Saint-Jean-Brévelay

Saint-Jean-Brévelay [sɛ̃ ʒɑ̃ bʁevlɛ] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.

Saint-Jean-Brévelay

L'église Saint-Jean-de-Beverley.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Communauté de communes Centre Morbihan Communauté
Maire
Mandat
Guénaël Robin
2020-2026
Code postal 56660
Code commune 56222
Démographie
Gentilé Brevelais, Brevelaises
Population
municipale
2 808 hab. (2018 )
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 50′ 45″ nord, 2° 43′ 15″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 164 m
Superficie 41,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Jean-Brévelay
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Saint-Jean-Brévelay
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Saint-Jean-Brévelay
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-Brévelay

    Géographie

    En centre Morbihan, Saint Jean Brévelay est située à 20 minutes au nord de Vannes et une dizaine de minutes de Locminé. Administrativement, la commune de Saint Jean Brévelay est rattachée à la sous-préfecture de Pontivy.

    Communes limitrophes de Saint-Jean-Brevelay
    Bignan Guéhenno
    Colpo Plumelec
    Locqueltas Plaudren

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 964 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bignan », sur la commune de Bignan, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 010,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jean-Brévelay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 3,4 % 142
    Zones industrielles ou commerciales et installations publics 0,7 % 28
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 43,3 % 1807
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 11,4 % 475
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 19,1 % 796
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 4,7 % 197
    Forêts de feuillus 3,2 % 134
    Forêts de conifères 5,7 % 236
    Forêts mélangées 8,4 % 362
    Forêt et végétation arbustive en mutation 0,1 % 4
    Source : Corine Land Cover[18]

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sainct Jehan en 1427, en 1426, en 1477, en 1481 et en 1514 ; Sainct Jan en 1536[19].

    Au Xe siècle, fuyant les pillards normands, les Bretons se réfugient temporairement en Angleterre. À leur retour en Bretagne, ils rapportent des reliques d'un évêque d'Exham et d'York, mort en 721 à Beverly où il avait fondé un monastère. Ils nomment leur paroisse du nom du Saint, « Jean de Beverley, John of Beverley » connu aussi sous le nom de « John d'York ».

    Berveraly ne serait donc pas un mot breton mais un mot saxon brittonisé en Brévelay qui dériverait du vieil anglais « Beofor lēac - Beaver lodge », « Hutte de castor »[Note 6].

    Histoire

    Le XIXe siècle

    Selon Jules Simon, qui vécut une partie de sa jeunesse dans la commune vers 1818, « Saint-Jean [Brevelay] et ses environs étaient le centre de la Chouannerie. Je ne voyais que des chouans autour de moi ». Il décrit saint-Jean-Brévelay à cette époque : « Nous étions à Saint-Jean dans un isolement complet. D'abord aucune grande route ne traverse la commune et, ensuite, aucun bourgeois n'y résidait (...). Le maire était un paysan fort intelligent, qui savait le français, mais n'aimait pas le parler (...). En dehors de [quelques] notables, personne sans le village ne parlait le français »[20]. Dans son livre Premières années, publié en 1901, Jules Simon raconte la venue de sa tante Vincente qui créa la première école de filles à Saint-Jean-Brévelay :

    « Vincente avait été bien élevée. Elle lisait couramment, écrivait tant bien que mal, avec une orthographe impossible. Elle savait les trois premières règles sur le bout des doigts, mais elle n'avait jamais pu mordre à la division. Elle tricotait, cousait et filait admirablement. Enfin elle possédait deux langues : le français d'abord, et le bas-breton, le breton de Vannes, qu'on parle à Lorient et à Saint-Jean. Elle demanda au maire[Note 7], lors de leur première entrevue, de la prendre comme fille de ferme. (...) Ce fut le maire (...) qui eut l'idée de la faire maîtresse d'école. Il n'y avait d'école ni à Saint-Jean, ni à Bignan, ni à Guéhenno, ni à Plumelec. (...) Je vous logerai dans une maison « que j'ai sur la place ». Il aurait pu dire « sur le cimetière » : mais c'est le plus bel endroit du bourg. La maison en question n'avait pas été habitée depuis quinze ans (...), n'avait qu'une pièce, qui recevait le jour par une lucarne. Elle était couverte en chaume (..). Le maire fit clouer quelques planches qui partagèrent la maison en deux pièces : un trou obscur que Vincente appela sa chambre et « la salle » où il y avait une lucarne et une cheminée, et qui devint la salle d'école. (...) La difficulté fut de trouver des élèves (...) Il fallut les exhortations réunies du recteur et celles de ma mère (...) pour amener six ou sept filles; il n'était pas question des garçons (...)[21] »

    De nombreux habitants de Plumelec, Plaudren, Saint-Jean-Brévelay, etc.. participèrent à la manifestation légitimiste du à Sainte-Anne-d'Auray[22].

