Garris

Garris est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

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Garris

Maison traditionnelle.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Gérard Bidegain
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64235
Démographie
Gentilé Garrüztar
Population
municipale
281 hab. (2018 )
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 36″ nord, 1° 03′ 36″ ouest
Altitude Min. 73 m
Max. 219 m
Superficie 3,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Garris
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Garris
Géolocalisation sur la carte : France
Garris
Géolocalisation sur la carte : France
Garris

    Le gentilé est Garrüztar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Garris se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 90 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 51 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 2,8 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Luxe-Sumberraute (1,3 km), Amendeuix-Oneix (1,9 km), Saint-Palais (2,7 km), Béguios (2,8 km), Aïcirits-Camou-Suhast (3,1 km), Beyrie-sur-Joyeuse (3,7 km), Gabat (3,8 km), Béhasque-Lapiste (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Garris fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

    Communes limitrophes de Garris[11]
    Luxe-Sumberraute Amendeuix-Oneix

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Garris.

    La commune est drainée par salarteko erreka, zubiaga erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[12],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 325 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[18]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[19],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 40 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[22], à 14,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[24].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6]est recensée sur la commune[25],[Carte 2] : les « pelouses calcicoles de Garris » (6,01 ha), couvrant 2 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Garris est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57,5 %), prairies (20,5 %), forêts (13,5 %), zones urbanisées (8,5 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Voies de communication et transports

    Garris est desservie par les routes départementales D 11, D 511 et D 124.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Garris apparaît sous les formes Carasa (itinéraire d'Antonin[33]), Garris (1119 et 1249[34]), Sanctus Felix de Garris (XIIIe siècle[33], collection Duchesne volume CXIV[35]), Garritz (1249[34]), Garriz (1264[34]), Castieyllo de Guarriz (1326[33], titres de Navarre[36]), Guarriz (1350[34]), la biele de Garris (1413[34]), Garriis (1472[33], notaires de Labastide-Villefranche[37]), Garritze (1508[33], chapitre de Bayonne[38]) et Garris (1650).

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan[34] indique que Garris signifie 'arête rocheuse'.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Garrüze[1].

    Au XIXe siècle, Paul Raymond indique la forme Garruce[33].

    Histoire

    En 1790, Garris fut le chef-lieu d'un canton dépendant du district de Saint-Palais, et comprenant les communes d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Béguios, Beyrie, Garris, Labets-Biscay, Luxe-Sumberraute, Masparraute et Orègue.

    La commune fut rattachée à Saint-Palais du au [39].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à trois sangliers de sable.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 Noël Chohobigarat    
    2008 En cours François Ladeuix    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Garris participe à six groupements intercommunaux[40] :

    • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
    • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
    • le syndicat d’assainissement collectif de Saint-Palais ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal de regroupement pédagogique « Ikas Bidea » ;
    • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d’Amikuze.

    Démographie

    Le recensement[41] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[42] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[43], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Garris la présence de 64 feux, le second de 68 feux.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

    En 2018, la commune comptait 281 habitants[Note 9], en diminution de 9,06 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    454396472502509535465469430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    390391377371343353318302304
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    323323296274246256240254224
    1962 1999 2006 2011 2016 2018 - - -
    229302282298286281---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Garris accueille une foire aux chevaux et aux pottoks le et aux autres bestiaux le 1er août. C'était une foire référence pour le cours de la viande depuis le Moyen-âge dans tout le grand sud-ouest. Instituée au XIIIe siècle sous le régime de la Navarre, la foire est placée sous le patronage de Saint Brice.

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Langues

    D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Garris est le bas-navarrais oriental.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Félix[48], au lieu-dit Garris, est mentionnée dès le XIIe siècle. Elle recèle un bénitier surmonté d'une colonne et son chapiteau, datant du XVIIIe siècle[49] et un autel et un retable[50] en bois de la même époque ;

    Le pèlerinage de Compostelle

    L'itinéraire moderne de la Via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle passe aujourd'hui par Saint-Palais, ville située km plus à l'est qui n'existait pas au XIIe siècle. Il est vraisemblable que le tracé historique de cet itinéraire passait alors par Garris, comme le suggère Aimery Picaud.

    Personnalités liées à la commune

    Arnaud de Vivié, seigneur de Bideren et de Campagne, demeurant à Garris, fut député des États généraux de 1789.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Garris » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Garris », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Garris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Garris et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Garris et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Garris et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Garris », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous Géoportail
    12. « Fiche communale de Garris », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    15. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    17. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Garris et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station Météo-France Aicirits - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    21. « Orthodromie entre Garris et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Garris », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « pelouses calcicoles de Garris » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Palais », sur insee.fr (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    33. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    34. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux 2006, , 244 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 2-86781-396-4, lire en ligne).
    35. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
    36. Titres du royaume de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    37. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    38. Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Insee - Code Officiel Géographique
    40. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    41. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
    42. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
    43. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Félix
    49. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le bénitier de l'église Saint-Félix
    50. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur l'autel et le retable de l'église Saint-Félix

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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