Club parlementaire en France

Les clubs parlementaires sont, en France sous la Cinquième République, des instances le plus souvent informelles qui permettent la rencontre de membres du Parlement et de représentants d'intérêts, et la pratique du lobbying. Organisés par des parlementaires ou par des sociétés de relations publiques, ils sont généralement financés par des acteurs privés. Les clubs parlementaires ont fait l'objet, en 2016, d'une étude de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique.

Caractéristiques des clubs parlementaires

Une finalité de lobbying

Les clubs parlementaires, à distinguer des groupes d'études parlementaires thématiques qui disposent, au Sénat et à l'Assemblée nationale d'une reconnaissance officielle et dépendent d'une Commission[1],[2], ont le plus souvent un statut informel et peuvent mêler députés et sénateurs[3]. La Haute autorité pour la transparence de la vie publique ( HATVP ) en donne la définition suivante : « toutes les manifestations, quelle qu'en soit la dénomination, qui sont principalement adressées à des parlementaires, par des représentants d'intérêts, et qui présentent une certaine forme de régularité »[4].

Les clubs parlementaires présentent une grande diversité de fonctionnement, mais ont un objectif commun de lobbying, et « les représentants d'intérêts constituent la force motrice de ces clubs »[5].

Avec les rencontres parlementaires, ils font partie des méthodes « traditionnelles » des lobbies pour influencer la décision politique[6].

Histoire

La création des clubs est relativement récente. Le club Douze pour l'entreprise, « le plus ancien », est fondé en 1987, le club Nouvelles technologies & société en 1995 par Bouygues Telecom, le club des Amis du cochon en 2004 par l'Inaporc et le club Vive le foie gras en 2005 par le CIFOG[7]. La société de relations publiques M&M Conseil, filiale du cabinet Boury, Tallon et Associés et fondée par deux anciens assistants parlementaires[7] a joué un rôle pionnier dans la création et le développement des clubs parlementaires[8]. Les journalistes Vincent Nouzille et Hélène Constanty estiment que « la plupart des clubs paraparlementaires ont un même géniteur », la société Boury, Tallon et Associés, fondée en 1987 par Paul Boury[7].

Cadre réglementaire

L'existence de clubs parlementaires renvoie au principe constitutionnel de libre exercice du mandat parlementaire ainsi qu'à la liberté d'association[9]. Elle pose la question d'un éventuel mandat impératif[9] des parlementaires.

Depuis 2010, des règles déontologiques croissantes s'appliquent aux activités des parlementaires. Le règlement de l'Assemblée nationale interdit ainsi « la constitution, au sein de l'Assemblée nationale, dans les formes prévues à l'article 19 ou sous quelque autre forme ou dénomination que ce soit, de groupes de défense d'intérêts particuliers, locaux ou professionnels et entraînant pour leurs membres l'acceptation d'un mandat impératif »[10], le règlement du Sénat prohibe la « constitution, au sein du Sénat, de groupes tendant à défendre des intérêts particuliers, locaux ou professionnels »[9]. Cependant, la Hatvp considère en 2016 que, s'agissant des clubs parlementaires, ces mesures d'encadrement restent très lacunaires, voire sont inexistantes[9].

Fonctionnement

Afin de mettre en relation divers professionnels et des parlementaires, les clubs parlementaires proposent repas, rencontres, colloques ou déplacements. Les clubs réalisent également des notes d'analyse, des revues de presse et des actions de représentations d'intérêts[11],[12].

Certaines sociétés organisatrices de clubs transmettent à leurs membres des propositions d'amendements, ou revendiquent un rôle dans le débat public[11],[13].

Le budget annuel d'un club parlementaire peut varier de quelques dizaines de milliers d'euros à 400 000 euros[11]. Selon Marc Teyssier d'Orfeuil, directeur du cabinet de lobbying Com Publics[14] qui organise plusieurs clubs parlementaires[15], « je suis payé par des sociétés privées qui me commandent du lobbying. Le club fonctionne avec des cotisations : de 5 000 à 30 000 euros selon la taille des entreprises »[13].

