Bellegarde (Gard)

Bellegarde est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Bellegarde.

Bellegarde

Tour à Bellegarde

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Beaucaire-Terre d'Argence
Maire
Mandat
Juan Martinez (SE)
2020-2026
Code postal 30127
Code commune 30034
Démographie
Gentilé Bellegardais
Population
municipale
7 273 hab. (2018 )
Densité 162 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 16″ nord, 4° 30′ 55″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 102 m
Superficie 44,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bellegarde
(ville isolée)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beaucaire
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Bellegarde
Géolocalisation sur la carte : Gard
Bellegarde
Géolocalisation sur la carte : France
Bellegarde
Géolocalisation sur la carte : France
Bellegarde

    Géographie

    Localisation

    Située aux portes de la Camargue et à l'extrémité du plateau des Costières, à mi-chemin entre Beaucaire et Saint-Gilles, à 17 km de Nîmes et 15 km d'Arles, Bellegarde invite les randonneurs à découvrir son territoire et ses monuments sur un parcours de petite randonnée : la tour de Bellegarde (XIIe siècle), Broussan et sa chapelle classée monument historique (XIe siècle), ses nombreuses fontaines, ses plans d'eau et lacs, dont le plan d'eau des moulins où se déroulent de nombreuses manifestations.

    Les communes de Fourques, Beaucaire, Manduel, Garons et Saint-Gilles sont limitrophes de la commune de Bellegarde.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 669 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fourques-Inra », sur la commune de Fourques, mise en service en 1972[6] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,7 °C et la hauteur de précipitations de 587,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Garons », sur la commune de Saint-Gilles, mise en service en 1964 et à 11 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 15 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,3 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Bellegarde est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bellegarde, une unité urbaine monocommunale[16] de 7 129 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Bellegarde est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du sud du Gard.

    La commune dispose d'un site de stockage de déchets de catégorie 1 (déchets dangereux). Ce site est le seul parmi les huit français classés en catégorie 1 à être situé au sud de la Loire.[réf. souhaitée]

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (38,2 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), terres arables (13,8 %), zones urbanisées (7,7 %), forêts (5,8 %), eaux continentales[Note 5] (4,7 %), mines, décharges et chantiers (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), prairies (0,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le mot germanique wart garde, tour de garde' a été latinisé en warda (d'où l'occitan garda) ou en wardia (d'où l'occitan gardia, accentué sur la première syllabe). Ces termes ont nommé de nombreux lieux-dits plus tardivement par l'intermédiaire de l'occitan garda, gardia lieu élevé où l'on peut observer. Avec un adjectif épithète, garda a servi à nommer, à l'époque féodale, Bellegarde (Bella Garda, en 1208).[réf. souhaitée]

    Ses habitants s'appellent les Bellegardais et Bellegardaises.

    Histoire

    Préhistoire

    Les récentes recherches de l'INRAP effectuées courant 2016-2017 montrent une occupation attestée dès le paléolithique supérieur[22].

    Antiquité

    L'aqueduc romain qui date de la seconde moitié du Ier siècle témoigne de l'activité humaine durant la période gallo-romaine. L'hypothèse de plus en plus confirmée, est que cet aqueduc alimentait en eau le quartier de Trinquetaille associé à la ville d'Arles[23],[24].

    Moyen Âge

    Deux communautés et leurs lieux de culte semblent se développer dans la première partie du Moyen Âge : les sites de Broussan et de Saint Jean.

    Il semble que c'est à partir de l'an mille, avec l'installation d'un château (castrum Bellae Gardae) que va se former le village actuel, notamment en attirant à lui les populations des 2 communautés initiales.

    Époque contemporaine

    Philippe Lamour s'installe sur la commune

    En 1949 la commune connait sa première Appellation: l'A.O.C (aujourd'hui A.O.P) «  Clairette de Bellegarde ».

    En 1960, le général de Gaulle inaugure la station Aristide Dumont, pièce maitresse construite sur la commune du grand réseau d’irrigation Bas Rhône (BRL).

    En 2011, à Bellegarde, survient l'affaire Océane.

    Juan Martinez, maire de l'époque, fait alors partie du PC de crise, situé dans son bureau[25]. Une affaire pour laquelle l'édile local se sentira « effondré »[26].

