Seine-Maritime
La Seine-Maritime, dénommée jusqu'en 1955 Seine-Inférieure, est un département français de la Normandie[2],[3],[4], dont il héberge plus du tiers de la population. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 76.
Seine-Maritime | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Rouen |
Sous-préfectures | Dieppe Le Havre |
Président du conseil départemental |
Bertrand Bellanger |
Préfet | Pierre-André Durand (d)[1] |
Code Insee | 76 |
Code ISO 3166-2 | FR-76 |
Démographie | |
Gentilé | Seinomarin |
Population | 1 255 883 hab. (2018) |
Densité | 200 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 6 278 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 3 |
Circonscriptions législatives | 10 |
Cantons | 35 |
Intercommunalités | 18 |
Communes | 708 |
Liens | |
Site web | seinemaritime.fr |
Sa préfecture est Rouen.
Gentilé
Depuis le , à la suite d'une consultation[5],[6] réalisée en par courrier et par Internet, les habitants de Seine-Maritime sont appelés les Seinomarins et Seinomarines[7].
Histoire
Le département de la Seine-Inférieure est créé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d'une partie de la province de Normandie.
Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (), le département est occupé par les troupes britanniques de à novembre 1818 (voir Occupation de la France à la fin du Premier Empire).
Après le coup d'État du 2 décembre 1851 de Napoléon III, la Seine-Inférieure fait partie des départements placés en état de siège afin de parer à tout soulèvement massif[8].
Elle prend le nom de « Seine-Maritime » le [9].
Pendant Mai 68, le département est celui des premières usines en grève. Chez Renault-Cléon, jeudi à 5 heures, l'équipe du matin trouve portes fermées, la grève ayant été déclenchée le mercredi à 15 heures[10]. Plusieurs centaines de salariés de l'équipe de nuit restent enfermés dans les bâtiments administratifs et le directeur de l'usine refuse de quitter l'entreprise.
Proposition de blason
Blasonnement : |
Géographie
La Seine-Maritime, baignée par la Manche de l'estuaire de la Seine jusqu'à l'embouchure de la Bresle, fait partie de la région Normandie. Elle est limitrophe des départements de la Somme, de l'Oise, du Calvados et de l'Eure.
Le plateau crayeux du pays de Caux occupe la majeure partie du département, qui comprend aussi, à l'est, le Petit Caux et le pays de Bray, ainsi qu'au sud, la vallée de la Seine.
Les principales villes du département sont : Rouen, Le Havre, Dieppe, Fécamp, Elbeuf, Barentin, Yvetot et Lillebonne.
- Falaises du Tréport, au nord.
- Neufchâtel-en-Bray à l'est.
- Vallée de la Seine, entre Le Havre et Tancarville à l'ouest.
Climat
Le climat de la Seine-Maritime est océanique. Il existe des différences de températures entre le littoral et l'intérieur du département. En hiver, les températures enregistrées sur la côte sont plus douces que celles relevées plus à l'est. L'effet inverse est notable en été. Les terres du pays de Bray, situées plus en altitude, connaissent quelques épisodes neigeux en hiver. Les vents dominants viennent du sud-ouest ou de l'ouest. Ils peuvent souffler en tempête en automne et en hiver.
Interventions publiques
En 2017, le Département dispose d'un budget de 1,8 milliard d'euros[12].
Les investissements : chiffres clés
La solidarité : 817,7 M €[13]
Les engagements de solidarité restent le premier budget de la collectivité avec 817,7 M€.
- Revenu de Solidarité Active : 261,4 M€
- Allocation Personnalisé d'Autonomie et personnes âgées : 209,6 M€
- Enfance et Famille : 184,9 M€
- Personnes en situation de handicap : 151,7 M€
- Protection Maternelle et Infantile, Santé Publique : 3,6 M€
- Coopération décentralisée : 0,41 M€
- Lutte contre les discriminations et le racisme : 0,35 M€
Le Développement du territoire : 88,1 M€
L'Égalité des droits (Éducation, Culture et Sport) : 136,3 M€
La Mobilité, la sécurité et la protection de l’environnement : 162,7 M€
Et les frais de structure : 243,8 M€[13].
