Asté

Asté est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Asté (homonymie).

Asté

L'église d'Asté.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute-Bigorre
Maire
Mandat
Thierry Broca
2020-2026
Code postal 65200
Code commune 65042
Démographie
Gentilé Astéens / Astéennes
Population
municipale
566 hab. (2018 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 02′ 31″ nord, 0° 10′ 08″ est
Altitude Min. 578 m
Max. 1 804 m
Superficie 26,67 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bagnères-de-Bigorre
(banlieue)
Aire d'attraction Bagnères-de-Bigorre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Haute-Bigorre
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Asté
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Asté
Géolocalisation sur la carte : France
Asté
Géolocalisation sur la carte : France
Asté

    Ses habitants sont appelés les Astéens.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Asté se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Beaudéan (1,4 km), Gerde (1,6 km), Campan (2,8 km), Bagnères-de-Bigorre (3,0 km), Lies (4,4 km), Uzer (4,7 km), Marsas (4,9 km), Banios (5,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Asté fait partie de la province historique du Haut-Adour, autrefois incluse dans l’ancien comté de Bigorre. Il s’agit d’une zone montagneuse constituée des prolongements occidentaux des massifs de Néouvielle et de l’Arbizon[5],[6].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Paysages et relief

    Vue générale en été.

    Hydrographie

    Le ruisseau du l'Héris, affluent de rive droite de l'Adour, et le ruisseau de Gavarni traversent la commune.
    L'Adour forme une partie de la limite ouest avec la commune de Beaudéan.
    Une partie du ruisseau de Lies et du ruisseau de Hourclat arrosent la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 184 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Artigues », sur la commune de Campan, mise en service en 1959[13]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 220,8 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 22 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie [22]. Un espace protégé est présent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[24] :

    • les « Chaînon calcaire de la Bouche de Campan et soulane du Signal de Bassia » (2 055 ha), couvrant 6 communes du département[25] ;
    • « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-Pyrénées[26] ;
    • le « massif de Lhéris, Hautes-Baronnies » (5 455 ha), couvrant 9 communes du département[27] ;
    • le « massif karstique du Monné, Tucou, Bédat » (1 512 ha), couvrant 3 communes du département[28] ;
    • le « réseau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du département[29] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 5],[24] :

    • l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées[30] ;
    • les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du département[31] ;
    • le « bassin du Haut Adour » (27 303 ha), couvrant 18 communes du département[32];
    • le « massif du Monné, vallée de l'Oussouet » (6 955 ha), couvrant 11 communes du département[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Asté est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[34],[35],[36]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bagnères-de-Bigorre, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[37] et 13 262 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[38],[39].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnères-de-Bigorre dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[40],[41].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), prairies (2,8 %), zones urbanisées (2,7 %), terres arables (2,5 %)[42].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 355[43].
    Parmi ces logements, 66,8  % sont des résidences principales, 16,6 % des résidences secondaires et 16,6  % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D935 et la route départementale D8.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Asté à l'est de Bagnères-de-Bigorre

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[44] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • De Guilhermo de Aster, latin et gascon (1062, cartulaire de Bigorre ; v. 1125, ibid. ; 1285, montre Bigorre) ;
    • Arnaldus Willermi de Ester, latin et gascon (v. 1090, Larcher, cartulaire Saint-Pé) ;
    • Hyspanum de Ester, (v. 1140, livre vert de Bénac) ;
    • vicecomes d-Aster, latin et gascon (1183, cartulaire de Berdoues) ;
    • en B. d’Astee, (1283, procès Bigorre) ;
    • De Asterio, latin (1300, enquête Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé de Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
    • de Astario, latin (1300, enquête Bigorre) ;
    • Aster, (1429, censier de Bigorre) ;
    • Aste, (1541, ADPA, B 1010) ;
    • Aster, (1614, Guillaume Mauran) ;
    • Aster, (1760, Larcher, pouillé de Tarbes) ;
    • Asté, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Ce nom dérive d'un fabricant de lances, de broches ou autres objets pointus (occitan ast).

    Nom occitan : Astèr.

    Histoire

    Asté en 1829.
    La fontaine de Crastes.

    Les seigneurs d'Asté (Aster) sont assez embrouillés : voici un schéma, perfectible. Une première famille des seigneurs d'Asté/Aster[45],[46] est signalée au XIe siècle avec Guillaume Ier (fl. 1062), auquel succède Auger Ier (fl. 1075/1080), puis sans doute les fils de ce dernier, Fort-Aner et Espain/Hispan Ier (fl. 1130). Puis on trouve Auger II (fl. 1147), Arnaud-Guillaume (fl. 1190) père d'Auger III, lui-même père d'Espain II et Bernard/Bernat Ier : ce dernier, donné aussi directement comme le fils d'Auger II, semble le père d'Agnès d'Asté.

    Agnès Ire dame d'Asté épouse Sanche Garcie Ier d'Aure-Comminges, frère cadet du comte/vicomte Bernard d'Aure (ce dernier † vers 1221 ; sa fille, de nom inconnu, transmet le comté d'Aure en 1235 à Arnaud-Guillaume/Guilhem II vicomte de Labarthe, son époux ; Bernard d'Aure et Sanche Garcie d'Asté sont les fils de Raimond d'Aure-Comminges, fils de Bertrande d'Aure et Guy de Comminges, lui-même fils cadet de Bernard Ier comte de Comminges).

    La fille d'Agnès et Sanche Garcie d'Aure, également de nom inconnu, transmet Asté à son mari Arnaud II de Coarraze (Arnaud Ier d'Asté)[47]. Arnaud de Coarraze est le premier à être dit vicomte d'Asté en 1249.