    Fin des années 2010, la commune dispose de deux sources d'énergie verte : la première est une serre photovoltaïque qui sera inaugurée au moins de juin 2019 par François de Rugy, alors ministre de la transition écologique, malgré l'opposition affichée du maire de l'époque[27]. La seconde est l'unité de production de biogaz du centre d'enfouissement des déchets dangereux : il s'agit d'un « des plus importants sites de stockage de déchets industriels de France »[28].

    Politique et administration

    Mairie de Bellegarde

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1956 1959 Marcel Boucayrand    
    1959 1971 Édouard Allovon    
    1971 1984 Alain Debay    
    1984 1995 Henri Serment    
    1995 2008 Élie Bataille UMP Enseignant à l'ENSA[29]
    Conseiller général du canton de Beaucaire (2001-2008)
    Président de la Communauté de communes Beaucaire-Terre d'Argence (2002-2008)
    2008 En cours Juan Martinez PS puis Divers Infirmier
    Conseiller général du canton de Beaucaire (2008-2015)
    Vice-président du Conseil général du Gard (2011-2015)
    Député suppléant de la première circonscription du Gard depuis 2012
    Président Communauté de communes Beaucaire-Terre d'Argence depuis 2014
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Bellegarde fait partie de la Communauté de Communes Beaucaire Terre d'Argence.

    Bellegarde fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues et Costières de Nîmes.

    Jumelages

    Porte de Villamartin (inaugurée en octobre 2000)

    Bellegarde est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2018, la commune comptait 7 273 habitants[Note 6], en augmentation de 10,89 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8801 2071 0531 4091 5411 6401 7961 9692 167
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5532 8552 8202 7532 6892 3722 5172 7652 594
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7292 6682 5812 5362 2512 4332 4522 3172 236
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 4843 0523 1633 9244 5084 9136 1096 3366 987
    2018 - - - - - - - -
    7 273--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    la ville possède:

    - 2 écoles primaires : école Jeanne d'Arc (enseignement privé) - école Henri Serment (enseignement public)

    - 1 école maternelle : école Philippe Lamour (enseignement public)

    - 1 école élémentaire : école Batisto Bonnet (enseignement public)

    - 1 collège : collège Fédérico Garcia Lorca (enseignement public)

    - une cuisine centrale communale assure la préparation et livraison chaude des repas.

    La commune dispose également d'un service de crèche, de deux centres de loisirs (maternelle / élémentaire) et d'une maison des jeunes.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Février : accueil de la 1re étape de la course cycliste l'Étoile de Bessèges
    • Avril: journées médiévales "Bivouac de l'histoire", festival "Run in Camargue"
    • Mai : fête de l'Europe, championnat d'auto-cross / sprint cars et moto-cross, fête votive de printemps.
    • Juin : festival de l'humour "Bellegarde du Rire"
    • Septembre : Forum associatif, journées européenne du patrimoine
    • Octobre : grande Fête votive traditionnelle (animations taurines)
    • Décembre : Fête de l'olive et de l'huile (moulin à huile du XIXe siècle) , Marché de Noël

    Cultes

    église de Bellegarde

    Économie

    panneau de marché à église de Bellegarde

    Agriculture

    Le territoire de la commune est entièrement situé dans la zone de l'AOC Costières de Nîmes[35]. La cité a donné son nom à un vin bénéficiant d'une appellation d'origine contrôlée, la clairette de Bellegarde.

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    La station de pompage Aristide Dumont.
    Tour à Bellegarde
    • Aqueduc romain de la seconde moitié du Ier siècle : Captage, sections visibles en divers lieux, dont la plus remarquable, avec ses 22 m de long, se trouve au site du Musée de l'eau, bassin...
    • Site de la Tour (XIIe siècle) et panorama sur la plaine de Petite Camargue.
    • Moulin à huile du XIXe siècle. Fonctionnant courant novembre - décembre pour le public.
    • La station de pompage « Aristide Dumont », inaugurée en 1960 par le Général De Gaulle et qui sert à alimenter le canal Philippe-Lamour.
    • Port de plaisance sur le Canal du Rhône à Sète, avec capitainerie.

