Armorial et nobiliaire de Savoie

L'armorial et nobiliaire de Savoie recense les familles nobles et notables qui ont possédé des fiefs sur l'ancien territoire historique de la Savoie (comté puis duché de Savoie), ainsi que leurs armoiries, sous forme de figures et de blasonnements, et leurs devises. En héraldique, un armorial est un recueil d'armoiries. Certains sont illustrés, d'autres se limitent à donner une liste de blasonnements.

Le titre de l'article reprend en partie le titre Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie du comte Amédée de Foras, et continué par le comte François-Clément de Mareschal de Luciane, 5 volumes publiés entre 1863 et 1938. Ces travaux répertorient 263 familles.

Cet armorial renvoie également en fin de page à ceux des communes des deux départements savoyards, de la Savoie et de la Haute-Savoie.

La Maison de Savoie

Branche principale de la Maison de Savoie

Cette page donne les armoiries (figures et blasonnements) des princes de la maison de Savoie.

Image Nom de la famille, blasonnement et devise Périodes d’apparition et disparition Titre(s) et domaine(s) d'origine
Comtes de Savoie

Premières armes des vicaires impériaux de Lombardie desquels dépendait la Savoie: d'or à l'aigle de sable[1]. Ce sont les armes de l'Empereur telles qu'on les retrouve meublant le blason de Maurienne[1].

Devise : FERT qui est, plus précisément, la devise de l'ordre du Collier ou du Lac d'Amour (devenu, en 1518, ordre de l'Annonciade) créé en 1362 ou 1364 par le comte Amédée VI, et peut-être aussi la devise d'un ordre plus ancien. Il y a plusieurs versions de ce mot lu comme acronyme : « Frappez, Entrez, Rompez Tout », Fides Est Regni Tutela La foi est la protectrice du royaume »), Foedere Et Religione Tenemur Nous sommes tenus par l'alliance et la religion ») ou encore, en hommage à Amédée V le Grand, Fortitudo Ejus Rhodum Tenuit Sa vaillance a sauvegardé Rhodes »). En fait, il est très probable que Fert n'ait pas été un acronyme avant qu'on lui donne cette signification en 1392…

Apparu vers le Xe siècle. Comtes de Maurienne (1033), de Savoie, du Val d'Aoste (1024, 1038), du Bugey, du Chablais (1038), de Nyon (1018) de Sermorens (1038), du Viennois (1003) et ainsi que de la Tarentaise (1038)[2]
Comtes puis ducs de Savoie

Amédée III de Savoie utilise sur un sceau, datant de 1143, la croix blanche de Savoie : de gueules à la croix d'argent[1]. La Bannière, bien que d'origine incertaine, serait « d'origine impériale et montraient que leur possesseur relevait directement du Saint-Empire »[3]. L'usage définitif de la Croix de Savoie se fait avec le comte Amédée V au début du XIVe siècle.

Devise : custodibus istis (traduction la plus vraisemblable : « À ces gardiens-là »), associée à ce blason. C'est également la devise de Chambéry[4]

Comte, puis duc de Savoie (1416), prince de Piémont (1416), roi de Sicile (1713)

Branches cadettes de la Maison de Savoie

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Savoie-Nemours

Écartelé, en 1 et 4 parti au 1 de gueules au cheval effrayé d'argent, au 2 fascé d'or et de sable de huit pièces au cancrelin de sinople posée en bande brochant sur le tout et enté en pointe d'argent à trois bouterolles au bout d'épée faites en croissant de gueules mal ordonnées, en 2 d'argent semé de billettes de sable au lion de même brochant sur le tout, en 3 de sable au lion d'argent ; sur le tout de gueules à la croix d'argent à la bordure endentée d'argent[5].

Apparu au XVIe siècle. Comte, puis Duc de Genève (1514-1659), ducs de Nemours (1528-1659), comte d'Aumale (1652-1659).
Savoie-Piémont

De gueules à la croix d'argent brisé d'un lambel d'azur en chef.

Issus de Thomas II (1199 † 1259), fils de Thomas Ier. Branche éteinte en 1418. Comtes de Piémont.

Tableau des familles nobles

Cette section présente une partie des familles les plus importantes originaires du comté, puis duché de Savoie, issues de la noblesse d'extraction (avant le XVe siècle) ou de la noblesse de robe. Toutefois, selon les mouvements de l'histoire, des familles originaires d'autres territoires (comtés de Genève, Nice, Valais, pays de Vaud, du versant italien ou encore d'ailleurs) ont offert leurs services à la maison de Savoie et se sont installées dans le comté.

Selon les historiens Léon Menabrea (1804-1857)[6] ou Bernard Demotz[7], on peut ainsi distinguer, courant le Moyen Âge, plusieurs ordres dans la hiérarchie des familles féodales constituée d'une soixantaine de familles, suivis de leurs bannerets.

À ces principales familles féodales, il faut compter les seigneurs ecclésiastiques, souvent issus de ces mêmes familles importantes, parmi lesquelles on retient les évêques puis archevêques-comtes de Tarentaise, les évêques de Genève, les évêques de Maurienne.

Pour Louis Comby, on compterait pour cette période plus de 250 familles aristocratiques féodales en Savoie[9]. À partir du XVe siècle, le duché de Savoie compte environ 1 420 familles nobles, dont le quart était domicilié à Chambéry[10].

A

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Famille d'Albier

La famille d'Albier ou d'Alby ou d'Albiez porte Losangé de gueules et d'argent et/ou De gueules à la bande d'or chargée d'un vol (deux ailes), alias d'un demi-vol (une aile) de sable[Foras 1],[11].

Foras compte deux familles portant le patronyme, probablement de souche commune[Foras 1] :

  • Albier de Maurienne
    • Albier de la Croix de la Rochette
    • Dalbier (?) en Maurienne
  • Albier, faisant preuves de noblesse au XVIIIe siècle
Chartes du XIIe au XVe siècle[11] — Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 1] Présente en Maurienne, Bauges-Alby et Genevois. Seigneurs de La Croix (La Croix-de-la-Rochette-Maurienne), Le Châtelard (Bauges)[12], Montpon (Alby-Albanais)[12].
Famille de L'Alée

La famille de L'Alée (La Lée), L'Allée ou Lalée porte D'argent, à la bande d'azur accompagnée de deux étoiles du même, au chef de gueules chargé d'un croissant d'or (autres variantes)[Foras 2].

Devise : Beatae Virginis letae[réf. nécessaire]

v. le XVe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 2] Famille originaire d'Annecy (Genevois)[Foras 2]. Seigneurs et barons (XVIIe siècle)[13] de la Tournette (Tornette) et de Songy (Saint-Sylvestre - Albanais), coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Genevois), seigneurs des Molettes (Savoie)[Foras 2]. Châtelains au XVIe siècle, en Genevois.
Famille d'Alexandry d'Orengiani

La famille d'Alexandry d'Orengiani (anciennement Orengiani) porte Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois soleils d'or ; aux 2 et 3, parti d'or et d'azur, à l'oranger de sinople fruité d'or.[Foras 3],[CEA 1]. Foras indique n'avoir aucune information concernant le passage du nom Orengiani après celui d'Alessandri, ni pourquoi leurs armes ont été également inversées[Foras 3].

Couronne de baron. Supports : Deux lions lampassés de gueules. Cimier : Une nymphe de carnation, tenant de la dextre une orange d'or, et de la senestre une banderole flottante sur laquelle est écrit : Pulcriori detur. Devise : Tien il mezzo[Foras 3],[CEA 1].

Première mention au XIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVIe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 3],[CEA 1]. Originaire d'Ivrée, en Piémont[Foras 3],[CEA 1]. Mariage d'un Orengiani avec l'héritière des Alexandry, au XVIe siècle[Foras 3],[CEA 1]. Preuves de noblesses du à la Chambre des comptes de Savoie[Foras 3],[CEA 1].
Maison d'Allinges

La famille d'Allinges porte De gueules, à la croix d'or.[Foras 4],[Borel 1].

Devise : Sans varier[Foras 4]

Apparu vers le XIe siècle — Éteinte au XIXe siècle (branche Allinges-Coudrée dont le dernier représentant meurt en 1840)[Foras 4]. Famille originaire du Chablais. Jean-Louis Grillet, reprenant les cartulaires des abbayes de Saint-Maurice et d'Aulps, indique que les chefs de familles étaient appelés « Princes »[14]. Marquis de Coudrée, de Lullin, de Ternier, de Seyssel-La Chambre ; comtes de Langin, de La Valdisère, de L'Hueuille, d'Apremont, de Montréal ; Vicomtes de Tarentaise ; Barons de Larringes, de Montfort, de Montfalcon ; etc.[Foras 4]
Famille Amblard de Chignin

La famille Amblard de Chignin porte d'argent, au lion de gueules, à une fasce d'azur brochant sur le tout, chargée de trois roses d'or[Foras 5].

XIIIe siècleXVIe siècle[15]. Chevalier. Noble mais absence de titres[Foras 5]. Se réclamant descendre de la famille de Chignin (sans preuves)[Foras 5].
Famille d'Ameysin

La famille d'Ameysin porte D'argent à la bande de gueules chargée de trois coquilles d'or[Foras 6],[16].

Apparue au XIIe siècle ou XIIIe siècle[Foras 6]. Chevalier. Seigneur d'Ameysin, Le Villard (Comté de Savoie). Pierre d'Ameysin est bailli de Faucigny (1355-1370)[17].
Famille d'Andrevet

La famille d'Andrevet porte D'argent, à trois fasces de sable, à la bande de gueules brochant sur le tout[Foras 7],[Borel 2].

Cimier un lévrier de sable colleté d'argent. Supports deux lévriers de sable colletés d'argent.

  • Autre branche : Andrevet de Corsant
Anoblie au XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 7]. Famille originaire de Montmélian (Comté de Savoie), installée en Bresse (Guichenon). Seigneurs puis barons (XVIe siècle) de Corsant (Pont-de-Veyle) ; seigneurs de Beaurepaire, Montfalcon, d'Albens, Saint-Julien[Foras 7].
Famille d'Angeville

La famille d'Angeville ou d'Angeville de Beaumont, porte De sinople à deux fasces ondées d'argent[Foras 8],[CEA 2].

Devise : In his renascimur omnes (Nous renaissons tous en eux)[Foras 8],[CEA 2]

Etablie en Genevois au XVe siècle[Foras 8] — Branche du Bugey (XVe siècle)[CEA 2]. Originaire du Bassigny (Champagne)[CEA 2], établi à La Roche (1440)[18]. Seigneurs de ou du Mestral, de Chesnay (Chenex), du Vidomnat des Bornes, d'Espagny, de Doudens et de Lambert ; barons de Ternier (1611)[19], de Lornay, d'Allonsier (1700) et de Villy-le-Pelloux (1700) (Savoie) ; Seigneurs de Montveran, de Culoz (1698), de Landaise (1698), et comtes de Lompnes (1657), en France[Foras 8].
Famille d'Arenthon

La famille d'Arenthon porte Bandé d'argent et de gueules[Foras 9],[20].

Probablement issue de la Maison de Faucigny ou de la branche des Faucigny-Lucinge[Foras 9],[21]. Prend le nom d'Arenthon d'Alex au XVe siècle, à la suite du mariage de Marguerite d'Alex et de Pierre d'Arenthon.

Branche :

  • Arenthon de Veigy
Apparu vers le XIIIe siècle — Éteinte Chevalier, puis baron d'Arenthon (Faucigny)[Foras 9]. Seigneurs d'Alex, Châtillon (Terreaux) (1530)[22], Ferrières, Monterre (?) ; coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Comté de Genève)[Foras 9].
Famille d'Arlod

La famille d'Arlod, d'Arloz, d'Arlos ou encore d'Arlo (en latin de Arlosio, de Arloz, de Arlodo) porte D'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules ou de sable au lion d'argent[Foras 10],[CEA 3].

Support & cimier : Trois taureaux[CEA 3].

Devise : Nobilis, miles, potens[CEA 3].

Apparu vers le XIIe siècle. Famille éteinte en Savoie, nom relevé en France par la famille Bouillet[Foras 10]. Château de Mons (Comté de Genève) (Foras)[Foras 10] ou originaire du Bugey (Guichenon, repris par Chaix d'Est-Ange)[CEA 3]. Seigneur d'Arlod, Mons (Comté de Genève)[Foras 10]. Possessions en Semine, en Michaille, dans le Chablais et dans les bailliages de Ternier et Gaillard[Foras 10].
Famille d'Arvillard

La famille d'Arvillard porte D'or à l'aigle éployée d'azur, couronnée, becquée et membrée de gueules[Foras 11].

Devise : Nube Altius (Au-dessus des nuages)[Foras 11]

Apparue vers XIIe siècle (selon Foras)[Foras 11], mais dont le premier membre de la famille est mentionnée en 1058[Note 1]. Audise, dernière héritière des nobles d'Arvillard, épouse en 1341 Humbert, bâtard du comte Aymon de Savoie[Foras 11],[24], donnant naissance à la branche des Savoie-Arvillard (1341-1628), puis achat par la famille de Milliet, en 1628[25]. Installé en vallée du Gelon et les vallées du Bens et du Bréda (Comté de Savoie). Seigneur d'Arvillard et de la Bastie-d'Arvillard[Foras 11]. Une branche cadette semble subsister en Dauphiné[Foras 11].
Famille d'Avalon

La famille d'Avalon porte De gueules, à l'aigle bicéphale d'argent[Foras 12]

Apparu vers le XIe siècle[Foras 12] Seigneur de Saint-Pierre-sur-Isère ou Sous-Conflens, de Blay, coseigneur de la vallée de Bozel (Tarentaise)[Foras 12]. Possède de nombreux domaines sur la rive gauche de l'Isère jusqu'en Graisivaudan[26].

Ba

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Famille de Ballaison

La famille de Bal(l)aison, parfois de Bal(l)eyson ou de Bal(l)ayson ou de Bal(l)eison, porte d'hermine à une bande de gueules[Foras 13],[Borel 2].

Citée pour la première fois en 1138[27] — Éteinte au XVIe siècle. Chevalier. baron d'Hermance et de Beauregard (Chens-sur-Léman), seigneur d'un puis des deux châteaux ainsi que du mandement de Balleyson, du Vidomne des Bornes, seigneur d'Avanchy, de Boisy, de Chavannex, de Loisin, de Saxel (Chablais)[Foras 13].
Famille de La Balme

La famille de La Balme et/ou Apremont (Foras, Bernard[Note 2], qui prendra le nom de La Balme d'Apremont (à partir du XVe siècle), porte Fascé d'or et de sable ou Fascé d'or et de sable de 6 pièces (Besson), Bandé d'or et d'azur de 6 pièces (ibid), d'or à 2 fasces de sable (ibidem) ou encore fascé d'or et de sable de 6 pièces[Foras 14] ou De gueules à la croix d'argent (selon Guichenon), alaisée ou pleine[Foras 14].

Apparue au Xe siècle[29] / début du XIe siècle — Éteinte au XVe siècle[Foras 14]. Originaire d'Apremont (Combe de Savoie-Chartreuse). Un Richard Vacher, ou d'Apremont, serait à l'origine de la branche noble des La Balme d'Apremont[30]. Seigneur d'Apremont, Avressieux (1323-1345, 1402)[31], des Marches, Entremont-le-Vieux (Savoie Propre), Silans (Corbonod). Les bien passent ensuite à différentes familles : Les Rivoire, les Montmayeur[Foras 14].
Famille de La Balme

La famille de La Balme porte D'or à la bande d'azur[Foras 15].

Branches cadettes :

  • La Balme de la Molière : D'azur à trois bandes d'or[Foras 15]
Apparu vers la fin du XIe siècle[Foras 15]. Originaire du Bugey, dont deux rameaux se sont installés en Savoie. Seigneurs des Terreaux (Valromey), de Longefan et de la Molière (Savoie)[Foras 15].
Famille de La Balme

La famille de La Balme ou de Balmâ porte De gueules à la fasce d'or accompagnée en chef d'une étoile de même et d'un oiseau d'argent en pointe[Foras 16].

Première mention d'un chevalier de La Balme en 1233[32] — Éteinte vers 1646[Foras 16]. Originaire de la Maurienne, village de Montvernier.
Famille de La Baume

La famille de La Baume dite de La Baume de Montrevel porte D’or, à la bande vivrée d’azur[CEA 4],[Jougla 1].

Cimier : Un cygne d'argent, ailé de sable[CEA 4],[Jougla 1]

Devise : L'honneur guide mes pas[CEA 4],[Jougla 1]

Premières mentions au XIIe siècle — Filiation XIVe siècle[Jougla 1] — Éteinte (1794) par décapitation du dernier représentant[CEA 4]. Originaire de la Bresse. Seigneur puis comte (1418) puis marquis de Montrevel, marquis de Saint-Martin (1584)[Jougla 1]. Baron de Cusy. Seigneur de Mont-Saint-Sorlin.
Famille de Bavoz

La famille Bavoz, parfois Bavoux (en latin : bavisilien)[33], porte De sable au mufle de lion d'argent[Foras 17].

