Saint-Julien-de-Concelles

Saint-Julien-de-Concelles est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Julien.

Saint-Julien-de-Concelles

L'église Saint-Julien.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Communauté de communes Sèvre et Loire
Maire
Mandat
Thierry Agasse
2020-2026
Code postal 44450
Code commune 44169
Démographie
Gentilé Concellois
Population
municipale
7 123 hab. (2018 )
Densité 224 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 15″ nord, 1° 23′ 04″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 53 m
Superficie 31,74 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Julien-de-Concelles
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallet
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Saint-Julien-de-Concelles
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Saint-Julien-de-Concelles
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-de-Concelles
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-de-Concelles
Liens
Site web
    Situation de Saint-Julien-de-Concelles dans le département de la Loire-Atlantique.

    Géographie

    Saint-Julien de Concelles est situé sur la rive gauche de la Loire, à environ 13 km à l'est de Nantes.

    Communes limitrophes

    Intercommunalité

    Partie intégrante du pays du Vignoble nantais, Saint-Julien de Concelles appartient à la communauté de communes Sèvre et Loire, avec les communes de Divatte-sur-Loire, Le Landreau, Le Loroux-Bottereau, La Remaudière, La Boissière du Doré, Vallet, La Regrippière, Le Pallet, Mouzillon et La Chapelle-Heulin[1].

    Occupation des sols

    D'un point de vue d'occupation des sols, la commune est composée de trois grands ensembles. Sur ses parties nord et ouest, on se situe dans le lit majeur de la Loire, dans une plaine inondable. Le bourg, l'est et la partie sud-est de la commune sont occupés par le vignoble, composé en grande majorité de production pour le Muscadet et le Gros plant. Au sud s'étend la zone Natura 2000 correspondant au marais de Goulaine et qui fait une véritable barrière naturelle avec la commune de Haute-Goulaine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 783 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 843,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien-de-Concelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Julien-de-Concelles, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 15 144 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,5 %), terres arables (18,6 %), prairies (10,3 %), cultures permanentes (9,1 %), zones urbanisées (9 %), eaux continentales[Note 6] (7 %), zones humides intérieures (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), forêts (0,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    La localité est attestée sous sa forme latine Sanctus Julianus dès 1123[25].

    En breton, son nom est Sant-Juluan-Kankell par l'Office public de la langue bretonne[26].

    Histoire

    Dans une charte du roi Louis VI datée de 1123, le territoire de Saint-Julien, avec l'eau de la Concelle (cum aqua Cancella) et tous les droits qui l'accompagnent, est revendiqué comme faisant partie des régaires de l'évêché de Nantes[27].

    Les seize fusillés du terrain du Bêle à Nantes, le

    Les autorités allemandes ne voulant pas que les sépultures deviennent un lieu de culte, elles font enterrer sommairement quatre des fusillés à Saint-Julien-de-Concelles. Seul un numéro inscrit sur une petite plaque indiquait l'emplacement de chaque sépulture.

    • Maurice Allano - 21 ans, de Nantes, soupçonné d’actes de résistance ; son corps est transféré dans le nouveau cimetière Sainte-Anne, Nantes.
    • Frédéric Creusé - 20 ans, de Nantes, soupçonné d’actes de résistance ; son corps est transféré dans le cimetière Miséricorde, à Nantes.
    • Michel Dabat - 20 ans, de Nantes, accusé d’actions de résistance ; son corps est transféré dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes.
    • Jean-Pierre Glou - 19 ans, de Nantes, soupçonné d’actes de résistance ; son corps est transféré dans le cimetière de Miséricorde.

    Le nom de Marin Poirier figure sur la stèle du cimetière de Saint-Julien-de-Concelles et, pourtant, il ne fit pas partie de l’exécution du  ; Marin Poirier, né à Fougères, cheminot, accusé d’avoir favorisé l’évasion de prisonniers de guerre et leur passage en zone libre ; condamné à 4 ans ½ de prison, il fit appel ; la politique des troupes d’occupation s’étant durcie, il est condamné à mort et fusillé au terrain du Bêle, le  ; après une inhumation provisoire à Saint-Julien, son corps est transféré dans le cimetière de la Chauvinière.

    Économie

    La majorité de la population active travaille en dehors de Saint-Julien de Concelles : 54 % des travailleurs effectuent des migrations pendulaires à destination exclusive de Nantes, en 2006, et, au total, 75,6 % des concellois actifs travaillent en dehors de la commune.

    Saint-Julien est une commune que l’on peut qualifier de rurale : près d’un quart des actifs travaillent dans le secteur agricole. Les volontés affichées par les acteurs du développement local tendent à vouloir renforcer ce secteur : maintenir les emplois agricoles est une des priorités du SCOT du pays du vignoble nantais ; ces emplois agricoles ne semblent donc pas menacés.

    Le secteur agricole représente environ 475 emplois à l’année sur la commune. Ce sont les activités liées au maraîchage qui sont les plus nombreuses et qui génèrent le plus d’emplois.

    Les maraîchers utilisent des serres de différentes tailles en verre ou en plastique pour protéger et mieux contrôler leurs cultures, ces grands abris façonnent le paysage de la plaine inondable, donnant l'impression de se trouver dans un paysage consacré à l'agriculture intensive.

    On compte, à Saint-Julien, une centaine d’entrepreneurs et artisans.

    L’industrie est le secteur le moins développé sur la commune ; les plus grandes entreprises sont situées au niveau du pôle d’activités de Beausoleil.

    Osier et vannerie

    Jusqu'au début du XXe siècle, Saint-Julien est un grand centre de production d'osier et de fabrication de vannerie[28].