    L'Entre-deux-guerres

    En 1927 à Saint-Jean-Brévelay, l'école chrétienne de garçons avait 76 élèves, celle des filles 116 élèves alors que l'école laïque de garçons avait 13 élèves et celle des filles 9 élèves[23].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé : en 1 : de sable à la tête de crosse abbatiale d'or ; en 2 : de gueules à trois macles d'or ; en 3 : de vair ; en 4 : de sable au coq hardi d'argent.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1927 1940 Pierre Gillet PAPF Agriculteur
    Député du Morbihan (1936 → 1940)
    Conseiller général du canton de Saint-Jean-Brévelay (1925 → 1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1968 mars 1989 Charles Gillet   Artisan
    Réélu en 1977 et 1983
    mars 1989 mars 2008 Rémi Adelis DVD Cadre technique agroalimentaire
    mars 2008
    Réélu en 2014 et 2020[24]
    En cours Guénaël Robin SE Cadre technique EDF[25]
    Conseiller général du canton de Saint-Jean-Brévelay (2011 → 2015)
    Conseiller départemental du canton de Moréac (2015 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2018, la commune comptait 2 808 habitants[Note 8], en augmentation de 1,56 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 9392 2602 0902 3772 1892 2322 3532 4182 411
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3752 5092 2042 1202 0522 0852 0522 0162 032
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0782 0942 1011 8981 9101 9331 9161 8691 754
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 7841 8732 1322 2872 3542 3682 5052 7242 770
    2018 - - - - - - - -
    2 808--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Monuments naturels

    Église Saint-Jean-de-Beverley

    Église Saint-Jean-de-Beverley

    Édifice du XVe siècle au XIXe siècle. Dédiée à saint Jean de Beverley, un saint anglais du royaume médiéval de Northumbrie évêque de York qui fonda le monastère et la ville de Beverley dans le Yorkshire de l'Est, mort en 721 et canonisé en 1037. En forme de croix latine, avec des fenêtres en ogive, l'église Saint-Jean-de-Brévelay rassemble des parties construites à plusieurs époques :

    • la porte romane date du XVe siècle,
    • le transept et le chœur ont été remaniés au XVIIe siècle,
    • la chapelle Saint-Joseph au sud été ajoutée au XVIIe siècle,
    • la nef actuelle a été construite en 1825,
    • le clocher porche a été terminé en 1879.

    Un retable très coloré occupe le fond du chœur, avec :

    • un grand tableau de la Pentecôte au centre
    • entouré de deux statues, saint Pierre tenant les clefs du royaume, et saint Jean de Beverley en évêque avec un cochon.

    La porte romane de l'église a été classée monument historique en 1929.

    Chapelle Saint-Nicolas

    Le portail remonte à 1490, mais la chapelle a subi des modifications, avec l'ajout d'une sacristie en 1886, et une restauration terminée en 1925.
    Le retable en bois polychrome imitant un marbre vert et dédié à saint Nicolas date de 1777 :

    • au centre, un tableau de saint Nicolas dans la résurrection des trois enfants jetés au saloir,
    • sur les côtés, les statues de sainte Hélène et de saint Nicolas sont posées sur des socles devant des niches peintes en trompe-l'œil.

    Chapelle du Moustoir, ou chapelle Saint-Marc

    Du XVIIe siècle au XIXe siècle.
    Restaurée en 1885 et enrichie d'une sacristie, elle possède un retable polychrome du XVIIe siècle dédié à saint Marc.

    Chapelle Saint-Roch

    Du XVIe siècle au XVIIe siècle.
    L'austérité de sa façade (un mur aveugle, sans aucun ornement) contraste avec un intérieur plus élaboré comprenant notamment :

    • une voûte lambrissée,
    • une charpente ornée de têtes de crocodiles.

    Chapelle Saint-Thuriau

    XVIe siècle.
    Cette petite chapelle rectangulaire possède des ornements Renaissance, une porte à pilastres et fronton ouvragé, des fenêtres sculptées, et la charpente a des entraits à tête de crocodiles comme à la chapelle Saint-Roch. Son mobilier inclut une statue de saint Uhec en bois polychrome du XVIe siècle.

    Dolmens

    • Dolmen de Roch-Koh-Coët ou allée couverte du Bignan : vestige d'une allée couverte dont l'allée a été ruinée, ce dolmen de 8 mètres de longueur, situé dans le bois de Goh-Menhir, comprend une table de 6 mètres de largeur supportée par trois gros blocs.
    • Dolmen de Keruzan (Lann-Douar): situé au sud de la Claie, près des lieux-dits le Moustoir et Kéruzan, ce dolmen a été endommagé par la construction d'une route.
    • Dolmens de Kerallant : détruits lors du remembrement des terres agricoles, ces deux dolmens ne nous sont connus que par des témoignages. L'un d'eux, un dolmen simple, avait sur une paroi la gravure d'une hache et sa chambre, de 2,5 x 1,6 m était couverte d'un dallage. L'autre, un dolmen à couloir, possédait une chambre circulaire. L'ensemble était sous un tumulus de 12 m sur 8.