Apparue au XVe siècle — Anoblie (XVIIe siècle) — Éteinte en 1775[Foras 17]. Originaire de Billième (Bugey savoyard). Seigneur de Billième, Oncieu, Les Terraux (Bugey)[Foras 17]. Domaines à Ruffieu et Serrières (Comté de Savoie).

Be à By

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Famille de Beaufort

La famille de Beaufort porte De gueules au lion d'argent (armé et lampassé d'azur)[Foras 18],[34].

Branche cadette :

  • Beaufort de Villard-Chabot.
Mentionnée au Xe siècle — Filiation XIVe siècle
— Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 18].
Originaire de Beaufort (Beaufortain). Ils vendent le château et leurs terres à Béatrix de Faucigny en 1271[34]. Vicomte de Tarentaise et seigneur de la Val-d'Isère en 1346 (en échange de la terre de Beaufort), barons de Le Bois, Chevron, Montailleur. Seigneurs de terres et châteaux en Albanais, Beaufortain, Genevois Savoie et Tarentaise[Foras 18].
Famille de Bellegarde

La famille de Bellegarde porte Palé d'argent et de sable de six pièces, à la fasce de gueules, chargée de trois casques d'or[Foras 19],[CEA 5].

Timbre : « un heaulme en porfil duquel issit un bras armé de son brassal tenant une lance à la main avec la devise : NON VI SED VIRTUTE ET ARMIS. »[Foras 19],[CEA 5].

Une branche porte le nom de Bellegarde-Buffavent.

Mentionnée vers le XIIIe siècle — Éteinte au XVIIIe siècle — Branche naturelle[CEA 5] Originaire de Magland (Faucigny). Seigneur de Brens, Buffavent, Disonce, Foncenex-Veigy, Miribel, Montagny, Pontier, Praz, Pressin, Saint-Cergues, Saint Disdille, Thorens, Vigny, Vongy[Foras 19].
Famille de Bertrand ou Bertrand de La Pérouse

La famille de Bertand, on trouve aussi les formes Bertrandi ou Beltrandi, porte D'or, à un lion de sable, armé, couronné et lampassé de gueules[Foras 20],[Borel 3].

Devise : Sapient et confident

Mentionnée vers le XIIIe siècle[Foras 20]. Originaire de Suse (Val de Suse-Piémont). Seigneur de Montmélian (Comté de Savoie), de Bruzolo (1227), Chianocco, San Giorio di Susa, San Didero, puis de la Pérouse (1272), baron de Chamousset (1681), de Thônes (1691). Comtes d'Evieux, de La Pérouse, de Saint-Rhémy ; baronnie de Gilly, Quintal, Villard-sous-Salève ; seigneur d'Archamp, Bonvillard, Bourgneuf, Molettes, Montfort, Rougemont[Foras 20].
Famille de Blonay

La famille de Blonay porte De sable, semé de croisettes d'argent, au lion d'or sur le tout[Foras 21],[CEA 6],[Borel 4]. La branche du Chablais porte simplement De sable, au lion d'or armé et lampassé de gueules[Foras 21],[CEA 6].

Couronnes de baron, de marquis ou de comte[Foras 21]

Supports : deux griffons ou deux lions d'orCimier : un griffon issant d'or, ou un lion ailé d'or[Foras 21],[CEA 6].

Devises : "Pro Aris et Focis"[Foras 21],[CEA 6] ou "Crois sans fin" ou "Toutes servir, toutes honorer, pour l'amour d'une" ou encore "Pur comme l'or, prompt comme l'éclair (alias comme l'aigle)"[Foras 21].

Cri : Blonay ![Foras 21],[CEA 6]

Deux branches[Foras 21] :

  • branche aînée en pays de Vaud (Suisse), réformée, résidente sur la rive vaudoise du Léman, résident au château de Blonay, lieu d'origine de la famille.
  • branche cadette établie en Savoie, catholique, résidente sur la rive savoyarde, résident château de Saint-Paul, puis au château de Maxilly
Apparu au XIIe siècle[35]. Baron de Blonay (Vaud). Possessions sur les deux rives du Léman. Une branche fut bailli de Vaud au XIVe siècle. Elle compte un vice-roi de Sardaigne (Louis, en 1742). Marquis d'Hermance (1756) ; comte de Rossillon ; Baron d'Avise, de Blonay, du Châtelard ; seigneur d'Allaman, d'Avise, de La Bâtie, de Bernex, de Bex, de La Chapelle-Marin (v. XVIIIe siècle)[36], de Corsier-sur-Vevey, de Joux, de Livrogne, de Lugrin, de Maxilly, de Mézières, de Montigny-en-Chablais, de Montmeilleur, de Nernier, de Planaval, de Rochefort, de Romanens, de St. Paul, de Sales[Foras 21].
Famille de Boëge

La famille de Boëge porte Écartelé d'or et d'azur ou D'or, écartelé d'azur[Foras 22]

Devise : "nescit labi virtus"[Foras 22]

Apparu vers le XIe siècle, éteinte vers le XVe siècle[37]. D'après Foras, une famille « parmi les plus anciennes races de noblesse immémoriale et chevaleresque de nos provinces »[Foras 22]. Seigneurs de Boëge, d'Avully, Chaffardon, Conflans, Mons et coseigneur de Cervens, de Rochefort (Faucigny)[Foras 22].
Famille de Boigne

La famille de Boigne, anciennement Le Borgne, Le Borgne de Boigne, porte D'azur, au lion d'or, plantant une épée d'argent au sommet d'une montagne au naturel, mouvant de la pointe[Foras 23],[Jougla 2].

Couronne de comte ; Devise : Patientia omnia vincit[Foras 23]

Foras indique « Le Borgne n'est plus le nom patronymique. Il a été changé en de Boigne, nom devenu historique désormais et sous lequel seulement cette famille a droit d'être inscrite dans ce livre. »[Foras 23]

Anoblie comte en 1816[Foras 23]. Famille originaire de Picardie, installée en Savoie au début du XVIIIe siècle[Foras 23]. Benoît de Boigne créé comte héréditaire par le Roi de Sardaigne en 1816[Foras 23],[Jougla 2].
Famille Bonivard

La famille Bonivard (latin Bonivardi) porte D'or à la croix de sable, chargée de cinq coquilles d'argent[Foras 24].

Accède au rang de la noblesse au cours du XIIIe siècle ou du XIVe siècle[Foras 24] Famille bourgeoise, originaire de Chambéry (Comté de Savoie)[Foras 24]. Seigneurs de Saint-Michel, des Déserts et de La Barre, en Savoie, de Lompnes, en Bugey et de Grailly en Pays de Gex[Foras 24].
Famille Bouvier

La famille Bouvier ou Bouvier d'Yvoire voire parfois Bovier porte De gueules à la fasce d'argent accompagnée de trois écussons du même posés 2 et 1[Foras 25],[38].

Devise : Festina lente (hâte-toi lentement)[Foras 25],[38]

Mentionnée au XIVe siècle[38] — Anobli vers le XVIIe siècle[Foras 25]. Originaire de Lompnes, en Bugey[38]. Barons d'Yvoire (1655, confirmé en 1772)[Foras 25].
Famille de Bracorens

La famille de Bracorens, parfois Bracorens de Savoiroux ou encore Brascorens, porte D'azur, au pal d'or, chargé de trois coquilles de sable[Foras 26].

Cimier : un bras armé brandissant une épée
Devise : Leniter et opere sado

Anoblissement par LP en 1590[Foras 26]. Seigneurs de Boëge, de Rochefort et de Salins Faucigny. Vicomte de Maurienne, Comte de Salins ; seigneur de Bracorens, Saint-Laurent-de-la-Côte, de Savoiroux[Foras 26].
Famille de Briançon

La famille de Briançon (parfois Brianson) porte D'argent, à l'aigle de gueules membré et becqué d'azur[39]. Joseph Garin indique que « l'aigle a été pris aux empereurs d'Allemagne [...] dont les Briançon avaient reçu le titre de vicomtes de tarentaise »[39].

Devise : Unguibus et Rostro (des ongles et du bec)[39].

Branches, dont

  • Briançon (Dauphiné) portent : d'azur à la croix d'or[40],[CEA 7] ;
  • Aigueblanche-Briançon (Savoie)[39],[41],[42].

Tant pour les Briançon que pour les Aigueblanche, Amédée de Foras renvoie vers les Montmayeur[Foras 27],[Foras 28]. Il « considérait que la famille seigneuriale de Montmayeur est issue de celle des Briançon-Aigeblanche »[43]. Félix Bernard précise « Tandis que cette branche aînée s'installa exclusivement en Dauphiné, à partir de 1289, et garda le nom de Briançon, une branche savoyarde qui tenait ses biens « de l'alberge de Brianczon » s'appela Montmayeur »[43]. De même la famille Aiguebelle, portant de gueules à l'aigle d'argent, il indique « S'il m'était permis de hasarder une conjecture, je supposerais que les Aiguebelle sont, comme les Aigueblanche, du même sang que les Montmayeur »[Foras 28].

Apparue au IXe siècle — Branche aînée savoyarde éteinte mi-XIIIe siècle — Branche Aigueblanche (1349/1355)[39],[41] — Branche dauphinoise (fin XVIIe siècle)[40]. Originaire d'Aime (Tarentaise)[41]. Vicomte de Tarentaise[41]. En Savoie : Seigneur de Cur (ou Cœur), d'Aigueblanche, de Feisson. En Dauphiné : Bellecombe, Varces, Le Touvet, La Terasse, Saint-Ange, Eybens, Gières[40]. Les titres et possessions de la branche savoyarde passent par mariage, de Léonette Aigueblanche-Briançon (morte entre 1349 et 1355) et Hugues de Montmayeur, à la maison de Montmayeur[39],[41]. Le nom et armes de la branche dauphinoise passent à des cousins, le de Vachon[40],[CEA 7].
Famille de Buttet

La famille de Buttet porte De sable aux trois butes d'or entrelacées, deux en sautoir et une en pal[Foras 29],[Borel 5],[CEA 8].

Devise : La vertu mon but est[Foras 29],[CEA 8].

Mentionnée au XVe siècle — Anoblie par LP en 1460 — Branche aînée éteinte (1914)[Foras 29]. Originaire d'Ugine (comté de Savoie). Seigneur de la maison forte d'Entremont au Bourget, baron du Bourget (Le Bourget-du-Lac), comte de Tresserve, seigneur de Malatrait, de Monduret, de la Tour, du Foug et de la rente féodale de Grésy-en-Genevois[Foras 29].

Ca à Ch

Image Nom de la famille, blasonnement et devise Périodes d’apparition et disparition Titre(s) et domaine(s) d'origine
Famille de Candie

La famille de Candie porte De gueules, semé de fleurs de lis d'or, à la bande d'azur, brochant sur le tout[Foras 30],[Borel 6].

Devise : Tout à rebours[Foras 30] (La devise des Candie rappelle que comme l'écrevisse, les sages quelquefois marchent à reculons).

Qualifiée de noble au XIVe siècle[Foras 30] — Branche savoyarde éteinte au XVIe siècle[Foras 30] — Branche bressane (?) Originaire de Chambéry-le-Vieux (Comté de Savoie), famille d'origine bourgeoise. Dès le XIVe siècle, possession du château auquel ils ont donné leur nom ainsi que de nombreux biens à Chambéry-le-Vieux. Seigneur de Candie, Chaffardon (Saint-Jean-d'Arvey), Loese, Varennes, de Salagine (Bloye). Vidame de Genève (1377)[Foras 30].
Famille Capré de Megève

La famille Capré de Megève porte d'azur à une tête et col de chêvre coupés d'argent au chef d'or[Foras 31],[CEA 9],[44].

Couronne : Comte[CEA 9] Cimier : une tête de chèvre d'argent[Foras 31]

Devise : Non indigna cœlo[Foras 31],[CEA 9],[44].

Mentionné au XIIe siècle[Foras 31] — Anoblie au XVIIe siècle et filiation suivie[CEA 9] — Éteinte au XXe siècle. Probable origine piémontaise, installée en Faucigny au XIIe siècle[Foras 31]. Comtes de Megève. Seigneur de Bellecombe (1681), de Bonport, du Crest-Voland (1681), de Megève (1681)[Foras 31].
Famille de Cerjat

La famille de Cerjat porte d'azur, à un cerf de gueules, accompagné au canton senestre d'une étoile à six rais d'argent[45]

Devise : Cervus jacet le cerf subjugue »)

Attestée depuis la fin du XIIIe siècle, elle « accède à la noblesse à la fin du Moyen Age »[46]. Lettres impériales d'armoiries et de reconnaissance de noblesse de l'Empereur Sigismond en 1415[46]. Originaire de Moudon (Pays de Vaud)[46]. Seigneur de Combremont (1449), Denezy (1465), la Molière (1468), puis Syens, Allaman, Lignerolle et Mézière[46].
Famille de Cervens

La famille de Cervens, dite du Vernay, porte d'argent au cerf effrayé de gueules, sommé d'argent et brisé à l'épaule d'un croissant de même, au chef d'azur[Foras 32].

Branche cadette :

  • Cervens « dit du Vernay »
Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVe siècle[47] Originaire du Chablais. Seigneurs de Cervens, de La Rochette, de Savy (maison-forte de Save, Margencel) ; coseigneurs de Ayens, de Brens et de Buffavent, en Chablais[Foras 32]
Famille de Chabod

La famille Chabod, parfois Chabod-Lescheraine ou encore Chabod (ou Jacob) de l'Echerenne porte : D'azur, à trois fleurs de lys d'argent 2 et 1, au chef de même chargé d'un lion issant de sable lampassé de gueules[Foras 33] Guichenon donnait d'azur, serné de fleurs de Lys d'argent, à la bande d'or, brochant sur le tour chargée de trois lyonceaux de gueules[48].

Cimier : une lice issant d'azur[Foras 33] ou Un lévrier naissant d'argent, accolé de sable, lampassé de gueules[48]. Supports : deux griffons d'argent[Foras 33].

Devises : C'EST À TARD[Foras 33] ou encore TOUT À TEMPS[48].

Anoblie au XVe siècle[Foras 33]. Originaire de Chambéry, famille d'origine bourgeoise. Seigneurs (anobli en 1440), comtes puis marquis de Lescheraines (1682), Saint Maurice (1635) ; barons de Crête, Lupigny, Saint-Jeoire ; seigneurs d'Aiguebelette, Aisone, Arith, Cengle, Chiron, Chitry, La Dragonnière, Féterne, Grésin, Hauteville, Jacob, Mionaz, Monet, Thusy, Travernay, Troche et Douvaine, Villeneuve (achat en 1401), coseigneurs de Peillonex[Foras 33].
Maison de Challant

La famille de Challant porte D’argent au chef de gueules à une cotice de sable brochant sur le tout[49].

Devise : Tout est monde et le monde n'est rien[50]

Apparaît vers le XIe siècle[49]. Val d'Aoste. Vicomtes d'Aoste. Seigneurs puis comtés de Challant. Le titre passe à la maison de Madrus par mariage d'Isabelle de Challant Aymavilles avec Frédéric de Madrus, comte d'Avie, marquis de Sourian, au XVIe siècle, avant de revenir à une branche cadette.
Famille de Challes

La famille de Challes porte D'argent à la croix ancrée de sable[Foras 34].

Filiation du XIVe siècle jusqu'au XVIIe siècle[Foras 34]. Originaire de Challes (en Bresse, aujourd'hui partie de Bourg-en-Bresse). Un descendant obtient la seigneurie du Puy (Triviers), donnant son nom à Challes (Savoie). Seigneurs de Barberaz-le-Gras, de Challes, de Corgenon, de Gras, de Monterminod et du Puy[Foras 34]. En 1569, vente des titres à Louis Milliet, qui relève le titre[51].
Maison de La Chambre

La maison de La Chambre porte D'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout[Foras 35],[Borel 6].

Devise : Altissimus nos fundavit[Foras 35].

À la mort de Gaspard, en 1448, dernier représentant de la branche aînée, quatre branches cadettes héritent :

  • Les vicomtes de Maurienne éteinte au XVIe siècle
  • Les marquis d'Aix et comtes de Montréal
  • Les seigneurs de Sermoyé et de la Cueille, marquis de Meximieux
  • Les barons de Ruffey

Au XVe siècle, le mariage de Jean de Seyssel et de Marguerite de La Chambre donne naissance à la branche des La Chambre Seyssel, se blasonnant :

Parti au premier, d'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout, au second, gironné d'or et d'azur de huit pièces.

Apparue au XIe siècle[52] — Éteinte au XVe siècle Originaire de La Chambre (Maurienne). Vicomte de Maurienne ; seigneur de La Chambre, des châteaux et châtellenies de Cuynes, de Chateauneuf, de L'Heuille,, de Saint-Rémy, d'Epierre, d'Avrieulx, de Sainte-Hélène des Millières, de Chamousset, etc.[Foras 35] Nom, titres et biens passe à la famille de Seyssel.
Famille de Charansonay

La famille de Charonsonay, parfois Charanson(n)ex (Chalansonay, Chalanczonay, Charançunai, Chalansonnex), porte D'or, au lion de sable armé et lampassé de gueules[Foras 36].