    Fin XIXe et début XXe, des ouvriers vanniers s'unissent et créent des syndicats professionnels à Aramon (Gard), Bellot (Seine-et-Marne), Bordeaux, Fayl-Billot (Haute-Marne), Givors (Rhône), Marseille, Origny-en-Thiérache (Aisne), à Paris, Tannay (Ardennes), Toulon et Toulouse ; en Bretagne, à Nantes et Saint-Julien-de-Concelles (Loire-Inférieure)[29].

    « Des vanneries importantes existe maintenant à Nantes, à Ancenis, à Saint-Julien-de-Concelles ; c’est là qu’en 1904 et 1905, sur l’heureuse inspiration de M. Danguy, directeur des Services Agricoles, l’on a fait usages avec succès, sur de grandes surfaces, du jus de tabac titré de la régie, pour lutter contre le bleu de l’osier (phyllodecta)[30]. »

    Tourisme

    Le plan d'eau du Chêne

    Base nautique, arboretum, parcours de santé, jeux et aires de pique-nique sont disponibles sur ce site destiné aux loisirs de plein air.

    Aire de jeu du plan d'eau du Chêne inondée à la suite de fortes intempéries, en mai 2016

    Les bords de Loire

    La Loire, aussi appelée « fleuve royal », est une composante majeure du patrimoine concellois. Le fleuve est longé par la levée de la Divatte, ouvrage construit au XIXe siècle pour protéger la vallée des crues parfois importantes. Les inondations de 1910 marquent l'histoire de la commune.

    On peut s'y promener à pied ou à vélo sur plusieurs kilomètres.

    Le marais de Goulaine

    Le marais de Goulaine, classé Natura 2000, héberge de nombreuses espèces aquatiques, une faune et une flore diversifiées. Il s'étend sur cinq communes : La Chapelle-Heulin, Haute-Goulaine, Le Landreau, Le Loroux-Bottereau et Saint-Julien de Concelles.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1963 mars 1966
    (démission)
    Georges Vivant   Démissionnaire pour raisons de santé
    avril 1966[31] mars 1983 Frédéric Praud DVD puis RPR Conseiller général du Loroux-Bottereau (1967 → 1992)
    Président du SIVOM du canton du Loroux-Bottereau (1968 → 1989)
    mars 1983 mars 1989 Pierre Guillet   Chef d'entreprise (ébénisterie, menuiserie, charpenterie)
    mars 1989 juin 1995 Michel Janneau DVD (Progrès concellois)  
    juin 1995 mars 2001 Clovis Mercier DVD (Progrès concellois)  
    mars 2001 mars 2008 Pierre Roy DVD (Progrès concellois)  
    mars 2008 mars 2014 Christophe Audouin DVG (Progrès concellois) Manager informaticien à La Poste
    mars 2014 En cours Thierry Agasse DVD (En action pour St-Julien) Chef d'entreprise en menuiserie-charpente

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Julien-de-Concelles est le centre d'un bassin de vie. Elle fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes[32]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 44 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires » et 56 % dans des zones « peu denses »[33].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2018, la commune comptait 7 123 habitants[Note 7], en augmentation de 4,55 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 2001 6592 2263 1613 4673 7793 6943 7703 907
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 8623 8683 8324 0073 9713 8323 6903 6023 555
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 4613 3943 1892 8752 8602 8712 7642 9383 323
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 5553 8504 2725 0955 4186 2556 6926 7566 782
    2017 2018 - - - - - - -
    6 9177 123-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,7 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[38],[39],[40]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[38],[39],[40].

    Pyramide des âges à Saint-Julien-de-Concelles en 2013 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,5 
    4,7 
    75 à 89 ans
    7,8 
    14,4 
    60 à 74 ans
    14,5 
    21,7 
    45 à 59 ans
    20,7 
    21,7 
    30 à 44 ans
    21,2 
    15,1 
    15 à 29 ans
    14,2 
    22,0 
    0 à 14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De sinople à la chapelle Saint Barthélemy d'argent soutenue d'une jumelle ondée du même et surmontée de trois fleurs de lys d'or rangées en fasce.
    Commentaires : Dans la chapelle Saint-Barthélemy se trouvent les fleurs de lys des armoiries du Plessix-Angié. Le sinople (vert) évoque la vie rurale et les activités agricoles ; les ondes représentent la Loire. Blason conçu par Yves Boislève (délibération municipale du ).
    Ancien blason

    Avant 2001, le blasonnement de Saint-Julien-de-Concelles est : Écartelé, au premier de pourpre aux deux fraises de gueules feuillées de sinople, au deuxième d'azur à la grappe de raisin de pourpre, au troisième d'azur au brochet contourné et ployé d'argent en barre et au quatrième de pourpre à l'hirondelle de sable volant en bande. Il s'agit d'un symbole urbain créé pour les Floralies de Nantes, en 1982. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « www.cc-sevreloire.fr », sur www.cc-sevreloire.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Haie-Fouassière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Julien-de-Concelles et La Haie-Fouassière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Haie-Fouassière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Julien-de-Concelles et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Saint-Julien-de-Concelles », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 33.
    26. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    27. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
    28. Roger Hérisset, La vannerie en Bretagne : nouvelle approche de l'ethnologie de la vannerie et contribution à l'étude des composantes culturelles, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, , 408 p. (ISBN 978-2-7535-3531-2).
    29. Gaston de la Barre, Questions commerciales sur l'osier et la vannerie, .
    30. Eugène Leroux, Encyclopédie de l'osièriculture, .
    31. « M. Frédéric Praud est élu maire à l'unanimité », Ouest-France,
    32. « Commune de Saint-Julien-de-Concelles (44169) », Insee (consulté le ).
    33. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Saint-Julien-de-Concelles - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    39. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    40. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    41. Notice no PA00108806, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Gentilhommière de la Meslerie », notice no PA00108807, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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