Monnetier-Mornex

Monnetier-Mornex (le -x final ne se prononce pas[Note 1]), est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Panneaux d'entrée d'agglomération en français et en arpitan à Bas-Mornex, agrémentés de la croix de Savoie.

Monnetier-Mornex

Vue générale du village de Monnetier.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Saint-Julien-en-Genevois
Intercommunalité Communauté de communes Arve et Salève
Maire
Mandat
Raphaël Cesana
2020-2026
Code postal 74560
Code commune 74185
Démographie
Gentilé Monnerants
Population
municipale
2 304 hab. (2018 )
Densité 202 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 09′ 39″ nord, 6° 12′ 28″ est
Altitude Min. 406 m
Max. 1 268 m
Superficie 11,4 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Genève (SUI)-Annemasse (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Roche-sur-Foron
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Monnetier-Mornex
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Monnetier-Mornex
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Monnetier-Mornex
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Monnetier-Mornex
Liens
Site web monnetier-mornex-esserts.com

    Géographie

    Vue d'une œuvre par John Ruskin (1819-1900) représentant Mornex.

    Cette commune toute proche de Genève se trouve répartie en trois villages entre le Salève et le petit Salève (village de Monnetier), sur les flancs sud-est du Salève (village d'Esserts-Salève) et sur le mont Gosse (village de Mornex). Le village de Mornex se prolonge jusqu'en bas du mont Gosse, au bord de l'Arve et à la jonction de son affluent, le Viaison.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Monnetier-Mornex est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 35 communes[7] et 184 962 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (14,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), prairies (2,3 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Mont Salève - Village de Monnetier (Haute Savoie, France)

    Le -ex de Mornex se prononce Morné en français[Note 1]. Le x final signifie l'accentuation sur la dernière syllabe [Note 1].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Morné, selon la graphie de Conflans[13].

    Histoire

    Préhistoire et époque gallo-romaine

    Le site de Monnetier-Mornex a été peuplé par les Allobroges vers 300 av. J.-C., dont on retrouve les traces sur le site archéologique nommé « Camp des Allobroges » sur le Petit Salève.

    Époque contemporaine

    Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 195 pour la commune[16],[17]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et 23 avril 1860 où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[18].

    Le 14 décembre 1973, par arrêté préfectoral, le village d'Esserts-Salève est rattaché administrativement à la commune de Monnetier-Mornex[19].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 mars 1977 Émile Balthassat ... ...
    mars 1977 mars 1983 Joseph Cervo ... ...
    mars 1983 mars 2001 André Charpin ... Botaniste
    mars 2001 mars 2008 André Vuachet DVD[20]  
    mars 2008 En cours
    (au avril 2014)
    Philippe Maume DVG Cadre supérieur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Ses habitants sont appelés les Monnerantes et les Monnerants[21].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2018, la commune comptait 2 304 habitants[Note 5], en diminution de 1,2 % par rapport à 2013 (Haute-Savoie : +6,11 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    419425434430630699718770749
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    7659008308811 005822811737703
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    6477707928671 0021 3159028091 429
    1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018 - -
    1 5301 7941 7921 9532 2292 3102 304--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Escalade

    Monnetier-Mornex possède plusieurs sites d'escalade équipés, dont notamment :

    • la barre de Monnetier : située sur le Petit Salève ;
    • Le Canapé : situé sur le Grand Salève.

    Parapente

    Plusieurs départs de parapente sont situés sur la commune, sur le Salève.

    Football

    Le village de Monnetier est équipé d'un stade et d'un club de football, le FC des Salèves.

    Tennis

    Un tennis municipal géré par une association et composé de 2 courts en enrobé ainsi que de 2 murs est situé à Mornex.

    Golf

    Un practice de golf municipal se situe à Mornex. Il dispose en outre d'un petit parcours 6 trous.

    Divers

    Médias

    • Télévision locale : TV8 Mont-Blanc.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le Camp des Allobroges, sur le Petit-Salève.
    Place de l'église Saint-Pierre-aux-Liens.
    • Église dédiée à Saint-Pierre-aux-Liens, sur le village de Monnetier, datant du XIIe siècle. dans un style néo-gothique, inaugurée en 1902[26],[27].
    • Chapelle dédiée à saint Georges, sur le village de Mornex, datant du XIIe siècle. L'église n'obtient jamais le statut de paroisse est resta une filiale de Monnetier.
    • Église Saint-André d'Esserts, édifiée en 1584 selon la mention sur le porche (mais s'agissant peut être d'un réemploi)[28].
    • Le château de Mornex (1289)[29], siège d'une châtellenie entre les XIVe et XVIe siècles.
    • Le château de Monnetier.
    • Le château de l'Ermitage. Situé à flanc de falaise, il domine la plaine du Genevois. Initialement édifié comme forteresse au début du XVIe siècle par François-Prosper de Genève-Lullin, qualifié de « un chasteau aussi appelé son hermitage ». Le 31 août 1589, il est pris, incendié et démoli par la troupe genevoise du capitaine Guinet. Laissé en ruines pendant trois siècles, il est utilisé par les villageois de Monnetier comme réserve de pierre à construire. À partir de 1855, à l'emplacement des ruines et du donjon, est construit un manoir utilisé comme hôtel-pension, demeurant dans la même famille jusque dans les années 1990. Racheté, il a été récemment luxueusement rénové[30].
    • Hôtel du Château de Mornex est un ancien manoir fait édifié par François Prosper de Genève-Lullin en 1567 et brûlé par lors de l'invasion bernoise en 1589, puis reconstruit en 1855[31].
    • Les Treize Arbres, au Salève.
    • Le Clos Wagner, à Mornex, où ont séjourné Richard Wagner et John Ruskin.
    • L'arrivée du téléphérique du Salève se trouve à Monnetier, sur les flancs du Salève.
    • Shedrub Choekhor Ling, un centre du bouddhisme tibétain situé au Salève.