Mentionnée fin XIIIe siècle[Foras 36]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Charansonnay, Charanson(n)ex, Chalansonnex, (Massingy, de Malagny, de Saint-Marcel, de Puisgros[Foras 36].
Famille de Châtillon du Chablais

La famille de Châtillon (du Chablais) ou Châtillon-Larringe porte Fascé d'azur et d'argent (alias d'azur à trois fasces d'argent), à la 'cotice de gueules, brochante sur-le-tout[Foras 37],[CEA 10].

Pourrait être une branche des Châtillon de Michaille (Blanc, 2005)[53].

Attestée en 1286[53] — Branche de Larringe(s) éteinte en 1701[CEA 10]. Seigneurs de Corsinge, de Larringe (acquise en 1334) et co-seigneurs de Thollon. Châtelains d'Évian et baillis du Chablais[Foras 37].
Famille de Châtillon de Michaille

La famille de Châtillon de Michaille (du Bugey) porte D'argent à la croix de gueules[Foras 38].

Remonterait au XIIe siècle[Foras 38]. Seigneurs de Arbusigny, Augny, Beaumont, Billia, les Chappelles, Challonges, Châtelard-en-Semine (Franclens), Châtillon-en-Michaille, Cotaillou, Epercy, Franclens, Larringes, Mèral, Monétier, Montfort, Mussel, Musinens, Ravoire, Rosey, Semine, Seyssel, Sonnaz, Vaux, Villy[Foras 38].
Famille de Chavanes

La famille de Chavannes, ou de Chavanne ou de La Chavanne, porte de gueules, à trois quintefeuilles d’argent, rangées en bande, au chef d’azur chargé à dextre d’une quintefeuille d’argent[Foras 39]. L'Armorial de Rietstap donne un blasonnement différent d'azur, à trois quintefeuilles d'argent, rangées en bande, au chef du champ, chargé à dextre d'une autre quintefeuille d'argent.

Mentionnée vers la fin du XVe siècle. Foras indique que « les Chavannes, comme plusieurs des bourgeois de Rumilly, se qualifiaient de nobles, et que cette habitude, ou bien la possession de biens nobles, les a fait inscrire parmi les vrais nobles. »[Foras 39] — Éteinte en 1760[Foras 39] Originaire de Rumilly (Albanais). Seigneurs de Corbonnex, Motz, Reynex/Reinex et de la maison forte de Manessy[Foras 39].
Famille de Chevelu

La famille de Chevelu porte D'argent au chef endenté de trois pointes de sable[Foras 40].

Remonterait au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVIe siècle[Foras 40]. Originaire du comté de Savoie. Seigneurs de Chevelu ou Cinne et maison forte de Prélian à Saint-Jean-de-Chevelu, Châtelard, Lucey[Foras 40].
Maison de Chevron Villette

La famille de Chevron Villette porte D'azur au chevron d'or chargé d'un chevron de gueules accompagné de trois lionceaux d'or, deux affrontés en chef et un en pointe[Borel 6],[Foras 41],[CEA 11]

Le blason des seigneurs de Chevron est "d'azur au chevron d'or chargé d'un de gueules" jusqu'en 1277 où la branche s'associe à celle des Villette portant pour blason "d'azur à trois lyons d'or armez et lampassez de gueules."

Couronne : Comte. Cimier : un bouc ou chevron, issant de sable accolé d'une couronne ducale[Foras 41],[CEA 11]

Devise : "IN ARDVIS" ou "ALTISSIMA QVERO"[Foras 41],[CEA 11].

Remonterait au XIIe siècle — Filiation à partir du XIVe siècle[Foras 41],[CEA 11]. Originaire de Tarentaise. Barons puis comtes de Chevron, de Montjoye ; barons de L'Orme, Villette en Tarentaise[Foras 41].
Famille(s) de Chignin

La (ou les) famille(s) de Chignin — ou de Chinins, de Chynin, de Cignin, de Cheynin, de Chenin ; Ciniensis, a Cinio, de Cheyno, de Chignino, de Chinino, etc. — porte De gueules, au chevron d'hermines[Foras 42] ou De gueules, au chevron d'argent, chargé de six hermines de sable (Guichenon)[Borel 6],[Foras 42]. On trouve parfois : De gueules, au chevron d'argent, moucheté d'hermines[54]. Pierre Palliot : « Chignin en Savoye porte de gueules au chevron d'argent chargé de 6 Mouchetures d'Hermines de sable au Lambel à 6 pendants de mesme. Ceux de ce nom portoient anciennement Tiercé en bande d'or, de gueules et d'azur, le gueules chargé de trois Molettes à huit raiz d'argent. »[Foras 42]

Branches cadettes :

  • Chignin de la Biguerne
  • Chignin, branche de Taninges (Faucigny)
  • Chignin de La Place, branche de Cluses (Faucigny)
  • de Verdon ou Verdun (Cruet)
Mentionnée à partir de la deuxième moitié du XIe siècle[55] jusqu'au milieu du XIIIe siècle — Branches cadettes portent ensuite le nom[56]. Originaire de Chignin (Combe de Savoie). Seigneurs de la Biguerne (Chignin), de la place de Chignin, de Saint-Jeoire, de La Place (Thyez), de Troches (Douvaine), co-seigneurs de Naix et Fleyrier (Taninges)[Foras 42].
Famille de Chissé

La famille de Chissé (de Chissy, de Chissey, de Chissay, , de Chissiaco, de Chessiaco, de Cheyssie, de Chesie, de Chessie, de Chissier, de Chissy, de Chessyer) porte Parti d'or et de gueules, au lion de sable, armé, villené et lampassé de gueules, brochant sur le tout[Borel 6],[Foras 43],[CEA 12],[57],[58].

Branches cadettes (selon Fora)s[Foras 43],[58] :

  • Chissé Servoz (éteinte au XVIe siècle)
  • Chissé Fillinges (éteinte au XVIIe siècle)
  • Chissé Polinges et Challant (éteinte 1879), dont un rameau en Dauphiné[57]

Devise : Toujours[Foras 43],[CEA 12],[57],[58].

Mentionnée vers le XIIe siècle[58] — Éteinte dans les mâles (XVIIe siècle)[CEA 12]. Originaire de Chissé, dans les environs de Sallanches (Haute-vallée de l'Arve), feudataires des barons de Faucigny. Comtes de Challant (Val d'Aoste) ; barons de Marcosse (Faucigny) ou la Marcousse (Dauphiné ?) ; seigneurs de Chissé, Pollinge, La Corbière, La Bâtie-Dardel, Fillinge, Les Jaillets, Servoz (Faucigny-Genevois), Sainte-Hélène-du-Lac (Savoie)[Foras 43],[58][Note 3].

Ci à Cy

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Famille de Clermont-Mont-Saint-Jean

La famille de Clermont ou Clermont-Mont-Saint-Jean, issue de la Maison de Clermont-Tonnerre, porte De gueules à deux clefs d'argent en sautoir[Foras 44],[59],[CEA 13]

Cimier : Deux clefs de l'Eglise, surmontées d'une thiare papale d'or[Foras 44],[59].

Mentionnée en Savoie au début du XIVe siècle[Foras 44] — Éteinte par les mâles en 1868[CEA 13] Branche cadette de la Maison de Clermont-Tonnerre, originaire du Dauphiné[Foras 44],[59]. Seigneurs, puis barons, comtes et marquis (1732) de Mont-Saint-Jean et de La Bâtie d'Albanais (1681) ; comtes de Sacconay et de Saint-Cassin, barons de Flaxieu ; seigneurs Saint-Pierre de Soucy, Sainte-Hélène-du-Lac, Rubaud, du Fléchet, de Verel, La Colliette, Montferrand, Mecoras, Truaz, Grésy, Dérée, Montfalcon, Gaillard, Martignat, Matafelon, Villarcia, Les Terreaux, La Balme, etc.[Foras 44]
Famille des Clets

La famille des Clets, des Clés, des Clez ou encore des Clées porte de gueules à la croix d'or chargée de cinq étoiles d'azur[Foras 45].

Mentionnée dès le XIe siècle — Branche aînée disparait vers la fin du XVIe siècle[Foras 45]. Originaire du Val des Clets. Seigneurs de et dans la Val des Clets, de Boisy, de Groisy, de Manigod, de Montségur et de Thônes[Foras 45].
Famille du Clos

La famille du Clos (parfois Duclos, sous les formes Cloux (du), Clouz (du), Cloz (du)), dite du Clos du Fresnoy, comtes de Bonne porte : P. écartelé : au 1er d’argent à la fasce de gueules au chef enmanché de 4 pièces de sable; au 2e d’or à la fleur de lys de sable, qui est du FRESNOY ; au 3e d’or au sautoir de sable qui est de MARTIN ; au 4e de gueules à l’arbre d’or, clos de même qui est du CLOS.[Foras 46],[60].

Branches cadettes :

  • Comtes de Bonne[60] ;
  • Seigneurs de Blanzy (Bonneville)[60] ;
  • Seigneurs de Belelcombe[60] ;
  • Du Clos de La Martinière
  • Du Clos de la Place (peut être de la même souche, selon Foras)[Foras 47]
Anoblie en 1469 — Branche des comtes éteinte vers la fin du XVIIIe siècle[Foras 46],[60]. Originaire de Bonne sur la Menoge (bassée vallée de l'Arve)[Foras 46],[60]. Comtes de Bonne ; barons de Lambert. Seigneurs de Lorzier, du Fresnoy, Esery, Blansy, de la Batie Dardel, etc.[Foras 46] Vers la fin du XVIIe siècle, des alliances, l'érection de leur terre de Bonne en comté, ainsi que l'héritage des Martin du Fresnoy, des terres d'Esery et de Blansy[Foras 46].
Maison de Compey

La maison de Compey (parfois Compeis ou Compois) porte D'azur à la croix d'or[Foras 48].

Devise : "A.V.F." (A vostre foy)[Foras 48]

Branches :

  • Compey-Thorens : D'azur à la croix d'or
  • Compey-Draillans et de la Chapelle : P. de Compey, brisé d'une cotice de sable[Foras 49]
  • rameau (probable selon Foras) des de Compey-Féternes ou de Compois de Féterne porte De gueules à cinq étoiles d'argent en 3 et 2, au chef du second, chargé d'un lion issant de sable[Foras 50].
Apparue vers le XIe siècle - mentions certaines vers le milieu du XIIIe siècle[Foras 48] Originaire de Compeis ou Compois (commune moderne suisse de Meinier), dont elle a pris ou donné le nom, Genevois[Foras 48]. Seigneurs de Compey, de Thorens, Richemont, Etrambières, Gruffy, Soyrier, Scconex, etc.[Foras 48] En 1479, les ducs de Savoie confisquent leurs biens à la suite de nombreux abus.
Famille de Confignon

La famille de Confignon porte De sable à la croix d'or[Foras 51].

Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 51] Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Boringes (château du Pont-de-Boringe, inféodé en 1296), de La Bâtie de Confignon, de Corsier, de Marlioz, de La Motte-sur-Épagny. Héritent au XIIIe siècle du château de Pierre (Nangy) de la famille de Nangy[61]. Vidomne de Genève au XIIIe siècle[Foras 51].
Famille de Constantin

La famille de Constantin de Magny, olim Constantin, porte d'azur au cerf d'or passant sur un chêne arraché de sinople (alias d'argent) posé à la pointe de l'écu[Foras 52],[CEA 14],[62].

Cimier : Un sert issant d'or Devise : l'espoir du mieux à présent me contenteVelocitate et constantiâ[Foras 52],[CEA 14],[62].

branche cadette :

  • de Constantin de Moussy
Anoblie dans la seconde moitié du XVIe siècle (LP 1560) — Preuves de noblesse de 1723[Foras 52],[CEA 14],[62]. Famille de notables d'Annecy (Genevois)[Foras 52],[62]. Seigneurs de Magny, de La Biollé et de Moussy ; Co-seigneur de La Bâtie-Dardel[Foras 52],[62].
Maison de Conzié

La famille de Conzié ou Conzier porte D'azur, au chef d'or, à un lion issant de gueules[Borel 6],[Foras 53],[63].

Mentionnée fin XIIIe siècle — filiation au siècle suivant — Branche aînée disparue en 1868[Foras 53] A pris ou donné son nom au château de Conzié sur la commune de Bloye près de Rumilly[Foras 53] (Comté de Genève). Seigneur de Blay[Foras 53].
Famille de Coppier

La famille de Coppier (parfois Copier) porte D'azur à trois coupes d'or, en 2 et 1[Foras 54],[CEA 15] (variante : trois coupes d'argent)

Foras annonce, mais sans preuve, un lien avec la famille de Copponay ou Copponex[Foras 54]. Elle est par contre distincte de la famille d'ancienne chevalerie dauphinoise Copier ou Coppier[CEA 15]

Mentionnée dès le XIIIe siècle — Réhabilitation le (douteuse selon Foras), puis dérogation au cours du XVIIIe siècle. Rétablissement le (1849 ?)[Foras 54],[CEA 15],[64]. Comté de Genève[Foras 54],[CEA 15]. Famille notariale (XIIIe siècle-XVe siècle)[Foras 54].
Famille de Corbeau

La famille de Corbeau, de Corbel ou de Courbeau (Corbelli), de Corbel dits de Corbeau ou de Corbeau de Corbel porte D'or à trois fasces de sable[Foras 55],[65],[CEA 16]

Couronne : de marquis ; Supports : deux corbeaux ; Devise : Nihil sine virtute[Foras 55],[CEA 16]

Mentionnée au XIII — Preuves de noblesse en 1766[Foras 55],[CEA 16] Originaire très probablement de Corbel en Savoie, puis implantée en Dauphiné[Foras 55],[65]. Seigneurs de Corbel, Saint-Franc, La Balme, Echaillon, Thuet, Domessin, du Châtelard, de la Bauche, etc. (en Savoie), seigneurs de la Comber et d'Upie en Valentinois, seigneurs de La Mure, du Biol, de Saint-Albin, Voyssan, Saint-Bueil, Saint-Martin, etc. Marquis de Vaulserre (1751) en Dauphiné[Foras 55],[65],[CEA 16].
Maison de Cordon

La famille de Cordon porte Écartelé d'argent et de gueules[Foras 56],[66],[CEA 17].

Couronne : de comte ; Cimier : un lion coupé d'agent et de gueules ; Supports : deux lions coupés d'argent et de gueules (alias un lion et une chimère) ; Devise : TOUT SANS CONTRAINTE ou Omnia Sponte[Foras 56],[66],[CEA 17].

Apparue vers le XIIIe siècle. Originaire de Cordon (Bugey). Seigneurs de La Balme, Croset, Evieu, Les Marches, Morestel, Passin, Pluvy, Veyrin[Foras 56].
Famille de Cornillon

La famille de Cornillon porte d'or au chevron de gueules accompagné de trois corneilles volantes de sable, membrées et becquées du second, les deux du chef affrontées[Foras 57],[67]. Selon Foras, le chevron serait d'adjonction moderne[Foras 57].

Foras indique qu'il y a en Savoie deux familles très anciennes qui « sortent d'une souche commune »[Foras 57] :

  • branche de Tarentaise
  • branche de Faucigny
Mentionnée vers 1080[Foras 57],[67]. Probablement originaire du château de Cornillon, à Queige (Beaufortain-Tarentaise)[67], ayant essaimé en Faucigny[Foras 57]. Seigneurs de Cornillon (Queige), de Cornillon (Saint-Laurent), Marthod, Clertans, Fessy, La Pérouse en Faucigny, Meyrens (Reignier), Cevins, Exery, Arbusigny[Foras 57].
Famille Costa de Beauregard

La famille Costa de Beauregard porte D'azur à trois bandes d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or (par concession des rois de France Charles VII et Louis XIV)[Foras 58],[Borel 7],[CEA 18].

L'écu posé sur un aigle d'Empire. Supports : deux anges ; Cimier : un soleil d'or avec la devise Soli Fidelis[Foras 58],[CEA 18].

Branches :

  • savoyarde
  • génoise, dont rameau
Mentionnée vers le XIIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVe siècle — Branche cadette éteinte au XIXe siècle[Foras 58],[CEA 18] Originaire de Gênes[68], avant de se fixer en Savoie, vers la fin du XVIIe siècle[Foras 58],[CEA 18]. Marquis de Saint-Genix de Beauregard (1700) ; comtes du Villard, Saint-Remy ; seigneurs d'Archamps, La Bâtie-Meille (Genève), Beauregard, Cernex, Ceruse, Charlier, Châtelard, Cordon, La Dragonnière, Evieu, Megève, La Motte, Rougemont, Sacconex, etc.[Foras 58]
Famille des Costes

La famille des Costes (de Costis), porte de gueules à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel[Foras 59],[69],[70]. Le site Blasonario subalino indique quant à lui d'azur à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel.

