Liste de massacres de la guerre de Vendée et de la Chouannerie

De nombreux massacres furent commis pendant la guerre de Vendée et de la Chouannerie contre des prisonniers de guerre et des civils. L'ensemble des exactions fit, entre 1792 et 1801, de plusieurs dizaines de milliers à peut-être plus de 100 000 victimes. La guerre fut particulièrement brutale et meurtrière de l'automne 1793 au printemps 1794 lors de la Virée de Galerne et des colonnes infernales.

Les Vendéens

Lorsque la révolte éclate en , de nombreuses violences sont commises par certains groupes d'insurgés. Celles-ci tendent cependant à se raréfier à mesure que s'établit un semblant de discipline dans l'armée catholique et royale. À la suite des succès initiaux, les Vendéens font de nombreux prisonniers. Plusieurs d'entre eux sont utilisés en mars et en avril comme boucliers humains, notamment à la bataille de Jallais, à la bataille de Chemillé et à la bataille de Saumur. Cette tactique, inefficace car les prisonniers réussissent souvent à s'échapper, est cependant abandonnée par la suite[1].

Des chefs vendéens, comme Charette, proposent alors des échanges de prisonniers, mais ces propositions sont rejetées par les républicains qui refusent toute négociation avec les rebelles[2],[3]. Les prisonniers sont alors internés, cependant leur traitement varie beaucoup selon les chefs, ainsi d'après l'officier vendéen Lucas de La Championnière, au printemps 1793, à Legé, dirigée par Charette, les exécutions sont rares tandis qu'au Port-Saint-Père, les rebelles commandés par La Cathelinière exécutent tous leurs prisonniers[4]. Dans l'armée du bocage, les généraux d'Elbée, Bonchamps, Lescure et Henri de La Rochejaquelein font preuve de clémence[5], (ainsi D'Elbée réussit à empêcher ses hommes de massacrer 400 prisonniers après la bataille de Chemillé[6], Lescure met fin à un massacre et sauve plusieurs centaines de républicains lors de la première bataille de Châtillon[7], tandis que Bonchamps, mortellement blessé à la bataille de Cholet, parvient, quelques heures avant sa mort, à empêcher ses hommes de massacrer 4 000 à 5 000 prisonniers républicains qui sont ensuite relâches[8]). En revanche le général Marigny n'épargne presque jamais ses prisonniers[9]. Lucas de La Championnière, officier dans l'armée du Marais rend également compte, en septembre, des différences avec la Grande Armée ou armée du bocage : « L'esprit des paysans qui composaient les détachements de la grande Armée, était bien différent de celui qui régnait parmi nous. Les nôtres pillaient, battaient et juraient comme de vrais soldats ; les autres dans ce temps là revenaient du combat en disant leur chapelets, ils faisaient prisonniers tous ceux qu'ils pouvaient prendre sans les tuer et rarement s'emparaient de leurs dépouilles[10]. »

En Anjou et dans le Haut-Poitou, les habitants patriotes sont soumis à une très étroite surveillance tandis que les soldats républicains sont maintenus en prison. D'après des témoignages de captifs républicains, à Mortagne-sur-Sèvre les 2 000 prisonniers sont bien traités par la population, les gardiens et le général Sapinaud[11],[5]. À Châtillon-sur-Sèvre cependant, où sont enfermés 3 000 prisonniers, le gardien agit de manière brutale en faisant exécuter les captifs qui cherchent à s'évader[5].

Après les victoires de , les Vendéens font un nombre de prisonniers encore plus considérable mais ne sont pas en mesure de les garder. Une proposition du général Donnissan est alors adoptée par l'état-major vendéen, les prisonniers sont relâchés contre le serment de ne plus prendre les armes contre les Vendéens, ils sont ensuite tondus afin de pouvoir être reconnus s'ils trahissent leur serment, les tondus repris seront fusillés[5]. Ainsi 3 000 prisonniers républicains sont relâchés après la bataille de Thouars[12], 3 250 après la bataille de Fontenay-le-Comte[13] et 3 000 à 11 000 après la bataille de Saumur[14]. Il y aurait eu peut-être jusqu'à 25 000 prisonniers républicains tondus[5]. La Convention nationale refuse cependant de reconnaître la validité de ce serment, les soldats tondus sont renvoyés au combat une fois leurs cheveux repoussés. Le , la Convention décrète que tout homme qui prêtera ce serment à partir de cette date sera « déclaré lâche et déserteur de la liberté, comme tel privé du droit de citoyen pendant dix ans [...] mis en état d'arrestation[15]. »

