Franck Riester

Franck Riester, né le à Paris (15e arrondissement), est un homme politique français.

Pour les articles homonymes, voir Riester.

Franck Riester

Franck Riester en 2019.
Fonctions
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité
En fonction depuis le
(1 an, 2 mois et 13 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Jean Castex
Ministre Jean-Yves Le Drian
Gouvernement Castex
Prédécesseur Harlem Désir (indirectement, Commerce extérieur)
Ministre de la Culture
–
(1 an, 8 mois et 20 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Françoise Nyssen
Successeur Roselyne Bachelot
Président d'Agir
En fonction depuis le
(3 ans et 3 jours)
Prédécesseur Direction collégiale
Co-président du groupe UAI
à l'Assemblée nationale
–
(1 an, 4 mois et 20 jours)
Avec Stéphane Demilly
Jean-Christophe Lagarde
Prédécesseur Philippe Vigier (groupe UDI)
Successeur Jean-Christophe Lagarde
Député français
–
(11 ans, 4 mois et 27 jours)
Élection 17 juin 2007
Réélection 17 juin 2012
18 juin 2017
Circonscription 5e de Seine-et-Marne
Législature XIIIe, XIVe et XVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2007-2015)
LR (2015-2017)
LC (2017)
UAI (2017-2018)
Prédécesseur Guy Drut
Successeur Patricia Lemoine
Maire de Coulommiers
–
(9 ans, 3 mois et 25 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Guy Drut
Successeur Ginette Motot
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Paris (15e)
Nationalité Française
Parti politique RPR (jusqu'en 2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2017)
Agir (depuis 2017)
Diplômé de ISG
ESSEC
Résidence Palais-Royal (Paris)
Maires de Coulommiers
Ministres français chargé du Commerce extérieur

Il est initialement membre de l'Union pour un mouvement populaire puis des Républicains, dont il est exclu en 2017 en raison de son rapprochement avec la majorité d’Emmanuel Macron. Il devient alors l'un des membres fondateurs du parti Agir, dont il prend la présidence en 2018.

Entre 2007 et 2018, il est député de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne. En 2017, il participe a la création du groupe UDI, Agir et indépendants à l'Assemblée nationale, dont il prend la présidence. Il est par ailleurs maire de Coulommiers de 2008 à 2017 et président de la communauté de communes du Pays de Coulommiers de 2013 à 2017.

Il est nommé en 2018 ministre de la Culture dans le second gouvernement d'Édouard Philippe. Son parti rejoint à cette occasion la majorité présidentielle.

En 2020, après la nomination de Jean Castex au poste de Premier ministre, il est nommé ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité.

Biographie

Études

Franck Riester fait ses études dans deux écoles de commerce : après l’Institut supérieur de gestion, il obtient un master spécialisé de management urbain, délivré par l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC).

Carrière professionnelle

Il commence sa carrière professionnelle au sein d’un grand groupe d’audit, Arthur Andersen[1], où il a Éric Woerth comme supérieur[2] ; il se consacre ensuite au développement du garage automobile familial (Riester SA) fondé par son grand-père. Le groupe Riester, qui détient plusieurs concessions automobiles est dirigé aujourd’hui par Nicolas Bouyer, associé de Franck Riester. concessions automobiles Peugeot[2],[3].

Élu local

Jeune militant RPR en Seine-et-Marne, il est repéré par Guy Drut député-maire de Coulommiers[2]. En 1995, à 21 ans, Franck Riester est élu au conseil municipal de Coulommiers, sur la liste de Guy Drut[4], et devient quelques semaines plus tard, lorsque Guy Drut est nommé ministre de la Jeunesse et des Sports, conseiller municipal délégué à la jeunesse[2]. En 2001, il est élu adjoint au maire, chargé des finances[2], et devient vice-président de la communauté de communes de la Brie des Templiers.