Mentionnée dès le XIVe siècle — Éteinte vers la fin de la première moitié du XVIIe siècle[Foras 59]. Originaire de Saint-Pancrace, en Maurienne[69]. Possède deux maisons-fortes dans l'enceinte de Saint-Jean-de-Maurienne dont la maison et la tour de Babylone[71], au XVIe siècle[72] et une seconde disparue[69].

Famille Courtois d'Arcollières

La famille Courtois d'Arcollières (anciennement Cortoys) porte de gueules à l'épée droite d'argent, accostée de deux fleurs de lys d'or (Armes concédées par le roi François Ier)[Foras 60],[CEA 19]. Armes anciennes : D'or à un griffon de gueules[Foras 60],[CEA 19].

Devise : COURTOYS DE NOM ET DE FAICT (donnée par François Ier) ou encore OB SERVATUM QUANDOQUE LILIUM[Foras 60],[CEA 19].

Patentes de noblesse du duc de Savoie en 1517[Foras 60],[CEA 19] (noblesse probablement antérieure[Foras 60]). Originaire du Petit Bugey[Foras 60],[CEA 19]. Seigneur de la maison forte d'Arcollières, de Prélian (ou Preylian) (Saint-Jean-de-Chevelu, vers 1660 par mariage), en Petit-Bugey, du Soleillant (Verrières-en-Forez) en Forez, de Chateaurouge ou Château-Rouge (Lompnieu) et Chamillieu (?) en Valromey[Foras 60], Gimilieu (Saint-Jean-de-Chevelu, vers 1688).
Famille de Crans

La famille deCrans porte De gueules à trois losanges d'argent[Foras 61].

Fin du XIVe siècle — Filiation prouvée entre 1451 et 1650 — Probablement éteinte au cours du XVIIIe siècle[Foras 61]. Patronyme probablement issu du village de Cran, dans la banlieue d'Annecy (comté de Genève). Seigneurs de Bausse et Méral. Possédaient une maison forte à Annecy et une autre à Passy[Foras 61].
Famille de Crescherel

La famille de/du Crescherel ou Crécherel porte D'azur, au rencontre de cerf d'or[Foras 62].

Mentionnée vers la fin XIVe siècle[Foras 62] Originaire du dehors de la Savoie, peut être l'Angleterre[73], mentionnée la première fois en 1391 à Ugine[Foras 62] (Maison-forte de Crescherel)[73]. Seigneurs de Crescherel, Cevins, Saint-Laurent-de-la-Côte, Marthod, Thénézol-en-Tarentaise, des Déserts[Foras 62]. Châtelains, notamment de Sallanches (1392-1437)[73].
Famille de Cuines

La famille de Cuines ou de Cuynes (de Cuynâ) porte D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, à la bande du même brochant chargée de trois étoiles d'argent[Foras 63],[74]

Devise : J'attends fortune[74].

Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers le XIVe siècle (1620)[Foras 63]. Originaire de Maurienne. Seigneur de Ribaud (Ribod, Rubaud ou encore Rubeaud), à Coise (le château est leur résidence principale)[Foras 63]. Possessions à Saint-Rémy, La Chapelle, Saint-Léher, Coise[75].

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Famille Delachenal

La famille Delachenal, parfois sous les formes de Lachenal ou encore de La Chenal, porte D'or à un chevron raccourci d'azur, accompagné de trois étoiles de gueules, et à la champagne d'une rivière d'azur chargée d'un cygne d'argent.[76]

Anoblie le [76]. Famille de notables d'Ugine[76]. Obtention du titre de comte d'Outrechaise avec érection en comté du fief par achat[76], après une procédure de treize ans[77].
Famille de Dérée

La famille de Dérée, ou de Dhéré, porte D'or, au chevron d'azur ou D'azur, au chevron d'or[Foras 64].

Mentionnée noble vers le milieu du XIVe siècle — Éteinte au milieu du XVIe siècle[Foras 64] Originaire de Dhéré (Duingt) dans le Comté de Genève, famille issue de la petite noblesse, vassale des Duyn. Seigneur de Boissy, Bressieux, Dhéré, Noyret ; conseigneur de la Val de Clets[Foras 64]. Les biens passent en partie aux Sales et aux Clermont-Mont-Saint-Jean.
Famille de Duin

La famille de Duin ou de Duyn porte à l'origine de gueules à deux bars adossés d'argent, puis D'or à la croix de gueules[Foras 65].

La branche Duin (de) La Val d'Isère, avec l'union à la famille Mareschal donne les Mareschal-Duin (de) La Val d'Isère ou Duyn Maréchal, portant écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules, écartelé 1 et 3 d'or, à la bande d'or, chargée de trois coquilles d'argent[Foras 66].

Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers 1530[Foras 65]. Seigneurs de Duyn (Duingt) (Comté de Genève). Seigneurs puis barons de Val-d'Isère et de Sainte-Hélène par mariage (Vers 1310), puis vicomtes de Tarantaise et de la Val-d'Isère (jusqu'au XVIIe siècle). Seigneurs notamment de Beauvivier, Châteauvieux de Duing, Conflans, Dhérè, Duing, Marthod, Saint-Eustache, etc.[Foras 65]. Une partie des biens passe à leurs cousins de La Forest.

E à F

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Maison de Faucigny

La famille de Faucigny porte Palé d'or et de gueules de six pièces[Borel 8],[Foras 67]. Variantes : trois pals, trois pals billetés[Foras 67]

Autres branches :

  • Faucigny-Lucinge (XIIe siècle) : Parti, au premier palé d'or et de gueules (Faucigny), au deuxième parti, d'argent, à trois bandes de gueules (Lucinge)[CEA 20] ou Écartelé en 1 et 4 palé d'or et de gueules de six pièces et en 2 et 3 d'argent, à trois bandes de gueules.

Couronne de Prince ; Tenants : deux sauvages d'or ; Cimier : Un bras brandissant une épée d'argent. Devise : Usque Quo[CEA 20].

    • Faucigny-Lucinge, branche de Vevey : De sinople à trois bandes d'argent.
    • Faucigny-Lucinge, branche de Marlioz : Bandé d'argent et de gueules, la première bande de gueules chargée d'une étoile à huit branches de sable en chef.
  • Faucigny-Vozerier
  • Faucigny-Châtillon
  • Faucigny-Grésy ou Greysier (Grésier)
Fin du XIe siècle — Éteinte au XIIIe siècle[Foras 67]
— Branche détachée des Faucigny-Lucinge (XIIe siècle) associe à Lucinge le nom de Faucigny vers XVIIIe siècle[CEA 20].
Originaire de Faucigny. Très probablement vassale des comtes de Genève[Foras 67].
Famille de La Faverge (de Fabricis)[Note 4]

La famille de La Faverge porte D'azur à la croix d'or chargée d'une croix de gueules cantonnée de deux ancres aussi d'or aux 1er et 2e et de deux calices du même aux 3e et 4e[Foras 68]. On trouve aussi la croix fichée; la croix de gueules bordée d'or; les ancres d'argent, cantonnant aux 1er et 4e etc.

Autres branches :

  • La Faverge de Montpon
  • La Faverge de Cormand
  • La Faverge de Bévy[CEA 21]
Anoblie vers le XVIe siècle — Éteinte vers le XVIIIe siècle[Foras 68],[CEA 21]. Originaire du Genève, fuyant le calvinisme. Seigneurs de Cormand et de Montpon[Foras 68].
Famille Favier du Noyer

La famille Favier du Noyer (parfois Favier Dunoyer) puis Favier du Noyer de Lescheraine (1864)[Borel 9] porte p. de gueules à la grue d'argent tenant sa vigilance de même, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées du second ou de gueules à une grue d'argent dans sa vigilance d'or, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées d'argent[Foras 69],[CEA 22].

Connue depuis le XVe siècle — Anoblie le (Sénat de Savoie)[Foras 69],[CEA 22]. Originaire de Curienne (Bauges), issue d'une famille paysanne ayant accédé à la magistrature, puis la noblesse de robe[Foras 69]. Barons du Noyer, du Châtel-sur-Conflans, seigneurs d'Alex, Chezenay, Minjoux, de La Biguerne et Saint-Maurice-de-Rotherens, Marquis de Lescheraine[Foras 69]. Héritière du dernier membre de la famille de Lescheraine (1825), les membres de la famille sont autorisés à ajouter à leur nom celui de Lescheraine (Décret impérial n°12 149 en date du )[Borel 9].
Famille Favre

La famille Favre porte D'argent, au chevron d'azur, accompagné de trois têtes de Maure tortillées d'argent.[Borel 10],[Foras 70],[CEA 23].

Couronne de Comte[CEA 23]. Supports : un lion à dextre et une licorne à sènestre[CEA 23]. Devise : Fermeté[Foras 70],[CEA 23]

Branches[Foras 70],[CEA 23] :

  • branche bressane (aînée) :
    • Favre de Meximieux (Éteinte)
  • branche savoyarde :
  • la branche lyonnaise porte de gueules à un chevron d'or accompagné en chef de deux trèfles et en pointe d'un besant de même[CEA 23]
Mentionnée au XIVe siècle (bourgeoisie de Meximieux) — Filiation fin du XIVe siècle — Anoblie au XVIe siècle — Branches bressanes et savoyardes éteintes[Foras 70],[CEA 23]. Originaire de Meximieux (Bresse), dont des branches installées à Meximieux, Chambéry et Lyon[Foras 70],[CEA 23]. Juristes qui achètent la maison des Charmettes en 1596, obtenant ainsi un titre honorifique. Comtes (obtenu en 1670 et érigé en comté en 1680) de Chanaz ; barons d'Aiguebellette, d'Arenthon, de Domessin, de Pérouges (Péroge, 1587) ; Seigneurs des Charmettes, de Bettonet, Félicia, La Valbonne (Lavalbonne), /Pérouges, Premery, St. Étienne, Vaugelas (Vaugelaz), Villaret, Yvoire[Foras 70].
Famille Fernex de Mongex

La famille Fernex de Mongex (Montgey) porte parti d'argent àun lion de gueules, couronné d'or, et d'azur à deux lances d'argent en sautoir accompagnées de quatre étoiles de même, deux en pal et deux en flanc[Foras 71],[CEA 24]

Comte par L.P. (1824)[Foras 71],[CEA 24] Originaire de Mégevette, famille bourgeoise de Thonon (XVIIe siècle), « adonnée au notariat et à la magistrature »[Foras 71]. « La famille Vignet avait obtenu, par lettres patentes du 16 juin 1789, l'érection en baronnie de la terre de Montgey avec réversibilité du titre en ligne féminine »[Foras 71].
Famille de Féterne

La famille de Féternes porte De gueules au lion d'or ou D'or au lion de gueules[78]. Foras mentionne les deux blasons mais souligne qu'il n'existe aucune preuve de leur usage[Foras 72].

Mentionnée vers le Xe siècle — Branche principale éteinte au XIIe siècle — Poursuite avec les vidomnes de Féternes jusqu'au XIVe siècle[79]. Originaire du val d'Abondance en Chablais. Seigneurs de Bons, Brens, Conflans, Doussard, Évian, Excevenex, Féterne, Margencel, Marin, Notre Dame d'Abondance, Tournon. Au XIIIe siècle, les terres passent sous le contrôle de la Maison de Savoie[79]. Les Compois de Féterne semblent avoir succédé en partie à cette famille[Foras 72].
Famille de La Fléchère

La famille de La Fléchère porte D'azur, au sautoir d'or, cantonné de quatre aiglettes d'argent[Borel 10],[Foras 73],[CEA 25].

Plusieurs branches en Savoie et canton de Vaud.

Mentionnée dès le début XIIIe siècle — filiation prouvée depuis 1370[Foras 73]. Chevaliers, seigneurs de Beauregard, originaire d'Écosse, branche des Fletcher. Comtes d'Alex, la Flechère, Veyrier-Châtillon (1654) ; seigneurs de Beauregard (Saint-Jeoire), Bellegarde, la Bruyère, la Caille, Collonges, Crans et Bosse, Culoz, Faucigny, Grens, Lutrin, Molliens, Picaraisin, Ravorée, Rumilly, Saint Ours, Sallanches, Senoche, Sierne, Vanzy, Villy, Vuad[Foras 73].
Famille de Foras

La famille de Foras porte D'or, à la croix d'azur[Borel 10],[Foras 74],[CEA 26],[Jougla 3].

Couronne de Comte. Supports : deux griffons de sable. Cimier : une aigle de sable. Devise : In cœlesti fortitudine (« En la force céleste ») et Intus et foras undique crucis amor (« Dedans et dehors toujours l'amour de la croix »)[Foras 74],[CEA 26],[80].

Branche cadette : Bourgneuf de Balleyson.

Mentionnée dès le XIIIe siècle[Foras 74] — dit comte de Foras à partir du XVIIIe siècle[CEA 26],[Jougla 3]. Originaire du château de Foras, au Bourgneuf, près Douvaine Chablais. Comte de Foras ; Seigneur de Beauregard, Bourgneuf, Bottolier, Chanaz, Chesabois, Chilly, Foncenex et Foras d'Amont, Montocornu, Murs, Mussel, Thuyset[Foras 74].
Famille de La Forest Divonne

La famille de La Forest Divonne porte De sinople à la bande d'or frettée de gueule[Borel 11],[Foras 75],[CEA 27],[Jougla 4].

Couronne ducale. Cimier : une aigle éployée de sable, couronnée d'or. Supports : deux lions. Devise : Tout à travers. La branche aînée enveloppe son écusson d'un manteau de pair de France[Foras 75].

Patronyme La Forest mentionné depuis le XIIIe siècle sans preuves de rattachement — Filiation prouvée depuis le XIVe siècle[CEA 27],[Jougla 4]. Originaire du Petit-Bugey. Comte de La Barre, La Croix St. Alban, Verel et Dulin, La Forest ; seigneur de Aprémont, Bâtie d'Albanais, Bonvillard, Brison, Cevins, Le Châtelard, Cuchet, Gramont, Grignon, Loëx, Lucey, Manigod, Nernier, Pontchy, Rumilly-sous-Cornillon , St. Alban, St. Laurent, Rian, Somont, Toisinge; coseigneur de Colliette, Reano, Villarbasse[Foras 75]. Noblesse de France 1650. Pair de France (1827), majorat de pairie au titre de baron-pair (1829)[CEA 27].
Famille de La Frasse

La famille de La Frasse (de Fragia, Fracia ou Fraxia) porte D'or à l'ours rampant de sable[Foras 76]. Variantes : d'argent à l'ours rampant de sable contre une entre alaisée de sinople, fichée sur une champagne de même ou encore d'argent au bouc de sable saillant contre une entre de sinople sur un mont d'une pointe de même[Foras 76].

Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 76] Seigneurs de La Frasse (Faucigny), de Ferney/Fernex au pays de Gex, de Mons en Sémine, coseigneurs de La Val des Clets[Foras 76]
Famille Du Fresney

La famille Du Fresney (Dufresney) porte palé d'or et de gueules, à six pièces, écartelé de gueules au frêne d'or ou p. écartelé de Faucigny et de gueules au frêne d'or qui est de Fresney[Foras 77],[Jougla 5]

Devise (moderne) : FORT A ROMPRE[Foras 77],[Jougla 5]

Connue au XIVe siècle — Éteinte[Foras 77] Originaire du Faucigny. Reçoit du dauphin de Viennois des lettres patentes reconnaissant leur descendance de la maison de Faucigny en 1328, toutefois Amédée de Foras souligne que c'est très probablement de manière illégitime[Foras 77]. Seigneurs du Fresney, du Châtelet, Hautetour ou Aultetour (St-Gervais), Montreynaud, de la Brosse, de Laudes, Saint-Laurent-de-la-Côte, barons de Saint-Ange (héritier des Villier Saint-ANge)[Foras 77].

G

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Famille Gay (ou Guex)

La famille Gay ou Gay de Lupigny porte Fascé d'or et d'azur, au chef de gueules au lion hissant d'or[Foras 78],[81].

Mentionnée au XVe siècle. Issue de Jean Gay, conseiller de la ville de Genève, avant que la famille s'implante à Vulbens (Genevois) dès 1450 (Claude Gay), où ils prennent, au début du XVIIe siècle la charge de notaire ducal. Claude-Aimé Gay est anobli par lettres patentes de Victor-Amédée II (). Châtelains d'Arcine, puis du Vuache. Baron de Lupigny (aot 1776, commune de Boussy)[82].
Famille de Gemilly

La famille de Gemilly (Gimilly ou Jumilly, latin De Gimilliaco), porte Losangé d'argent et de sable[Foras 79].

Mentionnée dès le XIIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle (Foras)[Foras 79] ou vers la fin du XVIIe siècle[83] Originaire de Gémilly (hameau de Mercury, Savoie Propre). Coseigneurs de Marthod, Cornillon et de La Val des Clets[Foras 79]. Châtelains d'Aiguebelle.
Maison de Genève, comte de Genève

La famille de Genève (parfois dite Genevois) porte D'argent à la bande d'azur accompagnée de deux lions du même, puis D'or à quatre points équipolés d'azur[Foras 80]

Le premier blason est utilisé à partir de Amédée Ier de Genève[Foras 80],[84],[Borel 12] (v. 1127). Les secondes sont adoptées depuis Amédée II de Genève, vers 1280[84].

