La Montagne (Loire-Atlantique)

La Montagne est une commune de France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire, créée en 1877 par scission de la commune de Saint-Jean-de-Boiseau.

Pour les articles homonymes, voir Montagne (homonymie) et La Montagne.

La Montagne

Le Château d'Aux

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Fabien Gracia
2020-2026
Code postal 44620
Code commune 44101
Démographie
Gentilé Montagnards
Population
municipale
6 261 hab. (2018 )
Densité 1 720 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 11′ 00″ nord, 1° 41′ 00″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 38 m
Superficie 3,64 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nantes
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Brevin-les-Pins
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Montagne
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
La Montagne
Géolocalisation sur la carte : France
La Montagne
Géolocalisation sur la carte : France
La Montagne
Liens
Site web ville-lamontagne.fr

    Ses habitants s'appellent les Montagnards et les Montagnardes.

    La Montagne comptait 6261 habitants au recensement de 2018.

    Géographie

    Situation de la commune de la Montagne dans le département de la Loire-Atlantique

    Situation

    La Montagne est située sur les coteaux de la rive sud de la Loire, à 12 km du centre de Nantes.

    Les communes limitrophes sont Indre, Bouguenais, Bouaye, Brains et Saint-Jean-de-Boiseau.

    La Montagne est une des 24 communes de banlieue de l’unité urbaine de Nantes et fait partie du canton de Saint-Brevin-les-Pins.

    Transports

    La Montagne est desservie par 3 lignes de bus (78, 88 et E8) du réseau TAN[1], et par la ligne 301 du réseau régional Aléop[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 810 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Montagne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nantes, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[17] et 645 324 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nantes est la huitième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux et Nice[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (62,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (57 %), prairies (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), forêts (6,8 %), terres arables (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de La Montagne a pour origine la villa éponyme construite entre 1839 et 1841, par Aristide Demangeat, fils cadet de l’ex-directeur de l’Arsenal d’Indret, qui se trouvait sur une hauteur de la future commune. Cette habitation abrite désormais la mairie.

    La Montagne possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : La Montàeyn (écriture ELG)[24].
    Son nom est traduit Ar Menez en breton (sans trace historique de cette dénomination)[25].

    Histoire

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

    Le territoire de la commune fait partie de la paroisse de Saint-Jean de Bouguenais, qui devient la commune de Saint-Jean-de-Boiseau en 1789. C'est une communauté essentiellement rurale, mais le développement de l'activité industrielle dès la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, avec, en particulier, la création de l'arsenal d'Indret en 1777, modifie la donne : le secteur de la Montagne tout proche d'Indret connaît une forte croissance démographique liée à l'afflux d'ouvriers.

    Il s'ensuit un certain nombre de problèmes entre la population traditionnelle et les nouveaux venus.

    Les 2 et , pendant la guerre de Vendée, 209 habitants de Bouguenais sont fusillés par les Républicains près du château d'Aux.

    En 1868, une nouvelle paroisse est créée pour le secteur de la Montagne, Notre-Dame. Neuf ans après, Saint-Jean-de-Boiseau est démembrée et la commune de la Montagne est créée, le .

    Héraldique

    Blason
    D'or à trois mouchetures d'hermine à l'ancre de marine de sable brochant sur une roue dentée de gueules posée en abîme, soutenue d'un fasce ondée d'azur[26].
    Détails
    La fasce ondée d'azur est le symbole de la Loire, les mouchetures d'hermine montrent l'attachement à la Bretagne, l'ancre de Marine est le symbole des ouvriers de l'arsenal (auparavant fonderies royales). Ce blason est supporté par deux branches de lauriers qui sont le symbole du drapeau républicain de 1848.
    Blason présent sur le site de la commune.
    Alias
    Alias du blason de Montagne (La)
    Coupé : au premier, parti : au premier, d'or à la croix de sable, et au second, de gueules à l'ancre de sable ; au second, d'argent à la fasce ondée d'azur.
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur gueules). Blason et blasonnement non conformes à ceux présentés sur le site officiel de la commune. Le blason représente : le blasonnement du pays de Retz (d'or à la croix de sable), rappelant l'appartenance de La Montagne au pays de Retz ; une ancre évoquant les chantiers navals ; une onde bleue représentant la Loire. Blason enregistré le 3 octobre 1981.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1935 1945 Alphonse Tramblay SFIO Syndicaliste
    mars 1965 mars 1969 Francis Lambourg DVD puis UDF conseiller général du canton du Pellerin
    mars 1969 mars 1977 Pierre Cadeau DVD  
    mars 1977 René Guillard PS  
    juin 1995 Francis Lespinet PS puis DVG  
    mars 2014 Liliane Plantive[27] DVG (ex-PCF)  
    mars 2014 28 mai 2020 Pierre Hay DVG  
    28 mai 2020 En cours Fabien Gracia[28] DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[29].

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, La Montagne fait partie de l'aire urbaine, de l'unité urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes[30]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 99 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires » et 1 % dans des zones « peu denses »[31].

    Évolution démographique

    La commune est créée en 1877, à partir de Saint-Jean-de-Boiseau.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 6 261 habitants[Note 6], en augmentation de 4,56 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    2 1062 3092 5562 4042 5952 9483 0803 1172 895
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 9403 2323 4413 9234 1364 4185 0255 1655 419
    1990 1999 2004 2009 2014 2018 - - -
    5 5555 8475 9745 9975 9956 261---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[36],[37],[38]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[36],[37],[38].

    Pyramide des âges à La Montagne en 2013 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    1,2 
    6,3 
    75 à 89 ans
    10,4 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,5 
    22,1 
    45 à 59 ans
    21,2 
    20,0 
    30 à 44 ans
    20,8 
    15,1 
    15 à 29 ans
    13,9 
    24,0 
    0 à 14 ans
    18,9 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Cinéma

    Cinéma le Montagnard - la salle

    Le cinéma Le Montagnard est un cinéma Art et Essai bénévole. C'est dans la même salle que depuis 1919 les bénévoles, de l'association des « Montagnards », assurent régulièrement les projections du cinéma. Celui-ci est né de la volonté de l'abbé Guiho qui fait l'acquisition, en 1919, auprès des surplus de l'armée américaine, d'un appareil de projection Power. Les films muets de l'époque sont accompagnés au piano par un pianiste aveugle : il faut lui indiquer au fur et à mesure la nature des scènes et il joue alors un accompagnement en rapport avec le thème de ces dernières. La salle accueille en 1934 le cinéma parlant, puis le cinémascope en 1954, et témoigne de la grande activité des salles paroissiales de la région. La salle est régulièrement rénovée, pour résister aux crises que traverse le cinéma associatif. Aujourd'hui la salle est équipée en numérique, pour les handicapés, avec une capacité d'accueil de 228 places.

    Jumelages

    La Montagne est jumelée avec :

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Carte interactive du réseau TAN
    2. Carte interactive du réseau Aléop
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Montagne et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Nantes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    26. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=11841
    27. Réélue en mars 2008.
    28. Michel Tanneau, « Municipales. La Montagne. Le maire Fabien Gracia entouré de huit adjoints », Ouest-France, (lire en ligne).
    29. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Montagne, consultée le 26 octobre 2017
    30. « Commune de La Montagne (44101) », Insee (consulté le ).
    31. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - La Montagne - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
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