Rapport de la Hatvp

Contexte

Le rapport de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique consacré, en 2016, aux clubs parlementaires, est le résultat d'une saisine de l'organisme par Claude Bartolone, alors Président de l'Assemblée nationale[16].

Selon Guillaume Courty et Marc Milet, la publication du rapport sur les clubs parlementaires « en plein débat parlementaire de la loi Sapin II (...) devient l’occasion de rappeler la nécessité d’établir un " code de déontologie adossé à un registre afin d’encadrer l’action des représentants d’intérêts présents dans les clubs" » et vise à légitimer les dispositifs introduits par la loi Sapin II[17]. Éric Buge, Secrétaire général adjoint de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, indique que la publication du rapport s'inscrit dans la « mission de conseil et de recommandations auprès des institutions publiques » de l'organisme[18].

Le rapport de la Hatvp s'inscrit dans un contexte de réflexion initié par le livre bleu du lobbying en 2008, le rapport du déontologue de l'assemblée nationale Jean Gicquel en 2011[19] et celui du déontologue du Sénat François Pillet en 2015[20].

Enjeux identifiés

La Haute autorité pour la transparence de la vie publique identifie, dans l'activité des clubs parlementaires, plusieurs enjeux. Elle estime que, d'une façon générale, l'action des représentants d'intérêts ou lobbies auprès des élus s'accompagne parfois de pratiques critiquables. Parmi celles-ci, elle recense un mélange des genres, l'exigence faite aux entreprises de contrepartie financière en échange d'un temps de parole, et un net manque de transparence[21],[22]. La Hatvp estime que la réglementation est, en 2016, insuffisante[21].

Plusieurs enjeux identifiés par le rapport de la Hatvp rejoignent les préoccupations des lobbyistes eux-mêmes, exprimées en 2008 dans le « livre bleu du lobbying »[23]et réitérées en 2016[21].

Propositions de réglementation

La Haute autorité pour la transparence de la vie publique fait en 2016 une série de propositions[24],[16].

Pour les lobbies, la Hatvp propose de créer un registre des représentants d'intérêts pour assurer la transparence des clubs parlementaires, d'établir des obligations déontologiques pour les représentants d'intérêts inscrits, de les obliger à rendre compte de leurs activités de lobbying impliquant des parlementaires, comme à informer les parlementaires du coût des invitations qui leur sont adressées.

S'agissant des parlementaires, la Hatvp suggère de rappeler d'une part que les fonctions détenues par un parlementaire au sein d'un club doivent figurer sur leur déclaration d'intérêts, d'autre part l'obligation pour un parlementaire de déclarer tous avantages et invitations reçus dans le cadre de leur fonction, d'une valeur supérieure à 150 euros.

Pour le Parlement, la Hatvp propose d'interdire la réunion de groupes d'intérêts privés, et notamment les clubs parlementaires, dans l'enceinte du Parlement, d'interdire la domiciliation des clubs parlementaires dans les assemblées, de rappeler la règle de gestion des moyens mis à disposition des parlementaires, et d'engager une réflexion sur le nombre et les moyens des groupes d'études parlementaires[25].

Tableau des clubs

Le recensement effectué en 2016 pour la rédaction du rapport de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique[26] est incomplet, en raison du caractère informel de nombreux clubs, de « l’absence d’existence officielle de ces clubs »[27] et du temps d'enquête restreint[28]. Un certain nombre de clubs recensés dans le rapport du déontologue de l'Assemblée nationale en 2011, tels le Club Hippocrate, le Club Cérès ou le Club Athéna[27] n'y figurent plus.

Le rapport de la Hatvp distingue les clubs parlementaires créés par une société de relations publiques ( Com Publics, Boury Tallon & Associés, Anthenor Public Affairs ) et ceux créés par des parlementaires[26].