    Menhirs

    • Stèle du Moustoir : stèle gravée d'une croix pattée pouvant provenir d'un menhir.
    • Menhir de Goh-Menhir : c'est le plus haut des menhirs de Saint-Jean-Brévelay, avec m de hauteur. Il a donné son nom au lieu-dit Goh-Menhir.
    • Menhir de Kerdramel : ce menhir étrangement triangulaire mesure m de hauteur et se trouve sous un arbre dans le lieu-dit Kerdramel ou Kerarmel.
    • Menhir de Colého : situé au lieu-dit Colého sur la route Plaudren-Colpo, il mesure 5 m de hauteur et comporte de petites cavités.
    • Menhir de Lann-Douar : il mesure 4,5 m de hauteur et est situé dans un champ.
    • Menhir de Menguen-Lanvaux : situé à 200 m de l'allée couverte de Menguen-Lanvaux (située sur la commune de Plaudren), ce menhir dresse ses m de hauteur dans un champ.

    Sports

    Football

    Deux clubs de football sont résidents à Saint-Jean-Brévelay, L'Espérance Football-Club de Saint-Jean-Brévelay dont l'équipe fanion évolue en PH et l'Amicale Sportive Brévelaise dont l'équipe fanion évolue en D2. Ces deux clubs se partagent le Stade municipal situé au complexe de la Métairie lors de leurs rencontres à domicile. Saint-Jean-Brévelay est l'une des rares communes de cette taille à toujours disposer de deux clubs de football. Les raisons sont historique et religieuse : à l'origine, l'Espérance est un patronage catholique et l'ASB est le club laïque.

    Espérance de Saint-Jean-Brévelay

    L'Espérance Football-Club de Saint-Jean-Brévelay, plus simplement appelée Espérance a été fondée en 1921 par l'abbé Gachet. Traditionnellement, elle joue avec un maillot vert et des bas verts tandis que la couleur de la culotte a varié entre le vert et le noir au cours de son histoire. Actuellement, la présidence est assurée par Jordan Pasco et l'entraîneur général est Laurent Peltier. Lors de la saison 2016-2017, l'équipe première évolue en D1, l'équipe B en D2 et l'équipe C en D3.

    Amicale sportive brévelaise

    Le club a été créé en 1975. Les joueurs de l'ASB évoluent avec un maillot tango, une culotte noire et des bas noirs. Au cours de la saison 2016-2017, l'équipe de l'ASB participe au championnat de D2. La présidente du club est Annie Conan et l'entraîneur Éli Kroupi est à la tête de l'équipe.

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Saint-Jean-Brévelay est jumelée avec :

    Enseignement

    Lycée professionnel horticole public Le Sullio

    Le lycée horticole est un établissement public d'enseignement professionnel. Il prépare ses élèves au diplôme du baccalauréat professionnel en Production Horticole (mention "orientation agriculture biologique") et Aménagements Paysagers, ainsi qu'au CAP fleuriste et services à la personne et vente en espace rural (sapver). Il possède un internat.

    Il dispose d'une exploitation horticole certifiée en agriculture Biologique depuis 2008[31].

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Disparu de Grande-Bretagne vers 1600-1700, le castor européen - Castor Fiber - a été réintroduit dans ce pays il y a quelques années.
    7. François Ozon, né le à Saint-Jean-Brévelay, décédé le à Saint-Jean-Brévelay, laboureur, maire depuis 1808.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Bignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Jean-Brévelay et Bignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bignan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Jean-Brévelay et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    19. « Étymologie et Histoire de saint-jean-brévelay », sur infobretagne.com (consulté le ).
    20. Jules Simon, " Les derniers mémoires des autres", 1897, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9681998m/f128.image.r=Plumelec?rk=1266100;4
    21. Jules Simon, Tante Vincente, "L'Enfant : organe des Sociétés protectrices de l'enfance", juillet 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5705207t/f3.item.r=Plumelec
    22. Le 29 septembre 1889 à Sainte-Anne-d'Auray, "Le Drapeau blanc : journal légitimiste hebdomadaire", n° du 30 mars 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k938536m/f3.image.r=Plumelec?rk=1051507;2
    23. "École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille", juin 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5773667s/f9.image.r=Plumelec?rk=901292;0
    24. « Saint-Jean-Brévelay. Guénaël Robin est élu maire, pour un 3e mandat », sur Maville.com, (consulté le ).
    25. « Élections cantonales 2011 », sur Ouest-France
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Roger DupuyLes Chouans, Coll. « La Vie Quotidienne », Hachette Littérature, Paris 1997, p.106-107.
    31. « Accueil - Lycée Horticole », sur Lycée Horticole (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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