Betton-Bettonet

Betton-Bettonet est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ne pas confondre avec Betton, commune d'Ille-et-Vilaine

Betton-Bettonet

Chef-lieu de Betton-Bettonet.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Savoie
Maire
Mandat
Jérôme Berthier
2020-2026
Code postal 73390
Code commune 73041
Démographie
Gentilé Bettonnards
Population
municipale
311 hab. (2018 )
Densité 91 hab./km2
Population
agglomération
220 118 hab. (2013)
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 52″ nord, 6° 11′ 18″ est
Altitude Min. 287 m
Max. 571 m
Superficie 3,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pierre-d'Albigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Betton-Bettonet
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Betton-Bettonet
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Betton-Bettonet
Liens
Site web http://www.mairie-betton-bettonet.fr/

    Géographie

    Betton-Bettonet et les communes voisines.

    Betton-Bettonet est situé près de Chamoux-sur-Gelon, à l'extrémité nord-est du Montraillant, qui sépare le val Gelon de la combe de Savoie. La commune est limitrophe de celles d'Hauteville (Savoie), Villard-Léger, Chateauneuf, La Trinité et Bourgneuf (Savoie).

    Le territoire de la commune s'étend sur le versant Sud-Est du Montraillant[1].

    La commune fait partie de la communauté de communes Cœur de Savoie, et se trouve à proximité du parc naturel régional du massif des Bauges.

    Les principaux cours d'eau traversant la commune sont les ruisseaux (dits les nants) du Bouchet (le Nant), de Chantemerle et le Petit Gelon (Canal des Moulins).

    Urbanisme

    Typologie

    Betton-Bettonet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), terres arables (16,5 %), forêts (12,1 %), zones urbanisées (1,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Betton-Bettonet est composée de l'association du nom de deux anciennes paroisses de Betton et de Bettonnet[1]. Betton est mentionné très tôt notamment avec la création d'une abbaye cistercienne de femmes, implantée dès le début du XIIe siècle, sous la tutelle de l'abbaye de Tamié. Mais une Ecclesia de Bitumine est déjà mentionnée en 1103, dans le cartulaire de Maurienne, puis à nouveau mentionnée sous la forme Ecclesia del Beton (1264), d'après Samuel Guichenon qui évoque également le couvent Abbatia Betonis (en 1294), ou encore sous Bitumine (1266), Bituminis (1269)[8],[9],[10]. On trouve ensuite les mentions Bethone (1346), Bytuminis (1434) ainsi que Bethon et Beton au cours du XVIIIe siècle[8],[9],[10].

    La paroisse de Bettonet est mentionnée dès la fin du XIIIe siècle (Bethonetum, 1295)[11],[10]. On le trouve ensuite mentionné sous la forme Bituneto en 1312 ou encore Butoneto en 1444[11],[10].

    Les noms des deux paroisses possèdent très probablement une même origine, selon le chanoine savoyard Adolphe Gros[9]. Ils pourraient provenir du dérivé du nom, d'origine germanique selon Ernest Nègre, attesté dès le XIIe siècle, Betto ou Berto, variante du patronyme Berto-onis, Berton[9],[12],[10]. Betonnet semble être un dérivé du premier, désignant le « petit Betton »[8].

    Adolphe Gros, écrit dans son Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, le toponyme de Betton pourrait dériver d'un nom propre d'origine germanique (burgonde) Betto ou Berto, variante du patronyme, Berto-onis, Berton[9]. Adolphe Gros ou les auteurs de l’Histoire des communes savoyardes (1983) donnent également pour origine « dBITUMEN, qui signifie terrain noir et boueux »[9],[8]. Toutefois, aucune trace de bitume dans les environs[9],[10]. Même si le site se trouve en bordure des marais de la plaine du Gelon, on y trouve nulle trace de bitume[10].

    En patois savoyard, qui fait partie des langues francoprovençales, le nom de la commune s'écrit Le Betne, selon la graphie de Conflans[13].

    Histoire

    Durant la période féodale, la maison-forte du Bettonnet et le village attenant font partie de la seigneurie de Chamoux, elle même rattachée à celle de La Rochette (Savoie).