Branches :

  • branche de Gex ou Genève-Gex (XIIIe siècle-XIVe siècle).
  • de Genève, Marquis de Lullin
  • Branche de Genève-Lullin à la cotice de gueules brochant.[Foras 81],[Jougla 6].
  • Devise : APTE NON ARCTE Justement mais non étroitement. »).
  • Branche de Genève-Boringe à la cotice de sable brochant.[Foras 82]
  • Branche de Genève-Montagny Ecartelé de Genève et Montagny.
Mentionnée au début du XIe siècle — Branche aînée éteinte en 1394, les droits passent à des cousins, comté est acheté par la maison de Savoie — Maintien des branches cadettes seigneurs d'Anthon, Lullin, Varey, etc.[Foras 80] Originaire du Comté de Genève[Foras 80].
Famille Gerbaix de Sonnaz

La maison de Gerbais ou Gerbaix de Sonnaz porte D'azur, au chef d'argent chargé de trois étoiles de gueules[Borel 13],[Foras 83],[Jougla 7].

Cimier : une tête de chien de gueules.. Devise : "SI N'ESTOIT"[Foras 83] ou "RELIGIO PATRIAE"[Jougla 7].

La branche, devenue aînée dès le XVe siècle, a écartelé de Châtillon ( aux deux et trois d'argent à la croix de gueules). Plus tard, ils ont aussi écartelé d'Alby (losangé d'argent et de gueules) puis : Ecartelé de Châtillon et d'Alby et sur le tout de Gerbais.

  • Gerbais-Sonnaz d'Habères (branche cadette) : Ecartelé de Gerbais et de Châtillon.
Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 83]. Originaire de Belley (Bugey). Marquis de La Roche (1894), Châtelet de Credoz (1894) ; comtes de Sonnaz ; barons d'Aiguebelle, Arenthon, Le Bourget ; seigneurs de l'Annonciade, Chanaz, Charmettes, Faverges, Haberes, Meral, Mondesir, Novalaise, Vivier[Foras 83].
Famille Gex

La famille Gex (vers la XVIe siècle) ou de Gex, olim Jai ou Jay, porte D'azur au lion d'or lampassé de gueules, à la fasce de même chargée de trois roses d'argent brochant sur le tout[Foras 84].

Anoblie en 1563[Foras 84],[85] — Éteinte au XVIIIe siècle. Originaire du Faucigny. Le châtelain Charles Jay, châtelain de Samoëns, achète une terre aux Lucinge. Anobli par patentes le , nom de Gex, seigneur de Vallon[Foras 84],[85],[86]. Comte de Taninges ; baron de Saint Christophe (1622) ; seigneur de Arbusigny, Montfort ; coseigneur de Cluses, Nernier (Faucigny)[Foras 84].
Famille de Gilly

La famille de Gilly porte D'or à trois fasces de gueules à la bande d'argent, brochant sur le tout, chargée de trois corneilles de sable[87],[Foras 85],[Jougla 8].

De 1162 à 1596[88]. Barons de Gilly ; seigneurs de Rochefort, Villarayon ; coseigneurs de Cons-Sainte-Colombe, Marthod et Cornillon[Foras 85].
Famille de Gingins

La famille de Gingins porte D'argent semé de billettes de sable, au lion naissant du même brochant[Foras 86],[Jougla 9].

Apparue vers le XIIe siècle — Éteinte en 1911[89]. Branche colatérale de la maison de Divonne[89] (Pays de Vaud). Baron Divonne (avec une partie du pays de Gex - Comté de Savoie), Le Châtelard (Vaud, au XVIe siècle) ; seigneur de Balmont, Beaumont, Cusinens, Divonne (1374), Gingins, La Sarraz (1542), Méral, Moiry, Montreux (1415)[89],[Foras 86]. Bourgeois de Berne[90].
Maison de Grailly

La maison de Grailly (parfois Grilly) porte D’or, à une croix de sable chargée de cinq coquilles d’argent[Foras 87],[Jougla 10].

Branches :

  • Grailly-Villagrand
  • Grailly-Veigy (Grailly-Villagrand-Veigy[Foras 87]), qui porte brisé d'argent à la croix de sable chargée de cinq coquilles d'or[Foras 87]
  • Grailly-Foix
Attestée vers 1120[91]. Originaire du village de Grilly (dont on trouve également les formes de Greyli, Greli, Greely, etc.), situé au Pays de Gex (comté de Genève, aujourd'hui dans l'Ain)[91]. Implantée en Gex, Savoie, puis en Guyenne et Gascogne à partir du XIIIe siècle, dont les comtes de Foix (Captal de Buch)[Foras 87],[Jougla 10].
Famille Greyfié

La famille Greyfié ou Greyfié de Bellecombe porte d'or à l'ente (ou greffe) sur une tige de sinople[Foras 88],[Jougla 11].

Mentionnée vers la fin du XVe siècle — Anoblie en 1737[Foras 88] Originaire d'Annecy, puis installation en Tarentaise[92]. Joseph Greyfié, sénateur au sénat de Savoie, juge Mage de Savoie et Bugey, anobli en 1737[Foras 88]. Philibert-Amédée Greyfié de Bellecombe, syndic de Moûtiers, reçoit le titre de comte en 1825[Foras 88].
Famille de Greysier

La famille de Greysier ou de Grésy porte Palé d'or et de gueules de six pièces, (à la fasce d'argent)[Foras 89].

Apparue vers le XIIe siècle — Probable branche cadette de la maison de Faucigny[93],[Foras 89],[Foras 90]. Originaire du Faucigny, seigneurs de Grésy (Grésy-sur-Aix, près d'Aix-les-Bains, en Pays de l'Albanais). Seigneur de La Balme-de-Sillingy, La Chambre, Châteauneuf, Choisy, Chuyt, Compois, Cusy, Greysier et Cessens, Montaimont, Montrottier, Sacconex[Foras 89],[Foras 90].
Famille de Grolée

La famille de Grolée porte Gironnée d'or et de sable de huit pièces (en Bugey — Dauphiné)[Foras 91],[Jougla 12],[94].

Devise : Je suis Grolée[Jougla 12]

Branches cadettes :

  • Grolée-Meuillon, Mévillon ou Mévouillon, qui porte Gironnée d'argent et de sable de huit pièces[94]
  • Grolée, branche de Viriville (comtes et marquis), qui porte Gironné d'argent et de gueule et une couronne d'or en abîme[Jougla 12],[94]
Vers 1180 — Éteinte vers le XVIIe siècle[Foras 91],[94] Originaire du Bugey, installée en Dauphiné. Seigneurs puis comtes de Groslée. Barons de Rochefort ; seigneur d'Arcine, Boussy, Hauteville, Ilins, Chevelu et Lucey, Villard, Neyrieu, de Bois, Châteauneuf[Foras 91],[94].
Famille Guillet de Monthoux

La famille Guillet ou Guillet de Monthoux (olim Mayor ou Majours) porte D'azur à trois mufles de léopards d'or, couronnés d'argent[Foras 92],[95],[Jougla 13].

Ne pas confondre avec la famille homonyme dauphinoise, qui porte d'azur, à trois têtes de léopards arrachées et couronnées de 3 pointes d'argent[96].

Filiation des Mayor depuis 1290, 7 générations, avant le changement de nom (Guichenon)[Foras 92] — filiation prouvée de la seconde famille de Guillet depuis 1500 (Foras)[Foras 92] — preuves en 1780[Foras 92] — Éteinte au XIXe siècle[95]. Originaire de Crans, près de Nyons (canton de Vaud)[Foras 92],[97]. Elle portait le nom de Mayor avant que François Majour ou Mayor « quitte ce nom pour prendre celui de sa mère, fille et héritière de noble Jean Guillet, seigneur d'un maison forte rentée de ce nom »[Foras 92]. Transportée à Genève et à Thonon, puis Annemasse[Foras 92]. Achat de la baronnie de Monthoux (1532)[97],[98].

Seigneurs puis barons de Monthoux (achat en 1532)[Foras 92]. Barons de Marcossey[97], de Sénoches. Seigneurs d'Annemasse, Balmont, Collonges, Draillant, Pougny, Vétraz. Coseigneurs de Ville-la-Grand[95]. Voir aussi le château des Guillet-Monthoux à Thonon[Foras 92].

H à K

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Famille d'Hauteville

La famille d'Hauteville (ou d'Auteville) porte Palé d'argent et de gueules de huit pièces[Foras 93].

  • Palé d'argent et de gueules de huit pièces, à la fasce d'azur, brochant sur le tout.[Borel 2]
Vers le XIIe siècle-fin du XVe siècle[Foras 93]. Comté de Genève. Seigneurs et coseigneurs d'Hauteville, Creste (Crête sur la commune de Versonnex)[Foras 93], vidomne de Genève au XIIIe siècle[99],[100]
Famille d'Humilly

La famille d'Humilly (parfois du Milly) avec ajout de Chevilly porte De sable, au cerf d'or passant[Foras 94].

Devise : HUMILIS CORDE (« de cœur humble »). Cette devise est donné par Foras qui précise « à titre de fantaisie héraldique, sans autre autorité »[Foras 94].

Noble vers 1337, maintenue en 1566[Foras 94]. Originaire du hameau de Chevilly à Viry (Comté de Genève). Seigneurs de Chevilly (maison-forte), Germagny (Viry), co-seigneurs de Serraval et de la Val des Clets[Foras 94].
Famille de Juge (de Pieuillet)

La famille de Juge porte D'azur à trois roses d'or, 2 et 1 donné par Jean Champaneis, comte palatin, en 1498[Foras 95],[101]. Ce blason correspond, selon l'historien et généalogiste suisse Jacques Augustin Galiffe (1776-1853), aux de Juges, de Lyon[102].

Besson qui cite ces armes blason donne également d'azur au sautoir d'or chargé de cinq roses de gueules[Foras 95].

Deux branches : les seigneurs de Candie et les seigneurs de Pieuillet. L'une des deux branches, probablement celle de Candie, selon Foras, a porté d'azur au sautoir d'or chargé de cinq roses de gueules[Foras 95].

Anoblie en 1498, réhabilitation de noblesse le , preuves en 1723[Foras 95]. Ancienne famille de la bourgeoisie de la ville de Rumilly ayant occupé des hautes charges municipales, anoblie par LP le [Foras 95],[101]. En 1598, le duc de Savoie leur accorde des lettres d'ancienne noblesse[101]. Seigneur de Pieuillet (Marcellaz-Albanais) et de Candie[Foras 95].

L

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Famille de Langin

La famille de Langin porte D'azur à la tour d'or avec un pan de mur de même senestre[Foras 96],[103].

Apparaît vers le XIIe siècle (1113)[104]. Vassaux de la maison de Faucigny, puis en 1179 des comtes de Genève[104]. Passe à la maison d'Allinges par mariage en 1509[105]. Seigneurs de Ballaison, Bardennuche, Brens, Bons, Buffavent, Cholex, Collonges, Dingy-Saint-Clair, Greysier, Langin (Tour de Langin), Mieussy, Veigy, Verrières, Vigny, (Chablais)[Foras 96].
Famille de Lescheraine

La famille de Lescheraine porte D’azur à la bande éco(t)tée d’or (ou d'argent)[Foras 97],[Borel 11],[106].

Devise : Sine macula (sans tache)[Foras 97],[106].

Couronne : de marquis ;

Cimier : Selon les versions courantes, présentées par Foras, une Vérité de carnation à double queue, tenant de la main dextre un miroir et de la senestre une banderolle avec la devise, écaillée de sinople en feuilles de coudrier[Foras 97]. Pour le comte, ce dernier attribut n'a pu être ajouté que par les nobles de Coudrey, héritiers des Lescheraine. Pour Seyssel-Cressieu : écaillée de sinople en feuilles de coudrier ou Une sirène à double queue, de carnation, tenant à la main dextre un miroir[106] ;

Supports : deux sirènes à double queue[Foras 97],[106]

Apparaît vers le XIIIe siècle[106]. Disparition au XIXe siècle. Originaire des Bauges (Comté de Savoie). Marquis de Bauges/Lescheraines (1682)[107] ; comtes de Leschaux, Vinadio et Sambuco ; seigneurs de Les Allues, La Charnée, La Compôte, Pertengo[Foras 97].
Famille de Loche

La famille de Loche (De Ochia) porte Partie de gueule à trois glands d'or au chef d'argent et au croissant montant d'azur[Foras 98].

Apparaît vers le XIVe siècle Originaire de Magland (Comté de Genève)[108], est issue d'une lignée de notaires.
Comtes de Vanzy ; barons de Saint Martin ; Seigneurs de Châtel, Fléchère (Vanzy) ; conseigneurs de Bozel, Servoz[Foras 98],[108].
Famille de Luciane

La famille de Luciane porte D'or à deux brochets adossés, d'azur[Foras 99]

À partir du XIIIe siècle[Foras 99]. Originaire de Maurienne. Possessionnée à Saint-Martin-de-la-Porte. Nom et armes passent en 1479 à un membre de la famille Mareschal, donnant naissance à la branche des Mareschal-Luciane[Foras 99],[109].
Famille de Lucinge

La famille de Lucinge porte D'argent, à trois bandes de gueules[Foras 67],[Foras 100],[Borel 14]. Par mariage et héritage passe à une branche de Faucigny, qui relève le nom et les armes, pour devenir ensuite la maison de Faucigny-Lucinge.

Devise: USQUE QUO (Jusque là)

À partir du XIIe siècle[Foras 67]. Famille dont le nom et les droits passent, par héritage, à une branche cadette de la maison de Faucigny, les Faucigny-Lucinge[Foras 101],[93]. Sénéchaux de Faucigny ; Seigneurs de Alex, Allaman, Allèves, Arcine, Brison, Châtelard, Roche, Arenthon, de Drurilly, de Valon, de Couverté ; Coseigneurs de Allinges, Châteauneuf[Foras 67].
Famille de Luyrieu(x)

La famille de Luyrieu(x) porte D'or au chevron de sable[Foras 102],[110].

Cimier : un dragon d'or clariné d'argent Supports : deux anges au naturel.

Devise: Belle sans blasme/blâme[111].

Apparaît vers le XIIe siècle Originaires de Belley en Bugey. Seigneurs de Champagne, Champdor (1318-1516), Corcelles/Courcelles, La Cueille, Culoz, château de Luyrieu (Béon (Ain)), Montfalcon, château de Montvéran (Culoz), Morestel, Saint Alban, Prangins, Villars, Nully, Savigny, Sainte-Croix, Villenasse[Foras 102].

Ma

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Famille de Machard

La famille de Machard D'argent à trois pals de gueule au chef d'azur chargé de deux lions issants affrontés d'or[Foras 103].

Branches cadettes[112] :

  • Machard de Chillaz
  • Machard de Chassey
Anoblie par lettres patentes de Janus de Savoie, comte de Genevois, le [113],[114]. Seigneurs de Chassey (Fillinges)[112], de Chillaz (Fillinges)[112], Loëx, de Pierre, coseigneurs du Val de Bozel[Foras 103].
Famille Maillard de Tournon

La famille Maillard de Tournon, Maillard olim Perrin (ou inversement) ou encore Perrin-Maillard, porte d'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande[Foras 104],[Borel 15].

Anoblie vers le XIVe siècle[Foras 104] Originaire de Rumilly. Marquis de Saint-Damien et Pallières en Piémont, d'Alby, comtes de Tournon, barons du Bouchet et de Chevron en Savoie[Foras 104]. Les aînés sont marquis d'Alby (1681), comte (1569) puis marquis de Tournon[115].
Famille de Maistre

La famille de Maistre porte : D'azur, à trois soucis tigés et feuillés d'or (alias trois tulipes)[Foras 105],[Borel 15].

Devise: Fors l'honneur, nul souci[Borel 15].

Couronne de comte

Apparue en Savoie au XVIIIe siècle. Une branche savoisienne et une autre piémontaise. Originaire du comté de Nice. Maistre en Savoie : par fonction , comte par lettres patentes du , sans payement. Maistre en Piémont : comte de Castelgrana -1745, de Carraz -1758, de Pigna, co-seigneur de Mérindol[Foras 105].
Famille de Marcossey

La famille Fornier/Fournier de Marcossey (Marcossay) porte d'azur au lévrier d'argent accolé de gueules[Foras 106],[116]

Foras : « Marcossey de Viuz-en-Sallaz, dont le véritable nom est Fornier et originaire de Cluses », probable origine, selon les armes que leur attribuent Besson, avec les Fornier/Fournier de Thônes[Foras 106].

branches[116] :

  • Marcossey de Scionzier (Miossinge)
  • Marcossey de Viuz
Vers XIVe siècle[116] Originaire de Cluses. Seigneurs de Miossinge (Myozinge, Scionzier, Faucigny), Marcossey (Viuz-en-Sallaz, Faucigny), de Mussel (Scionzier)[116]. Jean de Marcossey est seigneur de Goint, Essey, Passavant, baron de Saint-Georges d'Haussonville en Lorraine, comte (1618)[116]
Famille Mareschal

La famille Mareschal (Maréchal) ou Mareschal de Montmélian porte D'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent[Foras 66],[Borel 15].