Il monte sa propre liste pour les élections municipales de 2008 de Coulommiers, au nez et à la barbe de son mentor, Guy Drut [5]. Guy Drut dira « J'ai la certitude d'avoir été trahi »[6]. D'ailleurs pour les élections législatives de 2012 et la bataille pour le siège de la 5e circonscription, Guy Drut soutiendra Fabien Vallée (divers droite) et dira de Franck Riester : « je n'ai pas confiance en Franck Riester » [7].

À l'issue des élections municipales de 2008, la liste « Ensemble pour Coulommiers » qu’il conduit l'emporte avec 54,8 % des voix. Franck Riester est ainsi élu maire de Coulommiers par le nouveau conseil municipal le [8].

En application du schéma départemental de coopération intercommunale, la communauté de communes de la Brie des Templiers (qui regroupait plusieurs communes de la vallée du Grand Morin autour de Coulommiers) et la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières (qui regroupait des communes rurales de la vallée de l'Aubetin, au sud de Coulommiers) fusionnent le , donnant naissance à la communauté de communes du Pays de Coulommiers. Franck Riester en est élu président le suivant.

Le , face à une liste Front national et deux listes de gauche, Franck Riester l'emporte une nouvelle fois aux élections municipales à Coulommiers, avec 67 % des voix au premier tour[8], ce qui lui permet d'être réélu par le nouveau conseil municipal le [9],[10]. Il est reconduit dans ses fonctions de président de la communauté de communes du Pays de Coulommiers à l'unanimité (33 voix sur 33) le . Lorsque la communauté de communes fusionne avec celle de la Brie des moulins en , Franck Riester est élu président de la nouvelle intercommunalité avec 44 voix en sa faveur et une abstention[11].

Il laissera sa place en 2017 à Ginette Motot, privilégiant le mandat de député de la 5e circonscription[12]. Il laisse son siège à Patricia Lemoine[13] pour entrer au gouvernement en tant que ministre de la Culture.

Alors qu'il est ministre de la Culture, Franck Riester annonce qu'il est tête de liste à Coulommiers (Seine-et-Marne) pour les élections municipales de mars 2020, mais qu'il restera au gouvernement en cas de victoire et confiera le rôle de maire à Laurence Picard[14].

Député

À la suite de la décision de Guy Drut de ne pas se représenter aux élections législatives de 2007, l’UMP investit Marie-Claire Carrère-Gée, secrétaire générale adjointe de l'Élysée. Face à ce « parachutage », des élus locaux soutiennent la candidature de Franck Riester dans la cinquième circonscription de Seine-et-Marne[2],[15]. Marie-Claire Carrère-Gée choisit finalement de se retirer[15], laissant la place à Franck Riester. Le , il est élu député pour la XIIIe législature avec 58,95 % des suffrages face à la socialiste Marie Richard[4],[16], après avoir rassemblé 48,58 % des voix au premier tour[16]. Lors de la séance du mardi , durant laquelle se tient l'élection du président de l'Assemblée nationale, Franck Riester est l'un des six secrétaires de séance, étant l'un des benjamins du Parlement[4],[17]. Il est également le benjamin du groupe UMP pour cette législature[4].

Franck Riester est candidat à un second mandat de député lors des élections législatives de 2012 sous l'étiquette UMP (qui deviendra Les Républicains en 2015). Il arrive en tête du premier tour avec 37,2 % des suffrages[18], devant la maire socialiste de Mouroux[19] Élisabeth Escuyer (31,4 %) et le frontiste Robert Claus (18,2 %)[18]. Le , Franck Riester est réélu pour la XIVe législature avec 55,98 % des voix face à Élisabeth Escuyer[20]. Il est membre de la Commission des affaires culturelles et de l'éducation de l'Assemblée nationale.

Candidat à sa réélection lors des élections législatives de 2017, il l'emporte et adhère le au groupe Les Républicains constructifs, UDI et indépendants, dont il devient l'un des co-présidents[21].

Dès son premier mandat parlementaire, Franck Riester est nommé rapporteur du projet de loi Hadopi 1 et Hadopi 2[22]. De à , il est membre du collège de l'Hadopi [23]. Marcel Rogemont lui succède, nommé à son tour par le Président de l'Assemblée nationale [24].

