Bourvil

André Raimbourg, dit Bourvil, est un acteur, chanteur et humoriste français, né le à Prétot-Vicquemare (Seine-Inférieure)[1] et mort le à Paris 16e.

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Bourvil
Bourvil à l'aéroport d'Amsterdam le 20 mars 1967, lors de la promotion de La Grande Vadrouille aux Pays-Bas.
Nom de naissance André Robert Raimbourg
Surnom André Bourvil
Naissance
Prétot-Vicquemare (France)
Nationalité Française
Décès (à 53 ans)
Paris 16e (France)
Profession Acteur
Chanteur
Humoriste
Films notables La Traversée de Paris
La Cuisine au beurre
Le Corniaud
La Grande Vadrouille
Le Cerveau
Le Cercle rouge

Fils d'agriculteurs normands, il admire Fernandel et tente de devenir artiste lui aussi. Au départ musicien et chanteur de music-hall et d'opérette, il connaît le succès à la Libération avec la chanson Les Crayons et en se créant un rôle caricatural de paysan normand naïf et benêt, puis avec d'autres chansons, sur deux décennies, comme À bicyclette, Salade de fruits, Un clair de lune à Maubeuge et La Tendresse. Il est également tête d'affiche de spectacles populaires, dont La Route fleurie, Pacifico, La Bonne Planque et Ouah ! Ouah !.

En parallèle, il se tourne rapidement vers le cinéma, où il transpose son « comique-paysan », dans des comédies comme Pas si bête (1946), Le Roi Pandore, Le Rosier de madame Husson et Miquette et sa mère (1950), Le Trou normand (1952), Les Trois Mousquetaires (1953) ou encore Les Hussards (1955). Son personnage évolue peu à peu, puis sa carrière prend un tournant grâce à son rôle dramatique d'un chômeur faisant du marché noir sous l'Occupation dans La Traversée de Paris (1956), ce qui lui vaut le prix d'interprétation de la Mostra de Venise.

Dès lors, il accède à un statut de vedette populaire au répertoire large, alternant les drames et les comédies jusqu'à sa mort en 1970, un grand nombre de ses films s'établissant comme les succès de l'époque ou devenant des classiques du cinéma français, tels que Les Misérables et Le Miroir à deux faces (1958), Le Bossu (1959), Le Capitan et Fortunat (1960), Un drôle de paroissien, Le Magot de Josefa et La Cuisine au beurre (1963), La Cité de l'indicible peur (1964), Le Corniaud, La Grosse Caisse et Les Grandes Gueules (1965), La Grande Vadrouille (1966), La Grande Lessive (!) (1968), Le Cerveau et L'Arbre de Noël (1969), et enfin Le Mur de l'Atlantique et Le Cercle rouge (1970).

Il est le père de l'homme politique Dominique Raimbourg et de l'économiste Philippe Raimbourg.

Biographie

Jeunesse et début de carrière

André Robert Raimbourg[1], alias Bourvil, est le deuxième garçon d'Albert René Raimbourg (1889-1918), décédé de la grippe espagnole durant la Première Guerre mondiale, et d'Eugénie Pascaline Hortense Marie Pesquet (1891-1970), agriculteurs. Il passe son enfance avec sa mère et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Joseph Ménard, à Bourville, village natal de sa mère où elle est revenue en 1921. Il a ainsi un frère aîné, René Raimbourg (ophtalmologue au Havre), une sœur cadette Denise (1919-2006), une demi-sœur Thérèse et un demi-frère, Marcel Ménard, futur maire de la commune de Bourville[2].

