Parcé

Parcé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 650 habitants[Note 1].

Parcé

Panneau routier bilingue gallo-français à l'entrée de Parcé
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Fougères Agglomération
Maire
Mandat
Laurent Legendre
2020-2026
Code postal 35210
Code commune 35214
Démographie
Population
municipale
650 hab. (2018 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 16′ 23″ nord, 1° 12′ 01″ ouest
Altitude Min. 73 m
Max. 166 m
Superficie 16,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fougères
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fougères-1
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Parcé
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Parcé
Géolocalisation sur la carte : France
Parcé
Géolocalisation sur la carte : France
Parcé
Liens
Site web www.parce.fr

    Géographie

    Couvrant une superficie de 1 688 hectares, la commune est située dans l'arrondissement de Fougères-Vitré et dans le canton de Fougères-Sud. Elle est entourée par les communes de Javené, Billé, Montreuil-des-Landes, Châtillon-en-Vendelais, Dompierre-du-Chemin et Luitré.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 859 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de Fougères, mise en service en 1966[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 923,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Parcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fougères, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones agricoles hétérogènes (34,4 %), prairies (14,5 %), zones urbanisées (1,7 %), forêts (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Attestations anciennes[21],[22] :

    de Parraceio (1254)

    Parciacum, Paeceyum (1513)

    Paracé (1579)

    Étymologie:

    Il s'agit d'un nom de domaine gallo-romain dérivé de l'anthroponyme latin Pa(t)rius[23].

    Le nom de la commune est Parczae en gallo.

    Histoire

    Révolution française

    Le , des Chouans commirent des vols à Balazé : le curé constitutionnel de Parcé, de la Hubaudière, écrit le aux administrateurs du district : « les cultivateurs des environs sont dans un état d'inquiétude et d'alarme qui me paraît assez fondé (...). Vendredi dernier le bruit se répandit que le tocsin avait sonné à Balazé, que les brigands s'étaient jetés sur cette paroisse, qu'une partie des habitants de Châtillon allaient au secours de Balazé, que les autres s'enfuyaient. Le premier officier de cette paroisse, faisant fonction de maire, s'empressa de me prévenir pour que j'eusse à me cacher ; un autre citoyen des confins de cette paroisse du côté de Dompierre m'envoya donner le même avis. Je me bornai à déplacer quelques effets et à quiiter ma maison à dix heures du soir pour coucher ailleurs ; je rentrai chez moi vers sept heures et depuis j'y suis resté sans interrompre les fonctions de mon ministère »[24]. Le maire de Parcé et ses deux parents furent tués par une bande de chouans en représailles car celui-ci avait averti la garnison de Fougères de leur présence[25].

    Le , des administrateurs du district de Fougères écrivent : « Les cultivateurs sont dans un état d'inquiétude et d'alarme. Les brigands sont à Balazé, 15 brigands de la Petite Vendée à la tête desquels sont les Chouans frères. Il semble que ces hommes sont les mêmes que ceux qui firent une incursion à la mi-août dernier sur Montautour, Châtillon, Parcé »[26].

    Parcé fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[27]. La commune est acquise aux Chouans pendant la Révolution, malgré une minorité républicaine. Lors de l'insurrection de , trois patriotes de Parcé, dont le maire de la commune, sont fusillés le par des insurgés à Dompierre-du-Chemin[28]. Une compagnie chouanne est formée, commandée par le capitaine Joseph Bucheron. Quelques affrontements se déroulent sur son territoire comme le Combat de la Vilorais le [29].

    La population de la commune fut en partie favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[30].

    L'insurrection légitimiste de 1832

    En , environ 800 chouans prirent les armes dans la région de Vitré, particulièrement aux environs de Parcé, Châtillon et Izé. Plusieurs détachements de la garde nationale de Vitré, du 56e de ligne et du 16e léger les affrontèrent. Le combat de Toucheneau, en date du , aurait fait 80 victimes parmi les Chouans et trois parmi la troupe selon la version officielle[31].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1983 avril 2014 Lézin Gallais[32] DVG Agriculteur retraité, syndicaliste agricole
    avril 2014 En cours Laurent Legendre[33] SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2018, la commune comptait 650 habitants[Note 7], en augmentation de 0,78 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9079649391 0621 0521 002965933974
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9671 005930889913932904941896
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    821868885764773761790750768
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    694622568546562602636641646
    2013 2018 - - - - - - -
    645650-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Pierre.

    Monuments et vestiges sur la commune

    La commune n'abrite pas de monument historique. Parmi les éléments marquants de son patrimoine, on peut noter :

    • Église Saint-Pierre du XVIe siècle ; le transept et la sacristie ont été réalisés entre 1845 et 1849, le clocher a été édifié entre 1878 et 1887 et la flèche du clocher fut posée en 1886[38].
    • Grotte religieuse.
    • Croix en pierre à l'entrée du bourg (en direction de Fougères et Luitré).
    • Forge située dans le centre-bourg à côté de l'étang (visitable).

    Lieux de promenade ou de divertissement

    • Les Landes de Jaunousse : site naturel départemental[39].
    • Circuit découverte de la commune et de son passé (chemin de 10 km).
    • L'étang : terrain à boules, jeux, pêche.
    • Terrain de football.
    • Terrain de bi-cross.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Culture

    • Prix Froger-Ferron : festival de musiques et danses traditionnelles, concours d'accordéon et concerts, tous les ans en septembre depuis 1984, sur le site des Landes de Jaunousse.
    • Fête du blé noir.
    • La Granjagoul[40] : maison du patrimoine oral en Haute-Bretagne, centre de ressources et d'animations autour de la culture gallèse réalisée par Fougères communauté[41]. Inaugurée officiellement le .

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Fougeres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Parcé et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Fougeres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Parcé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Bossard (Abbé), Dictionnaire topographique du département d'Ille-et-Vilaine, AD35 (manuscrit).
    22. « Kerofis », sur Office public de la langue bretonne.
    23. Dauzat-Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Guénégaud (1963) ; Nègre, Toponymie générale de la France, Droz (1990), no 8315.
    24. Théodore Lemas, "Un district breton pendant les guerres de l'Ouest et de la chouannerie : 1793-1800", 1895, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61053305/f95.image.r=Balaz%C3%A9?rk=2489282;4 et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61053305/f62.image.r=Balaz%C3%A9
    25. Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    26. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    27. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
    28. Théodore Lemas, Le district de Fougères pendant les Guerres de l'Ouest et de la Chouannerie', p. 32-37.
    29. Marcel Hodebert, Billé, Javené, Parcé dans la tourmente révolutionnaire, 1989.
    30. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    31. Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, , 363 p. (ISBN 2-08-211173-3 et 978-2-082-11173-7).
    32. Portail internet des services de l'État
    33. « Parcé : Laurent Legendre élu maire », La Chronique Républicaine, 4 avril 2014.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00006884, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Fiche de présentation sur le site du conseil général
    40. Site de la Granjagoul
    41. Nous Vous Ille, juillet-septembre 2008

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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