Escos

Escos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Escos

Le château.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Pierre Villenave
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64205
Démographie
Population
municipale
237 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 52″ nord, 0° 59′ 48″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 162 m
Superficie 5,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Escos
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Escos
Géolocalisation sur la carte : France
Escos
Géolocalisation sur la carte : France
Escos
Liens
Site web http://www.escos.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Escos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 75,2 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 48,1 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29,1 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Castagnède (0,9 km), Oraàs (1,3 km), Labastide-Villefranche (2,0 km), Auterrive (2,2 km), Abitain (3,0 km), Carresse-Cassaber (3,5 km), Saint-Dos (3,6 km), Athos-Aspis (4,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Escos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Escos.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le Crabé, le ruisseau de Laclau, le ruisseau de la Pounte, le ruisseau de Massariou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 348 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 1 293,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 42 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[19], à 14,3 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[21].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[23], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[24],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[25],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Escos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), prairies (7,9 %), forêts (6,8 %), eaux continentales[Note 8] (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Les Bordes.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 28 et 936.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Escos apparaît sous les formes Escos (1105[33]), sanctus johannes de escos (1160[33]), escoz (1305[33]), Escos (1309[33]), Escaut (1352[34], titres de Came[35]), Sent-Johan d'Escos et Escoos (respectivement 1439[34] et 1440[34], notaires de Labastide-Villefranche[36]), Ecos (1582[34], aliénations du diocèse de Dax[37]) et Escos en Navarre (1675[34], réformation de Béarn[38]).

    Étymologie

    Escos provient de la racine botanique basque ezk-[33] qui a donné ezkurr (« gland ») ou ezki ('« tilleul ») et du suffixe aquitain os.

    Autres toponymes

    Le hameau des Bordes est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[34].

    Graphie en langues locales

    Son nom béarnais est Escos et son nom basque est Ezkoze.

    Histoire

    Paul Raymond[34] note qu'Escos était une dépendance du diocèse de Dax et du duché de Gramont.

    Escos est un village navarrais[39], malgré son appartenance aujourd'hui au canton de Salies. (Escos ne rejoindra d'ailleurs ce canton qu'en 1819). Une trace administrative ténue demeure de l'ancienne appartenance d'Escos à la Basse-Navarre : de nos jours, la commune est toujours membre de la Commission syndicale du Bois de Mixe, comme copropriétaire de terres indivises situées en pays de Mixe, entre Bidache et Saint-Palais[40].

    Toutefois un quartier du village n'appartenait pas au même royaume que le centre du bourg : « Lagarde d'Escos » dépend lui en effet de la juridiction d'Hastingues et, à ce titre, était en « France », en l'espèce sur le territoire de la sénéchaussée de Dax. Relié continûment au reste de la Gascogne, ce hameau en est donc un avant-poste avancé vers le sud[41].

    Par ailleurs, alors que la commune est aujourd'hui séparée d'Ilharre par les bois de Lahire, sur le territoire de la commune d'Abitain, les limites paroissiales n'étaient pas les mêmes sous l'Ancien Régime, et la Basse-Navarre était bien d'un seul tenant, tandis qu'au contraire Labastide-Villefranche était séparé du reste du Béarn : la carte de l'Atlas historique du Béarn, semblable sur ce point à la carte de Hubert Jaillot de la Basse-Navarre de 1689[42] fait clairement apparaître une continuité entre Escos et Ilharre. Les détails du tracé sont précisés par la carte annexée à l'article de Pierre Tucoo-Chala : la commune d'Abitain n'était pas aussi étendue qu'aujourd'hui et la frontière entre Béarn et Navarre se situait au Moyen Âge le long de la « horse d'Abitain », qui était un fossé qu'on peut encore, paraît-il, deviner non loin de la route au sud d'Escos ; les bois aujourd'hui sur le territoire d'Abitain, au sud de Tachouères, sont navarrais sur la carte dressée par Pierre Tucoo-Chala[43].

    Escos a fait partie du canton de Bidache jusqu'au 14 juillet 1819.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Escos a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[44].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Jean Larrat    
    2001 En cours Daniel Vigneau DVD  

    Intercommunalité

    Escos fait partie de sept structures intercommunales[45] :

    • la communauté de communes de Salies-de-Béarn ;
    • le SIGOM ;
    • le SIVU des cinq villages ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de regroupement pédagogique de Carresse-Cassaber, Escos et Labastide-Villefranche ;
    • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

    Escos accueille le siège du SIVU des cinq villages.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[47].

    En 2018, la commune comptait 237 habitants[Note 9], en diminution de 4,05 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    550615601595649587534556540
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    481498512483514498475478460
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    461430437411404376336303287
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    282269256241217228254237237
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le château d'Escos à Escos

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Jean-Baptiste.

    L'église Saint-Jean-Baptiste[50] date partiellement du XVe siècle.

    Équipements

    Enseignement

    Escos dispose d'une école primaire.

    Notes et références

    Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne 2020.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Escos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escos », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Escos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Tucoo-Chala, « Aux frontières du Béarn, de la Navarre et de la Gascogne du XIIe au XVIe siècle », dans Bulletin de la société de Borda, 1962, p. 234-250
    • Pierre Tucoo-Chala et Christian Delplat, La Principauté de Béarn, Société nouvelle d'éditions régionales et de diffusion, Pau, 1980, complété par l’Atlas historique du Béarn, cartographie de Monique Morales (même éditeur)

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
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    • Portail du Béarn
    • Portail des Pyrénées-Atlantiques
    1. « Métadonnées de la commune d'Escos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Escos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Escos et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Escos et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Escos », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale d'Escos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Escos et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Escos et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    33. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, notice BnF no FRBNF40190262, présentation en ligne), p. 103.
    34. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    35. Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    36. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    37. Registres d'aliénations - ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
    38. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    39. Eugène Goyheneche, Notre Terre Basque : notions de géographie, histoire et culture, Pau, Société Nouvelle d'Éditions Régionales et de Diffusion, (1re éd. 1961), 159 p. (OCLC 850881783, lire en ligne), p. 29.
    40. Odette Bruneau, « Les possessions "navarraises" des Gramont », dans Amikuze-Le Pays de Mixe, Baigorri, Izpegi, (ISBN 2-909262-05-7), p. 98
    41. Pierre Tucoo-Chala, « Aux frontières du Béarn, de la Navarre et de la Gascogne du XIIe au XVIe siècle », dans Bulletin de la société de Borda, 1962, p. 237.
    42. Carte publiée dans le recueil de Clément Urrutibéhéty La Basse-Navarre héritière du royaume de Navarre, Atlantica, Biarritz, 1999 (ISBN 2843941261) ; une version très réduite est disponible en ligne.
    43. Ce luxe de frontières dans le secteur est à l'origine de multiples conflits, ainsi ces deux anecdotes relatées par Clément Urritibéhéty, op. cit. p. 145 : le , faisant fi d'une interdiction prononcée par le sénéchal de Béarn le 22 juin précédent faisant défense aux Navarrais d'entrer en Béarn, des Basques prennent position dans ce secteur dans l'intention de détrousser les Béarnais d'Autevielle en route pour Labastide et pillent la « maison Taxoère des bordes de Labastide » ; mais deux ans plus tard le , ce sont au contraire des Béarnais d'Abitain qui pénètrent en pays de Mixe et font prisonniers plusieurs Navarrais de Gabat « qui rentraient paisiblement d'Escos à leur domicile », blessant et tuant même d'autres paisibles voyageurs.
    44. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
    45. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
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