Bon élève, il obtient son certificat d'études avec la mention très bien. On le destine à devenir agriculteur, mais il entame des études d'instituteur à l'école primaire supérieure pour garçons de Doudeville. Rebuté par les règles strictes du pensionnat, il retourne deux ans après à la ferme familiale[3]. Il est également un enfant de chœur espiègle et anime régulièrement des fêtes familiales, banquets et kermesses. Il y reprend les chansons de Fernandel en faisant le pitre, ce qui lui vaut rapidement le surnom de « Fernandel normand »[4]. De temps en temps, la famille attelle le cheval de la ferme et se rend au marché de Fontaine-le-Dun, chef-lieu de canton. C'est en 1936, dans cette commune qu'il intègre la fanfare (dans laquelle il joue de l'harmonica, de l'accordéon et du cornet à pistons) et qu'il rencontre un soir à un bal de fête, Jeanne Lefrique (1918-1985) dont le père est contremaître à la sucrerie du bourg[5].

Mitron à 17 ans dans une boulangerie à Saint-Laurent-en-Caux, il devient boulanger à Rouen en 1936. En 1937, lorsqu'il assiste au spectacle de son idole Fernandel au cirque de Rouen, il décide de devenir à son tour artiste[6].

Afin de pouvoir choisir son arme, et ainsi rejoindre la musique militaire, il décide de devancer l'appel et s'engage dans l'armée pour deux ans de service militaire. Il est affecté le 20 février 1937 dans le 24e régiment d'infanterie à Paris. Cornettiste dans la fanfare du régiment, il fait rire ses camarades de chambrée qui lui lancent un défi en 1938 : s'inscrire au radio-crochet Les Fiancés de Byrrh à Radio-Paris. Sous le pseudonyme d’Andrel (en référence à son modèle Fernandel), il interprète la chanson Ignace et gagne le prix Byrrh, trois cents francs aussitôt employés à acheter un accordéon[7].

Démobilisé après la bataille de France, il exerce de nombreux petits métiers (plombier, garçon de courses pour une entreprise fiduciaire) dans la capitale, mais poursuit sa carrière musicale : radio-crochets, cabarets, music-halls. Les imitations de Fernandel ne faisant plus recette, il se crée le personnage du « comique paysan » naïf en rabattant sa frange sur le front et en s'affublant d'un pantalon noir et d'une veste étriquée : Andrel devient Bourvil en 1942[8]. Son cousin germain, Lucien Raimbourg, étant déjà dans le métier, il choisit ce nom de scène afin d'éviter toute confusion, en référence au village de son enfance. Il sera parfois nommé « André Bourvil » (il existe d'ailleurs un « Théâtre André-Bourvil » à Paris 11e). C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge.

Bourvil avec ses fils Philippe et Dominique Raimbourg, en 1959.

Il épouse le Jeanne Lefrique, avec qui il aura deux fils :

Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse à Vincennes, dans un minuscule appartement du 25 rue des Laitières, au septième étage sous les toits, où il restera jusqu’en 1947[11]. Il enchaîne ses numéros de « comique -paysan » (dérivé du comique troupier) à l'accent traînant avec un nouveau répertoire musical, mettant des textes sur la musique de son ami accordéoniste Étienne Lori,n rencontré en 1939. C'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débute vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fait sa première apparition au cinéma, en 1945, dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville[12].

Un acteur reconnu

Bourvil sur le tournage du film Les Grandes Gueules, en 1965.

Les premiers films le cantonnent dans son personnage de benêt, mais il se rend progressivement compte qu'il doit se renouveler. Sa popularité commence en effet à baisser et il connaît son premier revers cuisant le 9 décembre 1951 : invité à se produire en vedette devant son public dans un gala au cirque de Rouen, il est sifflé par les Normands vexés de l'image de paysan nigaud qu'il donne d'eux[13]. Il abandonne alors les tours de chant et se lance dans l'opérette notamment avec sa grande complice Pierrette Bruno dont il doit se séparer en 1962 lorsque la presse évoque leur liaison[14],[15]. Malgré les réticences initiales de Marcel Aymé et du producteur, il est engagé par Claude Autant-Lara en 1956 dans le film La Traversée de Paris où il montre toute la palette de son jeu d'acteur[16]. Il tournera à nouveau sous la direction de Claude Autant-Lara dans Le Magot de Josefa, sorti en 1963.