Il se déclare favorable au mariage homosexuel lors d'un débat organisé en 2011 à l'Assemblée nationale[25],[26]. En , il dit publiquement que son homosexualité « n'est pas un secret »[27], bien que soulignant qu'il refuse de communiquer sur sa vie privée[27]. En , lors de la discussion concernant la loi pour le mariage pour tous discutée à l'Assemblée nationale, Franck Riester est l'un des deux députés UMP, avec Benoist Apparu, à déclarer publiquement qu'il soutient le projet de loi du gouvernement socialiste de Jean-Marc Ayrault, et à voter en faveur du Projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe. Il se prononce également en faveur de la procréation médicalement assistée (PMA)[28].

Sur les questions culturelles, il remet, le , au ministère de la Culture, un rapport sur la « création musicale et diversité à l’ère numérique ». Écrit notamment avec Alain Chamfort et Daniel Colling, ce rapport préconise la création d’un Centre national de la musique pour notamment rationaliser les dispositifs d’aide existants. Il évalue le supplément d’aides nécessaires à 95 millions d'euros qui pourrait être financé par un prélèvement sur la taxe sur les services de télévision (TST). Il prend notamment position en faveur d'un rassemblement des sociétés de l'audiovisuel public en un groupe unique, dès la rentrée 2015 [29]. Franck Riester est par ailleurs désigné membre de la Commission ad hoc de réflexion et de propositions sur le droit et les libertés à l'ère numérique installée par le Président de l'assemblée nationale entre et [30].

En , il est réélu député face à un candidat Front national[31].

Cadre de l'UMP puis de LR

Franck Riester est responsable des jeunes RPR de Seine-et-Marne pendant ses études. Il est nommé directeur de campagne par Guy Drut pour les élections législatives de 2002.

En 2009, il est le directeur national de la campagne des élections européennes pour la majorité présidentielle à l'UMP[32]. Il occupe la même fonction pour les élections régionales françaises de 2010.

En 2011, il est nommé secrétaire national de l'UMP chargé de la communication, puis intègre la cellule « riposte » de l'UMP en [33], qui est chargée de défendre le bilan de Nicolas Sarkozy avant son entrée officielle en campagne.

Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, il est porte-parole adjoint de Nicolas Sarkozy[34].

À l'occasion du congrès de l'UMP de , il apporte son soutien à Jean-François Copé pour l'élection à la présidence du parti et s'engage en faveur de la motion « France moderne et humaniste » (FMH), conduite par Jean-Pierre Raffarin, Luc Chatel et Jean Leonetti. Jusqu'alors porte-parole de FMH, il en devient en le secrétaire général[35].

En , dans le cadre de la direction « partagée » entre Jean-François Copé et François Fillon, il devient, comme onze autres personnalités, secrétaire général adjoint de l’UMP, en plus du tenant du poste, Marc-Philippe Daubresse[36].

Il soutient Bruno Le Maire pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016[37]. En , il est nommé avec cinq autres personnalités porte-parole de sa campagne de la primaire[38]. Au second tour, il apporte son soutien à Alain Juppé[39], qui est battu par François Fillon. Pendant la campagne présidentielle, l’affaire Fillon lui fait retirer son soutien au candidat de la droite[40].

Fondation d’Agir

En , à la suite de l'élection d'Emmanuel Macron à l’Élysée, Frank Riester se positionne comme un allié potentiel du nouveau président alors que son ami Bruno Le Maire rejoint le gouvernement Philippe. En , réélu député, il refuse de s’opposer de façon systématique au gouvernement et participe à la création du groupe UDI, Agir et indépendants au sein de l'Assemblée nationale. Le , Franck Riester est exclu du parti Les Républicains, envers lequel il se montrait de plus en plus critique[41]. En , il participe à la création du parti Agir, dont il prend la présidence l’année suivante[réf. nécessaire].

Ministre de la Culture

Dans le cadre du remaniement du , Franck Riester est nommé ministre de la Culture, remplaçant Françoise Nyssen. Le journaliste Laurent de Boissieu estime alors que « de par ses votes parlementaires – pour la déclaration de politique générale d’Édouard Philippe en juillet 2017 puis pour le budget 2018 –, Franck Riester avait déjà rallié la majorité »[42].