À partir de l'été 1793, le conflit devient plus brutal. En septembre l'armée de Mayence est envoyée dans l'Ouest. Celle-ci avait capitulé devant les Prussiens après le Siège de Mayence puis mise en liberté contre le serment de ne plus combattre la Première Coalition. Bien que les Vendéens n'aient pas été mentionnés dans les termes de la capitulation, l'état-major de l'armée catholique et royale les déclare traîtres à leur serment et proclame qu'il ne sera pas fait de prisonniers Mayençais[16]. Lors de la bataille du Pallet, les blessés de l'Armée de Mayence sont massacrés par les Vendéens, en représailles les Mayençais décident à leur tour de ne plus faire de prisonniers[17].

Pendant la Virée de Galerne, un certain nombre d'exécutions sommaires sont commises par les Vendéens, des blessés sont achevés à la bataille de Pontorson tandis qu'à la bataille de Dol les républicains qui se rendent sont aussitôt abattus. La plupart des républicains capturés par les Vendéens sont cependant épargnés. À Fougères, 400 à 800 prisonniers sont relâchés après avoir été tondus[18],[15], ceux pris à Avranches sont également libérés[19], ainsi que les 200 soldats capturés lors la prise du Mans[20]. Le général en chef Henri de La Rochejaquelein libère également 150 blessés républicains à Antrain[21].

Contre les colonnes infernales, les Vendéens ne font plus de prisonniers, les républicains capturés sont presque toujours exécutés[22].

Lorsque la deuxième guerre de Vendée éclate en 1795, le général Charette capture 200 à 400 républicains lors de deux attaques surprises. Un échange de prisonniers est proposé aux républicains mais il est refusé par ces derniers[23]. En août, Charette ordonne l'exécution de tous ses prisonniers en représailles des massacres de Quiberon, six hommes seulement sont épargnés[24].

Le nombre total des victimes d'exactions vendéennes n'est pas connu, 1 000 à 3 000 sont tués lors des principaux massacres (Machecoul, Châtillon, Le Pallet, Bouin, la route de Cholet et Belleville). Plus quelques milliers d'autres lors d'exactions de moindre ampleur.

Les républicains

Sous la Terreur

Le , quelques jours seulement après le début de l'insurrection vendéenne, la Convention nationale décrète la peine de mort pour tout insurgé pris les armes à la main ou porteur d'une cocarde blanche[25]. Ceux-ci doivent être jugés par une commission militaire ou le tribunal criminel du département et la sentence exécutée dans les 24 heures[26]. Le décret est modifié le , sur l'initiative de Danton, de manière à ne viser désormais que les chefs rebelles[27]. Néanmoins dans les mois qui suivent, plusieurs représentants en mission et commissions militaires continuent de prononcer des condamnations à mort au nom de la loi du [28]. Le 1er août, la Convention nationale planifie la répression en décrètant la loi d'anéantissement de la Vendée ; la politique de la terre brûlée devra être appliquée en Vendée, les « brigands » exterminés, les patriotes, les femmes et enfants conduits en dehors de la Vendée[29],[30],[31]. Dans un second décret, du , la Convention nationale renouvelle son ordre d'extermination des brigands[32].

Après la Virée de Galerne, la répression est mise en place par les représentants en mission, lesquels établissent des Commissions militaires révolutionnaires pour juger les prisonniers. L'armée est ensuite chargée de détruire les dernières résistances en Vendée. L'armée de l'Ouest passe sous la domination des Sans-culottes hébertistes aux premiers jours de 1794 à la suite de l'arrivée du général en chef Louis Marie Turreau[33] et aux renforts de 10 000 hommes détachés de l'Armée du Nord[34].