Devise : PORTANTUR STEMMATA COELO et ASSEZ À TEMPS[117].

Branches[Foras 66] :

  • Mareschal-Meximieux : D'or à la bande de gueules, accompagné de six coquilles du même rangées en orle (éteinte au XVIe siècle dans la famille de Seyssel)
  • Mareschal de Saint Michel de Maurienne dont les branches :
    • Mareschal (de) Duyn (de) La Val d'Isère : Écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules (de Duyn), 2 et 3 d'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent (de Mareschal) (voir ci-dessus) dont
      • Marquis de Marclaz
    • Maréchal de Saumont
  • Maréchal-Luciane : Écartelé 1 et 4 d'or à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent (de Mareschal), 2 et 3 d'or à deux brochets adossés, d'azur (de Luciane).
Apparu vers la fin du XIIe siècle, à Montmélian[Foras 66]. Premiers maréchaux de Savoie. Marquis de Marclaz (1671). Comtes de Somont/Saumont, de la Val-d'Isère (obtenu en 1540, baronnie érigée en 1617)[118] ; vicomtes de Tarantaise (1540), etc.[Foras 66].
Famille de Mareste

La famille de Mareste porte D'azur à deux fasces d'argent et à la bande de gueules brochant sur le tout[Foras 107],[Borel 15].

Devise: À la gloire marche, à Dieu seul je m'arreste ou À Dieu seul je m'arreste.

Apparu vers… Originaire de Chautagne. Marquis de Lucey (1654), Saint-Agneux (1684) ; Comtes de Rochefort ; barons de Champrovent ; seigneurs d'Apremont, Billième (Baronnie en 1565), Chanaz (1442), Chavanne, Chevelu, Culoz, Domessin, Ferrières, Foraz en Chautagne, Lompnes, Lutrin, Jongieu, Mareste, Martel, Montaigre, Montdragon, Montfleury, Motz, Portaux, Rubod, Silans, Vens, Verdun, Villard[Foras 107].
Famille de Martin

La famille Martin ou Martin du Fresnoy (parfois Dufresnoy) porte D'or au sautoir de sable ou D'argent au sautoir d'azur[Foras 108].

Mentionné en 1228[Jougla 14]. Marquis de Cluses (1699)[Foras 108] ; Seigneur de Blanzy, de Chuyt, de Clartans, de Compois, d'Ezery, de Loysin, de Mussel, de La Perouse, de Pormonay, de Symond ; coseigneur de Montvuagnard, de la Vallée de Bozel[Foras 108].
Famille de Martin-Salière d'Arve

La famille Martin-Salière d'Arve de Maurienne porte d'argent semé de myosotis myosotis d'azur tigées de sinople, boutonnées de gueules[Foras 108],[119] ou portait au XIXe siècle écartelé en 1 et 4 tranché de gueules sur or à la râtelle/rastelle [colonne vertébrale] de poisson posée en bande de l'un en l'autre (qui est d'Arves) ; au 2 et 3 de gueules à la salière d'or, au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent (qui est de Salière) ; en abyme et sur le tout d'argent semé de myosotis sans nombre, feuilles de synople, fleuris d'azur, boutonnés de gueule[120]

En 1604, le seigneur Ennemond Martin épouse Gasparde Salière d'Arve, dont il hérite les titres l'année suivante à la mort du père[121],[122]. La famille d'Arve était déjà passé par mariage à la famille Salière[123].

La famille d'Arves portait tranché de gueules sur or à la ratelle de poisson posée en bande de l'un en l'autre. La famille Salières (Sallières, Sallière) portait de gueules à la salière d'or, au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent.

Devise : Armatos vinco[119].

Branches[121] :

  • La Chambre ;
  • Lachenal.
Anoblie en 1517[121],[124]. Le dernier descendant meurt en 1940, à Chambéry[125] Originaires du village de La Sausse à Saint-Colomban (Maurienne)[121]. Comtes de Cuines et Villards (1699)[126] ; Barons de Sainte-Marie-de-Cuynes ; Seigneurs de Combefort, Le Pontet, Ribaud.

Me à Mi

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Maison de Menthon

La maison de Menthon porte De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout[Foras 109],[Borel 15].

Devise : Partout Menthon, toujours Menthon[127]

Autres branches[Foras 109] :

  • Menthon-La Balme De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout, chargeant la bande d'une coquille d'argent mise en chef pour brisure.
  • Menthon-Beaumont
  • Menthon-Lornay : De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout, chargeant la bande d'une rose d'or mise en chef pour brisure.
  • Menthon-Marest
  • Menthon-Montrottier
  • Menthon-Rochefort
Apparaît vers le Xe siècle[Foras 109] Originaire de Menthon (Comté de Genève). Comtes de Menthon, d'Aviernoz et de la Grimottière (1699)[Note 5], Montrottier ; barons de Confignon (1598), de Lornay[Foras 109] .
Famille de Menthonay

La famille Menthon(n)ay ou Menthonay de la Tour porte De gueules au sautoir d'argent cantonné de quatre coquilles du même[Foras 110].

Apparaît vers le… Originaire de Menthonnex (Comté de Genève). Seigneurs des châteaux de Truchet et de la Petite-Balme à Sillingy[Foras 110].
Personnalités : Jacques de Menthonay (Cardinal), Guillaume de Menthonay (évêque de Lausanne)
Famille de Metral de Châtillon

La famille de Metral de Châtillon porte D’azur à trois bandes d’or au chef d’argent chargé de trois étoiles (ou molettes) d’azur[129]

XVIe siècle .Eteinte avec la mort de Joseph-Joachim-Xavier Métral en 1794[129]. Originaire du Chablais[129]. Marquis de Chignin (1779 - Savoie Propre, par achat), de Thônes (1744 - Genevois, par mariage avec la fille du marquis de Bertrand)[129] ; Seigneurs de Châtillon, Cruseilles, Épagny, Gruffy, Maugny, Monêtier, Mornex, Notre-Dame-de-Briançon, Pallud, Rumilly ; coseigneurs de Mons, Montjoye, Thollon.
Famille Michaud

La famille de Michaud porte Tranché d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, brandissant une épée d’argent et au 2 par une ligne canelé de 14 pièces de gueules à 2 bandes d’argent[Foras 111].

Anoblissements : LP et [Foras 111]. Originaire de Mognard (près d'Albens)
Famille Milliet

La famille Milliet ou Millet porte D'azur au chevron d'or, chargé d'un chevron de gueules, accompagné de trois étoiles d'or deux en chef, et une en pointe[Foras 112],[130].

Écartelé, aux 1er et 4e d'argent, à deux lions issans de sinople, armés et lampassés d'or, à la fasce de gueules côtoyée de deux filets de même ; aux 2e et 3e de gueules, à la bande d'argent, accompagnée de deux cotices de même ; sur le tout d'azur, au chevron d'or, vuidé de gueules, accompagné de trois étoiles d'or, à une hydre issant, à trois têtes de sinople, couronné et langué de gueules, posé en chef[130].
Note: « Vuidé » (=vidé) est ici fautif. le chevron est en fait « rempli » de gueules.

Supports : deux griffons de sinople
Cimier : trois têtes d'hydre
Devise : Vigili prudentia servor.

Remonterait au XIIIe siècle, anoblie au XVIe siècle. Originaire de Genève. Marquis d'Arvillard (1678), de Challes (1669), de Faverges (1644) ; comtes de Sacconex ; seigneurs de Chanaz, de Cormand, de Leschaux, de Les Villards, de Marthod, de Montmayeur, de Piccaraisin, de Rumilly, St. Laurent de la Côte, de Saint Ours, de Savoiroux, de Semine ; coseigneurs de Burio, de Mombello, de Poëpe[Foras 112].
Maison de Miolans

La maison de Miolans porte Bandé de gueules et d'or de six pièces[Foras 113],[130].

Devise : Force m'est[131].

Branches cadettes :

  • Miolans-Urtières, possédant le château des Hurtières (aujourd'hui en ruines)[132]. Elle porte barré d'or et de gueule à la bande de losanges accolés de l'un en l'autre[Foras 114].
  • Mitte de Chevrières, comte de Miolans. Louis Mitte, seigneur de Chevrières, Sénéchal du Bourbonnois, a épousé en 1438 Françoise de Miolans. La famille porte D'argent au sautoir de gueules; à la bordure de sable, chargée de huit fleurs de lys d'or[Foras 115].
  • Saluzzo-Miolans
La maison de Miolans apparaît vers le XIe siècle et s'éteint en 1523[133]. Comtes de Montmayeur ; vicomtes d'Aiguebellette, de Maurienne ; barons de Cusy, Hermance, Montfalcon[Foras 113].

Mo à N

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Famille de Montbel

La famille de Montbel porte D'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules, à la bande componée d'hermine et de gueules de six pièces (brochante sur le tout)[Foras 116],[Borel 16].

Remonterait au XIe siècle, reconnu au XIIe siècle. Un seigneur de Montbel est connu en 1020, d'après Samuel Guichenon. Seigneurs, comtes de Montbel et de Saint-Pierre-d'Entremont (Comté de Savoie). Seigneurs de Montellier, de Nattage, de Saint-Maurice et de Saint-André de Brior[Foras 116].
Famille de Montfalcon

La famille de Montfalcon porte Aux 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, membrée et becquée d'or; aux 2 et 3 d'hermine et de gueules[Foras 117],[Note 6].

Antérieure au XIe siècle. Seigneurs originaire de Montfalcon à proximité d'Albens ; Comtes de Saint-Pierre-de-Soucy et de Château-Blanc ; seigneurs de Cengle, Flaxieu, Mionaz, Montfalcon, Pierre-Charve, Rumilly, Sillans ; coseigneur de Roasson[Foras 117].
Famille de Montfort

La famille de Montfort porte D'or à trois pals d'azur[Foras 118] ou Palé d'or et d'azur[Borel 16].

Les armes sont semblables à celle de la famille de Ternier, dont les Montfort forment une branche cadette[135]

Devise : Me fault tenir ou Me faut tenir mon fort[135]

Fin XIIIe siècle[135] Comtes de Montfort (Comté de Genève) ; seigneurs de Boisy, La Cour[Foras 118]. Portent le titre de seigneurs de Conzié à partir de 1546 et cela pendant 2 siècles[136],[137].
Famille de Monthoux ou de Monthouz

La famille de Monthoux porte D'or, au chevron de gueules[Foras 119],[138] ou De gueules au chevron d'or, avec trois plumes[139] Cimier : Trois plumes, deux d'or, une de gueules Support : deux haches d'or Devise : Tout en bien et Tout est bien[139].

Branches cadettes : Monthouz du Barrioz

Attestée au XIIIe siècle[140] Originaire de Duingt[140]. Comtes du Barrioz, d'Argonay et de Saint-Martin, seigneurs de Duingt et Châteauvieux, de Leschaux, de Marcellaz, de Montagny, de Monthoux ; coseigneur de Cornillon et Marthod[Foras 119].
Maison de Montmayeur

La maison de Montmayeur porte D'argent, à l'aigle éployée de gueules, becquée et membrée d'azur[Foras 120].

cimier : une aigle de même
supports : deux aigles de même[141].
Devise : Unguibus et rostro (par les ongles et le bec !)[142].
Cri de guerre : A moi, Montmayeur ![143]

Apparaît vers le XIIe siècle — Éteinte en 1487 — Relevée au XVe siècle par Jacques II de Montmayeur, issu d'une branche cadette installée en Tarentaise. Peut-être issu de la branche de Briançon[142], ils héritent de leurs titres en possession en mariant la dernière héritière de la branche cadette de cette puissante famille, Léonette Aigueblanche-Briançon[144]. Comtes de Montmayeur et de Brandis ; barons de Cusy, de Villarsallet, de Bussy, de Silans et d'Hermance[Foras 120].
Famille de Montvuagnard

La famille de Montvuagnard ou Vuagnard, que l'on trouve également sous les formes Montvagnard ou Vagnard (Wagnardi)[12], porte D'argent au lion de gueules, à la cotice d'or et de gueules brochante[145],[Foras 121].

Citée en 1283 — Disparue au XVIIe siècle[146]. Seigneurs de Boëge (par mariage en 1425)[147], Lornay, château de Mécoras (Ruffieux), Château de Montfalcon, Château de Montvuagnard, Château de Pierrecharve (par mariage en 1507)[147], Rochefort, Senoches, Les Tours (Ayse, XIVe siècle)[147].
Maison de Mouxy

La famille de Mouxy porte Échiqueté d'or et d'azur de quatre tires[148],[Foras 122].

Devise : Honor aut mors (Honneur ou mort) ; Pacta Tuentur (...)

Branches cadettes :

  • Maison de Mouxy de Loche : écartelé, aux 1 et 4 échiquetés d'or et d'azur de quatre traits ; aux 2 et 3 de gueules, au sautoir d'or[Borel 17].
Apparue vers le XIVe siècle. Marquis d'Hermance (1596) ; Comtes d'Arlod, Loche (ancienne seigneurie de Mognard, érigée en comté en 1683)[149] et Mognard ; Barons de Lupigny, Montfalcon, Montfort, St. Jeoire Seigneurs de Boussy, Cessens, Chapelle, Charosse, Châtel, Féternes, Lupigny, Mouxy, Pérouse, Planchamp, Pontchy, St. André, Thônes ; Coseigneurs de Ballaison, Clermont, Hauteville, château de Longefan[Foras 122].
Famille Noyel de Bellegarde

La famille Noyel de Bellegarde, on trouve la forme de Noël ou Noé, puis Noyel de Bellegarde porte D’azur, à la fasce d'or courbée rayonnante et étincelante vers la pointe, (à partir de 1540, par concession) au chef du même chargé d’une aigle à deux têtes de sable[Foras 123]

Anobli à la fin du XVe siècle[95],[150]. Jean Noyel, général des finances et trésorier de Savoie, petit-fils d'un notaire, ajoute à son nom Bellegarde à la suite de l'achat du château du même nom en 1470[151],[152]. Originaire de Montmélian (Savoie Propre). Marquis de Cervens et Corsinge (1693), Les Marches (1682) ; comtes de Boringes, Entremont, Nangy ; seigneurs de Bellegarde, Bernex, Charmoisy, Draillant, Loys, Mieudry, Montgelaz, Saint-Cergues, Saint-Paul, Thonon, La Tour de Servette, Villarbigny ; coseigneurs de Montdragon[Foras 123].

O à Q

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Famille de La Palud ou Pallud, Palu

La famille de La Palud (Pallud, Palu) porte De gueules à la croix d'hermine[153],[Borel 18].

Devise : Mourir plutôt que se souiller (Mourir plustost que le souiller)

Branche cadette : La Palud-Varembon

Apparaît vers le XIIe siècle. Originaire de la Bresse et des Dombes. Comtes de Varax et de La Roche-en-Montagne et Petite-Pierre ; vicomtes de Salins ; seigneurs de Varanbon, de Bouligneux, Villars-Sexel, d'Orbe, d'Echalans, de Tossia, de Cusance, de Châtillon, de Beauregard, de Saint-Maurice, de Richemont, de Sainte-Hyppolite, du Plantey, de Vayette, de la Botte, de Châteauneuf-en-Vennes, de Vire-Chastel, de la Poepe, de Montaigny, de Marches, de Châteauneuf-en-Vennes, d'Abbenans, de Noidans, de Beaumont-sur-Vigenne, de Montaigny-la-Corbe, de Thury-en-Charolais, de Revene, de Revenotte, de Corchans, de Mortfort, de Ligny-en-Tonnerrois, de Joye, de Touye et de Guéry-en-Champagne, de Jarnosse, de Bernay, de Bernage, de Villereys, de la Poype, de Maches, de Noydans et d'Abbenans
Famille de Perret

La famille Perret ou Perret d'Hauteville porte D'or à la bande de sable chargée de trois dagues dont la pointe est tournée vers le cimier[154],[155],[156].

Devise : VIRTUS ET ENSIS (La vaillance et l'épée)[155],[156]

Branche cadette :

  • Perret d'Angloz (Éteinte au milieu du XIXe siècle)[156]
Bourgeois anobli en 1626. Éteinte en 1810[156]. Achat de la seigneurie d'Hauteville en 1724[157], fait comtes de Hauteville sur Rumilly en 1775[158] ; Seigneurs de Le Mollard, Truaz ; coseigneur de La Bastie Dardel
Famille de Pingon

La famille de Pingon porte d'azur à une fasce d'or ou d'azur à une fasce d'or, flanquée de deux pointes d'argent appointées vers la fasce (branche cadette)[Foras 124] ou de geule à trois gerbes d'or[159].

Devise : Soli Deo Gloria

Branche cadette :

  • Pingon-Cusy
Éteinte en 1819[Foras 124]. Comtes de Sallenôves (par mariage) et de Pingon ; barons de Cusy ; Seigneurs de Prémeyzel, de Prangin en Bugey, de Savigny, de Salins et de Marlioz (par mariage)[Foras 124].
Famille Pobel

La famille Pobel porte De sinople, à la bande d'or, chargée de trois coquilles de sable[Borel 19].

