Manduel

Manduel est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Manduel

façade de l'église de Manduel

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Jacques Granat
2020-2026
Code postal 30129
Code commune 30155
Démographie
Gentilé Manduellois
Population
municipale
6 871 hab. (2018 )
Densité 260 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 10″ nord, 4° 28′ 27″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 77 m
Superficie 26,46 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Manduel
(ville-centre)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marguerittes
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Manduel
Géolocalisation sur la carte : Gard
Manduel
Géolocalisation sur la carte : France
Manduel
Géolocalisation sur la carte : France
Manduel
Liens
Site web http://www.manduel.fr/

    Géographie

    Localisation

    Manduel est située à environ 10 km au sud-est de Nîmes et se trouve à une distance, à vol d'oiseau, d'environ 110 km de Marseille, 240 km de Lyon et Toulouse et 625 km de Paris. Les communes de Rodilhan, Marguerittes, Redessan, Beaucaire, Bellegarde et Bouillargues sont limitrophes de la commune de Manduel. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine de l'aire urbaine de Nîmes.

    Hydrographie et relief

    La commune est proche du Rhône et de la Provence, non loin du plateau des Costières contre lequel elle s'appuie.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 671 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,1 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[10].

    Axes ferroviaires

    Un TER entre en gare (2011).

    Manduel est desservie par des trains TER Languedoc-Roussillon qui circulent entre les gares d'Avignon-Centre et de Narbonne, ou Montpellier-Saint-Roch, ou Nîmes.

    Axes routiers

    La commune jouxte la route départementale 999, reliant Nîmes à Beaucaire.

    Transports en commun

    Le village est desservi par la ligne 32  du réseau de bus Tango qui relie Nîmes et Manduel en passant par Rodilhan.

    Urbanisme

    Typologie

    Manduel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[12],[13].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Manduel, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[14] et 10 929 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Manduel est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (62,7 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), zones urbanisées (10,2 %), prairies (5,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), terres arables (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom officiel en français est une françaisation du nom occitan Manduèlh. Il provient du latin Mandolium[20].

    Ses habitants sont les Manduellois et Manduelloises.

    Histoire

    Préhistoire

    Le territoire de la commune est occupé depuis des temps forts reculés. Des silex taillés rapportés au Gravettien (25 000 ans environ) ont été retrouvés lors de fouilles de sauvetages menées par F. Bazile du CNRS (Vauvert) et son équipe durant l'été 2000. L'emplacement d'un campement de chasseurs gravettiens était matérialisé par plusieurs structures en galet de la costière, dont un foyer nettement circonscrit. Les ossements n'ont malheureusement pas été conservés. En revanche, les nombreux outils taillés en silex, grattoirs, burins, lamelles à dos et surtout pointes de la Gravette évoquent un temps d'occupation d'au moins plusieurs jours en relation avec la chasse et les activités qui y sont liées (découpe, tannage ?). De plus la présence de fragments de coquillages (parures) et d'ocre témoignent de préoccupations autres que la simple prédation[21].

    D'autres occupations préhistoriques sont également connues près de l'étang de Campuget, toujours sur le territoire communal. On trouve enfin les traces des premiers agriculteurs datant d'environ 4 000 ans avant notre ère et qui cultivaient de la vigne[22].

    Antiquité

    Mais c'est au IVe siècle av. J.-C. qu'un gaulois nommé Manduos s'y installe, fuyant alors Nîmes, déjà important centre régional. Il nomme l'endroit « Mandolios », littéralement « La clairière de Manduos »[réf. nécessaire].

    Moyen Âge

    Le village est mentionné en 943 In terminium de villa Mandolio dans le cartuaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes[23]. Au XIIe siècle, le territoire appartenait aux puissants Comtes de Toulouse. Il passa au XIVe siècle sous la domination de Guillaume de Nogaret, seigneur de Calvisson, et resta aux mains de ses héritiers jusqu'à la Révolution française.

    Époque contemporaine

    En 1849 le chemin de fer traverse la commune avec l'ouverture de la section de Nîmes à Beaucaire, de la future ligne de Tarascon à Sète-Ville. Sur la commune se situe la gare de Manduel - Redessan.

    L'engouement pour le sud-est de la France et l'arrivée en 2001 de la ligne à grande vitesse Méditerranée, mettant la région nîmoise à 2 h 52 de Paris en TGV, ont contribué à l'essor démographique de la commune. Sa population a quadruplé en trente ans pour atteindre aujourd'hui près de 6?000 habitants.

    Le , Doria Carillo, Manduelloise de dix-huit ans et porte-drapeau de la section locale de l'UNC, invitée aux commémorations de la fête nationale à Paris, assiste au défilé et participe au ravivage de la flamme du soldat inconnu[24].