Turreau met en place les colonnes infernales et donne l'ordre de massacrer les populations jugées royalistes, hommes, femmes et enfants, et de faire évacuer celles jugées neutres ou républicaines[35],[36]. Les officiers et les troupes agissent cependant de manière très diverses, certaines commettent peu d'exactions, d'autres exterminent des populations entières sans distinctions d'aucune sorte[37],[38],[39]. Le plan du général en chef est d'abord approuvé par le Comité de salut public[40],[41] avant que celui-ci ne dénonce les massacres commis contre des populations patriotes[42]. Le Comité de salut public n'intervient plus et laisse les colonnes agir de février à avril, il délègue ses pouvoirs dans l'Ouest aux représentants en mission[43], ceux-ci se montrent cependant partagés entre partisans et opposants à Turreau[44],[45]. Ces derniers, d'abord minoritaires prennent de plus en plus d'importance à cause de l'incapacité du général en chef à achever la guerre de Vendée et du soutien des républicains de Vendée. Turreau est finalement destitué par le Comité de salut public en . Par la suite les généraux Vimeux et Dumas, partisans d'une politique plus clémente, lui succède.

Les exactions commises par les républicains lors des guerres de l'Ouest pendant la Terreur font des dizaines de milliers de victimes :

La Chouannerie

La Chouannerie ne fut pas aussi brutale que ne le fut la guerre de Vendée de l'automne 1793 à l'été 1794. Cependant de nombreuses exactions continuent d'être commises.

Avec le début de la deuxième chouannerie, la Convention nationale décrète le , la peine de mort pour tous les Chouans pris les armes à la main, ainsi que les embaucheurs et les instigateurs des rassemblements. Pour les habitants des campagnes pris sans armes dans les rassemblements, la peine est de quelques mois de détention. Selon le décret, les prisonniers pris lors de rassemblement doivent être jugés par un tribunal militaire, ceux pris sans armes et hors des rassemblements par un tribunal criminel[57].

Après l'expédition de Quiberon en , les républicains capturent 2 662 soldats de l'armée des émigrés, et environ 5 000 Chouans et 5 000 civils. Les civils sont rapidement relâchés et les 1 632 transfuges de l'armée des émigrés, enrôlés de forces par les Royalistes, sont réincorporés dans l'armée républicaine. Lazare Hoche, général en chef de l'Armée de l'Ouest, écrit à la Convention nationale que selon les lois républicaines en vigueur, les prisonniers royalistes pris les armes à la main doivent être exécutés. Cependant Hoche demande et obtient de la Convention la grâce des prisonniers chouans. 2 000 d'entre eux sont relâchés contre une amende et 3 180 autres sont acquittés ou condamnés à des peines d'emprisonnement. Le sort des émigrés est plus sévère, 627 émigrés ou ecclésiastiques et 121 chouans sont condamnés à mort et exécutés[58],[59].

Le nombre des exactions diminuent lors de la troisième chouannerie (1799-1800). Dans ses mémoires, le général chouan Louis d'Andigné écrit que cette campagne « ne fut pas souillée d'autant d'actes de cruauté que l'avaient été les campagnes précédentes[60]. »

La guerre de 1815

Lors de l'insurrection de 1815, les Vendéens font 66 prisonniers lors de la guerre, lesquels sont relâchés contre la promesse de ne plus prendre les armes[61]. Les commandants impériaux Lamarque et Travot font également preuve de modération, Travot relâche notamment une vingtaine de prisonniers après le combat de L'Aiguillon[62]. Après la Restauration, l'ouest n'est pas touché par la Terreur blanche de 1815 et la répression reste modérée, quelques condamnations à mort sont prononcées lors des procès de bonapartistes, mais aucune n'est exécutée[63].

1792

Août 1792

Le 24
  • Bressuire : exécutions sommaires de paysans insurgés. Des colliers de nez et d'oreilles tranchées sont rapportés comme trophées par les gardes nationaux[64].