Apparaît vers le XVIe siècle. Originaire de Bonneville (Faucigny). Comtes de Saint-Alban (achat du château en 1584, érigé en baronie en 1598, puis en comté en 1608[160]) ; barons de La Pierre (ou des Pierres en pays de Gex en 1654), de Châteauneuf ; seigneurs de Anières, Anuys, Ayse, Boisy, Chignin, Collonges, La Croix, Farges (1565), Le Molard, Péron (1654), Pontchy, Pougny, Pressy, Saint-Étienne, Saxel ; coseigneur de La Colliette.
Famille Du Pont

La famille Du Pont porte D'azur à la bande ondée d'argent[161]

Apparaît vers le XIIIe siècle. Disparition au XVIIe siècle[162]. Originaire de Pontamafrey (Maurienne) où les premiers membres surveillaient le pont sur l'Arc, hommes-liges des vicomtes de La Chambre[162]. Possessions d'une quarantaine de maisons fortes au XVIe siècle, entre Saint-Michel-de-Maurienne et Myans[163]. Seigneurs de Burgin (Sainte-Marie-de-Cuines), Combremont (pays de Vaud), Montarlot (Saint-Etienne-de-Cuines), Myans, Saint-Michel, Siens (?), Villaret (Le Châtel), Vorgerey (?)

R

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Famille de La Ravoire ou Ravoyria

La famille de Ravoyria, Ravoria, La Ravoyre, puis La Ravoire[164] porte Palé de six pièces d'argent et de gueules, à la bande d'azur brochant sur le tout[Foras 125].

Branches[164] :

  • de Montmélian ;
  • de Saint-de-Jean-de-la-Porte ;
  • de Saint-Alban-Leysse ;
  • de Passy-Chamonix.

Selon Félix Bernard, « les La Ravoire de Montmélian seraient, un rameau issu des Miolans »[165].

Les documents anciens favorisent la confusion entre les familles des Ravoire (Montmélian), des Rivoire (Dauphiné) et des Rovéréa (Chablais) puisqu'ils retranscrivent leurs noms de la « même manière et en une douzaine de formes différentes »[166]. Par ailleurs, Foras indique d'autres familles homonymes moins importantes, avec les Ravoire, Ravoyre et Ravoire de Queige[Foras 125],[Foras 126].

Remonterait au XIIe siècle[164],[167]. Eteinte au XVIIIe siècle[164]. Chevaliers originaires La Chavanne et Planaise (à proximité de Montmélian, en Savoie Propre)[164],[168] (peut-être issue de la maison de Miolans[164],[169]). Barons de Charansonnay ; seigneurs Châteaubochard, la Colliette, la Croix, Les Marches, Mollard, La Ravoire, Saint Alban, Silans, Tresserve ; coseigneurs de Cavallerleone, Escrivieux, Massigneu.
Famille de Reydet

La famille de Reydet ou Reydet de Vulpillières porte D'azur, à la fasce d'or, accompagnée en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un croissant d'argent[Foras 127],[170].

Louis de Reydet, notaire de la Chambre apostolique anobli au XVe siècle[171]. Comtes de Vulpillieres, de Choisy et de La Balme. Barons de Grilly. Seigneurs de Manigod, de Rogemont, de Montmirel, de Pressy, de Pymont , d'Hauteville, de La Croix d'Aiguebelle, de Lermineux (ou d'Hermineux) , d'Annieres , de Balmont (ou Belmont)[Foras 127].
Famille de Riddes

La famille de Riddes (De Rida) porte azur à la tour d'or senestré d'un pan de mur de même et crénelé comme la tour ouvert d'un portique sur lequel est une étoile d'or[Foras 128],[172].

Branches[173] :

  • Riddes de Belletour
  • Riddes de Charbonnière
XVIe siècle Originaire de Riddes (Valais), installée à Flumet (v. 1560)[173],[174],[175], héritiers de la famille de Salins en 1607[26]. Seigneurs de Bellecombe, Belletour, Bellevarde, Blay, Charbonnière, La Croix, Le Rosey, Saint Paul, Saint Thomas des Esserts, la Val de Bozel, la Val des Clets[Foras 128]. Châtelains en Haute Faucigny sur 4 générations (Bonneville, Beaufort, Flumet, Charousse, etc.)[176]
Famille de Rivoire

La famille de Rivoire (ou Rivoire de la Bâtie) porte à l'origine des armes parlantes : D'or, à trois (chênes) arrachés de sinople, rangés[177].

Avec la réunion du Dauphiné à la France, elle porte : Fascé d'argent et de gueules, de 6 pièces, à la bande de France. La bande, chargée d'abord de fleurs de lys sans nombre, subit plus tard la réduction au nombre de trois, qu'avait adopté la maison royale[177]. A. de Foras la décrivant ainsi fascé d'argent et de gueules de six pièces, a la bande d'azur chargée de trois fleurs de lis d'or[Foras 129].

L'auteur C. Mulleur indique quant à lui : D'or au chevron d'azur, chargé en chef d'un soleil d'or et en pointe de deux croissants d'argent[Foras 129],[178].

Mentionnée au XIIe siècle[177]. Chevaliers originaires du Dauphiné. Seigneur de La Bâtie Montgascon, Domessin, Lay, Pancalieri, Pont de Beauvoisin, Rochefort ; coseigneurs de Balmont, Cervens, Faverges, Pierre-Châtel, Rochefort[Foras 129].
Famille de Rochette

La famille de Rochette porte D'azur à un chef-pal du champ bordé d'or et chargé de cinq étoiles du même posées en tau(à confirmer)[Foras 130],[179].

Alliance avec les La Croix, seigneur de Scionzier, donnant naissance aux La Croix de La Rochette.

Chevaliers originaires du Chablais. Comtes de Arâches, La Croix, Scionzier (1699) ; barons de Beaufort, Donjon, Salagine (par mariage, 1675)[180], Villard, Burdignin, Cohendier et Villard (1684) ; seigneurs de Bourgeal, Hermineur, La Forest, Mont Saconnex, Saint Sigismond, Vougy[Foras 130].
Famille de La Rochette

La famille de La Rochette (Roccetta, Rochete, Rocchetta) porte D’azur à trois rocs ou roquets d’échiquier, alias, fers de lance) d’or[Foras 131].

Les La Rochette du Dauphiné portaient d'or, à trois rocs d'échiquier de sable[181]

Première mention au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[182]. Originaire de La Rochette (Savoie Propre). La branche principale s'éteint au plus tard au début du XVe siècle, une branche, dite La Rochette d'Alby, s'installe au XIIIe siècle en Albanais (Geenvois) et forme 3 rameaux, le dernier éteints au début du XVIe siècle[182]. La branche genevoise porte les titres de seigneurs de Pierrecharve, de Rougemont et de La Pesse[182].
Famille de Rolland

La famille de Roland ou Rolland, dite d'Alby ou de Marigny porte d'azur à l'épée d'argent en pal la pointe en haut[Foras 132],[Jougla 15].

À distinguer des familles[183]. :

  • Rolland de la Biolle, de Mouxy et de Villard-Sallet, anoblie en 1564, portant d'azur au griffon contourné et couronné d'or)[Jougla 15].
  • Rolland de Versonnex, anoblie en 1621, portant d'azur au chevron d'or chargé d'un autre chevron de gueules accompagné de deux étoiles d'or en chef et d'un croissant du même en pointe.)[Jougla 15].
Mentionnée en 1504[183], anoblie par LP [Jougla 15]. Originaire d'Alby (Albanais-Comté de Genève). Seigneurs d’Alby, de Marigny[Foras 132].
Famille de Rovorée

La famille de Rovorée (parfois Ravorée ou Rovérée ou encore Rovéréa en italien) porte De gueules à la bande d'argent[Foras 133].

Attestée depuis le XIe siècle[Foras 133],[184]. Chevaliers originaires du Chablais savoyard. Considérés parfois comme cadets de la maison de Faucigny. Barons de Brissogne ; seigneurs d'Avully, Bonneveaux, Cervens, Le Crest, Corsinge, Montbuiron, La Rovorée, La Val d'Aulps, Vailly, Urtières, Yvoire[Foras 133].

S

Image Nom de la famille, blasonnement et devise Périodes d’apparition et disparition Titre(s) et domaine(s) d'origine
Famille de Sacconay

La famille de Sacconay (Sacconeto), ou Saconney ou Sachonay ou Sacconay ou encore Sacconex, porte De sable, à trois étoiles d'argent, au chef du même chargé d'un lion issant de gueules[Foras 134],[Borel 20],[185].

Apparaît au XIIIe siècle. Seigneurs de Saconnex (Le Grand-Saconnex- Comté de Genève). Seigneurs d'Albeterre, La Bâtie Dardel, Bruel, Bursinel, Le Châtelard, Corsier, Ogny, Prat, Pregny, Rouz, Sacconex, Truaz, Vernier, Vesancy[Foras 134].
Famille de Saint-Jeoire

La famille de Saint-Jeoire porte d'or au sautoir de sable[Foras 135].

Mentionnée XIIe siècle. Originaire du Faucigny. Barons de Saint-Jeoire, de Féterne et d'Hermance ; Seigneurs d'Aléry, Beaucroissant, La Chapelle-Marin (1518-avt. 1607)[36], Les Ferrières, La Ravoire, Rovorée, Turchet, Yvoire[Foras 135].
Famille du Saix

La famille du Saix (de Saxo), parfois Dessaix, porte D'azur à trois bandes d'or. ou écartelé d'or et de gueules[186].

Ce nom étant commun dans la région, plusieurs familles ont porté ce nom, les Desaix (famille noble d'Auvergne), les Dessaix (famille non noble de Savoie), les Du Saix (Bresse), les Dussaix et les Dessaix (Faucigny)[187].

Cimier : Un globe chargé d'une écartelure semblable. Supports : deux lions de gueules, armés d'or[186].

Devise : NON MOBILE SAXUM[186]

Branches :

  • plusieurs savoyardes (cf. Guichenon)
  • branche suisse
Mentionnée vers le XIVe siècle — Branche suisse éteinte fin du XVe siècle[186]. Originaire de Bresse. Seigneur de Annet, Marignier, Montfalcon, Passeirier, Pontchy, Roche, Saix.
Maison de Sales

La famille de Sales porte D'azur, à deux fasces d'or, chargées chacune d'une autre fasce de gueules, accompagnées d'un croissant d'or en chef et de deux étoiles à six rais d'or en cœur et en pointe[Foras 136],[Borel 21].

  • Devise : Nec plus nec minus ou Ny plus ny moins (Joseph de Champeaux indique aussi Tout pour Dieu.)
  • Cri d'armes : Mamours ! Mamours[188]
  • Couronne de marquis ou heaume de front à cinq grilles
  • Cimier : Hercule avec une massue sur l'épaule droite. Tenants : deux sauvages ceints et couronnés de feuilles de peuplier, armés de massues abattues.
Remonterait au XIe siècle. Inféodée à la maison de Compey, la maison de Sales passe au service des princes de Luxembourg-Martigues. Barons (1613), puis comtes (1632) puis marquis de Sales (1665)[189], originaires de La Roche-sur-Foron (Comté de Genève). Marquis de Trésum (achat en 1698) ; comtes de Duingt et de Châteauvieux (par achat en 1681[190]) ; barons de Couvette, Richemont, Thorens, La Thuile, Sales[Foras 136].
Famille de Sallenove

La famille de Sallenove ou Sallenôves ou encore Salanova ou Aula nova (vers 1160)[191],[192] porte Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande d'or, brochante sur le tout ou Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande de gueules, brochante sur le tout[Foras 137].

Devise: A VIRTUTE VIRI

Branche cadette :

  • En 1239, la branche aînée conserve le nom de Sallenove conserve le nom, la cadette prendra celui de Viry[191]
  • Sallenôves de Viry ou Viry-Sallenove (XIIe siècle)
Mentionnée vers 1142[191] (issu de la famille de Chaumont tout comme la famille de Vidomne de Chaumont[193]). Coseigneur de Chaumont (1275)[191], Ternier ; barons de Sallenôve[Foras 137].
Famille de Sallier

La famille de Sallier (parfois Saillet) ou Sallier de La Tour porte parti de sable et de sinople au cheval nu, gai, d'argent[Foras 138],[194].

Branche italienne :

  • Sallier de la Tour Corio
Humbert Sallier anobli vers la fin de décembre 1634 ou le début de 1635[195]. À la Révolution française, la famille s'installe en Italie. Le mariage de Humbert Sallier avec Françoise de Gilly lui permet d'obtenir les terres et droits des familles de Gilly, des Serraval et des Bertrand de la Pérouse, dont le Tournon (1596)[196]. Marquis de Cordon (1700)[197] ; Comtes de Boringes ; Barons de Bourdeaux, Chevron (par achat en 1755), Combloux, Gilly. Duc de Corio.
Famille de Salteur

La famille de Salteur porte De gueules, à une bande échiquier d'or et d'azur de trois traits, accompagnée de deux étoiles d'or (ou d'argent)[Foras 139],[Borel 22].

Devise: FIDES ET OFFICIUM

Autres branches :

  • Salteur de la Serraz
  • Salteur La Salle
  • Salteur-Balland
Apparaît au XVIe siècle Famille de bourgeois originaire de Rumilly[198]. Sénateur de Savoie anobli. Marquis de Samoëns (1699), La Serraz (1755), comtes de Saint-Pierre-de-Soucy ; seigneurs de Châtel de Culoz, Curtilles, Landaize, Molettes, Montprovens, La Salle, Villette[Foras 139].
Famille de Serraval

La famille de Serraval porte Palé de six pièces d'or, d'azur et de gueules[199]

Apparaît vers le xxx. Disparaît au XVIe siècle. Originaire du comté de Genève et vassale des comtes, mais également hommes-liges des comtes de Savoie[200].
Maison de Seyssel

La maison de Seyssel porte Gironné d'or et d'azur de huit pièces[Foras 140],[Borel 22].

Devise : Franc et Léal et Fortifer quod pie.

Apparaît vers le XIe siècle. Seigneurs de Seyssel (Comté de Savoie). Marquis d'Aix (1575), de La Serraz (1654) ; Comtes de Seyssel ; Vicomte de Novalaise ; Barons de Montfalcon, Montfort[Foras 140].
Famille de Syons

La famille de Syons porte De gueules au cygne d'argent, becqué et patté de sable[Foras 141].

Apparaît vers le XIIIe siècle. Éteinte en 1857. Seigneurs de Syons et de Montagny. Seigneurs et barons de Beauregard, de Creste et de Saint-André, en Genevois. Seigneurs de Vellières, en Bresse[Foras 141].

T à U

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Famille de Ternier

Autrefois appelée Terny, la famille de Ternier porte D'or à trois pals d'azur[Foras 142],[201].

Connue depuis le XIIe siècle — Éteinte en 1418[202]. Seigneurs notamment de Château de La Poype, dont ils sont originaires ; Château du Châtelard (Feigères), Château de Beaumont, Château d'Ogny (Saint-Julien-en-Genevois), Château de Troche (Douvaine), Château de Pontverre (Lovagny), Château de Ternier (Saint-Julien-en-Genevois), Château du Vuache (Vulbens), Château de Pierre (Pays de Gex) et Château de La Bâtie-Meillé (à côté de Genève)[Foras 142],[202]. Les biens passent à la famille de Montchenu[202]
Famille de Thiollaz

La famille de Thiollaz (de Thiolla) porte De gueules à l'aigle naissante d'argent becquée de sable, accompagnée en chef à dextre de deux étoiles d'or[Foras 143].

Devise: Post mortem lauda (Loue après la mort)[203]

Remonterait au début du XIVe siècle (inféodation du fief de Thiollaz )[204] Originaire de Thiollaz sur la paroisse de Chaumont (Comté de Genève). Seigneur de Montpont (1801)[Foras 143].
Famille de Thoire

La famille de Thoire ou Thoyre porte D'azur, à la bande d'argent[Foras 144],[205].

Ne doit pas être confondue avec les Thoire de la maison de Thoire-Villars.

Branche cadette :

  • Thoire de Pilly
Remonterait au XIe siècle[205] — Éteinte au XIXe siècle[205]. Originaire du Faucigny, issue de la maison de Faucigny[206],[207].Chevaliers, seigneurs de La Bâtie-Dardel, Bellecombe, Bossy, Brison, Carroz, Château-Blanc-d'Onion, Gravernel, Hauteville, Plagnes, Tour noire de Magland, Sirier, Vivier[Foras 144].

V à Z

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Famille de Varax

La famille de Varax porte écartelé de vair et de gueules[Foras 145].

Devise : OMNIBUS UNUS

Originaire de Saint-Sorlin, de Richemont, en Bresse-Bugey. Comtes de Varx et marquis de Saint-Sorlin (lettres patentes de 1460)[208] ; comtes de Arlod ; seigneurs de Châtel (par mariage en 1559 avec Catherine de Verbos/Verboz[Foras 146]), Mons, Sainte-Hélène-des-Millières, Saxel, Semine, La Vernaz[Foras 145].
Famille de Verboz / Verbouz

La famille de Verboz ou Verbouz, que l'on trouve aussi sous la forme de Verbou, de Verbos, de Verbosis, porte D'azur à la tour crénelée d'argent, maçonnée de sable[Foras 147].