    Puis jusqu'en 1792, Bettonnet relève de l'Intendance de Savoie Propre et du Parlement de Chambéry, également de Chambéry pour la justice, et fait partie du mandement de Chamoux-sur-Gelon, du diocèse de Maurienne et de l'archiprêtré de Châteauneuf (Savoie).

    De 1793 à 1801, commune du département du Mont-Blanc, Bettonnet relève du district de Chambéry et du canton de Chamoux, puis de celui de La Rochette, pour revenir à la situation d'avant 1792, à la chute de Napoléon Ier, avec son retour à l'état Sarde (États de Savoie), de 1815 à 1860

    Politique et administration

    Mairie de Betton-Bettonet.

    La commune est membre de la Communauté de communes Cœur de Savoie. Elle appartient au Territoire du Cœur de Savoie, qui regroupe une quarantaine de communes de la Combe de Savoie et du Val Gelon[14].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jean-Luc Berthier    
    mars 2008 mars 2014 Philippe Séauve SE  
    mars 2014 En cours
    (au avril 2014)
    Jérôme Berthier SE Ouvrier

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Bettonnards[15].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

    En 2018, la commune comptait 311 habitants[Note 3], en augmentation de 0,32 % par rapport à 2013 (Savoie : +2,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    316303372397408563636436410
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    496398409342374360337295278
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    250234205214223200182167129
    1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018 -
    124157203261270278310311-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique


    Économie

    La commune reste ancrée dans ses traditions agricoles, surtout portées sur l'élevage bovin et la culture de céréales[20].

    Le village garde un caractère rustique, notamment lié à une architecture rural, typique de villages agricoles ; structuré autour de la mairie et d'un four à pain[20].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Clair et château du Bettonet.

    Ancienne maison forte du XVIIe siècle, reconstruite au XVIIIe siècle et faisant partie de la seigneurie de Chamoux, le chateau est depuis propriété privée. Il est d'abord désigné sous le vocable de Saint-Clair, et possédait dans ses jardins un grand édifice religieux.

    Tenue jusqu'au début du XVIIIe siècle par les de Jordane, inféodés aux seigneurs de La Rochette, la maison forte originelle a été détruite par un incendie en 1677. Son aspect actuel date du XVIIe siècle, lorsque Pierre de Meillarède, ministre de Victor-Amédée II, premier roi de Piémont-Sardaigne, qui l'achète en 1715, le fait reconstruire et aménage les jardins, qui seront classés en 1996 aux Monuments historiques[21].

    On trouve trace dès 1323 de l'appartenance du fief à Jean de Bettonnet, qui sera vendu en 1427 à Jean de Seyssel sous l'autorité de Amédée VIII de Savoie. Les de Seyssel resteront maitre de la seigneurie pour deux siècles, avant que Louise de Seyssel ne nomme Thomas de Savoie Carignan comme héritier[22].

    Des, de Jordane, châtelains des La Rochette, au début du XVIIIe siècle, jusqu'aux propriétaires actuels, de nombreuses familles s'y sont succedé, par heritages, achats, transmissions. Citons les Chapel de Montfort, dont le premier Philibert, Intendant et directeur général du prince Emmanuel-Philibert de Savoie (1528-1580), se garantit le monopole de l'exploitation des mines et introduit à Chambéry l'industrie de la soie, lui résidant au château de Chamoux-sur-Gelon[23].

    Suivent les Mellarède, Pierre déjà cité et son fils Philibert-Amedée, dit "l'abbé Méllarède", érudit qui mourra au château du Bettonnet en 1780[24] après avoir légué à la ville de Chambery les 5 000 ouvrages de sa bibliothèque qui constitueront le fond de la bibliothèque municipale. Pierre de Mellarede achète en 1715 les paroisses de Chamoux, Montgilbert, Montendry et celles du Bettonnet, et revend moins de deux semaines plus tard les trois premières, ne gardant que « la Seigneurie et juridiction de la paroisse du Bettonnet »[25].

    Une fille de Pierre de Mellarède hérite du château mais le cede à son troisième mari par le biais duquel on arrive aux propriétaires du XIXe siècle, les de Sallmard, et c'est leur fille Marie-Anne Pallavicini qui vend château et domaine au vicomte Benoît de Boigne, arrière petit fils du général Benoît de Boigne, en 1881[22]. Ce dernier le vend à son tour à la famille de Saint-Albin en 1902.

