village de Courry a, aussi, son brevet d'ancienneté depuis la préhistoire. Proche de Saint-Ambroix et à l'écart de la route départementale D904 (axe Alès-Aubenas), il est peu connu, voire ignoré d'une majorité de gens. La découverte d'un important réseau karstique dans le sous-sol de la commune a permis d'ouvrir au public, depuis 1967, un tronçon touristique connu sous le nom de Grotte de la Cocalière. Cette cavité, dénommée parfois perle des Cévennes, a pour écrin le territoire de Courry.

    Site de Saint-Sébastien

    Une des collines dominantes de Courry porte le nom de site de Saint-Sébastien. Ce promontoire panoramique fait partie des curiosités de la région avec sa chapelle néo-romane érigée en 1722. Depuis 1989, deux demi-tables d’orientation géologique, placées à l’initiative de la mairie, renseignent les visiteurs sur les sommets environnants et sur les différentes formations géologiques du terroir courriol. Cette hauteur reste un domaine prisé pour la pratique du parapente. Une piste de décollage, face au nord, fait l’objet d’une activité intense aux beaux jours. Ce belvédère est, aussi, un passage de sentiers de randonnées. De nombreux clubs de marche ou des particuliers arpentent souvent cette montagne, autant pour le point de vue que pour l'attrait sportif au milieu d’une garrigue odorante. Même les chasseurs gardois ou ardéchois fréquentent ce site pour tirer le sanglier ou le chevreuil.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Saint-Sauveur Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Courry et Saint-Sauveur-de-Cruzières », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Saint-Sauveur Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Courry et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 649, t.1
    20. Albert Ceccarelli, La Révolution à l’Isle sur la Sorgue et en Vaucluse, Éditions Scriba, 1989, (ISBN 2-86736-018-8), p 33
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Notice no IA00128294, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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