Saint-Pé-de-Léren

Saint-Pé-de-Léren (en béarnais Sent-Pèr-de-Lèren ou Sén-Pè-de-Lèren) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pé et Léren.

Saint-Pé-de-Léren

L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Gérard Loustau
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64494
Démographie
Population
municipale
258 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 35″ nord, 1° 02′ 12″ ouest
Altitude Min. 9 m
Max. 49 m
Superficie 5,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Pé-de-Léren
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Saint-Pé-de-Léren
Liens
Site web http://www.saint-pe-de-leren.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Pé-de-Léren se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 75 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 54 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Peyrehorade[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Léren (1,2 km), Saint-Dos (2,5 km), Carresse-Cassaber (3,8 km), Auterrive (4,3 km), Sorde-l'Abbaye (4,3 km), Labastide-Villefranche (4,6 km), Saint-Cricq-du-Gave (5,1 km), Arancou (5,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Pé-de-Léren fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Pé-de-Léren.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Baniou, un bras du gave d'Oloron, L'Entran, le ruisseau Lagabotte, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

    Le Baniou, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune de Came et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Cauneille, après avoir traversé 8 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 296 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bidache », sur la commune de Bidache, mise en service en 1985[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 386,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 39 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[24], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6]est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : les « Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren » (46,07 ha), couvrant 2 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[26],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pé-de-Léren est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,3 %), forêts (9,6 %), eaux continentales[Note 9] (5,2 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    • la Bourgade ;
    • le Bois ;
    • Lapeyre.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la route départementale 28.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Saint-Pé-de-Léren apparaît sous les formes Sent-Per (1302[35], titres de Béarn[36]), Sanctus-Petrus de Sendos (1413[35], rôles gascons) et Saint-Pé en France (1675[35], réformation de Béarn[37]).

    Étymologie

    Le nom vient du latin Sanctus Petrus qui donne Sent Pèir ou Sent Pèr en gascon. L'hypothèse faisant venir le nom du village du gascon sendèr (sentier) est assez peu plausible. L'orthographe a fluctué allant de Saint-Pée à Saint-Pé avant de devenir définitivement Saint-Pé de Léren au début du XXe siècle pour le distinguer de Saint-Pée-sur-Nivelle.

    Graphie béarnaise

    Son nom béarnais est Sent-Pèr-de-Lèren[38] ou Sén-Pè-de-Lèren[39].

    Histoire

    Paul Raymond[35] note que Saint-Pé-de-Léren appartenait à l'archiprêtré de Rivière-Fleuve, nom d'un archiprêtré du diocèse de Dax qui tirait son nom de l'Adour.

    La baronnie de Saint-Pé-de-Léren

    La commune formait avec Came et Sames une baronnie dépendant du château de Dax, incluse dans le duché de Gramont.

    Le village est né du dénombrement de grandes propriétés gallo-romaines et a très longtemps dépendu de l'abbaye bénédictine de Sorde. Il se présente avec un habitat très dispersé de chaque côté de l'ancienne voie de communication Peyrehorade-Oloron.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Saint-Pé-de-Léren a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[40].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 En cours
    (au 30 avril 2014)
    Bernard Saphores    

    Intercommunalité

    Saint-Pé-de-Léren fait partie de sept structures intercommunales[41] :

    • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
    • le SIGOM ;
    • le SIVU des cinq villages ;
    • le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

    En 2018, la commune comptait 258 habitants[Note 10], en augmentation de 1,18 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    296334390400420391376379388
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    438405380387409372378362378
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    337353340303295304272246248
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    228217200207207205235239243
    2013 2018 - - - - - - -
    255258-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    • Festival Lo Primtemps de l'Arribèra[46].

    Patrimoine civil

    Le château Labernède était le siège d'une notairerie royale pendant des siècles.

    Le château Girard fut propriété d'un inspecteur général des troupes indigènes au Tonkin.

    Le moulin Dufau, moulin à eau toujours en activité, bâti au XIIe siècle par les moines de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, alimentait les boulangers des environs.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre[47] avec son clocher récent qui a remplacé un clocher fronton probablement trinitaire, date partiellement du milieu du Moyen Âge. Plusieurs curés et seigneurs sont inhumés dans l'église. Elle recèle deux vitraux, l'un de Mauméjean représentant la tiare pontificale, l'autre dit « du coq » symbolisant le reniement de saint Pierre.

    Équipements

    Enseignement

    Saint-Pé-de-Léren dispose d'une école primaire.

    Personnalités liées à la commune

    Bernard Charbonneau a habité dans la commune jusqu'à la fin de sa vie ; décédé en 1996 à la clinique de Saint-Palais, il est inhumé dans un caveau personnel situé dans sa propriété « Le Boucau » proche du gave d'Oloron ; son épouse Henriette, née Daudin et décédée en 2005 est inhumé également dans ce caveau auprès de son mari[48].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Pé-de-Léren » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Léren et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Léren et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Léren et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Saint-Pé-de-Léren », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Saint-Pé-de-Léren », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    10. Sandre, « le Baniou ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Bidache - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Saint-Pé-de-Léren et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Bidache - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Saint-Pé-de-Léren et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    35. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    36. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    38. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    39. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    40. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
    41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    46. Site du festival Le Primtemps de l'Arribéra
    47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
    48. « Tombe d’Henriette et Bernard Charbonneau à Saint-Pé-de-Léren », sur lagrandemue.wordpress.com, (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alexis Ichas, Historial de Saint-Pé-de-Léren (réimpr. 2008)
    • Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Alexis Ichas - Éditions Gascogne

    Articles connexes

    Liens externes

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