Dans la cinquantaine de films qu'il a tournés, le comique de Bourvil repose principalement sur des rôles de gentil, parfois un peu bête ou naïf, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès[17].

C'est en 1963 qu'il rencontre Jean-Pierre Mocky qui lui propose de tenir le rôle d'un pilleur de tronc dans Un drôle de paroissien, rôle qu'avait refusé Fernandel. Contre toute attente ce film est un énorme succès populaire. Bourvil tournera trois autres films avec Mocky. Quand Bourvil citera ses six films préférés ce sera Le Cercle rouge, La Traversée de Paris et les quatre qu'il tourna avec Mocky[18].

Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire de L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film, comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, qui semble être un homme simple. Dans Le Miroir à deux faces, son jeu est méconnaissable : face à Michèle Morgan il incarne un homme qui manipule une femme laide pour pouvoir l'épouser, puis, lorsque celle-ci devient belle grâce à une opération, il devient ignoble avec elle, jusqu'à la harceler et lui retirer ses enfants. On peut enfin citer son rôle de l'odieux Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge. Ce grand comique arrive même à verser des larmes dans Fortunat à l'annonce de la mort d'une institutrice qu'il considérait comme sa mère[19].

Bourvil était un homme très cultivé. Dans les années cinquante, aimant le calme de la campagne, il choisit le petit village de Montainville, car bien relié à Paris par l'autoroute de l'Ouest. Son ami Georges Brassens, qui habitait non loin de là, à Crespières (Yvelines) au Moulin de La Bonde, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon XVIIe siècle, et qu'il lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique de la chanson française[20].
Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre[21].

Jean-Pierre Mocky (ici en 1995 à Villandraut) a tourné quatre films avec Bourvil (Un drôle de paroissien, La Cité de l'indicible peur, La Grande Lessive (!) et L'Étalon). Mocky a donné à Bourvil des rôles à contre-emploi.

Il reste aujourd'hui une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée Le Plus Grand Français de tous les temps, classement dans lequel il arrivait en 7e position, gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais, un peu l'espagnol et assurait le doublage de ses films en anglais.

Derniers films et décès

Tombe de Bourvil à Montainville (Yvelines).

Lors du tournage (de mai à septembre 1967) des Cracks, Bourvil chute lourdement de son vélo. Hospitalisé, il en profite pour subir l'ablation d'un simple kyste à l'oreille qui le gêne depuis deux ans. Le chirurgien fait alors un prélèvement et diagnostique une maladie de Kahler[22]. Lorsque son médecin l'en informe, Bourvil décide de ne pas en parler aux gens de sa profession, mais les rumeurs de son cancer courent et les assureurs s'inquiètent[23],[note 1]. Ses jours sont comptés alors qu'il est au faîte de la gloire. Pour tenter de prouver sa bonne santé, il accepte de jouer le rôle principal dans L'Étalon, film tourné en seize jours avec des contrats journaliers, car les compagnies d'assurance ne le couvrent que dix-sept jours (le réalisateur Jean-Pierre Mocky lui avait fait raser le crâne pour dissimuler son alopécie, effet secondaire de la chimiothérapie)[24].

De janvier à avril 1970, il tourne Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville, avec Alain Delon, Gian-Maria Volontè et Yves Montand, où il est crédité pour la première fois avec le nom d'« André Bourvil »[25]. Voulant cacher la gravité de son état, il déclare en avril à la presse être « un homme heureux, en bonne santé et lucide » et annonce son grand retour au music-hall, qu'il avait abandonné depuis dix-huit ans, avec Les Compagnons de la chanson : « Nous préparons, sur une formule très nouvelle, un spectacle enlevé, qui durera deux heures et demie. Je chanterai, soit tout seul, soit en chœur avec eux, mes premiers succès, Les Crayons et Les Cartes postales, soit des chansons nouvelles[26] ».