L'encours de la dette du Département de la Seine-Maritime est de 989 millions d'euros au . Il a décru de plus de 247 M€ entre le et le .
Développement économique
Emplois, revenus et niveau de vie
Quelques statistiques :
Agriculture
- Agriculture : céréales, lin (pays de Caux), betteraves, colza ;
- Sylviculture ;
- Pêche : Dieppe, Le Havre, Fécamp, Le Tréport ;
- Élevage : pays de Bray (élevage laitier), pays de Caux (viande, lait).
Industrie
Les zones industrielles, dans la vallée de la Seine, se répartissent sur trois pôles principaux : l'estuaire (zone industrialo-portuaire du Havre), la zone Lillebonne/Notre-Dame-de-Gravenchon en amont du pont de Tancarville et Rouen.
Les activités industrielles sont diverses : la pétrochimie (raffineries Total, ExxonMobil, Shell), les industries de pointe, en particulier les usines automobile Renault (Sandouville, Cléon, Dieppe) et deux centrales nucléaires à Penly (2 × 1 300 MW) au nord de Dieppe et à Paluel (4 × 1 300 MW) à l'est de Fécamp.
Les activités portuaires sont réparties sur différents sites : port du Havre (premier port à conteneurs de France), grand port maritime de Rouen, port pétrolier d'Antifer et ports secondaires (Dieppe, Fécamp et Le Tréport).
Tourisme
Le tourisme est diversifié entre Rouen, la vallée de la Seine, les stations balnéaires du littoral (Étretat, Fécamp, Dieppe, Le Tréport). On peut également évoquer les ports, parmi lesquels, notamment, Saint-Valery-en-Caux pour la plaisance. La Seine-Maritime dispose de huit passages d'eau entre Rouen et l'embouchure de la Seine, permettant la traversée de celle-ci par des bacs amphidromes, en complément des ponts.
Le département compte un village parmi Les Plus Beaux Villages de France : Veules-les-Roses[16].
Routes touristiques
Plusieurs routes touristiques dans le département permettent de découvrir le patrimoine selon un thème :
- la route des abbayes, qui va de l'abbaye de Graville, au Havre, à celle de Saint-Ouen, à Rouen, en passant par Montivilliers, l'abbaye de Gruchet-le-Valasse, l'abbaye de Saint-Wandrille, l'abbaye de Jumièges et celle de Saint-Martin-de-Boscherville ;
- la route de l'ivoire (Dieppe, Yvetot) ;
- la route du verre (pays de Bray) ;
- la route des colombiers (pays de Caux) ;
- la route des fruits (vallée de la Seine), l'été.
Parcs et réserves naturelles
Les principaux sites sont le parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, la côte d'Albâtre avec ses plages de galets et ses falaises, le jardin botanique du Bois des Moutiers, parc de 12 hectares à Varengeville-sur-Mer, et le parc zoologique de Clères.
Châteaux
Les principaux châteaux sont le château d'Arques-la-Bataille (vestiges), le château d'Ételan (Renaissance flamboyante) à Saint-Maurice-d'Ételan, le château de Filières (XVIe au XVIIIe siècle) à Gommerville, le château de Miromesnil près de Dieppe, lieu de naissance de Guy de Maupassant, le château de Cany-Barville et le château de Galleville à Doudeville. Le château d’Eu est l’ancien résidence d’été du roi Louis-Philippe.
- Clocher de l'abbaye de Graville.
- Colombages rouennais.
Les résidences secondaires
Selon le recensement général de la population du , 3,8% des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires en 2017[17].
Ce tableau indique les principales communes de la Seine-Maritime dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.