Clubs hors sociétés de relations publiques

ClubObjectifPrésidenceParlementaires membresFinanceurs ou partenairesStatut
Amicale parlementaire de la maroquinerie« Échanger autour des grands enjeux de l'industrie française de la maroquinerie »Colette Langlade,

Gérard Bailly

22Fédération française de la maroquinerie.Informel
Amicale parlementaire brassicolenon renseignéCatherine Génisson,

André Schneider

non renseignénon renseignéInformel
Association nationale des élus de la vigne et du vin« Promouvoir le dynamisme du secteur et la qualité de vie de nos villages, de nos terroirs vitivinicoles, et des hommes qui la composent ».Nathalie Delattre, Philippe Huppé 107Université du Vin - Suze la Rousse, Oenovideo, ViTeff, Réussir, Confédération nationale des appellations d'origine contrôlée, Wine Tourism in France, société Adelphe.Association
Avenir Transports« Faciliter la compréhension, par les élus, de tous les enjeux liés à tous les modes et infrastructures de transport, sans distinction ni préférence ».Alain Gest, Gilles SavaryEnviron 200Environ 20 organisations professionnelles et 20 grandes entreprisesAssociation
Club des parlementaires amateurs de havanesnon renseignéAndré SantiniEn 2013, environ 50Non renseigné dans le rapport de la Hatvp. En 2013, American Tobacco[15].Informel
Club des parlementaires pour le vélo« Promouvoir l'utilisation du vélo comme mode de transport à part entière et dans toutes ses composantes ».non renseigné95Club des villes et territoires cyclables, Union nationale de l'industrie du vélo, MDB, Véloroutes et voies vertes.Informel
Club parlementaire « objectif bio »« Espace privilégié pour l'initiative parlementaire et l'approfondissement des réponses proposées par l'agriculture biologique à divers enjeux de société ».Didier Guillaume, Antoine Herth, Catherine Quéré, Chantal Jouanno25Fédération nationale de l'agriculture biologique, Synabio, Bio Consom'acteurs, Terre de liens, MABD, MiramapAssociation
Club parlementaire du numérique« Dialoguer avec les professionnels du numérique, (...) sensibiliser les parlementaires aux enjeux de l'économie numérique ».Bruno Retailleaunon renseignénon renseignéInformel
Club parlementaire pour la protection et l'étude des sols« Défendre les intérêts liés à la protection et à la préservation des sols », dans une perspective de développement durable.Sandrine Béliernon renseignénon renseignéAssociation
Groupe des parlementaires pour l'espace« informer le pouvoir législatif sur les évolutions du domaine spatial, être ainsi un acteur de la décision politique ».Chantal Berthelot56Arianespace, CNES, EADS, Safran, Thales Alenia SpaceAssociation