Son dernier grand tournage, Le Mur de l'Atlantique, qui commence le 5 juin 1970, est éprouvant, l'acteur souffrant énormément, bien que le réalisateur Marcel Camus fasse tout pour le ménager, notamment en le faisant jouer le plus souvent assis[27]. Il fait également en juillet une courte apparition dans Clodo, par amitié pour le réalisateur Georges Clair, le film étant tourné en une journée ; sa voix est tellement altérée par la chimiothérapie qu'il a dû être doublé[28],[29].

Après une longue agonie, Bourvil meurt à l'âge de 53 ans le , au milieu des siens, dans son appartement parisien du boulevard Suchet (16e arrondissement)[30]. Le Cercle rouge et Le Mur de l'Atlantique sortent seulement quelques semaines après sa mort, et sont des triomphes. Bourvil repose à Montainville (Yvelines), village où il avait sa maison de campagne. Jeanne Lefrique, son épouse, née en 1918, meurt le 26 janvier 1985 dans un accident de voiture, alors qu’elle se rend de Paris à Montainville sur la tombe de son époux.

La mort de Bourvil met fin à plusieurs projets cinématographiques auxquels il devait initialement participer : L'Albatros de Jean-Pierre Mocky, un film sur La Guerre des Gaules, les tribulations de deux Français aux Etats-Unis, avec Louis de Funès, et les aventures d'un tonique curé de campagne du Pays de Caux imaginées par l'abbé Alexandre. Au théâtre, il aurait dû retrouver de Funès dans Le Contrat, pièce écrite par Francis Veber et mise en scène par Jean Le Poulain. Seuls L'Albatros, La Folie des grandeurs (tirée de Ruy Blas avec Yves Montand comme suppléant) et L'Emmerdeur (issu du Contrat, avec Jacques Brel comme premier François Pignon) sont ensuite réalisés.

Le souvenir d'André Bourvil est perpétué par une rue de la commune du Havre.

Rôles et œuvres

Bourvil a reçu le prix du meilleur acteur du festival de Venise (la Coupe Volpi) pour son rôle dans le film La Traversée de Paris (d’après l’œuvre de Marcel Aymé).

Comédien complet, il a choisi à maintes reprises des rôles traitant de sujets de société, notamment en coproduisant des films avec Jean-Pierre Mocky (La Cité de l'indicible peur, La Grande Lessive (!), etc.).

Filmographie sélective

Avec Fernandel, Louis de Funès et Jean Gabin, Bourvil fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles de cinéma entre 1945 et 1970 : environ 205 millions.

Ses films ayant eu la plus grosse audience sont :

Le dernier film dans lequel Bourvil fait une brève apparition est Clodo de Georges Clair, tourné en 1970 mais qui ne sortira qu'en 1975.

Théâtre, opérettes, opéra, radios, tournées

Discographie

Un hommage lui a été rendu par Tom Novembre en 2006 par l'interprétation de quatorze chansons dans son CD André.

Sketchs et monologues

  • L'Histoire du jockey (également intitulé Défense d'en rire)
  • L'ingénieur
  • L'inventeur
  • L'unique mousquetaire
  • La Causerie anti-alcoolique, sketch écrit par Roger Pierre (enregistrement audio, transcription)
  • Le ministre de l'Agriculture
  • La plume
  • Le vélo
  • Les castagnettes
  • Mon chien
  • Une redingote
  • Le conservatoire
  • Quand il pleut
  • Père nourricier
  • Les terrassiers
  • Le charcutier
  • La laide
  • Frédo le porteur
  • Vive la mariée

Musique

Harmonica, mandoline, accordéon, guitare, cornet à pistons, trompette, bugle…:

Distinctions

Récompenses

Décoration

Anecdotes

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Autobiographie (autre projet)

  • C'est l'Piston : une soixantaine de feuillets manuscrits, inachevés… et perdus.