Commune | Population SDC | Nombre de logements | Rés. secondaires | % Rés. secondaires |
---|---|---|---|---|
Veulettes-sur-Mer | 321 | 497 | 341 | 68,58 % |
Quiberville | 522 | 594 | 343 | 57,81 % |
Veules-les-Roses | 572 | 807 | 445 | 55,18 % |
Saint-Martin-aux-Buneaux | 664 | 620 | 332 | 53,60 % |
Criel-sur-Mer | 2 724 | 2 134 | 873 | 40,90 % |
Étretat | 1 505 | 1 387 | 548 | 39,51 % |
Yport | 976 | 753 | 279 | 37,00 % |
Sassetot-le-Mauconduit | 947 | 681 | 239 | 35,18 % |
Saint-Pierre-en-Port | 842 | 612 | 209 | 34,09 % |
Varengeville-sur-Mer | 1 040 | 760 | 258 | 33,95 % |
Le Tréport | 5 576 | 4 153 | 1 339 | 32,25 % |
Saint-Valery-en-Caux | 4 470 | 2 868 | 604 | 21,06 % |
Sources :
- Source Insee,chiffres au 01/01/2008.
Démographie
En décembre 2005, un sondage a été mené pour déterminer le nom à donner à ses habitants. Depuis, les habitants de la Seine-Maritime sont officiellement appelés les Seinomarins/Seinomarines[7].
En 2018, le département comptait 1 255 883 habitants[Note 1], en augmentation de 0,1 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +1,78 %).
Communes les plus peuplées
En excluant le département de la Seine-Saint-Denis, la Seine-Maritime a la particularité d'être un des rares départements de province, avec les Bouches-du-Rhône et le Rhône, à posséder deux communes de plus de 100 000 habitants, en l'occurrence, Le Havre et Rouen.
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Le Havre | 76351 | Le Havre Seine Métropole | 46,95 | 169 733 (2018) | 3 615 | |
Rouen | 76540 | Métropole Rouen Normandie | 21,38 | 111 360 (2018) | 5 209 | |
Sotteville-lès-Rouen | 76681 | Métropole Rouen Normandie | 7,44 | 28 958 (2018) | 3 892 | |
Dieppe | 76217 | CA de la Région Dieppoise | 11,67 | 28 561 (2018) | 2 447 | |
Saint-Étienne-du-Rouvray | 76575 | Métropole Rouen Normandie | 18,25 | 28 500 (2018) | 1 562 | |
Le Grand-Quevilly | 76322 | Métropole Rouen Normandie | 11,11 | 25 771 (2018) | 2 320 | |
Le Petit-Quevilly | 76498 | Métropole Rouen Normandie | 4,35 | 22 291 (2018) | 5 124 | |
Mont-Saint-Aignan | 76451 | Métropole Rouen Normandie | 7,94 | 19 262 (2018) | 2 426 | |
Fécamp | 76259 | CA Fécamp Caux Littoral Agglomération | 15,07 | 18 251 (2018) | 1 211 | |
Elbeuf | 76231 | Métropole Rouen Normandie | 16,32 | 16 205 (2018) | 993 | |
Montivilliers | 76447 | Le Havre Seine Métropole | 19,09 | 15 564 (2018) | 815 | |
Bois-Guillaume | 76108 | Métropole Rouen Normandie | 8,90 | 14 309 (2018) | 1 608 | |
Canteleu | 76157 | Métropole Rouen Normandie | 17,61 | 14 244 (2018) | 809 | |
Barentin | 76057 | CC Caux-Austreberthe | 12,74 | 12 211 (2018) | 958 | |
Oissel | 76484 | Métropole Rouen Normandie | 22,19 | 12 102 (2018) | 545 |
Vie quotidienne en Seine-Maritime
Lieux de culte
Pour l'Église catholique romaine, le département correspond à l'archidiocèse de Rouen et au diocèse du Havre. Il y a une forte présence de l'Église réformée (protestants) à Bolbec, à Lillebonne, au Havre et à Rouen. À Elbeuf, existent une mosquée de rite malékite et une synagogue. L'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours est présente en Seine-Maritime avec deux paroisses au Havre et à Rouen.
Médias
La presse écrite est représentée par Paris Normandie, Le Havre Presse, Le Havre libre, Le Courrier cauchois, Les Informations dieppoises, Liberté-Dimanche, Le Réveil de Neufchâtel, L'Éclaireur Brayon et Le Journal d'Elbeuf.
Administration et politique
- Liste des députés de la Seine-Maritime.
- Liste des sénateurs de la Seine-Maritime.
- Liste des conseillers départementaux de la Seine-Maritime.
- Communes de la Seine-Maritime.
- Anciennes communes de la Seine-Maritime.
