Séméac

Séméac est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Séméac

L'église de Séméac.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Philippe Baubay
2020-2026
Code postal 65600
Code commune 65417
Démographie
Gentilé Séméacais
Population
municipale
5 005 hab. (2018 )
Densité 796 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 45″ nord, 0° 06′ 27″ est
Altitude Min. 310 m
Max. 436 m
Superficie 6,29 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tarbes
(banlieue)
Aire d'attraction Tarbes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Aureilhan
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Séméac
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Séméac
Géolocalisation sur la carte : France
Séméac
Géolocalisation sur la carte : France
Séméac
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Séméacais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Séméac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à km d'Aureilhan[3], bureau centralisateur du canton d'Aureilhan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Sarrouilles (1,8 km), Aureilhan (1,9 km), Soues (2,6 km), Tarbes (2,7 km), Laloubère (3,6 km), Boulin (3,7 km), Barbazan-Debat (3,8 km), Horgues (4,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Séméac fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes de Séméac[6]
    Aureilhan
    Tarbes Sarrouilles
    Soues Barbazan-Debat

    Hydrographie

    Le canal d'Alaric traverse la commune du sud au nord au centre du bourg.
    L’Adour traverse la commune à l’extrémité sud-ouest.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Séméac.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[7].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie [10]. Un espace protégé est présent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[11].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de l'Adour »[13], d'une superficie de 2 694 ha, un espace où les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiée, avec la présence de la Loutre et de la Cistude d'Europe.[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[15] : les « bois de Rebisclou et Souyeaux » (1 334 ha), couvrant 13 communes du département[16] et « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-Pyrénées[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[15] : l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Séméac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tarbes, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[22] et 78 594 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (42,8 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), forêts (18,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,5 %), prairies (0,3 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 2 478[28].
    Parmi ces logements, 88,2 % sont des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 10,2 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par l'autoroute A64 sortie  13, par la route nationale N21 et les routes départementales D817 et D632 et les routes départementales D8 et D21.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Séméac à l'est de Tarbes.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[29] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • villam opulentissimam Semeiacum nominatam, latin (1022, Marca, Histoire de Béarn) ;
    • de Semeaco, latin (v. 1060, cartulaire Saint-Pé ; 1080, ibid.) ;
    • de Semeaco, latin (1292, procès Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre ;
    • de Semeaco, latin (1342, pouillé de Tarbes ; 1379, procuration Tarbes ; etc.) ;
    • Raymundus Guilhelmi de Seminiaco, latin (v. 1110, cartulaire de Bigorre) ;
    • Semeag (1285, montre Bigorre) ;
    • de Semead (1292, procès Bigorre) ;
    • Semeach, Semeag (1390, livre vert de Bénac) ;
    • Semeac (1429, censier de Bigorre) ;
    • Semeac (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : Les noms de lieux terminés par « ac » comme Bernac, Préchac, Arcizac... désignaient un domaine gallo-romain identifié par le nom de son propriétaire : Séménius, dans le cas de Séméac[réf. nécessaire]. Séméac désigne un domaine antique, du nom de personne basco-aquitain Semen et suffixe -acum> gascon -ac (= propriété de Semen).

    Nom occitan

    Semiac.

    Histoire

    Si des traces d'occupation au Paléolithique, puis dans l'Antiquité, ont été trouvées, la véritable histoire de Séméac remonte au Moyen Âge : la seigneurie de Séméac apparaît à la fin de la dynastie carolingienne. Auparavant possession tarbaise, elle est le fruit de l'échange, en 1020, entre le duc de Sanche, Guillaume, prince et duc de Gascogne, et Arnaud-Raymond de Bas ou de Coarraze d’un terrain situé à Saint-Pé, dont le premier avait besoin pour construire le monastère des Bénédictins.

    L'existence de Séméac apparaît dans les textes dès 1032.

    Plus tard, les barons de Castelbajac dépossédèrent les Coarraze de ce domaine, qu’ils conservèrent pendant près de trois siècles.

    Le village lui-même, constitué de l'église, du premier château et de quelques maisons, fut fondé vers 1275 par Raimond de Castelbajac. En 1540, le baron Bernard de Castelbajac vendit sa seigneurie à Claire de Gramont, alors unique héritière du nom et des armes des Gramont, famille originaire des confins de la Navarre et du Béarn, qui partagea dès lors sa vie entre les châteaux de Bidache, Bayonne, Pau puis Séméac.

    Au XVIIe siècle, Séméac fut érigé en marquisat. Le premier marquis de Séméac, Henri (1619-1679), comte de Toulonjon, Gramont et Asté, sénéchal et gouverneur de Gascogne, rasa le premier château et le fit reconstruire avec une telle magnificence qu'il mérita le surnom de « Petit Versailles ».

    Dans la longue suite des Gramont de Séméac, se détachent quelques personnages :

    • Antoine 1er de Gramont, fils de Claire, seigneur de Séméac, maire de Bayonne depuis l’âge de neuf ans, libéra Tarbes assiégé par les Huguenots du baron d'Arros en 1574 ;
    • Antoine II, lui, mourut à Séméac en 1644, l’année où il avait été fait duc et pair de France par le jeune Louis XIV ;
    • Antoine III, Maréchal de France en 1641, servit Richelieu et Mazarin ;
    • en 1660, Charlotte de Gramont épousa Louis Grimaldi, un ancêtre du prince Rainier III de Monaco ; deux mois plus tard, ils furent invités aux fêtes du mariage de Louis XIV ;
    • un des arrière-petits-neveux d’Henri, Antoine VII, mena une vie de dissipation et ruina consciencieusement sa famille. Il fut le dernier propriétaire du château où, paraît-il, il n'était jamais venu ! Par suite du manque d’entretien, l’angle méridional du bâtiment s’écroula en 1777. Ruiné, incapable de le faire réparer, retiré à Bidache, Antoine VII ordonna la démolition complète en . Beaucoup de ses pierres ont servi à la construction des vieilles maisons de Séméac, et même de l'hôpital de Vic-en-Bigorre !