Notes et références

Notes

  1. Selon une autre source, c'est lors d'une représentation à Lyon de Ouah ! Ouah ! que Bourvil est gêné par son kyste à l'oreille et que les médecins, après l'analyse du kyste, lui annoncent qu'il est atteint d'un cancer. Sa lourde chute de vélo sur le tournage des Cracks ne serait alors qu'à l'origine d'« un hématome et des douleurs permanentes dans le bas du dos », qui se sont ajoutées à sa maladie de Kahler. (Franck et Jérôme Gavard-Perret, « André Bourvil et Louis de Funès ou le parcours singulier d'un duo exceptionnel », sur Autour de Louis de Funès).
  2. « J’ai eu le prix à Venise, bon, j’en suis pas mal fier, mais je ne confonds pas vitesse et précipitation, Bourvil et Sarah Bernhardt. Le rire dans la qualité, c’est ce que je voudrais pouvoir faire. L’imbécile heureux, voilà mon emploi. Que je m’évade, de temps en temps, je ne dis pas non, mais ce sera toujours pour y revenir. » Bourvil ; Source : Maurice Bessy, André Bourvil, Denoël, 1972

Références

  1. Acte de naissance d'André Raimbourg, dans le registre d'état civil de Prétot-Vicquemare de 1917, page 5, acte no 8 du 28 juillet 1917, archives départementales de la Seine-Maritime.
  2. Marc Lemonier, Guide des lieux cultes du cinéma en France, Horay, , p. 127.
  3. Philippe Crocq et Jean Mareska, Bourvil. De rire et de tendresse, Éditions Privat, , p. 16-17
  4. Catherine Claude, Un certain Bourvil, Messidor, , p. 29.
  5. Christian Plume et Xavier Pasquini, Bourvil, Bréa Editions, , p. 9-13.
  6. Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 14
  7. Philippe Crocq, Jean Mareska, op. cit., p. 21
  8. Philippe Crocq, Jean Mareska, op. cit., p. 28
  9. Xavier Collombier, « Dominique Raimbourg nous parle de son père André dit Bourvil », France 3, Pays de la Loire, (lire en ligne)
  10. « Bourvil fils entre à l'Assemblée nationale », Libération, (lire en ligne)
  11. Philippe Crocq, Jean Mareska, op. cit., p. 46
  12. Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 32
  13. Sandro Cassati, André Bourvil. Une histoire vraie, City Edition, , p. 67
  14. Laurent Delahousse, « André Bourvil, la rage de vaincre », documentaire Un jour, un destin, 23 octobre 2013, 41 min 30 s.
  15. Sandro Cassat, op. cit., p. 144
  16. Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 54
  17. Stéphane Bonnotte, Louis de Funès : jusqu'au bout du rire, Michel Lafon, , p. 111
  18. Gilles Boussaingault, « Jean-Pierre Mocky : « Bourvil n'était pas un vrai gentil » », sur lefigaro.fr, .
  19. Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 60-63
  20. Pierre Berruer, Georges Brassens, la marguerite et le chrysanthème, France Loisirs, , p. 107
  21. Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 38
  22. la maladie de Kahler est un cancer de la moelle osseuse (cancer du sang)
  23. Christian Plume et Xavier Pasquini, Bourvil, Bréa Editions, , p. 69
  24. Christian Plume, Xavier Pasquini, op. cit., p. 70
  25. Bourvil aurait eu 100 ans aujourd'hui Le Point, publié le 27/07/2017
  26. Nicole Jolivet, « Bourvil prépare un spectacle avec les Compagnons de la Chanson pour le mois de novembre », Paris-Presse L'Intransigeant, , p. 19.
  27. Rémy Le Poitevin, « Dans La Folie des Grandeurs, Yves Montand remplaça Bourvil », périodique inconnu, (lire en ligne)
  28. « Nanarland - Clodo et les vicieuses - la chronique de Nanarland », sur Nanarland.com
  29. « Il est le dernier à avoir fait tourner Bourvil », sur La Meuse, (consulté le ).
  30. Philippe Crocq et Jean Mareska, Bourvil. De rire et de tendresse, Éditions Privat, , p. 12
  31. La même année, il a refusé – toujours par modestie – de recevoir la Légion d'honneur, Charles de Gaulle s'étant proposé pour éventuellement la lui remettre en personne.