Apparu au XIIe siècle. Seigneur de Semine. Comté de Genève. Seigneur de Châtel sur les Usses[Foras 147] (inféodé en 1393 par le comte de Genève jusqu'en 1575 où elle passe à la famille de Varax, à la suite du mariage en 1559 entre Jean Philibert de Varax et Catherine Bailland de Verbos)

Famille de Verdon

La famille de Verdon ou Verdun porte d'azur au lion d'or, ou de sinople au lion d'or[Foras 148].

Rameau d'une des familles de Chignin (XIIIe siècle)[209]. Seigneur de Chalex, de La Corbière, de Cornillon, de Marthod, de Verdon (Château)[Foras 148].
Famille de Vidomne de Chaumont

La famille de Vidomne de Chaumont porte Palé d’argent et d’azur au chevron de gueules[Foras 149].

Branches cadettes :

  • Vidomne de Novéry
  • Vidomne de Charmoisy
Mentionnée dès le XIIe siècle[210]. Issu de la famille de Chaumont Comté de Genève. Barons de Couvette ; seigneurs de Anthy, La Chapelle, Charmoisy, Durzilly, Epagny, Folliet, Lausenette, Marclaz (par mariage en 1515, puis passe à la maison des Maréschal), Montségur, La Motte, Novery, Villy (acheté 1397) ; coseigneurs de Cormand[Foras 149].
Famille de Villars fusionnée dans la famille de Thoire

La famille de Villars passe par mariage à celle de Thoire dite également de Thoire-Villars. Cette dernière porte Bandé d'or et de gueules de six pièces[211].

  • Devise : Villars ![211].

Autre branche :

  • Devient par mariage vers 1188 de l'héritière Agnès de Villars avec Étienne de Thoire : Thoire-Villars[211].
Attestée par archive à partir de 940. Originaire de Villars (Dombes). Contrôlant la plus grande partie des seigneuries du haut-Bugey et des Dombes. Comte d'Avelin (jusqu'en 1389), de Beaufort (1394) et de Genève (1394) ; Seigneurs puis barons de Villars, d'Aubonne ; seigneurs de Trévoux, de Montribloud, du Montellier, de Saint-Sorlin et du Thor, de Baux (jusqu'en 1389), de Lanieu, de Loyettes, de Gordans, de Beauregard, de Bellecombe, d'Hermance, de Saint-Jeoire, de Thoire, de Montréal, de Matafelon, d'Arbent, de Cerdon, de Poncin, de Loyes, de Montdidier, de Rossillon, d'Annonay, de Boulieu, de Montgeffon, d'Amberieu, de Saint-Romain-en-Jareys, de Beauregard-sur-Saône, de Châteauneuf, d'Argoire, de Champagne-sur-Rhône, de Chaignon, de Chastellard. Vente des droits en 1401 au duc de Savoie.
Famille de Viry

Les noms de Viry et de Salnove semblent être portés indistinctement jusqu'en 1239 où Hugues II de Viry partage la branche entre ces trois fils[191],[192]. À l'origine les seigneurs de Viry portaient Palé d'argent et d'azur[Foras 137]. Cependant on trouve aussi Palé d'argent et de gueules (alias d'azur), à la bande de gueules, brochante sur le tout.

Devise : A VIRTUTE VIRI[212].

Branches cadettes issues du partage de 1239 :

  • Viry
  • Viry-Pimont
Remonterait au XIe siècle — Issue de la famille de Sallenove[191],[192] — Seconde moitié du XVIe siècle, reprise par une branche cadette des biens de la branche aînée, ruinée[192]. Seigneurs, comtes de Viry. Comté de Genève. barons de Ternier ; seigneurs d'Amancy, Bastia et Carassone, Cernex, Cohendier, Faverges, Épagny, Jarsagne, Marlioz, Menthonnex, Monthoux, Ogny, Rosey, coseigneurs de Boisy, Châtelet-de-Credoz, Lully[Foras 137].

Les communes savoyardes

Pour les blasons concernant les communes des deux départements savoyards, consulter les articles suivants :

Notes et références

Notes

  1. Mention d'un Humbert d'Arvillard en 1058, avec son fils et son petit-fils ainsi qu'une fille, Oda, à travers une donation pour la fondation d'un prieuré à Domène (Grésivaudan)[23].
  2. Foras fait l'hypothèse qu'il s'agirait probablement d'une seule et même famille[Foras 14]. L'historien Félix Bernard « D'après ces textes, les Apremont et les LA Baume ont donc des bien intimement mêlés et même des intérêts identiques. Ils doivent être de la même famille »[28].
  3. Famille ayant donné un archevêque de Tarentaise, quatre évêques de Grenoble, chanoine de Genève, prévôt de l'église Saint-Gilles de Verrès[57],[58].
  4. Ne pas confondre la famille de La Faverge avec les seigneurs de Faverges (de Fabricâ), originaire du Dauphiné et qui devint la famille de Rébé. Il n'y a aucun lien avec la commune de Faverges où une famille seigneuriale, les de Faverges (Fabricis) possédaient le château.
  5. Aviernoz, Les Ollières et la Grimottière formait une seigneurie érigée en comté en 1699[128].
  6. Une version plus explicite est "écartelé au 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, béqué et membré d'or ; au second et troisième contre-écartelé d'hermine et de gueules" donnée par l'abbé Aubert de Vertot dans son Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[134].

Références spécialisées

Annuaire de la Noblesse de France (1861)

(section « Bibliographie »)

  1. Borel, p.373.
  2. Borel, p. 374.
  3. Borel, pp. 374-375.
  4. Borel, pp. 376.
  5. Borel, pp. 376-377.
  6. Borel, p. 377.
  7. pp. 158-159.
  8. Borel, pp. 378-379 (présentation en ligne).
  9. Borel, 1865, vol. 22, p. 335 (présentation en ligne).
  10. Borel, p. 379 (présentation en ligne).
  11. Borel, p. 380 (présentation en ligne).
  12. pp. 379-380 (présentation en ligne).
  13. Borel, pp. 387-388.
  14. Borel, p.186-187.
  15. Borel, p. 381.
  16. p. 383.
  17. Borel, p. 384, mais le dessin est inversé.
  18. Borel, p. 358.
  19. Borel, p. 386-387.
  20. Borel, p. 209, 386.
  21. Borel, p. 386.
  22. Borel, p.387.
Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie (1863-1910)

(section « Bibliographie »)

  1. vol.1 pp. 12-14 présentation en ligne.
  2. vol.1 pp. 15-17 (présentation en ligne.
  3. vol.1 pp. 19-21 (présentation en ligne).
  4. vol.1 pp. 22-36 (présentation en ligne).
  5. vol.1 pp. 41-43 (présentation en ligne).
  6. vol.1 pp. 46 (présentation en ligne).
  7. vol.1 pp. 50 (présentation en ligne).
  8. vol.1 pp. 51-53 (présentation en ligne).
  9. vol.1 pp. 61-64(présentation en ligne).
  10. vol.1 pp. 68, 70-71 (présentation en ligne).
  11. vol.1 pp. 73-75 (présentation en ligne).
  12. vol.1 pp. 79 (présentation en ligne).
  13. vol.1, pp. 92-97 (présentation en ligne).
  14. vol.1, pp. 99-102 (présentation en ligne).
  15. vol.1, pp. 103-108 (présentation en ligne).
  16. vol.1, pp. 108-110(présentation en ligne).
  17. vol.1, pp. 135-139 (présentation en ligne).
  18. vol.1, pp. 144-156 (présentation en ligne).
  19. vol.1, pp. 162-170 (présentation en ligne).
  20. vol.1, pp. 189-195 (présentation en ligne).
  21. vol.1, pp. 211-232 (présentation en ligne).
  22. vol.1, pp. 233-238 (présentation en ligne).
  23. vol.1, pp. 239-241 (présentation en ligne).
  24. vol.1, pp. 247-252 (présentation en ligne).
  25. vol.1, p. 266(présentation en ligne).
  26. vol.1, pp. 275-278 (présentation en ligne).
  27. vol.1, p. 278 (présentation en ligne).
  28. vol.1, p. 6 (lire en ligne).
  29. vol.1, pp. 287-294 (présentation en ligne).
  30. vol.1, pp. 299-301 (présentation en ligne).
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  40. vol.2, pp. 1-3 (présentation en ligne).
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  47. vol.2, pp. 104-107(présentation en ligne).
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  59. vol.2, pp. 203-207 (présentation en ligne).
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  62. vol.2, pp. 236-241 (présentation en ligne).
  63. vol.2, pp. 252-255 (présentation en ligne).
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  66. vol.3 , pp. 337-364 (présentation en ligne).
  67. vol.2, pp. 317-354 (présentation en ligne).
  68. vol.2, pp. 357-359 (présentation en ligne).
  69. vol.2, pp. 361-365 (présentation en ligne).
  70. vol.2, pp. 367-369 (présentation en ligne).
  71. vol.2, p. 376 (présentation en ligne).
  72. vol.2, pp. 381-382 (présentation en ligne).
  73. Foras, vol.2, pp. 388-398 (présentation en ligne).
  74. vol.2, pp. 407-422 (présentation en ligne).
  75. vol.2, pp. 423-441 (présentation en ligne).
  76. vol.3, pp. 17-22 (présentation en ligne).
  77. vol.3, pp. 23-29 (présentation en ligne).
  78. Voir au « Supplément ».
  79. vol.3, pp. 61-62 (présentation en ligne).
  80. vol.3, pp. 63-71 (présentation en ligne).
  81. vol.3, pp. 72-79 (présentation en ligne).
  82. vol.3, pp. 80-83 (présentation en ligne).
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  85. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 158.
  86. Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 538.
  87. Recueil des mémoires et documents de l'Académie de la Val d'Isère, 1938, p. 183.
  88. Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 267.
  89. Ansgar Wildermann / FP, « Gingins, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
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  102. Jacques Augustin Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 3 suite et fin), J. Barbezat, (lire en ligne), p. 277-279.
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  107. Aix, p. 140.
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  111. Léon Menabrea, Des origines féodales dans les Alpes occidentales, Imprimerie royale, , 596 p., p. 377.
  112. Faucigny, p. 326.
  113. Faucigny, p. 326.
  114. Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société, vol. 113, Académie salésienne, , 1070 p. (ISBN 978-2-901102-21-2, lire en ligne), p. 616.
  115. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3, notice BnF no FRBNF41276536), p. 354.
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  119. Pierre Bozon, Le Pays des Villards en Maurienne, Éditions des "Cahiers de l'Alpe", , 291 p., p. 127.
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  121. Maurienne, p. 110.
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  123. Joseph Rochette et René Blanc, Saint-Rémy-de-Maurienne : Village aux mille sources, La Fontaine de Siloé, coll. « Savoie vivante », , 217 p. (ISBN 978-2-84206-054-1), p. 104-105.
  124. Christian Sorrel, Histoire de la Savoie en images : images, récits, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, notice BnF no FRBNF40949269), p. 220-221.
  125. Maurienne, p. 135.
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  127. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, notice BnF no FRBNF41173998), p. 139.
  128. Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, , 356 (volume 1).
  129. « Des noms et des hommes : aujourd'hui les Métral », Le Dauphiné libéré, . Voir aussi le Site consacré à la famille Métral.
  130. p. 382.
  131. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 131.
  132. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 132.
  133. Grillet, p. Tome 3 - p.38.
  134. René Aubert de Vertot, Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, appelez depuis chevaliers de Rhodes, et aujourd’hui chevaliers de Malte, Paris, Rolin, 1726, 4 vol, t. IV, p. 44.
  135. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 163.
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  138. Mémoires et documents de Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1878, p. 322
  139. Revue savoisienne, Académie florimontane, 1860, p. 56
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  142. Travaux de la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, 1978, p. 81.
  143. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3, notice BnF no FRBNF41276536), p. 399.
  144. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 369.
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  147. Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Chuet (section) », Mémoires & documents, vol. 47, , p. 155, généalogie de la branche cadette de Bonneville (lire en ligne).
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  150. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 114.
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  152. Ghislain Garlatti, Histoire des Marches : à l'ombre du Granier, chronique d'un village de Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 157 p. (ISBN 978-2-84206-343-6, notice BnF no FRBNF41023791), p. 45.
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  159. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 390.
  160. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 43.
  161. Joseph Rochette et René Blanc, Saint-Rémy-de-Maurienne : Village aux mille sources, La Fontaine de Siloé, coll. « Savoie vivante », , 217 p. (ISBN 978-2-84206-054-1, présentation en ligne), p. 117.
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  165. Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 596 p., p. 248.
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  167. Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 39 p., p. 248.
  168. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 120.
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  170. L'Armorial historique de Bresse de Edmond Révérend du Mesnil et Philibert Collet (1878) indique d'azur, à la fasce d'or, accompagnée de deux étoiles de même en chef et d'un croissant aussi d'or en pointe.
  171. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 51.
  172. Charles Socquet, Megève et son passé, France Couleur, , 380 p., p. 345.
  173. AS, p. Volumes 19 à 20 - 1806 - p. 83.
  174. AVI, p. Volume 3 - 1925 - p. 127.
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  176. Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société, vol. 113, t. 2, Académie salésienne, , 1070 p. (lire en ligne), « Annexe n°4 : Listes des châtelains et fermiers de châtellenies de l'apanage aux XVIe et XVIIe siècle », p. 761.
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  182. François Coutin, Histoire d'Alby : Les Sept Châteaux — La Commune — La Paroisse, t. 45, Annecy, Impr. commerciale, coll. « Mémoires & documents de l'Académie salésienne », (lire en ligne), p. 62-66.
  183. François Coutin, Histoire d'Alby : Les Sept Châteaux — La Commune — La Paroisse, t. 45, Annecy, Impr. commerciale, coll. « Mémoires & documents de l'Académie salésienne », (lire en ligne), p. 66-68.
  184. Chablais, p. 315.
  185. Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 90.
  186. James Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 1), Genève, (lire en ligne), p. 172-174.
  187. Joseph Dessaix, « Vie politique et militaire du général Dessaix », p. 22(lire en ligne), p. 441 (lire en ligne), publié dans les Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, troisième série, tome V, Impr. générale savoisienne, Chambéry, 1879.
  188. Joseph de Champeaux, Devises. cris de guerre, légendes, dictons, , p. 248.
  189. Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4), p. 37.
  190. Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4), p. 293.
  191. Martine Piguet, « Sallenove, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
  192. Roberto Biolzi, « Viry, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
  193. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, Genève, Société d'histoire et d'archéologie, , p. 71.
  194. Jean Brunier, Petite et grande histoire de Mercury, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-106-7), p. 218, Article « Blason des Sallier de La Tour ».
  195. AVI, p. Volume 10 - 1938 - p.257.
  196. Tarentaise, p. 293.
  197. Faucigny, p. 208.
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  199. Tarentaise, p. 292 (lire en lifne).
  200. Bruno Galland, Les papes d'Avignon et la Maison de Savoie : 1309-1409, Collection de l'École française de Rome, 512 p. (ISBN 978-2-7283-0539-1), p. 62.
  201. Guichonnet85, p. 89-90.
  202. Matthieu de la Corbière, « Ternier (de) » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
  203. Joseph de Champeaux, Devises. cris de guerre, légendes, dictons, , p. 277.
  204. Pierre Duparc, Le comté de Genève, IXe-XVe siècle, t. XXXIX, Genève, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, coll. « Mémoires et Documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 616 p., p. 517 note de bas de page n°9.
  205. Guichonnet85, p. 91-92.
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  207. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 324.
  208. SSHA, p. Volume 33 - 1894 - p.60, note de bas de page.
  209. AdS, p. Tome I - 1953 - p.29, Il est fait mention en 1272 de Antelme de Verdon dit fils de Ogier de Chignin.
  210. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 71.
  211. Antoine Charles N. Lateyssonnière, Recherches historiques sur le département de l'Ain. 5 vols, 1838, p. 71-74.
  212. Grillet, p. 435 et suivantes.

Voir aussi

Armoriaux

  • Gustave de Rivoire de La Bâtie, L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)

Travaux des sociétés savantes de Savoie

Travaux spécifiques

  • Guido Castelnuovo, « Nobles des champs ou nobles de cour ? Princes et noblesse dans les chroniques savoyardes du XVe siècle », dans Marco Gentile, Pierre Savy, Noblesse et États princiers en Italie et en France au XVe siècle, Rome, École française de Rome, coll. « École française de Rome », , 420 p. (ISBN 978-2-7283-0839-2, lire en ligne [PDF]), chap. 416, p. 191-208
  • Collectif, Noblesse en Savoie, Chambéry, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « L'Histoire en Savoie », décembre 1998-mars 1999, 256 p., chap. 132-133

Ouvrages sur les communes et les provinces

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey (vol. 1), Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1).
  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6).
  • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5).
  • Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0).
  • Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, .

Articles connexes

Liens externes

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