Liste des partis politiques français disparus

Cette page présente la liste des partis politiques français disparus. Les partis actuellement en activité sont présentés sur la page partis et mouvements politiques français.

Gauche

Sous la IIIe République

Sous la IVe République

Sous la Ve République

Centre

Sous la IIIe République

Sous la IVe République

Sous la Ve République

Mouvement gaulliste

Sous la IVe République

Sous la Ve République

Démocratie chrétienne

Sous la IIIe République

Sous la IVe République

  • Mouvement républicain populaire : 1944-1966, démocrate-chrétien, successeur du PDP, rassemblant également les partis chrétiens-démocrates d'Alsace-Lorraine (URL et URP) et des groupes chrétiens résistants.

Sous la Ve République

Droite

Sous la IIIe République

Sous la IVe République

Sous la Ve République

Extrême droite

Sous la IIIe République

Sous Vichy et l'Occupation

Sous la Ve République

Partis régionaux

  • Batasuna (« Unité ») : parti indépendantiste du Pays basque Nord d'extrême gauche, fondé en 2001. Proche d'Euskadi ta Askatasuna (ETA, « Pays basque et liberté »). Dissous début 2013.

Autres

  • Parti des Indigènes de la République (PIR) : créé en 2010 en tant que parti politique, il est la continuation du Mouvement des Indigènes fondé en 2005 et visant à « combattre les inégalités raciales qui cantonnent les Noirs, les Arabes et les musulmans à un statut analogue à celui des indigènes dans les anciennes colonies ». Sa porte-parole la plus médiatisée est Houria Bouteldja.
  • Politique de vie (PV) : fondé en 1994 par le sociologue et psychothérapeute Christian Cotten. Vise à provoquer et accompagner les changements (spirituels, culturels, politiques, économiques et sociaux) nécessaires au respect et au développement de la vie de la planète et ses habitants[1]. Il a participé aux élections européennes de 1994, 1999 et 2009 sur la liste du Parti antisioniste.
  • Parti Solidarité - Liberté, Justice et Paix : fondé en , ce parti veut faire exister une voix chrétienne indépendante, inspirée de la doctrine sociale de l'Église catholique. Présidé par Axel de Boer. Présente deux listes aux Européennes de 2009 (0,15 % et 0,16 %) puis La Liste Chrétienne aux régionales de 2010 en Île-de-France (0,85 % des suffrages).
  • Parti du plaisir (PP) : fondé en 2001 par la stripteaseuse Isabelle Laeng (alias Cindy Lee), il se réclame premier parti hédoniste de France.
  • Parti Pied-noir (PPN) : fondé en 1999 en vue de défendre les intérêts des rapatriés d'Afrique du Nord et surtout actif dans le Sud du pays, présidé par Christian Schembré[2].
  • Rassemblement social-démocrate (RSD) : fondé en 2007 par Rachid Nekkaz, il est la continuation du Parti Rachid Nekkaz et du groupe de réflexion Allez France. Il a présenté 58 candidats aux élections législatives de 2007 et a participé aux municipales de 2008 dans certaines villes dont Orly, Denain et Bron.
  • Société nouvelle (SN) : fondé par Christopher Guéna, actif de 2011 à 2012. C'est le premier parti politique d'initiative jeune de France et le premier mouvement néo-luddiste de France.
  • Union française pour la cohésion nationale (UFCN) : mouvement créé en 2003 par Mustapha Lounes et Zinedine Sammari. Il est la continuation de Génération républicaine créé en 1992.

Notes et références

  1. Ce parti et son responsable sont parfois désignés par leurs détracteurs, comme proches de la mouvance sectaire. Ce que dément Christian Cotten en dénonçant la collusion des milieux politique et judiciaire et la corruption d'une certaine élite politique.
  2. Marie Muyl, « Parti Pied-Noir : une opportunité européenne », Pôle Sud, n° 24, 2006. pp. 59-73.

Voir aussi

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