    Leur fils Garcie Arnaud Ier (de Coarraze) (deuxième moitié du XIIIe siècle ; † vers 1264) hérite d'Asté, alors que son frère aîné Arnaud Guillaume continue les sires de Coarraze. Puis sa postérité :

    Bernard/Bernat Ier ou II († vers 1283) ; puis son fils Bernat II ou III († vers 1312 ; il épouse Savarigue/Soubirane de Jussan : Guchan ? ; plutôt que Soubirane de Joyeuse), d'où :

    Arnaud (II) (première moitié du XIVe siècle, † vers 1330 ; sa sœur Soubirane d'Aure épouse en 1318 François II de Lévis-Montségur, d'où postérité), d'où :

    Jean Ier, x 1350 Mascarose d'Orbessan d'Ornézan ; parents de :

    Garcie Arnaud II (fin du XIVe siècle), père de :

    Jean II (fl. jusque dans le premier quart du XVe siècle), x 1387 Bertrande de Lavedan, fille du vicomte Ramon Garcie VI et sœur du vicomte Arnaud IV de Lavedan, d'où :

    Jean III, sénéchal de Bigorre en 1437, † vers 1442, x Marie fille d'Archambaud de Caupenne

    Leur fille Agnès II épouse en 1442 Sanche Garcie III de Larboust (alias Sanche Garcie II d'Asté ; sénéchal de Bigorre, † en 1458 au siège de Garris ; frère cadet de Manaud Ier de Larboust : deux fils de Sanche Garcie II de Larboust — de la Maison d'Aure-Comminges/Quatre-Vallées — et de Bertrande de Jussan) parents de :

    Tristan et Jean Ier (ou IV) († vers 1496 ; x 1479 Jeanne de Foix-Béarn-Grailly fille naturelle de Gaston). Jean est le père de Jean II (ou V), de Menaud († 1534) qui suit, de Françoise (x 1517 Antoine de Caraman de Nègrepelisse), et de Catherine (x Charles d'Espagne de Montespan).

    Menaud d'Aure, vicomte d'Aster (dit aussi de Larboust), épouse en 1525 l'héritière Claire de Gramont : leur fils Antoine Ier de Gramont (1526-1576), comte de Gramont et de Guiche, vicomte d'Aster et de Larboust, prince de Bidache, prend le nom de sa mère et fonde la Maison de Gramont. Sa dernière fille Claire-Suzanne de Gramont se marie en 1595 avec Henri des Prez (ou des Prés), titré vicomte d'Aster (†1619, sans postérité). Le petit-fils d'Antoine Ier, Antoine II (1572-1644), devient le premier duc de Gramont en 1643.

    Cadastre napoléonien d'Asté

    Le plan cadastral napoléonien d'Asté est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[48].

    Politique et administration

    La mairie en 2020.
    La salle des fêtes
    Le foyer rural en 2020

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Léon Bérot DVG  
    mars 2001 mars 2008 Jean Galiay    
    mars 2008 En cours Thierry Broca    

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Bagnères, vicomté d'Asté, canton de Campan (depuis 1790)[49].

    Intercommunalité

    Asté appartient à la communauté de communes Haute-Bigorre créée en décembre 1994 et qui réunit 24 communes.

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52]. En 2018, la commune comptait 566 habitants[Note 8], en augmentation de 4,62 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6906146846918329529891 0881 062
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 029975908917892867895856834
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    816797776688687652610549662
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    604563513504456484520525537
    2017 2018 - - - - - - -
    559566-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    L’école élémentaire en 2020.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[55].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Saturnin.
    Le lavoir en 2020.
    Le monument aux morts municipal.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules aux trois flèches d'argent, empennées d'or, posées en pal la pointe en bas et rangées en fasce[57].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [Bouget 1948] Joseph Bouget, « Le Châtaignier de Médous », Bulletin de la Société Botanique de France, vol. 95, no 1 (suppl.), , p. 124-127 (ISSN 0037-8941, lire en ligne [PDF] sur tandfonline.com, consulté le ).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Asté », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Asté et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Asté et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Asté », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « la Haut-Adour », sur www.tourisme-en-france.com (consulté le )
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 323-324.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Artigues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Asté et Campan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Artigues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Asté et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    22. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    23. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Asté », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « Chaînon calcaire de la Bouche de Campan et soulane du Signal de Bassia » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « massif de Lhéris, Hautes-Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massif karstique du Monné, Tucou, Bédat » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF le « bassin du Haut Adour » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF le « massif du Monné, vallée de l'Oussouet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    43. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Asté
    44. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    45. « La Maison d'Asté, p. 134 », sur Essais historique sur le Bigorre, t. II, par Marie-Armand Davezac-Macaya, chez J.-M. Dossun à Bagnères, 1823.
    46. « Garcie Arnaud de Coarraze », sur Geneanet, arbre de Guy FOUILLADE.
    47. Arnaud est généralement considéré comme le fils de Raimond Arnaud III de Coarraze et le gendre d'Agnès d'Asté et Sanche Garcie d'Aure-Comminges. Mais certains auteurs l'ont donné comme issu de la famille d'Aure-Comminges : par exemple directement le fils d'Agnès et Sanche Garcie, ou un fils de Sanche Garcie Ier d'Aure-Larboust : ces filiations semblent plutôt provenir de confusions...
    48. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Asté en 1825
    49. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    50. « Liste des juridictions compétentes pour Asté », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    55. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    56. Asté. La guérison à la source, La Dépêche.
    57. Banque du Blason
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