1793

Mars 1793

Le Massacre de Machecoul, huile sur toile de François Flameng, 1884, musée d'art et d'histoire de Cholet.
Mort de Sauveur, héros breton, peinture d'Edmond Louis Dupain, XIXe siècle, musée des beaux-arts de Bordeaux.
Le 11
  • Legé : 25 ou 26 administrateurs et gendarmes patriotes sont massacrés par la population insurgée[65],[66].
Du au
  • Massacres de Machecoul : 180 à 200 patriotes sont fusillés sommairement ou massacrés à coups de piques par les paysans insurgés sur ordre du comité royaliste présidé par René Souchu. Seulement 20 captifs survivent dans les prisons[67],[68].
Le 12
  • Savenay : quatre patriotes (le prêtre constitutionnel, un administrateur et deux douaniers) sont lynchés à mort par les paysans insurgés lors du combat de Savenay. La plupart des patriotes sont retenus prisonniers[69].
Les 12 au 14
Le 13
Le 15
  • Cholet : plusieurs exécutions sommaires contre des patriotes sont commises par les insurgés lors de la prise de la ville. La grande majorité des prisonniers sont cependant épargnés.
Le 16
Le 17
  • Paimbœuf : trois insurgés, sont exécutés après jugement de la commission militaire car « pris les armes à la main »[74].
Le 20
Le 23
  • Pornic : 11 habitants, dont deux officiers municipaux, sept vieillards et un « idiot » sont tués par des paysans insurgés. Quelques heures plus tard, les républicains reprennent la ville, 216 paysans sont tués, tant par les combats que par les exécutions[77]
  • Bourgneuf-en-Retz : 3 ou 12 personnes sont fusillées par les insurgés lors de leur retraite[77].
Le 26
Le 29
  • Savenay : 12 prisonniers républicains sont fusillés par les insurgés d'après le général Beysser[78].
Les 29 et 30

Avril 1793

Le 2
Le 6
  • Les Sables-d'Olonne : 12 insurgés, âgés de 18 à 29 ans, « pris les armes à la main » sont condamnés à mort par la commission militaire des Sables d'Olonne et guillotinés[82],[83].
Le 13
Du au
  • Les Sables-d'Olonne : 61 prisonniers, essentiellement « pris les armes à la main » « agents des rebelles » « chefs de rebelles » ou « courrier des rebelles », dont deux femmes, sont condamnés à mort par la commission militaire des Sables d'Olonne et guillotinés[82],[83].
Du 23 au 28
  • Machecoul : 16 à 17 insurgés sont fusillés ou décapités à la hache, dont René Souchu, après jugements de trois commissions militaires mises en place par le général Beysser. 6 acquittements et 8 renvois sont également prononcés[85].
Fin avril

Mai 1793

Le 13
  • La Châtaigneraie : après la bataille de La Châtaigneraie, des Vendéens, furieux d'apercevoir la guillotine dans la ville, massacrent des prisonniers et des habitants patriotes, jusqu'à ce que l'intervention des officiers mette fin aux tueries[87].
Le 22

Juillet 1793

Le 1er
Le 5
  • Mauléon : plusieurs centaines de prisonniers républicains de l'armée de Westermann sont massacrés par des vendéens menés par le général Marigny, lequel aurait égorgé 75 hommes de sa main selon la marquise de La Rochejaquelein. L'intervention du général Lescure met fin aux tueries[90].

Septembre 1793

Le 22
Du au

Octobre 1793

Le 11
Le 13
Les 16 et 17
  • De Cholet à Saint-Florent-le-Vieil : les vendéens évacuent 5 000 prisonniers républicains sur Saint-Florent. Au cours du trajet plusieurs captifs, trop blessés ou malades pour suivre ou cherchant à s'évader, sont exécutés sommairement ou massacrés. Les estimations vont de 80 à 600 morts[94].
Le 17
Le 21
  • Candé : environ 30 blessés vendéens laissés dans les hôpitaux, sont massacrés par les républicains lorsque ces derniers reprennent la ville[96].
  • Château-Gontier : 14 administrateurs républicains sont fusillés par les Vendéens[97].