Clubs organisés par une société de relations publiques

ClubObjectifPrésidenceParlementaires membresFinanceurs ou partenairesSociété organisatrice
Cercle des eaux minérales naturelles« Valorisation des actions menées par la filière des eaux minérales naturelles ».Michèle André, André Chassaigne, Marc Francina, Christian Franqueville, Pierre Médevielle76Chambre syndicale des eaux minéralesCom'Publics
Club autonomie et dépendance« Défendre les enjeux économiques et sociaux liés au vieillissement de la population ».Joëlle Huillier, Marc Le Fur, Bariza Khiari83AD-PA, Adef Résidences, Aegide Domitys, Agevillage, Arefo-Arpad, Audiens, Carrefour des aînés, Centrale des opticiens, CNAV, CNETH, Crédit agricole assurances, DomusVi, Engie-Ineo, Familisante, Fondation Caisse d'épargne pour la solidarité, Icade, Incisiv, Korian, Medissimo, Nutricia, Ocirp, Pro BTP, Responsage, Senior Cottage, Silver Valley, Union Saint-Martin, Vieillir en France, Virage ViagerCom'Publics
Club Bois & forêts« Filière bois et forêts ».Florence Delaunay, Gérard César, Germinal Peiro, Philippe Leroy130France Bois forêts, ONF, Engie - CofelyCom'Publics
Club Chiens et société« La filière canine ».Roger Madec, Yves Censi0Société centrale canineCom'Publics
Club de l'accession à la propriété« Logement : accession, location, foncier »Marie-Noëlle Lienemann, François de Rugy, Dominique Estrosi93Caisse d'épargne, Crédit Mutuel Arkéa, La Banque postale, Groupe Bouygues, Crédit agricole, Demathieu Bard, Eiffage, Icade, MDH Promotion, Pitch Promotion, Groupe Arcade, Expansiel Promotion, Groupe Gambetta, ICF Habitat, SNCF, La Poste, Polylogis, SNI, Grand Paris Habitat, Efidis, Vilogia, Fédération des EPL, LCA-FFB, Union sociale pour l'habitat, Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), Fidal, AIC-AITCom'Publics
Club de l'accession à la propriété en région PACALogementAucun93Pitch Promotion, Groupe Arcade, Groupe Gambetta, AIC-AITCom'Publics
Club de l'économie collaborative« Économie collaborative, numérique, droit du travail »Frédéric Lefebvre, Luc Belot0Groupe Mobivia, Via ID, MutumCom'Publics
Club de l'emballage léger en aluminium et en acier[29]« Comment améliorer le recyclage des emballages métalliques »Gérard Miquel, Philippe Vilte ?Alfyma, Alltub, Ball Packaging, BCME France, Coca-Cola, France Aluminium Recyclage, Groupe Bel, Materne, Nespresso, Syndicat des fabricants de boites, Veolia propretéCom'Publics
Club de la médecine thermaleValorisation de la médecine thermaleAucun33Conseil national des établissements thermauxCom'Publics
Club de la Table française« Valorisation de la gastronomie française »Alain Suguenot, Gérard Miquel, Bruno Le Roux, Catherine Dumas304ANIA, APCA, Association des maîtres restaurateurs, Atout France, Bragard, Brasseurs de France, Campagnes TV, CIFOG, CNCT, CNPO, Comité francéclat, Confédération des arts de la table, Cordon bleu, Cuisiniers de la République, Danone eaux, Engie Ineo, Eurotoques, Fédération des fromagers de France, Fédération française des spiritueux, Ferrandi Paris, FNSEA, Fondation Alliance française, Gault & Millau, GNIS, Grey Goose, Groupe Casino, INAO, La Galerie des millésimes, Maîtres cuisiniers, Nespresso, Pernod Ricard, Rungis, Société des meilleurs ouvriers de France, Sopexa, St Germain, Synhorcat, Unijus[30]Com'Publics
Club des amis du cochon« Filière porcine »Aucun172InaporcCom'Publics
Club de l'économie circulaire« Réforme territoriale, prévention des déchets et filière recyclage »Chantal Jouanno, François-Michel Lambert0Paprec, Ecofolio, Nespresso, EcoMobilier, Saur, L'Oréal, Novamont, Valdelia, Innoveox, Coca-Cola, Tarkett, Agence belge entreprises et innovation, EcoEmballage, Séché Environnement, Suez Environnement, Plastic Omnium, Veolia Propreté.Boury, Tallon & Associés
Club des voitures écologiquesVéhicules écologiquesMichel Destot,

Philippe Goujon

78Alphabet, BMW, Engie Ineo, Comité français butane propane, Compagnie nationale du Rhône, CGPT, DBT, EDF, EFFIA, FEDA, Flexfuel Company, Fondation Prince Albert II de Monaco, GRDF, MAAF, McPhy, Michelin, Mini, Mobivia, Nissan, Toyota, Tesla.Com'Publics
Club du dernier kilomètre de livraisonLogistique urbaineValérie Lacroute,