Voir aussi

Bibliographie

  • 1949 : Le Miroir des vedettes, no 2, article Bourvil, comique paysan, Jean Polbernar, dans le supplément illustré de Radio-Revue
  • 1951 : Le Film vécu, no 32, mars, spécial Bourvil, éd. Cinémonde
  • sd : Les Grandes stars du grand écran, no 1, spécial Bourvil, Bourvil: le génie du comique, éd. du page
  • 1969 : Notre ami Bourvil, Catherine Claude, éd. Éditeurs français réunis
  • 1972 : André Bourvil, Maurice Bessy, éd. Denoël
  • 1975 : Bourvil, du rire aux larmes, Pierre Berruer, éd. Presses de la cité
  • 1981 : Bourvil, Jacques Lorcey, éd. P.A.C.
  • 1983 : Bourvil, Christian Plume et Xavier Pasquini, éd. Bréa
  • 1990 : Un certain Bourvil, Catherine Claude, éd. Messidor
  • 1990 : Bourvil, Jean-Jacques Jelot-Blanc et James Huet, éd. Stock
  • 1990 : Bourvil, ou la tendresse du rire, Philippe Huet et Élizabeth Coquart, éd. Albin Michel
  • 2000 : Bourvil… c'était bien, Gérard Lenne, éd. Albin Michel
  • 2003 : Chansons de Bourvil en bandes dessinées (coll.), éd. Petit à Petit
  • 2006 : Répliques de Bourvil, Jean-Jacques Jelot-Blanc, éd. du Rocher
  • 2006 : Bourvil. De rire et de tendresse, Philippe Crocq et Jean Mareska, éd. Privat
  • 2008 : Dictionnaire des comédiens français disparus, Yvan Foucart, Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, 1185 p. (ISBN 978-2-9531-1390-7)
  • 2010 : Bourvil : ça va, ils sont contents, Pascal et Annie Delmotte, Gilles Verlant, préface de Dany Boon, Flammarion, 2010, 208 p.
  • 2015 : André Bourvil inoubliable, de Solène Haddad, éditions City, 238 p

Documentaires

  • 1982 : Bourvil, un éclat de rire, documentaire TV de Catherine Dupuis, scénario Catherine Chanteloup et Jocelyne Triquet
  • 1996 : Bourvil documentaire TV de Jacques Pessis (25 min)
  • 2000 : Sur les traces de Bourvil de Pierre Dupont - évocations avec les Frères Taloche - RTBF/ARTE/TSR, 30 min (TV et DVD)
  • 2005 : Les 100 plus grands français de tous les temps, portrait sur France 2 par François Morel et Antoine de Caunes (TV)
  • 2006 : Bourvil, l'homme qui s'était fait artiste. Portrait d'une star pas comme les autres de Armand Isnard, Cat Productions, 58 min (TV)
  • 2007 : L'air du temps - Bourvil de Jacques Pessis, documentaire TV (52 min)
  • 2010 : On a tous quelque chose de Bourvil de Pascal Drapier, documentaire TV (1 h 35)
  • 2013: Un jour, un destin - La rage de vaincre de Serge Khalfon, documentaire TV présenté par Laurent Delahousse (1 h 30)
  • 2016 : Bourvil, un Homme vrai - de Frédéric Zamochnikoff, document TV Ciné+ - Flair Production (51 min)
  • 2017 : Sur la route de La Grande Vadrouille, film documentaire réalisé par Jean-Pierre Devillers, coécrit avec Vincent Chapeau et Stéphane Conchon, diffusé sur France 2 (51 min)

Liens externes

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