Novembre 1793

Les Noyades de Nantes en 1793, huile sur toile de Joseph Aubert, 1882.
Le 3
  • Fougères : environ 10 à 60 administrateurs et soldats républicains tondus sont fusillés par les vendéens. Les soldats prisonniers sont cependant relâchés[98],[99].
Du à mi-janvier
  • Rennes : 56 prisonniers sont condamnés à mort par la commission Vaugeois, contre 17 peines de fers, 20 peines de prison et 37 acquittements[100].
Le 16
  • Avranches : 55 à 60 vendéens pris dans les hôpitaux sont fusillés sur ordre de la municipalité de la ville[101],[102].
  • Dinan : 14 vendéens, dont 3 femmes et 2 enfants, pris dans les environs de Dol-de-Bretagne, sont fusillés par une commission militaire en présence du représentant Prieur de la Marne[81].
Le 17
Le 18
  • Fougères : les soldats des généraux Canuel et Amey torturent et massacrent 200 vendéens dans les hôpitaux, dont de nombreuses femmes[104].
Du 18 au 21
  • Laval : 12 prisonniers sont condamnés à mort et exécutés après jugement de la commission Parein-Félix[105].
Le 19
  • Granville : 16 prisonniers vendéens, jugés par une commission militaire, sont condamnés à mort et exécutés. Au moins 27 autres exécutions se déroulent dans la ville jusqu'au [106].
Le 21
Du au
Le 22
Le 25
  • Mayenne : 28 rebelles pris dans l'hôpital de la ville sont jugés par le tribunal criminel sur ordre du représentant Le Tourneur et fusillés[112].
De fin novembre à mi-janvier

Décembre 1793

L'exécution des sœurs La Métairie, huile sur toile de Auguste-Hyacinthe Debay, 1838, Château des ducs de Bretagne, Nantes.
Les fusillades de Nantes, aquarelle de Béricourt.
Mémorial situé au 7 rue des Martyrs, à Nantes
Plaque commémorative située sur la façade de l’ancienne prison de l'Entrepôt des cafés, au 2 rue Lamoricière à Nantes.
Le 1er
Le 2
Du au 1er mai
  • Saint-Malo : exécutions de prisonniers après jugements de la commission O'Brien. Le nombre des morts est inconnu, plus de 200 rebelles sont exécutés selon une lettre du représentant Laplanche en . 88 victimes sont identifiées[117],[118]
Les 3 et 4
Le 6
Du 6 au 12
  • Doué-la-Fontaine : 200 prisonniers vendéens sont fusillés et 11 guillotinés après jugement de la commission Parein-Félix, laquelle ne prononce que 15 acquittements[121].
Le 7
  • Sablé-sur-Sarthe : 12 prisonniers, dont 7 femmes, sont condamnés à mort par la commission Thirion et exécutés pour « avoir suivi les brigands de la Vendée[122]. »
Le 10
Le 11
Les 12 et 13
  • Bataille du Mans : 10 000 à 15 000 vendéens, hommes, femmes et enfants, sont tués dans la ville et sur la route de Laval, tant par les combats que par les massacres. 600 prisonniers sont fusillés après le combat, 400 malades et blessés sont achevés dans les hôpitaux[46],[47],[48].
Du au
  • Fontenay-le-Comte : 192 prisonniers sur 332 jugés, sont condamnés à mort et fusillés après jugement de la commission militaire mise en place par le représentant Lequinio. Il y a au total 230 exécutions à Fontenay, du au [125],[126].
Du 13 au 23
  • Saumur : 29 prisonniers vendéens sont guillotinés et 16 fusillés[121]
Le 14
Le 15
Le 16
Le 17
  • Nantes : 24 vendéens, dont quatre enfants de 13 à 14 ans, sont guillotinés sans jugement[133].
Le 18
Le 19
  • Nantes : 27 vendéens et chouans du Morbihan, font 7 femmes parmi lesquelles les sœurs La Métayrie, âgées de 17 à 28 ans, sont guillotinés sans jugement[133].
Le 21
  • Près de Fougères : 12 chouans sont capturés par les troupes du général Beaufort, 6 d'entre eux pris les armes à la main sont aussitôt fusillés[112].
Du 22 au 29
  • Laval : 28 prisonniers sont condamnés à mort et exécutés après jugement de la commission Proust, d'Angers[105].
Le 23
Les 23 et 24
Du 23 au 26
Le 25
Le 26
  • Savenay : 184 vendéens fusillés après jugement de la commission Bignon[135],[136].
  • Prinquiau : 500 à 700 vendéens, dont des femmes et des enfants, sont fusillés à la butte de Sem[138],[139].
  • Saumur : 233 prisonniers vendéens sont fusillés aux buttes de Bournan après jugement devant la commission Parein-Félix[121].
Le 27
Le 29
Le 30
Le 31