- Liste des préfets de la Seine-Maritime
- Hôtel de préfecture de la Seine-Maritime
Politique locale
Le conseil départemental édite : Seine-Maritime Le magazine.
Exécutifs des instances politiques départementales de la Seine-Maritime
De 2004 à 2014, le président du conseil départemental[21] est Didier Marie. En application de la réglementation régissant le cumul des mandats en France, Didier Marie (sénateur par suite de la démission de Marc Massion) abandonne la présidence le . Son successeur, Nicolas Rouly, a été élu lors de l'assemblée plénière le même jour.
Le , Pascal Martin est élu président du conseil départemental avec 36 voix en sa faveur contre 28 pour Nicolas Rouly et 2 pour Hubert Wulfranc. Deux conseillers départementaux ont voté blanc.
Élu sénateur du département le à la suite de la démission de Charles Revet, il abandonne la présidence du conseil départemental le même jour.
Le , Bertrand Bellanger succède à Pascal Martin en tant que président de la majorité divers droite. Il est élu par 38 voix pour 70 inscrits et 44 votants[22]. Bertrand Bellanger a été élu conseiller départemental du canton de Mont-Saint-Aignan en , aux côtés de Catherine Flavigny. Accompagnant le changement de majorité à la tête du Département de la Seine-Maritime, il devient alors vice-président chargé de l’arrondissement de Rouen.
Découpage administratif
La Seine-Maritime est composée de 35 cantons. Avant le redécoupage cantonal de 2014, la Seine-Maritime comptait 69 cantons[23]. Rouen comptait sept cantons, ce nombre est ramené à trois par la réforme.
Découpage électoral
Le département est divisé en 10 circonscriptions législatives :
- 1re circonscription - Rouen-Nord
- 2e circonscription - Bois-Guillaume - Gournay-en-Bray
- 3e circonscription - Rouen-Sud
- 4e circonscription - Elbeuf
- 5e circonscription - Lillebonne
- 6e circonscription - Dieppe - Neufchâtel-en-Bray
- 7e circonscription - Le Havre-Nord
- 8e circonscription - Le Havre-Sud
- 9e circonscription - Fécamp
- 10e circonscription - Yvetot
Tendances et résultats politiques
Le département de Seine-Maritime est traditionnellement considéré comme de gauche, avec une forte présence communiste dans certains secteurs comme Le Havre, Dieppe, Le Tréport ou Saint-Étienne-du-Rouvray. C'est d'ailleurs en Seine-Maritime que le Front de gauche a réalisé son meilleur score au niveau national lors l'élection régionale de 2015. Le département a basculé de justesse à droite lors de l'élection départementale de 2015, mais est en revanche le seul département normand à avoir voté majoritairement à gauche lors de l'élection régionale de 2015[24].
Lors des élections présidentielles et législatives de 2017, la Seine-Maritime a confirmé son ancrage très à gauche en plaçant Jean-Luc Mélenchon en deuxième position, juste derrière Marine Le Pen, et en envoyant notamment trois députés issus du Parti communiste français (dont deux élus avec le soutien de la France Insoumise), faisant ainsi de la Seine-Maritime le département le plus représenté au sein du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.
Élection / collectivités | Gauche radicale | Gauche | Centre | Droite | Extrême-droite |
---|---|---|---|---|---|
Élection présidentielle de 2017 (1er tour) | 22,20 % (Jean-Luc Mélenchon) | 6,05 % (Benoît Hamon) | 21,23 % (Emmanuel Macron) | 17,24 % (François Fillon) | 24,90 % (Marine Le Pen) |
Conseil départemental de 2021 | 8 | 26 (+2) | 7 | 27 | 0 |
Députés | 3 | 1 | 5 | 1 | 0 |
Sénateurs | 1 | 1 | 0 | 4 | 0 |
Villes de + 25 000 habitants | 2 | 3 | 1 | 0 | 0 |
Enseignement
Les établissements scolaires du département de la Seine-Maritime dépendent tous de l’académie de Rouen, ils sont sous la direction de l’inspection académique de la Seine-Maritime.