    La Révolution française provoqua le renversement de l'aristocratie locale, son expropriation et la confiscation des biens du clergé. Les terres ainsi récupérées furent mises à la disposition de la Nation. Confisquées et mises en vente, elles furent achetées par les grands bourgeois tarbais : les Caussade (marchands, avocats), Théaux (avocats au Parlement), Sireix (greffiers)...

    Après 1850, les moyens et petits paysans du village, d’abord journaliers, purent les acheter, lorsque les premiers propriétaires les revendirent pour placer ailleurs leurs capitaux. Il faut voir là l'origine des propriétés paysannes établies solidement à Séméac pendant tout le XXe siècle.

    Cadastre napoléonien de Séméac

    Le plan cadastral napoléonien de Séméac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[30].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie en 2019.
    Le Centre culturel et sportif Léo Lagrange en 2019.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    octobre 1947 juin 1985 André Noguès PS Conseiller général du canton de Séméac (1973 → 1988)
    juin 1985 18 décembre 2010 Guy Dufaure PS Ingénieur retraité
    Conseiller général du canton de Séméac (1988 → 2015)
    21 décembre 2010 mars 2020 Geneviève Isson PS Professeure d’anglais retraitée
    Conseillère départementale du canton d'Aureilhan (2015 → )
    mars 2020 En cours
    (au [33])
    Philippe Baubay PS Conseiller régional d'Occitanie (2021 - )

    Rattachements administratifs et électoraux

    La Poste en 2021.

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes, marquisat de Séméaccanton de Tarbes (1790), Tarbes-Sud (1801), chef-lieu depuis 1973 de Séméac remanié en 1982[34].

    Intercommunalité

    Séméac appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 5 005 habitants[Note 7], en augmentation de 6,2 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    570539695738840913940960963
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 0021 0051 0621 2051 2871 3751 3591 5201 537
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5301 5801 6042 1072 4562 7523 1843 5794 589
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    5 1225 1585 0124 4284 7515 0284 6794 8935 005
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Passée de 26 « feux » en 1429 à 1 695 habitants en 1806, 1 304 en 1914, 2 751 en 1936, la population a connu un bel essor après 1945 avec la construction de nouveaux lotissements (Hispano-Suiza, Baticoop), passant alors à 3 054 habitants en 1946, 4 596 en 1962, 5 012 en 1982.

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2016[40].

    Sports

    • L'ancien stade emblématique du Stadoceste Tarbais, le stade Jules-Soulé était situé sur le territoire de la commune.
    • Le CaminAdour.
    • Séméac possède un club de Rugby.

     : le Séméac Olympique évoluant en 3e série dans le championnat territorial Armagnac Bigorre.
    L'entraîneur actuel est Michel Perez. Ils jouent à domicile au stade André-Noguès.

    Économie

    L'irrigation relativement aisée des terres favorisa l'élevage des vaches laitières et les cultures maraîchères : Séméac alimentait autrefois une bonne partie de la ville de Tarbes en lait et en légumes frais.

    Longtemps village à dominante agricole, Séméac a vu le nombre de ses fermes diminuer et il n’en reste que très peu actuellement.

    Parallèlement, les activités artisanales, et surtout commerciales et industrielles, se sont développées. C'est surtout l’usine Alstom qui a fait basculer l’économie locale vers l’industrie.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Notre-Dame en 2020.
    Le lavoir en 2019.
    • Du sud au nord de Séméac serpente le canal Alaric, dont le nom viendrait, d’après une légende, du roi wisigoth qui aurait fait creuser ce canal pour alimenter en eau le campement de sa cavalerie.
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption. La première église avait été édifiée vers 1285 par Raimond-Arnaud de Castelbajac. Incendiée par les Huguenots en 1569, elle fut reconstruite, en 1609, par les ducs de Gramont, avec les vestiges de l'ancienne, puis remaniée au XVIIIe siècle, où fut réalisé le retable, par Dominique Ferrère (1723-1808), petit-fils de Jean Ferrère, fondateur d'une dynastie de sculpteurs spécialisés, installés à Asté. De leurs ateliers sortirent pendant près de deux siècles les éléments les plus originaux du décor et du mobilier des églises haut-pyrénéennes. Le clocher et le porche avaient été ajoutés sous le règne de Louis XV. La voûte en berceau, reposant sur 8 colonnes, date du XIXe siècle. Les grilles de la cour et du portail de l’église furent installées en 1898 et sont le fruit de la générosité d’un mécène séméacais. L'église porte le nom de sa sainte-patronne : Notre-Dame de l'Assomption, fêtée le .
    • Le centre culturel et sportif Léo Lagrange qui est classé patrimoine du XXe siècle.
    • Lavoir.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    L'entrée du nouveau cimetière des Pradettes.
    Le monument aux morts municipal, œuvre de Firmin Michelet.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Séméac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Séméac et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Séméac et Aureilhan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Séméac », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    8. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    9. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    10. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    11. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Séméac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR7300889 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Séméac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « bois de Rebisclou et Souyeaux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Tarbes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Séméac
    29. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Séméac en 1818
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    32. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Séméac » (consulté le ).
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