    Politique et administration

    Mairie de Manduel

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Joseph Funel    
    1947 1959 Léonce Fabre    
    1959 1965 David Guiot    
    1965 1971 Joseph Thibaut    
    1971 1977 Michel Brun    
    1977 1996 André Mazoyer    
    1996 2001 Michel Gaini    
    2001 2014 Marie-Louise Sabatier PS Vice-présidente de Nîmes Métropole
    avril 2014 En cours Jean-Jacques Granat UMP puis LR Agent technique
    Vice-président de Nîmes Métropole
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 6 871 habitants[Note 5], en augmentation de 8,27 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0551 1581 2281 3961 4601 4711 5191 6171 707
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9082 0532 1002 1162 0371 9261 9491 9111 630
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6401 6201 5581 5021 4801 4761 4591 0961 314
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 5731 6492 3893 5545 5795 7485 7295 7255 721
    2013 2018 - - - - - - -
    6 3466 871-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La fête votive (de dévotion, fête dédiée au saint patron du village) honore saint Genest et se déroule chaque année le premier dimanche suivant le 26 août. Elle est l'occasion de festivités durant plusieurs jours. C'est une des principales attractions touristiques de la ville de Manduel.
    • À côté de célébrations à caractère national (Fête du travail, commémoration du 8 mai 1945, Fête de la musique…) la commune organise également chaque été entre mai et juin une semaine du patrimoine.

    Économie

    Agriculture

    Bien que diversifiée (abricotiers, pêchers, bananiers, oliviers), l'essentiel de l'économie agricole repose sur la vigne.

    Située dans le terroir de l'AOC « Costières de Nîmes » (anciennement appelées « Costières du Gard »), la commune possède sa propre cave coopérative depuis 1926[31]. Elle abrite également un domaine d'environ 160 ha, dénommé « Château de Campuget », où un exploitant privé produit principalement des vins rouges et rosés, dont 70 % sont destinés à l'exportation.et bananeraies importantes

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Borne milliaire d'Antonin-le-Pieux, situé sur la place de la mairie de Manduel
    • La borne milliaire d'Antonin le Pieux  Classé MH (1973)[32], élevée en 145 apr. J.-C., est l’une des bornes que les Romains posaient sur les routes principales, tous les mille pas. Provenant de la Voie Domitienne qui reliait Narbonne à Arles, elle porte une inscription en latin. Très lisiblement, on apprend que c’est Antonin le Pieux qui l’érigea lors des réparations de la Via Domitia. Le chiffre VII qui se trouve à la dernière ligne nous indique qu’elle marquait le 7e mille entre Nîmes et Beaucaire. Ce milliaire fut découvert en 1861, lors de la démolition de la vieille église de Manduel, sous le pavé de l’édifice. Par sa conservation presque parfaite et pour assurer sa protection, cette borne a fait l’objet d’un classement aux monuments historiques. Elle se trouve actuellement face à l’hôtel de ville.

    Édifices religieux

    L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2016[33].

    L'église actuelle du village, de style romano-byzantin, résulte de la décision du conseil municipal du 11 mai 1856, décidant de la construction d'un nouvel édifice religieux sur l'emplacement de l'ancienne église, alors détruite. Construite durant les années 1855-1860 par l'architecte Henri Révoil, l'église trône désormais au centre du village, comptant plusieurs tableaux et objets mobiliers inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques : grilles latérales du chœur et Banc des Marguilliers (1862), L’Arrestation de saint Genest patron de la paroisse, de J.-B. Lacroix (1842) et enfin La Mort de saint Joseph, œuvre anonyme dont la datation pourrait remonter au XVIIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • François Fournier, né et mort à Manduel, homme politique français
    • Étienne Borne, né à Manduel, philosophe et journaliste français
    • Étienne de Manduel, né à Manduel et mort à Marseille (1230) marchand, père de Jean de Manduel, un des premiers capitalistes provençaux

    Héraldique

    Blason
    D’or à la cotice d’argent fuselée de trois pièces de sinople[23].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Autrefois les armoiries de Manduel représentaient une main ouverte et deux yeux. Ces armoiries étaient peintes sur le drapeau des consuls. Il s'agissait d'un rébus héraldique : Man-d'ieulx, le nom du village aux XVe et XVIe siècles étant Mandueil[23].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Nîmes-Courbessac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Manduel et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Manduel », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne…, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 263, t. 2
    21. F. Bazile, G. Boccaccio, C. Monnet-Bazile (2001) - « La Treille (Manduel, Gard) : un nouveau gisement gravettien en Languedoc rhodanien », Bulletin de la Société préhistorique française, tome 98, n°3 pp. 545-550.
    22. Michel Bouvier, Le vin, c'est toute une histoire, Jean-Paul Rocher Éditeur, Paris, 2009, p. 28. (ISBN 978-2-917411-23-0) (notice BnF no FRBNF42049612).
    23. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 122
    24. Nathalie Laffaye, « Doria, porte-drapeau à Manduel, était à Paris pour le 14 juillet », midilibre.fr.
    25. (de) « Bischofsheim », sur www.bischofsheim.info (consulté le ).
    26. « La commune, solidaire avec le Tibet, parraine Gyantsé : Manduel »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur manduel.blogs.midilibre.com.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Maurice Milhaud, La coopération dans une commune viticole (Manduel, Gard). Influence des institutions d'entr'aide et de coopération sur le développement économique et social. Thèse présentée à la Faculté des Sciences économiques et sociales de l'Université de Genève. Thèse n°28. Presses universitaires de France, Paris, 1931. 132 p. + une carte., p. 27.
    32. Notice no PA00103071, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Eglise paroissiale », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail du Gard
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.