1794

Janvier 1794

La mort du général D'Elbée, huile sur toile de Julien Le Blant, 1878, musée du Château, Noirmoutier-en-l'Île.
Le massacre du Carrefour-des-chats (vitrail de l'église de La Salle-de-Vihiers, par R. Desjardins, 1931).
Vitrail martyrologe situé dans l'église de Chanzeaux.
Les fusillades d'Avrillé, vitrail de l'église d'Avrillé par Jean Clamens, 1894.
Ruines du château de Pouzauges dans lesquelles 30 femmes sont fusillées le 30 janvier 1794.
Ruines du château du parc Soubise à Mouchamps devant lequel 200 personnes sont fusillées le 31 janvier 1794[141].
Le 1er et 2
  • Sablé-sur-Sarthe : 31 prisonniers vendéens et chouans sont exécutés après jugement de la seconde commission de la Sarthe[142].
Le 1er
Le 2
Le 3
Le 4
Le 5
Les 5 et 6
Du au
  • Laval : 223 prisonniers, principalement vendéens et chouans, hommes et femmes, sont condamnés à mort et guillotinés. 3 sont condamnés aux fers, 91 à la détention et 204 acquittés après jugement de la commission révolutionnaire de la Mayenne[105].
Le 6
Le 7
Du 7 au 16
  • Le Mans : 135 prisonniers vendéens et chouans du Maine sur 148 sont condamnés à mort par le tribunal criminel de la Sarthe et exécutés, seuls des prisonniers âgés de 15 ans sont épargnés[142].
Le 8
Du 11 au 14
Du au
  • Avrillé : entre 1 000 et 3 000 prisonniers, majoritairement vendéens, hommes et femmes, sont fusillés lors des fusillades d'Avrillé. Certains après condamnations des commissions militaires Parein-Félix et Proust, d'autres sans jugement. 863 victimes sont identifiées[145],[146].
Le 13
Le 15
  • La Gaubretière : environ 10 hommes sont surpris à la ferme de la Petite Renaudière où se déroule une messe tenue par un prêtre réfractaire, ils sont fusillés à cause de leur refus de crier « Vive la République ! »[149].
Le 17
Le 18
Le 19
Le 21
Le 22
Le 23
Le 25
Du au
  • Vitré : 28 condamnations à mort, 16 aux fers, 11 à la détention contre 354 acquittements prononcés par la commission Vaugeois[100].
Le 26
  • Châteaumur : 10 personnes tuées par la 3e colonne[161].
  • Saint-André-sur-Sèvre : massacre des habitants par la colonne de Lachenay[152].
  • Saint-Mesmin : bien que le bourg soit patriote, 6 habitants sont tués par les hommes de Lachenay mais la plupart réussissent à s'enfuir[162].
  • Cerizay : massacre d'habitants, dont des femmes et des enfants par la colonne Grignon. Le bourg, patriote, est épargné mais les habitants des fermes et des villages de la commune sont massacrés. 300 morts selon le général Grignon mais ce nombre est probablement exagéré[161],[163],[164],[165].
Le 27
  • La Caillère : 15 prisonniers Vendéens fusillés par les républicains des 1re et 2e colonnes infernales[152].
Du au
  • Nantes : 53 prisonniers fusillés après jugement de la commission Bignon[166].
Le 28
Le 30
Le 31