En , il annonce un projet de réforme de l'audiovisuel public visant à créer une société mère, baptisée « France Médias », regroupant France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI et France 24) et l’INA[43],[44]. Il annonce également le lancement d'une nouvelle autorité administrative indépendante, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM), qui serait le résultat d’une fusion entre le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) et de l'Hadopi[45]. Il prévoit également la mise en place d'une troisième coupure pub pour les films durant plus de 90 minutes.[46]

Alors ministre de la Culture, Franck Riester annonce qu'il est tête de liste à Coulommiers (Seine-et-Marne) pour les élections municipales de mars 2020, mais qu'il restera au gouvernement en cas de victoire et confiera le rôle de maire à Laurence Picard[14].

Le , il devient le premier membre du gouvernement français à être diagnostiqué positif au coronavirus de la Covid-19, au cours de la pandémie de 2019-2020[47].

Ministre chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité
, Franck Riester, ministre délégué chargé du Commerce extérieur, visite le Centre spatial de Cannes - Mandelieu[48]. De gauche à droite : Hervé Derrey, PDG de Thales Alenia Space ; Franck Riester ; Éric Imbert, vice-président de Thales Alenia Space, en charge de l’international ; Anne Frackowiak-Jacobs, sous-préfète de Grasse et David Lisnard, maire de Cannes

Le , après la nomination de Jean Castex au poste de Premier ministre, il est nommé ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et laisse son poste de ministre de la Culture à Roselyne Bachelot[49].

Vie personnelle

En 2011, il est l'un des premiers cadres à droite à rendre publique son homosexualité[3],[50],[51].