    Personnalités liées à la commune

    Vue de Mornex, par Jean-Baptiste Camille Corot.
    • Le pharmacien Henri-Albert Gosse (1753-1816), fondateur de la Société de Physique et d’Histoire Naturelle de Genève (SPHN) en 1790 et collaborateur de Johann Jacob Schweppe avec qui il a inventé le premier système artificiel à gazéifier l'eau, avant que ce dernier ne fonde la « Cadbury and Schweppes Ltd », société qui produit encore aujourd’hui la célèbre boisson pétillante, et qui a permis la naissance de tous les sodas et autres soft drinks, vivait à Mornex et a donné son nom au Mont Gosse.
    • François Perravex (vers 1780-1852), natif d'Arbusigny, syndic de Mornex et député du royaume de Sardaigne[32]
    • John-Étienne Chaponnière, sculpteur genevois actif à Paris, a séjourné à Mornex du mois de mai au mois de juillet 1833 pour recouvrer sa santé. De nouveau à Mornex en avril 1834, il achève deux statuettes : Giotto et sa chèvre et Jeune pêcheur napolitain. Sa maladie s'aggravant, il revient, une nouvelle fois Mornex, en mai 1835 et, y meurt le 19 juin 1835[33].
    • Le compositeur allemand Richard Wagner a séjourné en 1856 à Mornex où il aurait composé une partie de son célèbre opéra La Walkyrie.
    • L'écrivain anglais John Ruskin a séjourné en 1863 en tant que curiste à Mornex.
    • Le peintre impressionniste Jean-Baptiste Camille Corot a séjourné à Mornex où il a peint un tableau « Vue de Mornex ».
    • Le jeune chanteur décalé Toufo est originaire de ce petit village.
    • Le groupe Fluxious de Jazz/Metal est basé Mornex.

    Héraldique

    Blason
    Tranché d'or à un soleil au naturel, et de sinople à trois sapins au naturel rangés en bande, celui du milieu plus grand que les autres ; à la rivière d'azur ondée d'argent posée en bande et brochant sur la partition, chargée de trois cristaux de neige du même ; au franc-canton de Savoie[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Monnetier-Mornex
    Tranché d'or à un soleil au naturel, et de sinople à trois sapins d'argent rangés en bande, celui du milieu plus grand que les autres ; une rivière d'argent ondée d'azur posée en bande et brochant sur la partition, chargée de trois cristaux de neige du même ; au franc-canton de Savoie. (Variante)[34].

    Au XVIIe siècle, les armes du mandement de Mornex se blasonnaient ainsi : croix de saint André d’or en champ d’azur ou d'azur au sautoir d'or[35].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 329-334 « Monnetier-Mornex », 321 « Esserts-Salève ».

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Le -ex final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la première syllabe[1],[2],[3].
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[14],[15].
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Henri Dénarié, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges, (lire en ligne) (Article publié dans le numéro 13 de La Voix des Allobroges, été 2007)
    2. Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard, (lire en ligne).
    3. « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    14. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
    15. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
    16. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 73-75.
    17. Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, lire en ligne).
    18. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
    19. J.O. du .
    20. Annuaire des Mairies de Haute Savoie (74)
    21. « Monnetier-Mornex », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Faucigny 1980, p. 331.
    27. [PDF] « Réfection de l’église de Monnetier », Sallèves. Bulletin municipal de la commune de Monnetier-Mornex-Esserts, no 43, , p. 10 (lire en ligne).
    28. Faucigny 1980, p. 321.
    29. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 39.
    30. Dominique Ernst, « Monnetier-Mornex : le mystérieux géant du château de l’Ermitage… », Le Messager, (lire en ligne).
    31. « Hôtel du Château de Mornex », sur le site Mémoire Alpine, la base de données de l'écomusée PAYSALP - memoire-alpine.com, (consulté le ).
    32. Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, présentation en ligne), p. 205.
    33. Luba Rhodes, La vie et l'œuvre de John-Étienne Chaponnière (1801-1835). Annexes, [Genève] : Université de Genève, Faculté des Lettres, [2005], p. 4-5.
    34. Site de la mairie de Monnetier-Mornex.
    35. J.-F. Gonthier, « Funérailles de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours (1659) », Revue savoisienne, vol. XI, no série II, , p. 249 (lire en ligne).
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