Février 1794

Assassinat d'une femme vendéenne et de sa fille par des soldats de la colonne Bonnaire (vitrail de l'église de La Salle-de-Vihiers, par R. Desjardins, 1931).
Le 1er
Le 4
  • La Gaubretière ; l'église est prise d'assaut par la colonne Boucret, 32 défenseurs sont tués et 53 sont pris et fusillés, dont une vingtaine de femmes[173].
Le 5
Le 6
  • Tiffauges : le général Cordellier écrit que « indépendamment que tout brûle encore, j'ai fait passer derrière la haie 600 particuliers des deux sexes[177]. »
Le 7
Le 8
Le 10
Le 18
  • Apremont : 75 hommes et 27 femmes sont fusillés par le 1er bataillon de Paris[180].
Le 22
Le 23
Le 24
Le 26
Le 27
  • Massacre de La Gaubretière : 107 à 128 habitants massacrés par la colonne du général Huché[185],[186].
  • La Verrie : Huché écrit avoir fait « passer au fil de la baïonnette tout ce que j'y ai trouvé, à la réserve des enfants »[186].
  • Baie de Bourgneuf : une noyade est ordonnée par l'adjudant-général Lefebvre et le commandant Foucault, 41 personnes: 2 hommes, dont un vieillard aveugle de 78 ans, 12 femmes, 12 filles, 10 enfants âgés 6 à 10 ans et 5 nourrissons sont embarqués à Paimbœuf sur un navire, conduits au large et précipités dans les flots[187],[188].
Le 28
  • Massacre des Lucs-sur-Boulogne : 500 à 590 habitants sont massacrés par la colonne infernale Cordellier à la chapelle du Petit-Luc. 564 victimes sont recensées par l'abbé Charles Vincent Barbedette, dont 109 enfants de moins de 7 ans[189].
  • Vezins : Huché écrit : « Nous passâmes par Vezins où nous tuâmes tout ce que nous y trouvâmes. J'ai incendié les villages et tué à peu près 300 de ces scélérats par-ci par-là[190]. »

Mars 1794

Les fusillades du Marillais, vitrail de la chapelle du Marillais.
Croix commémorative du massacre du Puiset-Doré.
Le 1er
Du 4 au 7
Le 5
  • La Remaudière : 5 personnes sont tuées dans les landes de Sainte-Catherine par la colonne Cordellier[193].
Le 10
Le 12
Du 12 au 20
Le 13
Le 14
Les 16 et 17
Le 19
  • Vannes : 9 chouans sont fusillés sur la Garenne[204].
Du 24 au 29
Le 24
Le 25
Le 27
  • Vezins : la colonne Cordellier, désormais commandée par Crouzat fouille la forêt et trouve des blessés et « quelques femmes de brigands, cachées çà et là, qui ont été exterminées[207]. »
Du au
Les 30 et 31
  • Château-Guibert : 80 hommes, femmes et enfants sont massacrés par une troupe de la colonne Huché menée par le capitaine Goy-Martinière[210],[211].

Avril 1794

Le Château d'Aux
Massacre du Moulin-de-la-Reine, le (vitrail de l'église de Montilliers, par Jean Clamens, 1901).
Le 2
Les 2 et 3
Le 3
  • Maisdon-sur-Sèvre : le général Cambray écrase un rassemblement, le massacre fait peut-être 300 à 400 morts, dont des femmes et des enfants[214].
Le 5
  • Torfou : des habitants sont massacrés par la colonne Cordellier, 141 au total sont tués par les colonnes infernales[215].
  • Clisson : environ 30 personnes cachées dans les ruines du château sont massacrées par les mêmes troupes[216].
  • Cossé-d'Anjou : 15 femmes et enfants sont tués par les républicains dans les bois de la Frappinière[217].
  • Montilliers : 22 femmes et enfants sont capturés dans le bois des Marchais par un détachement du camp dit « du Moulin » ; vingt d'entre eux sont fusillés au Moulin de la Reine et seuls deux enfants sont épargnés[217].
Le 9
Du au
Le 19

Mai 1794

Le 17
  • Champtoceaux : 37 habitants sont tués par les républicains, dont 28 sont enfumés dans la grotte de Vau-Brunet, seuls une femme et un enfant en ressortent vivants[198],[222].
Le 19

Juin 1794

Du au
  • Île de Noirmoutier : 25 prisonniers sont condamnés à mort et fusillés après jugement de la commission Félix d'Angers. 18 accusés sont condamnés à la déportation et 600 acquittés[224].

Juillet 1794

Du 13 au 24
Le 14
  • Rouans : 60 réfugiés sont tués dans la forêt de Princé par la troupe de l'adjudant-général Lefebvre[225].
Le 18
  • Legé : les hommes et les femmes du village de La Bésillière sont massacrés par les troupes républicaines du général Huché[226].
Le 19
Du 26 au 30
Du au

Août 1794

Le 3
Du au

1795

Dates inconnues

Janvier 1795

Le 27
  • Melrand : plusieurs habitants, dont des femmes, des enfants et des vieillards sont massacrés par des soldats républicains après un combat contre les chouans[231].