Razzy Hammadi

26Astre City, Engie Cofely, Engie Ineo, AVERE, Fédération nationale des métiers du stationnement, Fondation Prince albert II de Monaco, Fraikin, France nature environnement, GRDF, Groupe Gruau, Univers 4v Helem, L'argus, Mc Phy, Michelin, Nespresso, Nissan, Parkeon, Pitch Promotion, Raisinor, Semmaris, Scania, SNCF Logistics, Star's service, Symbio F Cell, Voies navigables de France.Com'Publics
Club du deux-roues motoriséDeux-roues motorisésJérôme Lambert, Stéphane Travert, Philippe Vitel6CSIAMCom'Publics
Club France terre de tourismeDéveloppement du tourismeOlivier Cadic, Luc Carvounas, Daniel Fasquelle, Pascal Terrasse178Synhorcat, FNHPA, Fédération nationale des gîtes de France, Fédération nationale des offices de tourisme de France, Lucien Barrière, Pierre et Vacances, Société Central Hotel, La France du Nord au Sud, ANMSM, Atout France.Com'Publics
Club Mer & OcéanL'espace maritimePhilippe Folliot, Jérôme Bignon, Michel Delebarre, Gwendal Rouillard, Édouard Philippe95Armateurs de France, Association océanides, CESER, Cluster maritime français, FIAC, Fondation Albert II, Institut océanographiqueCom'Publics
Club Mieux vivre en ville - sécurité pour tousSécuritéFrançois Pupponi, Gérard Hamel, Xavier Lemoine, Francis Vercamer, Jacques Bangou36Spallian, Engie Ineo, Société centrale canine, Indigo, Club des jeunes cadres en sûreté, Dalkia, AgrepiCom'Publics
Automobile & MobilitéAvenir de l'automobileHugues Fourage,

Jean-Marie Tétart

010 entreprises, fédérations professionnelles et établissements publics.Anthenor Public Affairs
Club de la protection socialePolitiques publiques en matière de protection socialePascal Terrasse, Arnaud Robinet025 structures, compagnies d'assurance, mutuelle, prévoyance, caisses et syndicats professionnels.Anthenor Public Affairs
Nouvelle révolution industrielleInnovation industrielle, économie numériqueOlivier Faure, Laure de la Raudière04 entreprises, fédérations professionnelles et établissements publics.Anthenor Public Affairs
Club sportRéglementation et législation du sportPascal Deguilhem, Sophie Dion, Jean-Jacques Lozach020 entreprises, fédérations et ligues sportives, et établissements publics.Anthenor Public Affairs
Club Avenir de l'audiovisuel et des médiasRéglementation et législation de la filièreFranck Riester, Michel Francaix030 entreprises, fédérations, établissements publics, sociétés de droits d'auteur.Anthenor Public Affairs
Club pour l'investissement publicCommande publiqueAucun1Pas de partenaires déclarés.Com'Publics
Club PPPContrats de partenariat public-privéAucunAucunUne trentaine de partenaires privés.Com'Publics
Club Produire en FranceSimplification et commande publiqueAndré Chassaigne, Jean Grellier, Yves Jégo150Alstom, Arjowiggins, Le Slip français, Scania, Esprit de service, Mobivia.Com'Publics
Club Vive le foie grasFilière des palmipèdes grasAucun121CIFOGCom'Publics
Douze pour l'entrepriseFavoriser le dialogue entre le monde économique et les responsables politiquesPas de présidence de parlementaireAucune adhésionAssociation française de la gestion financière, Ardian, Association française des sociétés financières, Coop de France, Crédit Agricole, Engie, Eurazeo, Fédération bancaire française, Française des Jeux, Genoyer, L'Oréal, Morpho, MSD, Pfizer, PSA, TDF, Total.Boury, Tallon & Associés
Observatoire de l'œufFilière des poules pondeusesGerminal Peiro, Marc Le Fur, Angélique Delahaye19Comité national pour la promotion de l'œufCom'Publics
Parlement et communicationRéfléchir avec des dirigeants d'entreprises dans le domaine de l'informationPas de présidence de parlementaireAucune adhésionFrance Télévisions, Médiamétrie, MSD, NBC, Radio-France, TDF, VivendiBoury, Tallon & Associés
Science & débatRapprocher la communauté scientifique du citoyenAnne-Yvonne Le Dain, Patrick HetzelAucune adhésionCovestro, AstraZeneca, Morpho, Orange, Anses, Cap Digital, Centrale SupélecBoury, Tallon & Associés