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

À l’Assemblée nationale

Au niveau local

Au sein de partis politiques

Décorations

Notes et références
  1. « Franck Riester », sur Gouvernement.fr (consulté le )
  2. « Franck Riester fait ses classes au Palais Bourbon », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  3. Luc Le Vaillant, « Sexus non politicus », sur liberation.fr, (consulté le ).
  4. Cyriel Martin, « Mes premiers jours à l'Assemblée nationale », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  5. Par Hugues Tailliez Le 28 février 2008 à 00h00, « Guy Drut démissionne », sur leparisien.fr, (consulté le )
  6. Par Propos recueillis par Hugues Tailliez Le 1 mars 2008 à 00h00, « J'ai la certitude d'avoir été trahi », sur leparisien.fr, (consulté le )
  7. Le 2 juin 2012 à 07h00, « L'ombre de Guy Drut plane », sur leparisien.fr, (consulté le )
  8. http://coulommiers.eelv.fr/IMG/pdf/Deliberations_du_15_mars_2008.pdf
  9. Le Parisien, « Ils vont déjà revêtir l'écharpe tricolore », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. https://www.coulommiers.fr/wp-content/uploads/2015/06/Proces-verbal-du-Conseil-municipal-du-29-mars-2014.pdf
  11. Thomas Baron, « [Pays de Coulommiers] Franck Riester réélu sans surprise », sur lepaysbriard.fr, (consulté le ).
  12. Par Laurie ColinetLe 11 juillet 2017 à 12h18, « Coulommiers : Ginette Motot succède à Franck Riester à la tête de la mairie », sur leparisien.fr, (consulté le )
  13. Alexandre Métivier, « Seine-et-Marne : Franck Riester ministre, Patricia Lemoine devient députée », Le Parisien, (consulté le )
  14. La Rédaction, « Franck Riester, tête de liste aux municipales à Coulommiers », sur Profession Spectacle,
  15. « La chiraquienne Marie-Claire Carrère-Gee se retire », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  16. « Résultats des élections législatives 2007 : SEINE ET MARNE (77) -- 5ème circonscription (résultats officiels) », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « Assemblée nationale - XIIIe législature - 1er jour de séance, Session ordinaire de 2006-2007, Séance du mardi 26 juin 2007 - Compte rendu intégral », sur assemblee-nationale.fr, (consulté le ).
  18. « 5ème circonscription, Franck Riester (UMP) en tête », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  19. Gaël Arcuset, « Franck Riester dans un fauteuil », sur lepaysbriard.fr, (consulté le ).
  20. « Résultats des élections législatives 2012 - ACCUEIL > SEINE ET MARNE (77) > 5ème circonscription », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  21. Tristan Quinault Maupoil, « Franck Riester nommé co-président du groupe des «constructifs» au côté d'un UDI », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  22. Damien Leloup, « Hadopi « respecte les droits de la défense », affirme Riester », sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le )
  23. JORF no 0299 du 26 décembre 2009 page 22372 texte no 129
  24. Décret du 4 février 2016 portant nomination à la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet JORF du 5 février 2016
  25. Mariage homo: le (bref) débat a eu lieu à l'Assemblée sur tetu.com du 9 juin 2011
  26. Mariage homosexuel: «J’espère que certains de mes collègues UMP voteront aussi ce texte» sur liberation.fr du 9 juin 2011
  27. « Le député UMP Franck Riester fait son coming out », sur leparisien.fr, (consulté le )
  28. Remaniement : Franck Riester, un expert de l'audiovisuel nommé à la Culture, franceinter.fr, 16 octobre 2018
  29. «Il faut créer une BBC à la française, plurimédias et indépendante du pouvoir», Le Figaro, Interview de F Riester, par Caroline Sallé et Enguérand Renault le 14 septembre 2015
  30. Commission de réflexion sur le droit et les libertés à l’âge du numérique, site de l'Assemblée nationale
  31. Ministère de l'Intérieur, « Élections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Franck Riester, benjamin aux dents longues », sur Le Monde.fr (consulté le )
  33. Sophie Huet, « Les députés UMP à la pointe du combat pour 2012 », sur Le Figaro, 31 novembre 2011 (consulté le )
  34. « Cinq choses à savoir sur Franck Riester, pressenti pour entrer au gouvernement », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  35. « Franck Riester, nouveau délégué général des Humanistes de l'UMP », in Le Figaro, encart « Culture », mercredi 9 octobre 2013, page 43.
  36. « Dati, NKM, Peltier ou Riester  : à l’UMP, chacun cherche encore sa place », sur Nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
  37. Ludovic Vigogne, « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.
  38. « Le Maire, l’équipe de «la campagne sans Bruno» », .
  39. « Franck Riester, le porte-parole de Le Maire, refuse de soutenir Fillon et choisit Juppé », lci.fr, 21 novembre 2016.
  40. Anthony Favalli, « François Fillon lâché par une partie de son camp », cnews.fr, 1er mars 2017.
  41. « Cinq membres pro-Macron, dont Edouard Philippe, exclus par Les Républicains », sur lci.fr, (consulté le )
  42. Laurent de Boissieu, « Franck Riester, la poursuite de l’ouverture au centre droit », sur la-croix.com, (consulté le ).
  43. « Franck Riester: «France Médias rassemblera les entités de l’audiovisuel public» », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  44. « « France Médias » : l'audiovisuel public bientôt regroupé », Le Point,‎ (lire en ligne)
  45. « Le CSA et l'hadopi regorupés au sien de l'ARCOM », La Lettre Pro,‎ (lire en ligne)
  46. Assemblée Nationale, « Projet de loi nº 2488 relatif à la communication audiovisuelle et à la souveraineté culturelle à l'ère numérique », sur Assemblée nationale (consulté le )
  47. Enguérand Renault, « Franck Riester atteint par le coronavirus, l'examen de loi audiovisuelle maintenu », sur Le Figaro,
  48. Voir communiqué de presse dans CASPWiki
  49. « JORF n°0166 du 7 juillet 2020 - Version initiale - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  50. Coming-out du député Franck Riester, 6 décembre 2011
  51. Un mouvement gay pro-Fillon va être lancé, lefigaro.fr, 16 mars 2017
  52. « Déclaration d’intérêts et d’activités de M. Franck Riester », sur Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes
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