Santé
La santé et le social sont deux secteurs d'intervention qui entrent dans les compétences du conseil départemental. À ce titre, il est chargé de coordonner les actions en faveur des personnes âgées, des personnes en situation de handicap, des enfants, des familles et des personnes en difficulté. Il dispose aussi d’un droit de regard dans la gestion des établissements publics de santé présents sur le territoire départemental.
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Shahinez Benabed, « Un nouveau préfet pour la région Normandie », sur acteurspublics.com, (consulté le ).
- LOI no 2015-29 du 16 janvier 2015.
- Ministère de l'Intérieur.
- Conseil Constitutionnel.
- Seinomarins ? T'es sûr ???
- seinemaritime.net.
- « « Seinomarins, un beau nom ! » sur Commune76 ».
- Jacques Olivier Boudon, Les Bonaparte : regards sur la France impériale. La Documentation photographique, dossier 8073, janvier-février 2010, p. 11 (carte de Gilles Pécout).
- République Française, « Décret du 18 janvier 1955 relatif au changement de nom du département de la Seine-Inférieure qui portera désormais le nom de Seine-Maritime », Journal officiel de la République française, Paris, Direction de l'information légale et administrative, (lire en ligne).
- Chronologie sur deux jours, le 18 mai dans Le Monde.
- http://www.labanquedublason2.com Gaso.
- seinemaritime.fr, « Budget 2017 - Département de la Seine-Maritime », sur www.seinemaritime.fr (consulté le ).
- seinemaritime.fr, « Budget 2017 - Département de la Seine-Maritime », sur www.seinemaritime.fr (consulté le ).
- « Site de l'INSEE au 31 décembre 2006 ».
- « Le taux de chômage repart à la baisse en Normandie - Insee Flash Normandie - 84 », sur www.insee.fr (consulté le )
- « Découvrez nos villages | Les plus beaux villages de France - Site officiel », sur www.les-plus-beaux-villages-de-france.org (consulté le ).
- « Comparateur de territoire − Département de la Seine-Maritime (76) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
- Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
- Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 1968, 1975, 1982, 1990, 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018
- Article 1 de la loi no 2013-403 du 17 mai 2013, modifiant la dénomination de conseil général au profit de celle de conseil départemental
- « Bertrand Bellanger, président sur un sillon déjà tracé », sur www.paris-normandie.fr (consulté le ).
- « Le nouvelle carte attaquée », sur Paris-Normandie (consulté le ).
- « Résultats des élections régionales 2015 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Regionales/elecresult__regionales-2015 (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Jean Benoît Désiré Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France »,
- Joseph Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine Inférieure, coll. « La Mémoire normande », 1875-1879 (réimpr. 1975)
- Charles de Robillard de Beaurepaire et Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, 1982-1984, 1188 p. (ISBN 2-7177-1627-0)
- Michel de la Torre, Guide de l'art et de la nature, Seine-Maritime, Paris, Berger-Levrault,
- Esther Baumann (dir.), Sabine Bledniak, Clotilde Brégeau et al., Le patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Flohic Éditions, coll. « Le patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
- Daniel Delattre, La Seine-Maritime, les 745 communes, Grandvilliers, , 344 p. (OCLC 53292170)
- Michel de Boüard, Histoire de la Normandie, Privat, Toulouse, Rennes, Éd. Ouest-France, , 540 p. (ISBN 2-7089-1707-2)
- Michel Hébert, La Seine-Inférieure en 1900, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , 235 p. (ISBN 2-85480-754-5, OCLC 40997582)
- Marie-Hélène Desjardins, Des peintres au pays des falaises : 1830-1940, Fécamp, Éditions des Falaises, , 224 p. (ISBN 2-84811-016-3)
- Frédéric David et Didier Mouchel (photogr. Louis Chesneau), La Seine-Maritime, Joué-lès-Tours, Alan Sutton, coll. « Il y a bientôt 100 ans », , 116 p. (ISBN 2-84253-050-0)
- Francis Cormon, Au-dessus de la Seine-Maritime, PTC, , 96 p.
Liens externes
- Portail de la préfecture de la région Normandie, préfecture de la Seine-Maritime
- Conseil départemental de Seine-Maritime
- Ressource relative à la géographie :
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