Notes et références

  1. « Liste des groupes d'études - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
  2. Assemblée Nationale, « Fiche de synthèse : Les groupes d'étude - Rôle et pouvoirs de l'Assemblée nationale - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  3. « Clubs parlementaires: un lobbying gastronomique », Slate.fr, (lire en ligne, consulté le )
  4. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 11
  5. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 14
  6. « Le nouveau pouvoir des lobbys au Parlement », sur Les Echos, (consulté le )
  7. Vincent Nouzille et Hélène Constanty, Députés sous influences : Le vrai pouvoir des lobbies à l'Assemblée nationale, Fayard, , 504 p. (ISBN 978-2-213-64775-3, lire en ligne)
  8. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 10
  9. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 18
  10. Article 23 du règlement de l'Assemblée nationale
  11. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 16
  12. Frédéric Sallet et Yann Saint-Sernin, « Voyage au coeur des clubs parlementaires : entre opacité et lobbying », SudOuest.fr, (lire en ligne, consulté le )
  13. Yann Saint-Sernin, « Clubs parlementaires : "Ce serait pire si c’était interdit" », SudOuest.fr, (lire en ligne, consulté le )
  14. Luc Bronner, « Des plaques d'immatriculation au cochon, le travail d'un lobbyiste », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  15. François Vignal, « « Amis du cochon », « amateurs de Havane » : le Sénat se penche sur les clubs parlementaires », Public Senat, (lire en ligne, consulté le )
  16. François Vignal, « Lobby : la Haute autorité veut mettre de l’ordre dans les clubs parlementaires », Public Senat, (lire en ligne, consulté le )
  17. Guillaume Courty et Marc Milet, « Moraliser au nom de la transparence. Genèse et usages de l’encadrement institutionnel du lobbying en France (2004-2017) », Revue française d'administration publique, no 165, , p. 17-31 (DOI 10.3917/rfap.165.0017, lire en ligne )
  18. Eric Buge, « Quatre années d’activité de la haute autorité pour la transparence de la vie publique au service d’une démocratie plus exemplaire », Revue française d'administration publique, no 162, , p. 385-398 (DOI 10.3917/rfap.162.0385, lire en ligne )
  19. Jean Gicquel, Rapport du déontologue au bureau de l'Assemblée nationale, Paris, Assemblée nationale, , 33 p. (lire en ligne)
  20. Comité de déontologie parlementaire du Sénat, « AVIS N° CDP/2015-2 du comité de déontologie parlementaire du Sénat », sur le site du Sénat, (consulté le )
  21. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 21-23
  22. Louis Nadau, « «Amis du cochon», «amateurs de Havanes» : haro sur l'opacité des clubs parlementaires », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le )
  23. Jean-Paul Charié, Rapport d'information, Paris, Assemblée nationale, , 119 p. (lire en ligne), p. 62
  24. Brice Lacourieux, « Les clubs parlementaires », Les cuisines de l’assemblée - Lexpress, (lire en ligne, consulté le )
  25. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 56-57
  26. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 64-77
  27. Jean Gicquel 2011, p. 15
  28. Haute autorité pour la transparence de la vie publique 2016, p. 64
  29. Giulietta Gamberini, « Recyclage: quand les petits déchets en aluminium retrouvent une deuxième vie », La Tribune, (lire en ligne, consulté le )
  30. « Fiche Com'publics », sur www.hatvp.fr (consulté le )

Bibliographie

  • Jean Gicquel, Rapport du déontologue au bureau de l'Assemblée nationale, Paris, Assemblée nationale, , 33 p. (lire en ligne). 
  • Vincent Nouzille et Hélène Constanty, Députés sous influences : Le vrai pouvoir des lobbies à l'Assemblée nationale, Paris, Fayard, , 500 p. (ISBN 978-2-213-63008-3). 

Articles connexes

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