Labastide-Villefranche

Labastide-Villefranche est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Labastide et Villefranche.

Labastide-Villefranche

La mairie de Labastide-Villefranche.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Jean-Jacques Lateulère
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64291
Démographie
Population
municipale
322 hab. (2018 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 14″ nord, 1° 01′ 09″ ouest
Altitude Min. 21 m
Max. 156 m
Superficie 15,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Labastide-Villefranche
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Labastide-Villefranche
Géolocalisation sur la carte : France
Labastide-Villefranche
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Labastide-Villefranche
Liens
Site web http://www.labastide-villefranche.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Labastide-Villefranche se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 74 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 51 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 28 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Escos (2,0 km), Escos (2,1 km), Saint-Dos (2,3 km), Auterrive (2,3 km), Arancou (2,7 km), Oraàs (3,2 km), Carresse-Cassaber (3,5 km), Abitain (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Labastide-Villefranche fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Labastide-Villefranche.

    La commune est drainée par le Baniou, le Lauhirasse, un bras du Chuchague, l'Entran, le ruisseau de la Pounte, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le Baniou, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune de Came et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Cauneille, après avoir traversé 8 communes[9].

    Le Lauhirasse, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune d'Arbouet-Sussaute et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Arancou, après avoir traversé 6 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 332 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bidache », sur la commune de Bidache, mise en service en 1985[16]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 386,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 40 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[24],[Carte 2] :

    • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[25] ;
    • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[26] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6]sont recensées sur la commune[27],[Carte 3] : les « Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren » (46,07 ha), couvrant 2 communes du département[28] et les « lacs et marécages de Labastide-Villefranche » (109,89 ha), couvrant 3 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Labastide-Villefranche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[31],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,9 %), zones agricoles hétérogènes (28,7 %), prairies (11,3 %), forêts (8,5 %), zones urbanisées (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Peyroyes.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 29, 277 et 936.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Labastide-Villefranche apparaît sous les formes Bielefranque (vers 1360[36], titres de Came[37]), Vielefranque (1375[36], contrats de Luntz[38]), Sent Saubador de Bielefranque et Bielefranqua (respectivement 1442[36] et 1472[36], notaires de Labastide-Villefranche[39]), La Bastide de Vielefranca (1538[36], réformation de Béarn[40]), Bastide-Villefranche (La) et La Bastide-de-Béarn (1863 pour les deux formes, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<[36]).

    Graphie béarnaise

    Son nom béarnais est Labastida[41] ou Labastide[42].

    Histoire

    Paul Raymond[36] note qu'en 1385, Labastide-Villefranche comptait vingt-trois feux, et formait avec Mu (hameau de Castagnède) un bailliage qui s'étendait à Labastide-Villefranche, By, le Leu, Mu et Saint-Dos.

    Labastide-Villefranche était par ailleurs le chef-lieu d'une notairie dont le ressort concernait Saint-Dos, Carresse, Castagnède et Cassaber.

    Le village ne possède pas spécialement d'histoire si ce n'est qu'il a servi de poste défensif grâce à son donjon qui se situe, ainsi que le village, au sommet d'une colline.

    Autrefois, le village comptait près de 1000 habitants mais après que le marché hebdomadaire eut cessé, le village a commencé à voir diminuer son nombre d'habitants : il est passé de plus de 1000 à près de 300 habitants.

    Il est aussi connu pour ses cinq lacs qui sont le reste d'un grand glacier. À propos de ceux-ci, plusieurs légendes ont été imaginées. Par exemple, il a été dit qu'un premier village avait existé à Labastide mais qu'il serait aujourd'hui sous les eaux d'un lac.

    La ville a été fondée en 1292 par Marguerite de Béarn pour faire pendant aux prétentions anglaises de Hastingues et de Bayonne. On donna à chaque colon un coin de terre exempt de taxes d'où le nom de Villefranche. Les terres ont été prises sur les villages alentour ce qui a donné lieu à de nombreuses contestations et procès. Dans des fouilles faites en 1898, on a découvert de nombreuses traces des cités lacustres qui précédèrent Labastide. Le professeur Garrigou-Lagrange sortit un vase de bronze du lac des Mirailhs. La ville est célèbre pour avoir embrassé la religion protestante parmi les premières en Béarn et avoir construit un temple. Après la révocation de l'Édit de Nantes, quelques familles de Labastide, comme les Majendie, quittèrent le Béarn pour l'Angleterre où subsistent leurs descendants. En 1620 après l'édit de main levée de Louis XIII il n'y avait plus que deux catholiques à Labastide. Avant la Révolution c'est l'inverse : il n'y a presque plus de protestants au point que l'évêque de Bayonne appellera Labastide la ville "la plus religieuse" de son diocèse. Les seigneurs de Labastide furent violentés pendant la Terreur et sauvés par un protestant de la ville qui leur donna asile et secours.

    Le palais de justice des jurats, où de nombreuses affaires importantes furent jugées, a brûlé pendant l'incendie de la ville en 1763. La mairie actuelle est construite à sa place.

    Labastide fut chef-lieu de canton de 1790 à 1792. Une gendarmerie à cheval y fut même installée. Le bâtiment subsiste encore.