    Édifices religieux

    Prieuré Saint-Vincent-de-Broussan
    • Le prieuré Saint-Vincent-de-Broussan des XIe et XVe siècles. L'Église a été classée au titre des monuments historiques en 1984[36]. Les Parties anciennes des bâtiments (corps de logis au Nord-Ouest et aile au Nord-Est de la cour) ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1984[36].
    • (classé depuis 11 octobre 1984)[37]. À voir : parties anciennes des bâtiments (corps de logis au nord-ouest et aile au nord-est de la cour), bâtiment conventuel, logis. Propriété d'une personne privée, le site est fermé au public.
    • Église Saint-Jean-Baptiste de Bellegarde.

    Bellegarde dans la littérature

    Un village Sources-la-Marine est cité dans le poème d'Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943[38]. Aucune commune ne porte ce nom en France. Le seul lieu-dit portant un nom approchant est le lieudit Les Sources de la Marine situé sur le ban de la commune de Bellegarde. Il s'y trouvait autrefois une gare sur la ligne reliant Nîmes aux Saintes-Maries-de-la-Mer. Louis Aragon a séjourné à Arles pendant la guerre et il a placé Trinquetaille parmi les cent villages. Il est vraisemblable qu'il a connu le lieu-dit Les Sources de la Marine et que le nom lui plaisant, il l'a intégré dans son poème.

    Les taureaux

    • Courses camarguaises qui sont proposées dans les arènes, où l'on voit des hommes en blanc (les raseteurs) face à des taureaux "camargue" équipés d'attributs entre et sur les cornes, cocarde, ficelles et glands qui seront primés lorsque les hommes les leur enlèveront.
    • abrivado
      • Lâcher de taureaux camarguais dans les rues du village sur un parcours les amenant aux arènes.
      • bandido : retour des taureaux des arènes au char (camion).
      • Encierros : lâcher de taureaux sur un parcours clos.

    Personnalités liées à la commune

    • Batisto Bonnet (félibre provençal).
    • Philippe Lamour (grand aménageur et bâtisseur de la région Languedoc, y est mort et enterré).
    • Charles Gide (oncle d'André Gide, économiste et penseur, époux d'Anna Im Thurn qui possédait à Bellegarde la belle propriété des Sources).
    • Jacques Novi (footballeur).

    Héraldique

    Les armes de Bellegarde se blasonnent ainsi :

    d'azur à un pont en dos d'âne de trois arches d'or maçonné de sable, surmonté de l'inscription sur deux lignes en lettres capitales d'argent PONS AERARIUS, et posé sur un marais à la berge ondée du même semé de roseaux de sable[39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Fourques-Inra - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Bellegarde et Fourques », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Fourques-Inra - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Bellegarde et Saint-Gilles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Bellegarde », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Actualité | Le site de Piechegut à Bellegarde (Gard), de la Préhistoire au Moyen Âge », sur Inrap, (consulté le ).
    23. vile de Bellegarde, « L'aqueduc antique de Bellegarde », sur bellegarde.fr.
    24. FABRE Guilhem, « Deux aqueducs antiques dans le delta du Rhône », revue Archéologia N°478 juin 2010, (lire en ligne).
    25. E.C avec Arnaud Bizot et Jean-Michel Verne, « Bellegarde - Le calvaire de la petite Océane devant la justice », sur parismatch.com, (consulté le ).
    26. La Rédaction et C. Andrieux, « Meurtre d'Océane : le voisin en garde à vue « ne dit rien » », sur BFMTV, (consulté le ) : « Le maire, Juan Martinez, est tout aussi effondré. « On pense à la famille bien sûr. Mais on pense aussi à nos propres enfants, il y en a mille sur la commune. Alors tout le monde se sent concerné ». ».
    27. Abdel Samari, « LE 7H50 de Juan Martinez, maire de Bellegarde : « Je suis surpris par la visite du ministre » – Objectif Gard », sur objectifgard.com, (consulté le ).
    28. Valérie Luxey, « Gard : le site de stockage des déchets industriels de Bellegarde produit aussi du biogaz », sur France 3 Occitanie, (consulté le ).
    29. E. L., « Elie Bataille a reçu la Légion d'honneur », Midi Libre, no 22 523, , p. 14.
    30. « la porte de Villamartin à Bellegarde (30) », sur http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=30034_3 (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Cahier des Charges pour des AOC homologué par le décret 2011-1259 du 7 octobre 2011 », sur agriculture.gouv.fr (consulté le )
    36. « Ancien prieuré Saint-Vincent-de-Broussan », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    37. Notice no PA00103024, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
    39. Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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