Février 1795

La Chapelle de La Madeleine à Malestroit - 15 nivose an III, huile sur toile d'Alexandre Bloch, 1886, musée des beaux-arts de Quimper.
Le 13
  • Landévant : 6 chouans, dont le chef Louis Calan sont fusillés après un combat, sur ordre du représentant Louis-Urbain Brüe[232].

Avril 1795

Le 12

Mai 1795

Le 28

Juin 1795

Le 8
  • Brée : une vingtaine de soldats républicains et quelques patriotes de la commune se rendent aux chouans mais ils sont fusillés malgré la promesse d'avoir la vie sauve[235].
Le 11
Le 26

Juillet 1795

Le 21
Le 24
Le 26

Août 1795

Les fusillés de Vannes, peinture de R. de Coueson, 1895.
Le 1er
  • Saint-Gilles-du-Mené : 18 personnes; des chouans blessés aux combats de Josselin et de Coëtlogon, des domestiques et trois ouvriers, sont surpris par des républicains Cents-Sols au château de Bocenit et fusillés sur place, un seul survit à ses blessures[242],[243].
Du 1er au 25
Le 9

Novembre 1795

Le 8

Décembre 1795

Le 2

1796

Janvier 1796

Le courrier des Bleus, huile sur toile de Julien Le Blant, 1882.
Le 23
  • Plumaugat : 10 habitants, dont une femme, sont massacrés par des soldats républicains[254].
Le 24
  • En représailles du massacre de Plumaugat, le chef chouan Lantivy fait fusiller environ 20 prisonniers républicains du bataillon de l'Ain[254].
Le 31
Du au 1er février

Février 1796

Le 20
Le 25

Mars 1796

Le 16
  • Argentré : 11 personnes, hommes et femmes, chouans ou suspectés d'avoir des attaches avec eux, sont fusillés par des soldats républicains d'une colonne mobile[261].
Le 29
  • Nantes : Exécution de François Athanase Charette de la Contrie sur la place des agriculteurs.

Avril 1796

début avril
  • Locminé : 18 Chouans sont fusillés par les républicains, sur ordre du général Mermet[262].
Du 1er au 13
  • Bayeux : 18 chouans, âgés de 18 à 27 ans, sont condamnés à mort et fusillés malgré une capitulation signée. Un autre est exécuté à Caen, un deuxième est délivré, le sort du troisième est inconnu[263].
Les 7 et 8
Le 14
Le 30

Mai 1796

Le 5
Le 15
  • Saint-Cornier-des-Landes : 11 soldats républicains sont fusillés par les chouans. Quatre autres sont épargnés contre un enrôlement chez les rebelles[263].

1798

Décembre 1798

Le 22 ou 23

1799

Juillet 1799

Le 24

Octobre 1799

Le 29

Novembre 1799

Le 4
  • Brémelin, entre Guéhenno et Saint-Jean-Brévelay : des soldats républicains sont faits prisonniers par les Chouans de Cadoudal lors de la bataille du Mont-Guéhenno. Les témoignages divergent, selon des officiers chouans, tous les prisonniers, au nombre de 32, sont fusillés. Cependant d'après le rapport de la municipalité républicaine de Pontivy, exceptés les officiers, tous les prisonniers, au nombre de 22, ont été relâchés et conduits sur la ville contre la promesse de ne plus porter les armes[273].
Le 5
Le 24

1800

Janvier 1800

Le 25
Le 27
Le 28

Février 1800

Le 18
  • Verneuil-sur-Avre : le général chouan Louis de Frotté et six de ses officiers, venus négocier leur capitulation, sont arrêtés par les soldats du général Guidal. Bien que porteurs d'un sauf-conduit, les officiers chouans sont condamnés à mort et fusillés[280].

Références

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  11. Émile Fournier, La Terreur bleue, p. 56-57.
  12. Yves Gras, La guerre de Vendée : 1793-1796, Paris, Economica, coll. « Campagnes et stratégies », , 184 p. (ISBN 978-2-7178-2600-5), p.40-42
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  27. Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! », p. 34
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  30. Jean-Clément Martin, Blancs et Bleus dans la Vendée déchirée, p. 134-135
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  40. Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, volume 30, 1825, par Saint-Albin Berville et François Barrière, p. 151. 1
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Articles connexes

Bibliographie

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