    Le bacille du choléra fut amené à Labastide par un officier originaire du village et qui rentrait des campagnes de Sébastopol. L'épidémie se propagea dans tout le canton de Salies en faisant de nombreuses victimes.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Labastide-Villefranche a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[43].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Martine Canton-Harguindéguy    
    2001 2008 Roland Ichas    
    2008   Jean-Pierre Sallenave    
    2020 En cours Marc Lamarque    

    Intercommunalité

    Labastide-Villefranche fait partie de cinq structures intercommunales[44] :

    • la communauté de communes du Béarn des Gaves ;
    • le syndicat AEP d'Arancou - Bergouey - Viellenave - Labastide-Villefranche ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de regroupement pédagogique de Carresse-Cassaber, Escos et Labastide-Villefranche ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

    La commune accueille le siège du syndicat de regroupement pédagogique de Carresse-Cassaber, Escos et Labastide-Villefranche.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].

    En 2018, la commune comptait 322 habitants[Note 8], en diminution de 5,85 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8221 092779929905906887902847
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    797774724696727710744726717
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    720685700613593522501458446
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    412378364332284292316320323
    2013 2018 - - - - - - -
    342322-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    La tour du XIVe siècle.
    L'église Saint-Sauveur.

    Culture locale et patrimoine

    Portail du Château Bijou.

    Patrimoine civil

    La tour carrée

    Une tour carrée, à moitié en calcaire et à moitié en granit, est le seul vestige d'une forteresse construite en 1338 et nommée la « Bastide de Béarn » dans les chartes. Elle était destinée à protéger le royaume de France contre les possessions anglaises en Navarre et en Guyenne. Le rez-de-chaussée était occupé par une basse fosse sans ouverture et le premier étage ouvert de meurtrières. La tour a été surélevée au XVe siècle et l'élévation rajoutée percée de fenêtres. Les mâchicoulis ont disparu. Un château fort se trouvait peut-être à proximité. La tour, abîmée par la foudre en 1853, est enregistrée aux monuments historiques depuis 1915[49].

    Château-Bijou

    La fierté du village, avec la tour de défense, est le surprenant château-Bijou[50]. Il s'agissait à l'origine d'une simple gentilhommière construite par un certain Dussine, puis aménagée par Madame Combes, née Saint-Macary, qui dépensa des fortunes considérables pour construire le château actuel. Le parc accueille un cloître breton du XIIIe siècle reconstitué, un temple de l'Amour, un embarcadère, une chapelle néo-gothique dans laquelle on trouvait autrefois un ancien crucifix sévillan. Madame Combe fit dévier la route départementale pour tracer son parc. Après des fortunes diverses, le château fut abandonné. Victime d'un incendie il y a quelques années, sa toiture de zinc ne reflète qu'imparfaitement les splendeurs passées. Depuis l'automne 2009, il est la possession de M. Vidalinc et sa rénovation est en cours.

    Maison Lasalle

    Construite sur un ancien temple romain dédié à Mercure à proximité du château, cette maison était le logement des officiers de la garnison. En 1814, elle fut occupée par des officiers anglais.

    Maison dite « de Jeanne d'Albret »

    Elle y dormit avec son fils Henri IV en 1564. Dans cette maison fut torturé aux fins d'aveux, le malfaiteur Pilate, lieutenant de Audijos, en révolte contre la gabelle.

    Château Malherbe

    Il s'agit d'une ancienne résidence des Habas, magistrats du parlement de Navarre à Pau.

    Patrimoine religieux

    Le village comptait un temple protestant accolé à la Tour, détruit en 1682, et une chapelle de Saint-Sébastien de Jasses, aujourd'hui détruite.

    Église Saint-Sauveur[51]

    Les sépultures de la famille de Bertier, héritière de la famille de Habas, seigneurs du lieu.

    Prieuré d'Ordios

    Distant du bourg de moins de quatre kilomètres, fondé en 1150, il garde fière allure bien qu'il fût transformé en étable en 1792. On y remarque encore des sculptures dont un portrait de Pierre de Béarn. La commanderie d'Ordios accueillait les pèlerins de Compostelle. La chapelle[52] est classée aux monuments historiques depuis 1992.

    Cimetière

    On y trouve des sépultures de personnalités comme les Thomas, militaires émérites, l'amiral d'escadre Guillou, l'aspirant Guillou, Faustin Mendiharat, Rosine Saint-Macary, et de l'abbé Labaigt qui écrivit une histoire de la ville.

    Équipements

    Enseignement

    Labastide-Villefranche dispose d'une école primaire. Le village possède aussi une caserne de pompier, un gîte, une boulangerie et une épicerie, une coiffeuse.

    Lavie raphael créateur du club du 3 âge, secouriste et facteur du village

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Labastide-Villefranche » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Labastide-Villefranche », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Labastide-Villefranche », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Labastide-Villefranche », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Labastide-Villefranche et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Labastide-Villefranche et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Labastide-Villefranche et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Labastide-Villefranche », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Labastide-Villefranche », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le Baniou ».
    10. Sandre, « le Lauhirasse ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Bidache - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Labastide-Villefranche et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Bidache - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Labastide-Villefranche et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Labastide-Villefranche », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Labastide-Villefranche », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    37. Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    38. Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    40. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    41. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    42. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    43. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
    44. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la tour du XIVe siècle
    50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château-Bijou
    51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Sauveur
    52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle d'Ordios

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alexis Ichas, Historial des gaves, Éditions Atlantica
    • Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne

    Articles connexes

    Liens externes

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