    • L'église actuelle, située à coté du Château du Bettonet est un édifice érigé au XIXe siècle, entre le 30 septembre 1891 et décembre 1892, du style néo roman[26],[27].

    On trouve des traces de son existence à partir de 1275, mais la première Visite pastorale attestée date quant à elle de 1444. Elle subit des modifications au fur et à mesure que s'y succèdent les propriétaires du château auquel elle est accolée, c'est en 1717 qu'elle est remise à neuf[26].

    Il ne reste aucune trace de l'église primitive mais grâce aux écrits de François Buttin, curé de Bettonet de 1874 à 1907, écrits conservés aux archives communales, on sait qu'elle était accolée aux murs du château, « très exigue », entourée du cimetière. Le 15 février 1415, le noble François Jordane y avait fondé une chapelle dédiée à Ste Catherine d'Alexandrie. Agrandie en 1846, elle menaçait ruine à cause de l'instabilité de ses fondations après le déplacement du cimetière. C'est ce qui motiva le choix de l'emplacement de l'église actuelle.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Meillarède, originaire de Montmélian, ancien avocat à Chambéry et intendant à Nice, acquiert des Chapel de Rochefort la seigneurie de Bettonnet (en 1715), érigée en comté (en 1717)[28] ;
    • Le général-comte Benoît de Boigne, bienfaiteur de l'asile du Betton ;
    • Mgr Michel Rosset (1830-1902), natif, évêque de Maurienne ;
    • Jean Moulin

    C'est dans cette commune qu'il se maria le avec Marguerite Cerruti alors qu'il était sous-préfet d'Albertville[29],[30].

    Le choix du lieu de mariage est justifié par la possession d'une maison de campagne de la mère de Marguerite Cerruti à Betton-Bettonet, comme l'explique Jean Moulin dans une lettre à ses parents :

    « C’est à une trentaine de kilomètres de Chambéry et à mi-chemin d’Albertville. Ce serait donc très commode. Cela éviterait ainsi un déplacement et un séjour à Paris très coûteux et pénible en plein mois d’août. Le Bettonnet est d’ailleurs très gentil et dans un cadre de montagnes très beau. Ce serait beaucoup mieux. »

    Une plaque commémorative apposée au mur de la mairie a été inaugurée le [30].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Association de l'Histoire en Cœur de Savoie, 1000 ans d'histoire en Cœur de Savoie, Neva Éditions, , 1027 p. (ISBN 2-3505-5281-0 et 978-2-35055-281-1, OCLC 1202710836), « Betton-Bettonet », p. 124-143
    • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 441-444. ([PDF] lire en ligne)

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 441.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 441.
    9. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 61..
    10. D'après Henry Suter, « Betton », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
    11. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 61..
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), n° 14418..
    13. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    14. Direction départementale des Territoires de la Savoie, « Territoire du Coeur de Savoie », sur le site de la Direction départementale des Territoires - observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté en ), Observatoire des Territoires de la Savoie.
    15. « Betton-Bettonet », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. « Présentation de la commune », sur site de la mairie de Betton-Bettonet (consulté le ).
    21. « Château », notice no PA73000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 442-443, « Le château du Bettonnet».
    23. Maurice Messiez, La combe de Savoie autrefois, vol. 1, La Fontaine de Siloé, , 201 p. (ISBN 2-84206-191-8, présentation en ligne), xx.
    24. « Présentation de la commune », sur Betton-Bettonet, (consulté le ).
    25. « P./Mellarède XVIIIe | Chamoux-sur-Gelon », sur www.chamoux-sur-gelon.fr (consulté le ).
    26. Histoire des communes savoyardes, 1983, p. 441-442, « L'église».
    27. Félix Bernard, Paroisses du décanat de La Rochette, , p. 21-32.
    28. Article[réf. incomplète], Cahiers d'histoire, 1969, p.77.
    29. Cédric Brunier, « Betton-Bettonnet : le village savoyard du mariage de Jean Moulin », La Vie nouvelle, (lire en ligne).
    30. « Une plaque pour commémorer le mariage de Jean Moulin », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
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